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Quelques missions et initiatives - Digital et Assurance : • Plusieurs missions opérationnelles de transformation digitale • Médias Sociaux et assurance :
• Organisation depuis 2011 de conférences et animation de Groupes de Travail auprès des Mutuelles de la ROAM • Animation de séminaires de Direction • Réalisation d’Étude d’opportunité sur la présence d’une assurance mutuelle et mise en œuvre (en cours) de cette présence
• Organisation de manifestations sur le Big Data avec le Groupe Thalès et en partenariat avec l’IA
Une introduction au groupe de Travail Big Data et Objets connectés
1. De l’internet à l’internet des objets 2. Le développement des objets connectés 3. Panorama des objets connectés : Particuliers, Entreprises, Collectivités 4. Vers une nouvelle économie des données
1. Big data 2. Partage des données 3. Sécurité des données
5. Impacts sur l’offre d’assurance 6. …et sur le métier d’actuaire
« L'Internet des objets représente l'extension d'Internet à des choses et à des lieux dans le monde physique. Alors qu'Internet ne se prolonge habituellement pas au-delà du monde électronique, l'internet des objets (IdO) a pour but de l'étendre au monde réel en associant des étiquettes munies de codes, de puces RFID ou d’URLs aux objets ou aux lieux. »
« C'est un nombre suffisant pour fournir à chaque personne vivant sur la Terre sa propre liste de milliards d'adresses IP. Suffisant, en d'autres termes, pour donner
à internet un espace infini pour croître dans un avenir proche. » (Google)
« L'idée que tous les objets finiront par être connectés a résolument fait son chemin et personne ne doute plus que cela va advenir. » (Rafi Haladjian, Sen.se)
Permet de contenir quatre milliards d'adresses environ.
Saturation depuis 2011
Permet de gérer 340 trillions de trillions de trillions d’adresses (34 suivi de 40
Type de Systèmes Identification Capteurs Connexion Intégration Traitement
de données Réseaux
Enjeux
Reconnaître chaque objet
de façon unique et
recueillir les données
stockées au niveau de
l’objet.
Recueillir des informations
présentes dans l’environnement pour enrichir les fonctionnalités du dispositif.
Connecter les systèmes entre eux.
Intégrer les systèmes pour
que les données soient
transmises d’une couche à
l’autre.
Stocker et analyser les
données pour lancer des
actions ou pour aider à la prise de décisions.
Transférer les données dans
les mondes physiques et
virtuels.
Technologies utilisées
Codes barre, RFID, URI,
coordonnées GPS, onde
acoustique de surface, puces
optiques, ADN…
Thermomètre, hydromètre,
accéléromètre, capteurs
miniaturisés, nanotechnolo-
gies…
Câbles, Bluetooth,
communication en champ proche, Wi-
Fi, Zigbee...
Middlewares évolués, Analyse
décisionnelle des systèmes complexes…
Bases de données,
Progiciel de gestion intégré, Gestion de la relation client, Entrepôt de données 3D (compatible
avec les puces RFID), Web
sémantique…
Internet, Ethernet, Réseau
EPC global…
Source : Rapport « L’internet des objets » (2008), par Pierre-Jean Benghozi et Sylvain Bureau (Pôle de recherche en Economie et Gestion de l’Ecole Polytechnique) et Françoise Massit-Folléa (programme Vox Internet II) http://www.csi.ensmp.fr/voxinternet/www.voxinternet.org/IMG/pdf/IdO.pdf
Ò 300 milliards de dollars de revenus selon l’Idate
Ò 1 380 milliards d’euros pour Gartner
Ò 6 460 milliards pour IDC !
Ò Selon Gartner, la valeur ajoutée dans les différents segments concernés de l'économie mondiale est estimée à 1 900 milliards de dollars, dont 15% dans l'industrie, 15% dans le secteur de la santé et 11% dans celui des assurances (209 milliards de dollars).
Ò Selon le cabinet d’études économiques Xerfi France, les français auraient consacré 150 millions d’euros en 2013 pour l’acquisition d’objets connectés pour la santé et la maison.
