Vol. XV. Opelousas, Paroisse St. Landry, Lne., 28 Decembre 1867. No. 29. COURRIER DES OPELOUSAS. Journal Officiel DE LA VILLE D'OPELOUSAS. REDIGE PAR T. G. CO:MPTON. PUBLIE PAR Joel H. Sandoz, Propritaire. SAMEDI matin, : : 28 DECEMBRE 1867. EiNous rfrons nos lecteurs un a- vis que l'on trouvera plus loin, annon- ant que le bail de la belle habitation de la succession Pratt sera vendu A l'ench- re Jeudi prochain, devant la Maison de Cour, en notkeille. .'. Npjous recommandons particulire- ment la lecture d'un article intitul "En. tente et action," 'que l'on trouvera la seconde page. IrF Un jeune homme de mrite, M. William Hall, annonce dans nos colonnes d'aujourd'hui, qu'il se propose d'ouvrir, le ler Janvier prochain, chez Mme. Campbell, en notre ville, une cole o il enseignera le Franais et l'Anglais. M. Hall a dj fait ses preuves comme insti- tuteur et nous ne doutons pas que son ezprience et son talent ne lui valent l'encouragement des familles. ST Le Rpublicain de la Nlle.-Orlans se propose de donner des portraits la plume des membres de la Convention bi- colore qui sige actuellement en cette ville. Nous •,Aptona iquece biographe dsintress fera preuve d'impartialit et rendra exactement la biographie des graves Solons en conseil. . Nous sommes particulirement intress •onnaitre la biographie de deux de noonventio- nels, Drinkard et Harris. kins- Jackson. w Nous1oyonsar un artire' du der- nier numro de la Sentin~eFe, notre voi- sine, qu'elle va aban~onner son pour prendre le titre plus har;mo de "Journall'des Opeloisas.' Qu'a-t-on beM Setine1le aujourd'hui que la guPt temuiaM et que noua sommes tousde la m me epntod. i Cependant la Sentinelle pourrait bien un jour tre rappelpet replace p, poste. C1 Hier matin, certaines rues de notre village taient encombres de baricades qui avaient t construites pendant la nuit prcdente. Ces gentillesses, si gentillesses il y a, sont de mauvais got, selon nous, et nous sommes enclin croire que coeux qui s'amusent ces jeux-l ftraient mieux d'employer leur industrie cultiige# deschplt. j' ~ Un CONSTABit BLESS-'AR UN M'1- TRE.-Samedi dernier, le 7 courant, M. O. Delahoussaye, ils, tandis qu'il trm- plissait ses devoirs d Constable, en x- cutant an ordre de saisie provisoire. a t tir par un multre nomm' lhales Condley. M. Delahoussaye, malgkr'ine blessure trs gravequ'll reiuit :an-tlesus de lahan'he, a immdiatemrent ceouru l- Maison de Cour, au bureau du Jirge Eastii, devant lequel. iL pot,a plain- te. tn!~iaandatt d'rnat i imia~Yu te- ment laic, et' le Shliff, miuini cet or- dre, s'est amis Itg"herehie able qu'il a rencontr deant sa envi- ronn d'une diei duzaine ltres libres, tous arm" jsq•'aux dents. Mal- gr leursa miprrtlia Jrttitude de dfi le Shrif s'est avanc, et l, avec l'aide. de troie eitoyenEs dont; unmseltait arma, il a russi oprce Parrestation de l'ac- cus.e -",**.** }***)a *; i uaeO maere aSII mur ie peint oe-avoir lien prOpos an"" tien. -n grand *ombba de c-eq-devttii* mes d coulmp aduviilh e s'i% aasc~ub1 autonr du Shritei,3d. po au1er. o Ceb- tradr"meaksua dis.voir tue toutoe "dimu- nt aisibeM livre volontairement le t&W cW ens d voxjr,,P fire eqpurl t if i opt 1tf u et te n oeudTin# tantw bs8 ,buml5ant c&iIeu cou- tmuant. tiJours porter on foule au- tt DS l'ordrj.uHb-isdn seae Qu'ils frect 11,n-r don mesure hes ~i~t~ip pubUqagW: antz ii<U- uugr es#tlt ~elle., D 4dt~rS5F~ ~ Q i tait trouble. Ces proclamations produi- sirent un bon effet. Tout rentra dans le calme et il n'y eut plus de manifestation d'aucune part jusqu' Mercredi, quand l'affaire parut devant le Juge Eastin, qui renvoya Condley pour tre jug la pro- chaine Cour de District, en Fvrier. Nous sommes heureux de pouvoir an- noncer que M. O. Delahoussaye est hors de tout danger. Sa blessure, quoique of- frant un sujet de crainte srieuse, n'a plus aujourd'hui aucune espce de gravit. Courrier, de 8t. Martinville, du 14. Richmond, 11 dcembre.