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Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

Feb 28, 2023

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Khang Minh
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Page 1: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

Bonn renoue avec PékinQuelques heures après Tokyo

Le ministère des Affaires étrangè-res a annoncé hier que l'Allemagneoccidentale et la Chine ont décidéd'établir des relations diplomatiqueset d'échanger des ambassadeurs.

Un communiqué commun à cet ef-fet sera signé par M. Scheel, le mi-nistre ouest - allemand des Affairesétrangères , et M. Chi Peng-1'ei, le mi-nistre chinois , lors de la visite à Pé-kin de M. Scheel , du 10 au 14 octo-bre.

L'annonce cle l'établissement desrelations diplomatiques entre Bonnet Pékin est survenue quelques heu-res seulement après la signature dudocument par lequel Pékin et Tokyoont décide de rétablir leurs relationsdiplomatiques.

Les négociations germano - chinoi-

ses, qui se déroulaient a Bonn , ontpris fin hier. Entamées depuis troismois, elles étaient menées par dehauts fonctionnaires du ministèreouest - allemand des Affaires étran-gères et par M. Wang Shu, corres-pondant à Bonn de l'agence ChinaNouvelle, qui pourrait être le pre-mier ambassadeur de son pays àBonn.

A Pékin , M. Scheel s'entretiendraavec le gouvernement chinois deaproblèmes des relations bilatérales etde la situation internationale. Lecommerce devrait constituer le sujetessentiel de ces négociations. M.Scheel avait déclaré au cours d'uneconférence de presse, lundi dernier,qu 'un accord commercial germano-chinois revêtirait « un intérêt parti-culier » . (ap)

Formose rompt avec le JaponA la suite de l'accord nippo-chmois

La Chine nationaliste (Formose) arompu officiellement vendredi soirses relations diplomatiques avec leJapon. Cette mesure intervient aprèsla décision de Tokyo et de Pékind'engager des relations diplomati-ques.

Dans les milieux autorisés de For-mose, on décrit l'attitude japonaisecomme étant « un coup de poignarddans le dos » , ajoutant que Tokyo de-vrait porter la responsabilité desconséquences malheureuses quipourraient en résulter.

Le premier ministre de Formose, M,Chang Ching-kuo, fils de Chang Kaï-chek, dénonçant vigoureusement la si-gnature de l'accord entre la Chine et

le Japon, (bélino AP)

S'adressant à l'Assemblée natio-nale , M .Chang a accusé le Japon decollaboration flagrante avec les com-munistes. Il a dit que Formose seréserve le droit de prendre toutemesure nécessaire pour sauvegarderses intérêts.

Il n 'a pas précisé quelles mesuresson gouvernement entendait adopter ,mais a laissé entendre que Formosepourrait rompre ses liens économi-ques avec le Japon.

Ruée ve\rs l' orPar ailleurs , la normalisation des

rapports sino-japonais a déclenchéparmi les industriels japonais unevéritable « ruée vers l'or » . On metfébrilement sur pied toutes sortesd' organismes grâce auxquels les Ja-ponais pourront pratiquer en Chinece qu 'ils appellent « un marketingordonné » , formule que les Euro-péens n 'entendent jamais sans frémirde la tête aux pieds.

(ats , reuter , afp) Des résidus chimiques menaçaientd'empoisonner trois provinces

Dans une petite ville de Belgique

Au cours d'une conférence depresse, M. Van Eslande, ministrebelge de l'Intérieur, a annoncé quedes volontaires de la défense civileont commencé à récupérer depuislundi dernier à Hannèche, petite vil-le du sud du pays, suffisamment derésidus chimiques pour provoquerune pollution mortelle dans troisprovinces.

Selon les experts qui ont examinéles résidus contenus dans 12.000 bi-dons stockés illégalement dans uneusine désaffectée, la quantité de cya-nure d'alcalin serait suffisante pourempoisonner toute l'Europe.

Le ministre, qui a ordonné la ré-cupération de ces résidus « pour évi-ter une catastrophe » , a expliqué que

certains des bidons étaient si forte-ment attaqués par la corrosion quedes fumées mortelles auraient pus'échapper avant peu et polluer, gra-vement l'atmosphère dans les pro-vinces du Hainaut, de Namur et daLiège.

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Le dernier banquet chinoisde M. Kakuci Tanaka

Le dernier banquet du voyage« historique » de M. Takana en Chi-ne , hier soir à Shanghai , a permisau premier ministre japonais et à sonhomologue chinois Chou En-lai, decélébrer avec chaleur le rétablisse-ment des relations diplomatiques en-tre les deux pays. Dans une ambian-ce devenue vite surchauffée par lesnombreux « kampes » au « Mao Tai »(alcool chinois), M. Tanaka a affirméque le Japon et la Chine, « bien queproches, étaient séparés, mais sontréunis aujourd'hui comme de bonsvoisins, et que les gens de Shanghaivisiteront le Japon comme les Japo-nais visiteront Shanghai » .

Trois cent cinquante personnes en-viron participaient au banquet queprésidait M. Chang Chung Chiao,président du Comité révolutionnairede Shanghai, et membre du bureaupolitique du Parti communiste chi-nois. M. Chang Chung Chiao, aprèsavoir pris le soin d'annoncer que lacoutume à Shanghai voulait qu'àchaque toast les verres soient vidésd'un trait jusqu 'à la dernière goutte,a exprimé la joie du peuple de laville devant l'établissement de rela-tions diplomatiques qui « scellentune nouvelle ère d'amitié entre lesdeux peuples, amitié que Shanghais'engage à consolider » . (ats, afp)

Maison en balade près de Montréal

Un grand nombre d'automobilistes ont été passablement surpris, avanid'être contraints de faire demi-tour, hier, quand ils ont voulu s'engagersur un pont, près de Montréal. Une maison était en effet en train de letraverser , tractée par de puissants engins. La bâtisse a été « déposée » surl'autre berge de la rivière, mais nul ne sait si elle y restera longtemps,

ayant peut-être pris goût aux voyages ! (bélino AP)

Quelle est la valeuiréelle de l'accord

de Pékin?Une nouvelle page dans l'his-

toire du monde ?L'alliance de l'Asie et la f i n

de la suprématie occidentale etde la race blanche ?

Ces définitions conviennent-elles et consacrent-elles la norma-lisation à grand fracas des rap-ports entre Tokyo et Pékin ?

Sans doute l'événement est-ilde taille. Mais il s'agit bien da-vantage, dirons-nous, d' une a f f i r -mation et d' une volonté que d' uneréalité. Qu 'il intéresse, en e f f e t ,M. Chou En-lai ou le présidentdu Conseil nippon , le succès ob-tenu est avant tout de presti geet de forme. Mais l' on sait à quelpoint les Orientaux y attachentd'importance. Perdre la face poureux est un malheur irréparable.En revanche, a f f i rmer sa présenceet sa force équivaut à une vic-toire.

C' est à quoi sans doute aurontvisé aidant tout les Japonais ulcé-rés, qui ne pardonnent pas auxAméricains la façon désinvoltedont ils les ont traités , tant ence qui concerne la visite du pré-sident Nixon à Pékin que l' obli-gation soudaine et brutale de ré-évaluer le yen. Il fa l lai t au gou-vernement et au peuple nipponsune revanche et une compensa-tion. En se libérant en quelquesorte de la tutelle américaine pourconclure la paix avec Pékin etétablir des relations profi tablesavec la Chine, M. Tanaka restaureavec éclat la f ierté et l'indépen-dance de l'Empire du Soleil le-vant.

Quant à M. Chou En-lai , il n'apas dû être fâché non pl us d' ac-croître son influence et son pres-ti ge personnels en pratiquant unepolitique de rapprochement si-multané, où il est gagnant surtoute la ligne. En e f f e t , commeaux Américains il impose l' aban-don de Formose et comme auxAméricains il sanctionne le slo-gan : « L'Asie aux Asiati ques » .

Paul BOURQUIN

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Il faut bien le reconnaître, chez nous,ce ne sont pas seulement les opinionsmais les générations qui s'affrontent...

Personnellement ça ne me gêne paadu tout. Car je me souviens de n'avoirpas été toujours d'accord avec monpère, qui ne l'était pas non plus aveole sien !

Et l'on a souvent vu un réactionnairede la plus belle eau engendrer un pro-gressiste, voire un révolutionnaire àtous crins.

Dès lors, pourquoi s'étonner ou s'of-fusquer ?

Tant qu'il y aura des jeunes et dea« vieux » — l'âge n'ayant parfois rienà y voir — on entendra les uns diraoui et les autres non, chaque fois qu'onmarchera aux urnes. La seule chosaà souhaiter étant qu'on ne nous fassapas « marcher »...

En revanche, s'il est une opinioncontre laquelle je m insurge, c est cellequ'expriment certains jeunes qui fontdc leurs aînés les auteurs de tous lespéchés d'Israël.

Ainsi quand ils vous disent : « Ah !il est beau le monde que vous nous lais-sez... » je suis toujours tenté de leurrappeler que les générations qui lesont précédés ont connu un sort toutaussi dur ou incertain, sinon plus, quecelui dont ils bénéficient, avec toutesles facilités et possibilités d'ouvertureet de contestation qu'on leur accorde.Sans parler du chômage et des crisesqui ont marqué des ancêtres, à qui onn'offrait ni des palaces scolaires ouhospitaliers, ni des études gratuites oupayées, ni même la compréhension etla tolérance qu'on affiche aujourd'huivis-à-vis de certains farfelus qui mé-riteraient tout juste d'échanger la voi-ture à papa contre une trottinette.

Bien sur, tout n'est pas drôle dans lestemps que nous vivons. Et si l'on avaitconservé certains rigorisme et certainsprincipes peut-être parlerait-on moinsde scandales et de terrorisme. Commedit le taupier : « Ce ne sont pas lesvrais fous qui m'inquiètent. Ceux-làsont dans les asiles. Mais bien lesdemi-fous qui courent les rues, aveotoutes les apparences de gens équi-librés ».

J'ai beau lui répondre que tout lemonde a son petit grain de folie , levieux sénateur m'a cloué le bec enrétorquant : « Ah ! oui, bien sûr, maisil faudrait aussi que tout le monde aitaussi son petit grain de sagesse ».

Le père Piquerez

/^PASSANT

LE SOUDAN RETIRESES SOLDATS D'EGYPTE

Le porte-parole du gouverne-ment a déclaré hier que le Soudana demandé le rappel de plusieursunités stationnées sur le canal deSuez.

Ce geste illustre la détériora-tion des relations entre Le Caireet Khartoum. Déjà, la semainedernière, le président Noumeiryavait refusé à des avions libyensse rendant en Ouganda de survo-ler le territoire soudanais.

Le porte-parole égyptien a dé-claré que Le Caire est prêt à sa-tisfaire la requête soudanaise etmême à permettre le retour detoutes les troupes soudanaisesstationnées le long de la ligne decessez-le-feu avec Israël.

L'Egypte possède suffisammentde soldats, a-t-il dit.

Selon les services de rensei-gnement, il y aurait environ 2000soldats soudanais en Egypte.

ADHÉSION OU NON AU MARCHE COMMUN

— par O. DUUS —Une semaine après leurs voisins

norvégiens, quelque trois millionsd'électeurs danois vont se prononcerà leur tour lundi par voie de réfé-rendum pour ou contre l'entrée deleur pays dans le Marché commun.

Le « non » de la Norvège a eu unprofond retentissement dans le pays.Les partisans de la CEE, qui comp-tent dans leurs rangs le gouverne-ment et 141 députés sur les 175 quecompte le Folketing, font valoir que

très partis , ainsi que des syndica-listes et des organisations privées,arguent que l'économie danoise peutse passer de la CEE et que le refusd'y entrer n'aurait pas sur elle d'ef-fet durable , que le Marché communest l'instrument de la grande finan-ce et des compagnies multinationa-les, qu'il est antidémocratique et bu-reaucratique.

Ils craignent que le capital étran-

ger ne domine le Danemark et quela nation perde son libre arbitre enpolitique étrangère, ainsi que dansles domaines économique et social.Méfiants à l'égard de leur puissantvoisin allemand , ils affirment qu'iln 'existerait aucun moyen d' empê-cher les Allemands d'acheter desexploitations agricoles et des domai-nes au Danemark.

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ce qui compte essentiellement poul-ie Danemark ce n 'est pas que la Nor-vège ait refusé d'adhérer au Marchécommun , mais que la Grande-Breta-gne en fasse déjà pratiquement par-tie.

Le problème agricoleEn imitant son exemple, non seu-

lement le Danemark pourrait aug-menter le volume de ses exporta-tions de produits agricoles en Gran-de-Bretagne, qui est évalué à troismilliards de couronnes (500 mil-lions de francs) par an , mais encoreleur trouver d' autres débouchés ausein de la communauté et aux prixélevés qui y sont pratiqués. Il en se-rait de même pour ses produits fa-briqués. Ces arguments ne laissentpas insensibles les agriculteurs quicontrairement à ce qui s'est passéen Norvège, sont des ardents parti-sans de la CEE ainsi que la plupartdes industriels danois.

Par contre, si le Danemark demeu-rait en dehors de la communauté , ceserait non'seulement la dévaluationde' la couronne, mais aussi une ex-tension du chômage et l'instaurationd'un régime d'austérité.

Les argumentsdes anti-Européens

Les adversaires de la CEE , qui groupent communistes, sociaux-démoevates de gauche et dissidents d'au

Les Danois se prononceront lundi

Page 2: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

D'excellents spectacles - De grandes vedettes de la scène et de l'écranLa saison théâtrale 1972-1973 à La Chaux-de-Fonds

Pour la saison théâtrale 1972-1973,« Musica Théâtre » a établi un pro-gramme digne de combler les amateursles plus difficiles et de faire prendreau plus grand nombre le chemin d'unesalle de spectacles très jolie et trèsagréable. D'autant plus que l'on n'apas succombé au complexe du « théâtrede boulevard » un peu décrié, et quel'on ne verra qu 'une ou deux piècesde ce genre, d'ailleurs de qualité, aucours de cette saison.

On trouvera ci-dessous le program-me détaillé de cette série de spectacles.

Relevons que « Musica Théâtre » a eul'excellente idée d'introduire , pour cettenouvelle saison, un abonnement pourdix spectacles, ce qui représente desavantages certains pour ceux qui lesouscriront

Soulignons que de grands artistes dela scène et de l'écran pourront êtreapplaudis à La Chaux-de-Fonds : JeanDasté, Jean Piat , de la Comédie Fran-çaise, Edwige Feuillère, dans le rôlepoignant d'une femme qui se penchesur son passé, la grande Maria Casa-rès, Madeleine Robinson , bien d'autres.Soulignons aussi que l'art lyrique aurasa place dans ce programme, avec « Ri-goletto » de Verdi , avec une excellenteinterprétation et un très bon orchestre.Ce sera l'occasion de se rendre compteque la scène chaux-de-fonnière con-vient fort bien a des spectacles de cegenre. « Peer Gynt », au cours de la-quelle Michel Dintrich interprétera lamusique de Grieg, permettra notam-ment aux jeunes qui ne connaissentpas Ibsen d'apprécier son art. Unesoirée de ballets avec la troupe israé-lienne « Hatzabarim » complétera heu-reusement cette série qui sera ponc-tuée, pendant les fêtes de fin d'annéepar la traditionnelle et toujours trèscourue Revue Mayol.

Bref , c'est un programme riche àsouhait que « Musica Théâtre » a pré-paré, un programme de qualité, varié ,divertissant , et qui répond certainementà l'attente de tous les amis de l'artdtamatique. A eux donc de jouer et dese rendre en nombre , et de façon ré-gulière, aux spectacles de cette saisonprometteuse. (Imp.)

Au programme1972

Samedi 14 octobre, Les Fraises mus-clées, de Jean-Michel Ribes (Théâtre duKaléidoscope de Paris) hors-abonne-ment.

Dimanche 22 octobre, Deux Femmespour un fantôme et La Baby Sitter ,de René de Obaldia , avec MartineSarcey et Henri Garcin (Gala Karsen-ty-Herbert).

Vendredi 27 octobre , L'Avare, deMolière , avec Jean Dasté, pour le 300eanniversaire Molière (Comédie de St-Etienne) .

Vendredi 17 novembre, Le Barbierde Séville , de Rossini , avec Les Ma-rionnettes de Salzbourg.

Vendredi 24 novembre, Le Misan-thrope, de Molière, avec Jean Piat , dela Comédie Française (Comédie de Ge-nève) hors-abonnement

Mercredi 29 novembre, La Dame auxcamélias, d'Alexandre Dumas fils(Théâtre de Bourgogne, dir. Alain Mer-gnat).

Samedi 9 décembre, Rogoletto , deVerdi , avec la Société d'orchestre deBienne (Théâtre Bienne-Soleure) hors-abonnement.

Samedi 30 décembre au mercredi 3janvier , La Revue « Mayol », avec JeanDavan. Hors abonnement.

1973Mercredi 10 janvier , Le Doux Oiseau

de la jeunesse, de Tennessee Williams ,adaptation de Françoise Sagan, avecEdwige Feuillère (Gala Karsenty-Her-bert) .

Mercredi 17 janvier , La Célestine, deRojus , avec Maria Cnsarès. (Produc-tions A. Gintsburger et M. Berlin.)

Samedi 17 février, Le Grand Balletisraélien « Hatzabarim ».

Mardi 20 février , Pauvre France !de Jean Cau (d'après R. Clarke et B.Bobrick) , avec Jacqu es Fabbri (GalaKarsenty-Herbert) .

Mard i 6 mars, Peer Gynt , d'HenrikIbsen , mise en scène de Jean Guichard ,musique de Grieg interprétée par Mi-chel Dintrich (Théâtre des Pays de laLoire) .

Mardi 27 mars, Le Locataire , de JoéOrton , avec Madeleine Robinson (Pro-ductions Jacques Vielle) .

Jazz , chanteurs,ballets

Signalons en outre les productionssuivantes qui seront présentées celtesaison soit à la Salle de musique soitau Théâtre, sous les auspices d'autresorganisateurs que Musica-Théâtre :

1972Samedi 30 septembre , Le Dutch

Swing Collège band (Hollande).Mercredi 4 octobre, Récital Guy

Béart.Lundi 30 octobre, Récital Gilles

Vigneault.Samedi 11 novembre, Récital Pierre

Perret.Mardi 21 novembre, Ballet Tchèque.

1973Mercredi 7 février , Grand Concert

Théodorakis (Mikis).Samedi 10 et Dimanche 11 février ,

Récital Fernand Reynaud.Mercredi 14 février, Chris Barber

Jazz-Band .Samedi 17 mars, Récital Félix Le-

clerc.

Dans les cinémas de la régionLa Chaux-de-Fonds# Rio Lobo

Corso. — Dès 16 ans. — Deux géantsdu western, John Wain et HowardHawks dans un film plaisant (voir criti-que dans cette page)© Les charognards

Eden. — Dès 18 ans. — Un longfilm qui commence dès le début duspectacle. Oliver Reed , Candice Bergen,Gène Hackmann interprètent cette his-toire qui risque fort d'émouvoir lespersonnes impressionnables ou nerveu-ses. Cette chevauchée fantastique, eneffet , d'un homme impitoyable bien dé-cidé à se venger sans rémission, pré-sente des images d'une rare violence,mais aussi d'une grande beauté etd'une incontestable noblesse. Tout celaprend au tripes, mais ne laisse pasl'intellect indifférent.Q La comtesse nue

Eden. — En nocturne. — Dès 20ans révolus. — Version originale alle-mande sous-titrée en français et enitalien.#Grand festival Hitchcock

Plaza. — Dès 18 ans. — Jusqu'à di-manche : « Psychose » — Samedi et di-manche à 17 h. 30 ; lundi à mercredià 20 h. 30 : « L'étau » — Deux filmsdus au maître du « suspense » (voirarticle dans cette page).£ Woodstock

Scala. — Dès 12 ans. — Un étonnantreportage sur le grand rassemblementpop (voir critique dans cette page) .O Le groupe

ABC. — Un film de Sidney Lumet,le réalisateur de « Douze hommes encolère » et de « La colline des hommesperdus » qui met toute sa sensibilité àconter l'histoire de huit jeunes filles.Amies pendant leurs études, elles ontévolué, chacune selon son tempéramentet ses aspirations. Que sont-elles de-venues ? Audacieux, franc, humain, unfilm qui fait réfléchir et n'est pas unsimple divertissement.9 Prince Bajaja et Vip, mon frère

le SupermanGuilde du Film. — Aula du Gymnase.

— Bois-Noir. — En soirée de la jour-née du dessin animé et du film d'ani-mation dont nous avons parlé dansnotre page 2 de jeudi. (Voir détails danscette page.)

Le Locle£ Les complices de la dernière

chanceCasino. — Dès 16 ans — Un film

policier dont l'action , rude, se dérouledans les paysages pittoresques des cô-tes françaises et espagnoles, d'où beau-té et mystère réunis.0 La mafia du plaisir

Lux. — Dès 18 ans. — Un « regard »sur les nuits chaudes de St-Tropez ,avec tout ce que cela suppose de bellesfilles, de concours de Miss, de bainsplus ou moins habillés, de promenadesen automobile dans un paysage ré-puté, celui de la Côte d'Azur.% I bastardi

Lux. — En italien. — L'histoire dedeux frères ennemis qui se combat-tent jusqu 'à la mort.

NeuchâtelVoir mémento en page neuchâteloise.

Couvet# Etes-vous fiancée à un marin

grec... ou à un pilote de ligne ?Colisée. — Dès 16 ans. — Jean Yan-

ne, dont on connaît le talent, animeavec Francis Blanche, un autre comi-que, et Françoise Fabian, cette histoirefort drôle.

Le Noirmont# La garce et le truand

Henri Charrière, dit Papillon , ex-bagnard qui fit beaucoup parler delui lors de la publication de ses mé-moires, et Claudia Cardinale, dans unesuite d'aventures policières parfuméesd'exotisme et pimentées de violence.

Dessins animés et animationComme nous l'avons dit déjà , la

Guilde du Film organise aujourd'huimême un « Festival du dessin animéet du film d'animation » à l'Aula duGymnase (Bois-Noir) ; l'après-midi, dès16 heures et jusqu'à 18 h. 30, ce seraune anthologie du court métrage, avecdes dessins animés de l'époque du dé-but de cet art et plus modernes aussi.Fait à souligner : l'entrée à ce spec-tacle — organisé avec l'aide de laCinémathèque suisse — est libre, toutcomme le soir, où, dès 20 h. 30, serontprésentés deux longs métrages :

Prince BajajaLes longs métrages de marionnettes

du Tchèque Jiri Trnka ne se recom-mandent plus. Ils font partie des tré-sors du cinéma. Trnka , né en 1910, estdans les années 50 l'un des grandsmaîtres du cinéma d'animation , à lapointe extrême d'un cinéma personnelqu'il est alors à peu près seul à prati-quer et qu'il porte d'emblée à la per-fection avec, par exemple, « le Rossi-gnol et l'empereur de Chine » (1948)et « Prince Bajaja ». Ce dernier « re-noue avec le mystère, la spiritualité ,

une image de « Prince Bajaja »du Tchèque Trnka.

le sens du merveilleux du monde mé-diéval. Et si certains considèrent« Bajaja » comme le plus beau desfilms de Trnka , c'est qu'il est le pluscontemplatif , le plus secret, le plushiératique, c'est-à-dire le plus pro-fondément caractéristique de son au-teur » (Cinéma 60, No 44).

Thème du flm : « Un jeune paysan ,devenu chevalier, lutte contre desmonstres pour conquérir la fille duroi qui ira vivre avec lui dans sa chau-mière ». Sadoul : dictionnaire des films) .

Vip, mon frèrele Superman

L'auteur, Bruno Bozzetto est né en1938. Il fut un attachant rénovateurdu film italien d'animation avec« West and Soda », son premier longmétrage d'animation qui s'en prenaitau Western traditionnel. On verra aussidans la première partie de la journéed'aujourd'hui l'un de ses célèbres« Signor Rossi », courts-métrages quiont fondé dès 1963-64 sa réputationd'humoriste.

Son second long métrage ; Vip estune histoire pleine de fantaisie surl'invincible héros de bandes dessinées,Superman, qui , en compagnie de sonpetit frère, donnera une heure d'ex-cellent spectacle. Cette parodie semoque avec humour et poésie desbandes dessinées, de la science-fiction,des films d'espionnage et donc ausside certains aspects de la société deconsommation.

Voilà certainement une journée di-gne de captiver tous les cinéphiles etcapable d'apporter à chacun un en-seignement vivant et captivant surl'histoire du dessin animé et du ciné-ma d'animation, et qui montre bienque la Guilde du Film accomplit par-faitement sa mission. (Imp)

«Festival» HitchcockAlfred Hitchcock est ces jou rs à

Zurich , pour y accompagner le lance-ment de son dernier film , « Frenzie » .Le « Ciné-podium », salle pratiquementmunicipale chargée de traiter le cinémacomme fait culturel par l'informationsur ce qui reste méconnu ou doit êtreredécouvert , vient de consacrer un longcycle à l'œuvre ancienne d'Hitchcock.Le cinéaste aura aussi rencontre sesadmirateurs parmi les cinéphiler.. Unegrande maison de distribution améri-caine, dans la foulée de « Frenzie > etpour préparer sa sortie, vient de pro-poser un peu partout un tir groupéde quatre films d'Hitchcock , qui nefurent pas tous ,de j ^ands succès pu-blics et moins encore critiques , saufpour les inconditionnels. Mais Hitch-cock n'a ja mais vraiment perdu sonpublic.

Voici , en cette fin de semaine,« Psycho » ou la terreur arbitraire ad-mirablement fidèle aux règles du sus-pense, jouant sur le « oh , fais-moipeur » — « merci, tu m'as fait peur » ,avoué par qui a tout de même euvraiment peur. Voici « L'étau », prochede l'espionnage , un peu décevant. Puisla semaine prochaine, « Les oiseaux »voleront , petit frère de « Psycho » auxtransparences si visibles qu 'elles mon-trent bien qu 'Hitchcock se croit assezfort — se sait — pour imposer n'im-porte quoi à qui veut bien entrer dansson jeu. Le festival se termine par« Le rideau déchiré ». Hitchcock fail l i tperdre son public , à qui il s'adressetoujours. Il a perdu une bonne partiede la critique ce jour-là , mais il s'enmoque éperdûment, en quoi il a par-faitement raison.

