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COMPTABILITÉ COMPTABILITÉ ANALYTIQUEANALYTIQUE
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CARACTÉRISTIQUES PROPRES AUX CARACTÉRISTIQUES PROPRES AUX DEUX FORMES DE COMPTABILITÉ DEUX FORMES DE COMPTABILITÉ
• La comptabilité générale est tout à la fois d’ordre économique, financier, juridique et fiscal.
• La comptabilité analytique d’exploitation tout en étant d’ordre économique se fonde surtout sur des supports d’ordre technique qu’ignore la comptabilité générale.
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CARACTÉRISTIQUE DE LA CARACTÉRISTIQUE DE LA COMPTABILITÉ ANALYTIQUE COMPTABILITÉ ANALYTIQUE
La comptabilité analytique est plus « autonome ».La comptabilité analytique est plus « autonome ».
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OBJECTIFS DE LA COMPTABILITÉ OBJECTIFS DE LA COMPTABILITÉ ANALYTIQUEANALYTIQUE
La comptabilité analytique permet :
De connaître les coûts des différentes fonctions D’évaluer certains éléments du bilan (stocks,
immobilisations…..) De calculer les coûts des produits D’établir des prévisions des charges et des produits
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CAUSES D’AUGMENTATION DES CAUSES D’AUGMENTATION DES COÛTSCOÛTS
Les cause d’augmentation des coûts sont d’ordre :
Interne : diminution des rendements soit un problème de productivité
Externe : hausse des prix qui se traduisent par une augmentation du montant des charges (hausse des salaires, des matières…..)
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CHOIX DES MÉTHODESCHOIX DES MÉTHODES
Le choix de la méthode dépend :
Des caractéristiques économiques liées à la nature d’activité exercée (commerce, industrie, services…)
De caractéristiques techniques liées à la structure des équipements et aux processus de fabrication plus ou moins complexe
De caractéristiques d’administration et d’organisation (centralisation, décentralisation…)
Caractéristiques de taille (grosses entreprises, PME…)
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CHARGES DE LA COMPTABILITÉ CHARGES DE LA COMPTABILITÉ ANALYTIQUEANALYTIQUE
Charges de la comptabilité générale- charges non incorporables
+charges supplétives
= charges traitées en comptabilité analytique
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RÉSULTAT ANALYTIQUE RÉSULTAT ANALYTIQUE
Résultat de la comptabilité générale+ charges non incorporables
- charges supplétives= somme des résultats analytiques
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CHARGES NON INCORPORABLES ETCHARGES NON INCORPORABLES ET
Ce sont les charges qui ne correspondent pas vraiment aux conditions normales de fonctionnement et de réalisation de l’objet de l’entreprise :
Amortissement des frais préliminaires Charges exceptionnelles Charges ne présentant pas un caractère habituel dans la
profession et devant être considérées comme un risque (provision pour litige….)
Charges somptuaires
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CHARGES SUPPLÉTIVESCHARGES SUPPLÉTIVES
Ces charges sont dites « supplétives » parce qu’elles ne sont pas comprises dans les charges de la comptabilité générale :
Rémunération conventionnelle des capitaux propres investis (ou charges financières calculées)
Rémunération du travail de l’exploitant
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CHARGES DIRECTES ET CHARGES CHARGES DIRECTES ET CHARGES INDIRECTESINDIRECTES
CHARGES DIRECTESCHARGES DIRECTES
Variables : Variables : •matières premières entrant matières premières entrant dans le produit « p »dans le produit « p »•Salaires à la pièce pour la Salaires à la pièce pour la fabrication de « p »fabrication de « p »
Fixes :•Amortissement de la machineservant à fabriquer « p »•Salaire du contremaître chargéde la fabrication de « p »
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CHARGES DIRECTES ET CHARGES CHARGES DIRECTES ET CHARGES INDIRECTESINDIRECTES
Charges indirectes
Variables :- Matières premières, consommables, énergie consommés par l’atelier « A » fabriquant plusieurs produits
Fixes :- salaire du chef d’atelier « A »
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RÉSULTAT ET MARGERÉSULTAT ET MARGE
RÉSULTATUn résultat est la différence entre un prix de vente et le coût complet correspondant.
MARGEUne marge est la différence entre un prix de vente et un coût.
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MARGEMARGE
Marge brute ou Commerciale == Prix de vente – coût d’achat
Marge sur coût de production == Prix de vente – coût de production
Marge sur coûtvariable == Prix de vente – coût variable
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LE COÛTLE COÛT
« un coût est une somme de charges s’appliquant à un moyen d’exploitation ou à un produit ou à un stade d’élaboration du produit ».
