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La revue de Presse KYLIA 1
LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 16 au 22 octobre 2017
LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL
Spécial immobilier : en Île-de-France, le marché
s'emballe
Le 16/10/2017
Prix, volumes, hausses à deux chiffres dopent certaines villes franciliennes de la petite
couronne qui profitent du Grand Paris.
Attractivité. La ligne 11 du métro desservira Romainville (93) en 2022. Les programmes neufs se
c'est même de très loin la solution préférée : ils sont 70% à préférer un appartement en centre-ville, et
seulement 12% à envisager d'acheter en périphérie… Ils sont peu nombreux à imaginer une maison :
9% pour le centre-ville (on peut toujours rêver) et 13% pour la périphérie. Toutefois, à Lille, à
Bordeaux, à Nantes, à Rouen et à Toulouse, la maison de périphérie l'emporte (souvent de peu) sur
l'appartement de centre-ville.
L'impact des donations et héritages
Quoique pleins de projets, les candidats à l'achat interrogés risquent de buter sur une question de
budget. Ainsi, à Nice, la surface moyenne qu'ils prévoient d'acquérir est de 80 mètres carrés, pour un
budget moyen de 276.000 euros. Soit 3.450 euros le mètre carré… 500 euros de moins que le prix
moyen du marché dans la Baie des Anges (source MeilleursAgents). Les prix moyens sont aussi
nettement sous-estimés à Bordeaux (de 800 euros), à Lille (de 440 euros), à Lyon (de 730 euros) ou à
Paris. Pour la capitale, le bien envisagé a une surface de 78 mètres carrés mais l'enveloppe financière
est, elle, de 416.000 euros. Soit un prix moyen de 5.333 euros, bien en-dessous des 8.823 euros de
prix moyen au mètre carré affichés par MeilleursAgents.
Cela n'empêche pas les candidats à l'achat de pressentir que leur capacité d'endettement n'est pas
toujours suffisante. Lorsqu'on les interroge sur les situations les plus propices à l'achat d'un bien,
avant le mariage ou l'agrandissement de la famille, ils citent en premier déclencheur… une donation
ou un héritage. Avec un apport, ils peuvent non seulement viser plus grand, mais aussi obtenir de
meilleures conditions de crédit. Dans des marchés tendus où certains appartements se vendent à leur
prix affiché en quelques heures, l'apport permet aussi de rassurer le vendeur, soucieux de vendre à
l'acquéreur qui présente le dossier de financement le plus solide.
Enfin, s'ils ne sont pas toujours très réalistes sur les prix du marché, les candidats à l'achat ont tout de
même l'intuition que sur le long terme, ils seront gagnants. Aux deux premiers rangs de leurs
motivations, loin devant les autres raisons invoquées, ils avancent le fait de se constituer un
patrimoine pour l'avenir (36 %) et celui de cesser de payer un loyer (33 %).
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Un calcul pas toujours évident
Le calcul n'est pas toujours évident. Prenons un exemple théorique. Pour louer un appartement de
trois pièces et de 55 mètres carrés dans le vingtième arrondissement parisien, il faut compter entre
1.420 et 1.650 euros par mois. Pour acquérir le même bien, il faut prévoir 440.000 euros de budget,
soit un remboursement de 2.295 euros par mois sur vingt ans (un montant qui est toutefois accessible
à peu de ménages). Et ce, sans compter les frais d'acquisition (notaire et droits de mutation), ni les
charges de copropriété. Lissées sur vingt ans, ces dépenses reviennent à 365 euros par mois. Soit un
total mensuel à débourser de 2.660 euros par mois… à supposer qu'un ménage puisse se le
permettre, ce sont tout de même 1.000 euros de plus à débourser que pour le foyer de locataires. A
court terme, donc, la location est clairement gagnante.
Au fil du temps, pourtant, l'acquéreur s'enrichit plus vite : avec des taux d'emprunt exceptionnellement
bas, dès les premières mensualités, il amortit 1.540 euros de capital, soit plus de 18.000 euros
épargnés la première année. Au bout de cinq ans, il aura déjà remboursé 96.000 euros de capital. Le
locataire, lui, à supposer qu'il ait réussi à épargner les 1.000 euros économisés chaque mois (grâce
au loyer moins cher que les mensualités du prêt), et qu'il les ait placés à 1,2 % net (hypothèse assez
optimiste), il sera à la tête d'un capital de 62.000 euros.