Il semble qu 'avec « Frenzie », Hitch-cock se soit parfaitement retrouvé. Lescritiques adorent le film et le publicrevient en musse. Un petit contrôlesur les films précédents ne sera peut-être pas inutile, (fy)

Rio Lobo d'Howard Hawks« Avez-vous pris un réel plaisir à

tourner « Rio Lobo », demandait ClaudeBeylie. Et Howard Hawks de lui ré-pondre : « Je ne l'aurais pas fait si cen'avait été un plaisir » (Cinéma 71, nu-méro 155, avril). Nous frappent eneffet en tout premier lieu une cer-taine désinvolture, une réelle décon-

traction , un humour simple, le toutqui peut apparaître laisser-aller, mar-ques extérieures de ce plaisir intérieur.A un point tel qu'on se demande sion remarquerait « Rio Lobo » signé parun autre ; mais alors le film seraitdifférent. Hawks a signé ces dernièresannées trois des meilleurs westernsclassiques et traditionnels, « Rio Bra-vo », « El Dorado » et « Rio Lobo > :bilan étonnant.

« Classique et traditionnel » : la for-mule revient partout. Mais que veut-elle dire ? Il y a des hommes et desfemmes qui agissent , mus par des for-ces élémentaires, généralement de bienou de mal séparées. Il ne se posentpas de questions sur le pourquoi deleur action , mais seulement sur soncomment. L'essentiel, c'est de faire lemieux possible ce que l'on doit fairesans s'interroger sur le sens de l'ac-tion. Définition sommaire, mais juste.

« Filmer l'action à hauteur d'hom-me » : autre formule qui revient sou-vent à propos de Hawks. Ce qui signi-fie montrer l'action — il s'agit de celaet de cela seulement — comme laverrait un témoin au regard vif quine s'en mêlerait pas trop. Faire bougerla caméra pour suivre le geste d'unpersonnage, parce que ce geste estimportant. C'est simple en apparence.

« Hawks misogyne » : où diable va-t-on chercher cela ? Il y a dans « RioLobo » un personnage féminin qui re-fuse de rester enfermé dans sa cuisineou le saloon comme c'est souvent lecas dans d'autres westerns classiquesfilmés à ras du sol. Elle participe auxactions avec une efficacité redoutable.Certes, ces messieurs sont un peu sur-pris et ils attendent d'elle des mala-dresses qui se font rares. Hawks, à75 ans, possède cette force sereinequi lui fait aimer la vie sous tousses aspects, « y compris en regardantune femme jeune et belle avec unegourmandise sans équivoque » : la bonnesanté, c'est aussi cela.

Sérieux , classique et traditionnel , àhauteur d'homme et féministe : le tourest fait. La classique attaque du train ,morceau de bravoure du début du film ,est rondement menée. Mais par desmoyens inattendus : une sorte de savonnoir tiré de « Jeux sans frontières »imbibe les rails et l'essaim de guêpesparticipe au combat. C'en est presquedérisoire. Mais combien efficace. Etdrôle ...

« Rio Lobo » est un film jeune. Seulvieillit John Wayne qui a peine àagir comme hier. Mais quelle fraîcheurdans tout ce fi lm.

F. LANDRY

Woodstock : une fêteLe 26 décembre 1970, le cinéma Scala

brûlait , pendant la projection de« Woodstock » de Michael Wadleigh :tout le monde s'en souvient et peut-être certains amateurs de reliques uti-liseront-ils leur ancien billet , commela publicité les y invite. Le 26 décem-

bre, événement mineur, nous consa-crions quelques lignes à ce film , sousle même titre qu'aujourd'hui : personnene s'en souvient. Ce n'est tout de mêmepas une raison pour dire deux fois lamême chose en tentant de faire croireà l'originalité. Je n'ai pas revu « Wood-stock », mais le film est resté bienplacé dans la mémoire. Il ne me semblepas avoir changé en deux ans : bor-nons-nous à nous répéter, brièvement.

Une réserve à faire, une seule :« Woodstock » montrait sous divers as-pects des phénomènes de communica-tion, entre jeunes, entre ces jeuneset la musique, à l'aide de tous lesmoyens techniques, y compris les plusspectaculaires fournis par le cinéma.Mais ce spectacle brillant avec sesartifices empêchait le spectateur d'en-trer à son tour en réelle communicationavec le film : il y assiste un peu en« voyeur ». D'autres films sur des phé-nomènes semblables, « Gimmy Shel-ter » par exemple, conduisent à cettecommunication qui ne signifie pas for-cément adhésion.

Encore : la musique, certes, jouéepar les plus grands orchestres pop,chantée par les meilleurs cette mu-sique n'a de sens que pour unegénération qui refusait aux Etats-Unistoutes les tares d'une société : le ra-cisme, la violence, la guerre, l'injus-tice et le matérialisme.

Surtout : l'information honnête surles mobiles de tous ordres, des plussincères aux plus ambigus qui attirèrenttant de monde à Woodstock, sur ceprodigieux phénomène de civilisation,aussi important et plus significatif quele mai français de 68, qui bousculeles idées reçues. Mais aujourd'hui , toutde même, il y a quelques progrès :longs cheveux ne signifient plus apriori drogue et contestataire.

Le rappel est terminé, mais j'ai glissédeux idées nouvelles...

La mode d'automneet d'hiver

Pour la saison qui s'ouvre les man-teaux sont confortables à souhait. Cer-tains sont garnis de fourrure, d'autrescoupés dans des tissus de coloris lesplus variés. Amples, le dos large entuyaux d'orgue, ils s'adaptent aussibien à la jupe qu'au pantalon. Lepaletot est le best-seller de la saison.Court, long, raglan, kimono, tout enrondeur, il occupe la scène du matinau soir et du soir au matin. En plusde cela, il est pratique et fait unebonne base de garde-robe, accompagnéd'une jupe, d'une robe ou d'un pan-talon.

C'est ce que l'on a notamment puconstater au cours de la présentationde leurs modèles par les magasinsExcelsior à leur clientes, qui ont puvoir aussi que les robes sont en jerseyavec manches classiques ou chauve-souris ; l'ampleur des jupes est nou-velles et complète la gamme des robeschemisier classiques. Les ensemblespantalon et jaquette, avec ou sansmanches, à porter avec blouses oupullovers, ont toujours la grande vo-gue. Ils sont en gabardine lourde ouen jersey.

Quant aux pantalons , ils tiennent lavedette : bien coupés, ajustés à la, tailleet aux hanches, larges du bas, avec ousans revers, en laine ou en flanelle,en velours lisse ou à côtes ; il y en apour tous les âges.

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L'Ordre Rosicrucien

Page 3: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

CE SOIR à 20 h. 30

Jean-Louis DECKERchanteur-guitariste

donnera un récital de chansons à laSALLE DE L'ANCIEN STAND

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FÊTE DU POP, les 27 et 28 octobre 1972à l'Ancien Stand

Le POP cherche du matériel pour son

MARCHÉ AUX PUCESTéléphonez au (039) 26.83.64

En marge d'une inaugurationLes ratons laveurs avaient bien dé-

blayé le terrain. Mais on manqua quandmême d'espace hier après-midi à laMarge qui vient d'ouvrir sa librairierue du Marché 4. Il faut dire que leslecteurs de bandes dessinées ne sontpas tout à fait comme les autres. Unefois le nez dans un volume, ils n 'enressortent que pour plonger sur le sui-vant. Performance non négligeable lors-que l'on tient un verre à la main. Maisdans l'ensemble, tous ces fans et leursamis se sont fort bien tirés d'affaire.

(photo Impar-Bernard

Le plus dur fut de les arracher à leurprospection. Bref , ce fut une inaugu-ration digne de son nom. Les amateurseurent le plaisir d'être orientés dansleurs recherches par des connaisseurs,notamment par les auteurs eux-mêmespubliés aux Editions des Egraz, et deretrouver le populaire Michel Buhler.Rolf Kesselring, Malby et Nicole ontpu présenter, à la satisfaction générale,une partie de leurs ouvrages dont quel-ques inédits qui ont été particulière-ment prisés, (imp)

Rendez-vous des aspirants au diplômede professeur de patinage

Pour la première fois à la Patinoire des Mélèzes

Sur la glace des Mélèzes, M. Jacques Gerschwiler donne l'instruction aux professeurs, (photo Impar-Bernard)

D'habitude, Villars était le lieu cierendez-vous des candidats au diplômede professeur de patinage. Mais cetteannée, et pour la première fois , l'asso-ciation suisse des professeurs de patins ,présidée par M. Hiigin , de Saint-Mo-ritz , a choisi La Chaux-de-Fonds. Uncours de quatre jours —¦ qui a débutéjeudi pour se terminer dimanche —est donné par MM Jacques Gersch-wiler pour les figures libres et impo-sées, et Charly Pichard de Lausanne,

pour la danse. Il réunit une trentainede professeurs, de Suisse et de l'étran-ger.

Treize candidats se sont inscrits pourpasser au terme du cours les épreuvesdu diplôme, alors que les autres atten-dront encore un voire deux ans. Lediplôme de l'Association suisse des pro-fesseurs de patinage n 'est pas facileà obtenir , c'est la raison pour laquelleil a grande réputation à l'étranger.

Le cours est basé sur la méthodeGerschwiler et les figures sont démon-trées par deux espoirs suisses du pa-tinage, Karin Iten et Betina Hiigin.Deux Neuchâteloises y participent :Melles Pia Renz professeur à LaChaux-de-Fonds, et Mme AnnemarieMonnard- Golay, du Locle. Ce coursmettra ainsi fin à la saison estivalede patinage artistique aux Mélèzes,puisque la patinoire sera ouverte aupublic dès lundi 2 octobre, (d)

24 h. en ville

Visiteurs alémaniquespassionnés parla vieille, ville;

A l'occasion d'un récent passageà La Chaux-de-Fonds, les conser-vateurs du Château de Lenzburg(Musée cantonal argovien) et duChâteau de Hallwil, après avoir vi-sité avec plaisir le Musée paysan etartisanal, ont découvert l'urbanis-me chaux-de-fonnier dans les vieuxquartiers construits après l'incendiedu 5 mai 1794.

Ils ont marqué un vif intérêt pourun ensemble architectural caracté-ristique de la fin du XVIIIe et dudébut du XIXe siècles, soit de l'épo-que de l'artisanat horloger, lorsqueles ateliers logeaient dans les « pi-gnons ».

Ils ont reconnu là un témoin rare,sinon unique, d'une ville née dudéveloppement industriel, à partirde la colline du Temple et de la pla-ce de l'Hôtel-de-Ville.

Nouvelle orientation pour Reform SAReform SA, manufacture de mouve-

ments d'horloges électriques et électro-niques, va procéder à une réorganisa-tion de ses activités. Dès la fin de l'an-née, l'atelier de fabrication de mouve-ments (manufacture) passera à l'éta-blissage.

Dix personnes, dont certaines sonten âge de retraite, devront reconver-tir leur activité avec l'appui de la di-rection et en accord avec la FTMH.

Emanation de Schild SA, 137, ruedu Parc, à La Chaux-de-Fonds, Reformmanufacture d'horloges électriquesMatthey-Doret et Cie avait fait place,au mois d'octobre 1968, à une nou-

velle société : Reform SA. Cet atelierartisanal fabrique deux familles demouvements réputés de haute qualitéet occupe sur le marché de la penduleune place de choix avec des produitsde grand standing.

Grâce à son passage à l'établissage,Reform SA va poursuivre ses activitésdans le secteur du marché, en dévelop-pant notamment son département dependules de style (copie artisanale demodèles anciens.)

Parallèlement à sa nouvelle orienta-tion, Reform SA poursuit ses travatixde mise au point de son mouvementà quartz. (Bd)

Chez les boulangers , pâtissiers, confiseurs

La fin de la scolarité obligatoire audébut de juillet constitue, sur le plande l'entrée en apprentissage, un chan-gement complet pour toutes les profes-sions. Au niveau des boulangers, pâ-tissiers et confiseurs, on a profité decréer des cours d'introduction à laprofession. C'est ainsi que le premiercours pour apprentis boulangers-pâtis-siers s'est terminé hier à l'Ecole pro-fessionnelle du Centre de l'Abeille.

En parallèle, un autre cours fut or-ganisé pour les pâtissiers-confiseurs.Ainsi pour la première fois, sept bou-langers-pâtissiers et sept pâtissiers-confiseurs viennent de passer ce staged'introduction. Dès la semaine prochai-ne, ils entreront en apprentissage chezun patron , et, deux fois par semaine ,ils suivront les cours du Centre de

(photos Impar-Bernard)

l'Abeille organisés pour tout le cantonde Neuchâtel.

Si l'on en croit M. Daniel Masoni ,responsable du cours d'introduction ,cette innovation est à renouveler. Elleest pour le jeune homme comme pourla jeune fille une première participa-tion dans la vie professionnelle qu 'ilsont choisie. C'est une orientation pré-cise et sérieuse qui est donnée durantdeux semaines (72 heures) et non uncours de perfectionnement au termeduquel on devrait connaître beaucoupde choses. Par ailleurs, ces cours n'ontpas la prétention de vouloir faire in-gurgiter une potion miracle à chaquecandidat. Mais les connaissances qu 'ilaura acquises déchargeront le maitred'apprentissage de l'élémentaire et fas-tidieux travail de base.

Les matières du cours d'introduc-tion comportaient d'abord l'appellation,l'emploi, le soin et l'entretien des us-tensiles, appareils et machines. Ensuitela technique du travail , chronologiedans le processus d'un travail , la pré-vention des accidents et l'hygiène, l'or-donnance fédérale sur les denrées ali-mentaires, prescriptions fédérales etcours d'hygiène élémentaire.

La première semaine fut ainsi réser-vée uniquement à la boulangerie, alorsque la seconde l'était à la pâtisserie.Sans entrer dans le détail du cours ,on relèvera au passage un programmequi comprend l'apprêt des pâtes engénéral , l'enfournement et la cuisson,l'appréciation des produits cuits, la con-fection de couronnes et de grosses piè-ces tressées, etc.

Dans la seconde semaine, la confec-tion de différents produits en pâtefeuilletée, les charlottes aux pommes,la cuisson de crème et de sucre, l'ap-prêt de différentes pâtes, les différen-tes sortes de cakes, comment fourrerdes mille-feuilles ou tourtes, la pâteà choux et ses dérivés (Saint-Honoréset charlottes bavaroises), la cuisson depetits fours et tant d'autres friandises.

Bref , un programme complet quiillustra bien la nouvelle profession deces jeunes gens. La jeunesse en prin-cipe désire être mieux renseignée, c'estl'évolution. Elle l'est ainsi avec ce quis'est créé à l'Ecole professionnelle duCentre de l'Abeille. Rappelons encoreque ce cours d'introduction fut donnépar MM. Ernest Frischknecht (LaChaux-de-Fonds) et Henri Perriraz(Neuchâtel) pour les pâtissiers-confi-seurs, et Daniel Masoni (Le Locle) etKurt Frey (Boudevillier) pour les bou-langers-pâtissiers. L'effectif pour lecanton sera ainsi porté à 40 appren-tis

R. D.

Nouvelle expérience dans la formation professionnelle

M. et Mme Sommer-Kernen.(photo Impar-Bernard)

Mme et M. Henri Sommer-Kernen,habitant Crêt-du-Locle 19, fêtent au-jourd'hui, entourés de leurs enfants etde leur famille, les 50 ans de leur ma-riage. Un culte sera d'autre part célé-bré aujourd'hui au Temple des Epla-tures. Madame H. Sommer, qui a 71ans, et son époux, âgé de 74 ans, ontpassé 43 ans de leur vie au bureau deposte du Crêt-du-Locle. Elle commeburaliste et lui comme facteur. Les hi-vers étaient particulièrement péniblespour M. H. Sommer qui , journellement,faisait sa tournée à ski, qui durait plusde 7 heures. Cela ne l'empêche pas,malgré son âge, de pratiquer encoreaujourd'hui le ski pour son plaisir. Si-gnalons également que le fils de M.Henri Sommer est l'actuel administra-teur de la poste de Saint-Imier et queMme et M. Henri Sommer-Kernen sontde vieux et fidèles abonnés de « L'Im-partial ».

D'autre part , on nous signale queM. et Mme Louis Evard-Wasserfallen,domiciliés à La Chaux-de-Fonds, ontfêté samedi 23 septembre dernier, les50 ans de leur union. Ils étaient entou-rés de leurs enfants, petits-enfants, pa-rents et amis. Ce fut pour eux unemerveilleuse journée. (Imp.)

De la banque au stadeC'est samedi et dimanche derniers

qu 'eut lieu à Bâle, le tournoi de foot-ball du Centenaire de la Société deBanque Suisse auquel 18 équipes pri-rent part, représentant les sièges etsuccursales de Bâle, Berne, Bienne, LaChaux-de-Fonds, Coire, Fribourg, Ge-nève, Lausanne, Londres, Lucerne, Lu-gano-Chiasso, Neuchâtel , Saint-Gall ,Schaffhouse, Sion , Zoug, Zurich, ainsique Métaux Précieux.

Après un premier tour éliminatoirefort disputé, l'équipe chaux-de-fonnièreréussit à battre les équipes de Lausan-ne, Genève et Londres et fut ainsiqualifiée pour disputer les demi-finales.Ici , elle dut s'incliner assez nettementdevant l'équipe de Bâle, pour ensuitebattre celle de Zurich et obtenir de cefait la 3e place du tournoi derrièreBienne et Bâle.

Deux noces d'or

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Ce week-endà La Chaux-de-Fonds

Musée d'horlogerie : 10 à 12 h.,14 à 17 h.

Musée d'histoire naturelle: 14 h. à16 h. 30, samedi; 10 h. à 12 h.,14 h. à 17 h., dimanche.

Vivarium de la Bonne-Fontaine :9 h. à 12 h., 13 h. 30 à 19 h. 30.

Musée paysan: Costumes et coutu-mes, 14 à 17 h.

Galerie du Manoir l expos. VeraIsler, 15 h. à 17 h.

iAula des Forges : 10 à 12, 14 à 17 h.,

exposition de livres illustrés pourenfants.

Cabaret 55 : Attractions internationalesBar 72 : Dancing-attractions.Le Scotch : Bar-dancing.La Boule d'Or : Bar-dancing.Le programme des cinémas figure en

" page 22.Contrôle officiel des champignons : au

service d'hygiène, place Neuve, sa-medi de 11 à 12 h., dimanche de18 à 19 h.

Pharmacie d'office : Robert , L.-Robert66, samedi jusqu 'à 21 h.„ dimanchede 8 à 12 h. 30, de 16 à 21 h. Endehors de ces heures, le No 11renseignera. ..... -. . ,-. - - . , ¦¦• . .

Service d'urgence médicale et dentaire:Tél. No 22 10 17 renseignera. (N'ap-pelez qu'en cas d'absence'du mé-decin de famille.)

Police secours: Tél. No 17.Feu: Tél. No 18.

'SamediTroc amical (Salle de paroisse) i 9 à

11 h., troc intégral, 11 à 15 h., trocpour porteurs de bons, 15 à 16 h.,vente à tout-venant.

Salle de music : 20 h. 30, Dutch SwingCollège de Hollande.

Ancien Stand : 20 h. 30, récital J.-LDecker.

Galerie Club 44 : 17 h., inaugurationexpos. Espace-camera.

ADC : Informations touristiques, tél.(039) 23 36 10, av. Léopold-Robert84.

Service d'aide familiale : Tél. 23 88 33(en cas de non-réponse 23 20 16).

Alcooliques Anonymes AA : Tél. (039)23 75 25.

Télébible: tél. (039) 26 94 35.

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Page 4: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

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Page 5: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

Les jardiniers loclois préparent le printempsAprès un été gris , f ro id et venteux,

donc pas un véritable été , un automneplus lumineux mais avec un régimede bise, voici que dans les jardins onprépare le printemps. On arrache les

f l eur s des parterres qui avaient subiquelques matins les assauts de la geléeet qui se sont transformées en végé-taux noirâtres. On laboure la terre.El c'est merveille de voir les jardiniersqui d' un rond passablement aplati pardeux saisons de plantations et d'in-tempéries réussissent à refaire un ma-melon dodu d' une belle terre bien la-bourée.

D'ores et déjà on va confier à laterre les bulbes qui feront la florai -son printanière des jardins publics etc'est près de trois mille oignons detulipes de couleurs variées que l'onva enfoncer dans la terre meuble cesprochains jours.

I ls passeront l'hiver en terre et cer-tainement que, comme les années pré-cédentes, on recouvrira les massifs d' untreillis de protection que l' on enlèveraau printemps lorsque les premièrespousses apparaîtront. C' est à ce mo-ment, lorsque les tulipes sont déjà sor-

ties que l' on ajoutera le fond coloréde pensées, de myosotis et de cheyran-thus, quelque 2500 plantes qui ornerontles massi fs déjà avant la floraison.On voit ces jours les jardiniers rem-p lir des corbeilles des plantes geléesqui ne sont plus bonnes qu'à faire duterreau mais les jolies plantes grasses,en form e d' artichauts de couleur gris-vert qui en formaient les bordures etque l'on nomme echeverias, sont soi-gneusement recueillies, mises en hi-vernage dans des couches froides oùdurant l'hiver elles se développeront ,fa i san t pousser à la périphérie deséclats , tout comme les bulbes de tulipesse multiplient. Et ce sont ces nouveauxsurgeons que l'on utilisera pour lesbordures f ines tandis que les anciennesplantes , toujours utilisées, serviront debordures aux massifs plus larges.

Depuis 1963 , année où toutes lesplantes gelèrent , aucune nouvelle ac-quisition d' echeverias n'a été faite etles plantes que l'on a vues en borduresdes parterres proviennent toutes de

celles qu'il fallut acheter après le gel.Si la grande majorité des plantesqui forment le fond des massifs pro-

viennent de serres de Marin, par con-tre les echeverias hivernent et se re-produisent dans des caves locloises.

Hôte de marqueAu cours d'un voyage entrepris dans

les Montagnes neuchâteloises, l'ambas-sadeur des Etats-Unis en Suisse elMadame Shelby C. Davis ont visitéles usines de Zenith Time SA au Locle,où ils ont été accueillis par M. JamesR. Collier, président et administrateur-délégué, et la direction de l'entrepriselocloise.

Prenant la parole au cours de laréception qui suivit, M. Davis a expri-mé son intérêt pour l'industrie horlo-gère neuchâteloise et les efforts quela firme locloise entreprendra bientôtsur le marché américain.

M. et Mme Davis lors de la visite

|i C O M M U N I Q U É S ;i^ ^ m m m^ mm *mmm<mmm, m m*à

Les Brenets.A l'Hôtel de la Couronne, aujourd'hui

dès 20 h. 30, match au loto organisé parle Hockey Club.Au manège du Quartier s/La Chaux-

du-Milieu.Concours hippique intercantonal ro-

mand. Samedi 30 septembre, 13 h. 30,cat. M 1. Dimanche 1er octobre, 8 h. 30,Prix de la Société de cavalerie du Locle,Cat. M 1. 13 h. 30, Prix du Conseild'Etat de Neuchâtel, parcours de puis-sance. Samedi soir, dès 20 h., au ma-nège, bal.

Le livre, symbole de liberté...«Lecture chouette»: une réalisation remarquable, mais trop brève !

« Vous pouvez toucher tout ce qui est exposé » : on est à ce point habitué aucontraire, même dans l'enfance, qu'il a fallu donner par un écriteau cette re-commandation aux visiteurs de l'exposition « Lecture chouette » ! Et ils ne sefont pas faute, heureusement, de suivre l'injonction, ces visiteurs. Agés de 4 à15 ans, ils sont venus en masse, toute cette semaine, à l'Aula du collège desForges, participer à « Lecture chouette ». Participer, car c'est de cela qu'ils'agit dans cette salle qui abrite, jusqu'à dimanche soir encore, cette manifes-tation enthousiasmante qui est beaucoup plus et beaucoup mieux qu'une expo-sition au sens classique du terme. Et qui constitue une expérience à ce pointpositive qu'on espère bien la voir renouvelée, si ce n'est perpétuée, sous une

forme ou sous une autre...

(photo Impar-Bernard)

« Lecture chouette » : nous avons dé-jà parlé, ici , de cette réalisation collec-tive due à l'initiative des bibliothèquesdes jeunes et de Coop-Loisirs. Ellemarque, à La Chaux-de-Fonds, la cé-lébration de l'Année internationale dulivre proclamée sous les auspices deI'UNESCO. Elle fut d'ailleurs, exceptéune exposition consacrée à l'éditionsoviétique, la seule manifestation del'AlL en ville. On peut dire aujour-d'hui qu'elle le fut dignement : rare-ment illustration aussi évidente auraété faite du concept de lecture libéra-trice, de lecture créatrice et récréatri-ce, qui doit fonder la promotion et ladiffusion du livre partout dans le mon-de.

L'HARMONIE NATURELLE« C'est formid' ! ». « C'est bien, on

est bien ici, les livres et les films sontintéressants ». « C'est dommage que gane dure pas plus longtemps ». « Pourma fête et pour Noël , je demanderaides livres » : ce sont des garçons et desfilles, arrachés un bref moment à leursdécouvertes et à leurs voyages par l'es-prit, qui nous donnaient hier ces ap-préciations. Comme ce fut le cas tousles jours de cette semaine, ils em-plissaient littéralement la salle d'expo-sition , installés à même le sol ou surdes sièges et ne quittant le bouquinclans lequel ils étaient plongés quepour aller en admirer ou en emprun-ter d'autres sur les rayons. Ou pouraller faire partager la joie d'une belle

image, d'un texte passionnant, à uncopain ou à une copine. A chaque ins-tant aussi, la salle de projection seremplit de jeunes spectateurs fascinésqui y viennent découvrir sur écrand'autres livres, dont les illustrations etles textes prennent une dimension plusspectaculaire grâce au travail de MM.Vincent, Gogniat et de comédiens duTPR. De temps à autre, Mme Aeschi-mann ou l'une de ses collègues desbibliothèques des jeunes doiven t bienintervenir, mais c'est plus souvent pourrépondre à une demande de renseigne-ment, pour donner une explication ,que pour calmer un tumulte. Dans cecadre coloré, animé, chaud, l'harmonies'est installée « naturellement » : les li-vres sont pour les enfants, les enfantssont pour les livres, et la liberté, l'éva-sion, le rêve, puis la création sont lesépanouissants corollaires de cette sym-biose.

JOIE DE LIRE, JOIE DE CRÉER

Le cadre, parlons-en également. Ilconstitue à la fois une des causes etl'une des conséquences du succès del'entreprise. Une des causes, car ladécoration de la salle, composée de des-sins, peintures, collages, affiches , etautres œuvres entièrement réaliséespar des élèves de jardins d'enfants, declasses primaires de la ville comme dela campagne ou encore par des élèvesdu Centre IMC est une petite merveilleesthétique, en gros comme- en détail ,

et s'harmonise parfaitement au thèmedes livres, de leurs personnages. Unedes conséquences, parce que l'enthou-siasme spontané, le travail d'équipe,la facture même ..de cette décorationprouvent abondamment combien • lajoie de. créer peui-lûèVenir. indissocia-ble de la joie de lire, fj our peu que lachoix et l'usage dh livre soit correcte-ment inculqué aux gosses, ce qui estvisiblement le cas à La Chaux-de-Fonds.

