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^/iiJ
757

Graffin, Nau. Patrologia Orientalis. 1919. Tomus Decimus Tetius.

Apr 07, 2018

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Transcript
University
incliangee.
Seigneur.
Comment
d'avoir
seulement il est
traduit,
Putr.
Or.,
t.
111,
fasc.
4
Seigneur?
N'as-tu
« pas
entendu
que
:
Fils.
Mui-memc
« domination sera
jusqu'anx extremites
la
justice,
sujet de
(/('nerations'-.
Le
le principe de la i'oie de son trone. Avant le
monde
il
m'a
fondee.
{II
m'a
creee)
*
le ciel. Lors(ju'iI prcparait
lcs cieux, j'cxistais. Lorsquil
lui, (cn train) d'arrangcr {toutes clioses). Moi-mihne
je
desccndu?
Qui
a
*
quel est
(.raHirme)
quc
tu

mon atttel,
ecarte de
ce qui survieiidra
que
dUirgeiit,
ct

la
Sainte
dit : Je
Voici
les Sora-
prophete
Isaie,
alors
qu'ils
disent
du
leve
ses
yeux
et
regarde,
propliete
Ezechicl :
Voici
siiuroiU
Elic
a
sur
effot,
il
descendu
:
foi.
44,
croix,
de
la lumiere celeste
sanctifie ceux qui sont
baptises. Le prophete Daniel a fait, dans sa maison, trois fenetres ;
il
a
jeiine
(qui) a
exauce sa
par
elle
que
tout
cst
invinciblc,
{toi)
avec
ciui
com-
mandenient
Seigneur
cjui
dit :
Je
repandrai
siir
la
ina droite, jitsqu'd
ce que j'aie
il
dit
: Que
cachette,
ear Id oii je me trouve moi-meme, mon propre Esprit maide.
foi. 46,
Avez-vous vu,
justice
bieu-
de la
ont des Ecritures
science,
la
sagesse
que
une pierre de scandale',
Leur
coie
est
tortueuse*.
Le
prophcte
lumicre'^.
Lo
jnoplietc
au Christ : Ai-ec
*
disperscs
et
rcprouves
est
Vi,criture;
ceux
eclaires); les yeux des
Jacob
sera
confondu
maison
ne
continueront
plus
d
avoir
confiatice
Quand le des
sauces {sculemenl), car le
l'exac-
Christ.

de
jadis.
je
ferai
couler
me
sujet du bapteme
cru
apres que
scmblc, voiis qiii
qui se
sont eloigncs
foi. 48,
traite commc

a
obligo
j\
vous
qui
craint
(/e
Seif/neur)?
Quil
ecoute
ses
commandements
du
Christ
tu
pour les
de
d'lsrael
: Proclamez-le
:
Ir
tencbres'
(ilorieii.v. —
tous les pciiplcs^.
avec
[sa)
gloire;
sujet
du
passtj cliez
Juif
Jesus-
Clirist
 
Juslus. Justus
un
mechant,
lui
qui
s'est
foi.
50,
acharne
contre
les
chreticns.
Ceux-ci
out
jours
du
roi
Fouqd
[Phocas].
Si
je
ces paroles de
querelles entre
reunissaient. II les vit
Josrpli
repondit
de
lui
ai
ordonuo.
Joscpli,
et
tristes.
» Isaac
rcpondit
et
lui
dit
: « II
est
juste
pour
»
leve
je
un lieu cache. Pareillement
cet expose
mysterieux. Cest
qui
vous
a
egares,
volume.
Lorsque
bon
serviteur
de
moi-meme
je
ma
volonte,
dans un grand chagrin et (dans un grand) tourment. Ensuite
je me mis
et
la
c'est-^-dire
lc
^,
*
t'a
enseigne
les
Ecritures
du
Seigneur?
jc ne suis
les Saintes Ecritures
lieu) la
bon
Ihuinilite. »
Puis
il
quc tu
y
cut
une
grande
charite
fut
iles
ciifaiits
dc
'li/oz-id'el.
Kllc
nourcan
dr
lii
inaison
d'lsriicl,
innis
iiii
contrairc
jc
lcs
croiro au
c'csl-
a-dire
lc
Clirist.
Quant
dc
tcrrc
(cllc
signific)
quc,
des
on s'ap-
aboli l'adoration dcs (faux)
;
.\o/(
tcmps
.vc.v
fctcs,
ee
dont
et les serpents
ferai
pour
les
completc sur
tous, comme
jour-Id, le
frere
Justus,
cottc
parole
(5videute.
(U
cst
vrai)
quo
Mais)
Qui donc
des soufI'Rances du Giirist.
fruits.
ont tous
ils
se
sont
lieront
par
Vcpcc
d
cause
dcvenu
coinine
un
([ui ue
et
la
ptis
iniitilcs
jxnir
rous;
i-oiis
avez
conru
laflUction
ct
courcnt
pour
Ir
pai.v;
il
iti/
a
pas
dc
jiistice
dans
pas
grandeur et
ont prophetisc.
Soigneur
scsl
Ilahi/lone,
Seigneur
'
;
Glirist,
Sauveur
du
est
jurcr, par
ai-h-l-
qui est
t^te
d\u-
soil pas
Alc.ruiuhc
et
venu
4
les
propheties
des
la
face
dn
Seigueur;
'
le Christ veritable,
les
prophetes.
qui benit le Christ
i/iirris
nreilles,
afin
jns(jues anjourdhui. Le
fille'
t'ai
fait
sortir
faiblePOr
a
regne
le
de. Fdres et
qui
sont
;i la royaute
disparue, comme
jourdhui.
foi.
ce
jour-la,
JuStUS leUI' dlt :
etait pretre
jour,
en
Voici qu'on
Puisqu'il en est
ils n'ont
pas cru
rtjunirent a
Jenhiiie : iVc
utilcs
cn
rien.
(AV)
inaison
du
n'allez pas [apres)
commandcmcnt, voiis cntrcrcz
{in^me) Moi.se ct
pardonnerai pas,
dit le
les
pays,
car
nous
qu'a tues
(subsiste) '
. La
remunere selon leurs oeuvres.
culte
des
idoles.
Quant
a
maison dlsrael'.
pas venu,
nous, nous
avons tre-
Seignour;
Verbe du Seigiieur.
Christ
devicndront
associes
jamais, comme
Christ
foi.
62,
cst
qui
est
petite.
jusqu'^ Joachim, fils
se Vevera de sa
David. {Son)
visiterai, {pour le
punir), lui, ses
parents et ses
Marie, la
lui. Voici donc
abolie. (La
ne disparaitra de
croire,
(jence, (mais) il ne comprend pas. Le prophete Mo'ise dit :
(Ce) peitple est
Christ
: Quc
ttiits
soiciit
confondus!
1/111
boucltees
ete
pas cru au Ghrist.
JcsHs-Christ venir,
nouveau ils
a
et de sa
deviendrai
pur.
:
maintenant
la
verite
LE Roi d'Isr.\el.
les
Juifs se sont souleves, ont incendie Teglise et ont tuc beaucoup
do
grandeur des tourments
: «
do
lui-meme
dans
la
mer
Julfs vit
synagogue des Juifs 6tait rehversee
'
appele Isaac; *les Juifs lui deman-
*
songe
que
lc
«
et le trouverent assis scul; ils le
saisirent
ce Juif)
lement
ils
pas au
Christ qui
le
pcuple ct
fille
de
mon
peuple
[se
donne)
non pas d la purete et non pas d la sanctification, niais au
demon.
Mais
force),
qui
apparaitra
aux
hommes
comme
oeuvre
est
ruse
et
seroyit donnes
selon sa
vront le
de
et
les
du Christ sont
ma
saintete
fleurira
annonce
peuples
de lEglise : Ecoute,
saints
disciples

tous les
Au matin,
dehors de
sur le
comme un
pro[)h6tie est
Messie
que
le
prophete
Daniel
a
appel(5 la corne qui est petite. Eu effet, les Juifs ui n'ont pas cru au
Christ
Comme
le recevront et ils
n'ont
pas
legu
Notre-Seigneur
Jesus-Christ,
et
certains
que
le
95. VisiON
dit :
et
qu'il
ne
s'exalte
pas
lui-meme;
mais
seulement
(je
veux quil m'expose) ce sur quoi je linterrogerai au sujet de la
venue de
Notre-Seigneur Jesus-Christ.
pecheurs. Les etoiles
"
s'etein-
dra
jamais;
la
fumee
moi
ce
jour-ld,
et
chair. En outre
et
quarrivent
les
: J'exercerai
{ma)
vengeance [sur) les peuples dans nia colere et dans mo7i
chdtiment,
car
a
dit :
(non
pas)
le
chdtiment
de
ma
colere,
de
la
Voici
comme
le
neant;
effet, le
Verbe du
et
avec los
serviront; sa
son
au
Christ,
(et
sachez)
qu'il
uaura
pas
de
fin. »
100.
viendront les
petite et
pour eu.\ ot ils s'en iront avec elle dans le
feu ^ternel.
rappolles-
aucun

a
terre
ressusciteront
pour
la
vie
briUeront comme
la lumiere
du Christ
et la
vieiUi
dans
le jour
de sa
venue et
qui se
premiere
(fois),
en train
de venir
ih
lui.
Voici
donc
que
« nous
«
lui,
contraire
propre
nom
et
sont
baptis6s
a
de saintete et nous a accorde de connaitre son Messie.
Cest
pourquoi
remercions-le,
ne
veut
Seigneur vivant
languc
sup-

doit juger
a
manifeste
1.
Is.,
ne te
:
*
(li jiiirlr
repoiidii; ils
:
siecles.
que
que
appris
dans
ton
Evangile
comment on t'a con-
duit comme une brebis, pour etre egorge, comment tu as ete
soulllete, as ete
«
avous
inccndid
jc suis
Eplirem.
iVKpii)hanc,
de moi et
cc
que
(issu)
de
fut crtjtj
»
Loi
fils
••
fit
Seigneur, celeste. II sau-
a ^tc egorg6
a
etc
transpercd
par
(pii a
(Jtc cgorgc.
18).
jaloux,
qu'ils
sans
changement,
qu'il
Jesus-Christ
creatures,
ta
avant (jue tu
Pilate leur dit
: Prenez-le votts-m^mes
foi.
75,
puits
lcur
a
prescrit
le chdtiment,
qui ont crucifie le
fosse aux
lorsque les
,
les molaires des
MOQUERiE.