Dans cette situation, et même avec des prix d'achat qui peuvent parfois être considérés comme
stratosphériques et qui excluent, de fait, un grand nombre de Français de l'acquisition dans les
grandes villes, l'acquéreur est gagnant… à condition, toutefois, que les prix de l'immobilier ne
s'effondrent pas. Et qu'il n'ait pas été contraint de revendre son bien trop rapidement. Des conditions
qui, on le voit, ne font pas pour autant reculer les intentions d'achat.
Source : www.challenges.fr
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LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE
100 000 postes non pourvus dans l’hôtellerie-
restauration
Le 28/09/2017
L'hôtellerie-restauration enregistre une pénurie de personnel depuis plusieurs années. | Photo
d'illustration : Fotolia
Le tourisme est reparti à la hausse en France cette année. La profession embauche mais peine à
trouver du personnel qualifié. C’est le constat de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie
(Umih). Son vice-président national, Hervé Becam, hôtelier-restaurateur à Plouider (Finistère), détaille
les pistes explorées par la profession.
L’hôtellerie-restauration peine à embaucher. C’est une situation nouvelle ?
Pas tout à fait, mais la situation s’aggrave. Depuis plusieurs années, nous enregistrons une pénurie
de personnel en France d’environ 30 000 à 50 000 personnes, pour un total d’un million d’actifs dans
la branche : 700 000 salariés et 300 000 indépendants. Cette année, ce déficit est encore plus élevé.
Nous estimons à 100 000 le nombre de postes non pourvus.
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Pourquoi ce phénomène ?
Nous constatons une reprise de la fréquentation touristique française et étrangère, notamment
américaine et chinoise. Le phénomène est particulièrement marqué en Ile-de-France et en Provence-
Côte d’Azur. Nous avons besoin de salariés, mais nous avons des difficultés à trouver du personnel
qualifié, alors que la France connaît un chômage très important.
Comment l’expliquez-vous ?
C’est un problème d’image de nos métiers. Quand les jeunes sont en période d’orientation, leurs
parents ne les incitent pas, en général, à se tourner vers nos professions. Ils les poussent plutôt à
faire des études universitaires longues. Mais on voit de plus en plus de bac plus cinq, sans
perspective, face à un mur. Car leur filière ne mène pas à un emploi. C’est pourquoi nous voulons
rappeler que l’éventail des métiers et des compétences requises dans nos métiers est très large :
cuisiniers, réceptionnistes, serveurs, personnels des étages dans les hôtels…
C’est un problème de rémunération ?
Non. En signant le contrat d’avenir avec l’État en 2009, impliquant une baisse de la TVA (aujourd’hui à
10 %), nous nous sommes engagés à proposer des salaires au-dessus du Smic. Aujourd’hui, on
recense de nombreuses offres d’emploi à 1 700-1 800 € net, qui ne trouvent pas preneur. Et qui ne
nécessitent pas cinq ans d’études.
Que préconisez-vous ?
Nous travaillons à des propositions que nous allons soumettre au gouvernement, avant la
présentation du projet de loi sur la formation professionnelle cet automne. Cela concerne notamment
les certificats de qualification professionnelle (CQP). Ils permettent d’acquérir rapidement une
connaissance technique de nos métiers, en formation continue. Aujourd’hui, seuls trois CQP sont
tournés vers nos métiers. Nous proposerons à l’État d’allonger cette liste. Par exemple, en créant un
certificat dédié à la numérisation de l’approche commerciale. Nous comptons aussi travailler avec
l’Éducation nationale afin de favoriser l’orientation vers nos métiers. Pour cela, nous comptons créer
un observatoire de la profession, permettant de mesurer l’évolution des salaires, du temps de travail
etc. Certes, nos métiers présentent des contraintes : on travaille souvent le week-end ou le soir. Mais
on gagne très correctement sa vie. Dans l’hôtellerie-restauration, l’ascenseur social fonctionne.
Source : www.ouestfrance.fr
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Crowdfunding et Franchise
Le 17/10/2017
En octobre, le financement participatif s’invite dans les couloirs et conférences des Salons de
la franchise de Marseille et de Lyon, un an tout juste après leur première entrée à l’automne
2016 !
Entrepreneurs juridiquement et financièrement indépendants, les futurs franchisés rencontrent parfois
des difficultés à trouver les derniers financements nécessaires au bouclage du projet.