SUCCÈS OBLIGE...Le gros effort consenti par les or-

ganisateurs de « Lecture chouette » sevoit donc couronné de la plus totaleréussite. L'exposition vivante a connuune fréquentation qui n'a fait que croî-tre. Nombre d'adultes et même de per-sonnes du troisième âge ont trouvé à lavisiter un plaisir qu'on ne peut querecommander à chacun d'aller prendreaussi ce dernier week-end d'ouverture.Car c'est bien l'ombre au tableau quise dégageait de l'impression unanime-ment enthousiaste des jeunes : une se-maine, c'est trop court. Au moment où« Lecture chouette » va fermer ses por-tes (des raisons techniques se sont op-posées à une prolongation qu'auraitjustifié le succès), il y a lieu de se de-mander si une telle expérience peutvraiment rester sans suite. Avec « Lec-ture chouette », c'est une formule nou-velle qui a été trouvée. Il serait dom-mage de ne pas l'exploiter. On pourraitimaginer ainsi qu'une telle manifesta-tion soit renouvelée chaque automne,en collaboration peut-être avec les li-brairies de la ville. Mieux encore : onpourrait imaginer, à moyen terme, quedans les écoles une salle permettantce libre contact entre l'enfant et le li-vre soit à disposition des élèves enpermanence, comme complément dé-centralisé aux bibliothèques des jeu-nes...

Il est vrai que La Chaux-de-Fondsoccupe déjà une situation de pointedans le domaine de la lecture enfanti-ne, grâce à la collaboration et à l'ou-verture d'esprit manifestée par les ani-mateurs des bibliothèques comme parle corps enseignant. Mais succès obli-ge... comme la noblesse du sujet : lelivre, symbole de liberté , de progrès,de civilisation.

MHK

Décès de M. Charles DrozVendredi matin est décédé à l'Hôpi-

tal de la ville, dans sa 65e année, M.Charles Droz , une figure bien sympa-thique. Il était l'un des vieux membresdu FC La Chaux-de-Fonds, l'un decette fameuse équipe « Les Varloppes »qui conquit le titre de champion ro-mand. Après avoir participé au Comitédes séries inférieures et des juniors,il entra au Comité central du FC LaChaux-de-Fonds et fonctionna commesecrétaire durant de nombreuses an-nées. Sur le plan professionnel, il tra-vailla au Service des automobiles avantde devenir secrétaire à la Préfecturedes Montagnes.

1HHSSSHH Feuille dAvîs desMontagnes I—MffllMI

Musée des Beaux-Arts : samedi 14 à18 h., dimanche 10 à 12, 14 à 18 h.,expos. Daniel Schinasi.

Cinéma Casino : 17 h., film en italien ;20 h. 30, Les complices de la der-nière chance. Dimanche, à 14 h. 30.

Cinéma Lux : 17 h., film en italien ;20 h. 30, La mafia du plaisir.

Grand-Cachot-de-Vent : Gravures deHap Grieshaber.

Permanence médicale : en l'absence dumédecin traitant, tél. No 17 ouservice d'urgence de l'hôpital, tél.(039) 31 52 52.

Permanence dentaire ! tél. No 17 ren-seignera.

Pharmacie d'office : Breguet, samedijusqu'à 21 h., dimanche de 10 à12 h. et de 18 à 19 h. Ensuite letél. No 17 renseignera.

M E M E N T O1 iLes gens qui traversaient la fron-

tière pour se rendre en Suisse se sontvu remettre aujourd'hui un question-naire établi par la Commission fédéra lepour une conception globale des trans-ports. Le Dr Hurlimann, conseiller na-tional et directeur de la commission,avait besoin, en e f f e t , dans le cadrede son étude, de certains renseigne-ments ayant trait non seulement à ladensité du tra f i c d' entrée en Suisse,mais encore à la nature de ce trafic(moyen de transport, durée du séjour,motif du voyage etc.). Selon des ren-seignements pris au poste frontière duCol-des-Roches, il semble que, d' unefaçon générale les automobilistes sasont prêtés de bonne grâce à cette en-quête. (Imp.)

Enquête à la frontière

MERCREDI 27 SEPTEMBRE

Promesses de mariageSchneiter Jean Jacques, bijoutier ei

Legros Annick Thérèse Hélène. — Gus-set Charles André, valet-chauffeur e1Baggio Vilma Maria.

Décès' "VÔn Allmen, née ' Robert-Tissot AlicsLina, ménagère, née le 1er décembre1897, veuve de von Allmen AlberlChristian. — Mùhlemann Friedrich,maçon, né le 11 octobre 1890 , céliba-taire. — Vuille, née Piemontesi Antoi-nette, ménagère, née le 4 mars 1897.veuve de Vuille Charles Verner.

JEUDI 28 SEPTEMBREPromesses de mariage

Ryser Jean Marcel, étudiant et So-guei Marie Claire Marlyse. — SchochJean Paul, géologue et guide de mon-tagne et Berset Dominique.

DécèsHeld, née Widmer Marguerite Louise,

ménagère, née le 2 janvier 1903, épou-

se de Held Marcel André. — Stehle,née Metzger Emma, ménagère, née le8 mars 1909, veuve de Stehlé MariusJacob. — Weick, née Pelletier RoseLéa, ménagère, née le 30 août 1901,veuve de Weick Georges Willy. — Les-chot, née Guyon Marie Aline, ména-gère, née le 14 octobre 1891, veuva deLeschot René.

Etat civil

COMMUNIQUÉSmm*mm»mm m*'m m m m mm m^ mm *i

Guy Béart pour la première fois à LaChaux-de-Fonds.11 est célèbre et , surtout, aimé. Son

public n'a pas d'âge ou plutôt a tousles âges. Les chansons, la voix, la gui-tare de Guy Béart nous touchent, carelles traduisent d'une manière origina-le les rêves, les amours, les joies et lesrévoltes de chacun d'entre nous, ainsique cet impérieux besoin de fantaisiequi rend la vie plus supportable en cesiècle. C'est un poète que « Coop Loi-sirs » a invité mercredi 4 octobre, à20 h. 30, Salle de Musique.

Club Patria.Ce soir, au restaurant des Endroits,

bal.

A. l'Ancien Stand.Aujourd'hui, 20 h. 30, Jean-Louis

Decker, chanteur-guitariste, donnera unrécital de chansons. En première par-tie : « Cris des hommes et chants d'a-mour », en deuxième partie : « Chan-sons de foi et d'espérance ».

Vente-kermesse.A la grande salle paroissiale Notre-

Dame de la Paix, vente-kermesse 1972.Aujourd'hui dès 14 h., groupe Mme Ba-ratelli, 19' h. repas, 20 h. soirée de l'a-T.itié. Dimanche 1er octobre, journé efamiliale, 11 h., apéritif en musique,12 h. repas, 14 h., vente, groupe MmeBaratelli.

On cherche des images...

Avec la collaboration du Club descinéastes-amateurs des Montagnes neu-châteloises, l'ADC-Office du tourismelance un appel aux cinéastes-amateursqui auraient filmé les divers actes del'Année Jaquet-Droz 71, soit :

— Les expositions dans les Muséesdes beaux-arts, d'horlogerie de LaChaux-de-Fonds et du Locle (Châteaudes Monts) et du Musée paysan (LesEplatures) ;

— Le cortège de la Fête de la mon-tre et braderie chaux-de-fonnière, pourqu'ils leur confient leurs bandes oufragments afin de les visionner, éven-tuellement recopier , et en tirer legrand film « Année Jaquet-Droz » quirestera dans les annales comme unedes réussites de la région et un succèsde la coopération entre La Chaux-de-Fonds et Le Locle. Quand il sera réali-sé, on le projettera à côté du chef-d'œuvre d'André Paratte « Vivre saville ».

Depuis hier soir, c'est la grande fêtechampêtre aux Joux-Derrière. La nou-velle patinoire naturelle à dispositiondepuis l'hiver dernier a permis la créa-tion d'un club de hockey sur glace quia demandé son admission à la Liguesuisse. Mais la patinoire naturelle abesoin d'aménagements. C'est pour fi-nancer ces derniers que le Hockey-Cluborganise une fête champêtre qui sepoursuivra jusqu 'à dimanche soir. Unecantine couverte accueillera huit centspersonnes et les distractions ne man-queront pas.

Fête aux Joux-Derrière

Un grand week-end cadetGrâce au dynamisme de ses respon-

sables et à l'intérêt qu'ils savent com-muniquer à leurs membres, l'Union ca-dette des Planchettes connaît depuisquelques années une activité réjouis-sante.

La population du village aura l'oc-casion de s'en rendre compte ce week-end. Aujourd'hui tout d'abord , une soi-rée entièrement préparée par des nou-veaux chefs d'une quinzaine d'annéesaura lieu au pavillon des fêtes. Enplus des chants et de la traditionnellepièce de théâtre, il y aura une disco-thèque et ensuite de la danse.

Demain après-midi, lors d'un thé-vente, les cadets animeront des jeux ,vendront différents objets qu 'ils ontconfectionnés eux-mêmes et organise-ront une tombola et un marché auxpuces.

Le bénéfice sera entièrement utilisépour l'aménagement du nouveau localdu groupe, situé dans une ancienneferme au-dessous du pavillon des fêtes.Plus de 30 enfants comptent donc surla générosité de leurs aînés pour pou-voir poursuivre leurs activités, les-quelles profitent à l'ensemble du vil-lage, (rey)

LES PLANCHETTES

Les fonctionnaires du poste dedouane français du Col France,près des Villers, on eu la mainheureuse jeudi soir. Dans une voi-ture qui revenait de Suisse, con-duite par un commerçant portu-gais demeurant en Angola, qu'ac-compagnait son épouse, ils ontdécouvert un lot de trois centsmontres qui étaient dissimuléesdans différentes cachettes. Lecontrebandier a été écroué dansles prisons de Besançon tandisque la marchandise et le véhiculeont été saisis par la douane. (1)

Grosse prise au Col France

Page 6: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

i

D'accord—ces deuxenregistreurs à cassette sont

signés Philips.Mais permettez-nous d'ajouter

encore quelque chose.Le N 2204 est un magnéto- jusqu'à complet déroulement du aurions pu vous épargner tous glage automatique, réglage tonalité,phone à cassette réseau/bat- câble). Quoi d'autre : un réglage cesdétailscarPhilips-c'estbien prise haut-parleur, y compris micro-teries avec lequel vous pouvez automatique de la modulation, connu - ne fabrique que des phone à télécommande, étui et cas-enregistrer ou écouter à volonté. Un haut-parleur. Un réglage de enregistreurs à cassette de toute sette C 60.Jusqu'à deux heures d'écoute tonalité. Une entrée pour micro- première qualité.ininterrompue sur cassette lon- phone. D'autres pour votre radio. Mais il faut se rendre à l'évi- N 2205 — magnétophone à cassettegue durée. Et comme il s'agit Votre tourne-disques aussi. Et dence: certains lecteurs sont réseau/batteries pour l'enregistre-d'un appareil à deux pistes, vous une prise pour écouteurs. Et une moins bien informés que d'au- ment et l'audition avec clavier àpouvez resterd'autantplus long- sacoche en simili-cuir. très. touches, réglage tonalité, arrêt auto-temps en bonne compagnie. Avant de conclure, permettez- Ces autres, auprès desquels il matique, prise haut-parleur, contrôleIl a plus d'une corde à son arc. nous d'ajouter encore quelques nous faut nous excuser car nous de modulation par instrument.y com-Une alimentation par six bat- motssurl'enregistreuràcassette ne pouvions pas prévoirque-sa- pris microphone à télécommande etteries 1,5 volts ou par bloc d'ali- réseau/batteries Philips N 2205. chant tout cela- ils aient pu se cassette C60. Etui N6706: Fr.21—.mentation réseau incorporé. Des II a tout l'équipement de l'en- passer jusqu'ici des agréments grat is ¦ ¦ ¦ ¦ HOii éMtransistors , des diodes. Une vi- registreur à cassette réseau/ d'un enregistreur à ' cassette Ja H-J \'A i"ï h FsCItessededéfilementdontles fluc- batteries N 2204. A peu de Philips. Ba? arm \.\ sL, H B MJStuations n'excèdent pas 0,4%. choses près. Plus un arrêt auto- ¦ ¦ ¦ «M ¦ ¦ mmWUn microphone avec télécom- matique en fin de bande. Plus N 2204 — maanétonhonR à cassette ;$«8èJ»Mf5»»a^mande (vous pouvez vous éloi- un clavier à touches. Et un plus réseau/batteries pour l'enregistre- fHf Kgnerde l'enregistreurà votre gré, grand haut-parleur. Entait, nous ment et l'audition. Modulation à ré- |H ||k

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Page 7: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

Le lac de Neuchâtel est en voie de guérisonInauguration de la station d épuration de Colombier

Notre lac va beaucoup mieux ; il n'est pas encore sauve, mais tout laisseespérer qu'il retrouvera sa pureté initiale. Ce miracle a pu être réaliségrâce aux efforts entrepris par la Confédération, les cantons et les com-

munes, pour construire les stations d'épuration des eaux.

C'est par ces mots que M. CarlosGrosjean, conseiller d'Etat , s'adressaaux nombreux invités qui, hier en find'après-midi, assistaient à l'inaugura-tion de la station de la Saunerie, àColombier.

La lutte menée contre la pollutioncommence à porter ses fruits dans leLittoral. Les travaux entrepris onttoutefois transformé un liquide com-mun en un produit précieux : le prixde mètre cube d'eau qui était jusqu 'icide 12 à 14 centimes va passer à 2francs le mètre cube. Augmentationdue aux traitements et à la dépollution.La population doit prendre consciencede ce fait et ne plus vilipender l'eaucomme chacun avait pris l'habitudede le faire.

La station d'épuration de la Saunerietraite les eaux des communes de Co-lombier, Auvernier, Peseux, Bôle etCorcelles-Cormondrèche: Elle est rac-cordée à 12.625 habitants, chiffre quisera certainement doublé en l'an 2000.Elle traite également les boues pro-venant de ces régions ainsi que celles

de la station d'épuration de Cortaillod-Boudry. La station de Saint-Aubin -Gorgier actuellement en construction,traitera les eaux de ces deux commu-nes, mais enverra les boues à Colom-bier

UN PEU D'HISTOIRELes délégués des communes se sont

réunis pour la première fois en juillet1961. Après la sanction du règlementdu Syndicat d'épuration des eaux de laSaunerie par le Conseil d'Etat, en 1966,les travaux ont immédiatement com-mencé. L'exploitation a débuté en jan-vier 1970 déjà , la mise en service dela seconde chaîne pour le traitementdes boues ayant eu lieu au printempsdernier.

Les frais de construction s'élèventà 8 millions en chiffre rond : subven-tion cantonale 40 pour cent, subven-tion fédérale 12 pour cent, syndicat paremprunt 48 pour cent. Pour ce qui estdes frais d'exploitation, ils seront ré-partis au prorata de la population. Pourl'exercice 1971, cette charge s'est éle-vée à 36 fr. 20 par habitant. Il va sans

dire qu'il s'agit-là d'une lourde chargepour les communes, qui devront en tenircompte dans leur budget. Les contri-buables en feront du reste tout autant !La station de la Saunerie s'élève enbordure du lac, entre Colombier et Au-vernier. Les participants ont longé lesdifférents bassins, admiré la splendidefontaine de P. Roethlisberg, visitéplus ou moins longuement les multi-ples locaux et silos, certains n'étanthélas pas dotés d'un parfum de mar-que. D'aimables paroles ont été pronon-cées par M. Pedroli , de la direction del'Office fédéral pour la protection del'environnement et M. Bernard Leder-mann , président du Conseil intercom-munal.

Les invités se sont ensuite retrouvésà l'Hôtel du Poisson à Auvernier pourun repas excellemment servi. De leurplace, ils voyaient ce lac de Neuchâtelque les pessimistes considéraient com-me irrémédiablement perdu il y a quel-ques années, ce lac qui, heureusement,est en excellente voie de guérison grâ-ce aux efforts entrepris et aux sacrifi-ces financiers consentis par les commu-nes pour lutter contre la pollution, re-vers de notre civilisation (rws)

Agréable conférence dans une confiserieLa conférence a laquelle ont été con-

viés les journalistes vendredi matinétait certainement la plus douce del'année. Organisée par la Société despatrons confiseurs - pâtis siers - glaciersdu canton, que préside M. Hess, deNeuchâtel , elle était spécialement con-sacrée aux pralinés.

A base de chocolat et de crème, lepraliné est la carte de visite du confi-seur. Chaque jour, il en confectionnede nombreuses variétés, ce produit de-vant être consommé très frais . Et cha-que jour, ies connaisseurs les dégus-tent avec le même plaisir.

Pourquoi une Quinzaine du praliné,telle celle qui se déroule actuelle-ment d ans toute la Suisse ? Pour met-tre en valeur une friandise, certes, maisaussi pour attirer l'attention du publicsur le travail effectué par les confi-seurs, véritables artistes, aussi bienpour composer une spécialité que pourla présenter. La carnpagne de recrute-ment qui semy.ljiftcée prochainemen taura du reste-.p 'oiïr-y thèniê ':- trois plai-sirs - un ' métier : être confiseur. Plai-sir de l'oeil , du goût et de la création.Cette profession attire, devrait attirerdevrait-on dire, aussi bien les jeunesgens que les jeunes f i l les . Un articlepubl ié dans la page féminine de notrejournal de vendredi préci sait le che-min à parcourir pour acquérir les con-naissances voulues.

Actuellement, la société cantonale

groupe une trentaine de membres,alors que 800 confiseurs - pâtissiers -glaciers sont réunis en associationnationale.

La visite du laboratoire de confiseri eainsi que la dégustation de pralinésmirent un terme for t agréable à cetteconférence, (rws)

Après la fête villageoiseLes présidents des sociétés du vil-

lage se sont réunis récemment sous laprésidence de M. Piero Vadi, prési-dent de l'Union des sociétés locales,pour prendre connaissance du résultatde la fête villageoise organisée enmai dernier, à l'occasion de l'arrivéedu Grand Prix suisse de la route.

M. Piero Vadi, président du comitéd'organisation, a tout d'abord rappeléle magnifique succès que cette mani-festation a remporté, pour une bonnepart grâce à l'appui des autorités com-munales. Il a également adressé sesremerciements à tous ceux qui ontcollaboré à l'organisation de cette fête.

M. Piero Vadi a ensuite communi-qué les comptes, qui se sont boucléspar un bénéfice appréciable qui a étéréparti équitablement entre l'Uniondes sociétés locales et les sociétés quien font pai-tie. (mo)

CERNIER

Travers : récital du troubadour DeckerHier soir, en la salle du château, le

troubadour Jean-Louis Decker, quel'on entendra ce soir samedi à la salledu Stand de La Chaux-de-Fonds, adonné un récital de poésie et de chan-son, tout de finesse, devant une assis-tance où dominait la jeunesse. Attirépar les productions de J.-L. Decker àla TV, par une récente Présence pro-testante qui lui a été consacrée, et sonpassage il y a peu à la Prise-Imer, lepublic a aimé réentendre et la guitareet les chansons bibliques de ce pas-teur poète et chansonnier Celles enparticulier où la parole sonne et con-duit à l'exemple qui tonne, comme di-

M E M E N T O

Ce week-endau Val-de-Travers

Médecin de service : du samedi à 12 h.au dimanche à 22 h., Dr Blagov,Fleurier.

Pharmacie de service : du samedi à17 h. au lundi à 8 h., pharmacieBourquin , Couvet.

Ambulance de jour, tél. (038) 61 12 00 ;de nuit , tél. (038) 61 13 28.

CinémaCouvet. — Colisée : Samedi, dimanche,

mardi , 20 h. 30, dimanche, 14 h. 30,Etes-vous fiancée à un mari n grec...ou à un pilote de ligne ?

La Fête des vendanges de Neuchâtela pris hier soir un excellent départ

Dans une ville interdite a la cir-culation, des milliers de personnessont entrées, hier en f in d'après-mi-di déjà, dons la grande manifesta-tion automnale : la Fête des ven-danges. Comme le veut une tradi-tion;.:bien établie, le -temps- était clé- 'merii, ce qui permettra aux Neuchâ-telois et à leurs Kôf es de vivre «dansla rue » jusqu 'à dimanche à minuit.La foule a, sans interruption, f a i td'innombrables va-et-vient entre lestrois principaux points d' attraction :la place du Port envahie par lescarrousels, la tente dressée par lacommune de Cornaux — hôte o f f i -ciel de la f ê t e — où coule naturel-lement le vin du pays et une oasisnommée Pop-Club, splendidementréalisée par la Table-Ronde au pro-f i t de la Pouponnière des Brenets,où se produisent d' excellents or-chestres.

Pendant toute la soirée, un grou-pe de tambours costumés a fa i t la

« boucle ». Le bruit de leurs instru-ments couvrant pour quelques ins-tants les rires qui éclataient sousles poignées de confetti , la voix deschanteurs espagnols juchés sur unchar, les accords des orchestres qui,

- dan s la- rue, fon t danser les gens.. Le vin qui coule dans les fontai-

" nés, les brasiers où rôtissent sau-cisses et côtelettes, réchauffent uneatmosphère pourtant bien chaude.La Fête des vendanges de Neuchâ-tel a démarré dans la joie, bienavant l'ouverture of f ic ie l le qui seraproclamée cet après-midi. Le centreretrouvera un certain calme diman-che après-midi. Malgré deux nuitsblanches , ses habitants se joindrontaux dizaines de milliers de visiteursattendus pour assister au clou de lamanifestation : le cortège qui, à14 h. 30, déroulera ses splendeursdans le circuit des Beaux-Arts.

(rws)

Le fossé se creuseCoordination scolaire

Quand, le 30 mai 1969 à Mon-tagny, les conseillers d'Etat romandsjetaient les bases de la coordinationscolaire, ils n'ignoraient pas que lechemin qu'ils prenaient était par-semé d'obstacles. Pour eux, l'har-monisation des systèmes scolairesétait l'une des nécessités tellementévidente qu'aucun problème, à prio-ri, ne semblait insoluble. La coor-dination devait se faire. Et bienque née d'une initiative romande,elle devait se réaliser à l'échelonnational. Tout d'ailleurs, au traversdes contacts pris entre chefs dedépartement, laissaient à penser quel'objectif pouvait être atteint et quela coordination, au contraire d'unrenforcement d'une entité linguisti-que, devait permettre de donner unenouvelle unité à une école suissedisparate et de ce fait , pleine d'in-convénients. Au regard des derniè-res votations intervenues dans cer-tains cantons, il apparaît actuelle-ment que le clivage entre la Suisseromande et la Suisse alémanique,celui-là même qu'on voulait éviterà tout prix, se soit renforcé.

On le sait, l'une des modalitésles plus importantes du concordatconsiste en la généralisation du dé-but de l'année scolaire en automne.Si dans les cantons romands, l'unitéa pu se faire, il n'en a pas été demême dans le reste du pays pourdes motifs souvent divergents, maisqui ont abouti à des consultationspopulaires gravement négatives. Le4 Juin a été un jour sombre pour

la coordination puisque les corpsélectoraux de Zurich et de Bernese prononçaient contre cette rentréescolaire en automne, affirmant net-tement leur volonté de maintenir ledébut de l'année au printemps. Dé-cision lourde de conséquence, d'au-tant plus que le Jura bernois s'estmontré catégoriquement pour l'har-monisation des cycles. Cette régiondevra donc dans un avenir immé-diat, être soumise à un statut par-ticulier pour pouvoir néanmoinss'intégrer au circuit de l'école ro-mande. Bâle-Ville a adopté la mêmeposition , obligeant de ce fait ré-cemment le demi-canton de Bâle-Campagne à casser sa décision d'ap-pliquer toutes les modalités duconcordat et de revenir à la rentréede printemps, interrompant ainsigravement l'expérience qui étaitdéjà en cours. « Ce qui ne peut quese constater, à défaut de le déplo-rer, disait avant-hier le présidentdu Conseil d'Etat neuchâtelois, M.François Jeanneret, c'est que toutatermoiement dans la partie aléma-nique du pays renforce par natureles progrès de l'école dite romande.Il nous appartient alors de veiller àce qu'aucun fossé ne se creuse entreles deux parties du pays. » Ce quisemble de plus en plus difficiledans la mesure où les grandes villesalémaniques n'ont pas voulu suivrecette coordination romande et suissecentrale qui prend de plus en plusd'avance.

J.-A. LOMBARD

PAYS NEUCHATELOIS • PAYS NEUCHATELOIS • PAYS NEUCHATELOIS ¦

Exposition commémorativeUne exposition commémorative « Ed-

mond Privât 1889 - 1962 » sera pro-chainement organisée à Neuchâtel. Lecomité de gestion du Fonds EdmondPrivât en a fixé l'inauguration au sa-medi 7 octobre, à l'aula du Collègelatin. Une exposition aura lieu, pen-dant un mois, à la Bibliothèque de laville, dans le même bâtiment.

Un blesséAu volant d'un bus VW, M. G. Chi-

riaux, domicilié en ville, circulait ruede l'Orangerie. Arrivé au carrefour duFaubourg du Lac, il eut la route coupéepar la voiture de M. J.nP. G., domicilié

j à . Chez-le-Bart. Ce dernier....circulaitdans le Faubourg du Lac et ne s'arrêtapas au signal « stop ». Souffrant de di-verses blessures, M. G. Chiriaux a ététransporté à l'Hôpital de la Providence

NEUCHÂTEL

Ce week-end à NeuchâtelFête des vendanges : samedi, dès 15 h.

Cortège des enfants, à 16 h. Stadede la Maladière, 20 h. 30, paradedes fanfares. Dimanche, 14 h. 30,cortège et corso fleuri.

Pharmacie d'office : jusqu 'à 23 heures,Armand, rue de l'HôpitalEnsuite, tél. (038) 25 10 17.

CinémasApollo : Samedi, 14 h. 45, 20 h. 30, di-

manche, 20 h. 30, Le médecin deHambourg (17 h. 30, film en italien).

Arcades : Samedi , 15 h., 20 h. 30,dimanche, 17 h., 20 h. 30, La cour-se du lièvre à travers les champs.

Bio : Samedi, 16 h., 18 h., film en ita-lien ; 20 h. 45, L'aventure c'estl'aventure ; 23 h.. Sexualité inter-dite. Dimanche, 18 h., film en ita-lien ; 20 h. 45, L'aventure c'est l'a-venture.

Palace : Samedi , 15 h., 20 h. 30, di-manche, 17 h., 20 h. 30, La reli-gieuse.

Eex : Samedi, 15 h., 17 h. 30, 20 h. 45,dimanche, 17 h. 30, 20 h. 45, L'enferde l'érotisme.

Studio : Samedi, 14 h. 45, 20 h. 30, di-manr 'ie, 20 h. 30, La fiancée duvampire. Samedi, dimanche, 17 h.30, film en italien.

