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Analyse et Projet urbain en Seine-Saint Denis,France Par Hajjar Carla et Monnier Kim-Lou

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[ POINT / BARRE ]

« Une frontière est un espace d’épaisseur variable, de la ligne imaginaire à un espace particulier, séparant ou joignant deux territoires, en particulier deux États souverains.. » Wikipedia

2

3

[ SOMMAIRE ]

|||||||[ANALYSE]

[ INTRODUCTION ]: ANALYSE DES DIFFERENTES TYPOLOGIES DE BARRIERES

1.[ TRANSPORTER ]: L’influence de l’Europe sur le tissu urbain

2.[ APPRENDRE ]: L’impact du morcellement départemental sur le rayonnement international

3.[ L O G E R ]: Entre diversité typologique et sectorisation

[ CONCLUSION ] : RELIER LES ECHELLES D’UN TERRITOIRE FRACTURE

|||||||[PROJET ]

[ INTRODUCTION ]: ANALYSE DES DIFFERENTES TYPOLOGIES D’UNIVERSITES

[ TERRAIN ]: ANALYSE D’UN SITE ET PROJET

p 6-17

p 18-29

p 30-41

p 42-53

p 54-57

p 60-69

p 70-85

4

5

[ ANALYSE ]

6

77

[ INTRODUCTION ]ANALYSE DES DIFFERENTES TYPOLOGIES

DE BARRIERES

8

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Dissuasion physique ]

8 « Le respect est une barrière qui protège autant un père et unemère que les enfants,

99 en évitant à ceux-là des chagrins, à ceux-ci des remords. » H. De Balzac

passage piéton carte: Saint Denis (94)

LES BALISES PIETONNES

10

|||||||||||||||||||||||||||||[ Vide ]

10

[ POINT / BARRE ]

« La politique ne s’arrête pas aux frontières de notre pays. » N. Mamère

11

!

11

LA POROSITE DES BARRIERES

12

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Provisoire ]

« L’ennui est la maladie de la vie. On se fait des barrières pour les sauter. » A. De Vigny12

13

barrières de sécurité

lieu accessible de manière évennementiel

barrière xe (aucun passage possible)

barrières mobiles pour le ltrage des véhicules

LE STADE ET SES BARRIERES

14

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Naturel ]

14 « Les Pyrénées sont la frontière naturelle entre la France et l’Espagne »

15

BARRIERES NATURELLES

16

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Lumière ]

16 « Le clair obscur est une technique de peinture où les éléments importants sont baignés

17 dans la lumière alors que les autres ne sont qu’ombres »

Durée d’ouverture Ouverture ocasionnelle6h

12h

24h

18h

JOUR/NUIT

18

19

[ TRANSPORTER ]

L’INFLUENCE DE L’EUROPE SUR LE TISSU URBAIN

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Transporter ]

20 « L’ennui est la maladie de la vie. On se fait des barrières pour les sauter. » A. De Vigny

21

AUTOROUTE: voie de transport rapide ou la vi-tesse des véhicules est largement supérieure aux autres types de voies.

L’autoroute est dessinée pour faciliter et uidi er les trajets longues distances. Elle est pensée comme une canalisation d’eau, avec des ux qui y entrent et qui en sortent. Il est intéressant de no-ter que on ne peut pas âner en voiture comme on peut se promener à pied, avec la possibilité de demi tour, d’arret à tout moment.

Non, une autoroute est réellement pensée comme un tube, dans lequel on rentre, on s’in-sère dans le ux et on en sort, seulement par les sorties proposées. Une fois qu’on s’est engagé, c’est trop tard. Cou-loir droit, gauche, bande blanche, on ne peut changer de le dès le moment qu’on y circule.

D’ou la nécéssité de guidage. Les sorties, les panneaux les indiquant sont calculés pour ui-di er la circulation. Il peut exister des milliers d’autres chemins, c’est celui là qui a été décidé qu’on prendrait.Ces panneaux, ce guidage se poursuit, prolifère même hors de l’autoroute.