-La conven- tion conservatrice s'est assemble au thatre ce matin: 800 dlgus taient prsents, reprsentant toutes les parties de l'Etat. L'honorable A. H. Stewart d'Augusta a t lu prsident, dans son discours, il a dit que ce n'tait pas une convention de parti, mais de Virginiens. A la fin de la guerre, on nous assurait que sur le r6ppel de l'rifonnance de s- cession, la rpudiation de la dette conf- dre et l'mancipation de nos esclaves, nous serion remis en possession de nos droits dans l'Union. Au lieu de remplir ces promesses, ceux qui les avaient faites placrent les Etats du Sud sous le con- trle d'une race infrieure. Nous nous runissons pour conjurer le Nord de ne pas permettre cet outrage sur nous. On peut nous dpouiller de nos droits mais nous ne consentirons jamais au contrle d'une race trangre et infrieure. Nous prfrons le gouvernement de la bayon- nette. On vient de publier Boston une bro- chure qui traite de la possibilit de la for- mation d'une rpublique des Antilles.- L'auteur demande que les Etats-Unis ex- igent de 1 'Erope qu'elle abandonne ses possessios. actuelles d4fl es. Antilles.- De Cuba, de Porto Rico, de Saint-Domiu- gue, de la Jamaque, de la Trinit, de la Guadeloupe etc., on fornierait une Conf- dration sur le modle de l'Union Am- ricaine. Les Etats-Unis se dclareraient protecteurs de la Rpublique nouvelle, laquelle on. pourrait ratacher le ~ucatan d'une part et la Florid de l'autre. Cette ide est bizarre. La capitale fdrale se- rait la Martinique: l'auteur ne dit pas pourquoi. Il conclut en assurant que les Etats-Unis sont perdua. s'ils ne suivent pas conseils. Tout cela est absurde; et pourtant tout cela estapprouv par quelques journaux. Ce qu'on peut assurer, c'est que, sijamais les Antilles forment un groupe indpen- dant t uni, ce ne sera pas de la faon dont P'entend'auteur de la brochure en quistion•.-C(ourrier des E.-Unis. Ei Trois grandes puissances pr6pa- rent'd ':i)ditions scientifiques cflar- ges de reconnatre a~r ple Nord, lexis- tence d'une mer empl4tement dpourvue de glace,• et par consquent facilement navigable en tokte saison pour les navires se dirigeant dRs contres septentrionales de l'Amrique vera.les ctes. asiatiques, et vice versa. La France, l'Angleterre et la Prusse, prenant chacune une direction diff- rente, se rencontreront peut-tre et chingeront leurs dcouvertes aiprs avotr tent le passage soit par la Non- velle-Zemble, soit par le Spitzberg, soit par le dtroit de Behring. L'indication de ces troia points suffit donner uneide de l'importance de ette triple expdition et dl haut i~tri qui se rattache son e xntio s et sa r- ussite. Venter pati le -sbEm etat de la LQuisia-*e.i John W. Uardy, ;aIr.,) Cour 4e District Jane .1, Ciller t, , No. 1014r, 1- M vertu, vn oGdre de saisie et ;o vezit dat rlanc ti l ifiire 'l-sultifte, par l'honolble la Cour du Huitimd: D4uisnct Judi- claire de VItst do M Louoiace *Wgob dog et pour la IqarPEis.e &.i~tlapd,e~!~ 8 n0i aidress, oflirai Be vente qub' e, a pln5g ofrantet dernfrr ~ I rcisei b&l.Mito de Cor 'de wWParofsde, en M ville d'WOelosms, le samedi, ter Fgssier pwmniu.188, cofiimea-gntt I Bepr4RdiR m*Un continuant de emq u sr'il etcesmWir5 toue *droit, titres, lutk&t et pritenuiosia de dame Jane H. Caic~8e~44Ii4 111 I1pq#femidurd de la P#- roisseat &Li~and~yvnxjfropvICt rrkfrmantes, eam- oies pour satisfaire l"t ordre, savoir: ~L jealis tc#ila "rit" 4rmJ., oRI, trd e I. ra. i.nxbr P.wadJ e5epdia: p,*q ugtaLBiu&nu 4u4 rre inppw6. pp, *i aIq -e G. UA-Tm, S ow#Wf. -:- i401" fl & 84imti t M. laPar &e"1fflpIu H.FasswMii M6, OM oiidd1pmr un ordre de la CorU daIS 1a $dosni6 OM L a~k lit: l Uhde , lt,i4 tUar