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présente ses collections «Fourrure» et «Boutique»dans le cadre du salon de thé sélect Manuel, placeSaint-François, Lausanne, du 3 au 6 et du 17 au 20octobre, dès 16 h., et sa collection «Prestige» avecles modèles exclusifs fourrure de Christian Dior,lors d'un dîner de gala — aux chandelles — enla Rotonde de l'Hôtel Beau-Rivage, Ouchy-Lau-sanne, le vendredi 13 octobre, dès 19 h. 30, avecréservations au (021 ) 26 38 31. 21053

Une voiture se jettecontre les rochers

Vers 20 h. 10, hier, un automobilistecovasson, M. L. P., circulait sur la rou-te La Tourne - Les Grattes. Dans lepremier virage à gauche, situé au lieu-dit le Point-de-Vue, probablement en-suite d'une vitesse inadaptée, il a per-du la maîtrise de sa voiture qui estallée s'écraser contre les rochers sursa droite. Il n'y a pas eu de blessémais les dégâts matériels sont impor-tants.

LA TOURNE

Nouveau gendarmeA la suite de la démission du gen-

darme Huguenin, déplacé à Boudry, M.Demierre a été nommé à ce poste, (bz)

sait le reformateur Jean Calvin, Celaa été hier soir une excellente soirée.Decker, qui fut en France un élève dupasteur de Travers, a été introduit etremercié par celui-ci. (rt)

Une tradition localeIl y a septante ans, les enfants de

l'Ecole du dimanche ont planté un til-leul au Plan-Dufour. Depuis lors, cha-que année, lors d'un après-midi d'au-tomne, de jeux, de concours et d'unfameux goûter, les enfants protest antsdu village vivent au P lan-Dufour desheures ensoleillées. On fai t la rondeautour du tilleul qui a belle allure, onlui chante quelque chose et, au coucherdu soleil , après les jeux, c'est encoreune tradition bien vivace, on tire à lacorde , f i l les et garçons, puis les vain-queurs contre les p ères. La traditiona été respectée cette année, et dans lajoie , la petite jeunesse du village abeaucoup vibré d' autant plus que mo-niteurs et monitrices ont rivalisé dezèle pour organiser des jeua: et desconcours plaisants, (rt)

COUVET

DISTRICT DU VÂL-DË-TRAVERSl

[VAL-DE-RUZ '

Page 8: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

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notaires, Saint-Imier

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45 CV ; 1 pont pour tracteur ;1 char à pneus ; 1 autochargeuse« Bûcher » ; 1 râteau soleil « Vi-con » ; 1 pirouette « Fahr > ; 1 râ-teau à cheval ; 1 soufflerie «Wan-ner»; 1 épandeuse à fumier «Alt-haus » ; 1 charrue à pommes deterre ; 2 herses, dont 1 de prai-rie ; 1 semoir à engrais « Aebi » ;2 tonneaux à purin ; 1 glisse ;1 hache-paille ; 1 coupe paille ;1 coupe racines ; 1 moteur élec-trique 4 CV ; 1 scie à ruban ;1 tronçonneuse ; des cloches, des :chevalets, des ustensiles pour lelait et quantité d'autres objetsdont le détail est supprimé.

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Page 9: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

Nouveau bâtiment des postes aux Breuleux

Le nouveau bâtiment, rue de la Gare

Les travaux de construction de lanouvelle poste commencés l'automnedernier sont maintenant en voie d'achè-vement. Les appartements, dont deux dequatre pièces et demie et quatre de trois

pièces et demie, seront termines aux en-virons de mi-octobre. Quant au bureaude poste, il sera vraisemblablement misen service dans le courant de janvier oufévrier prochain. (texte et photo pf)

La Société fédérale de gymnastique deSaint-Imier à travers ses 125 années d'existence

Fidèle à l'idéal de ses fondateurs, lasection de Saint-Imier, de la SFG cé-lèbre en cette fin de semaine le 125eanniversaire de sa fondation.

Les responsables de la section n'ontpas voulu donner à cet anniversaireune ampleur égale à celle qui a carac-térisé, en particulier les fêtes du cin-quantenaire et du centième anniversai-re de la section. En effet , un « 125e »aux yeux de beaucoup n'a pas la si-gnification d'un demi ou d'un siècled'existence. C'est pourquoi le program-me des 30 septembre et 1er octobre1972, n'offre pas la richesse d'une can-tate fraîche et joyeuse (musique deJacques Ruegg, paroles de P. Ecuyer)comme celle chantée lors du cinquan-tenaire par 40 jeunes garçons, 25 jeunesfilles et un groupe de gymnastes à fin1897, ni la couleur et l'éclat des « Ré-miniscences » si gaies et pimpantes,applaudies par un public enchanté, lorsde la commémoration du centenaire àfin septembre 1947 ; ces « Réminiscen-ces » possibles grâce à l'enthousiasmeet à l'esprit de solidarité des sociétéslocales : l'Orchestre symphonique, leCorps de musique, l'Orphéon mixte, laCorale ticinese, l'Union chorale de la« Gymnastique des dames » et des pu-pilles, d'un groupe de fillettes ; possi-bles aussi et pour une si large partau talent de Pierre Châtelain, pour lesparoles, de André Luy, pour les arran-gements musicaux, William Montandonpour les ballets et Henri Aragon pourles décors.

Si ce 125e sera plus sobre, ces j our-nées n'en fortifieront pas moins lesliens étroits et solides qui unissent lesgymnastes.

FONDATIONCe sont des hommes courageux , dé-

cidés qui ont été à l'origine de la so-ciété. Ils étaient 33 à signer le 27mai 1847, l'appel suivant adressé à lapopulation de Saint-Imier : « Avec lesprogrès naissent de nouveaux besoins.Nous possédons de bonnes institutionspubliques, qui s'améliorent tous lesjours et où l'on implante de bonnessemences qui contribuent puissammentau développement intellectuel de lajeunesse. Mais la tâche n'est pas rem-plie, le but n'est pas atteint. Pour fairede bons et utiles citoyens, les exer-cices corporels doivent jouer un certainrôle dans la part d'instruction de cha-cun. Et puis l'organisation toute récented'un corps d'utilité publique, celui desSauveurs, nécessite à Saint-Imier, laformation d'une société de gymnastique,qui remplirait le but désiré et com-blerait surtout une lacune de nos èta-iblissements scolaires. Nous faisons doncun appel aux personnes qui voudraients'y intéresser, les priant d'apposer leurssignatures ci-bas, pour ensuite consti-tuer la société sur les bases qu'elleadopterait. »

Le 31 mai suivant se tenait la pre-mière assemblée générale. Le 13 juilletde la même année la seconde assembléeapprouvait le règlement et deux joursplus tard, réunis pour la troisième fois,les fondateurs nommaient le premiercomité définitif avec comme président :M Auguste Jeanmaire et comme mo-niteur général : M. Lucien Morel, et entête de son règlement la section placecette noble devise : « Patrie — Force —Amitié. »

SUR LE CHEMIN DE L'AVENIRL'histoire nous enseigne que l'année

1847 fut très mouvementée dans le

pays. La patrie courait un grand dan-ger. Des germes de division se mon-traient partout. Les haines politiqueset confessionnelles armaient des frèresles uns contre les autres. Eh bien, ily eut à Saint-Imier des citoyens quiparlèrent d'entente, d'union pour cul-tiver un art nouveau dans le Vallonet leur voix fut entendue.

C'est grâce à ces sentiments, à l'es-prit de ses pionniers de la premièreheure que la société a pu maîtriser lesdifficultés nées de la malice des temps,aller de l'avant et prospérer.

DE LA RECHERCHED'UN TERRAIN

A LA HALLE DE GYMNASTIQUELe premier souci des gymnastes est

de trouver un emplacement, ensuiteun local couvert , acheter et confec-tionner des engins, car tout était àcréer. La Bourgeoisie, d'abord , sou-tient la jeune section ; puis celle-ciloue en 1853, un local proche du «Liond'Or». Elle se déplace ensuite à l'an-cien stand. Puis elle établit elle-mêmeune place de gymnastique à proximitéde la propriété Clément. Plus avant ,elle peut disposer durant quelquetemps d'un local à l'Hôtel de la Cou-ronne. Elle sera mieux logée après l'a-chèvement de l'Ecole secondaire. Enfin ,elle achète 2000 m2 de terrain d'un deses amis, M. Agassiz, sur une partieduquel devaient être construits la hallede gymnastique récemment démolieavec son préau et le complexe deshalles actuelles, la société ayant aban-donné son terrain à la Municipalitépour permettre la réalisation caresséedepuis longtemps : la construction dugrand bâtiment , décidée finalement parl'assemblée de commune en 1880 ; cettehalle on la donnait en exemple, commeles nouvelles ; les gymnastes disposentpar ailleurs du magnifique stade «Lon-gines»..

BANNIÈRES, BRILLANTCOMPORTEMENT ET SUCCÈSComme toutes les sociétés la « Gym »

fut désireuse d'avoir un symbole ; sapremière bannière date de 1849 déjà ;la seconde fut inaugurée 20 ans plustard , la troisième en 1879. L'année du90e anniversaire donna lieu à l'inau-guration d'une nouvelle bannière, ladernière datant de 1972. Portées avecfierté, défilant dans les rues de lacité , elles revenaient des fêtes avec à

, leur hampe, le fruh de l'effort, de ladiscipline librement consentie des gym-

; , nastes, récompense qui se présentaitsous la forme d'une couronne, la sec-tion des pupilles ayant sa propre ban-nière. En effet , sous la direction demoniteurs compétents et dévoués, en-couragée et soutenue, bénéficiant delarges appuis, la section fit des progrèsconsidérables. Elle se fit connaître auloin. Elle s'imposa comme l'une desmeilleures, tant sur le plan collec-tif que sur le plan individuel, lors dafêtes fédérales, cantonales, régionales,jurassiennes, lors d'imposants rassem-blements de gymnastes. Elle connutdes succès retentissants. Ils lui valurentdes réceptions au cours desquelles toutela population enthousiasmée partageala joie et les réussites de la section.Ses gymnastes aux concours aux en-gins, aux « nationaux », à la lutte, àd'autres disciplines encore, ont obtenudes succès que l'on qualifierait « d'é-poustouflants » dans le jargon sportifd'aujourd'hui. Les noms de ces repré-sentants figuraient généralement entête des classements, ce qui n'est paspeu dire et témoigne de la volontéinébranlable des gymnastes de resterfidèles à leur devise et à celle de laSFG.

FÊTES A SAINT-IMIERLes gymnastes de Saint-Imier ne se

contentèrent pas d'aller s'imposer etde cueillir lauriers ou chênes, lors demanifestations à l'extérieur.

La section, en effet , a elle-même or-ganisé de très nombreuses fêtes etautres manifestations, parmi les plusimportantes du canton entre autres. Ilen est même aujourd'hui qui ont prisune telle ampleur, un tel volume que

l'on ne saurait songer à en renouvelerl'organisation, faute de terrains vala-bles en suffisance. Nous pensons, ici,plus spécialement à une fête cantonalebernoise de gymnastique comme celleque Saint-Imier eut l'honneur et lemérite de mettre sur pied en 1911.

DE GÉNÉRATIONEN GÉNÉRATION

Les générations ont succédé aux gé-nérations. Les sections pupilles et pu-pillettes et des dames témoignent leuramitié, leur précieux concours . à lasection mère. Transmettant le flam-beau de leur idéal, les générations degymnastes ont assisté à d'importantschangements. Jeunes et moins jeunesils ont contribué, sinon participé acti-vement à promouvoir de nouvellesstructures, de nouvelles mutations , avecle désir sincère de servir. La tâche desresponsables n'est pas facile. Inspirésde l'exemple des fondateurs et deceux qui leur ont succédés, aidons-lesà la remplir en songeant également aufutur tout en témoignant reconnaissan-ce et gratitude à ceux qui ont si admi-rablement construit le passé de la sec-tion, (ni)

Conférence des directeurs d'arrondissement postalLa conférence annuelle d automne

réunissant les onze directeurs d'arron-dissement postal a tenu ses assises les25 et 26 septembre à Boinod et à Por-rentruy, sous la présidence du direc-teur des services postaux. Le directeurgénéral du Département de la posteassista également à une partie de laréunion.

Le but visé par ces conférences estavant tout le soin des contacts per-sonnels entre les participants, l'infor-mation réciproque, le traitement dequestions relatives au service postal,l'échange d'impressions ainsi que la sau-vegarde de l'unité de doctrine. L'essen-tiel a porté sur les efforts à déployerpar les services postaux, en collabora-tion avec les directions d'arrondisse-ment et compte tenu des impératifs del'heure ainsi que des besoins actuels etfuturs, en vue de développer le serviceà la clientèle et d'appliquer les métho-des les plus modernes de gestion d'en-treprise.

Des contacts avec les autorités can-tonales et communales et des personna-

lités intéressées à l'entreprise des PTTont donné l'occasion d'un bénéfiqueéchange de vues sur les problèmes àrésoudre au profit commun de l'en-treprise et de sa clientèle, (comm.)

Tramelan: cinquantenaire de la Société d'ornithologieAujourd'hui samedi, la société d'ornithologie est en fête à, l'occasion de la célé-bration de son jubilé : 50 ans d'existence. En fait, cet anniversaire est commé-moré avec un an de retard car à la date où il devait avoir lieu, la société étaitpressentie pour organiser une grande exposition à l'occasion du cinquantenairede l'Association jurassienne. Désirant faire les choses au mieux, les respon-sables de la société d'ornithologie de Tramelan avaient donc décidé de reporter

leur jubilé à plus tard.': . /v ' > i .

Il semble que c'est en 1898 déjà quel'idée de former une société d'ornitho-logie à Tramelan ait germé, mais di- ¦vers obstacles empêchèrent les deuxpromoteurs, MM. Jean-Samuel Mon-baron et Adam Rossel, de poursuivreleur but. Pourtant, en 1902, une exposi-tion était mise sur pied. Il fallut ce-pendant attendre une vingtaine d'an-nées pour voir enfin se constituer,le 19 novembre 1921, une société d'or-nithologie. Une trentaine de membresparticipaient à cette assemblée.

LE PREMIER COMITÉDans le but de sauvegarder les in-

térêts des éleveurs dé . lapins, poules,pigeons et autres animaux de. basses '¦:cour, un premier comitetllut constitue. *Il comprenait-lés persoruies<»suivantesiiw.vrCharles MatheZ-Tschanz, président , Re-né Etienne-Voumard; vice-président,André Châtelain, secrétaire, Luc Ga-gnebin-Mathez, caissier, Paul Châte-lain-Peçon, Charles Châtelain et PaulMonnier-Wiedmer, membres. Immédia-tement, il fallut recruter du monde et ,peu après la fondation , une campagnede recrutement était organisée. Les

nouveaux membres bénéficiaient d'uneréduction sur la finance d'entrée Unedeuxième action prenait corps et, cettefois, c'était à la population entièreque les membres de la société d'orni-thologie s'adressaient. Il fallait meu-bler la bibliothèque avicole et tousceux qui possédaient quelques livresétaient sollicités. Ces deux actions con-nurent un grand succès.

UN PREMIER PRIXEn 1923 la société, forte de 72 mem-

bres, organisait la lre exposition juras-sienne qui connaissait un succès sansprécédent mais qui, surtout, laissaitun joli bénéfice.

.y , De plus, la société organisatrice sevoyait décerner un premier prix . encatégorie' « Collection de société ».Poursuivant son chemin, la société d'or-nithologie participait à différentes ex-positions où toujours, elle se classaithonorablement.

Désireuse d'apporter sa contributionen différentes occasions, la société dé-cida , en 1943 de poser des nichoirset abris pour les oiseaux dans diffé-rents endroits de la localité. Ce geste

fut fort apprécie. Trois ans plus tard,certaines difficultés ; se manifestèrentpour l'approvisionnement en fourrage,et c'est ainsi qu'il fut décidé que lasociété cultiverait cinq arpents d'orgeet d'avoine sur la montagne de Cor-tébert. Malheureusement il en résultaune grande déception , puisque la ré-colte fut presque nulle.

Le comité actuelPrésident : Walter Gyger ; vice-

président : J.-D. Droz ; secrétaire :R. Amstutz ; caissier : G. Baumgart-ner.

Président d'honneur : Albert Gin-drat.

Membres d'honneur ! Charles Ma-thez-Tschanz ; R. Etienne ; F. Stal-der ; E. Vuilleumier j S. Boss ; D.Droz ; O. Lanz ; G. Baumgartner ;A. Chaignat ; B. Kleiner ; W. Gy-ger ; P Bloc.

y Les présidents qui se succédèrent"" durant 50 ans furent MM. Charles

Mathez-Tschanz, S. Vuilleumier, E.Lienhard, A. Gindrat, J.-D. Droz,R. Amstutz, E. Boss, R. Châtelain,W. Gyger.

UN MATÉRIEL A SOIL'idée de posséder son propre ma-

tériel pour l'organisation d'expositionétait caressée depuis longtemps, maisil fallut attendre 1954 pour pouvoiracheter 126 cases. Le financement futassuré par un système d'obligation de10 fr. qui remporta un beau succès,puisque 235 purent être placées. Au-jourd'hui la société possède 305 casesd'exposition et peut, en tout temps,organiser une grande exposition. Lecomité étant très actif , il fut décidé derevendiquer l'organisation d'une expo-sition cantonale. Ce fut chose faite en1966 et le renom de la société deTramelan s'établit alors bien au-delàdu Jura.

LA CÉRÉMONIE DU JUBILÉLes organisateurs l'ayant voulue très

simple, la cérémonie de jubilé réunirales délégués de l'Association jurassien-ne ainsi que tous les membres de lasociété. Après la partie officielle aucours de laquelle M. Raymond Amstutzprésentera l'historique, les invités par-ticiperont à une soirée privée, précédéed'une collation. C'est près de 120 per-sonnes qui fraterniseront à la Halle degymnastique et qui feront certainementrevivre de bons moments de la sociétéd'ornithologie de Tramelan qui compteaujourd'hui 51 membres actifs, 6 mem-bres passifs, 5 membres juniors et 12membres d'honneur, (vu)

Aubade de la Choraleouvrière aux malades

Jeudi soir, la Chorale ouvrière serendait à Saint-Imier, où elle donnaitun petit concert aux malades de l'hô-pital ainsi qu'aux pensionnaires del'Hospice des vieillards. Cette aubadea été fort appréciée tant par les ma-lades ou pensionnaires que par le per -sonnel, (vu)

Nomination à la Banquecantonale de Berne

Le Conseil de banque a nommé der-nièrement M. Wlily Gunzinger, jus-qu 'ici employé à la succursale de Mou-tier, en qualité de mandataire commer-cial. M. Gunzinger assumera en par-ticulier la responsabilité du service descrédits, (vu)

¦

Voir autres informationsjurassiennes en page 27

f """¦"'—¦¦"MEMENTO

laMMMMMMnnMMMMHMMMMMH

Corgémont. — Samedi 30 septembre, a20 h., concert et danse à l'occasiondu 36e Festival des accordéonistesjurassiens. — Dimanche, à 13 h. 15,grand cortège puis concert des clubsparticipants.

Concours de patrouilles de laSociété des officiers d'Ajoie

Miécourt a été choisi cette annéecomme point de ralliement des pa-trouilleurs militaires jurassiens.

Si la SOA s'est fixé comme tâche depermettre l'entraînement des patrouil-leurs militaires, elle s'est aussi assignéune mission «touristique » : faire con-naître l'Ajoie. Samedi , 30 septembre,quelque quatre-vingts équipes pren-dront le départ d'un concours original ,dans un site attrayant : les campagneset forêts entre Bellevue et les étangsde Bonfol , qui offrent un terrain varié,des itinéraires surprenants, un paysa-ge pittoresque. C'est donc un secteurnouveau que découvriron t les patrouil-les, un secteur peu connu, mais trèsattachant.

Les patrouilles entreront en servicedès 8 heures. Le premier départ seradonné à 9 h. 15, à Miécourt . L'arrivéesera jugée à Vendlincourt où la pre-

mière patrouille est attendue vers 11heures. La proclamation des résultats,avec l'attribution des challenges et desprix se déroulera à 16 heures, à Mié-court , en présence des commandantsdes troupes des catégories élite, land-wehr, landsturm et invités. La popula-tion est chaleureusement invitée à par-ticiper à cette manifestation qui, cha-que année, permet de mettre en évi-dence des champions méritants, deséquipes courageuses et combatives.

La SOA, présidée par le cap JacquesValley, cp fus 1-22, l'EM du concours,sous les ordres du cap Michel Meyer,cp gren 9, souhaitent que la journée desamedi soit placée sous le signe de lacompétition loyale , de la sportivité sou-riante et de l'engagement total. Ils ré-serveront aux officiers , sous-officierset soldats des troupes jurassiennes unaccueil inspiré de la meilleure tradi-tion ajoulote. (comm)

L_ LA VIE TURASS1E NNE » LA VIE JURASSIENNE « LA VIE JU RASSIENNE

Vn don de 2 millionsde f rancs à l'hôpitalA l'occasion de son 80e anniver-

saire, un industriel de Saint-Imier,M. André Fluckiger, a fait un donde 2 millions de francs à l'Hôpitaldu district de Courtelary, à Saint-Imier. Cette somme permettra decréer une fondation au profit del'établissement. Une petite manifes-tation marquera cet événement, au-jourd'hui à Saint-Imier. (ats)

SAINT-IMIER

Journées jurassiennesdes pupilles et pupillettesSamedi et dimanche prochains, Bas-

secourt accueillera les jeunes gymnas-tes de la région dans le cadre des jour -nées jurassiennes des pupilles et pu -pillettes. Depuis quelques années déjà ,toutes les sections du Jura ont connuune évolution réjouissante , ce qui aaugmenté leurs e f fec t i f s . Le comitéd'organisation , dirigé par M. JosephVoyame, a donc enregistré les inscrip-tions de 1807 pupillettes et 978 pupillesrépartis dans trente-trois sections.

Les promoteurs de ces joute s sporti-ves ont , afin de conférer un certainrelief à leur manifestation , engagél'équipe féminine nationale B, qui seproduira au cours de la soirée de sa-medi. Cet événement jurassien sur leplan gymnique p ermettra au public devoir à l'œuvre sept jeunes f i l les qui ,dans un laps de temps pas très éloi-gné , formeront l'élite du pays, (rs)

BASSECOURT

Il était porté disparudepuis une semaine

M. Hans Ruckstuhl, 51 ans, docteuren chimie, employé par une grande fir-me bâlois de produits chimiques, avaitdisparu depuis le 21 sept. La policeavait opéré vainement diverses recher-ches ; elle apprit toutefois qu'il avaitpassé par Delemont avant de gagner larégion de la Burgisberg. Une équiped'employés de la maison où travail-lait M. Ruckstuhl, aidée par des chienspoliciers, parvint néanmoins à retrou-ver son cadavre, au pied d'un arbre,Une autopsie devra établir la cause desa mort, (fx)

BOURRIGNON

Pénurie d'eauEn raison du temps seo qui sévit

depuis plusieurs semaines, Porrentruyconnaît à son tour certaines difficultésdans son approvisionnement en eau po-table. C'est pourquoi le Conseil muni-cipal demande instamment à la popula-tion de faire preuve de compréhensionet d'utiliser l'eau aveo parcimonie. Decette manière, les autorités communa-les espèrent qu'il sera possible d'éviterdes mesures plus strictes, (r)

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Page 10: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

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Page 11: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

Fin de la visite du président HeinemannLe président de la République fé-

dérale d'Allemagne, M. Gustav Hei-nemann, est arrivé, vendredi , à 9 h.25, à Genève, où il passe la troisiè-me et dernière journée de sa visiteofficielle en Suisse, accompagné parle conseiller fédéral K. Furgler.

Le président Heinemann s'est ren-du directement au siège du Conseilœcuménique des églises (COE). Jene suis pas venu au COE en ma seulequalité de président de la Républi-que fédérale d'Allemagne, mais enqualité de laïc qui s'est mis près dequarante ans au service de l'église etqui a également œuvré en faveur del'œcuménisme, a-t-il déclaré.

Puis le président de la Républiquefédérale allemande a gagné le siègedu Comité international de la Croix-Rouge (CICR). Le président du CICR,M. Marcel A. Naville, qui s'expri-mait, pour l'occasion, en allemand,a notamment rappelé que les grands-

duchés de Bade et de Hesse ainsique les Royaumes de Bavière et duWurtemberg avaient été les premierspays à soutenir et favoriser la grandeidée lancée par le fondateur de laCroix-Rouge internationale, HenryDunant.

Le convoi présidentiel a ensuitetraversé la ville pour visiter le Mu-sée Bodmer, à Cologny, avant de ré-pondre à l'invitation au déjeuneroffert par les autorités genevoises.

Puis le président Heinemann etsa suite ont gagné l'aéroport de Ge-nève-Cointrin d'où le chef de l'Etatfédéral allemand s'est envolé, peuavant 16 heures, pour Bonn.

Au cours d'une brève conférencede presse donnée quelques minutesavant son départ , le président Heine-mann n'a pas caché combien il avaitété touché par la vague d'amitié etde gentillesse qu'il avait trouvéespendant sa visite officielle de 3 joursdans notre pays, (ats)

Agitation parmi des recrues, à Lausanne et Genève IDes actions «proches de la mutinerie» dit le DMF

Les deux compagnies romandes de I Ecole de recrues sanitaires 239, quidevaient normalement être stationnées à La Pontaise, à Lausanne, jus-qu'au 2 octobre prochain, ont été déplacées à Matt, dans le canton deGlaris, dans la nuit du dimanche 3 au lundi 4 septembre, puis dans le can-ton de Fribourg. Ce déplacement inopiné a été motivé par l'agitation àcouleur politique perturbant l'école depuis quelque temps. A Genève éga-lement, l'Ecole de recrues PA 246 (protection aérienne), cantonnée à la

caserne des Vernets, ne se déroule pas sans troubles.

Des soldats ont fait circuler unepétition dans laquelle ils revendi-quent « des heures de sommeil ensuffisance, une semaine de cinqjours, trois soirs de sortie chaquesemaine, la garantie pour tous d'unegrande pause dans la journée, et lasuppression des arrêts disciplinairesdurant le week-end ». Des tracts ontégalement été distribués à l'exté-rieur de la caserne, un comité desoutien aux recrues s'est constituépour tenter « de faire face aux me-naces et intimidations dont étaientvictimes les soldats de la caserne ».

Bilan de cette agitation : deux re-crues arrêtées à Lausanne, et quatreà Genève.

LE DÉPARTEMENT MILITAIRECONFIRME

De son côté, le Service de pressedu Département militaire fédéralconfirme que deux recrues des Eco-les sanitaires de Lausanne ont étéarrêtées. Le juge d'instruction mi-litaire a ouvert une enquête. Lesquatre recrues de la PA, à Genève,ont en revanche été libérées. Poul-ies deux recrues de Lausanne, l'acted'accusation n'est pas encore achevéet le juge d'instruction qui s'en oc-cupe se montre encore fort discret.Quant aux quatre recrues de Genève,elles ont été aux arrêts pendant 21jours , et relâchées lorsque le jug ed'instruction termina son enquête.