Au nal dès qu’on s’engage sur l’autoroute, on peut prédire dès le départ, exactement par quel chemins vous allez passer. Car on suit les panneaux.

C’est un ordre invisible, qui régule l’au-toroute et qui dirige nos réactions en les positionnant.

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Transporter ]

22

création de l’autoroute

sécurité

1936 1942

1957

23

décongestion

panneau

code de la route

réseau de signalisation

L’AUTOROUTE A1: UNE LIAISON A GRANDE ECHELLE, en eff et prévue pour relier Paris, l’aéroport et le reste de l’Europe.

Dès 1934, le « Plan Prost » établit le tracé d’une « voie nouvelle à grand tra c : la «

Route de l’aéroport du Bourget et du Nord ». qui doit traverser les territoires de la Courneuve et de Saint-Denis pour venir se relier au « Boulevard Circulaire ». Elle doit permettre ainsi de « relier la Madeleine ou la Porte Maillot directement au Bourget sans diffi cultés appréciables de circulation » et en outre « recevoir tout le tra c automobile venant de Belgique ou du Nord de la France par les nationales n°17 et n°2 ».

Le ministre des Travaux Publics décide nalement de revoir complètement le projet qui ne doit pas se limiter à une simple desserte de l’aéroport. Il demande que soit étudiée une future autoroute de jonction qui pourrait être construite entre Paris et le Nord de la France.

Des études ultérieures aboutissent à l’élaboration d’un projet encore plus ambitieux visant à la desserve de la capitale par le nord, l’est et l’ouest, plans qui font l’objet de di-verses extensions et modi cations en 1942 et 1943.

L’autoroute A1 reste un axe majeur de la dorsale européenne, à tel point qu’elle est souvent bouchonnée.

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Transporter ]

24

panneau guidage problème d’échelle

25

65 m

2 x 3 voies

barrière visuelle

mauvaise porosité

grosse infrastructure

LE QUARTIER DE LA PLAINE EST SÉPARÉ DE SES VILLES. Aubervilliers et Saint Denis se rejoignent sur ce territoire, mais l’enclavement dû aux infrastructures donne lieu à des ruptures entre ce quartier et ses villes. Cet enclavement est tel que le quartier de la plaine a un code postal diff érent de celui de Saint Denis (93210). Coupés par l’autoroute A1, l’autoroute A86, le canal et les voies ferrées, le quartier prend alors sa propre identité. Trop éloignés des centres villes il possède son propre centre, ses propres infrastructures.

Des fois large de 65 m l’autoroute, même prévue comme poreuse crée une véritable rupu-ture du paysage et du territoire à petite échelle, une barrière lumineuse.

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Transporter ]

26

guerre chomage

train

besoin de chantiers

relier le territoire

projet autoroute

revolution industrielle

voitures

guerre

creation logements

périmètre de sécurité usines à gaz

non adapté

surburbanisation

besoin de sorties

2 x 2 voies

panneau

A 86+A 1

problème santé

pollution

enclavement

rupture paysage

2 x 3 voies

guidage réseau de signalisation

liaison grande échelle

grosse infrastructure

socialeconomiquepolitiqueproblemes 27

28

29

L’AUTOROUTE AGIT ICI COMME UNE RUPTURE PETITE ÉCHELLE MAIS UNE LIAISON GRANDE ÉCHELLE.