sUlrem<!ad iatgdufysNIIrma1s Tk e 7f rU VENTE PUBLIQUE. Successions de Christoval Tate et femme, tous deux dcds. EN vertu d'un ordr e de l'onorable la Cour du Huitime District Judici- aire de l'Etat de la Louisiane, sigeant dans et pour la Paroisse St. Landry, il sera vendu en vente publique, au plus offrant et dernier enchrisseur, par le soussign Administrateur, on par le mi- nistre d'un encanteur dment commis- sionn, sur l'habitation ci-dessous dcri- te, la Prairie Ville Plate, dans la Pa- roisse St. Landry, le Mercredi, 29 Janvier 1868, les proprits suivantes, dpendant des suceessions de Christoval Tate et Valen- tine Tate, son pouse, tous deux dcds, dernirement de la susdite Paroisse, savoir: UNE CERTAINE HABITATION, situe sur les limites du Bois de Chicot, mesurant cent cinquante arpents de su- perficie, borne au Nord par les terres de Adam Tate, Mme. John Guillory, Mlme. Valentine Tate, dcde, et Jean Louis Fontenot, l'Est par Adam Tate, au Sud et l'Ouest par Adami Tate, tant la ni- me habitation que les dfunts ont ache- te d'Adam Tate, vers l'anne 1847. UN AUTRE MORCEAU DE TERRE, situ dans le voisinage du morceau plus haut dsign, seisurant trois cent soi.•ante quinze arpents de superficie, born au Nodd par le domaine public, l'Est par Mme. John Guillory, Au Sud par la terre dcrite comme le lot No. 1, et l'Ouest par Jean Louis Phil. Fontenot. Environ 216 ttes de btes cornes et btes chevalines en vacherie; 90 ttes de Wtes cornes douces; 2 paires de boufs de tire; Un cheval; Deux Buggys; Trois chevaux de selle; Deux Juments douces; Sept poulains; 9 ttes de btes chevalins; Un Etalon:' Un mulet;: Un lot de cochons; 18 ttes de moutone; 9 juments; Environ 3,000 livres de coton en grain; Une charrette a b<ufs; 40 barils de mas; 300 barils de mals; 1,200 paquets de pailles de mas; 50 barils de patates douces; Environ15 ttes de btes cornes la Prairie Darbonne; Un lot de mairins et de bardeaux; Meubles de Maison, USTENSILES DE CUISINE, Instruments aratoires, et une infinit (4'autres articles dont l'- numratin sgerait trop longue. CoNDiTroiss:-Les meubles de maison, les instruments aratoires et ls chevaux doux, seront' endus pb~r du comptant, payablesle jour dela vente. La balan- ce des proprits feroot vendues h rui et deux ans de crdit&: compter du 1er A- vril procalaipi,188 c'est--dire une moi- ti payable le ler Avril 1869, et l'autte moiti le ler Avril suivant, (1870). Les terres deie urant spcialement lypoth- ques aux successions susdites jusqu'au paiement fnaf et dfinitif tant du princi- pal que des intrt, qui aurent pu s'ac- croitre raison de 8 pour cent par an, compter de l'chance de chaqueterme. Et en outre, les acqureurs fournissant deux cautions solvables la satisfaction de qui de tdoit. -, . WILtIAM TATE, Administrateur. 28 Dcembre 8sg67.. Succession de Joseph Lacomb. THEODULE PFOTENOT, de la Paroisse St. u. Landry, -ayant eirgistrd au Greffe *de la Cour a•d4ite mue ptition demandant tre nom- alp niistrateur de.l succession dudit Joseph aotb, :dcd , deriftrement de'la Paroisse En csms ,avirestpar l prsent donn auxtetics e s e eotte aenetsceione d'avoir d•d4ir, par, -it,.au GOeffe de Ja susdite Cour. lhnas Ie jou•ra sdi suivront lxatat du prsent tibi•,s sai a*• ne ils ont posr lesquelles l'aerait pas fait droit ladite ptition. .... ,, A. GA iGUES, Greffir. p.lous ,8 Dceltre I$.; teoessi6n de feu Mareel Daire. '\CO ira dtDisiprct, St. Landry. DI iOSPER DAIRE, d la P*ruloee St. Lan- jL ry,6atb pfeaslit une ptition : ;'effTe 4teCnom dniastRatenr de la succession d e C Dairep pre, dd d••ernirenient iit'a_ s;' ', . 4 . .. .. '<ibiiia6l4oicra*i est paer Ie plaeesdea nanxriatSends daml cette snccesion d'avoir dqepar crit, a ~e' f de ladite Cour, dans •i[d~~x rs qui sunvront ni date du prsent avis, e• j'ithsi ancnlae'- is eont, pour lesquelles il itM1f~L tps fait droimt la demande du ptition- lnanB . A IGURS, Greffier. lqne^|}tM28 pcembr867. 