vivant;
(je
o
a
Cesaree
et
qu'il
a
tue
Sargis
se
sont
par le
est
ne
de
Marie,
ln
Sainte
(Jl]'ll.
moi-meme
Voici
que
a
exprime
«
il n'y a pas de mensongc (en lui), car* la grace
de
TEsprit-Saint
habite
sur
tement
Comme
(dit)
Seigneur
que
Notre-Seigneur
«
dornier,
enlro eux on
qui croirout
au Clirist!
fut
et les
»
*
des hommes
vecut
dans
4.'i,
Isaac (Juif
74,
73,
163.
164,
170,
134,
133,
134,
l:t7,
Jean-Baptiste, 34. 33.
Jeaii r.hrysostonio, 18».
155, 157, 139. 160. llil.
Ili3
Nalmchodonosor, r»i.
PATR.
FARTICULIERS
A
correspondantes.)
A^
et
rJij
ftn>
Pages.
34.
128
Christ
178
105.
venue
du
les siens 192
("/•('c/o cL
du Pa/f?/'
 
ete conserve
Chrysostome
quil
avait
imite
son
que les
incipit des
les trois homelies
pour en former
une seule, sont
ne
jettent
dans
les
precipiccs
et
pas
Iorsqu'ils
qui se
de
ne
pas
courir
Nestorius
yip
(iri
>.*iOyi
on
un
lieau
visago;
on
nurait
126'
(B)
et
add.
14727,
foL
58'
(G).
Parce qu'il avait
perdu la crainte
a causc la chute
rdponse
que
(17).
Utilitc
du
de la lutte
i,3-7),
lui
conseiller
un
suicide
(15).
Reponse
justes
sont profitables
nous est communc
le bon larron
de
pour ligne
(fol. 14
d'un
grammairien
latin
y
transcrire
la
(1),
non
vcnait d'aillours quo nous
a
la
fin
(7-9).
Rejouissons-nous
les textes
a
.\o
ot/-\\.\
)jLJ'f-:»
LA LUTTE
chers amis, montre
est dissipee
devant lui
les animaux,
et Vkme
se delecte
libres
enchaine
.|v>,..,\
^oog
U-^\^
•.oi.:)a\i
La
lui,
parce
combat, et il fit
lui avait laisse
5
au Christ de dire
qu'il
a
combattu
Adam,
et
(nuptial),
pourquoi
defend-il
choses ».
vous,
pour
que
vous
ne
vie,
mal.
chercliait et
il perdit
comme
il
avait
perdu
..
)i >m ..\
que ces
pierres devienneiit
du pain
de
ses
soldats
donne du pain.
^/t
jJo
jlt
es en
mangc
et
Isracl
la
luttc,
il
il lui
que vit
de Dieu.
Cclui-h\ a
ceux qui jertncnt,
il
ilil
u
» Kt
il
prctoxlc
la
maladio
^ad)j jJ
^;
*
rons
manger
tous les deux'.
les
que
notre
.'^OuSfjSc^^
^CL^.
)m
vkO-:)^;
^HP^
nous ne pouvons
la
5
pieils
prieres
et
toutes
vos
demandes,
suppliez
toujours
en
esprit
afin
les
demons
part
de
Nolre
gloire
et
riioiiucur
dans
.)la3)™2>
.y>
Pre-
parons
donc
pouvoir est
courage contre
^K-^^
C :
^i.
AC
aiUl.
oo<.
par
envie
a
monde.
II
Vierge, pour
pleinc
femrnes.
Voici
femmes
enfant,
euvelopp^
de
langes
et
naissance
aux
pas-
(iisaiont
: Gloirc
d
Dicu
au
plus
/laiit
(dcs
'-.
misericorde
5
forme
comme des
cela etait vrai,
en
ellet
dirent
vm°li'V)
^lc>l\v>o
piqures et
ne
rusc pour
Juiis
et
il apprit ileux oii il cluit ne. (^)uaud il sut qu'il «^tait
n6 i
J^/ )j.io jJ; ou-
J^Jl-. )oO« ^4...^-.
convient.
10.
»
)i
»mi
t-»^^
Tas
deju
eprouvee
que
c'est
la
coutume
de
ceux
est
la
lutte,
il
vaincrait
Notre-Seigneur.
11.
pain', il
ponsa : « 11
*
est
au-
iu
dessus
de
la
psaume
f"'^
)iot-daji
.^o(a^^^/;
^^^Oo
)joto
jeune,
se
glorifie
Job
et
S(' tii
en realite.
Jette-toi maintenant
de
tue
de
dcs cmbrtciies i
rtivolation snr
sa divinitt'',
sinou il
ne convient
pas qu'un
de la divinite
que celui qui est partout n'est
pas jete dun
fier,
(Notre-Seigneur)
la
nuisible
vaine
.,
.^Oi!^
yjpo
ooi
vs/ ..»•»«!..
A.
tentation, comine les infideles, mais croyons que tout lui est iacile i
faire.
Notre-
: II cst
diges par nos mains,
des
prodiges?
a
m
enfin sa femmc elle-meme
(Pour)
tous
nfoi. 130
portion de vio, il lui interdit les voluptos qui nuisent
et
lui la
parce
qu'il
est
scst
ne se
Dieu
le
([uittc
uu ltMn|ts
oiK^^
)-^-«t-o
looi
^.iUL.Oi3
qui
soudrances
et
au
soufTrances sont utiles, ecoute
il
dit
:
JV^L^
^lioo
:o^«
"^o.
o« *
)fj«
1"
a.
Ics
vers durant sa vie; aujourdhui il marche
et
demain
il
de lui; il
pas qui maitre
va
remmener
est
prepare de vastes
greniers pour ses
dit
^ttnjcur^ rdt.aj3:\
011
ii
L.V
LUTTE
DE Notre-Seigneur .wec S.vt.vn.
1. Nous allons prcndre aujourd'hui, mes chers (amis), la troisieme cou-
ronne de
la victoirc
a Ii6
Moyse,
de
mcmc
qu'ils
ro(,uirent.
la condamnation
ccst
dc
vaiiuii lc p6che par

:;.
mort pour
vaincu la
aux
lutte,
qui
est
la
anodines
que
celle-ci.
de la nourriture
il n'est
;
t. LVII,
'^^^-.V-x^j

monta avec
qu'il Mt
moniafjiie*,
il n'a pas voulu dire que c'est Satan lui-meme qui l'a
fait
monter,
Seiyneur et dit :
parla
Michel
eceles.. t. XIII, Louvaiii,
>JUL30 .\sLl
I,. .,
)>1«
ypo
|K^w^; |la^;
pouvoir;
et
il
devant lui beaucoup
comrac
ne croyait
Moise
et
il
egyptieus jeterent aussi leurs
Satan
s'enorgueillissait
»
11 ne lui ressemble
pas en realite, il montre une apparencc trompeuse. Paul en temoigne lors-
1.
>&jo/o .w<ju.^o',j3
)1,.^^£D jo^JS^
de lumiere,
De memc
des justes, de
rapparence
a
eut
:
«
prosternes
ct
m'adores^
de
la
(vainc)
VS
et il
le
endroit. Dans les premieres luttes, Notre-Seigneur n'avait pas revele son
5
s'eloignM; mais ici, parce qu'il voulait
ravir radoration de son maitre, il rev^la
la
de
lutter
est
destine
aux
spectatours,
et
que
sur
Notre-Seigneur en
et
privatiou
de
10. Cest la
des anges qui
du
sa
rctribution
csl
tourmeute
*
les
JJ
idoldtre-.
Si
a Notre-
lui apparliennent
etre
parfait,
ensei-
tous'\ Satan promet le contraire
h
ses
et
pour
ses
serviteurs.
^-'-^^!
et qui appauvrit,
servir
autant
5
R
pas
avec
eux?
i,»
Y
abandonnd ' et il a
clous,
d'un trait il t'a fermd la bouche. Matthieu le publicain
t'a
Notre-Scigneur
K^wJla/
^cuti
dans tes
chastes de
coutume.
Pourquoi
promets-tu
donc
(amis),
la
terre-.
dans ton
(dont
il
dit
avcc
sa
:
«
v>;
.^oi
V^/;
^l
pour
que
mais
phctes,
10
monde
que
compagnon.
5
gagner et il le pla^a ^ Bethloem,
pour
lenr donna uno otoilo
Jcan, fils de Zaoharie, pour lcur sorvirdo
predicateur. 7. Les paiens disent
:
donner
discute avec
remode?
nous dolimitions
a
pas
condamn6 i\
la morl.
^^?
-^?
'^^
^30(
le
la niort;
celui qui
la resurrection
pour
toute
notre
nature
ea realite.
9. De
messe
(ippaScov)
les
moyen
d'A-
braham,
et
ici,
mais
ce
aniour, parcc qu'il con-
de
nous
i't
quand
bion
momc
nous
serions
vio-
^
.^
attribuee a leurs
A
III,
3,
p.
I'i3.
p.
151.
Proclus
(434
k
447).
De
nombreux
A.
monophysites,
par Mai,
0eo'j
x.vipuTTOj/.evou'
aoL^'/.(a(ii\nx
tou nv£U[/.aT0; eTVtcpotTr.civ ei
[/.ev yap
0£6; 6 TeyOeti;,
sed Deum incariialum virgo
est ex Spiritu
est
causaortiis.
Au
premier
concile
d'Eph6se
(431),
Cyrille;
au
concile
dc
Constantinople
(nov.
448)
et
au
II
a
un peu raccourci, dans
rejete comme
fausses et
les
Sk
(pupaQeida?
1257)
•flxouaOv)
ei;
(.Elure),
ecrivant
contre
Trapa t-)iv
ix) ev
Dieu :
discours sur la Nativite, mais n'est
pas
suivi
du
meme
179-180, de c
du
vm°
christologiquos
du
textes de deux
et
et
des
ChaIc(3do-
foi
des
Julia-
monophysisme
condamnc-
la personne
aussi,
12156,
pour
ror-
donner
pretre
Rappelons les
pape et
la Phenicie, en
hiver k
et
en
partie
en
les
d'AIexandrie (nov.
eccl., Louvain,
encyclique
de Leon
de Rome
stylile
Daniel,
dont
Plerophories,
les quiproquos
au 31
454).
517.
possossion
juill.-aoiit
[ou
octobre;
cf.
qu'il
leur
envoya.
Le
FOsroene et dc la Mesopotamie et de TArabie et de
la
Phenicie
Libanaise.
Lorsqu'il
y
Les
eveques
qui
s'y
reunirent
avec
par les
du mono-
physisme montre
a
d'eux, tout en se couvrant de
formules difTerentes, et k condamner le mono-
physisme strict
sisme tres mitig^''. On ne peut
donc
comprendre
en parallele.
Saint Gyrille
ment
et