30

31

[ APPRENDRE ]L’IMPACT DU MORCELLEMENT DEPARTEMENTAL SUR LE

RAYONNEMENT INTERNATIONAL

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Apprendre ]

32

33

«Mardi 8 avril,

10h30-12h30, UE4 TD Dictionnaires et enseignement. salle A2 110

12h30-13h30 Dejeuner

13h30-14h30: UE1 CM Littérature 19è Amphi 5

14h30-16h30 UE4 TD Méthodologie universitaire A4.301»

Voici le quotidien d’un des 23 000 étudiants de l’université de Paris 13. Une journée, des cases remplies, d’autres vides. Des chiff res qui se succèdent. Codes pour un amphi, une salle, une plage horaire. Des milliers de personnes codées et réduites à des lettres et des chiff res. Voilà comment on résume une journée d’étudiant dans une université. On peut condenser le temps pour le faire tenir sur un dixième d’A4, alors qu’une journée c’est des millions de fois plus que ces lettres imprimées sur du papier blanc.

Est-ce la réelle organisation de l’université? Des emplois du temps, une organisation spa-tio-temporelle ? Est-ce applicable à toute une société ?

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Apprendre ]

34

Villetaneuse

Bobiny Saint Denis

UFR

UFR

UFR

UFR UFR

35.I.U.T.

laboratoiresassociations

départements

L’université Paris 13.

C’est intéressant de constater que en quelques mots, trois, on peut englober 23 000 étu-diants, 5 campus et une centaine de labos de recherche.

Mais si on regarde plus près on se rend c ompte que l’université Paris 13 n’a pas de réel lieu d’existence. Elle est divisée en plusieurs campus, dans diff érentes villes du 93 et accueuille même un morceau de la sorbonne en son sein.

Il s’agit d’un morcellement à toutes les échelles.

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Apprendre ]

36

université rayonnement pôle

originalité

notoriété

37

qualité d’enseignement

réseau avec professionnel séléction d’étudiants

enseignants reconnus

matériel de recherche

cadre de qualité

«Si l’enseignement supérieur était une industrie, ce serait l’une des plus grandes et des plus dynamiques au monde. Au Royaume-Uni, par exemple, les recettes totales des universités s’éle-vaient à 23,4 milliards de livres (43 milliards de dollars) en 2007-2008»

«Mais l’enseignement, c’est avant tout les étudiants. Leur nombre augmente régulièrement et forte-ment depuis 50 ans.[...]30 % des adultes sont désormais diplômés de l’enseignement supérieur. Toujours dans la zone OCDE, le nombre d’étudiants internationaux a triplé en l’espace de vingt ans.».

Source: observateurOCDE

La France essaie de s’adapter aux profonds changements que subit l’enseignement mondial en créant des pôles spécialisés. Ici se pose une nouvelle question: l’éclatement, le morcellement de l’Université Paris 13 joue-t-il sur son manque de notoriété internationale ?

besoin de notoriété

université

enseignement pour tous

site internetdématérialisation des institutions

uniformisation des diplômes: LMD

augmentation du nombre d’universitaires

nouvelles technologies

compétitivité

internet 2.0

sans limites territoriales mondialisation

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Apprendre ]

38

39

socialeconomiquepolitiqueproblemes

rayonnement

qualité et originalité

locaux adaptés au futur de l’enseignement

étudiants

liaison à l’internationnal

noyau central d’enseignement

40

LE MORCELLEMENT À PETITE ÉCHELLE DE L’UNIVERSITE JOUE SUR SON RAYONNEMENT.

41

42

43

[ LOGER ]

DIVERSITE TYPOLOGIQUE ET SECTORISATION

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Loger ]

44

45

« Que faire en cas de logement insalubre ?