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REGROUPEMENT DES FLUX DANS REGROUPEMENT DES FLUX DANS LES COÛTSLES COÛTS
Coût d’achat ==
Prixd’achat + Charges d’approvisionnement
correspondantes
Coût de production = Coût d’achat des
Matières consommées
++Frais de productioncorrespondants
Coût de revient == Coût de production
Des produits vendus+ Frais de distribution
correspondants
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LES COÛTS COMPLETSLES COÛTS COMPLETS
La méthode des coûts complets est également appelée « méthode des sections homogènes ».
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LES COÛTS COMPLETSLES COÛTS COMPLETS
• Méthode issue de travaux menés avant la seconde guerre mondiale par le lieutenant colonel RIMAILHO à la CEGOS* puis par le CNOF*
• La méthode cherche à associer un idéal de précision scientifique et une rigueur réglementaire qui la place au dessus des débats
• Son succès en France s’explique par l’empreinte du cartésianisme.
CEGOS : Commission Générale d’Organisation ScientifiqueCNOF :Comité national de l’Organisation Française
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LA MÉTHODE DES COÛTS COMPLETSLA MÉTHODE DES COÛTS COMPLETS
Principe de basePrincipe de baseDistinction des charges en
Charges directesCharges directes Charges indirectes
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LES COÛTS COMPLETSLES COÛTS COMPLETS
Charges directes
Sont celles que l’on peut affecter en totalité à un produit ou à une activité sans calcul préalable.Ces charges font l’objet« d’affectation ».
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COUTS COMPLETSCOUTS COMPLETS
Charges Charges indirectesindirectes
Ce sont les charges communesCe sont les charges communesà plusieurs produits ou activités.à plusieurs produits ou activités.Ces charges font l’objet de Ces charges font l’objet de traitements préalables à travers traitements préalables à travers des sections avant d’être des sections avant d’être « imputées » à chacun des « imputées » à chacun des produits ou des activitésproduits ou des activités
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MÉTHODE DES COÛTS COMPLETSMÉTHODE DES COÛTS COMPLETSLES SECTIONSLES SECTIONS
DéfinitionDéfinition : :
« les sections sont des compartiments d’ordre comptable dans lesquels sont regroupés, préalablement à leur imputation aux comptes intéressés de coûts ou de coûts de revient, les éléments de charges qui ne peuvent être directement affectés à ces comptes ».
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LES SECTIONS HOMOGÈNESLES SECTIONS HOMOGÈNES
La méthode des coûts complets procède au découpage de l’entreprise en centres d’analyse ou de sections.Ce sont ces derniers qui permettent de traiter les coûts indirects.
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SECTIONS HOMOGÈNESSECTIONS HOMOGÈNES
LES SECTIONS LES SECTIONS PRINCIPALESPRINCIPALES
Sont celles où sont mises en œuvreles moyens de production et de vente de de l’entreprise :
•Approvisionnements•Ateliers•Services commerciaux
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SECTIONS HOMOGÈNESSECTIONS HOMOGÈNES
Sections auxiliaires
Ont pour but de gérer les facteurs de production mis en œuvre par l’entreprise. Elles assurent les fonctions de coordination et d’organisation internes de l’entreprise :
•Finance•administration
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DÉCOUPAGE EN SECTIONSDÉCOUPAGE EN SECTIONS
Les sections principales sont celles dont les frais s’imputent normalement aux coûts.
Il n’existe pas de découpage type ou idéal de centres. Tout dépend de la et coûts de revient l’entreprise.
Les sections auxiliaires sont celles qui doivent, normalement faire l’objet de virement à d’autres sections (sous-répartition)
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RÔLE DES SECTIONSRÔLE DES SECTIONS
Rôle des sections
Servir de moyens comptable pour le calcul des coûts et coût de revient
Servir de moyen de contrôle de gestion en facilitant la recherche et la mise en cause de responsabilité
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COÛTS COMPLETSCOÛTS COMPLETSSCHÉMA DE RÉPARTITION DES SCHÉMA DE RÉPARTITION DES
CHARGESCHARGES
Chargesincorporablesclassées par
natureCharges indirectes Centre
d’analyse
Coûts de produits
de commandeou d’activité
Charges analyséesImputéesAux coûts recherchés
Charges directes (affectées aux coûts recherchées
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COÛTS COMPLETSCOÛTS COMPLETS
Charges par nature
Charges indirectes Charges directes
Centres auxiliaires
Centres principaux
Coût complet
Ens
embl
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s cen
tres
d’a
naly
se
affectation
………………………………….
………………………………….……
……
……
……
…
……
……
……
……
…
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CENTRE D’ANALYSE CENTRE D’ANALYSE
« un centre d’analyse est une division de l’unité comptableoù sont analysés des éléments de charges indirectes préalablement à leur imputation aux coûts de produits intéressés ».