Quant aux groupements d'extrê-me-gauche qui ont distribué destracts, le DMF déclare que l'enquêteétudie actuellement la question pour

ce qui concerne Lausanne, et qu 'àGenève, il s'agit du GAM (groupe-ment anti-militariste).

PAS DE LIENS ENTREGENÈVE ET LAUSANNE

Le DMF souligne cependant qu'ily a des parallèles entre les affairesde Genève et de Lausanne, mais quel'on ne peut certes pas parler deliens. Les tracts distribués à Genèveet à Lausanne n'étaient pas identi-ques mais, par contre, les tracts deGenève ont été distribués à Sion(artillerie), où aucun événement nes'est cependant produit.

Distribution de tracts, pétition, re-fus d'ordre, le DMF confirme cesactions « proches de la mutinerie ».

Le Département militaire ajouteenfin que les civils qui ont distribuéles tracts n'ont pas été arrêtés.

Quant à Me Bernard Ziegler, ila déclaré hier à l'ATS que l'instruc-tion n'était pas terminée, et quel'acte d'accusation n'est pas encoredressé.

Seule la détention préventive detrois semaines a pris fin. Me Zieglera ajouté qu 'on reprochait à sesclients d'avoir enfreint l'article 99du Code pénal militaire (celui quiaura fondé un groupement qui viseou dont l'activité consiste à ruinerla discipline militaire, notamment àprovoquer ou inciter des personnesastreintes au service personnel à ladésobéissance à des ordres militai-res, à la violation des devoirs duservice, au refus de servir ou à ladésertion sera puni de l'emprison-

nement). M. Ziegler se déclare ce-pendant « le premier étonné » que leDMF parle d'un groupe constituéintitulé « Groupement anti-militaris-te (GAM) ».

Le DMF fait sans doute allusionaux civils impliqués dans cette af-faire. Il semble en effet qu'une oudeux personnes de l'extérieur aientparticipé à la distribution des tracts.

Je n'ai cependant pas encore accèsaux dossiers de l'affaire, a ajoutéM. Ziegler. J'ai demandé vendrediau juge d'instruction de me laisserconsulter le dossier avant que l'acted'accusation soit dressé. Mais , pourl'instant, je ne sais pas exactementsur quels motifs on se fonde pourinculper mes clients de l'article 99.A ma connaissance et pour le mo-ment, aucun civil n'a été arrêté ouentendu par l'instruction, (ats)

Une armé® à Ici taille de 1 hommeJeudi, devant le Conseil national, le

député Rémy Schlappy, (soc. NE) estintervenu dans le débat sur la cavale-rie. Nous publions, ci-après, l'essentielde son exposé.

La part des troupes montées ne re-présente que le 1 pour cent de l'armée.Convient-il, pour un chiffre si réduitd'hommes, de s'émouvoir, de créer unproblème national ?

Sans hésiter, je dis oui.Oui, il faut maintenir ce corps à

l'intérieur de l'armée pour une raisonfort simple que chacun peut aisémentcomprendre.

Je ne m'attarderai pas sur l'aspecttechnique du problème. Ce n'est pasmoi qui dirai aux militaires si nossoldats doivent se déplacer à cheval,à pied en automobile ou en vélo, etquel doit être leur armement.

Au contraire, je vais m'efforcer del'oublier comme facteur déterminantdu débat. C'est, en effet, aux techni-ciens, aux spécialistes de la guerred'en discuter.

L'histoire de notre pays, l'histoirejde nombreuses nati,pHa~proches ou loin-tainesr nous. . enseigneL' que : l'efficacitéd'une armée ne se mesure pas en ter-mes techniques seulement. Il faut pren-dre en considération un facteur moralqui, à mon sens, doit peser lourd dansnotre décision.

Avant de savoir se battre, un ci-toyen soldat doit savoir pourquoi ilse bat. De sa volonté de défense vadépendre, dans le cas de notre armée,l'efficacité de chaque homme. Nous nesommes pas si nombreux que nouspuissions nous passer de quelques-unsd'entre eux, laissant aux gens de mé-tier l'essentiel du soin de la défense !

La technique ne doit être qu'au ser-vice de la détermination de défense.

La complexité de notre société, de sonorganisation, de sa structure ont en-traîné une modification profonde dansle comportement de beaucoup d'entrenous.

Souvent même, et particulièrementchez les jeunes , ce changement a abou-ti à divers « flottements », à ces con-testations qui surprennent les aînés.

Le dragon , dans ce contexte, est unhomme à part , généralement issu de laterre, un homme qui se veut libre etqui se sent intensément motivé par

son attachement à son sol. Avec samonture, il constitue une entité fortdifférente des soldats liés à des en-gins mécaniques.

Il n'est pas question ici de brosserun tableau bucolique. Mais il faut avoirtravaillé la terre pour connaître l'at-tachement qui peut la lier à l'hommeet vice-versa ! Aussi l'exemple du dra-gon dans la troupe prend-il une di-mension qu 'il serait faux de sous-es-timer. Il sert dans un secteur qui està sa taille.

Comme le dit Ramuz : « L'hommen'a de taille que dans la mesure où ilpeut croire encore à lui-même II fautqu'il soit persuadé que l'Univers a be-soin de lui, n'importe où, n'importecomment. Il faut qu'il soit persuadéque non seulement il est, mais qu'ilne cessera pas d'être. »

Or, il semble que loin de prendreen considération ce facteur humain,on nous propose de plus en plus de« mécanique » de « technique », d'« élec-tronique » aux dépens d'une connais-sance de l'« être ».. Dans ^ notre pays, comme dans laplupart des nations voisines, un fossése creuse entre militaires et civils, soitceux qui défendront et ceux qui doi-vent être défendus.

Il n'est ni dans 1 intérêt de l armée,ni dans celui de l'Etat de laisser traî-ner les choses, de proposer des com-promis boiteux. Pourquoi renoncer àdes unités fortes, malgré leur aspectfolklorique, alors qu 'elles sont les plusprès du facteur essentiel ?

Pour un petit pays comme le nôtre,la défense, la volonté de survivre ré-sident dans un effort général et com-mun, dans une armée de milice. Ilfaut un équipement approprié certes,mais il ne doit pas tendre vers uneseule « technicité » qui ne sera plusservie que par des professionnels. Nonà l'armée de métier, aussi brillantesoit-elle.

La survie de ce que l'on appellela patrie est l'affaire de tous ; les exem-ples de l'Algérie, du Vietnam et d'Is-raël sont convaincants.

Dans un pays démocratique et fé-dératif comme la Suisse, on ne peutlaisser glisser la défense du côté duprofessionnalisme. Elle doit, au contrai-re rester l'affaire des soldats de mi-lice qui se battront , le cas échéant ,pour leurs familles, pour une terre deshommes .

R. S.

Vers l'interdiction des pneus à clous ?Les directeurs des Travaux publics réunis à Neuchâtel

La conférence suisse des direc-teurs des Travaux publics a siégéjeudi et vendredi à Neuchâtel, sousla présidence du conseiller d'EtatErwin Schneider, de Berne, et enprésence du conseiller fédéral HansPeter Tschudi, ainsi que du nouveaudirecteur du Service fédéral des rou-tes et des digues, M. Jakob.

Elle s'est notamment occupée duproblème de la détérioration desroutes par les pneux à clous, et at-tend du Conseil fédéral « d'autresmesures restrictives, voire l'interdic-tion des spikes ».'

Après avoir épuisé l'ordre du jourstatutaire, elle a entendu un exposé

du professeur Rotach, délégué duConseil fédéral pour l'aménagementdu territoire. Des débats, il est ap-paru qu 'il est nécessaire de prévoirune législation interdisant la modi-fication de la nature et du sol sansl'assentiment des collectivités publi-ques Dans le cas contraire, on s'ex-pose à un développement anarchi-que des constructions, et à une at-teinte irrémédiable de l'environne-ment. D'autre part , la conférence apris connaissance avec regret, sou-ligne un communiqué, des décisionsdu Conseil fédéral concernant lesréductions budgétaires pour la cons-truction des routes nationales etprincipales, en 1973. Elle souhaiteque les Chambres fédérales, lors desdélibérations sur le budget, puissentapporter une modification aux pro-positions gouvernementales. Une ré-duction de crédit permettrait d'au-tant moins de faire face à la très for-te détérioration du réseau routierconsécutivement à l'emploi despneus à clous, estime la majorité desdirecteurs des travaux publics, (ats)

Un centre d accueil à Lausannepour les travailleurs étrangers

Maison ouverte en toute liberté,sans discrimination politique ou re-ligieuse, la « Fraternité », centred'accueil et de rencontres des tra-vailleurs étrangers, à Lausanne, a étéinaugurée vendredi soir. Créée parle Centre social protestant, avec l'ap-pui des autorités, des syndicats, deséglises, des associations d'immigrés

et des consulats, elle regroupe laconsultation sociale espagnole et laconsultation sociale italienne, qui ontconseillé près de 2000 travailleursétrangers, de juin 1971 à juin 1972,sur des problèmes de travail, de lo-gement, de difficultés familiales ou

conjugales, d'information juridiqueou administrative.

La « Fraternité » comprend aussiune sale de conférence et de réu-nions, mise à la disposition d'asso-ciations, de syndicats (même clan-destins dans leur peys d'origine) etd'églises espagnols, italiens, voireturc. Ouverte provisoirement enjuin 1971 déjà , cette salle a déjàaccueilli près de 300 réunions, (ats)

En quelques lignes...GENEVE. — Depuis son arrivée à

Genève, dans le courant du mois d'aoûtet jusqu'à son arrestation, dans la nuitde j eudi à vendredi , un mécanicien es-pagnol de 22 ans, sans domicile fixe,n'a pas chômé : il a commis seize cam-briolages, dont cinq dans la mêmebrasserie.

NYON. — Mme Rosa Berger, 79 ans ,domiciliée à Nyon, qui traversait larue près de son domicile, hier matin ,a été tuée par une automobile vaudoisecirculant en direction du centre de laville.

BERNE. — Le comité de l'Unionsyndicale suisse a annoncé qu 'il a misau point un mémoire pour le Départe-ment fédéral de l'économie publique,relatif à la révision partielle de l'assu-rance-chômage.

Enquête sur la participationdans les administrations publiques

Etant donné que l'initiative sur laparticipation touche également l'ad-ministration, l'Office fédéral de l'in-dustrie, des arts et métiers et dutravail mène une enquête sur l'étatactuel de la participation des tra-vailleurs occupés dans les adminis-trations publiques.

Cette enquête, précise l'OFIAMT,complète celle qui est déjà en coursdans l'économie privée.

A cet effet , des questionnaires se-ront envoyés aux cantons et auxvilles de 30.000 habitants ou plus,en leur demandant d'y répondre jus-qu'au 31 octobre 1972. La situationdans l'administration centrale de laConfédération, les Chemins de ferfédéraux suisses et l'Entreprise despostes, téléphones et télégraphes seral'objet d'une enquête spéciale, (ats)

Un ouvrier tuépar 3 m3 de terre

Près de Bex

Hier vers 13 h. 20, un accidentmortel du travail est survenu à lacarrière de Sous-Vent, près de Bex.M. René Constantin, 55 ans, domici-lié à Monthey, était occupé à dégagerun rocher avec une pelle mécanique,lorsqu'un éboulement se produisit.Près de trois mètres cubes de terres'abattirent sur la cabine de la ma-chine, ensevelissant l'ouvrier. Immé-diatement dégagé, celui-ci fut trans-porté à l'Hôpital de Monthey, où ilmourut peu après son admission.

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Direction générale: Willy GesslcrRédacteur en chef responsable : Gil BaillodRédaction-Administr. : La Chaux-de-FondsRue Neuve 14 ¦ Tél. 039/211135 . Télex 35 251Le Locle . Pont 8 . Téléphone 039/31 14 44

Contrôle des médicaments

L'Office intercantonal de contrôledes médicaments (OICM) a décidéle 26 septembre que les talcs conte-nant de l'hexachlorophène ne peu-vent plus être recommandés pour lessoins des nourrissons et des petitsenfants. L'OICM se réserve de pren-dre des mesures concernant d'autresformes et champs d'application del'hexachlorophène, déclare un com-muniqué publié hier par l'OICM.

(ats)

Des talcs déconseillés

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Au procès de Mattmark

Plier en début d'après-midi, la dé-fense n'avait pas encore terminé sesplaidoiries au procès de Mattmark,à Sion.

Onze avocats au total ont pris laparole après le procureur, certainss'exprimant durant plusieurs heures.Les deux derniers défenseurs, commeleurs collègues la veille, demandè-rent bien entendu l'acquittementavec mise de tous les frais à la char-ge du fisc.

Il était près de 20 heures, hier soir,lorsque le Tribunal cantonal valai-san mit fin au procès.

Le jugement ne sera pas connuavant le milieu de la semaine pro-chaine, (ats)

Longues plaidoiries

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Page 13: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

Grand feuilleton de « L'Impartial » 25

ELISABETH OGILVIE

romantraduit par Laure Casseau

EDITIONS DE TRËVISE, PARISDroits réservés, Opéra Mundi

Je m'étais trompée dans mes suppositions ,comme je l'avais fait depuis le début du cau-chemar. Nous ne rencontrâmes pas de curieux.Peut-être était-il trop tôt. Je mangeai mondéjeuner en silence, oppressée, en espérant queRees attribuerait mon mutisme à l'enchante-ment de la promenade et de sa compagnie.Plus tard, nous nous écartâmes l'un de l'au-tre, à la recherche de pointes de flèches oude fossiles. En réalité, j 'étais en quête d'unsentier par lequel j'aurais pu gagner le sommetde la falaise si Rees était suffisamment loin.Mais je ne vis pas de sentier, et Rees demeuradans mon voisinage. J'avais l'impression d'a-voir erré pendant quarante ans dans un désertd'autant plus intolérable qu'il était beau.

Lorsque nous regagnâmes la maison — sepouvait-il que j' eusse vu en elle un foyer etun refuge — je dis :

— Rees, je suis saturée de grand air. J'aibesoin de prendre une douche et de m'allongerpendant un moment.

— Soit, je m'occuperai du dîner.Il avait un ton de mari indulgent. Il m'ac-

compagna jus qu'au pied de l'escalier, mit sonbras autour de moi et m'embrassa longuement.Puis il me suivit des yeux pendant que jemontais l'escalier. Je me retournai, non pasmue par l'affection mais par une fascinationdésagréable, en m'attendant à lire sur son

visage qu'il savait , ou soupçonnait, que j 'avaisdécouvert la vérité. Mais il souriait calmementet dit :

— Reposez-vous, et nous aurons une soiréedont nous nous souviendrons toute notre vie

Je pris une douche rapide, et je me rha-billai dans ma chambre lorsque je vis Ree;traverser la pelouse. Il marchait très vite eld'un pas aussi léger qu 'un jeune homme. Trissurgit du bois à sa rencontre. Il se penchEet lui frotta le dos, puis poursuivit son chemiren direction de la maisonnette. Tris s'assit etle suivit des yeux. Je le regardai aussi. Sitôtqu'il fut engagé dans le sentier, je me préci-pitai vers le téléphone du premier étage.

Mais la ligne était morte. J'actionnai déses-pérément la sonnerie. Il n'y avait pas de tona-lité. Ma terreur, que j 'avais réussi à dominerpendant toute la matinée, me submergea sou-dain. J'avais envie de crier, cle courir, de mecacher, de m'évanouir, j 'avais complètementperdu la tête. En bas, l'horloge sonna quatreheures comme un glas. Comme s'il s'agissaitde l'heure de mon exécution ou de celle deStephen Faraday. Ou de notre mort à tousles deux.

Je rerournai précipitamment dans ma cham-bre, et j ' enfilai mes chaussures sur mes piedsencore humides. Mes doigts , étaient gourds etglacés. Je renonçai à nouer les lacets. Je courusle long du couloir jusqu 'à l'escalier de service.Une fois dehors, après avoir contourné le ga-rage, je n 'étais plus visible d'aucune fenêtrede la maison. Dès que j' aurais descendu lafalaise, alors que Rees me croyait endormie,je serais en sécurité. En dégringolant l'escalier,je remerciai le ciel que Tim ne fût pas là.Je n'avais pas le temps de penser à ce quise passerait pour lui demain si j'arrivais àjoindre la police aujourd'hui.

Je me prédipitai dans la cuisine, les yeuxfixés sur la porte, en croyant voir la libertéscintiller derrière la contre-porte tendue d'unemoustiquaire. Lorsque je l'atteignis, je faillisrire tout haut d'exaltation nerveuse.

Mais le rire s'étrangla dans ma gorge. Reesétait accroupi au bout du potager, en trainde couper de la ciboulette. Mon élan n'auraitpas pu être coupé plus brutalement si jem'étais heurtée à lui sur le seuil de la porte.Je faillis tituber, comme si j ' avais reçu uncoup. J'avais le souffle coupé et l'esprit vide.Rees se redressa et me regarda par-dessus lesrangées régulières de légumes.

— Ah, c'est vous ! m'exclamai-je, et je melaissai glisser sur les marches avec une mimi-que qui devait exprimer le soulagement.

— Mais qu'arrive-t-il ? demanda-t-il, mi-inquiet, mi-amusé.

Je me passai la main dans les cheveux, queje n'avais pas eu le temps de recoiffer aprèsma douche.

— J'ai cru entendre un bruit anormal dansla maison, expliquai-je, haletant encore.

Je me forçai à sourire.— Je vous avais vu aller vers votre bureau,

et j'ai pensé qu'il s'agissait d'un rôdeur quis'était introduit dans la propriété par la plageavec l'intention de cambrioler.

Je m'épongeai le front. J'étais trempée desueur, et ma voix tremblait tandis que j'es-sayais de retrouver la maîtrise de moi-même.Ce n'était pas de la comédie.

— Je suis descendue en courant , et, au-delà de la porte grillagée, j 'ai vu un homme dedos. Quel choc !

J'appuyai ma tête contre le chambranle enfermant les yeux. Tris se frottait à mes jambesen ronronnant. Lorsque Rees m'adressa la pa-role, il était si près que je sursautai. En re-gardant son visage souriant penché vers moi,j ' eus l'impression d'être une victime étenduesur l'autel, prête pour le couteau du sacrifi-cateur.

— Je ne suis pas allé jusqu'à mon bureau.J'ai changé d'avis.

Parce qu'il n'avait plus besoin d'y aller ?— Mais je croyais que vous n'aviez peur

d'aucun rôdeur de chair et de sang, remarqua-t-il d'un ton taquin en posant le doigt sur le

bout de mon nez.— Je me vantais, dis-je faiblement. Je vien;

de vivre ma minute de vérité. Rees, j 'y pensela voiture !

J'étais vraiment à bout de souffle et l'idéene m'en était venue qu'à l'instant. En proje-tant mon évasion, je n'y avais même pas penséJe voulais m'enfuir le long de la côte, leplus loin possible, jusqu'à ce que je rencontreune autre plage privée, des gens équilibrésun téléphone.

— Ne vaut-il pas mieux aller la chercher îPauvre coursier, que j 'ai laissé toute la nuiidehors à la rosée.

J'espérais pouvoir lui échapper une fois hor:des grilles.

— Elle dort paisiblement au garage. Je suisallé la chercher hier soir, alors que vous dor-miez.

J'étais trop bouleversée pour m'attarder suil'idée que j ' avais été seule dans la maisorla veille pendant une demi-heure au moinsAfin de masquer ma consternation, je bal-butiai :

— Mais comment l'avez-vous trouvée dansle noir ?

— Elle a henni en m'entendant, riposta-t-ild'un ton moqueur. La vérité, c'est que vousvous êtes endormie bien avant la nuit. Jel'ai ramenée au crépuscule.

— Le cachet que vous m'avez donné étaittrès fort , remarquai-je.

— Mais il a été efficace, n'est-ce pas ?Il s'assit à côté de moi.— Grâce au congélateur et au goût de Jason

pour les mets exotiques, nous allons faire unrepas raffiné. Mais je compte y ajouter matouche personnelle. Je fais très bien la salade.

— Vos talents sont innombrables.— Et vous commencez seulement à me con-

naître. Avez-vous l'intention de reprendre vo-tre sieste ?

— Je serais incapable de dormir. Je vaisfinir de m'habiller. Je me suis précipitée dehorsen toute hâte.

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Page 14: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

— Je le vois , répondit-il , regardant mes la-cets défaits. Vous avez des chevilles admira-bles.

Il encercla l'une d'elles du pouce et de l'in-dex. Je faillis me raidir comme un animalterrifié.

— En fait , poursuivit-il , tout en vous estadmirable. Du moins, ce que j' en connais jus-qu 'à présent. Je ne doute pas que l'avenir meréserve des révélations plus exquises encore.

Il m'enlaça et m'embrassa longuement, avecinsistance. C'était une étreinte de plus en pluspassionnée, comme s'il voulait me signifierqu 'il était las d'attendre. J'avais devant moi laperspective de passer une nuit seule avec lui.Et , cette fois , il n 'accepterait pas l'excused'une nouvelle migraine, à supposer qu'il eûtété dupe de la première.

Lorsqu'il me lâcha , je lui adressai un souriremal assuré. Il demanda brusquement :

— Caro, êtes-vous vierge ? Ne craignez pasque votre réponse me contrarie. J'étais simple-ment curieux de savoir s'il y avait eu quel-qu 'un avant moi. Vous savez tout de ma vie.Qu'en est-il de la vôtre ?

— Je n'ai jamais couché avec personne.¦—¦ Pas même avec Paul ?—¦ Je vous ai expliqué quels étaient mes

sentiments à son égard. Même à l'époque oùj'avais l'illusion de l'aimer, je n'ai jamais voulualler jusque-là.

— Vous n'envisagez pas d'avoir des relationsavec un homme simplement pour le plaisir ?

— Non !Je pris prétexte de ma réaction indignée

pour me lever.— Je suis peut-être en retard d'un siècle,

on me l'a dit , mais je veux vivre cette expé-rience pour la première fois avec un hommeque j'aimerai profondément et qui m'aimeratout autant. Si vous voulez bien m'excuser...

Derrière moi , il dit :— Caro , je vous aime de cette façon , et

davantage encore.

Mes yeux se remplirent de larmes. Je mon-tai en courant l'escalier , aveuglée. Etait-cepossible qu 'il m'aimât à ce point , et que lapartie qui m'aimait , qui aimait Tim fût totale-ment dissociée de celle qui me terrifiait ?

C'était possible. Mais, moi , je ne pouvaispas limiter mon attention à l'une au pointd'ignorer l'autre.

CHAPITRE XIX

Nous dinâmes aux chandelles sous le porche.Après , nous écoutâmes de la musique dansle salon. Je pouvais me permettre de demeurersilencieuse, car , dans ces moments-là , je l'avaistoujours été. Je m'efforçais alternativementde réfléchir et de ne pas penser. Mon esprittournait en rond , sans trouver d'issue à lasituation. Je finis par abandonner la partieavec l'espoir que quelque chose arriverait quiempêcherait Rees de me rejoindre dans machambre, ou de m'emmener dans la sienne.

Je me demandais à quoi il pensait en jouantdu piano. Je me demandais si , par les nuitsd'été, le son du piano parvenait jusqu 'au pri-sonnier de la maison de pierre , comme unécho lointain de la vie. Je me demandaiscomment Valérie était morte, et pourquoi Ste-phen Faraday avait été séquestré pendant troisans. C'était comme si j' avais dépassé le stadede la terreur, et que, épuisée, désespérée, jeconsidérais la situation avec une froide objec-tivité.

Subitement , Rees se leva et se dirigea versmoi. J'étais à moitié couchée sur le sofa. Ilprit mon visage entre ses mains.

— Vous feriez mieux de monter, me dit-il.Je ne tarderai pas à vous rejoindre.

— Très bien , répondis-je à voix basse.Il se pencha vers moi et m'embrassa. Puis

il m'aida à me lever et m'escorta jusqu 'aupied de l'escalier. Il me suivit des yeux jus-qu 'au premier étage.

Je pénétrai dans ma chambre. Lorsque jerefermai la porte , la musique résonna de nou-

veau. C était le nocturne qui m apparaissaitcomme la mélodie la plus triste que l'on eûtjamais écrite. A l'écouler , je ne voyais plusen Rees un homme sadique, mais un êtredont le jugement était déformé par le chagrin.Je pensais à la mort de Valérie, ce qui meramena à Stephen Faraday. J'errais dans machambre sans savoir que faire. Stephen Fara-day avait dû assister à la mort de Valérie. Enavait-il été , dans une certaine mesure, res-ponsable et Rees s'était-il fait justice lui-même ? Faraday avait-il frappé Valérie aucours d'une discussion ? Je l'imaginai essayantde la convaincre de s'enfuir avec lui , ou de laviolenter dans l'excès de passion. Mais s'ilavait provoqué sa chute , il aurait dû compa-raître devant un tribunal. Rees , en le séques-trant , et en finissant peut-être par le tuer ,était devenu un criminel lui-même.

Je regrettais de n'avoir pas découvert plustôt l'existence de Faraday. J'aurais pu en dis-cuter avec Rees, en profitant de l'amour crois-sant que je lui inspirais. Désormais, je crai-gnais qu 'il ne fût trop tard , que le meurtre fûtconsommé. J' avais peur que Rees n'eût pro-jeté d'accomplir son assassinat , qui n 'était à sesyeux qu 'une exécution capitale , pendant ceweek-end. Peut-être avait-il l'intention de gar-der Stephen prisonnier indéfiniment. Mais sije m'installais pour toujours au Manoir auxGrives, le risque était trop grand. Commentavait-il pu espérer que Tim, en grandissant ,fût demeuré à l'écart de la maison de pierre ,et moi de même ? Le moindre incident , sinonla curiosité, risquait de nous y amener un jouroù l'autre. Peut-être Rees se méfiait-il du nezdes Brewster, songeai-je avec un humour mor-bide-

Tris gratta à ma porte. Je le laissai entrer.Son poil luisait comme celui d'un chat fantômelorsqu 'il traversa silencieusement la pièce dansle crépuscule d'été. Les parfums de la nuit en-traient par la fenêtre avec le son de la musique.L'événement imprévu dans lequel j' avais mismon espoir ne s'était pas encore produit. Je

m'inquiétais moins de l'intention de Rees decoucher avec moi que de mes réactions. Sije voulais sauver ma vie , je devais lui fairecroire que j'éprouvais la même ardeur , lemême désir que lors de ces nuits où je nepouvais pas me résoudre à le quitter.