Vivre dans un logement insalubre peut avoir des conséquences néfastes pour votre santé

et votre sécurité. Vous devez signaler les problèmes à votre propriétaire, qui a le devoir d’enga-

ger les travaux nécessaires. Si les réparations ne sont pas engagées, vous pouvez contacter le

service hygiène de la ville. »source: site de la mairie de Saint Denis

«Pour un particulier, acheter un appartement, neuf ou ancien, dans cette zone où le prix du

mètre carré tourne autour de 3 000 à 3500 euros sera probablement un bon placement à un

horizon de dix ans. «Si on regarde sur vingt ans, c’est déjà Paris»

«Lors d’une conférence de presse sur le thème du logement, organisée mardi à Rozay-en-

Brie, la présidente du Front national a estimé qu’il était «impératif d’organiser (...) la destruction

des cités construites dans les années 55 à 70 et leur remplacement par un habitat de taille et

d’esthétique traditionnelles»

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Loger ]

46

révolution industrielle

mondialisation

suburbanisation

diverse population

47

tissus hétérogènesentrepots

DENSITE HORIZONTALE

DENSITEHORIZONTALE

MODEREE

DENSITE HORIZONTALE FAIBLE

Tissu pavillonnaire dense peu élevé. Tracé et bâti sou-vent anciens et non entretenu

Souvent insalubre et peu vivant.

Tissu plus récent, moins dense en plan mais plus haut. Accueillant une population plus récente.

Objets architecturaux très hauts et espacés pour éviter l’enfermement de l’espace, sur de grands terrains.

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Loger ]

48

LA PLAINE

10 0003 458 €/m²2 883 €/m²

SAINT DENIS106 927 12 km²

8 640 hab/km²3 256 €/m²2 973 €/m²

43 53821 718 €/an

PARIS2 234 100 105,4 km²

21 289 hab/km²8 285 €/m²

-- €/m²1 353 000

32 433 €/an

SEINE-SAINT DENIS1 522 048 236 km²

6 449 hab/km²3481 €/m²3238 €/m²

604 06515 175 €/an

ST OUEN46 928

4,31 km²10 949 hab/km²

3985 €/m²4057 €/m²

22 82622 589 €/an

AUBERVILLIERS75 304

5,76 km²13 210 hab/km²3 467 €/m²3 261 €/m²

30 50220 484 €/an

population:

super cie:

densité:

prix appt /m²:

prix maison/m²:

nb logements:

revenu annuel moyen:

population:

super cie:

densité:

prix appt /m²:

prix maison/m²:

nb logements:

revenu annuel moyen:

terrain en reconversion

tissu pavillonnaire ancien à détruire

forte demande

occupation des terrains

emprise des rails et usines désaféctées

nouvelle population

entreprises

« Le departement de Seine Saint Denis détient le plus haut taux de

49

destruction et nouveaux projetsteritoire

violence en France et en Europe (31,27 % contre 6% nationaux) » Wikipedia

2450€ 2720€ 2840€ 2940€ 3050€ 3170€ 3310€ 3450€ 3690€ 4270€

LE PRIX D’ACHAT AU M²

PLAINE DE SAINT DENIS

SAINT-OUEN

ILE DE SAINT DENIS

AUBERVILLIERS

On peut remarquer sur le plan ci contre une sectorisation du prix du logement, mais on constate aussi sur le plan ci-dessus une sectorisation fonctionnelle.

S’enchaînent les îlots de bâ-timents industriels et d’autres de logement.

Il y a peu de brassages au sein même des îlots et des terrains immenses de friches industrielles séparent des zones d’activités et de logement.

Il manque ici un lien entre ces îlots, une transition

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Loger ]

50

révolution industriellepopulation ouvrière à

proximité

industriesoccupation du territoire

tissu pavillonnaire

mondialisation

délocalisation

suburbanisation

nouvelles entreprises

population de cadre

Population à faible revenus

proche de Paris

prix au mêtre trés bas

très bon accès

marchand de sommeil

51

socialeconomiquepolitiqueproblemes

friches industrielles

besoin de logements

réaménagement du territoire

logement socialacces à la propriété

rénovation du bâti existant et mise au normes

programme de logements pour les nouvelles populations

entassement

insalubrité

52

LA SPÉCIFICATION DES ÎLOTS ET LA SECTORISATION FONC-TIONNELLE CRÉÉE DES RUPTURES DANS LE TISSU URBAIN

53

54

55

RER

M

[ CONCLUSION ]