Pour les franchisés installés, trouver les ressources nécessaires auprès des institutions bancaires
classiques pour des besoins immatériels comme des travaux ou des recrutements peut également
devenir un casse-tête. Idem pour des enseignes qui souhaitent se structurer ou lancer une campagne
de recrutement de franchisés ou une campagne de marketing/communication.
De plus en plus d’acteurs du commerce organisé se laissent alors séduire par les emprunts
participatifs. Sur les plateformes de crowdlending, les dirigeants lancent leur collecte pour obtenir les
fonds nécessaires à leur développement directement auprès des Français et les remboursent ensuite
chaque mois durant une période déterminée. La plateforme de prêts de particuliers à entrepreneurs,
Lendopolis (KissKissBankBank & Co) était présente début octobre au Top Franchise Méditerranée et
sera au Forum de la Franchise (le 19 octobre) pour présenter cette solution alternative pour financer
sa franchise.
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100 % de réussite pour les entreprises en franchise
“Il y a un peu plus d’un an, nous lancions une offre d’accompagnement et de financement dédiée au
commerce organisée en nous associant à une experte du secteur, Nathalie Dubiez (Aureabee)”,
débute Guillaume Miltin, chargé d’affaires de la plateforme Lendopolis. Ici, les entreprises peuvent
emprunter entre 10 000 à 350 000 euros - pour la totalité d’un besoin, en complément avec une
institution bancaire ou d’un apport personnel. “Les entreprises collectent en dix jours en moyenne les
fonds dont elles ont besoin. Dans un monde fait d’opportunité business, cette rapidité n’est pas
négligeable”, souligne ce dernier.
Sur cette plateforme, les prêts sont sans caution ni garantie : ce sont les Français qui ont le dernier
mot sur la réalisation du projet. Si la société ne parvient pas au bout de sa collecte : les investisseurs
sont remboursés. “Si elle réussit, soit dans 100 % des cas pour les entreprises issues du commerce
organisé, et dans 93 % des cas pour l’ensemble des TPE/PME qui lancent une collecte sur notre
plateforme, l’entreprise rembourse chaque mois, grâce à un prélèvement automatique, sa
communauté de 200, 500, 800 ou encore 1 200 micro-investisseurs”, souligne Guillaume Miltin.
Des besoins de financement de 25 à 200 000 euros
“Bien sûr, les taux d’emprunt sont plus importants - entre 6 % et 10,5 % - que dans les institutions
bancaires classiques. En effet, ces derniers, déterminés par notre équipe d’analystes sont attribués en
fonction de la typologie du projet, de la durée d’emprunt et prennent en compte la fiscalité du prêteur
et le risque d’un emprunt sans caution ni garantie supportée par les investisseurs”, ajoute ce dernier.
Aujourd’hui, ce sont déjà 2,2 millions d’euros qui ont été collectés par des franchiseurs et (futurs)
franchisés pour concrétiser plus de 6,5 millions d’euros de projets. “Les fonds obtenus sur la
plateforme permettent généralement de compléter des emprunts bancaires ou apports personnels”
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souligne l’apporteur d’affaires. “Depuis l’année dernière, nous avons réalisé un très important travail
de pédagogie. Le résultat ? 30 projets d’acteurs du monde de la franchise issus de 25 enseignes
différentes ! Nous sommes très fiers et très heureux de permettre la concrétisation de ces
développements !”, se réjouit-il également. Avec un montant moyen de 78 000 d’euros par collecte,
ces enseignes et franchisés ont réalisé des collectes entre 25 et 200 000 euros.
Une conférence à venir dédiée au financement participatif de la franchise
À l’occasion du Forum de la Franchise de Lyon, deux têtes de réseau témoigneront de leur
expérience au cours de la conférence "Crowdfunding et crowdlending au service des porteurs de
projets”. Guillaume Miltin précise : « Aureabee, expert dans le financement du commerce organisé
sera également présent. Nous vous donnons rendez-vous le jeudi 19 octobre, à 15h au Forum de la
Franchise de Lyon. »
Source : www.leparsien.fr
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10 conseils pour préparer son hôtel pour une séance photo Le 18/10/2017
Les hôtels sont plus que jamais exposés et subissent parfois l'image qu'ils renvoient. À l'heure de préparer des prises de vue pour internet ou des brochures, quelques précautions permettront de rendre plus attractif votre établissement.