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UNITÉS D’ŒUVREUNITÉS D’ŒUVRE
« l’unité d’œuvre est l’unité permettant d’imputer le coût d’un centre d’analyse (ou section) aux coûts d’autres centres ou à des coûts de produits ou d’activités intéressées ».
Définition :
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UNITÉ D’ŒUVRE UNITÉ D’ŒUVRE
Unité d’œuvreCouramment utilisées
L’heure de main-d’œuvre directe dans les ateliers peu mécanisés
L’heure machine dans les ateliers très mécanisés
Le poids ou le volume de la matière traitée
Le nombre de pièces usinées
Le kilomètre, la tonne kilométrique pour répartir les frais d’un centre de transport
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Étapes de mise en œuvre Étapes de mise en œuvre
• Recensement de toutes les charges de l ’entreprise• Classement en coûts directs et en coûts indirects• Affectation des coûts directs au compte de coût de revient des différents
produits• Choix des sections homogènes principales et auxiliaires les mieux
adaptées à l’activité et au mode de fonctionnement de l’entreprise• Choix de l’unité d’œuvre pour chaque section• Regroupement des charges indirectes dans les sections homogènes • Calcul du montant de l’unité d’œuvre • Imputation des coûts indirects aux coût de revient des produits en
calculant le nombre d’unités d’œuvre de chaque section consommées pour fabriquer une unité de chaque produit
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COÛTS COMPLETS : INTÉRÊT DE LA COÛTS COMPLETS : INTÉRÊT DE LA MÉTHODEMÉTHODE
Elle permet de calculer un coût de revient complet grâce à l’imputation des charges indirectes
Le regroupement des charges par section peut faciliter la mise en place d’une gestion budgétaire et la répartition des responsabilité parmi les collaborateurs
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LES COÛTS COMPLETS : LIMITES DE LES COÛTS COMPLETS : LIMITES DE LA MÉTHODELA MÉTHODE
Difficulté de constituer des sections véritablement homogènes
Difficulté de définir des unités d’œuvre qui s’appliquent correctement à chaque coût
Risque de lourdeur dans le fonctionnement du système
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Les coûts variablesLes coûts variables
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« DIRECT COSTING »« DIRECT COSTING »
Principe de base : La méthode des coûts variables est fondée sur le
classement des charges en :
Charges de structures ou charges fixes
Charges opérationnelles ou variable
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Les coûts variablesLes coûts variables
Un coût variable est composé exclusivement de charges variables.
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DIRECT COSTINGDIRECT COSTING
Prix de vente (global)
Coût variable (global)
Marge (globale) sur coût variable
Charges variables (globales) opérationnelles
Charges de structure globale
Résultat global
..
.. ………………………….
..
…
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DIRECT COSTINGDIRECT COSTING
VENTES
Ventes A
Ventes B
Ventes C
Coûts variablesA
Marge sur A
Coûts variables B
Marge sur B
Coût variables C
Marge sur C
Somme des marges
Charges de structure
Charges variables
…
…
…
…
………………………..
.
.
.
.……………………….
….
Processus de calcul
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DIRECT COSTINGDIRECT COSTING
Direct costing simple : Le calcul du « direct costing simple » ne prend en compte
que les charges variables.
Direct costing évolué : Le « direct costing évolué » justifie le qualificatif de
« direct » puisqu’il comprend en plus des charges variables, les charges directes fixes.
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LE « DIRECT COSTING »LE « DIRECT COSTING »
La N.A.C.A en 1954 a diffusé cette nouvelle conception de calcul de coûts sous le nom de « direct costing »
N.A.C.A : National Association of Cost Accountants, maintenant appelée N.A.A National Association Accountants
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DIRECT COSTINGDIRECT COSTINGexemple d’applicationexemple d’application
Totaux analyse par produit % P1 % P2 % P2 %
Ventes (nettes) 1 000 100 500 100 300 100 200 100Charges variables 600 60 310 62 150 50 140 70Correspondantes
Marges 400 40 190 38 150 50 60 30
Charges fixes• de vente 150 15• d’administration 100 10• diverses 50 5
Profit global 100 10
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DIRECT COSTING :exemple d’applicationDIRECT COSTING :exemple d’application
Opérations de la période totaux analyse par produit % P1 % P2 % P3 %
Ventes nettes 1000 100 500 100 300 100 200 100 - De fabrication
•Matières 200 20 120 24 54 18 26 13•M-d’œuvre 230 23 125 25 63 21 42 21 •Autres frais 70 7 30 6 22 7 18 9
-De vente 100 10 40 8 36 12 24 12
marge commerciale 400 40 185 37 126 42 90 45
- De fabrication 80 - De vente/publicité 85 - D’administration 95 - Diverses 40 Total 300 30Profit net 100 10
Cha
rges
var
iabl
esC
harg
es fi
xes
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DIRECT COSTING : INTÉRÊT ET DIRECT COSTING : INTÉRÊT ET LIMITESLIMITES
Éviter une répartition arbitraire des frais fixes Mise en évidence de la masse des coûts fixes Incitation à vendre le plus possible (afin d’augmenter
la marge sur coût variable) Parmi les charges de structure il en existe qui sont
propres à chaque activité (charges directes fixes) Méthode simple qui permet de surveiller les
rendements internes de l’entreprise
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L’IMPUTATION RATIONNELLEL’IMPUTATION RATIONNELLE
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L’IMPUTATION RATIONNELLEL’IMPUTATION RATIONNELLE
Principe :
« la méthode de l’imputation rationnelle vise à corriger l’incidence des variations du niveau d’activité en n’imputant non pas les charges de structure réelles, mais des charges de structure calculées ».