524.
la riSsistance des monophysites a empechS les Orienlaux de retomber
dans les erreurs de Paul de Samosate. On
les leur attribuait et on
les
fait
Iorsqu'il
Dominus meus
expo-
suerit.
sed
Cyrille
ont
docunients dostin6s {"i
0.,
II,
diable, comme le
precurseur de TAnt^-
p.
1G2.
)oiJikil
jJ/
."^.1
otSto
corps
N.\TIVITE DE
nommer
Mere
et de tout
ce qu'on voit
et qu'on ne
Dieu qui est
c'est-a-dire
fut
rabaisse
par
)v^Kjo
.'Jv^ )i^^
et de la vierge
confirraer la
parole des
proph^tes,
saints Peres qui marchferent sur
leurs traces, et
enfante
un
fils
11
u
venir;
qui
a
: Le Christ,
qui est
tout et
qui l'avait
de cela, Gelui
sa misericorde ineffable,
*
et
15
de
livrer
inon
dme
etj'ai
le
pouvoir
wJla
''^.^^f
.•yotvi
•.)lo'i«^
sont
hommes, et,
captifs; Lui,
assis
gu^rison des
malades, les yeux
ouverls (i\ la
lumiore), la oonversion
la pierre
d'achoppement des
Dieu
divinite redoutable a-t-elle demeure
dans
»
nature des eaux ne
Egyptiens et ils ne
beauconp
(d'autres
comparaisons)innombrables.
Car*
lorsque
comparaison,
parole;
com-
ment
de
a
pro-
dosert, lors-
fleuves
et,
divisee; comment les eaux amferes
ont
616
adou-
cies;
d'eau. Mais
naturelle
n'ont
pas
)a^j;
,>j;
les
spectateurs
et
les
serviteurs
la
en aucun
la fin
son
paroe qu'il
el qu'il fut uommo
du
sur les deu.x naturos, voir In
lh6se
XI
du
Ge
n'est
etait, car
il
endura,
d'une
que
pour
nous,
MONOPHYSITES
(1

citalion
de
Dieu.
A
lui
gloire
les mdmes
(sentimcnts), s'il
vla^/
jLauoC^
.r^^a^xu
de Dieu le
Verbe
de Notre-Seigneur
le Christ
; et que,
)
^
dont le commen-
DES NATURES
II est deux.
est
temps.
Les
temps
non
i\
Acace
de
M(51it^ne, comme Va licril le scribo jacobile. Dans une lettre !\
.\lexandre de Mabbovijr
ch.
n^l>jT\
qi
"vo
^;
au
sujet
des
LES iMPiES.
la
divinite.
De
Leon
de deux natures »
^^
qui
1912,
p.
3.
La
/rdijjj^n Tvua
.')jea3o;ol;/
o<
VI.
N
)ooi
\
-^
»'«>;
et
sans
division.
n\ RIEN
F\IT
QUE, PAR HYPOS-
coups, qui
morts. II ne faut donc pas s6parcr celui qui iHait
avant los mondos
fm
semblable d un
et
in-
creee.
:
confess^ en un mot les deux
choses
et
de
celui
qui
napparait
pas.
1.
joa
1.
Loofs,
rEglise
je
deux natures
pas semblables
Tune a
lorsqu'il
lui
dit
et
montre
».)v)Ol
f)
II,
106
dit que lunique hi/pustase
d Jean {(l'igee).
sans
confusiou,
lcs
ii'a
pas
la
persoiine.
10 quelles sont
que
ce
qui
personne
nait
de
tombe
dans
PATR. OR.
^co rdflannrtiqr^ ^ti ^acD-iur^
^t^'
p
.'jJl!
dire>t
ils rdpondaient
eux, et devant les grands qui
ecoutaient,
et
confesser
une
termes
qu'il
faut
dire,
apres
Tu-
nous
vous
avons
de
pour
a
la foi.
de
et
possible
de
procurer
10
la
paix
de
eveques
qui
occupent
aujourd'hui
des
sieges
episcopaux.
ceux qui partagent le Christ en
deux natures,
10
leurs
adversaires
confessaient
d'accepter
pas le
)N_Vq:>.>^
jlo
.)jiQii...
jlj

avec soin en tout
heretiques,
les Julianistes
tourmente,
(pi'il
a
yo^
.lpo/«
4.
Celui
qui
Christ, fils
pas
plutot
qu'il
etait
et
Ciirist a la meme
mSme
VIII.
les
du
 
2,
784
el
785.
et k
ct6
souffert
iulra-n^r^-n
rhumanite n'est
pas la
rejyrochc d'acoir
aoa tj^^
nomme Christ
natures, elle n'a pas enfante le Fils de Dieu (la
nature
Fils
qui
lui
n.^tures
'
.
^
rsl^^-nifn^s^r^-n
ji;;
1
N«\
siibir
aucun
dommago
h
Tunite
du
Fils,
T AUCIIEVEQVE d'AlEXANDRIE;

11
10
.)oC^
;^o;
^oi
ya.^
.\iy*
Saint-Esprit, choses
orthodoxe,
pour
que
Voici en efTet que tous les saints
eveques
des
eglises,
et
Notre-Seigneur Jesus-Christ, jusqu'a nous, confessent qu'il
est
Dieu
suscita
vivants
et
les
morts.
Quant
explications qui ont ete
proclamees par les saints
jusqua
notre
epoque,
de
reglise
K
foi.
11
que Celui qui
apr^s
Tavoir devoile
ranath^matiserent
qui se
^-^
)la^^.x^O^
qu'ils
etaient
etaient au nombre
(alors) par la
parlout les
Sveques de
s'etre contredits
locution
« deu.x
personnes
qui 6crit pour
saisir.
blasplieme,
lorsquil
des
pas
5
qu'Erainanuel
temoignage a son
sujet les partisans
disoiples, les-
la
10
do
«\
d'alors,
les
est
ceux qui s'etaient
ces impietes avec lui.
ou pensent deux natures
apres qu'ils se
p.
445.
vous
salue
les os
de Dioscore
second
concile
dliphese.
Oi^;
saints
ceux
au
Eutyches), a la

v\..5
disaient que ses
enseignements de la
: Theodoret
communion
de
d'Ephese
d.
la huitieme action
eu
raison de dire deux natures dans un Christ et ils se depo-
sorent
et
il
a
5
a
separe
les
membres
ils
renvoyerent
He-
7»'«
ilo
Uloscore
esl
oncoro
daiis
plusiours
rOcils
coples;
cf.
ibid.
^;
.;
ils le
tete soit
que
le
temoin
regardera
personne,
i\
l'imitation
du
Clirist,
:
comme un arc'^ contre
anathematises
de
leurs
propro
^i/ ^OuJ^;
encore
qu'il
vous
enccre,
lettre aux
des
ensei-
i^
gnements
.)'l/
jj
l-aJL^
'Vj"/
.
)-.itimn\|..5o
egorger et pottr detruire'
et
mauvais
parle
Mais si tu vois qu'iis sacrifient, qu'ils perdent
et
qu'ils
pers6cutent
les
mem-
e
inis
k
mort
pour
le
Christ'.
Bienheureux
du scandale, du sang (repandu)
et
de
ete
mises
audacieusement
dans
ce
10
doine,
ou
amene aussi la
question
et
qu'il
ne
pouvait
mSme
d'Ephese,
et
fix6es
^•^N^
)ooij
o6i
vjoo
lopposition, la scission et les
divisions
K
loi.
13
do
la
Dieu
tout
a
la
iin
sentiment
or-
thodoxe
jusqu'i\
ce
iiii
Neslorius en liruit
lirre dlleruclide, Paris,
ville,
'l'luH)dose
a
sacrillo
y
. S
^jX
jusqu'a
main-
et
des
exils
et
des
spoliations
(tout) ce qu'ils
et
vieilli,
ce
qui
but poursuivi
saint
(ti(xi-L)
du
concile
:
«
rC^fif>*y3oL
Le
HENCONTRENT SACIIENT
LES
EGLISES
DE
DlEU
LES
DOCTRINES
'
rordre des
\'alentinien
et
Marcien,
s'est
a
defini
ce
par la version
12t>-l'iO.
.Syriura. LoipzljT,
)i°>\oi
foi, a dit : Je
la verite.
concile pour
pasteurs des brebis du
Christ;
et
qu'il
le
zele
du
pieux
d'un
sentiment
orthodoxe,
et
qu'il
n'avait
pas
la
ainsi
et
des
empereurs
orthodoxes.
Siiite
(le
do
1.
M6me
la
iKMinition
de
Chalc(?(loiiie.
TimolhiSc,
imlis-
pos(i
sidition
monacalo
ct
de nonibren.x dons repandus dnns sun entuuraKo puur rnmener A d'uutrt>s
son
la
par vos
mains contre
non seulement vous
',
taisions.
les
pienes
parlcraient'.
Vous
revonnaitrez
lorsque
sa
paix^?
car
et
la
elle
pas
le
Christ,
et
que
elle
changements.^ Vous faites
Chrisl.
foi.
Nous
ooot
yOOuK-/;
-oi
)iQJLio_oi»
)jsa-,^
w-iooo
.mm
)j>a*.flO .-^oCSSs
40
V"
a.
lieu
d^abord k Ephese, dont les chefs etaient les (hommes)dignes de memoire
saint
Celestin
^
foi des
foi
des
•>too
)-.'t.^
le Christ
ont
)).^
les
Et
k
cause
de
ceux
qui
d(Jfinition
K^^M )jLJL^^«
yoloooA
de
Nestorius
obli-
iM*
imMiliciiiiic
|iliis
liaiil.
p.
'3'.!2-223,
el
)iiaA
lo^
^X;
'
ceux
la
ou d'une autre
ne
conilialtie
'lue
puur
le-
^Vl
)lQ-.t-«*
^t-o ^-^
|J
Tavoir me-
dc la
ils
tombent
runiou".
luuitiu
ui
apr6s
luniou,
car
I.
le
et
le
'''
sa divinite et consubstan-
seul
et
meme
Christ,
Fils,
Sei-
gneur,
Fils
unique,
en
la
trausuiis.
porsonne
do
moutror,
c'est-
u
a-dire
(rooriro,
uueautre
ils seront
anathematises. Fin.
tu ne trouveras en aucun endroit que la mort soit
attribuee
a
Dieu,
mais
ou
au
Seigneur,
car
seuls a dire
^;
^^>w^O0
Tune et
nous
5
raconte
il
dit
Christ, a
aussi enfante
est
fds
aussi
lorsqu'il
1.
a
monophysites, au contraire,
loc. cit.,
dlsiael;
celui
qui,
par
son
apparition,
est
impassible
clief
des
pretres
la
saiute
cela,
la
predication
aposto-
lique
teurs de rEglise, les ont anathematises. Car Felix, digne de
sainte memoire,
des
machinations
de
ceux
qui
partagent