Pense aux espionnes, me disais-je. Tu peuxbien en faire autant pour sauver ta vie. Maisces essais d'humour cynique demeuraient sanseffet. Fallait-il me déshabiller ? Ou devais-jelui dire , lorsqu 'il frapperait à ma porte, quej'étais désolée, mais que je préférais attendreque nous soyons mariés ? Après tout , j'étaisvierge. C'était une complication dont un hom-me comme lui devait tenir compte. A moinsque...

C'était là l'inconnue du problème. Et j'étaisseule avec lui.

Je repensai avec une nostalgie poignanteà la cuisine de Mindy, comme un naufragédérivant sur un glaçon pense à la chaleur et àla sécurité. La veille , en y buvant ma tasse decafé , j ' avais encore la possibilité de choisir ,et j' avais commis une erreur de jugement.

Je me jetai sur le lit , visage pressé contrel' oreiller. J'étais trop lasse et trop désespéréepour être encore capable de pleurer. Mon re-tour n'avait rien changé pour le prisonnier.Je n'avais fait que lui donner un faux es-poir. Il était sans doute mort , comme Reesl' avait projeté. Si j'étais restée à Limerockpendant le week-end, je n 'aurais jamais dé-couvert la partie ténébreuse de l'âme de Rees ,ce pays sauvage où ne chantait aucun oiseau ,où ne pénétrait aucun rayon de soleil. Ou enaurais-je eu la révélation un jour , à mes dé-pens ?

Tris sauta sur le lit, et s'allongea contremoi. Il ronronna pendant un moment, commeil le faisait toujours avec une exubérance ex-tasiée, puis le son devint plus faible et s'in-terrompit de plus en plus fréquemment , au furet à mesure qu 'il s'enfonçait dans le sommeil.

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Page 15: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

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Cette fois , bien peu d'entre vous,amis lecteurs, se sont mis le doigtdans l'oeil. C'est bien l'articulation d'undoigt que représentait notre photo-mystère de la semaine passée. Nousavons reçu de très nombreuses répon-ses — il y en avait même en allemand !— exactes. Le tirage au sort a désignécomme gagnant de notre prix de cettesemaine M. J. F. Moser, Côtel , à Cor-gémont, qui recevra sous peu son prix.

HHEJLI

Il y eut tout de même quelques ré-ponses amusantes (un doigt d'unemain droite ou gauche), d'autres ap-proximatives (le pouce d'une main),d'autres carrément fausses : une tèted'éléphant, un tuyau d'épuration, untuyau de vidange, l'œil d'un éléphant(Le bizarre pachyderme que voilà !).Une de nos lectrices s'est muée enSherlock Holmes et donne les détailssuivants : « Cette photo représente l'in-dex de la main droite ; il s'agit deschairs de la deuxième phalange dela main droite d'une personne de40 à 55 ans, mais plus près de50 ans. » Voilà un esprit heureusementenclin à l'analyse très poussée. Il pour-ra s'exercer — ainsi que celui de tousnos lecteurs — sur la nouvelle photo-devinette que nous vous proposons ci-dessus.

Dites-nous ce que vous pensez qu'ellereprésente, en nous faisant parvenirvotre réponse sur carte postale, adres-sée à la rédaction de « L'Impartial »,case postale, à La Chaux-de-Fonds,avant mercredi à midi. Bonne chanceà tous.

Romuald, I enfant du cirque

Romuald , à gauche, prend la vie du bon côté.

Toute une mythologie entoure lesartistes tel Romuald. Cette mythologiedes enfants de la balle qui a inspiré(et inspire) les écrivains, les peintres,les journalistes.

Le grand-père paternel de Romualdétait gendarme à Cahors. Un jour, uncirque passa dans la ville. Une trèsjolie fille y travaillait. Le grand-pèregendarme, alors jeune homme, s'épritd'elle et, le temps que le cirque donnequelques représentations et plie bagage,il remisa son uniforme dans on ne saitquel cagibi, pour courir les routes. Ilvenait de troquer , l'habit de l'autoritépour celui de saltimbanque. La destinéede la famille Figuier (c'est le nom deRomuald) allait être déterminée parcette décision aussi fulgurante qu 'uncoup de foudre. U s'agissait d'ailleursbien de cela.

Le père de Romuald travailla dansle monde des gens du voyage commeclown blanc. Sous le nom de John ,il fut assez célèbre pour devenir lepartenaire de Zavatta , lequel Zavattaétait le frère de la mère de Romuald ,elle-même funambule et écuyère.

Bientôt, John devint directeur d'unpetit cirque : « le cirque Figuier » quine donnait des représentations qu 'enBretagne. C'est pour cela que Ro-muald naquit à Saint-Pol de Léon(Finistère) le 9 mai 1941. Vers les an-nées 50, ce cirque fut très importantsous le nom de « Zoo Circus ». On yprésentait aussi des spectacles de music-hall.

Bon sang ne saurait mentir... Grandidans cette atmosphère, Romuald futtour à tour trapéziste, clown, écuyer.« Je préférais les exercices à cheval

dit-il, j' ai garde cette passion ».A partir de l'âge de 14 ans, Romuald

fit encore des études musicales auConservatoire de Paris. En 1957 (ilavait 16 ans), il obtint le premierprix de saxophone de ce Conserva-toire. C'est alors qu'il quitta l'universdu cirque.

LUCIEN MORISSE LUI DONNASA PREMIERE CHANCE

D'abord musicien (il jouait avec Jac-ques Hélian et faisait de nombreusesséances d'enregistrement), Romuald futsollicité pour devenir choriste. « Ondisait que je chantais bien, raconte-t-il,et j'avais une qualité : je savais bienlire la musique. » Un admirateur, lepremier, le conduisit chez Robert Dhé-ry... Le dialogue suivant s'engagea :

— Que savez-vous faire ? demandaDhéry.

— Moi ?... je sais tout faire répliquaRomuald sans se démonter.

Résultat : il fut engagé et pendantdeux ans, joua « la Grosse Valse »aux côtés de De Funès, Colette Brossetet évidemment l'auteur de la pièce,Robert Dhéry.

C'est Lucien Morisse qui donna sapremière chance à Romuald dans lemonde du disque. La suite on la con-naît... Que l'on précise néanmoins quetout en chantant en français, il estune des plus grandes vedettes du Chiliet du Brésil où il a vécu deux ans etdemi ne séjournant en France qu 'occa-sionnellement.

Romuald connut le succès dès sonpremier disque « Jésus Cristo », « Atta-che moi » qui sortit durant l'automne1971. Ses rares moments de détenteRomuald les partage entre la pratiquedu football (demi ou avant, il est undes éléments de qualité de l'équipe dePolymusclés) et la lecture de romanspoliciers.

Ce sympathique chanteur gravit len-tement mais sûrement les marches quivont le conduire à un vedettariat trèsmérité. La route est longue, seméed'embûches, il le sait. Son talent luipermet de surmonter les épreuves.

R. G.

DE J. LE VAILLANT: No 1255

HORIZONTALEMENT — 1. Ecor-îerai légèrement. 2. Elles sont cons-tuées par tous les membres d'une fa-

mille vivant ensemble. 3. Port sur laBaltique. Elle est toujours en code.Lettre grecque. 4. On la porte sur ledos. C'était surtout, autrefois, un rè-glement de comtes. 5. Fondé. Il est enruban pour la couturière. 6. Le mêmeen abrégé. Il voit venir les roses. Plate-forme permettant la réparation de lacoque d'un navire. 7. Mise avec élé-gance. 8. Il eut un jour son père surle dos. Rivière de France. 9. Donnerun revenu. Il fut brûlé comme héré-tique. 10. Porte avec violence. Coursd'eau du Midi.

VERTICALEMENT. — 1. Rendra li-bre. 2. Vêtements pour les jours dapluie. 3. Rit à moitié. Racontes desblagues. 4. Nom souvent donné à unchampion. On la voit bien souvent,redoublant de colère, renverser toutà coup le chêne séculaire. 5. On la voitparfois avec une ondulation . Rivièrede France. Préposition. 6. Type de lafemme dure. Se dit d'un clerc. 7. Nomd'un temple de Vénus (deuxième ortho-graphe). Se dit aux intimes. 8. Adver-be. Ville des Pays-Bas. 9. Chasserale mauvais air. Mot compris des che-vaux. 10. Retirés. Point.

Solution du problème parusamedi 23 septembre

HORIZONTALEMENT. — 1. Prati-cien. 2. Haridelles. 3. Avares ; aga.4. Rasa ; sa ; ri. 5. Mue ; lentes. 6.Ad ; Serge. 7. Cèpes ; Isis. 8. Iranien ;ro. 9. Eau ; nuerai. 10. Nil ; essaie.

VERTICALEMENT. — 1. Pharma-cien. 2. Ravauderai. 3. Arase ; Paul.4. Tira ; sen. 5. Ide ; lésine. 6. Cesser ;eus. 7. Il ; angines. 8. Ela ; tes ; Rà.9. Nègre ; irai. 10. Sais : soie.

Mots croisés

Huiterreurs

Les deux dessins de La-place sont en apparenceidentiques. En réalité, 11y a entre eux huit pe-tites différences. Pou-vez-vous les découvrir ?

(Solution la semaineprochaine !)

neNS

. 3...N

Si vous êtes né le:Si vous êtes né le :30. Ne vous laissez pas abattre par un petit échec. Vous êtes dans la voie

de la réussite.1. Voua aurez de grandes chances de réaliser la plupart de vos désirs.

Allez de l'avant.2. Ne brusquez rien dans le domaine du travail. Vous avez tous les

atouts pour arriver au but.3. La possibilité de réaliser un bénéfice substentiel va se présenter.4. Divers contre-temps interviendront dans vos affaires. Avec de la

patience de bons résultats seront quand même obtenus.5. Gardez-vous des innovations hardies, elles pourraient être dange-

reuses.6. Les circonstances seront favorables à la réalisation de vos désirs à

condition que vous agissiez avec mesure.

^tfgSJ* 21 janvier - 19 février

^pfcÇjgy Vous connaîtrez bien-^•SaSS tôt le véritable jeu de

la personne qui vousintéresse. Suivez votre inspiration etjugez l'ensemble selon le côté mo-ral et non en prévision d'avantagesmatériels.

«gg|gB»|t 20 février - 20 mars

wpgjgi^F Au cours d'une réu-

^*«i<»* nion d'amis vous su-birez une vexation. Un

peu d'humour sauverait la situation.Dans votre travail, maintenez votreposition.

^Mh, 21 mars - 20 avril

WyfjP On vous proposera un^ J0 voyage qui ne vous

paraîtra peut-être pasindispensable. Vous serez tenté derefuser. N'en faites rien. Ce dépla-cement sera riche en événementsimprévus.

^gg|ew 21

avril - 21

mal

lllpSpIlP Restez fidèle aux pro-^«ïiSîSW** messes et profitez du

bonheur qui passe.N'engagez pas l'avenir, laissez évo-luer les bons sentiments. Voici uneexcellente semaine où vous pourrezréaliser à votre gré les initiativesqui se présenteront.

.«fjgSl&k 22 mal - 21 juin

' *A A ' Dénouement proche

^Sua® d'une aventure quivous tient à coeur. Ap-

portez la preuve de votre sincéritéet faites un bon geste, vous calme-rez les inquiétudes de l'être aimé.

A^SSam\ 22 inin " 23 iui,,et

^Wm&mW Vous ne trouverez pas^mmmam meilleure période pour

contacter vos rela-tions, vous réunir et passer d'agréa-bles moments. Veillez à ce que deapersonnes jalouses de votre bonheurne réagissent sournoisement.

4"/2g?=YV 2<1 Juillet - 23 aoûtv mjaa 3 Mesurez le ton de la

Immw^ conversation au coursdes réunions amicales

qui vont se présenter. Les circons-tances peuvent vous donner l'occa-sion d'assainir la situation affective.

mmWf ivMm 24 août " 23 sePtemb-BGiyffi jPF Grande période de^*"* chance sur le pl?n

sentimental. Vous vousrapprochez de votre partenaire. Unétat passionnel s'éveillera pour vous.Vie harmonieuse et facile.

^Hfej . 24 septemb. - 23 oct.VSwK 39 Satisfactions au cours^^ M^ d'une réunion de fa-

mille. Vous pourrezvous extérioriser pleinement et met-tre les choses au point avec la per-sonne que vous aimez.

mtf ËÊÊmmmm 24 octobre " 22 nov'Iffili&raijP Ne demandez pas l'im-^KssiSssS' possible à la personne

que vous aimez. Vouséprouveriez une violente déception.Dans votre travail, vous pourrieztrès bien réussir si vous faisiez uneffort.

^ j Sj&jk 23 novembre - 22 déc.

Hfcf^ïÉflp Elargissez le cadre d<^^~* vos relations et voui \

conquerrez l'amitié.Sortez de votre tour d'ivoire et ou-bliez les petits soucis qui peuventaltérer vos sentiments.

*08$BÊ% . 23 déc. - 20 janvier

xÊKSÊmtmf Recherchez avec l'être^USaS"" aimé des sujets de col-

laboration qui vousrapprocheront. Les plus belles espé-rances sont permises surtout si vousmanifestez de part et d'autre lameilleure volonté.

Copyright by Cosmopress

HOROSCOPE-IMPAR du 30. 9 au 6.10

Page 16: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

Revue économique et financièreCOMPAGNIE SUISSE DE REASSU-

RANCE : Le bénéfice net de la Compa-gnie suisse de réassurance est passé de45,1 millions de francs à 53,4 millions.Le Conseil d'administration proposeraà l'assemblée générale des actionnaires,le 24 novembre prochain, de verser,après renforcement des réserves, undividende de 90 francs par action con-tre 85 francs l'année dernière.

Le Conseil d'administration propose-ra aussi de porter le capital socialde 100 millions de francs à 111 millionspar l'émission au pair de 44.000 actionsau porteur d'une valeur nominale de250 francs chacune. Les actionnairesse verront offrir 40.000 actions dans laproportion d'une nouvelle pour dix an-ciennes. Le solde, soit 4000 actions,sera mis à la disposition du fonds deprévoyance en faveur du personnel.

SANDOZ reprend l'Industrie desGoudrons S. A. : Aux termes d'un ac-cord passé entre les sociétés actionnai-res de l'Industrie suisse des GoudronsS. A. de Pratteln jusqu 'ici exploité encommun par l'Association des usinesà gaz suisses, Ciba-Geigy S. A. et San-doz S. A. et dont l'activité est le trai-tement des goudrons bruts produits

par les usines à gaz suisses, Sandozreprend la totalité des actions de lasociété. Outre les liants bitumeux, lesactivités de l'Industrie suisse des Gou-drons S. A. comprennent la productionet la vente de produits chimiques in-termédiaires.

Il n'y aura pas de changement dansla gamme de fabrication ; la directionet l'effectif du personnel resteront lesmêmes, ainsi que la raison sociale del'entreprise .

RUCKER-LANDIS et GYR. i La so-ciété Rucker vient de donner son ac-cord de principe pour la vente del'une de ses divisions, la Moore Sys-tems Inc. à la firme suisse Landiset Gyr, au prix de 2,5 millions dedollars payables comptant.

Une entreprise sera créé© en com-mun par les deux sociétés pour laconception , la production et la ventede matériel d'électronique.

La nouvelle entreprise sera implan-tée à Sunnyvale (Californie). La partde Rucker dans le capital de la nou-velle société sera de 18 pour cent, àquoi s'ajouteront des warrants lui per-mettant d'acquérir des actions ordi-naires supplémentaires.

«ASSA » B3LAN D'AVENIRAprès plus de 50 années consacrées

à la publicité et particulièrement àla publicité-presse, « Annonces SuissesS. A. « ASSA » a ressenti le besoin defaire le point, de consigner dans uneplaquette élégante et très originale :

— la nature de ses services tradi-tionnels d'agence fermière de pu-blicité

— son apport au développement destechniques modernes d'investiga-tion dans le domaine complexe dumarketing et du média-planning

— ainsi que ses grandes options d'a-venir,

options de diversification qui fontqu'« Annonces Suisses S. A. » à traversdiverses participations dans plusieurs

sociétés de « services » est aujourd'huipartenaire de l'une des plus impor-tantes organisations mondiales de pu-blicité.

Mais par les moyens modernes d'ex-pression graphique qu 'a choisi « ASSA »pour se présenter sous toutes les fa-cettes nouvelles de sa spécialisation ,transparaît fort heureusement l'espritqui l'a toujours guidée et qui a im-prégné toute son action : l'aspect hu-main de toutes relations d'affaires , con-dition essentielle à son sens pour parlereffectivement de communication.

La plaquette « ASSA » est à la dis-position de toutes les personnes inté-ressées auprès des 20 succursales suis-ses d'« Annonces Suisses S. A. »

Assistance judiciaire avec les Etats-Unis : quelle limite ?L'Association Suisse des Banquiers

fait connaître dans son 60e rapportannuel, récemment paru, sa positionsur l'accord d'assistance judiciaire avecles Etats-Unis.

La collectivité, de même que les par-ticuliers, ne peuvent être protégés ef-ficacement contre la délinquance quesi l'Etat a les moyens d'exercer sonaction pénale. En l'absence de cette ga-rantie, aucune activité économique nor-male ne serait imaginable. C'est enraison précisément de l'activité inter-nationale des banques suisses que l'As-sociation Suisse des Banquiers sous-crit, non seulement pour des motifsciviques, mais aussi par expérienceprofessionnelle, au principe que la luttecontre la délinquance ne s'arrête pasaux frontières nationales, mais que tousles Etats doivent être solidaires. Lesintérêts privés ont à s'effacer devantl'intérêt supérieur que constitue l'abou-tissement de l'action pénale de l'Etat.Le secret bancaire ne doit en aucuncas faire échec à la lutte contre la dé-linquance. Cette conviction a engagél'Association Suisse des Banquiers àsoutenir en principe l'idée de conclureun accord avec les Etats-Unis.

Dans leurs conversations, la Suisseet les Etats-Unis tentent pour la pre-mière fois de conclure un accord d'as-sistance judiciaire entre des pays dedroit continental et le droit anglo-sa-xon. Les différences importantes exis-tant entre les deux systèmes juridiques,particulièrement dans le domaine dela procédure, expliquent que le projetd'accord diverge, sur de nombreuxpoints, de la pratique appliquée jus-qu'à présent dans notre pays en ma-tière d'assistance judiciaire. En outre,les exigences des Etats-Unis ne se li-mitent pas à la poursuite de délits dedroit commun. Au-delà de son impor-tance dans les relations américano-suis-

ses, raccord aura donc un effet préju-diciel qu 'on ne saurait négliger.

PAS FACILE A ÉCARTERIl ne sera pas facile à nore pays d'é-

carter les exigences d'autres Etats quivoudraient, tout comme les Etats-Unis,une aide plus étendue que l'entraidejudiciaire classique en matière pénalepour résoudre des conflits et problèmesnationaux, lorsque les actes poursuivisdans ces Etats ne sont pas punissablesen droit suisse.

Le principe selon lequel le droit del'Etat requis s'applique à l'entraide ju-diciaire doit aussi demeurer la lignedirectrice de nos rapports avec lesEtats-Unis. L'application du droit del'Etat requérant ne doit être acceptéequ'à titre exceptionnel, sur demandeparticulière, et uniquement dans le casoù les raisons avancées par le requé-rant ont paru pertinentes après unexamen attentif. Cette participation desautorités américaines doit demeurerl'exception et le traité doit imposerdans chaque cas l'approbation de l'Etatrequis.

LUTTE CONTRELE CRIME ORGANISÉ

Les Etats-Unis espèrent, par la con-clusion de l'accord sur l'entraide judi-ciaire, pouvoir intensifier leur luttecontre le crime organisé. Il ne va passeulement de l'intérêt des Etats-Uniseux-mêmes, mais de l'ensemble dumonde occidental, que ce cancer de lavie économique et politique américainesoit combattu efficacement. Mais notrepays ne doit pas être contraint d'aban-donner les principes essentiels qu 'il aobservés jusqu 'ici dans l'entraide judi-ciaire internationale en matière pénale.Cela concerne surtout les cas danslesquels le principe de l'identité desnormes n'est pas respecté. Depuis l'éla-boration du projet de traité, la situa-

tion s'est considérablement transforméesur deux points. Une nouvelle législa-tion des Etats-Unis a centralisé sur leplan fédéral la lutte contre le crimeorganisé. Le Tribunal fédéral suisse,dans un arrêt du 23 décembre 1970, ainterprété l'art. 16 de la Conventionde double imposition avec les Etats-Unis dans le sens que les demandesaméricaines d'entraide judiciaire rela-tives à des cas d'escroquerie fiscaleentraînent pour le banquier l'obligationde renseigner. En l'état actuel deschoses, les Etats-Unis ont donc déjàla faculté, au moins pour la poursuitede ces escroqueries fiscales, d'obtenirde la Suisse toutes les informationsnécessaires.

De l'avis de l'Association Suisse desBanquiers, cette récente évolution de-vrait permettre, au cours des prochai-nes négociations avec les Etats-Unis,de formuler plus restrictivement lesdispositions particulières concernant lalutte contre le crime organisé, de façonqu'aucun précédent dangereux pournotre pays et son économie ne soitcréé, (cps)

Hasler Holding S.A. : augmentation des commandesL'assemblée générale de Hasler Hol-

ding S. A., à laquelle assistèrent 236actionnaires, sous la présidence de M,E. Glaus (Vevey), a traité les pointsstatutaires et décidé d'augmenter41acapital-action (rapport 10 : 1) de 36,3millions de fr. à 39,93 millions, puisd'émettre 140 actions nominatives de500 fr. avec droit d'acquisition exclus,ainsi que de modifier les statuts enconséquence. Le prix d'émission estde 1000 fr., timbre fédéral inclus.

Après avoir entendu le rapport duprésident, l'assemblée ratifia le comptede l'année bouclant par un bénéficenet de 3.633.120 fr. (+ 4 pour cent).

L'augmentation de dividende de 45francs à 47 fr. proposée par le Conseild'administration pour les actions nomi-natives de 500 fr. a été approuvée.

Le rapport du président a révéléque l'entrée des commandes au coursde l'exercice écoulé a augmenté de23 millions, c'est-à-dire de 6,7 pourcent à 365 millions et que le chiffrefacturé s'est élevé de 27 millions, c'est-à-dire de 9,4 pour cent pour atteindre310 millions. Comme précédemment lescommandes ont été supérieures auxlivraisons

L'année en cours , dont les deux tiersétaient écoulés à fin août , accuse de

nouveau une entrée de commande sa-tisfaisante. Elle excède de 9 pour centcelle de l'^n dernier à pareille époque,ce qui est de bon augure pour le pro-chain exercice. Bien entendu, le groupaHasler n'est pas à l'abri des fluctua-tions du commerce international et dela montée inflationniste des frais.

Le président parla de la FondationHasler-Werke, principal actionnaire deHasler Holding S. A., qui compte cetteannée 20 ans de fructueuse activité.La Fondation a pour but de distribuerle produit de la fortune léguée parGustave Hasler à des fins d'utilité pu-blique et sociales. Un tiers est verséaux caisses de retraite de Favag S. A.Neuchâtel et de Hasler S. A. Berne,et les deux tiers utilisés pour favoriserle développement de la technique suis-se des télécommunications. Ces fondssont destinés à octroyer des boursesà des étudiants doués, mais à moyensfinanciers limités, à subventionner lesécoles techniques et polytechniques for-mant des ingénieurs en télécommunica-tion , à accorder des crédits à des insti-tuts de recherche d'écoles polytechni-ques.

La somme versée depuis 1952 par laFondation Hasler-Werke à des fins so-ciales et d'utilité publique s'élève enchiffres ronds à 20 millions de francs.

LA BOURSE CETTE SEMAINESUISSE : A part quelques points

d'irrégularité, la semaine a débuté surune tendance légèrement soutenue etdans un marché calme. Depuis quelquetemps déjà, des rumeurs circulaientdans les milieux financiers selon les-quelles les grandes compagnies d'assu-rances envisageraient d'émettre des ac-tions au porteur à l'instar de Win-terthour. Ces rumeurs se sont révé-lées exactes puisque la Compagnie deRéassurance a décidé d'augmenter soncapital par l'émission de 44.000 actionsau porteur d'une valeur nominale de250 francs (voir ci-contre). Cette déci-sion a entraîné une forte hausse dutitre qui s'est inscrit à 2875 francsjeudi, contre 2605 vendredi dernier.Elle permettra également à la clientèleétrangère de participer au développe-ment de la société et d'élargir ainsile cercle des actionnaires.

La première journée de la liquida-tion a été marquée par une tendancelégèrement plus faible. Dès mercredi ,le ton était à nouveau soutenu danstous les secteurs bien que le nombrede contrats soit encore en baisse. Enraison des importantes liquidités, l'é-chéance trimestrielle ne paraît pasavoir d'effets sur le comportement dela bourse. L'évolution du marché àterme, pas plus que celle du comptant ,ne laisse apparaître d'indices qui pour-raient annoncer un changement desdispositions de nos bourses.

FRANCFORT : Après un début desemaine en recul, les valeurs alleman-des se sont quelque peu ressaisies.

DAIMLER BENZ était exceptionnelle-ment ferme et ressortait du lot. Lapression vendeur s'est atténuée et uncertain intérêt acheteur est en trainde naître timidement.

AMSTERDAM : Le manque d'initia-tive des opérateurs est le principalfait à relever. Malgré ce désintéresse-ment PHILIPS et ROYAL DUTCH seraffermissent légèrement.

JAPON : Le marché nippon est ànouveau en vedette La visite de M.Tanaka à Pékin n'est pas étrangère àla bonne tenue de la bourse et lesperspectives de futurs échanges com-merciaux avec la Chine sont un fac-teur encourageant. Mercredi , l'indices'inscrivait en baisse de 22 points, dansun important volume. Ce recul prove-nait du fait que les deux tiers descotations se traitaient ex-dividende.

Les indices boursiers atteignent denouveaux records mais certaines va-leurs restent encore à un niveau rai-sonnable en comparaison des autrespays. En vue des élections parlemen-taires, le gouvernement suit une poli-tique économique expansionniste pourconsolider la position de son nouveaucabinet , présidé par M. Tanaka (aug-mentation du budget de constructionde 62 pour cent). Il va amener uneaccentuation de la reprise économique,et si possible, cherche à éviter uneréévaluation du Yen avant les élec-tions.

Alors que la bourse a profité desfortes liquidités, il y a quelques indi-ces qui pourraient indiquer que l'èredes liquidités abondantes pourrait gra-

duellement toucher à sa fin. Nous con-seillons de réaliser les bénéfices sur lestitres qui sont fortement montés et deconcentrer les nouveaux placements surdes situations spéciales, sur des titresqui sont restés en retard ou qui ¦ sontconcentrés sur le marché intérieur.