8gnejsigade Priuklin Brown. C' <firtdf<f-2>ebttaSt.Stt. tnloary. - ltidOE 4i"t*BWN, e&to Proae EtB tLan- L adr tsieniitir Oeffe d i ladite Omer oma* -titio-.emeatat ibta Pipn*6e i ice d ~,uqtapioa de feu Feanklin in^adireient',a laedite paroise; st ss PP i ii rent denin6 w i poett e u, Bad A e• dir -setait r n r n~ 3SI~; f3~;:`ait.i7i,'- Jiw'.r ~iU8i~~#c mz~.~pe'I.j. uMpT1w. . -osin 1hPi oet~asie 45.rg kj ;trQipiB .iiJU8 l i L;rfbr i01; rY6Bor.r~ee ia9e f rr PAQUEBOT REGULIER ENTRE Opelousas et la Nouvelle-Orleans. S Le Bateau--vapenr fin mar- cheur et d'un faible tirant d'eau J. G. BLACKFORD, Capitaine C. C. PICKETT, Commis, J. B. Scnirr, P ARTIRA de Washington le Mercre- di matin 10 heures, et de la Nou- velle-0rlans le Samedi soir 5 heoures. Le fret et les passagers seront trans- ports aussi bas prix qu'aucun autre bateau dans la mma navigation. Les affaires seront faites strictement pour du comptant. AGENTS: A Opelousas, Thodore-Chachcr. A Washington, Pitre & Carrire. Au Port Barr, Raymond Deshotels. 28 Dcembre 1l•7. 29tf . .... .. . . . . . . .. . . . . . . . .. VENTE PAR LE SHERIF. ETAT DE LA LOUISIANE. Martha Wikoff, veuve etc. Cour de District. vs. St. Landry. George A. Wik ff. No. 10760. E N vertu d'un ordre de saisie et de vente lauc dans l'affaire ci-dessus intitule par l'Hono- rable la Cour du Huitime District Judiciaire de l'Etat de la Louisiane, sigeant dans et pour la Paroisse St. Laudry et moi adress, j'uffiirai en vente publique, au plus offrant et dernier enchli- risseur, davant la porte de la Maison de Cour de cette Paroisse, en la ville d'Gpelousns, Le Samedi Icr. Fvrier 1868, commeuant 11 heures du matin et continuant i de jour en jour s'il est ncessaire, tous les droiti. titres, intrts et prtensions de George A. Wi- koff, le dfendeur. la proprit ci-dessous d- crite, saisie pour satisfaire ledit ordre, savuir: UNE CERTAINE HABITATIO N, situe dans la Paroisse St. Landry, sur la rivu gauche du Bayou Boeuf, borne aut Nord et ni haut par la terre de Thomas A. Cooke, au Sud et en bas par la terre de la veuve Enoerc , et sur le derrire ou i Est par la terr pnblique, con- Stenant cinq cent soixante arpents de terne, en- semble avec toutes LES BATISSES ET AMELIORATIONS qui y sont situes et qui en dpendent, except la'sucrerie et le mouhln. Conditins'-Comptant. JAS. G. HAYES, Shrif. Opele0sas.2& Dcembre 1867. CADEAUX DU JOUR DE L'AN. On trouvera un avantage marqu en se ren- dant au magasia nouveau et bonmarch de Emmanuel Phillips, Rue Dumaine, joignant le magasin de bi- jouterie de M. Ealer. DANS le but de mriter et conserver la rletation acquise par mon grand en- trepot de marchandises sches comme tant rellement le Magasin bon march, j'ai pris la dtermination (attendu la saison a- vance et vu que j'attends un envoi conside rable de marchandises par la Nouvelle Ib- rie) d'couler rapidement celles qui me restent en mains, et cela des prix qui provoqueront sans doute cette exclamation: "Eh bien! on ne peut plus nier que M. Phillips ne vende ses marchandises trs bas prix!" Je vendrai mes Popelines 35, 40, 45, 50 et 60 cents la yard; mes indiennes de Dunnel et Sprague 10, 12J et 15 cents; coton blanc et cru 10, 12J et 15 cents. Toutes mes flannelles de diverses quali- ts, extrment bon march. Mes Balmorals en soie et garnies, $1,- 75 et au-dessus. Manteaux de drap noir et Paletots Saes $4 et au dessus. CORSETS FRANCAIS tous prix. Coton draps de lit, blanc et cru, 10 quarts de largeur. Jupes en couleur, Balmorals en soie, (un article trs peu connu ici.) eiabi'Wessmastut trs.bas prix. COUVERTURES, Tout laine, grandes et bon march. CHAPEAUX, de toutes les qualits et de tous les