et
les
siens,
 
(l'ailleurs
lou-
jours
dehors de lui.
de
,
mtVviL
i
).a.oi«

AU
CONCILE
REUNI
A
ChaLCEDOINE,
convertiu
iie
grecque se
:)<...«
etrang-ers
Juvenal ii cause
de (son) sentiment
do
ma
maiu.
XIV.
Notro-Seignour
ot
i,M..<2Su.
^J^
.^aco2
^JQ^
a
ou
lieu
tou
Saint-Esprit
benis-le,
svmbole
divin
de
la
^^?
oot :)oC^o
.)oi^;
lequel
aussi
nous
Kils
Saintlilsprit
Marie,
soulfrances
quil
de Diou
ronlre, iiifnlioinufxplicll»'-
m i\o
o/
pensent comme eux,
et le tome
RuSTICUS";
ET
demande
fais connaitre mon point de
vue en temoignant
voisines,
482, a
transcrit, tex-
monophysites
Michel,
Chronique.
11,
126-130,
cf.
une
derniere
tentative
loc.
cil.,
p,
22;
cf.
infra,
p.
244,
K_Jb*
)
de
Notre-Seigneur
Jesus-Christ;
a
dirc
deux
natures
11 osl
jours
du
tl
monde
);oi
de (sa) pi-edicatiou.
de
la
foi
? Pour
moi
5
devant le
la
ioi
orthodoxe,
^l/o .yOo«!^
^^
)..3..3V
Notrc-
E
loi.
02
condamnation
ceux
qui
: les orthodoxes,
c5taient persecutes
deux natures, dans
pas ce
nu'uiie
eoudauiii.i
tioii
ful
porl(-e
cii/
^;
les
souffrances
etre revclee^;
de Nestorius invoquenl aussi
oe m^me te.xte,
pnr
noire
mnirtre
offrir
iin
Notre-Seigneur".
Nous
lcur
demandous
:
«
ont
.0«.^
^^SiOo;
ooi
>&aju>
x/*.^;
.)loJLaL.3
'^^^-.al
selon
en lui et
rlon ile Tiinolhee
^-^laa .)jo.^o/o
joC^
oiia.-.;o
.jJi^
ne en
il
il est
ecrit, par la volonte de son Pere et par sa volonte et
par la
le
Fils
(est)
rossence,
le
)jOI
et
aux
Samaritains
comme
Fils
le magi-
cien, et
II disait
que
le
monde
veiiait
des anges, et (|ue le Clirist (Atait ue de Tiiducation et du
progres
dc
la
coiiduite.
IkMarcits. Celui-ci trompait k Taide de beaucoup de noms, en
se
servant
de
la
langue
ni
de
Marie,
et
il
uiait
i">
engendres
loc. cil., 5)1.
IV, xxix
voulut
de
ce
elements
ct
met
rAncien
il
Notre-Seigneur
semula
un
Nalentiii, et
)-*-» oC^
-oojo
Oolo
.^-i-l/
)v'-0
^CuJS^.*.;©/
Ic feu, Teau, la lumi^re et le vent. Cest
de
n'a pas encore ete
telle
maitrise
nioins
chasse les
et entre
vctt-
ment
et
et
ellc
a
rapport
Thcure
de
Jupi-
tcr
doctcurs
des
lo
^glises,
jusqu"an
tcmps
dc
Mar
Jean,
senrichissaient
ct
prolitaient
de
scs
ccrits,
c'cst-a-diie
rccucillaicnt

lcntcnd
des
apAtres'.
ouK->/
^^JS.:io
)ji;aj3;
\^oi
.1^
:
simple
homme
et
qu'il fut juge digne de la gr&ce divine; il le faisait
commen-
cer
a
et chantaient (des louan-
ne

k
.
)«a^
la jeta
creer le moude.
le
la iMati^ro
chaugeiit
de
corps;
quo
o'est
en
apparonoe
ot
losoi
))'«^«>
).X.<uo'^
K..^j;o oo( )1^',..2 )..wi„*.jl^;o .)...w.^jl^; ooi
)3aA;
de
crea
plus,
renseignant ainsi :
en le
y
a
anges est le
dissout
.ia-^V^
)->->t-0 V^/
.OltC^^OC
et
que
que
les
soixante
»,
Saint
luMVtiques, ccii', tn iiu
sainl Kpiphane).
do ((iiilinuco
uioins
quele
Saint-Esprit
V-3
OL^
de
Notrc-Seigneur
etait
celeste:
la
resurrection
et
dWpollinaire,
i„
cest
lcllic a
naturcdivine et, a
cause decela, ne
II ecri-
cette opinion et il Tappela du
nom
de
Ilierothee,
maitre
de
de
saint
Hie-
15
);'t:^
parce
quelles
cor-

Dautres disent
(une) naturo.
los
Alaius.
l-ics
Ilebraeus,
il
y
avait
prorcssaienl cerlainement plus. Quant au.\ sifecles
precodents,
les jacobiles et les moines de Mar Maron,
cf. BaUetin
.loan Maron,
cf. ftevtie
est
non

snnt
ces
daienl-ils la <loctrine monothelite?
leurs
causees
par
les
aux formules licn'lii]ues.
on nc trouve
trouve
encore
est
.
^.%^'t
|^o'fO
.
du
ol
iullHilac
llccntlne,
de Tannee
zodiacale
tout homme,
monde
sont ofTcctuees par les astres et non par la Providence
ou par la liberte, mais
hien
Dans la seconde
partie Bar llebraeus
p
.ju/
|^^;
.
«•^
^^
^^^^00
.
exaltatur, vel in
nuil).
soit le suivant.
cum
eo
1'uerint
collocali
o,
ibid.,
III.
5.
^o>^
|Lq:>.^^^
que si un seiil
fait
le
mal
mal
pas
est une
dit
la
lumiere
est
causes de ce
veritf^ qui
est un
cause
de
opinion
et
quil
renverse
c'est-a-dire
ou
la
a
bien
ne
con-
lirmanl
dc
lui-meme
cctle
objection,
en
aussi les
fait ou sans le
la qu'il
fait
les
actions
reiiarder Viniquite.
coup,
est
de Nestorius,
cf. 12.
a
Constantinople
apres
la
1.
Nestorius
possible que la
avant
visee par Ebedjesus;
le
sm « v»» o
^^a^Jt^Q-flSo
^SVR1.\.QLE,
chef des
et dii reste des freres qui participent au mystere de
la veri-
aveu-
p
gso.
10
la
•yoaK
i..;
v>
f.^
•'«.«»',:
demandais dans ta lettre k etre renseignc
sur
Nestorius
qui
fut