Lors d'une séance photo, pensez à agrémenter les lieux grâce à un livre ou un plateau de courtoisie posé sur le lit.
1. Préparez un document de projet incluant : présentation de l'hôtel et objectifs du projet (réseaux sociaux, mise à jour du site internet, création d'un dossier de presse…), cible, format et quantité de photos désirées, délai de livraison et enveloppe budgétaire.
2. Prenez en photo les chambres prioritaires avant qu'elles soient relouées et évitez les check-in anticipés. Communiquer avec vos équipes sur la séance photo évitera des problématiques de dernière minute.
3. Éventuellement, recrutez des modèles pour la ou les journée(s).
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4. Choisissez avec le photographe les meilleurs moments pour chaque espace de vie, selon l'exposition de votre hôtel. Le soleil couchant sera souvent plus valorisant pour les espaces de restauration, le lever de soleil plus intéressant pour les chambres.
5. Ôtez les accessoires disgracieux de la chambre, comme la corbeille ou le sèche-cheveux. En revanche, pensez à agrémenter les lieux : 6. En chambre, un livre ou ordinateur posé sur le lit, le plateau de courtoisie bien disposé.
7. Au restaurant, des tables dressées, une table de petit déjeuner garnie, le buffet de petit déjeuner complet avant qu'il soit occupé par les clients, et au bar, les modèles sirotant des cocktails.
8. Dans le lobby, un réceptionniste remettant ses clefs au modèle ; un jeu d'échecs sur une table, des magazines, des compositions florales.
9. Dans l'espace fitness, des serviettes et bouteilles d'eau bien disposées.
10. N'oubliez pas les espaces séminaires, en les équipant de verres, bouteilles, bloc-notes…
Source : www.lhôtellerie-restauration.fr
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Face à une difficulté de financement, pensez à
la Médiation du crédit
Le 19/10/2017
Problème de trésorerie, rejet d'une demande de rééchelonnement de dette, projet de développement
bloqué à cause d'un crédit refusé... Quand les relations avec votre partenaire bancaire deviennent
tendues, la Médiation du crédit peut vous sortir de l'impasse. Explications avec Fabrice Pesin,
médiateur national du crédit.
L'Hôtellerie Restauration : À quoi sert la Médiation du crédit ?
Fabrice Pessin : À aider le dirigeant qui fait face à un refus ou à une dénonciation de crédit
professionnel qui le bloque dans la gestion de son entreprise jusqu'à, parfois, la mettre en péril.
Quel est le profil des entreprises qui saisissent la Médiation du crédit ?
Toutes les entreprises sont concernées quelle que soit leur forme juridique. La grande majorité d'entre
elles sont des TPE.
Dans quels cas la Médiation du crédit peut-elle intervenir ?
Le fait générateur qui va permettre au dirigeant de saisir la Médiation du crédit est une difficulté de
financement bancaire. Une dénonciation de découvert, un refus de rééchelonnement d'une dette ou
un rejet de crédit… Qu'il s'agisse d'un crédit d'investissement à moyen terme ou d'un crédit de
trésorerie pour faire face à des problématiques de délais de paiement ou de gestion des stocks par
exemple. Nous intervenons aussi en cas de problèmes liés à l'assurance-crédit.
Quelles sont les démarches pour bénéficier de votre intervention ?
Le dirigeant remplit un dossier en ligne qui lui permet de présenter son entreprise, ses partenaires
financiers, sa situation financière, la nature des difficultés rencontrées (refus de crédit, suppression
d'une ligne de crédit...) ainsi que les montants en jeu. Il sera contacté dans les 48 heures par le
médiateur de son département.
Une fois le dossier accepté, comment intervenez-vous ?
Nous essayons de débloquer la situation par le dialogue, après avoir discuté avec le dirigeant et le
banquier en bilatéral, et avoir posé un diagnostic. Il faut bien comprendre que s'il y a blocage de la
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part de l'établissement bancaire, c'est qu'il n'y a plus de confiance. Et s'il y a rupture de confiance,
c'est qu'il y a une raison. En analysant la situation de manière extérieure et objective, nous pouvons
déterminer si le motif de blocage est ponctuel, conjoncturel ou structurel. Si nous estimons qu'il y a un
potentiel de rebond pour l'entreprise, on propose des solutions adaptées.