RELIER DES ÉCHELLES D’UN TERRITOIRE FRACTURE

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Organigramme Cause à Effet ]

56

vastes terrains

époque industrielle

décentralisation

proche de Paris

création d’industrie

autorouteaxes routiers

population ouvrière

mondialisation

nouvelle énergie

délocalisation

friches

chômage

immigration

aéroport

voies férrées

DYNAMIQUE

57

population pauvre

logement social

mauvaise réputationprix bas

suburbanisation

transport en commun

ATRACTIVITE

nouveau siège

nouvelle population

socialeconomiquepolitique

NON DYNAMIQUE DYNAMIQUE

transports divers

58

5959

[ PROJET ]

60

6161

RER

M

[ INTRODUCTION ]ANALYSE DES DIFFÉRENTES TYPOLOGIES

D’UNIVERSITÉS

62

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Universités ]

62

63

L’ECOLE POLYTECHNIQUE FEDERALE DE LAUSANNE (EPFL)

5 Facultés, 2 collèges, 7 centres interdisci-

plinaires, 26 instituts, 316 laboratoires

9’306 étudiants (Bachelor, Master, Doc-torants et Postformation) de plus de 125 natio-nalités

319 professeurs

5’381 collaborateurs (scienti ques, admi-nistratifs et techniques, y compris doctorants)

soit 12’646 étudiants et collaborateurs

L’EPFL, une université qui avec le Rolex Learning Center redonne une importance capitale à l’échange entre étudiants et enseignants.

Elle est en périphérie de la ville mais elle est per-méable. Ceinturée par de grands axes et les voies, il n’y a pas de clôture.

L’objet architectural est prôné plutôt que l’uniformité ce qui donne une identité à chaque bâtiment.

Elle centralise les fonctions de la vie étudiante avec les cafétarias et les bibliothèques dans le Rolex Lear-ning Center.

Batiments CulturelsUniversité

64

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Universités ]

64

65

LA SORBONNE D’ ABU DHABI (PSUAD)

2 000 étudiants

son campus neuf de 93 000 m²

une bibliothèque d’une capacité de 200 000 volumes

La résidence est constituée de deux blocs séparés (hommes et femmes) pouvant ac-cueillir 500 étudiants

12 000 euros par an pour une licence, et près de 20 000 euros pour un Master

Cette branche de la prestigieuse université française n’atteint pas encore sa capacité d’accueil de 2000 étudiants. En cause notamment, le coût des études.

L’université Paris-Sorbonne-Abou Dabi est une université émirienne, principalement francophone, créée par un accord de coopération internationale entre l’université Paris-Sorbonne et le Ministère de l’En-seignement supérieur et de la Recherche de l’émirat

d’Abou Dabi.

La PSUAD est une université qui possède une clô-ture visible , elle est accessible uniquement par des en-trée spéci que. Elle est situé sur une ile à 15 minutes du centre ville.

Dans cette université, on met aussi le centre d’échange comme centre spatial.

Université Batiments Culturels Administration

66

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Universités ]

66

6767

20 042 étudiants

2 497 professeurs

70,46 km² de super cie

50 723 $/ an (avec l’hébergement sur le campus)

1ere du classement de Shanghai établi par des chercheurs de l’université Jiao Tong de Shanghai.

Elle comprend en tout 9 facultés spéciali-sées.

Parcs Batiments culturels

Université

UNE UNIVERSITE-PARC

L’université de Harvard est reconnue mondiale-ment. Elle possède une organisation qui lui est propre, qui relie tous les bâtiments par un parc.

C’est un liant qui a comme propriété de ne pas demander de véritable barrière physique, de grillages etc, et qui peut ainsi s’intégrer à la ville sans dommage.