gouts, pour hommes et pour enfapts. Mes marchandises sont fraches, bien choisieq et bon march. C'est ce que les citoyens d'Opelousas et des environs de- mandent. Draps, Casimires, Bottes, Lainage, Chaussure; Chapeaux, &c. &c. Qu'est-il beoin d'numrr. Venez examiner mon stock avant d'aller ailleurs; nous tois faisons un plaisir de dployer et montrer nos maroliandises de tout genre. Aussi, eemament reu, nu assortiment FERBLANTERIE 'et yen vendrai 20 pour cent k-deo ~~d~te la Nlle. Orlans. M. Ol A•• cAldrut sera toujours la, prt servir ceux 4hi voudront bien nous faviots de-letir ••t is-~e. I ?'8olvee'-vone dan magsi. i C'efs y ti du niaiui de bijouterie de M. Ealer, A v•t--via dsla Pharmaci de M. Posey. EMMANUE-L PHLLIPS. U N homme (lc indutreux, avec . oai sanfioill••t1etrouvera mn emploi avantageux pour1airret irijardi pptager, Iprl dt<tte ville. . i S'addresser art Bureiau di Courrier. I 2 Dec. 18i7, ef -, i- - AVIS AU PUBLIC. SFIN de tenir la promesse que j'ai faite , iL. dans un autre avis, c'est--dire vendre !mes marchandicss Au-dessoui s du mieillour march, je viens do nouveau de quoter mes inar- chlndises aux prix les plu ' is possible. J'offrirai donc en vente, ciiipter dl Lundi 23 courant, les meilleures indiennes amiricaines 15 f cents la yard; Coton blanc et rrn, pour , draps de lit, 45 cents, 2. yards de large; c coton blanc et ecru (le 4 quarts do largeur, r 15 et 20 cents. Popelines, toffes toute frache et pa- trous du meilleur got, 50, 55 et 60 ets. la yard-tous quots 30 pour cent au- dessous. e Flanelle, la mme chose. Mousselines Sde laine, 40, 45 et 50 cents la yard, et , qui valent 55, 65 et 75 cents. Mrinos franais 81 seulement la yard, et qui vaut rellement $1 50. Couvertes et autres lainages. CHALES, NUBIAS, SONTAGS, &e. Vu que la saison tire sa fin, ces mar- chandises seront vendues dans la proportion ci-dessus. Des corsets $1 et au-dessus. Jupes crinolines 75 cents et au-dessus Aussi: Messieurs les amateurs et connaisseurs trouveront qu'il est de leur avantage de ve- nir examiner mon assortiment de VETEMENTS CONFECTIONNS. CHIAUSS.c7RE, i BOTTES. CHAPEAUX. i Chemises de la plus bile toile, t de vari- t s diverses; c.il,rkns, cheuli-cs de dess-us. MES NOUVEAUTES m1iritent galement l'attention des dames, qui trouveront ici tout ce qu'elles pouIrront dI ,csi r . Les Dames n'otilijierout pas mon superbe assortiment De imanteaux, Mantilles, Sacs &c. au prix coutnut et 10 pour cent au-des.ous. r'-Je recevrai par le prochain Lateau un envoi coutidrable de PROVISIONS FINES, POUDRE. PLOME, CLOUS, .&e. &. SOLONMON LOEB, Au magasin en briques d'Edimond Dupr Opclousn2i Dec 1867-. 28-tf A ceux que cela concerne. J'AI pliulid, il v a un an enviioi, 1 n, avis rteqierra;lt le pulie (lde ne pas entrer 'c.oi nincettrc des d(iants sur imes , terres, lequel avis parat n'avoir produit Iticuni tfet. Ma terre de Bcllhvue. coniinc emninie Onk Lawn, borne pa:r M. HIudslon ett M'a- daine Gardiner, a t et est encore au- jonrd'hini pille. Je tdsire ilonec qu'jil soit bien ertendu qu' dater d<'aujourd'huni. yjouruit,'rdi in- (lislittineScla t toutes y&s perso;nes quti ,cot- mettf'oit decs djtlgals, de q(ielquct niature qu'ils soient, sur cette proprit. j e J. A. TAYLOR. 21 DleembLre 1867. 23--t' Avis au Publio. CEUX qui entrent et commettent des dprdations sur la terre de R . II. et A. W. Littcll, la Prairie Bassc, sont parle prsent avertis d'avoir cesser leurs dprdations, autrement ils seront rigoureusement poursuivis. l R. Il. LITTELL. Opeliisas, 21 Dec. 1867. &2-50t Encore mieilleur Marche! SYSTEME DU COMPTANT. L E soussign ne dviera pas du systme Sdu comptant, attendu qu'il lu; faut r- aJiser sans dlai de fortes sommes, et qu' cet effet'il vendra ses marchanidise. au plus lger bnfice, esprant ainsi obtenir un plus grand dbit de ses niarchandises. II vient de recevoir et reuit encore au- jourd'hui des Marchandises aches de toutes sortes, qu'il vendra galement au plus bas prix pour du. comptant. J'ose esprer que le publie voudra bien venir examiner mes marcbandises et comi- parer 1ttl i avant d'aller ailleurs, car il est bied• • qu'il se fait uu plaisir Tac dployi hxbe- 'ses marcliandise•. S.. . . SOL. I O:, Au magasin bien connu d'Edm. . Dupr, Rie Dnmaine, (peuluSai. 