Ò Toujours selon Xerfi, avec une progression de 50% par an entre 2013 et 2016, ces dépenses devraient atteindre 500 millions d’euros en 2016.
Ò Enfin, pour les experts de Xerfi, la concurrence s'annonce "redoutable entre les spécialistes français (Parrot, Netatmo, Withings...), les start-up américaines (Fitbit, Nest Labs), les fabricants d'équipements électroniques grand public (Samsung, Apple...) et les industriels des biens de consommation (Nike, Seb, Terraillon)".
Les pouvoirs publics en font également une priorité !
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Dans le cadre du programme La Nouvelle France Industrielle, les objets connectés ont été identifiés comme l’une des 34 priorités de politique industrielle de la France.
Éric Carreel, le fondateur de Withings, dirige le plan gouvernemental sur les “objets connectés”.
Ò Exemple :Citroën eTouch Ò Grâce à un module GPS et à une carte SIM intégrée au véhicule,
l’automobiliste bénéficie des services suivants : • Citroën Appel d’Urgence Localisé : pour plus de sécurité • Citroën Appel d’Assistance Localisé : pour trouver de l’aide à proximité • Citroën EcoDriving : pour contribuer à la protection de l’environnement • Citroën Carnet d’Entretien : pour prendre soin du véhicule
Habitation : plateforme de pilotage des appareils connectés
Ò LG HomeChat = Ò la connectivité entre l'ensemble des équipements ménagers connectés Ò + application de chat LINE, pour transmettre les messages entre vous et
vos appareils domestiques Ò + interface HomeChat, qui permet de discuter en langage naturel et de
Habitation : plateforme de pilotage des appareils connectés
Ò Samsung Smart Home = Ò plateforme intégrée qui permet aux équipements du foyer de
communiquer entre eux. Ò Device Control sert à piloter les appareils à distance Ò Home View sert à visionner à distance les images émises par les devices
de la maison Ò Smart Customer Service effectue la maintenance des équipements.
A. L’accès aux données par l’utilisateur Ò Il accède à ses propres données :
Ò Issues des capteurs de l’objet Ò Saisies par lui-même
Ò Il accède à des données issues de tiers : Ò Données publiques Ò Données partagées avec lui par d’autres utilisateurs Ò Données des autres utilisateurs, agrégées et anonymisées par le fabricant
et restituées aux utilisateurs (pour définir des moyennes, des tendances, des classements, etc.)
Ò Données de tiers acquises par le fabricant ou fournies par des partenaires
Ò L’intelligence des objets connectés se mesure notamment par leur capacité à exploiter ces données de tiers et à les restituer aux utilisateurs de manière pédagogique, ludique, statistique ou prédictive, pour augmenter la valeur ajoutée du service.
Ò Il récupère, stocke, traite et restitue … : Ò À chaque utilisateur ses propres données de manière transparente
• En garantissant la non consultation par ses soins des données privées individuelles des utilisateurs
Ò A tous les utilisateurs, les données des autres utilisateurs qui ont donné leur accord, de manière anonymisée et agrégée
• Une grande partie de l’intérêt et de l’intelligence des objets connectés tient à la restitution de ces données collectives anonymisées
Ò Il peut proposer à ses utilisateurs des données issues de tiers : Ò Données publiques Ò Données de tiers qu’il a acquises ou fournies par des partenaires
Ò Un utilisateur peut partager ses données (globalement ou partiellement) avec un ou plusieurs autres utilisateurs, voire les rendre publiques.
Ò Dans quels cas le fait-il ? (selon études) Ò Partage des données d’activité sportive sur les médias sociaux Ò Partage des données de santé avec le corps médical (voir
sondage ci-après) Ò Partage avec des tiers si les données sont anonymisées Ò …
D. L’accès aux données par des tiers ou des partenaires
Ò Le fabricant peut communiquer à des tiers, clients ou partenaires, les données issues des utilisateurs Ò Les utilisateurs doivent être prévenus et avoir donné leur accord Ò Les données doivent être anonymisées Ò Le nom des tiers doit être mentionné Ò L’usage qui sera fait des données doit être mentionné
Ò Un site peut « collecter [des informations] pour des finalités déterminées, explicites et légitimes » mais ces données ne peuvent « pas être traitées ultérieurement de manière incompatible avec ces finalités. » (Loi Informatique et libertés).