HARVARD

68

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Universités ]

68

69

Parcs Batiments culturels Université

18 431 étudiants

2 497 professeurs

70,46 km² de super cie

50 723 $/ an (avec l’hébergement sur le campus)

1ere du classement de Shanghai établi par des chercheurs de l’université Jiao Tong de Shanghai.

38 collèges et 6 Permanent Private Halls

UNE UNIVERSITE-VILLE

On peut dire ici qu’on est plus face à une ville dans l’université qu’une unviersité dans la ville. En eff et, on peut voir les com-merces progresser en son sein sur un axe. Le fond d’îlot reste pourtant composé de bâtiments de collèges

OXFORD

70

71

[ TERRAIN ]APPROCHE DU SITE ET DEFINITION DES CONCEPTS

RER

M

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Projet ]

72

transporterbarrière invisibledans la plaine Saint denis

fragmentation

fragmantation + sectorisation

pe

loger

éveiller

autoroute

université

distribution des équi-pements dans des

logements non alogements

et population variée

73

enclavement du territoire

erte de rayonnement

besoin de

besoin de porosité

besoin de

en un pole unique

adaptés

Crée une université avec son

régionnal et internationnal

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ site: ZAC Montjoie: ]

74

ZAC MONTJOIE

Gare SNCF

NCCCFFFNCCC

ZAC MONTJOIE

Gare SNCF

Delimitation Culturel LogementPROGRAMME RÉALISÉ

Scolaire Ligne de Bus

75

FICHE D’IDENTITE:

construction: 1988architecte: Michel Seinebach

restructuration: 1996architecte: Béatrice Mariolle

extension: 2011

superficie: 30 ha

COMPOSANTS:

LOGEMENT

550 réalisés (900 prévus)

30% social

ENSEIGNEMENT PRIMAIRE

groupe scolaire collège/lycée/primaire

lycée: 21 formations générales

CULTURE

CNAM

AUTRES

commissariat

ENSEIGNEMENT SECONDAIRE

IUT Paris XIII

DTS Imagerie médicale

BUREAUX

67 000 m² SHON (16 000 en projet)

17 000 m² activités

PROBLEMES

ZONING

ACTIVITE NON CONTINUELLE

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Transport ]

76

77

RER

M

RERRRRRERRRERRERREERRER

MMMMM

UN TERRITOIRE TRES BIEN DESSERVI

///UNE GARE RER:

La plaine Saint Denis

///UNE STATION DE METRO

Front populaire (12)

///UN RESEAU DE BUS

5 arrêts de bus

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Enseignement ]

78

I.U.T. [BOBINY]

1200 étudiants: 300 enseignants /enseignants- chercheur

8 formations :- carr ières sociales- génie biologique- gestion des Entreprises et Administrations- services et réseaux de communication- gest ion urbaine- a s s s i t a n t d e s e r v i c e s o c i a l

4 batiments clefs : - bibliothèque universitaire: 3000m² - 1 R e s t a u r a n t U n i v e r s i t a i r e - 2 c a f e t e r i a s - l e a r n i n g c e n t e r17 activités sportives

I.U.T. [VILLETANEUSE]

1400 étudiants: 320 enseignants

13 formations [ DUT et 8 licences Pro ]:- carr ières jur id iques- génie électr ique- gestion des Entreprises et Administrations- informatique-réseaux et télécommunication-D.I.U. compétence cadre.- gest ion urbaine- a s s s i t a n t d e s e r v i c e s o c i a l- l i c e n c e e d u c at e u r s p é c i a l i s é

5 batiments clefs : - 1 l a b o r a t o i r e d e p o i n t e - 1 R e s t a u r a n t U n i v e r s i t a i r e - 2 c a f e t e r i a s - 1 b r a s s e r i e12 activités sportives

DES EQUIPEMENTS D’ENSEIGNEMENT A RASSEMBLER

79

I.U.T. [SAINT-DENIS]