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L’IMPUTATION RATIONNELLEL’IMPUTATION RATIONNELLE
La mise ne œuvre de l’imputation rationnelle suppose :
La détermination de variables caractéristiques d’activité
La distinction, en fonction de ces dernières, des charges de structures et des charges opérationnelles
L’imputation des charges de structure proportionnelles aux taux d’activité
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L’IMPUTATION RATIONNELLEL’IMPUTATION RATIONNELLEMÉTHODE DE CALCULMÉTHODE DE CALCUL
Charges de structure imputées
= Charges de structure réelles
x Niveau réel d’activitéNiveau normal d’activité
ta = Niveau réel d’activitéNiveau normal d’activité
ta est appelé « coefficient d’imputation rationnelle » ou encore « taux
d’activité »
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L’IMPUTATION RATIONNELLEL’IMPUTATION RATIONNELLEexemple d’applicationexemple d’application
Niveau normal d’activité 2000 unitésFrais fixes totaux 9000Charges variables unitaires 7
A- niveau réel d’activité 400 1000 2000 3000B- niveau normal d’activité 2000 2000 2000 2000C- frais fixes totaux 9000 9000 9000 9000D- frais fixes à imputer* 1800 4500 9000 13500 C x A/BE- frais fixes unitaires 4,5 4,5 4,5 4,5F- coût de sous activité 7200 4500 --- C - DG- boni de suractivité 4500 D –C
*selon le principe de la méthode de l’imputation rationnelle
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IMPUTATION RATIONNELLEIMPUTATION RATIONNELLEavantages et inconvénientsavantages et inconvénients
Avantages :
Donner au responsable d’une section (ou centre de coût) une vue directe de l’incidence de la variation du niveau d’activité sur le coût de l’unité d’œuvre
De faciliter l’établissement des budgets
Budgets établis à partir de plusieurs hypothèses de niveaux d’activité
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IMPUTATION RATIONNELLEIMPUTATION RATIONNELLEavantages et inconvénientsavantages et inconvénients
Inconvénients :
Difficulté de déterminer le niveau normal d’activité particulièrement pour les entreprises commerciales (grandes surfaces), entreprises de travaux…..
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LE SEUIL DE RENTABILITÉLE SEUIL DE RENTABILITÉ
Définition : « le seuil de rentabilité (ou chiffre d’affaires critique)
d’une entreprise est la valeur minimale du chiffre d’affaires à partir de laquelle l’exploitation est rentable ».
Point mort : point à pour lequel le chiffre d’affaires est égal au coût total. Soit le pour lequel le résultat est nul
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SEUIL DE RENTABILITÉSEUIL DE RENTABILITÉ
CA = CVT + CFT
CA – CVT = MSCV
MSCV = CFT
PVU = CVU + CFU
MSCV CACa
c x Cac
= Taux de marge
MSCV CA = CFT =
CFTTaux de marge
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SEUIL DE RENTABILITÉSEUIL DE RENTABILITÉreprésentation graphiquereprésentation graphique
Frais fixes
quantités
valeurs
0
Coût total
ventes
QC
……
……
…………………CAc
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SEUIL DE RENTABILITÉ SEUIL DE RENTABILITÉ
Marge sur coût variableFrais fixes
unitaires
quantités
valeurs
0
Marge sur coût variable unitaire = Frais fixes
unitaires
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SEUIL DE RENTABILITÉ SEUIL DE RENTABILITÉ représentation graphiquereprésentation graphique
0
y1= frais fixes
y 2= tx MSCV x CA
Chiffre d’affaires
valeurs
Marge sur coût variable = Frais fixes
totaux
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SEUIL DE RENTABILITÉSEUIL DE RENTABILITÉreprésentation graphiquereprésentation graphique
0Chiffre d’affaires
résultat
Y= MSCV – frais fixes
Résultat = MSCV – charges fixes