Ò « Si une société souhaite monétiser sa base de données, elle doit agir en toute transparence, c'est-à-dire informer les personnes ». (Judicaël Phan, juriste à la Cnil).
Ò Le site se doit d'informer l'internaute sur les finalités de la collecte mais aussi sur les différents destinataires de ces informations. Il est possible que ces données soient cédées mais dans ce cas, la personne doit donner son consentement express (accepter les conditions d'utilisation ne suffit pas).
Ò Les informations personnelles qu’un utilisateur doit donner pour créer un compte (le nom, l'adresse e-mail, la date de naissance et le sexe) sont « accessibles aux jeux intégrés, applications et sites web que vous et vos amis utilisez ».
Ò « Nous leur communiquons vos informations de base : votre identifiant d'utilisateur, les identifiants de vos amis et vos informations publiques [au minimum nom, photos de profil et sexe, NDLR]. Si l'application a besoin d'informations supplémentaires, telles que vos actualités, photos ou mentions 'J'aime', elle doit vous demander une autorisation spécifique ».
Ò Mais : « Facebook ne vend pas vos informations personnelles ».
Google affirme « ne communiquer des données personnelles à des entreprises, des organisations ou des personnes tierces qu'avec votre consentement. » « Nous ne vendons pas les informations personnelles de nos utilisateurs. »
Ò « On a expliqué à la CNIL quel type de données on allait agréger, et comment on allait les utiliser. Vous êtes propriétaires de vos données personnelles. Vous les restituez sur des applications gratuites. Le jour où vous arrêtez, vous récupérez vos données. Pour créer de la valeur, il faut des objets grand public simples à utiliser, et rester opérateur de nos données, via nos plates-formes. Nous avons 100 partenaires qui se branchent sur nos services, notamment Microsoft. » (Cédric Hutchings, Withings)
Ò http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/grande-consommation/actu/0 2 0 3 2 5 8 7 2 2 2 0 7 - c e d r i c - h u t c h i n g s - d g - e t - c o f o n d a t e u r - d e -withings-644570.php
Ò RunKeeper Ò Application mobile qui suit le coureur à pied grâce au GPS du
téléphone mobile. Cette application permet de tracer sa course sur une carte et propose les statistiques associées.
Ò « RunKeeper propose à des partenaires affiliés des données agrégées et anonymisées sur les pratiques sportives. A titre d’exemple, de telles données seraient très utiles pour une chaîne de magasin de sport qui veut savoir où implanter ses points de vente. »
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Voir : http://developer.runkeeper.com/healthgraph Source : Les modèles économiques du Quantified Self http://www.20minutes.fr/magazine/secoacher/donnees-objets/les-modeles-economiques-du-quantified-self-100743/
Ò « Tout ce qui est connecté à Internet est susceptible d’être piraté. »
Ò Ex. : « Entre le 23 décembre 2013 et le 06 janvier 2014, 750 000 courriers électroniques malveillants auraient été envoyés via des objets connectés de tout genre, y compris les réfrigérateurs et postes téléviseurs. »
Ò Source : http://www.lesnumeriques.com/cyber-attaque-massive-par-objet-connecte-interpose-n32825.html
Ò « La plupart de ces objets connectés ne sont que très faiblement sécurisés et les consommateurs n’ont virtuellement aucun moyen leur permettant de détecter ou de combattre les infections virales lorsqu’elles arrivent ».
Ò Source : ProofPoint : Ò http://www.proofpoint.com/about-us/security-compliance-and-cloud-news/
Pistes de travail pour certaines déjà engagées par les assureurs
1. Utiliser les objets connectés dans le marketing et la communication (image)
2. Exploiter les données issues des objets connectés 1. Pour optimiser l’analyse des risques ? 2. Pour optimiser la tarification ? 3. Pour la détection de fraude ? 4. Pour améliorer la connaissance des clients ?