14 Dcembre 1867. 27' CHEVAL lPAVE. 1 a t arrt-comme pave, OLeitousas, le 11 du courant, par e oSig., 4U pouilain amricain couleur at o; oniage fonce, g&;e 3 4 ans, mar- i qustourIa foseu~ h• e pen prs ainsi 2-F lt e fg rtae est requis *de e nir prou- ver sa propriEt payer los frais et I'emme- ner, autrement il en sera di pos selon la Sem re 0. 28-6-5t i A: fD>RE A L' MIABL E. i t- 'SIX IUCLETS en bon tt. Si " lS'adress . M. Malrice 'ol Slingue, at 'magasind.e M. E. 1'cttiit, ;ii (,'rand (Cote [:' Dt'c i' rT ENT un M vn:h 1'enoivnurc des 1 reis ili n t ', Op;:,o',-'c-, prs l'ancien IT••tl di l'C iiion, o il vient dl'a;'porter de la Nouvelle Or:Jaus un assor- timent de MA RIiANi)SES SECHIES pari'.i le ... s -e trouvent: V ,'emnc t .,'1.1, et c n••.it~, l c•iuss ,tt: , roffi' de toutes qualits, t:i.i fiun r et ch'i- quer, fcrt'!nterie, Grvoerii , eounservei nii- mentaires, fruits l'eau de vie, whisky, ci- .are, cigarette, pipes &c. Aus'i: cadeaux de N"ol et idu Jour de l'An. M. iluni babitan't le village depuis quel- qiues annes, serait heureux do recevoir ses couiaissances et le public en gnral, con- vaincu qu'il est que ses pris sont aussi mio- drs que ceux d'aucun des autres riinaain cd la place. [14 Dec. 1(7. 27-4t A VENDRE A L'AMIABLE, NE petite iprorii' ii lL ville d'O- peJ louisas, piartfit'uenut situte pour tin colulletrce (qulconquiite. Pour plus de renseitiuement, s'ndresser si-ns ldlai au bureau du ('ourrier des 0- pelousas. 121 D)e. 2Ci' 1600 Arpents ide Terre. g <ait iii de terir'. :is Oipuis li lI'- I.1 iro; ' ho d la Ville It)' l < 1eh .i, I q=u er v'e.,,n't(t applI l'Aun BoinuibeIe. vosi.,tait vut la geo.xion i, Towinlsihi 1 ; m;- am--o:- (l . <'tiftfliit a1, cres et tjua trv c ihenien vt:iait l,;'tli nepent.s. tue, t iu voie qui t'ors v ut t. 1-vi'l'l. i ih . (bien Cct trro i 4,.t Fiai'li 'i ( i liu ''ii 'e t et tifrii' i i;;lv" iiinv>il'i f' \''itii'hi it t-' eXt t t iLr nul nl Iap i ii. t I tti i tii i. 1 ; U 1 ix e1- (1v a JLl I s 't> J. I (le"A-iiu'' tiu VENTE PUBLIQUE. Succession de Isaac lIq: cl Ellen IMc- Clcland, son ~puce, ftus d ux dcds, de la Paroisse St. Landlry. 11N vertu d'un ordro rmanannt de l'ITo- J. norable la Cour du Iluitimn District Judiciaire de l'Etut de la Louisiane, si-. geant dans et pour la Paroisse St. Landry, le public est par ic prsent averti qu'il sera oti'rt en v ite pil)'i,,e, ai p1 is fl.ant et i ! riuor enchrisseur, pas le so-sgn ad- nii.i-.tralcur, ou par l'interiii. inire d'un lE;iicntteur duient connnissirinn, sr kles lieux, on la ville t'Opelou.sat, Le .htdi, 1 ,JTarvici r rioc tiiii, ISGQ, les cripri(ts ci dessosui i 'ciites, appartenant fit(ile succession, savoir : La moiti Est d'un ILET DE TERRE, (inSt a villo l'O(prouu, tant desioni cumiuie i ilet No 13 Jii plan de ladite vil!r, born au Nord plr la rue Landry, lEst par la rue de la Cuir, an Slil par la rue Vine, et l'i)utst pr )n Utrrainm de Lu. ciue J. I)Di(pC. cieinsViio iiv' tohtes les o BATISSES ET AMELIORATIONS qui y suot situcs t iqui en diecndenit, tant la mime proprite achet',e par Isaac IIa\ye, ccd, It e E'ilinund Mcllienni ; nii lot de Mieubles de Maison, diont l'fiunration iserait trop lnugule, et Uine Maisoii de lRcsideuce, situhe . li Poine-.aux.