un
vu)
10
que
de chez Dalmace
que
les
Antioche, Neslorius avait (•U' LUiulianl el mnine liu couvenl (llOiiprepios.
11
iVril
nifme
(iu"il
y
pelant N.
parini les
mission
urcheol.
frainaise
faire ttispaiailiv ce
2y2,
p.
41«.
t-^^1/
•>o .000«
^..^.s; )jlj/
uu mot : (nous avons
lettre
pour
apprendre
le
mode
de
avons
juge
trouva pleine de
dereglement au sujet
de la foi :
les clercs s'arrogeaient
un mot,
*
la ville etait pleine de tout desordre. Certains, du parti d'Arius,
songerent
p.
kai.
dehors
if.b.0
..«01
^^°
)
clercs
et
peiate
au-dessus
.).-J^'0^ o-flQJ
.^o^l;
saints'.
Elle
L'erape-
l^v.^0
moiuent
de
de
Ronio,
liomme
pou
instruit.
k Eph6se
que
maladie
12. II
tombeau
d'Ablja
du chemin
revenir,
je
desirai
O
I «
^
)jii3iaa
vV^
f
serment
5
chose jusqu'au
butin, Notre-
Seigneur sauvera
)oo(
V^^;
o6(
Lorsqu'ils 5
en Fun
deux, fut
gain et
habitation,
git dans
h>s
en oot
Kj/
)ooi
»
ne sais
etait
dans le monastere jusqu'4
Ils
le
monastere en portant le
tombeau de Nestorius, et
lorsque
p.
C5r..
Fin
date de plusieurs
\
des exemplaires
du ms. aild. 1975
{clief}
heni
ile
Mansoiiriiah, biHi siir la rire du Tigre, au~dessus de (iozarla
Zabdalla, el il
est sur la
de
surnomiiie
>-J>^
t^^,
Nativite de
au fol.
fol.
1',
est : «
voir le
(1907),
manus-
crits
de
n°^
46,
79
a
rol. 'Jiy-^.'!."!,
lol.
lB',i:,
renfcrnie
aussi,
fol.
'i(Js
les
siil^clo, e.\pose
comnio
fa
lait
liarl.iadbesabba,
1.
l'a composee
tances,
car
le
.)
mol en uiarsjo
par
.vXDoio;)!
devant
ce
con-
templatif
celui-l^, Thcodore
de
il fut instruit
•:'0(
et
011
il
y
avait
des
en
troubles
et
des
controverses
contre
des pretres,
de
:.
vinrent
ct
de son tombeau.
priere
trois
jours.
)-iJU^/;
Oiallin,
cl.
demauda : «
Que
lui donna
Nouveau et de TAncien
la
le
second
catholique
avait
lleftie deiOrienl chrelien, 1,
(ce) discours
et
il
t'arrivera
*
lettro.s
et
des
ecrits
trompeur fit
iSestorins
(y)
vint
foule {o-/}.oc,),
.vm
il
m
^ia/
)fo(
JLooiii
•..wx
m i
ordres,
et
((rfxai;)
avait
eu
:
«
Sestorius
ot
sos
soNm
ioA o£o
monta"
avec
ses
mauvais
compagnons,
la ville,
et il
entrer les elus.
impure
avait
fait
recouvrir
toute
.o(N
m
jusqu'aux
confins
signature
et
pas
suivie.
1.
'.
»
avec
les
fds
de
Cham,
peuple
de
Todorat '.
desert
et
qu'il
t.
X
(1907),
p.
173
(d'apres
que
honnnes, A
grande recompense,
d'argent pour les moines
il
leur
ot
leur
dit
10
monastere,
ils
s\n
ct il commcnga k Ics
inslruire.
comme Ta
doctrine
cherchez et que
et le
desir de
bouche,
Quand
avec
;
vinrent
faire
le saint
•>oi
.oj
v> \
reposerent.
II
arriva
Comme il
de
et coinmenfa
)
«
Alors
il
veau) Testament
(du corps), runion,
lui dit combien il etait odieux,
et quel
mal insense,
sur la nature
pardouno.
le pressa
:
tombeau
que nous mettons trois croix
pour
distinguer
ces
strophes.
K^^«
.)^Oo;
...0('.->
s'etait ainsi passe
(divine) au-dessus
la
dispute
6
grand
parmi
vaincu
le
furieux
rebelle.
Bienheureux
es-tu,
fait sortir les
doivent
A foi.
procurer
des
Cest
robjct
de
poursuivie
nommaient
k
eiidroit k
des prieres
Paris
(8
sont
conserves
a
et 345. Tous
U^i
et du
qui porte
de
Moyse
et
par
je
te
lie,
esprit
a
Nil »,
siipra,
p.
les
'vaSl^
1.
Notre-Seigneur.
Amen.
Au
je
Au
nom du Pere, du Fils et du Saint-Esprit. Seigneur, que
mes
oppresseurs
sont
nombreux
! Nomhreux
maladies
des
gens
et
du
homicides,
ibid.,
p.
55-56;
certains
recouraient
aussi
rois
et
sera
lie
envers
celui
qui
porte
ces
lettres.
Amcn.
niais nous avons pousse jusqu'au
nouveau
titre.
1
entre
crochets.)
U^*
L'7„
.i;i„
'M.,
ad theologiam
Jesu dicta
vel aJj eorum
ad saecula
vel X""
vel XI'""
e
nativitate,
per-
tingunt.
aut
point.
Car
il
citent
de
TEvangile,
asseronda
quomodocumque
ab omni
tum loci quae
in quibusdam Jesu
nobis
significant
transmissionis
sed
mohammedanas ore tan-
tummodo, non vero
evincenda dubia quae
evidenter a judaeis
christianisque constat moslemos
dixit Maliomoto
historia
sertim,
iiiimicissiraus hostis totius christianae
ad
consilin,
ut
christianura raonachatura taxa-
mosleraicae
religionis
exercitationes
jungebant :
eremi-
ribus
se
devovebant.
A
sin-
gulis
desinit esse talis et
ac
sur
ciiristianum
mo-
oxempla mirantes atque
fucrunt,
niiiil
aliud
hi
Mahumeto tribuebantur quae
apocrypha,
ejusdem
Doraini
christiana'
verborura
multiplici origine;
1914),
pag.
12-16.
'2.
lucem edere,
Deo adjuvante,
spero. Interim,
rahbinicas,
scilicct,
aut
graecas
prae-christianas,
vel
(>tiani
huddiiicas,
(juae,
1.
and
hoc
in
opere
collecta
(pag.
144)
P.
Cheikho
Exempli
causa
potui).
congerendo),
sed
caeteris
scriptoribus
continebit),
verborum
libris
per-
ex caeteris
quidem facultas
et arabicae
in decem
ut
patescat,
de oralibus
paulatim
attingat.
1.
atquc
virtute
pro
tam
magno
bcncficio
justas
orahbus scrip-
tisque in
fruilur intui-
al-Jildni
aiictore.
Editum
Brockelmann,
I,
154.
III.
voluminibus.
Auctor
Chr.
nat.
Brock.,
vcro operis saec. XIII a
Chr. nat.
Brock,, I,
fuerit et foc(M'it
Matth.,
V,
19.
classiuin virorum
(quem Deus
(saec. XV :
testimonio
Wahab
filii
ciiim
digni] : Guicumquc
\
ergo
eam
proposueris
coram
Eslo
»

Deus benedicat
corum colla;
margarita, et
senliunt
tjuain
voce
IjJj'
tionein,
iiaiii
facilo
]K'rnuilaliir
'_»i.u
in
I
jJju
rationemj operis sui! Quomodo inter sapientes
ire-
censeiuius
erit
illi
largitate praedili nec
ipso hortatus
fueris, tunc
et gentes
voluerit, cum ipse luminc
.Ur
It.,
I,
375,
1.
Moysis
o\
Ifsliinoiiionuu allendas
illiid sinni! assignal;
invcnilnr
Kvangelio, adscriplum. l^n ejus V(!rba, aucloris
Ir.
scilicel,
iiarrationcin
Milik
referentis :
dam
christiaiioium
adhuc non
facisy » Alibi
invenissc
senlentiam
hanc
iii
Q.
iuvcuiri.
10.
salutet!) :
peccaluiu?
sunt,
et
Deus!
ut
inimicus
mcus
de
malo
meo
i\e [permittas] quid
dominicam
Ibn
'Omar
(saec.
pane
Joannes
Zacliariae
lilius
(quos
vigiliae
illius
neglexit.
potentiam ct maje-
semol
lautum
Para-
corpore
exiisset;
ac
post lacrymas
in quibus de
illud
prodessct.
omissis vero lectionibus in
Ktsi
jcjunavero
loto
dic,
niliil
(unnino
manducans
neque
bibens ;
ctsi
[scil.
mihi illud prodcssct.
iicmini dubiuin
et
multipliceut,
quorum
denique
vobis concilare queant.
»
Nihil aliud huic verbo simile in evangeliis invcni, (piani illud Joann., xv, 18 sequ.,
dum in sermone post
imprecationeni
Iianc.
te
non

praecipua
denique
analogia
diabolusj :
loeo vestro [sistite]! »
Adami tentate [eis suggerendo] festinatioiu
in
et
levitatem
natuni eir-
duxisse
li'.
hunc
Algazelis
locum
explicantis
perpendas,
proculdu-
bio
— 5°
Dialogus
Nicodemi
(loc.

prolatum fuisse;
mores?
et
respondit :
ex
mercati
plebecula;
in
generali
idea
sive
quadam
coelis
'j'u/;/i,
appetitus
scilicet
concupiscibilis
21.
/Jili/at citalur,
:
«
«
in
 
Christi, imo
ut
([uidam
eromita,
nondum
perfectionem
signum
est
evidens
de (pio
verbo dixi.
tcsti-
traditionuiii
nioslciiiicarum
fabiiiosa protracla
dicitur ad
Sed
liis
vere
fabcllis
amplificatio
([uaedani
iilius
falsis
testibus
illud dominicum a[)ud Matth., xii,
3t),
vitam
aeternam?
explicat,
nain
verbum
cliam
auctorc
assecutus.
(juodam
audivisse
ut
cui ille di.\it :
Anas
(j-

odor! »
Reposuit
ille
nisi
<(
quiorilius scio.
infra
alia (juae postea
haereticorum
_.=*^lj
j^\
»
I
r.
iiionct
adduci possc
Abi al-Dunya
(saec. IX)
apud Arahes
fluit
aut
saltem
exudat.
dicitur
verbum
hoc
iitU
i^
^jj
L;a)1
thesaurum
humi
prostravi
pro
me rcsurgere faciatis; mundi
mundi etiam
turpitudo [talis
in
eo
[vitam
agite]
et
pronum
ncc reges nec
Quod
ut
ajiunt,
joannenm
est
sicut nec
permanent aqua
profertur, dum de hoc

Matth., vi, 24
supplet
eam
addendo,
salutet!)
»
 
seq. ct
n" 40
fulmiiie, quadam die, vexatus, quaercre
coepit asylura
O
til)i dabo,
quas manu
erit,
sliulioso
noii
sit
(lillicilc.
sacquenlia :
I
de
hoc
verbo
praeter
quam
quod
apud
Ltic,
vi,
Jls
domini-
[Jesus discipulis suis] :
[ex
eis] :
quentij in
dum benigne
quorumdam
angelorum
[qui
quidem]
saevi
eis, mihi
versioni latinae
n.
70
et
80.
40.
ille
qui
aedificabit
etiam locus

xii,
Abi
habel otiam
possidebat,
Jesu
nempe
filii
Mariao
solis
quemdam
librum
Jesu
apparuit, ita
ornamen-
tis;
di.vitque
interfeci.
apud
Q.,
Mahometo
prohitani :
u
Mundus
repraesentatus
Mahometi,
uti
videri
fas
III, 395.
rente, quam
supra adduxi,
supplem., pag.
titulus
Remains-
uf
Gospeh
and
sayings
of
JaAjuj
amator devotione non dclectatur
bestia, dummodo
Dinar (saec.
VIII) tribuitur.
non modo non satiatur, verum eliam quo plura
possidet
E.\ paucissimis
Fabricium,
Cod.
Apocr.,
III,
.'594)
drachma?
locis,
2o-2G ubi
responsione
adjunctis conjici fas
est. Agitur imprimis
J.
aJI*
JJI
olL
»i5'
^JU.
bilior
auctor
It.
tradit.
Algazele
ac
«
[in
iidei
est,
et
-
jv
(»S_;i-LL«
J^ ->^,^
1»^
It.
,j^\.
(c)
iLsr'.
JU
dixit
desi-
deriis
remanet.
eis
qui
[scu
nutantium
interiora vestra scientiae
sigillatim
tradat
ignorainiam
vestrara
vobisnietipsis
(locis
citalis),
apud
Q.
iisdem
plane
verbis ;
excerptus
videtur
ab
Algazele
ex
operibus
iiiiiil
tum
Moysis
censiones
edocti
estis,
sed
non
religionis
onus
quidem digitos levando
loca Matth. quibus
2-i^_
JU.