3. Faire évoluer le portefeuille d’offres : créer de nouvelles offres ou faire évoluer les offres existantes
1. Assurer les nouveaux risques digitaux : perte ou piratage de données, usurpation d’identité numérique, perte ou vol de matériel digital…
2. Proposer des offres d’assurance avec tarification ou avantages personnalisés selon l’usage (usage-based insurance)
3. Proposer des services digitaux complémentaires à l’assurance personnalisée (Services d’information et de prévention, Services d’alerte et d’assistance…)
4. Proposer des offres d’assurance couplées à l’usage d’un dispositif ou service digital de prévention ou de limitation des risques
5. Commercialiser un dispositif ou un service digital de prévention ou de limitation des risques
Services d’information personnalisée selon l’usage
Ò En parallèle de leur offre Pay-as-you-drive, Progressive et Allstate proposent des services en ligne d’information et de prévention fondés sur la restitution à l’assuré des données collectées sur leur comportement de conduite.
Ò Objectif = inciter l’assuré à améliorer son comportement pour diminuer le risque d’accident.
Offres d’assurances couplées à l’usage d’un objet connecté
Ò MAAF Assurances a initié un partenariat avec la société toulousaine Sigfox, pour devenir le premier assureur à offrir un service de protection de l’habitat des particuliers opéré par des objets communicants. C’est un service d’alerte en cas d’incendie ou d’intrusion connecté au réseau Sigfox. Disponible à compter de janvier 2013, il permettra aux assurés MAAF d’être avertis directement par SMS en cas de détection de mouvements ou de fumées. Le système sera commercialisé au prix de 79€. Le coût de l’abonnement mensuel sera de 3€.
Ò « La solution apportée par Sigfox répond à notre volonté de garantir la sécurité de nos sociétaires en toutes circonstances », ajoute Laurent Pigelet, directeur marketing et communication de MAAF Assurances.
Ò http://www.objectifnews.com/business/maaf-sigfox-assurances-04122012
Offres d’assurances couplées à l’usage d’un objet connecté
Ò Dans le cadre de son offre d’assurance habitation, BNP Paribas Cardif Italie propose un boitier connecté nommé H@bitat, qui surveille l’habitation pendant l’absence des habitants. Le boîtier est intégré dans l’offre d’assurance.
Ò La solution domotique complète se compose d’une box domotique appelée Homebox, d’un capteur de fumée, de 2 capteurs d’inondation et d’un capteur de panne de courant. Les alertes sont communiquées par SMS, e-mail ou téléphone.
Vers une familiarisation progressive avec ce nouvel environnement
Ò Décembre 2013 – BNP Paribas Cardif met les objets connectés à l’ordre du jour de son 7ème Symposium annuel et invite des fabricants à s’exprimer sur le sujet (Withings, Joshfire…)
Ò http://www.bnpparibascardif.com/fr/cid3196337/objets-connectes-une-opportunite-saisir-pour-assurance.html
Vers une familiarisation progressive avec ce nouvel environnement
Février 2014 - La Fondation MAIF lance un appel à projets « Données personnelles. Objets, véhicules, habitats connectés.
Quels nouveaux risques engendrés ? Quels enjeux de prévention et de sécurisation ? »
Ò Objectifs : Ò Etablir un panorama des risques émergents liés à la prolifération des systèmes
utilisant les données concernant directement ou indirectement les personnes Ò Etudier la réglementation dans ces domaines, en particulier pour les enjeux en
matière de risque pour les personnes. Ò Accompagner des projets innovants faisant d’abord un point précis, exhaustif et
hiérarchisé des risques émergents dans le domaine étudié, puis ayant pour objet la sécurisation de ces données et par conséquent la sécurité des personnes (vol de données, usurpation d’identité, harcèlement, prise de contrôle d’un dispositif personnel,…)
Ò Accompagner des projets innovants permettant d’utiliser ces données à des fins de prévention des risques dans les domaines de la vie privée, de la sécurité de l’habitat et de la mobilité (véhicule connecté, autonome, aides à la sécurité, info-divertissement), de la sécurité des objets connectés et de leurs usages.