-Loups. Et le Saimedi, 18 Janvier 18(iS, an ,uarti:r dit Big Cane, en la lParoisse St. Laidry, il sera vendu les proprits suivanes, savoir : UNE HABITAITIOON sittii'e au anyou Pleiito IPrairie, bornce ai Nord par le terres de l'ickett et Blitier, l'Est par la terro le le glicrt 0. Ilaoes i & Vaniroy, l'Ousct pa;r la cypiire piu. bliqiue, et au Sidi par levterres de Foglc- in:in et Nor ton, ci•:eniblo avcc toutes lc: /A,'D• BAT SSES Arzeliorations i quii en i'; plind irt. C(tteO ha- bitalion conitient ci-Jq cent quitr;e.vi ,gt s acres, (plus oi rmoins.) La moiti indivise de six mulels ; un lot d'instrllnents aratoire.', etc., ete. Conditions:-Le t~rrmin et ses aqrn!io. rations situs da.s la ville dOpelousas, seront vendu~, pour du comltant jusqlu' i; c concurren.0 d'uth montanrit riiccssairc iour 1 satisfcirc l'liypothquie qui ijpsec sur fa pro- ,rit, avec les inltrts, et l'excdant payable un, deux et trois ans de crdit. La balance des proprites sera vendue l ainsi : toute adjudication an dessous de cinquante piastres, payable complant, et | toute adjildicationi au Jessus d(! cui:iuant: Splastres. un crdit de un, deux et trois ans. Les acqureurs fournissant leurs ob- ligations avec caution solidaire la salis- faction da l'Adininistrateur, et portant in- trt - raison de 8 pour cent par an compter de l'clhance jusqu' parfait ipaiement. Et en outre les terres denieu. rant hypothtlques la succession, et le p rivilge de vendeur sera rserv sur les p ropri ets venduies jusqu'au paiement rel et efietif tant du principal que des ilie- Srts qui auront pu s'accroitre. S JA3IES G. HAYES, A Administratiur. ilt l cemirbre l-(;7. I0,000 n VENTE PAR LE IIEITIF. ',tqt .e la L ouisin i s . Viic't- t nl.,i,- ) C'ur d- DiL rio. vs. Iaroi.e St. Lanidry Lasti (;. iory. No.U . iN vertui duln ortre do sin et de vit e l.'nt !L d .n .• ! ': ': , .af i r r i- ,.ir s s u. i ntit nll er , ,'p !r i ' t:. > • tir:i!- a li (, i t > lh iti -imi I t); rict ,Jut icianirie ie VEtat do L i.aut , . iut d:,s t-: pal ilt '; 't p in', a plus otTr:i- t t i li m -on li ., . devant la porto t!dC la Maisn , - tC 1'.1t W' ct-tr: i'air.es , -n la vil; 1 U)pe. )lu-:is, L e S i.,l di, I .fal ri r pero h ,i ,, 1 'l; , * mnwil;,l!'h ,it ; I 1 l• h ',':'s ,'il l, in, < *t e, '(*.iiln Il l id , j uir ,in .oi r, s' il 'st iP'fs,'i re', t im tl.s d,'i' titles, intit . s e t prtentions (l Lasti, G. ni loly, I' dc!'tndur l U, Ai la proplit el-aprFi ui t. fa- i i a;iis l'af'dire cidl sus, savoir: Un Morceau de Terre, sit, sur la rive Oinst du Bayonu lhnf, bolrn vin has ]:par la te tr- i. v calb L. SwayzL, vt vti haut pa>r la tone d< mmt', tt ,n :iril-, par le 11tvoun (Cr,',c lie.' ,t ,' terres pbliqintsi, mrnii- ranut cinq cie t trinttt-tt-iu :t crs d,; siup rtii,., et ctmposc de's Luts No•. 2l7,, C t 27 du 'Town s.hil) No. 4. Sud dun 31( degr i,- latitud- N.-rd, ,t l;uinge No. 4 Est du Meridieni, l)i.lrict Sud Qu'-st de la Louisianu. Les Batisses et ameliorations qui y sonut situ.s et qui ii dptileint, tant la mi-ime terre que le dteindeur a achetfe' do Uac F. Littcll. JAS. G. HAYES, Shierif. Opfliusn., :,0 Novembre_, 1867. VENTE PAR LE SHERIF. EI'TAT DE LA LOU ISIAINE, Flicit Nea C"iir i 1Thtrict. vs St L:In'Ir. Ilypolit Cihrciiu. N. i., - iN vtrtu d'u ordre di. sai t di1. v, t< lic, I '. _ l da.s l'ail ir.' -cif.