(_j~^
:
«
:
nis,
super
per Ulum
venia!
tres
pervenerunt
et
cum
voluissent
faurum]
illi
arripere
ipsumque
occidere,
ipsos esset
sunt.
aurum illud in dosorto, et juxta illud tres illi homines
inter-
fecti
jacobant.
Transiens
ig-^
ic-As
^^»y
LJi»i Jls
^
L»^
/.UiJI
^3
Juo-1
/.UJI
^^^^^w
k_jti
transierunt juxta dorcades
»
ille
panis
ifurator]
dum
pervenerunt
in
quam-
dam
»
discessit.
Remansit
ergo
homines
thesauro illi soli
illum pertransiret,
Jesu
(quem
dixit :
[haec
ad
socios
suos
Deus
ita inter se dififerunt, ut ad quatuor tantum familins (ut
aiunt) rcdigi
longus sit
scilicet,
ulpote
D'IIerbelot,
Biblioth.
Orient.,
supplem.,
230
b.
anglico
poeta
scriptis,
inve-
addat
a~^
in
nota
6.
salutet!) :
« Cum
dies
sit
in
quo
barbam
suam
[aliae
oculos
suos
coUyrio
illiniat]
sua
jejunans. Et
[eam] abscondat
a manu
apud
illi
possidebunt
locos
elatiores
in
die
judicii.
theologi, Khaithama
filius 'Abd
prima
.Mgazelis
:
«
\i\
»^UI
aJ^
X.
tu
autem
«
petra.
Ita
franget, ille
et protegetur? »
(|uamvis
ejus
sensus
(quod
scilicet
humilitatis
in
simuiationc
consislat)
optime
cum
et
christianis,
n"'
supradictos
(b)
^
JU
j6
JU
LjjJI
j
^-^j
^5~^
sua abstinentia
iv,
10)
verbi.s
non
omnino
dissimilibus
ab
eis
quue
viii)
censeo.
Cf.
« Dictum
est vobis antea quod dentem pro dente et nasum pro naso. Ego
autem
contra : quicumque
millia.
inndelibus
lllioruin
(qui
exaltetur!)
partos.
Apud
It.
et
M.,
8,
2
II,
22,
cap.
XXIIl
120,
342,
praecipua
apocryphum
autem
latro
unaque
cum
ambobus
»
vertens,
salutet!) a cujus latere
relinquens.
Tunc
Deus
eumque
salutet!)
delevi. Pro-
de
illius
fontibus.
evangehoa veritate
sahitet!)
et
cuin
co
(luidain
sanctus
homo
ex
sanctis
tiho-
ruin
Israil.
Ambos
^aUI
c^
jLCi
iy^
if^
bJjti
^,01
Jls
<c.l
JUj
:
[a
Deo]
Sanctam, iliique,
ego autem
filius
Anas
(saec.
uti
aliisque
Xotandum ost ea quae narratio tradit de acerbissima tam devotorum
hierosolymitanorum
quam
ost,
"
christianos
Joannem propter ojus in patrem obe-
dientiam a Deo laudatum
7S.
70.
vero ad
apud
IJihjal,
tum
apud
quemdam
Sed
ct
nigii
coloris
dereliqui
» (^J->-M
Jj'')
siniilia
esse
videnlur
sensus
loco (sed
Jj^,
J
JU
Jij
habeo.
» Erat
autem
omnium
Q.
Algazel
quippe
demonstrare
intendit
nec
obtineri
ab
hominn
pariter
potest,
corde
Dei
amor
j^cnere.
salutem,
dum
e
contra
paupertas
semper
ac
sine
restrictione
laudctur.
In
Mcssias;
ij^'^^.
Auctor
vero
Q.
apud
It.
addit
U.L)!
JLi3
sJa-i
^lc
« Mundus pons
quae illic
crgo
stetit super
ponlem quemdam
in
Iritam
et
publicam
struun-
cum
Malth.,
rerum paucitas.
a
variis
aucloribus
quidem
recentior
quam
Anas,
occurrunt :
1"
per
synonymis
substituendis.
2"
quae
tradita
filio
«
matutino
originem
:
«
equitandumj
ut
scmetipsiim
Ih. quani
assignatur.
modo perhibetur
quodam
19,
praesertim verbiim
fugiendam.
It. ciHcium illud
It., narratio etiam
r.
occurrens
et
umbra parietis
iiominis cujusdam;
:
«
Non quidem tu a loco me dimovisti. Tantummodo me dimovit Ille
[.st(7.
cujusdam
ad perfectissimam
hujus mundi
bas sylvestres et panem
tum inveniri apud
Jesu
discipulis
quidem
omnium
sublimior
fuit
ille
singuli
Laertii
a
superlluis
epilogum additum esse,
quae (|uidem addilio
omnino deest in
objectio sive dillicuUas
sicul et
boum
atiiue
onagrorum.
83.
,UkM,
>L;^!!
in remissibnem
idipsum verbum
iiiobe-
dientiam
[adversus
facies erant quoad
»
mutatae
eorumque facies
vobis donare.
erani addicti,
creatam
amatis.
confectis
« Quidnam
est
quod
[vultuum
vestrorum]
gustabit
lin
actcrnum!.
dici possit,
lioneni
oninino
quoad
tum
enim
ex
se
ipso.
lum
ex
adipiscendam
prodesse.
Profecto
omnilius
christiano-neoplatonicum
sapere;
ut
enini
a
Clemente
Alexandrino
in
385),
malis
abstinentia
propter
meluni
neque
propter
spem
promissi
honoris
clementina meute,
propter
praecepta,
sed
is est Dei aniicus.
pluries
Locus enim primus (Ih.
propriis, sed ex doctrina
esse
vestigiis insistens, platonicum
amorem gratitudinis ponit.
modo
Psalmis davidicis
!).
»

ait
Al-Mosunna/' sive
a
quodam
tra-
128 hegirae, mortuus est.
eviden-
tissime
commoditatum
renuntiatione
hujus
loci
pedibus
semper
ibat.
dominica
aliqualiter
J'-s-l.
fS
'-jisr^
tuum,
quae
aliis, antiquioribus quidem
novas lectiones
easdem
latinitate
donare
praestiiiitissimns; Deiis
tam Veteris quam Novi
complures
scriptores,
eumuiatas
«
».
medicos
hemiplexia,
vox
^U
eruendum
censeo
non
^y}
et
ultima duarum,
Jcsu patratis contactus quidam
eo
amato
occupan-
dum.
sese
»
dominici verbi
quidem attributio, uti mendosus
Pauli
doctrina
/*
Conferas
praesertim
v.
13
quod apud
totiiis
paragrapbi
in
(|Uo
seipso, sed] uti
quideiu
[cum
ipsis
participandum]
quae quidem sic se
in cujus
est
dicenda.
Alga-
X,
26,
8)
qui
dixisse
traditur
exhortatione
i.!3t
~j
lii., It. et MA.
[Jesus] :
suum opus laudetur.
tionem
doctrinae
cvange-
lica
scriptoribus
moslemicis,
.\l-'Iraqi
scilicet
et
Al-Taberani,
qiiorum
posterior
sacculo
sit meditatio, cujus denique intuitus
fluxus
sit
esse
quidam faciat
uti a solo Luca,
»
atque in
veliementer excitatur. —
-<
«
Oyayna
(saec.
IX)
Jesus
prolatis apud
Tunc
quidem
cognovi
-^
horribilem,
magnam,
cariosam.
calvariam liano loquola
»
o^f^J
die per Vallem
factis, liora vero
fuerat
a
nonaginta
et
qua-
denique deum
caput
te
adjuvisti! »
nec
spiritus
qui
annos
 
mei aditum.
Vox tunc
^^i
Aji
^,>^U)1
Afcjl^
^
(quem
Deus
salutet!)
mortuus
ergo Jesus
itaque revclavit ei
dixit :
nasti!
» Dixit
super quam
nobis
revelaret :
nos
autoin dio irruorunl supor
ustpu'
dentibusque
suis
Dei et
ad
me
portis
paradisi
igitur, o
Spiritus Dei!
gavisus sum;
ut] haec omnia
habita-
torum
inferni.
Cuinam
est
supplicium
([uartaiii
[sril.
aiigolis]
est
[oalvaria]
en
(suli n°
fonlibus moslemicis
(edit.
Cahirae,
1329
hegirae,
pag.
22),
tandem
portarum
ms.
^j^r^
j=-^y}
^V-J'
LJj
.L(^
De son
Perses
encore les
Perses, qui
avaient repris
pour son
successeur. II
'Arbaye
tueux ;
a
Nisibc
la
choisi
et
consacre
eveque
d'Arzoun.
Le
roi
Hormizd
sur les
mouvements des
armees grecques.
dc
Seleucic
{Al-Maddin)
et
lc
parent
de
de
rendre
compte
de
la
situation,
onlonna
metropolitains.
II
Ics
lit
de consacrer
Is6'yahb patriarche^
llormizd
(579)
(581)
('Amr,
6d.
Gism.,
p.
i^
j5j\
'S.j^
radministration de son
Persans.
nous en
Is6'yahb
Jacques, parle
le saint
sacrifice de
Euno-
mius,
(voir ci-dessous,
catholicos Isoyahb lui
du
musc
tente. Le
soldats de
actions,
avec moi cn
dans
Enfin tu as
qui m'a
sang
ct
pour
cclui
je
faisais,
je
qu'elle avait construite a Hira, dans le milieu du choeur,
oii
ou
eleva
pontificat dura quatorzc
aulres^