Ò http://www.centre-francais-fondations.org/news/la-fondation-maif-lance-son-appel-a-projets-donnees-personnelles.-objets-vehicules-habitats-connectes.quels-nouveaux-risques-engendres
Vers une familiarisation progressive avec ce nouvel environnement
Ò Mars 2014 – AXA (via son fonds d’amorçage Axa Seed Factory) et Withings, fabricant d’objets connectés, lancent un appel à projets pour les startups qui souhaitent développer des projets innovants en matière d’objets connecté dans les 3 domaines suivants : Ò Médecine individualisée : plateformes de traitement des
maladies chroniques, auto-diagnostic… Ò Silver Economy : service de confort amélioré, prévention santé,
maintien du lien social, assistance… Ò Big Data : “veille épidémiologique”, tableau de bord au service
CHRISTOPHE GEISSLER Actuaire qualifié et directeur scientifique de Quinten « Le big data peut permettre à l'actuaire de s'interroger sur la validité des modèles » En quoi l'assurance connectée et l'essor du big data peuvent-ils modifier les méthodes actuarielles ? Le big data génère à la fois la multiplication des observations unitaires (nombre d'observations recueillies) et du nombre de variables auxquelles on s'intéresse. À partir de là, les modèles de scoring usuels (attribution d'une note à un client) vont complètement changer. Le big data peut permettre à l'actuaire de s'interroger sur la notion de validité des modèles dans un environnement mouvant alors qu'il se posait jusqu'ici cette question de façon binaire : le modèle est valable jusqu'à ce qu'un autre lui succède. Quels gains en retirer du point de vue de la modélisation ? Le big data pourrait conduire à l'abandon progressif des modèles explicatifs uniques au profit de modèles plus complexes qui visent à identifier des sous-groupes composés de profils hétérogènes d'assurés. Jusqu'à présent, l'actuaire avait recours à des méthodes globales qui recensent l'ensemble des variables explicatives pour établir un scoring d'assurés en IARD. Or, ces modèles actuariels ont le défaut de raisonner comme s'il existait une formule sous-jacente unique pour le comportement de l'ensemble des assurés. Avec le big data et la puissance de calcul associée, de nouveaux algorithmes innovants permettent, par des méthodes d'exploration, de livrer des indications lisibles et vérifiables. On arrive à démontrer qu'un sous-groupe donné a une sinistralité plus élevée. Lorsqu'on limite la complexité des phénomènes recherchés, quand on ne croise pas les variables entre elles à l'excès, on obtient des profils qui ont de bonnes chances statistiques de se vérifier en dehors de l'échantillon d'apprentissage. Dans ce contexte, comment le métier d'actuaire va-t-il évoluer ? L'actuaire va devenir de plus en plus un consommateur et un transformateur de données. Il l'est déjà dans la construction de table d'expérience en mortalité mais il sera amené à collaborer davantage avec des data scientists, ces personnes chargées de collecter et maintenir des bases de données assez hétérogènes. Les organisations doivent se doter de capacités de collecte de bases de données textuelles et numériques. Dans cet environnement, l'actuaire doit se positionner en client du data scientist et en producteur interne de données à valeur ajoutée de type actuarielles pour mieux comprendre les risques. PROPOS RECUEILLIS PAR SÉBASTIEN ACEDO
Objets connectés : Les sources d’intérêts pour les assureurs ?
Vos travaux vont porter sur les liens entre objets connectés et : • La tarification : ajustement des garanties… • Les processus de souscription : base déclarative, base
Quel est l’impact des objets connectés sur la santé ? Les objets connectés améliorent-ils la sécurité de l’habitation ? Les objets connectés améliorent-ils la sécurité de la conduite ?
Les objets connectés améliorent-ils l’environnement ?
La promesse est-elle tenue ? ---
Est-ce aux actuaires de l’évaluer ? En ont-ils les moyens ? Peuvent-ils le faire seuls ?
+ A-t-on suffisamment d’années d’usage derrière nous pour disposer
des données susceptibles de répondre à ces questions ?