NEW YORK : A l'ouverture hebdo-madaire, le marché new-yorkais a con-tinué d'évoluer dans la grisaille quil'a caractérisé ces dernières semaines.Mardi , après un début de séance enbaisse, la bourse a réagi devant lespositions nettement survendues de lacote. Mercredi , Wall Street sortait en-fin de sa torpeur et l'indice Dow Jonesdes industrielles clôturait sur une haus-se de 10,69 points. Les discussions deParis entre MM. Kissinger et Le DucTho ont surpris les observateurs pasleur durée. Chacun s'attend à une accé-lération du règlement du conflit , cequi soulagerait le marché d'un impor-tant poids psychologique.

De plus, les nouvelles statistiqueséconomiques reflètent à nouveau unesensible amélioration de la situationLa bourse ne devrait donc pas tarderà quitter son climat déprimé, c'est dumoins l'avis de plusieurs observateurs.

D'autre part , les déclarations faitesà l'occasion de la réunion du FMI té-moignent que les différents partenairescherchent à établir de nouvelles basesde notre système monétaire, ce quipourrait avoir également des répercus-sions favorables sur le comportementboursier à long terme.

G. JEANBOURQUIN

$ BULLETIN DE BOURSE1874 Cours communiqués par : SOCIÉTÉ DE BANQUE SUISSE

A ¦¦ Cours du 28 sep tem.bre B = Cours du 29 septembre

NEUCHATEL A B îCr. Fonc. Neu. 820 820La Neuchâtel. 1525 d 1600 o !Cortaillod 3200 3200 'Dubied 1925 d 1925 j

LAUSANNE¦

Bque Cant. Vd.1400 1410Cdit Fonc. Vd. 925 d 930Cossonay 2500 2550Chaux & Cim. 720 d 720 d 'Innovation 465 450 d :La Suisse 3100 d 3100 d

GENÈVEGrand Passage 630 d 650Naville 1080 1070Physique port. 475 490Fin. Parisbas 175'/2 176V«Montedison 3.05 3.10Olivetti priv. 10.20 10Zyma 3050 3050

ZURICH(Actions suisses)Swissair port. 700 700Swissair nom. 607 603

ZURICH A B

U.B.S. 4575 4600Crédit Suisse 4240 42558.P.S. 2400 2410Bally 1330 d 1330 dElectrowatt 3460 3480Holderbk port. 530 530Holderbk nom. 506 505Interfood «A» 1300 d 1300 dInterfood «B» 7175 7150Juvena hold. 2600 2600Motor Colomb. 1760 1770Italo-Suisse 288 288Réassurances 2875 2870Winterth. port. 1560 1575Winterth. nom. 1030 1035Zurich accid. 7800 7800Aar et Tessin 850 850Brown Bov. «A»1335 1335Saurer 1900 d 1920Fischer port. 1235 1250Fischer nom. 238 238Jelmoli 1450 1440Hero 4450 4475Landis & Gyr 1510 d 1530Lonza 2130 2140Globus port. 4000 4000 dNestlé port. 3885 3875Nestlé nom. 2385 2385Alusuisse port. 2280 2280Alusuisse nom. 1005 1000

ZURICH A B

Sulzer nom. 3700 3725Sulzer b. part 540 538Schindler port. 2825 d 2800 dSchindler nom. 520 520 d

ZURICH

(Actions étrangères)

Akzo 78V. 78VsAng.-Am. S.-Af. 32V1 32Machine Bull 64' -' i 64:!/4Cia Argent. El. 40V* 39De Beers 33 33</iImp. Chemical 25 25' '2Pechiney 125 123V?Philips 6lVi 62'/4Royal Dutch 144 143'/sUnilever 162 162A.E.G. 193V2 ' 192Bad. Anilin 186'/* 184l/2Farb. Bayer 159 158Farb. Hoechst l78Vi 175

I Mannesmann 237 235' .'2Siemens 323 324Thyssen-Hùtte 91 91V.W. 177 175Ang.Am.Goldl. 91 91'/ J

BALE A B(Actions suisses ',Roche jee 216000 215750Roche 1/10 2165° 21575

s B s 4085 4085Ciba-Geigy p. 2740 2690Ciba-Geigy n. f ] ™>Ciba-Geigy b. p.2440 2S80Girard-Perreg. 'o0d 800 ,Portland 3450 3450 dSandoz port. 7000 6925Sandoz nom. 3750 3750Sandoz b. p. 6475 6425Von Roll 1475 1470 d(Actions étrangères)Alcan 89 88V4A.T.T. 177 178V'ïBurroughs 830 845Canad. Pac. 59v: 59ViChrysler 115'/a 117Contr. Data 278 280Dow Chemical 351 358 dDu Pont 633 635Eastman Kodak 516 527Ford 247>/2 252V*Gen. Electric 250 253Gen. Motors 289 Vi 296Goodyear 112 d 113V*I.B.M. 1550 1543Intern. Nickel 131'/2 133Intern. Paper 133 d 132 dInt. Tel. & Tel. 201 202V*Kennecott 86 'M 87Litton 50'/4 50Marcor B2a/4 83'/4Mobil Oil 256 d 260Nat. Cash Reg. 136l/j 14lV«Nat. Distillers 67 66V4Per n Central 12' .'2 12'/aStand. Oil N.J. 304 307' . 2Union Carbide 177 176 d: U.S. Steel 110 d 112

Billets de banque étrangersDollars USA 3.72 3.32

1 Livres sterling 9.— 9.40Marks allem. 117.— 120 —Francs français 76.— 79.50Francs belges 8.45 8.85Lires italiennes ¦— .61— .64'' 2Florins holland. 116.— 119.—Schillings autr. 16 25 16.65

! Pesetas 5.80 6.10Ces cours s'entendent pourde petits montants fixés par

, la convention locale.NEW YORKInd. Dow Jones A BIndustries 955,15 953,27Transports 217 ,85 217 ,70Services publics 110,56 110.56Vol. (milliers) 14.710 16.240

Prix de l'orLingot (kg. fin) 7770.- 7910.-Vreneli 57.— 61.—Napoléon 53.— 57.50Souverain 65.— 69.50Double Eagle 300.— 325.—

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9 La Fédération suisse du tourisme(FST), association faîtière des entrepri-ses et organisations touristiques de no-tre pays, au cours de son assemblée gé-nérale, s'est félicitée du nouvel acrois-sement de 3 pour-cent du nombre desnuitées d'hôtes étrangers enregistré l'andernier et s'est penchée sur les pro-blèmes suscités par la récente crise mo-nétaire internationale et le renchérisse-ment consécutif des séjours en Suissepour les touristes venus de divers paysd'Europe et d'outre-mer.

Télégramme

Page 17: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

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Page 19: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

Merckx devra lutter contre les sprintersDimanche, lors de la course cycliste Paris-Tours

Paris - Tours offre ce paradoxe d'être, pour d'aucuns, la course la plusfacile à gagner et le jeune Belge Henri Van Linden en fit la démonstrationl'an passé alors qu'il étrennait sa licence de professionnel et, pour d'au-tres, l'épreuve la plus difficile à remporter. Louison Bobef naguère (5e en1952, 2e en 1954, 3e en 1956, 2e en 1967), Eddy Merckx plus récemment (ilpréféra en 1968 emmener le sprint pour son coéquipier Reybroeck, car ilsavait ne pouvoir gagner lui-même face aux sprinters) et Marino Basso

(4e en 1970 et 2e en 1971) ont illustré cette thèse.

Van Springel puis l'Allemand Tschanétaient parvenus à brûler la politesseaux hommes « vite ».

Merckx devra attaquerdès le début

On peut donc penser que Merckxrendra la course dure dès le débutafin de décanter rapidement l'énormepeloton. La course vaudra égalementpar les débuts de jeunes qui opèrentdans les rangs des professionnels de-puis septembre, tels Verreydt , VanLooy ou De Guchtenaere, tous Belges,ou qui vont effectuer leurs débuts di-manche, tels le champion du monde1971, le Français Ovion, son second leBelge Maertens ou bien encore l'Espa-gnol Tena, le Hollandais Bal et leBelge Cateeuw.

Plus de 170 partantsLa 66e édition de cette « classique »,

qui se déroulera dimanche et qui met-tra aux prises plus de 170 coureurs,revêt un cachet tout particulier. Elle

sera avant tout la revanche du der-nier championnat du monde et princi-palement pour Merckx. Le championbelge (41 victoires cette année) avaitdéserté la course depuis 1968, annéeoù il avait terminé huitième. Il y re-vient cette fois avec un triple objec-tif : prendre sa revanche sur Basso quil'avait impitoyablement marqué lors del'épreuve mondiale, compléter son pal-marès car Paris - Tours est la seuleclassique qui n'y figure pas, et égale-ment , préparer une tentative contre lerecord de l'heure.

Sur 286 km. 500Pour atteindre ces buts , Merckx de-

vra toutefois se débarrasser bien avantle Parc des Expositions à Tours detous les sprinters engagés et en pre-mier lieu de Guimard , Basso, Van Lin-den, Léman, Sercu, Godefroot et au-tres Karstens. Merckx aura 286 km. 500pour y parvenir, car désormais pourrallier la capitale de la Touraine, lescoureurs empruntent le chemin desécoliers. Malgré cet allongement duparcours et les valonnements de laroute que Ton trouve du côté de Mon-toire, un sprinter avait gagné l'an pas-sé, Van Linden ayant devancé Basso,Karstens, Godefroot et Guimard. Enrevanche, en 1969 et en 1970, le Belge

Les « attentistes »Pour tenter de distinguer ceux qui

devraient émerger, on peut composerdeux pelotons : celui des « battants »et celui des « attentistes ». Les pre-miers , peu sûrs de leur pointe de vites-se, essaieront de partir de loin et col-laboreront éventuellement avec EddyMerckx. Dans ce groupe, on peut fairefigurer les Français Poulidor, Dan-guillaume , Delisle, Thévenet , Hézard ,des Belges dont Verbeeck , Van Neste,Pintens , des Espagnols dont Lasa , Gon-zalès-Linarès et Fuente , l'AllemandTschan , le Danois Mortensen. Dans lesecond groupe , on placera principale-ment les « racers » tels Basso, Gode-froot , Reybroeck , Léman, Karstens,Van Linden et Sercu. En exergue, oninscrira Guimard , dont on sait qu 'il estcapable de batailler avant de faire va-loir sa vélocité. C'est pourquoi on dési-gnera le Français comme l'adversairenuméro un d'Eddy Merckx.

L'Italien Basso (notre photo asl), un rival dangereux pour Merckx.

Quinzième succès consécutif pour leprofessionnel genevois Nussbaum

Le poids mi-lourd suisse E. Nuss-baum a remporté une très facile vic-toire contre le Ghanéen Ray Adonis,qui . a été disqualifié au 4e roundpotir passivité.' Le Genevois n'a ja-mais connu la moindre difficultécontre un adversaire qui ne cherchaqu'à se défendre. Après un premierround d'observation , Nussbaum pritla mesure de son adversaire, qui necessa dès lors de reculer sous lescoups de sifflets d'un public déçu.Au troisième round , Nussbaum don-na nettement l'impression de ména-

Meeting de boxe, hier soir, a Bienne

ger son adversaire pour ne pas enterminer trop vite. L'arbitre optapour la disqualification après uneminute de combat dans la quatrièmereprise. Eric Nussbaum -a ainsi rem-porté sa quinzième victoire consécu-tive.

Au cours de la réunion, disputéedevant 600 spectateurs, une sélec-tion suisse a battu une équipe deBrescia par 11-1. Les meilleurs com-bats de la soirée furent ceux qui op-posèrent le sélectionné olympiqueKarl Gschwind à Zanetti et leChaux-de-Fonnier Mucaria à Petac-cia.

RÉSULTATS DES AMATEURSCoq : Giuseppe Sbrizzi (S) bat Bel-

védère (B) aux points. — Plume :Rosario Mucaria (S) bat Petaccia (B)aux points. — Surlégers : Butiger(S) contre Fasana (B) match nul. —Welters : Karl Gschwind (S) bat Za-netti (B) arrêt 3e. — Mi-lourds : To-ni Schaer (S) bat Mazzardi (B) arrêt2e. — Lourds : Ulrich Killer (S) batFolli (B) abandon 2e.

«Longue vie aux Jeux olympiques»A l'occasion de son 85e anniversaire, M. Brundage

A l'occasion de ses 85 ans, qu'il afê tés dans sa résidence de Chicago, M.Avcry Brundage , président du CIOpendant vingt ans, a souhaité longuevie aux Jeux olympiques. Après avoirexprimé sa confiance dans l'avenir desJeux , M. Brundage a cependant tenu àfaire '' remarquer qu'il était impératifque le programme olympique soit allé-gé , « car, a-t-il dit , l'organisation estdevenue trop grande et trop coûteu-se ».

A son avis, certains sports « qui re-lèvent davantage du domaine des a f fa i -res que de celui des sports » devraientêtre éliminés. Il a notamment cité lefootball et le basketball. « Il est impos-sible de trouver , où que ce soit, desjoueurs de football et de basketballqui soient vraiment des amateurs »,a-t-il ajouté. Parmi les sports qui con-tinuent d'avoir leur raison d'être («par-ce qu'ils sont conformes à l' espritolymp ique »), l'ancien président a citél'athlétisme, la natation, la gymnasti-que, la lutte , les poids et haltères etl'escrime.

L'olympisme,presque une religion

Qualifiant e?isuite le mouvementolympique comme étant « presque unereligion », M. Brundage a déclaré queles Jeux sont une « démonstration du-dit mouvement ». Parlant de la partiedu discours qu'il prononça au stadeolympique lors de la cérémonie funè-bre pour les onze victimes du massa-cre des otages israéliens et dans la-quelle il f i t état de l' expulsion anté-rieure de la Rhodésie des Jeux de Mu-nich, M. Avery Brundage a déclaré :« C'est délibérément que je l'ai fai tparce que l'action des pays africainsreprésentait une atteinte flagrante auxprincipes olympiques ».

Le président honoraire à vie du Co-mité international olympique a concluen disant qu'il n'assisterait plus à l'a-venir aux réunions du CIO , « à moins,a-t-il toutefois ajouté , que je ne soisinvité ».

M. Brundage lors d'un bal des sports(asl)

è ] Yachting

A Wrightsville Beach (Caroline duNord), l'Allemand Joergen Dieschs'est assuré le titre de champion dumonde des fireballs alors même qu'ilreste encore une régate à disputer.Il succède ainsi à l'Anglais JohnCaig. Le Neuchâtelois Jean-ClaudeVuithier, champion d'Europe, a rem-porté la cinquième et avant-dernièrerégate devant le Britannique Nor-man Bagley et le nouveau championdu monde, ce qui lui a permis de seretrouver à la deuxième place duclassement général.

Un Neuchâteloisse distingue aux USA

Bawkawsaw bat GonseslèsNouveau champion du monde des mouches

Le Thaïlandais Venice Bawkaw-saw a conquis à Bangkok, devant30.000 spectateurs, le titre de cham-pion du monde des poids mouche(version World Boxing Council), enbattant le tenant , le Vénézuélien Be-tulio Gonzales, par abandon à la di-xième reprise d'un combat prévuen quinze rounds.

La supériorité du challenger a étéécrasante tout au long de la rencon-tre. A aucun moment , le championdu monde n'a paru à même de s'op-poser à la soif de vaincre du Thaï-landais, véritablement déchaîné. Du-rement touché à l'estomac par unedes nombreuses séries au corps deBawkawsaw au cours de la neuviè-

me reprise, Gonzales, qui n'avait pasrécupéré, levait le bras en signed'abandon après trente secondesdans le round suivant.

Au moment de l'abandon , le Thaï-landais menait très largement 'auxpoints, les trois juges lui accordantun avantage variant de 6 à 10 points(89-83, 89-79 et 90-80).

Hockey sur glace \

dans le calendrierde ligue nationale A

Certains changements ont dû êtreapportés au calendrier du championnatsuisse de ligue nationale A. Voici ceschangements :

1er tour. Au lieu des quatre matchsprévus le 21 octobre : 20 octobre Klo-ten - La Chaux-de-Fonds, Lugano -Genève-Servette, Sierre - Langnau. —22 octobre : Ambri Piotta - Berne.

2e tour. 1er décembre : Langnau -Sierre. — 2 décembre : Berne - AmbriPiotta , La Chaux-de-Fonds - Klotenet Genève-Servette - Lugano.

Changements

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Fête romande style libre, à Versoix

Dimanche 24 septembre s'est dérou-lée à Versoix la lie Fête romande delutte libre , parfaitement organisée parla SFG. Plus de 150 lutteurs se sontaffrontés sur les 5 ronds de sciure dont11 Loclois, dans les catégories suivan-tes, écoliers, juniors et seniors.

Dans la catégorie écoliers (42 kg.),bonnes performances des élèves locloispuisque on trouve premier, SteudlerBernard ; troisième, Steudler Jacques ;Sixième, Pauli Bernard ;.tous trois avecpalmette, puis vingtième Erny Danielet vingt-deuxième, Favre Didier. Dansla catégorie écoliers (58 kg.) 19e FavrePatrice. Dans la catégorie écoliers (35kg.) 12e Nicolet Philippe.

CATÉGORIE JUNIORSGirard Patrick n'a pas pu se présen-

ter dans sa catégorie habituelle, étantarrivé en retard à la suite d'un acci-dent de voiture, de ce fait il dut lutteravec des adversaires beaucoup pluslourds que lui . Son 5e rang ne corres-pond pas à sa valeur réelle. Quand àJeanmairet Georges, malgré une bonneperformance, il n'a pu se classer qu'au9e rang.

Seuls deux lutteurs du club se sontprésentés en catégorie seniors. Malgréses quarante ans et 15 ans d'absencesur les ronds de sciure, Nicolet Jean-Claude s'est magnifiquement défenduen obtenant le 8e rang d'une catégorie

relevée. Enfin , dans la catégorie 82 kg.,magnifique 4e rang de LesquereuxJean-François.

PRINCIPAUX RÉSULTATSEcoliers (35 kg.) 1er Rouiller Nico-

las (Illarsaz) ; Ecoliers (50 kg.) 1er Pa-gliotti Eric (Martigny) ; Ecoliers (58kg.) 1er Bubloz Philippe (Begnins) ;Ecoliers (42 kg.) 1er Steudler Bernard(Locle) ; Ecoliers (48 kg) 1er FelleyMichel (Martigny) ; Juniors (56 kg.)1er Singy André (Lausanne Amis -gyms) ; Juniors (62 kg.) 1er MagistriniHenri (Martigny - Aurore) ; Juniors(68 kg.) 1er Desmeules Jacky (Montri-cher) ; Juniors (75 kg.) 1er DubossonGrégoire (Illarsaz) ; Juniors (75 kg.)1er Donnet Freddy (Illarsaz) ; Seniors(68 kg.) 1er Nicolet Daniel (Illarsaz) ;Seniors (75 kg.) 1er Gilliard Robert(Lausanne Amis - gyms) ; Seniors (82kg.) 1er Martinetti Raphy (Martigny -Aurore) ; Seniors (plus de 82 kg.) 1erMartinetti Jimmy (Martigny - Aurore).

Bonnes performances des lutteurs locloisPon voyageHC La Chaux-de-Fonds

Le HC La Chaux-de-Fonds a quittéla Suisse, ce matin à 6 heures, pourune semaine. Son voyage le conduiraen Autriche et en Yougoslavie. Durantcette tournée, quatre matchs ont étéfixés : 1er octobre à Vienne, 2 octobreà Graz, 3 octobre à Klagenfurt et 5 oc-tobre à Ljubljana (match retour de lafinale dc la Coupe desAlpes).

' Coupé Ëybûrg à ThouneDemi-finale : Thoune - CP Zurich ,

5-6 (0-2, 4-3, 1-1) ; Ambri Piotta - Fri-bourg, 6-1 (1-0, 2-0, 3-1) ; au cours dela première demi-finale, le Tchécoslo-vaque de Thoune Svoboda a été sérieu-sement blessé par le Zurichois Keller.Il souffre de plusieurs fractures et ilrisque d'être indisponible pour toute lasaison.

Football l:

EN FRANCE : première division (8ejournée), Bordeaux - Nice 0-1 ; Saint-Etienne - Nancy 1-0 ; Strasbourg -Bastia 0-4. — Classement : 1. Angers7 et 13 ; 2. Nice 8 et 13 ; 3. MarseUle7 et 11 ; 4 . Saint-Etienne 8 et 11.

EN ALLEMAGNE : championnat deBundesliga , Rotweiss Oberhausen -Eintracht Brunswick 0-1

A l'étranger

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Page 20: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

FEUILLETON DE « L'IMPARTIAL » 32

Anne-Marie Desmarest

(Ed. Denoël - Droits réservés Opera-Mundi)

— Ainsi c'était pour « cela » ? jeta-t-elle vio-lemment. Oh ! vous êtes ignoble et... je... oui...je vous déteste !

— Je crois que vous exagérez... ironisa-t-ilavec une impitoyable logique, plus mortifiantequ 'un soufflet.

Exaspérée, Nathalie s'enfuit et pénétra com-me une trombe dans le salon. Son irruptioninterrompit le jeu de Sébastiâo qui se retournavers elle en s'écriant :

— Mon Dieu ! Nathalie, que se passe-t-il ?On dirait à vous voir qu 'une légion de démonsest à votre poursuite !

Elle éclata d'un rire nerveux, incoercible,qui apaisa son bouleversement intérieur. Pluscalme, elle expliqua :

— Il y a des jours , voyez-vous, où les nerfssont tendus à l'extrême. Je ris peut-être pourne pas pleurer. Mais ne vous dérangez pas !

Je ne reste que le temps de vérifiez ces bou-quets.

—¦ Demeurez un peu, Nathalie, la musiqueest le meilleur des calmants. Ecoutez ceci !

Il commença de jouer un morceau dontles notes mélancoliques rappelaient un peucertaines études de Chopin. Séduite, Nathalies'était assise devant la table où elle avaitrassemblé les différents vases dont elle voulaitrafraîchir les fleurs. Mais ses mains restaientinactives. Avec une attention passionnée, elleécoutait le musicien traduire pour elle quelquepeine secrète.

Tout à coup, elle le vit abandonner le piano ,se lever, prendre sa guitare, en tirer quelquesmesures. Puis sa voix s'éleva, déclamant unesorte de « lamento » . Bien qu 'il s'exprimât danssa langue, Nathalie parvenait à comprendre lesparoles :

En ce temps-là j'étais heureux.Je t'aimais et tu le savais.Tes grands yeux pleins de promessesAllumaient un feu dans mon cœur.Et maintenant, tu ne veux pas, tu ne veux

plus.Ma vie est morne et sans soleil.O femme, que de joies tu peux donnerMais aussi , que de douleurs !Aujourd'hui je n'ai plus qu 'à mourir.Les notes tombaient comme autant de san-

glots. Une peine infinie sourdait de ce chantdésespéré. Quand Rodriguez se tut après un

dernier accord , Nathalie ne put retenir seslarmes.

—- Oh ! Sébastiâo , de qui est ce fado ?— De moi.—¦ Mais les paroles ?— Egalement de moi. J'improvisais.Nathalie le considéra avec attention , puis elle

murmura :— C'est... en l'honneur d'Héléna , n 'est-ce

pas ?Son visage se ferma.— Oui , reconnut-il en détournant les yeux.

Comment avez-vous deviné ?Elle eut un lent sourire triste.— Si les amoureux sont seuls au monde,

ils oublient trop souvent que le monde, lui,les regarde et qu'il voit clair. Vous êtes im-prudent , Sébastiâo, car Miss Grant n'est paslibre.

— Je ne m'occupais pas d'elle ! précisa-t-ilrudement. C'est elle qui a tout fait pour attirermon attention , ou plutôt mon désir , et main-tenant que son caprice m'a amené là où ellevoulait , elle se détourne de moi. Mais je mevengerai, Nathalie, et ce jour-là mon amourpour elle ne pèsera pas lourd , je vous le garan-tis.

— On dit cela , Sébastiâo ! Mais vous oubliezFervacque. Vous et moi nous sommes dépen-dants de lui. Il peut , du jour au lendemain, sepasser de nous. Vous serez bien plus avancé,alors !

— En ce qui me concerne, je ne crains pas

Fervacque et même...Emporté par sa rancune, il parlait à présent

avec une sombre violence. Mais, voyant surlui le regard scrutateur de Nathalie , il se reprità temps :

— Enfin , je veux dire que je saurai madéfendre.

— Je vous le souhaite. Mais Héléna fait delui ce qu 'elle veut. Songez bien à cela quandla colère vous saisira trop violemment.

— Soyez tranquille , Nathalie. J'ai le sangprompt , mais l'esprit clair.

Il se remit au piano et ce fut un classiquequ 'il interpréta cette fois avec chaleur.

Sa tâche finie, Nathalie s'éloigna doucementpour ne pas le troubler.

Comme elle passait devant le bar , la voixaiguë de Barbara la rejoignit :

— Oh ! Nathalie, venez !Vêtue d'un de ces ensembles masculins qu 'el-

le affectionnait , veste et pantalon de toile émc-raude, la jeune Miss Grant trônait avec impor-tance dans le fief attribué jusqu 'à ce jour auseul Martin. Le shaker en main , elle invita :

— Installez-vous, Nathalie ! Vous serez lapremière à boire l'un de mes cocktails.

— Pourquoi ? Parce que cela vous amuse dejouer à la barmaid ? observa Nathalie, prenantavec beaucoup de naturel un air de surprise.

— Je ne joue pas ! C'est sérieux. A partird'aujourd'hui , Robert me confie le bar et j' es-père bien me montrer digne de son choix.

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Page 21: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

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Eglise réformée évangélique. —GRAND TEMPLE : 8 h. 45, culte

matinal et culte de j eunesse ; 9 h. 45,culte, M. Lebet ; sainte cène ; 9 h. 45,école du dimanche à la Cure.

FAREL (Temple indépendant) : 9 h.45, culte, M. Gigon ; garderie d'en-fants au Presbytère ; 9 h . 45, écoles dudimanche au Presbytère et à Charriè-re 19, et vendredi à 15 h. 45 auPresbytère ; 11 h., culte de jeunesseau Temple.

HOPITAL : 9 h. 45, culte, M. Rosat.ABEILLE : 9 h., culte de jeunesse ;

9 h. 45, culte ; 20 h., veillée festiveavec le chanteur-guitariste françaisJean-Louis Decker, M. Lienhard etquelques jeunes.

LES FORGES : 8 h. 30, culte matinalet culte de jeunesse ; 9 h. 45, culte,M. Clerc ; garderie d'enfants ; 11 h.,école du dimanche.

SAINT-JEAN (Beau-Site) : Pas deculte matinal ; 9 h. 45, matinée cultu-relle, M. Lienhard, avec la participa-tion du chanteur-guitariste J.-L. Dec-ker et quelques jeunes ; 9 h. 45, écoledu dimanche.

LES EPLATURES : 9 h. 30, culte, M.Montandon ; sainte cène ; garderied'enfants à la salle de paroisse ; 9 h.30, école du dimanche ; 10 h. 45, cultede jeunesse à la grande salle paroissia-le.