sur une ambassade de ls6'yahb
I aupres de
triomphe et avait envoye uu
riche butin i
en
recompense
de
:
«
mit
Tarmee
en
partit pour Rai
et
limagc
de
Kosrau
Parwez,
fils
de
Hormizd,
et
et
Fhonora-.
communaute,
pour
les
moines
qui
s'etaient
groupes
II guerit
afTaibli,
il
confia les afTaires k Hnanis6'*, qui fonda un dans la
r6gion
de
Dara-
bad.
Apr6s
Que
Dieu
Ce
saint
6tait
nom
de
Ninive".
Sa
m6re
etait
un fils, qu'elle
appcla Bar "Edta,
disciple. II s'attacha
ses
legons,
y
vivre
dans

celui-ci, accompagne
de plusieurs
moines, se
sa
com-
memoraison,
sortirent
de
cecouvent;
lire :
dnouta
ou
dyouta,
etc.
nourrissait des
dirige-
eprouva vio-
les prophetes
et les apotres ont ^te mis k mort et que les
martyrs ont
le
soulfrir la mort. »
Aussitot
qu'il se leva (de sa priere), il vit un homme entrer
chez
que c'etait Tange du
la
veuve.au
temps
dii
prophete
droile
et apres lui
avoir rase la
et
et trans-
de
sur
ses
ses
mains,
voulut

XCII
de reliques
fonctionnairo, qui exprima
sa
cellulo.
le
cola,
s'y
iiabitant de Tegrit
enlre
':
Jl oi_Jl »ju«AJj
(j"UI
/r^^.
(»'3
Saint ; si au
bateau,
remonta les eaux, malgre le courant qui lultait
contre lui pour le
stupefaits. (3n
Puis
il
lut
porte
k
son
dans la
montagne et
d'Adiabene,
II roncla un
FOXD.VTELK DL'
d'un
dilTerend
freres et
n" 22.
{Toustaiy,
bMi. Que ses
de
la
fatigue
de
la
route
et
pour
mangcr
(.UlII
^Ss-zi^ .ijSyj
grotte, lui
donna point le
Abraham.
II
survecut
trente
ses
restes
furcnt
inhumes
biogra-
1.
Litter.
le
porterent.
un
autre
a
etc
emprunte
a
sa
biograpliie.
\
 
et
se
privant
Qardou, ou il
b^tit un
lui. Apres sa
mort, il fut
est ecrit Sahroii;

quatre
Noel
Careme, on
jeunait aussi
les sept
a
Cascar,
il
Puis
plusieurs
provinces
la vie a run
ct il
son

Le Lwre
 
plus jeune,
lui portaient
leur remit k
monasti(jue?
vous
a
vous
appellera
parole

jj^C
le
temple.
Falikan''.
Que
les
soient
avec
nous.
LV.
rut en
avec sagesse.
Dieu le
ci-dessous, n» CXI.
confisqua
leurs
dans recole de
Ayant
entendu
parler
du
malgre
son
desir,
apprehendant
1. Forte
trois morceaux
une
ville
retour
dans
son
et intelligent
un
delai;
t'ai
^tabli
maitre,
sacrifie-les
.AJS-I
^fX._jJlj
A_,|
-^j
o,
de
ne
pas
rinhumer
avec
les
tagne.
demon
i\ Seleucie
proclame
etait verse
du
pouvoir,
il
donna
libre
cours
Bahram
Sobin
{Sobin)
se
ot
lui ocrivit
supplia do le secourir
011 lui envoyant quarante
k
doux
g(3neraux
sc rendre k 'Ana ou
bien
ti
troupes qui lui etaient donnees. Rosrau revint en "Iraq, ou
il battit
FAIT
M.VGe'.
Du
temps
de
ce
embrasser
voulut
ensuite
reprouver dans le but de savoir si c'etait par conviction
ou
bien
isolee,
d'ou il
^AjJ
'
et
spectacle, rcmercia
De
meme
que
Cest
b-v.w.fr ^l
jj—sJI
c-*-^3
^y-=^'^
0P3
(3
II
couvent de Bar
{Bd'arhaia)
son
liistoire,
semble
rapporter
^;^
les enfants
qui s'etaient
authentique,
Jacques
14. Hbisa
qui
patriarches
t)ccultes,
de
Maurice,
ils
un
hoinme
construction de Teglise
patriarche
Ezechiel
(570-581).
fils juste
son
espcrance \
II
sera
Perse.
rEglise
aussi
louer.
tcmple de
couronne d'or;
ont
ete
effaces.
A
restituer :
,yxJ!j
^.>lsrl
jjj
(voir
ci-dessus,
p.
43S).
faisait
qui
;
le
ses austerites,
choeur
{
eux, ct
il
y
demeura
pendant
cinq
ans.
enfants qu'il
la maison :
fds, qui
regions
y
Jf-j
•-J^.^
(Jj
*-L
_^j
Puis,
livre qu'ils avaient
fois
Saint-Esprit,
vinrent
et
sangui-
naire
mange
et
bu,
1.
Originaire
dTslakhr
{Vic,
p.
138).
George,
martyr
[Histoire
.
i^.^1
j»iA)
ce
serait
pas partie
de Uhistoire
ji*J
(|ni lui en
par
que
reveque
Simeon
Lasom,
SabriStV
atteints,
entra
chez
lui
un
ven-
dredi,
couvenl,
qu'il
il
fut
mande
par
En-No'mcin
lui-meme
pour
corps et son
et
ils
Dieu n'eut accorde la
bruit
Medes" en
Kosrau
marcha
avec son armee
de
sa
monture
avec
energie
lui
ces prit^^ces
t'a
apparu.
Dieu
des
le faire
avoir
SABRISO'.
483
^^jUajJI
J
homme
divin.
(Al-Maddin).,
se
a
Pourquoi,
lui dit-il alors, les chretiens de notre empire ne cherchent-ils pas un
chef ? »
devant
reli-
»
a
la
chretiens.
Geux-ci
le
troisi^me vendredi du careme. Le roi qui avait connaissance de cette
reunion,
Vous avez
personnel
qui
leur
voix,
ne
s'efforgait
donc
tcnu
au
courant
SjUa»-l) dlUJI IjXl
oj |»>^lfr
reponse, rit
M\r
Sabriso' alors
pages
lc
tirait
lun
par
et
dUJI
i-La
i^
JjJLj
«-IjYI
Kosrau {Kisra)
envoya chercher
le
lundi
des'
et il interdit aux
le chretien
reste de la
Le jour
son elevation
lui

priere,
on
voulut
avait
6te
ordonne.
si grande,
par
la
foule.
lui
donna
sept
selle
de
afin
que
L5-i-«J'
cntendu
l'envoye
redire
cela
de
la
refusait,
dos du cheval, et Tun d'eux saisit la bride pour
le conduire. Mais
de
des chevaux, s'arreta, semblable
se
serrait
ne qu'a grand'pcinc
des
eveques
ii'est
pas
nous
qui
avons
fait
d'adniirables
choses
poiir
toi,
dans la
»
Sirin,
oii
la tete, et
fj^jy*
bien
si
tu
ce
Saint, si bien qu'il iui douna un grand dcsir dc lc
voir.
II
image.
n'en suis
pas digne.
gre,
et
le
mcs-
avoir
ji
^i^
J
yx
fjJCS
.*jL)
ossements des
et
le
catholicos.
Celui-ci
lui
demanda
de
lui
euvoyer
un
raffermir entre
les deux
vetements.
trouvaient
dans
croix
enleva le
son
qui
est
chretienne,
m'en donner un
demanda
leur apparat ordinaires.
Mar Sabris6'
assis sur un sac dans un coin de sa cellule, v6tu
d'habits
grossiers
royal.
S.vbriso'
qu'il
y
yeux
confondront
il
hii
et
il
dit
en
pronongant
tres
bien
sur
palais
de
Rosrau;
il
celebrait
des
Indcs et de la Chi^ie, et le fit reconduire par Teveque
de
catholicos de lui designer
de Gonstanti-
Tintroduisit en la pre-
sence de Tempereur; il
Maurice lui
Is6'yahb
conlir-
mant
davantage.
LXX.
HlSTOIRE
DU
MELRTUE
durereut eutre les deux
secours
1.
Cf.
Un
humble,
priant
beaucoup,
biitir des eglises
opprimat
personne. Pour leur fairo perdre cette habitude, ii alla meme jusqu'^ con-
fisquer
les
par
Phocas
(Qoiifa).
A
cette
nouvello,
Kosrau
ressentit
de
rallliction
Jlij
.cX—
4I
Vlj
genereux;
le
prince,
de la
»
et
il devait
quitter ce
monde. II
nouvelles de
saluer
Mar
 