^ -lis cIitilcl ,, pa;r l'lih i rai,; la Cou i lii lliiiciimi Dl)i<trict .Indiciaiiic Id l'|'i at ,l' la L tuiia;l;l, siltgsa tl ld inis t p., l a Parni iSt St. Landry, et a mcli adres' ,j' mffriri in v',nti p iqu, an plus otfratt et dernlior oi- h ciss'ur, d.vant la por't l d l M dai ' u!! '.l' c"'!t' r is , iiL la vil O p l 'n .i Le SLRairiedi, 1 Jaurier p'r•ciin, 1i(I , commncianit 1 hIiurces du imatin ct c Contiuiiiniit d* jour iin j.ir, s'il est ieceissiis., touis l cs thuits, tj ti-c , iintti(-c s et prt.iiu ionis dl'llypiliv t C('l.: tien, le dtindir, i la proprit suivante, sai. - pour satisfairei lhdit o dtre, savoir: UN CEILTAIN lMOl;:IAL'C OU Parcelle de Terre, • iiseill ie avc ls bi .tiseS camlicqratins ui en .i n . dent, Fitui' sur la rive drite du(i Dliayoit Bourbeux, prte.s di Grand Coteau, dans la IParoiss,: St. landrI\. mesurant quarante arpents de ftice sur quii;iriirt arpents de profondeur, (mrsuir siilerrtci!itl ) tant uiie partie d. lal pru ',piiicit t ncilt ,ic .' ; demaiderecsse pat l (i<l r, l par aito ' cSSe. pardevant 'Thbodor Ci Gyol. Notaire pnblic diai et pour la Paruisset d'Or'lcus. tu date du -,' mais I-59, et tant nu 1 c(.u]li,-i-ill Eapiaginl , figu-rant sur l'acte de vviite plus Icnut dlb<rii Sconinme le Ng. 10, et confirie auix Ir-itiirrs rreprsintants lgaux dt Josepli Chlicintini, l '.1 Sipt'mbro' 1 260, et qui conmprelnd ci'tt.,' ptii. ' la t.irre o diimeiurc actuellement le df<ciidir. Conditions:-Comptan t. JAS. G. IhAYES, Si.ni Oplouinss 30 novembre 1;ih. Vente par le lnheril; Etat de la Louisiane. Jolh l?. Singleton, 'oiur de Di Sehili vs. PlaroissT Avoyellc.; Mathirw P. Vernon. No. 4;39G. JIN vertu d'un ordre de saisie ctt de vei!i. 4 lanc dans fl'aitir, ci-clssii.s iinititul', ip: il'iiiorbiile la Cour idu Scptiiin District Jiil Sci:irc' de l Etal de la Luisiminc , sigeant daluns ': pj l7;. a Parouiasse, ,i, s Avoy'v il.s, et Icii ldri .i' j I'ofiirai n Veille publiquio. n pilusi offrant r. Sdri'irc r ci ilihris. ur, It la M:c.S~oli di Cour *i Sc tt, Pa;trii) .r, eni la ville d tI[Kliiit:.i;s, 1t 1 Sctc i cli, i Jantricc r prchin, Gic , I jc'cmniciiacct 11 hticus du miatiii c rintiin:c,, de jour vU joui a'il est iicess;aire, ttiis lis dcro;: titres, iiittii ts t ipritnitioiids dtl id ttll w 1'. V..1 1ion. l*e dlrfecdeir, i la proprit Mniv:nit , ,: pour satifaaire ledit ordre, savoir : Le tiers indivis d'un ciertain 'Morceau de Terre, l.V c t uts, les tis'cc ;c.s :-t :iIlI ', ra*ti isqui on c eil picc lic t, licsll ci cent quaralnti-sept ucits. ('C t tarre uAst bruio :uii Suhd p a r li' :i:l c e au d ie t curr <dit lia!lal, Pt i .s truin atlfiit'i (ic , peir d's terres publipies; et sia uicule cot S tid i!i lBayou Crocodile. Aussi.: Li, tirs d'tni murciau de trti irnivi , mciFiirant cent trenlte-n'euf Cicre', rriscillb.' ai * les !nciinili!-atkin, comnii e tant 1c inor.'i'-u .i: JMill, tlat unlle partie dlu mucrelici I;alii.ali borii dc tous leus cotC s par 1, dli i.cciicc; i lu.lcl:i! Conditionus :-Cii'optln.•tl. JAS. G. IHAYES, S!, ti. Opelousas, ,30 Novembre J -'7. VentqE pal- le h<riI Ettl> de I caia eanc. llypthlito Venable t ai. C)ur ds L)il ic Vs. Iliaris8c'; I_. , LEonard A. Gardinecr. N.i. 1i0C51. EN vertu c1iii, ordrl disiIic t- il il, I latip par 'i honnt-ill bln C<)'ur dut 1<; III D)istriut judiciairii du 'I1 tut dc la Li4,rw, la 1j-dast.urh lt St. L'l.iuhvu n. Ci-~n;iSrittrret a moi iloe , 'leiii laqo i pit, dufia t tiaii- Coruisr, en 'vc,,r t Il u ir1 iu a Iilisor, ( doitt r. saoir, 15 oii r ci!~~: Ici rr, sc.l LeS,1 T ih i i v uoio'.'ii>,~ aI lw l -rs iii iw-ibi ot oihiii d-I jour en jour, r'i r i t t''.sir, t- ' iii tI! SU il it u t eluos L li liul A airdiSUit1intier,' aui xdo d te s, srsaiti it- oir lui t ord MORCEiiAU DE TIERRE, r i. b ' ut a., :io j i-. lri y t 'S t qui i..I!1 pn l tl ~,utIcn, pyi'. dIti i < r I ans. uLula r' susitie Sit* . LettIiIrv iw n iii Nurd par la tirroe dul X iraiuti li t b'rrk'itI et dei tkuis auues coteis par la tl.t i i , Jolii I . cardiliIn Ope~iusaa, 31>ritl i, 'br , "Il't WM.- Airrnd'4on-,, ci-d l deltr Yuurtd&Ie Outi (tis,u Liv, tNC. 511 Pine street, Philadelphie, Peiru tes, uiistruiut'iets dbhti ns rsr ili': l- 1i ge et snu',riaris151 1 ' i ' In', i I l#te su rn 'iu 'Wt, !IL li. iris> l de caip" iiii a(4 la I ois',' unt lrI (v I carulin Ijiti fiti lit otii%!e rt, '. t,