Combien de temps une médiation dure-t-elle ?
Une médiation peut peut durer quelques jours, ou bien une à deux semaines. Certains cas
compliqués peuvent exiger plusieurs mois.
Ce service est-il gratuit ?
Oui, la Médiation du crédit est un dispositif gratuit et confidentiel proposé par l'État depuis 2008.
Un conseil pour les chefs d'entreprise du secteur ?
Considérer les difficultés de financement comme des signaux d'alerte qui vous incitent à vous
interroger sur vos méthodes de gestion, et surtout avant cela, consacrer une partie de votre temps au
pilotage de vos entreprises : tableaux de bord, de suivi de trésorerie, échéanciers fournisseurs.
Certes, c'est plus facile à dire qu'à faire, mais c'est primordial pour bien évaluer vos besoins en
financement et anticiper d'éventuelles difficultés avec vos banquiers.
Source : www.lhôtellerie-restauration.com
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Ces concepts de restauration qui misent sur une offre 100 % poulet
Le 20/10/2017
Très en vogue dans la restauration rapide, les concepts à base de poulet essaiment partout en
France. Et si après le burger et le bagel, c’était au tour de ce produit de rencontrer le succès ?
Crédits photo : Ingrid Balabanova / shutterstock.com
Les acteurs se multiplient
Bientôt, les Montpelliérains découvriront un tout nouveau concept de fast-food tout droit importé des
États-Unis : Popeyes. Sa particularité : il s’agit d’une chaîne de restauration rapide entièrement
dédiée au poulet et qui recense plus de 2 000 unités dans le monde. Ce rival direct de KFC lorgnait la
France depuis un moment et il vient de signer un contrat de master-franchise avec le groupe
Lodarest. L’objectif : ouvrir une centaine de restaurants ces dix prochaines années.
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Crédits photo : Jonathan Weiss / Shutterstock.com Le numéro 2 mondial du poulet en restauration
rapide ouvre un premier restaurant à Montpellier.
Récemment, ce sont les Parisiens qui ont découvert un nouveau restaurant au drôle de nom dans le
quartier Montparnasse : Poulet Poulette. Ici aussi, l’intégralité de la carte tourne autour du poulet,
celui-ci étant même certifié fermier Loué. « Mais le véritable coup de génie de cette enseigne, c’est de
décliner le poulet à toutes les sauces », souligne Bernard Boutboul, président du cabinet Gira Conseil.
En salade, en sandwich, en tortilla, en burger, rôti… Bref, il y en a pour tous les goûts.
Et cet établissement n’est pas le seul à avoir fait du poulet la pièce maîtresse de son menu. En 2011,
deux frères – Frédéric et Jean-François Marteau – ont en effet ouvert à Lyon un restaurant
entièrement centré sur cette volaille : Lucien & la Cocotte. Le concept ? « C’est l’histoire d’un renard
qui voyage autour du monde, qui chaparde toutes les recettes de poulet qu’il rencontre pour les
ramener en France », répond l’un des cofondateurs. Là encore, tous les plats sont préparés à base de
poulet, la viande étant revisitée sous toutes ses formes.
Le poulet, une valeur sûre
Et la liste est longue : le nombre de concepts spécialisés ne cesse en effet de grandir. Comment
expliquer un tel engouement ? « Tout simplement parce que les Français adorent le poulet », répond
Bernard Boutboul. « Il s’agit d’un produit dont les volumes de vente sont colossaux, mais qui se
déploie encore peu dans la restauration hors domicile. On constate toutefois que c’est en train de
changer », ajoute-t-il. Que ce soit sous forme de wrap, de burger, de sandwich, de plat cuisiné ou tout
simplement en rôtissoire, le poulet est largement consommé dans le pays.
Cela, les restaurateurs l’ont bien compris. « Il y a fort à parier que le poulet fera partie des grands
produits de masse de demain, au même titre que le burger et la pizza aujourd’hui », estime le
président de Gira Conseil. À la différence que le poulet peut se décliner en un grand nombre de
recettes. « On constate même que des concepts étrangers commencent à se développer avec
succès, comme le sud-africain Nandos qui existe un peu partout dans le monde sauf en France, mais
qui pourrait, qui sait, arriver prochainement », renchérit Bernard Boutboul.
Source : www.lesechosdelafranchise.com
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