2011 étudiants [407 apprentis/ 174 continue] 600 enseignants

8 formations :- mesures physiques- genie mécanique et productique- genie industriel et maintenance- science et génie des matériaux- technique de commercialisation- a s s s i t a n t d e s e r v i c e s o c i a l- gestion des entreprises et administrations

1 batiment clef : - 1 b i b l i o t h è q u e [ 3 8 0 m ² ]

C.N.A.M. [SAINT-DENIS]

2000 étudiants 500 enseignants

4 formations :- C.N.A.M. St Denis: préparation D.U.T. et licences Pro pour reprendre les études suivre les U.E. - F.O.D. (formation coutinue des salariés I.D.F- U.A.E : valisation des acquis de l’expérience- Remise à niveau en francais et anglais pour l’orthographe

RER

M

DES EQUIPEMENTS D’ENSEIGNEMENT DEJA PRESENTS

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Espaces Verts]

80

81

RER

M

RERRRRERERER

MMMMM

DES ESPACES VERTS A RELIER

///CINQ SQUARES/JARDINS:

Jardin des droits de l’enfant

Square Roser

Square de la Montjoie

Square de Front Populaire

///DES ESPACES DELAISSES

Anciennes voies ferrées

Espaces en friche

[ POINT / BARRE ]

82

|||||||||||||||||||||||||||||[ Bati en perdition à démolir ]

LOGEMENTS INSALUBRES

83

RER

M

FRICHES INDUSTRIELLES

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Superposition]

84

RER

M

RERRRERRRERRERREERRER

MMMMMM

RER

M

RER

M

RERRRRERERER

MMMMM

RER

M

TRANSPORT IUT PARCS FRICHES

+ + +

85

IUT / PARC

RER

M

RER

4e PHASE DE DESTRUCTION

- EXTENSION VERS LE CANAL

- NOUVELLES ROUTES

- PROJETS CULTURELS

- NOUVEAUX EQUIPEMENTS SPOR-TIFS

2027

MMMMMMMM

MMMMMMMMM

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Evolutions ]

86

RER

M

RER

1e PHASE DE DESTRUCTION

- INSTALLATION DES ORGANES D’EN-SEIGNEMENT

- CREATION DE TROIS PARCS

- NOUVELLES ROUTES

- DELIMITATION DU VIDE: CREATION DE PARCELLES REVENDABLES

2014

M

RER

- UNITES D’ENSEIGNEMENT

- METRO/RER

- SQUARES

- FRICHES INDUSTRIELLES

- ESPACES DELAISSES

N

1000 200 300 400 500

87

RER

M

RER

4e PHASE DE DESTRUCTION

- EXTENSION VERS LE CANAL

- NOUVELLES ROUTES

- PROJETS CULTURELS

- NOUVEAUX EQUIPEMENTS SPOR-TIFS

2027

MMMMMMMM

RER

M

RER

3e PHASE DE DESTRUCTION

- RAYONNEMENT DES PARCS VERS LES SQUARES

- EQUIPEMENTS SPORTIFS

-ATTRACTION DE COMMERCES / AC-TIVITE

- PLUS D’ACTIVITES DANS LA TEMPO-RALITE

2022

MMMMM

RER

M

RER

2e PHASE DE DESTRUCTION

- REUNION ET JONCTION DES PARCS -ATTRACTIVITE DU TERRAIN: CREA-TION DE LOGEMENTS

- ARRIVEE DE NOUVELLE POPULA-TION

-NOUVELLE TEMPORALITE / SUR-VEILLANCE DIFFUSE

2018

[ POINT / BARRE ]|||||||||||||||||||||||||||||[ Ambiances ]

88

RER

M

RER

M

Au fur et a mesure de l’évolution du projet dans le temps, on peut voir une évolution des am-biances. La végétation s’installe, le site est de plus en plus attractif et la population arrive.

Le projet active les environs, le vide attire le plein.

89

RER

M

RER

M

RER

M

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