qu'il
dissidents
ses
compagnons
dans
le
1.
;
et la
reiue Sirin,
ils jeterent
innombrable
d'hommes;
demanderent Tautorisa-
avait
bdti.
chez
eux :
les
les
ainsi
qu'il
les
couvents.
(Barhebr.,
Chron.
Eccles.,
II,
col.
108,
n.
2).
en
524
au
p6n^trer
Karkha de
Gu^dan.
volumineux.
Pierre
de
Beith
Bodjan
[Uisloire
de
Mar
a ete superieur du couvent de
Beith'Abe.
Mais
Thomas
de
c.
1).
de
saint
Sabriso'-
et
declarerent
qu'il
y
de riiabit religieux,
et
enseignee
dans
notre bibliotheque
ils confirmerent
Saint-
contrediraient, en
volonttj.
Si/n.
Orient.,
p.
456-401).
11"
70.
Petit Zab,
Nisibe
larmes coulaient sans
mort, il confia son
couvent
et par
hommes,
zele pour sa religion
de
com-
prendre,
il
testo,
etc,
p.
10-11;
'Amr,
p.
.")1.
il les quitta
onsuite
une
laissaient
d'entror,
il
se
tenait
village, priant,
baptisait
chaque
jour
bfttir,
ii
les^
chefs
509
Uj
lui,
entendit parler
pour les
'
Hnana
d'Adia-
TEcole, curieux
contrairement a
a
rinibrmerent
de
lui
donna
erreurs
^^n*
leur
pour
riii-
formor
de
rerreur
llnana.
Cclui-ci
envoya,
de TEcoIe,
distribuant les
noirs,
1.
compte
les
annees
«n..,l
Gregoire ; ils
ne savaient
delivres.
porte de la ville,
ils
se
separerent.
disciples
suivirent
jusqua
la
croyance
catholique
des
ouvrages
qui
'
Gregoire {Syn.
Cause de
la Fon-
sc
grouper
(leuve,
qui
etait
a
de
Kosrau
metropolitain
leurs
INFLIGE
AUX
metropolitain
Gregoire.
Le
Tarisma
p.
426)
son
exil
le Grand ( Hist. de Mar
Yabalaha,
loc.
cit.).
attribue
beaucoup
la d6fense qu'il
devait
la vie
fait
Iaa
^Jj
de
leur
metropolitain
Gregoire.
Ainsi
ne renon-
Sabriso',
il
fut
contriste
de
ces
d'agir et
chefs qui furent la
de Nisibe', qui le
Au
de
moines,
il
rendit
i
la
cntondirent
parler
de
lui,
bAtit
pierre pour
la lui
rapporta qu'il n'y
n"
51.
.L^l
Jcsj
^-Lsj
au sujet dune fille
de
de sa
et
fille;
regne de Kosrau,
1.
Perdoun
^o.;^,
dans
Le
^yLjyA
rhomme
avait
ccrit
sur
k
la
place
de
Mau-
ricc
douze ans-; aprcs
sa mort, il
Cc fut
'
;
dcs
miracles,
et
touchant
lequel
[Qourid-
qos),
qui
lui
en
&ge.
JeAneur
lui
succede
evcqiics,
venait
y
et la
commu-
nie, il Foignit du saint Chr^me. Dieu le priva ainsi
de
ravenement
et
recoiiquerir
Le malheur
longtemps".
mourut
Orient.,
p.
423,
470).
Ebedjesus
de
Nisibe
apud
a tort
avec Nathniol,
(08(>-700).
Cf.
encore
nolre
Etude
conquete de
Mar Sabriso".
pour son
accorda
le medecin,
malveillance
demandcr
de
homon^^mic qui
milieu du
le benit. Mais
y
avait
je
vous
a
cause
d'elle;
c'cst
d'ailleurs
un
homme
intelligent,
sage
et
savant.
beaute
Gregoire se
amasser de
(iJarliebr.,
Chron.
Eccles.,
11,
col.
108,
n"
3j
; au
cliretieiis
sc
obituaires, aid^ de
\V
et
Ic
plus
distingue.
II
etait
rhebreu. II composa un
n'6taient
pas
encore
Maurice. 11
II ayant eu lieu
[apud Assem.,
Ll>^_
«ft.^^-^-
/,.«
Toutefois k ravenement
concu-
epouse deux femmes. II se fit jacobite et fit beaucoup
de mal
a Kosrau!
1. Cela signiOe qu'il batit a ses frais un couvent, et que
ce
couvent
L'une
d'elles
s'appello
Piastiia
s'appelle Veiieta,
quand arriva au pouvoir
point apres lui. Phocas s'empara du
pouvoir; il 6tait
du clan appele
pour
tuer
tant
de
provinces
etait
de
mcsurer
dcux
tous
les
maux
que
Phocas
des deux envoya
par
pour^ii
;
et mourut.
-
la
922"
annee
d'Alexandre.
k Kosrau
premiere annee
careme, il
qui
fit
t
etoiles
(filantes)
tomberent
llechcs dcpuis
chef^; alors
les heretiques,
patriarche. Mais
Suo
metropolitaiu
d'Adiabenc',
{Djiirardjis), moine du
de
Cascar,
mirent
par
ecrit
de Ilnana sur
raccept^rent. Puis
de Gregoire
scs sectateurs. lls cilercnt
Isoyahb
celui-ci
tages
de
la
etudia
les
1.
Cf.
Syn.
Orient.,
p.
398-400.
^j))
une
voix
terrible
Mar
les
se
prit
Thabit
monas-
vie
ascetique
tres
dure.
s'enfermait des mois entiers dans sa grotte sans
en
Dieu
Mar
J
^LS
Dans celtc
beaucoup de
resurrection
ressusciteront
dans
leur
constitution
actuelle.
mort
apres
Kosrau,
d'Edesse'.
1. Cf.
p.
209).
que le passage
d'Ebedjesus deNisibe (Assem.,
:
pour ^a^
soit
Hameaux.
Proble
ce
personnage.
21
535
LJI
^bj
.jLwJI
^l
v^"-}
rise sous
Rosrau a
eut passe
la plus
en
supporta
rinclemence;
il
aida
Elie
a
la
il surpassait
Tart de la controverse. II etait avec les autres present
a
et des
cette epoque il n'y
par
rortho-
par la
lequel
que
ceux
de
Hnaniso'
pour
ies
nouvcaux
fideles;
des
construisit
un
monastere.
Unc
sa
pour
les
aborder,
jumais
du
monastere. Apres
ferame d'un des chcfs
Cet homme
naquit a
Cascar'; il
etait mage
1895,
p.
416-571.
Cf.
encore
Le
Livre
catholicos",
1.
Sur
ce
personnage,
voir
ci-dessus,

LXIX.
vivait
donc
en
612,
annee
(p.
503),
«
irrevocable et
raflicha a
Mesalliens
penetre a Porte
entra, et dit dcvant le
roi :
nable pour
de ses disciples.
tation
precede
disaient :
reuniront les
;
craignait
point
les
dit : «
Si
la
religion
Nestoriens-.
Sergius dans le couvent du Saint, qui etait hors des
remparts
de
Seleucie.
de
glorifie
point
de
cn
prit
des
reliques
qui
furent
dispersees
.VVEC KOSRAU".
fantaisie
sijr...,
p.
19-23;
Barhebrieus,
Chron.
Syr.,
ed.
Bedjan,
p.
95;
Michel
Celui-ci ecrivit
compter
sur
lui
pour
ecrivit a lun
aussi 1'arhan
 
jl
jju
«
Fexpedition;
Kosrau
donneraient
loyalement
leurs
conseils;
il
attaquait
Kosrau
et
que
celui-ci
le
grecques
dont
les
Perses
s'etaient
prendre;
11
arriva
AtHANASE
col. 262
Syrien,
p.
414-417.
Jacobites, sortit k sa rencontre pour le saluer. Le roi
Ihonora
«
sont le corps
car (ton corps)
avec le corps de Dieu ni (ton sang) avec son
sang.
.<ii.jVl
l^
jj-L^.
le troue k
d'oii ils
qui
y
Perses,
comme
ils
s'etaient
multiplies
par
liabilus monasticus.
Apres la
et
de
ses
enfants,
gar-
combattant
les
Arabes
jour le
dans
cmbrasscr
la
4jjL.« \£.
LjIj
-^y^
demander
de
retourner
refusa.
pour le distribuer
aux pauvres, eu
envoya
aux
produire.
Hs
ils
assistcrent
encore appris
parler, et
baptisc?
rcpondit : « J'ai
vient daflirmcr,
Dieu davuir
exauce la
armees arabes ct
II composa uu
Bcith H;\le.
DE M.^n B\B.u-.
Ce Saint etait mage,
de
vu
des
chreticns aller la nuit de Paques au couvent de Mar Sergius
a
Hira,
lui
ouvrit
les
croyance
impure
des couronnes
et
fit son
disciple. Ils
Apo-
homme de
Elie". IJn
attaqua les chasseurs qui etaient arrives tout pres dc sa
grotte,
et
se
jeta
sur
aupres de Mar
delivra
le
chasseur
du
glorifia.
sous
PARWEZ.
551
vilL
j^
Jljlj
T^^'''
>-i
a
^j
fut revcnu
de craintc et
Yazdin
le
fidelc
ce
qu'elle
eu
de
sa
trente-huit ans. SiroT, des lc debut de son
regne, fit du bien a ses sujets : il
diminua les
impiits; il
exempta son
pcuple des
cou une croix; car
empereur des
U <5w
V-5^r~'
j^^lj .CL»- viU
intrlgucs; aiJc par los magcs, 11 tua lc rcstc dcs
enfauts
la
dit qu'il pr^tendait
affligea; il
Si
tu
demandc. Le
enfanta un fils, qu'ou
tous
qu'il etait alors
Tres-Haut
de
et
vu
y
ci-dessus, n"
resta
lc
:
et
dix-huit
son pontifi-
qui
n'etait
les Perses
qu'il
avait
hommes
regretterent
jL-U jJj
sermcnt
qu'il
avait
fait
a
Celui-ci,
ayant
eu
con-
naissance
general, nomme David.
defendit
Tacces.
de
Tempire \
'
salem, et
Yazdin
et
le
crucifia.
Puis
un
dcs
parents
cnvoye
par
les
cil.; Tabari,
splendide,
quand
le
catholicos
eclatante.
qui
Tassurant
qu'il
lui
enverrait
les Grecs
prcsonls.
presents,
desir des empereurs; toi
ou
ron
cadeaux et
A
coups
redoubles
de
sorte
qu'ils
B.vrsauma
eveque
etc.
P.tTR.
OR.
«
a fait sieger sur le trone glorieux oii s'^panouit
la
gouflre
profond.
« Le
concile
do
de
Tequite
et
laissa
egares
et
et
mit
une
persecution.
« Secondcment,
famille
de
vase
reuni
clifr
d'accusati<ni qui [)i'se eiicore sur toi, est que lu as
bauiii
les
que
tu as celebree dans Teglise de cet empereur, qui les chasse
et
Saint-E