LES PLANCHETTES : 9 h. 45, culte,M. Béguin.

LES BULLES : 14 h., à la Chapelle,participation à la Fête annuelle del'église mennonite.

LA SAGNE : Journée missionnaire ;8 h. 50, culte de jeunesse, M. RémyAnker ; 9 h. 45, culte paroissiale, M.Rémy Anker, agent missionnaire ; of-frande pour la mission ; 9 h. 30, écolesdu dimanche aux Cœudres, au Crêtet à Sagne-Eglise ; 20 h. 15, film etcauserie, M. Rémy Anker.

Deutschsprachige Kirchgemeinde. —Sonntag, 9.45 Uhr, Gottesdienst ; 9.43Uhr , Sonntagsschule im Pfarrhaus.

Paroisse catholique romaine. — SA-CRÉ-COEUR : Samedi, confessions de16 h. 30 à 17 h. 45 et de 20 h. à 21 h. ;IS h., messe. Dimanche, 7 h. 45, messe ;9 h., messe en italien ; 10 h., messe ;11 h. 30, messe en espagnol ; 20 h., cé-lébration mariale ; 20 h. 30, messe ; (ex-

ceptionnellement à 16 h. 30, messe enitalien).

HOPITAL : 9 h., messe.! STELLA MARIS : 8 h. 30, messe ;

17 h. 30, exposition du St-Sacrementet adoration.. LA SAGNE : 10 h., messe.

NOTRE-DAME DE LA PAIX : Sa-medi , confessions, de 17 h. à 17 h. 45 ;18 h., messe. Dimanche, 8 h., messe ;9 h. 30, messe ; 11 h., messe ; 18 h.,messe. La messe en langue italienne se-ra célébrée en l'église du Sacré-Cœurà 16 h. 30 (ce 1er octobre).

Evang. Stadtmission (Envers 37). —Sonntag, 14.30 Uhr, Emtedank und Jah-resfest. Mittwoch, 20.15 Uhr , Jugend-bund. Freitag, 20.15 Uhr, Mitgliederver-sammlung.

Eglise catholique chrétienne. EgliseSAINT-PIERRE (Chapelle 7). — Di-manche, 9 h. 45, grand-messe.

Première Eglise du Christ Scientiste(9 bis, rue du Parc). — Dimanche, 9 h.45, culte et. école du dimanche. Mercre-di. 20 h. 15, réunion de témoignage

Eglise évangélique de réveil 'Progrès48). — Samedi, 20 h., Jeunesse. Diman-che, 9 h. 30, culte et école du diman-che. Mercredi , 20 h., étude biblique.Vendredi, 20 h., prière.

Eglise néo-apostolique (Chapelle: 46.rue de la Combe-Grieurin). — Diman-che, 9 h. et 20 h., services divins.

Eglise mennonite (Chapelle des Bul-les). — Dimanche, 14 h., Fête annuelle.Messages, chant des chœurs, musique.

Eglise adventiste (10, Jacob-Brandt).— Samedi , 9 h. 15, classes bibliques ;10 h. 15, culte. Mardi , 20 h., réunion deprière.

Communauté israélite (synagogue),(Parc 63). — Culte et prédication : ven-dredi , 18 h. 10 et samedi, 10 h.

Témoins de Jéhovah (Locle 21). —Dimanche, 18 h. 45, étude biblique.Mardi , 20 h. 15, étude biblique. Jeudi ,19 h. 45, école du ministère théocrati-que et réunion de service.

Eglise évangélique libre (Parc 39). —Dimanche, 9 h. 30, prière ; 10 h., culte,M Charly Ummel. Vendredi, 20 h.,étude biblique.

Evangélisation populaire (Jaquet-Droz 25). — Dimanche, 9 h. 45, culte ;20 h. 15, réunion de louanges.

Armée du Salut (Numa-Droz 102). —Samedi, 13 h. 30, Jeune Armée ; 14 h.30, activités scoutes. Dimanche, 9 h. 30,

culte de famille ; 20 h., réunion d'évan-gélisation. Jeudi, 20 h. 15, répétition defanfare.

Action biblique (90 , rue Jardinière).— 9 h. 45, culte, M. R. Polo. Mercredi,14 h., Groupe Enfants Toujours Joyeux;19 h. 45, Jeunesse Action Biblique. Ven-dredi , 20 h., nouvelles missionnaires etintercession. Samedi, 20 h., Jeunesseétude biblique.

Le LocleEglise réformée évangélique. —AU TEMPLE : 7 h. 45, culte matinal ;

9 h. 45, culte, M. Bovet ; 20 h., culte,sainte cène.

CHAPELLE DES JEANNERET : 9 h.15, culte ; 10 h. 15, culte de l'enfance.

SERVICES JEUNESSE : 8 h. 30,culte de jeunesse (temple) ; 9 h. 45, cul-te l'enfance (moyens : maison de pa-roisse) ; 9 h. 45, culte de l'enfance (pe-tits : cure).

VERGER et MONTS : 8 h. 30, cultesde l'enfance.

LES BRENETS : Dimanche, 9 h. 45,culte des familles.

LA BRÉVINE : Dimanche, 9 h., cultede jeunesse ; 10 h., culte ; 10 h., écoledu dimanche.

LA CHAUX-DU-MILIEU : Diman-che, 9 h., culte de jeunesse et école dudimanche ; 10 h., culte.

LES PONTS-DE-MARTEL : 8 h. 45 ,culte de jeunesse au temple, culte del'enfance à la salle de paroisse, lespetits à la cure ; 9 h. 45, culte au tem-ple.

Deutschsprachige Kirchgemeinde. —Sonntag, Gottesdienst mit Abendmahlum 9.45 Uhr. Mittwoch, Junge Kircheum 20.15 Uhr. Donnerstag, 20.00 - 20.30Uhr, Gebetszusammenkunft, ab 20.30Uhr , Bibelarbeit.

Eglise catholique romaine. — Egliseparoissiale : Samedi, 17 h. 30, premièremesse dominicale (à l'église paroissia-le). Dimanche, 8 h. 30, messe et ser-mon ; 9 h. 45, grand-messe ; 11 h.,messe et sermon italien ; 20 h., messeet sermon.

Chapelle des Saints-Apôtres (Jean-neret 38 a) : 9 h., messe et sermon ;10 h., messe et sermon espagnol ; 11 h.,messe et sermon.

LES PONTS-DE-MARTEL : 10 h.,messe.

Eglise catholique chrétienne. Cha-

pelle Saint-Jean (Impasse du Lion-d'Or 8). — Dimanche, 8 h. 30, messe.

Evang. Stadtmission (Envers 25). —Gottesdienst fâllt aus.

Eglise de Réveil (Crêt-Vaillant 35).— Dimanche, 9 h. 30, culte et écoledu dimanche. Lundi, 19 h. 30, prière.Jeudi, 19 h. 30, evangélisation.

Témoins de Jéhovah (Envers 55). —Samedi, 19 h. 30, discours public ;20 h. 30, étude de la « Tour de Garde ».Jeudi, 19 h. 30, école du ministère ;20 h. 30, réunion de service.

Eglis.e évangélique libre. — Ce soir,18 h. 30, réunion de jeunes avec MlleLouis, missionnaire. Dimanche, 8 h. 45,prière ; 9 h. 30, culte avec sainte cène

et offrande pour la mission, école dudimanche ; 20 h., réunion missionnairesur le Japon avec Mlle Louis, du lundiau vendredi — chaque soir à 20 h.,cours de formation pour le témoignagechrétien par M. Déverse.

Armée du Salut (Marais 36). — Di-manche, 9 h., réunion de prière ; 9 h.30, culte ; 10 h. 45, école du dimancheet instruction religieuse ; 20 h., rencon-tre publique. Samedi 7 octobre, Fête dela reconnaissance.

Action biblique. — Dimanche, 9 h.45, culte. Mercredi, 13 h. 30, groupeToujours joyeux. Jeudi , 19 h. 30, réu-nion de jeunesse. Vendredi, 20 h., nou-velles missionnaires et prière.

Il y a Fête au chef-lieu!Propos du samedi

Le premier dimanche cf'octobre,c'est la tradition, Neuchâtel est enfête. Les vendanges : un événe-ment pour la vie du canton toutentier ! Il y a quelques années,j 'ai connu, dans mon quartier,une de ces vieilles Chaux-de-Fon-nières bien de chez nous, restéevaillante au-delà des quatre-vingts ans, et qui , chaque année,descendait au chef-lieu, toute seu-le, pour la Fête des vendanges.C'était sa grande sortie; on auraitmême pu croire que le cortègefleuri n 'aurait pas pu défiler sanselle parmi les milliers de specta-teurs.

C'est ainsi depuis toujours :l'homme a besoin d'e fêtes. Poursortir de son train-train journa-lier, pour fuir ses soucis ou sesépreuves, pour donner libre coursà sa soif de vivre, il a fêté lessaisons, le fruit de son travail, sapatrie et les grands événementsde son histoire.

Mais, il ne faut pas l'oublier,les fêtes des hommes ont été re-ligieuses avant d'être profanes et,

pour le monde chrétien, l'annéeecclésiastique est rythmée par lesfêtes qui rappellent en mêmetemps }es grandes étapes de lavie du Christ et les points essen-tiels de la foi évangélique.

Il y a fête au chef-lieu ! Neu-châtel célèbre ses vignes et sesvins, et aussi le difficile travail deses vignerons. La foule habituellesera présente; les joies «annexes*,nombreuses et coûteuses. Pourbeaucoup, les lendemains serontpénibles et même douloureux. Onperd vite la tête d'ans la foule enliesse.

Il serait bon de se souvenir, àl'occasion de la Fête des vendan-ges, que la vigne a fourni auChrist une des belles images del'Evangile illustrant le lien de lafoi. Jésus dit en effet dans l'E-vangile de Jean: « Je suis le cep,vous êtes les sarments. Celui quidemeure en moi et en qui je de-meure porte beaucoup de fruit,car sans moi vous ne pouvez rienfaire. » (Jean 15/5).

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Page 23: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

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L'assassinatde Jaurès

La TV romande nous prometrégulièrement des séries histori-ques de sa fabrication. Elle sortparfois une émission (exemple :la Bête de Gévaudan) et puis, plusrien. Du vent. En attendant, nousdevons nous contenter de produc-tions étrangères. Telle cette nou-velle série historique allemande :« Les attentats politiques » .

Le premier titre est alléchant :Jaurès. Peu de contemporains ontsoulevé autant de passions, peuaussi sont entrés comme lui dujour au lendemain dans la légen-de. Son assassinat à la veille dela guerre de 1914 est responsabled'une part de cette célébrité. Ellefaisait . de ce père du socialisme,cle ce tribun, de cet être généreux,de ce pacifiste et de ce patrioteun martyre et un symbole.

Comment la télévision allait-elle nous restituer son visage, sapersonnalité et le climat politiquede l'époque ? Pour le visage, c'estfacile, il y a assez de documents :bustes, photos, caricatures. Pourla personnalité, c'est déjà plus dif-ficile. Aucun enregistrement d'é-poque. Se peut-il vraiment quecet orateur qui, aux dires de Vin-cent Auriol , était à lui seul toutun orchestre, n'ait jamais été en-registré ? On ne pourra donc vé-rifier par nous-mêmes l'étenduede sa force de persuasion, être ànotre tour envoûtés et captivés.Nous ne pourrons que croire lesautres. Et les autres, qui viennentà la barre pour témoigner sontassez rares : Vincent Auriol, com-me je l'ai dit plus haut , PaulBoncour, qui fut l'avocat de lafamille, une domestique qui vientdéclarer que Jaurès était bonpour tous « même pour les domes-tiques » .

Finalement c'est assez maigre.En revanche, lé film parle longue-ment de l'affaire Dreyfus, vérita-ble tarte à la crème de toutes lesémissions historiques tournant au-tour de cette époque. Bien sûr,sur ce chapitre-la, 1 iconographieest abondante.

Dieu seul, et Boris Acquadropeut-être, sauront pourquoi YettePerrin a raconté l'Affaire commel'histoire de l'ogre et du PetitPoucet , comme on la raconteraità des enfants sous-développés ? Jen'ai pas compris.

Et de l'époque, qu'a apporté cefilm ? Pas assez en tous les cassur ces forces qui se combat-taient, le pacifisme, l'internatio-nalisme, le chauvinisme et le pa-triotisme, forces qui ont fondu surJaurès comme la poudre. La Té-lévision française a réalisé unfeuilleton sur les Thibault, peut-être serons-nous mieux renseignéssur le climat de l'époque par cefeuilleton que par une série his-torique.

Marguerite DESFAYES.

Sélection cie samediTVR

21.20 - 21.55 Sha-na-na. La Goé-lette d'Or de Knokke 1972.

Le festival de la Goélette d'Or deKnokke est encore fort peu connudans la ronde des confrontations in-ternationales d'émissions de télévi-sion. Né il y a trois ans, ce festivala pourtant pour lui une formuleoriginale : promouvoir des program-mes de variétés réalisés en publicet en direct. Les conditions debase sont identiques pour chaqueorganisme et les réalisateurs doi-vent faire preuve d'imaginationpour tenter de sortir des produc-tions traditionnelles tout en se trou-vant dans l'obligation d'utiliser desmoyens techniques électroniques si-milaires.

Sha-na-na, la production de laBBC qui remporta cette année etla Goélette d'Or et le prix de laPresse, n'apporte peut-être pas unecontribution nouvelle au langage té-lévisé. Elle permet cependant augroupe Sha-na-na de s'abandonnerà la fougue de son tempérament,tout en mettant en valeur les qua-lités de ses différents solistes. Unefois encore — nous l'avons vu àMontreux — la Télévision britanni-que joue la carte de l'humour , sub-til certes, puisqu'il s'agit d'une pa-rodie d'un genre très à la modeparmi les chanteurs et les musi-ciens vers les années 60. Ajoutonsque ce célèbre groupe américaina été révélé en Europe par le film« Woodstock », dans lequel il tientune part musicale importante.21.55 - 22.25 En appel. Une nou-

velle émission d'HenriGuillemin.

Depuis plusieurs années, HenriGuillemin présente aux téléspecta-teurs romands de nombreuses émis-sions où il aborde la littérature sous

A la Télévision romande, à 21 h. 20 : « La Goélette d'Or de Knokke 1972 » .L'émission Sha-Na-Na , une production de la TV britannique, qui aremporté le 1er prix ainsi que le Prix de la presse. (photo TV suisse)

un angle personnel qui ne plaîtpeut-être pas toujours à tout lemonde. Cette nouvelle série pour-rait être une sorte de justificationdes prises de position de l'auteur lorsde quelques-unes de ses précéden-tes analyses.

Dans cette première émission« Plaidoirie », Henri Guillemin s'ex-

plique : « Il y a plus de quaranteans que je me suis consacré à lalittérature. Lorsque, gamin, mes pa-rents me demandaient ce que jevoulais faire lorsque je serais grand,je leur ai toujours répondu : je veuxêtre professeur de littérature oud'histoire. »

C'est de ces deux disciplines que

relève le « métier » de Guillemin.De nombreuses objections se sontnaturellement manifestées au coursde ses dissertations sur les grandsécrivains. « C'est pourquoi j'ai pen-sé qu 'il était nécessaire de me dé-fendre, de me justifier ; c'est pour-quoi j' ai intitulé cette premièreémission « Plaidoirie » ou « Plai-doyer », pour essayer de bien expli-quer le métier qui est le mien etcomment je le conçois. »

TVF I20.30 - 22.00 L'argent par les

fenêtres.Un village dans le Midi. Une

voix de femme fait des vocalisesde chanteuse d'opéra. Au contre-ut,les difficultés commencent. Tout levillage attend , anxieux, qu'une notepure remplace le couac. Gloria, lafemme d'Anatole, entretient sa voixpour oublier ses soucis d'argent.Anatole, en cadeau d'anniversaire,lui ramène un billet de la Loterienationale soigneusement choisi selonla date de naissance de Gloria. Lavraie. Pour retrouver l'âge qu'elle sedonne Gloria exige un chiffre plusavantageux. Hélas, c'est le numérodu premier billet qui gagne 200millions...

TVF II20.30 - 21.30 Top à Juliette Gré-

co. Producteurs: Gilbert ctMaritie Carpentier.

— Juliette Gréco chante : Letemps amoureux — La truite (adap-tée par Francis Blanche) — L'Em-bellie — La folle — Les fusilsd'argent — Mon fils chante — Mesthéâtres. Francis Blanche : poèmes— Robert Charlebois — MichelPiccoli : poèmes — Jean Ferrâtchante : Mon palais — Les saisons— Jean Ferrât et Juliette Gréco,duo : « Une femme honnête ».

SUISSE ROMANDE14.45 (c) Portrait d'artiste

Henry Meylan.15.15 Lauréats

Quelques candidats sélectionnés au Concours inter-national d'exécution musicale de Genève.

16.20 (c) Ofi we go16.45 Le jardin de Romarin

Emission pour les tout-petits.17.05 (c) Folklore d'ici et d'ailleurs

La Chanson valaisanne17.35 (c) Pop hot

Pop music avec la participation d'Amazing Blondel, et Bridget St. John. , •„ ,, ., , , ,. , , , ,18.00 Télé journal18.05 (c) Samedi-jeunesse19.00 (c) Les Aventures de l'Ours Colargol

Pour les petits.19.05 Rendez-vous19.30 Deux minutes...

avec le pasteur Henri Kunzler.19.40 Télé journal19.55 Loterie suisse à numéros30.05 (c) Les chercheurs d'or

Un jeu.20.25 (c) La piste aux étoiles21.20 (c) Goélette d'Or de Knokke 1972

Sha-Na-Na.21.55 (c) En appel

Une émission d'Henri Guillemin. 1. Plaidoirie.22.25 Téléjournal22.35 Football

SUISSEALÉMANIQUE

9.00 Télévision éducative14.00 Télévision éducative16.00 (c) Guitares à gogo16.45 TV-,iunior17.30 Lassie17.55 (c) Magazine féminin18.40 (c) Fin de journée18.50 Télé journal19.00 (c) Bunny et ses amis19.30 (c) Une histoire de

sept millions dedollars

19.40 Message dominical19.55 Tirage de la loterie

suisse à numéros20.00 Téléjournal20.30 (c) Griiezi mitenand22.05 Téléjournal22.15 Un seul Soulier23.10 Télésports

SUISSEITALIENNE

16.10 Samedi-jeunesse17.00 Vroum17.50 Pop hot18.10 Une rencontre

historique18.35 (c) Le monde où nous

vivons19.05 Téléjournal19.15 (c) Vingt minutes

avec...19.40 Tirage de la loterie

suisse à numéros19.45 L'Evangile de demain20.00 (c) Un rire en tête20.20 Téléjournal20.40 Tout peut arriver22.10 Samedi-sports23.30 Téléjournal23.40 Les programmes de

demain

ALLEMAGNE I14.40 (c) Téléjournal14.45 Flash15.15 (c) Beat-club

Un programme pourles jeunes.

16.00 (c) Un plus un contredeux i

| Concours de là circu-lation.

16.45 (c) Le marchéMagazine économique.

17.15 (c) Prédication et. jajzzLe pasteur John Gen-sel de New York.

17.45 (c) Télésports20.00 Téléjournal20.15 (c) Attention !

Voilà Ilannes...Pièce.

21.40 (c) Tirage du loto21.50 (c) Téléjournal22.00 Dans les Griffes

du FBI(Offbeat), Film policieranglais.

23.10 (c) Téléjournal

ALLEMAGNE II13.45 (c) Les programmes

de la semaine14.15 Pour les Italiens15.00 Pour le.s jeunes

Un métier de rêve:Pilote automobile.

15.30 (c) Les MusiciensambulantsDessin animé russe.

15.50 (c) Projet MarsSérie.

16.20 Les belles voixChansons populaires.

17.05 (c) Télé journal17.15 (c) Miroir du pays17.45 (c) Matière inconnue18.45 (c) Concours de

chansons du Carnavalde Mayence 1973animé par Peter Pu-der.

19.45 (c) Téléjournal20.15 (c) La Piste des

EléphantsFilm de W. Dieterle.

21.55 (c) Télésports23.10 (c) Téléjournal23.15 Le Musée du Crime

On recherche Compa-gnon de Voyage.

FRANCE I

12.30 Midi trente13.00 24 heures sur la I14.30 RTS promotion15.00 Merveilleuse Venise15.25 Féminin masculin16.25 Le Petit Conservatoire de la chanson16.55 Athlétisme

France - Grande-Bretagne au Stade de Colombes.18.00 Petit lecteur deviendra grand

y!8j,50 Au clair de la luneLa Basse-cour. ¦•¦ , ' ^ ' .M . > „ > W^s.ffigf

19.00 Actualités1 régionales -**y.L ?£«*«*&19.25 Les musiciens du soir

Union musicale de Saint-Genest-Lerpt (Loire).19.45 24 heures sur la I20.15 Du tac au tac

Des héros et des monstres.20.30 L'Argent par les Fenêtres

d'Yves Jamiaque.22.00 A chacun sa poésie22.50 24 heures dernière

FRANCE II

13.33 (c) Magazines régionaux14.30 (c) Aujourd'hui, Madame15.10 Les Saintes Chéries

9. Eve et le Dimanche.17.00 (c) Jazz harmonie

Howard Riley Trio et Jacques Thollot.17.35 (c) Portrait d'Histoire

Monsieur Rondelet, médecin de la Renaissance.18.05 (c) Les gens d'ici

' Les Finistères.19.00 Actualités régionales19.20 (c) Colorix

Sophie la Sorcière.19.30 (c) Des chiffres et des lettres

Jeu, avec « Le compte est bon » et « Le mot le pluslong ».

20.00 (c) I.N.F. 220.30 (c) Top à Juliette Gréco

Variétés en direct.21.30 (c) La Journaliste

Loi sans Pitié.22.15 (c) Samedi soir23.05 (c) I.N.F.

SOTTENS

Informations à 12.30, 14.00, 15.00, 16.00,18.00, 19.00, 22.30, 23.55. — 12.25 Com-muniqués. Météo. 12.29 Signal horaire.12.30 Miroir-midi. 12.50 La radio ra-conte l'Histoire : 1946. 13.00 Demaindimanche. 14.05 Musique sans frontiè-res. 15.05 Samedi-loisirs. 16.05 Titreset sous-titres. 16.30 L'Heure musicale.Lauréats du Concours internationald'exécution musicale Genève 1972. 18.00Le journal du soir. 18.05 Le magazinedu spectacle. 18.30 Le micro dans lavie. 19.00 Le miroir du monde. 19.30Magazine 72. 20.00 En attendant leconcert... 20.15 Concours internationald'exécution musicale, Genève 1972.

22.40 Entrez dans la danse. 23.55Miroir-dernière. ' 24.00 Dancing non-stop. 1.00 Hymne national.

2e programme13.10 Bulletin d'informations musicales.13.30 Petit concert pour les Jeunessesmusicales. Le Damné. 14.00 Promenademusicale. Carnet de notes. 15.30 Méta-morphoses en musique. 16.00 Per i lavo-ratori italiani in Svizzera. 16.30 Correoespanol 17.00 Rendez-vous avec le jazz.18.00 Le journal romand. Edition gene-voise. 18.30. Rhythm'n pop. 19.00 Hori-zons-jeunesse. 20.00 Informations. 20.05Les beaux-arts. 20.29 Loterie suisse à

numéros. 20.30 Encyclopédie lyriqueL'Ormindo (4). 21.10 Sport , musique,information. 22.15 Une œuvre de BêlaBartok. 23.00 Hymne national.

BEROMUNSTERInformations-flash à 12.30, 16.00, 18.00,19.15, 22 15, 23.25. — 12.40 Spot etmusique. 14.00 Politique intérieure.14.30 Jazz. 15.05 Chorales suisses. 15.30Dans le ton populaire. 16.05 La bouti-que pop. 18.20 Actualités sportives etmusique légère. 19 00 Cloches. Commu-niqués. 19.15 Actualités. 19.45 Politiqueintérieure et revue mondiale. 20.00Théâtre. 20.55 Piano. 21.15 1-2-X, radio-Totomat. 22.25 Spécialités et raretésmusicales 23.30-1.00 Bal du samedi soir.

MONTE-CENERI

Informations-flash à 14.00, 16.00, 18.00,22.15. — 12.15 Revue de presse. 12.30Actualités. 13.00 Folklore alémanique.13.25 Orchestre Radiosa. 14.05 Radio2-4 16.05 Problèmes de travail. 16.40Pour les travailleurs italiens en Suisse.17.15 Radio-jeunesse. 18.05 Polkas etmazurkas. 18.15 Voix des Grisons ita-liens. 18.45 Chronique régionale. 19.00Musique tzigane. 19.15 Actualités.Sports. 19 45 Mélodies et chansons.20.00 Documentaire. 20.30 Chansons.21.00 Reportage sportif. 22.20 Giallirosa. 22.50 Disques. 23.00 Actualités.23.25-24.00 Musique douce.

Voici le résultat de l'Enquête No 38de la radio romande :

1. Rock and Roll Part II (Gary Glit-ter). 2. Pop Corn (Hot Butter - Anar-chie System - Mat Garnison). 3. Schoolsout (Alice Cooper) . 4. Song Sung Blue(Neil Diamond). 5. Hello A (Mounth andMac Neal) 6. Wigwam Bam (TheSweet . 7. Soleil Soleil (Nana Mous-kouri). 8. My reason (Demis Roussos).9. Bottom Up (Middle of the Road*).10. Let's dance (The Cats*). 11. En frap-pant dans nos mains (Mireille Ma-thieu). 12. Virginia Plain (Roxy Music).13. Une belle histoire (Michel Fugain).14. Cach'ton piano (Les Chariots). 15.Gwendolina (Putterflam). 16. Annabelle(Daniel Boone). 17. Fan de toi-62 nosquinze ans (Michel Delpech). 18. Il étaitune plage (Les Associés). 19. Un joursans toi (Crazy Horse). 20. Je voudraisdormir près de toi (Frédéric François).* Nouveaux venus.

HIT PARADE

Canton de Neuchâtelet Jura bernois —.34 le mm.Mortuaire» —.60 le mm.

Régie extra régionale :Annonces Suisses S. A.Suisse —.44 le mm.Réclame 1.48 le mm.

(minimum de 25 millimètres)

Cep 23-325 La Chaux-de-Fonds

ANNONCES

Page 24: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

Sélecteon de dimancheTVR

A la Télévision romande, à 13 h. 15,« Aujourd'hui et demain » . Troisiè-me volet de la « trilogie persane »,

réalisée par Jean-Luc Nicollier.(photo Jean-Luc Nicollier)

11.30 - 12.45 Table ouverte. L'in-dexation des salaires re-mise en cause.

Pour de nombreux salariés, c'estdevenu une habitude : à la fin dechaque année, le traitement est re-levé de 4, 5 ou 6 pour cent afin decompenser la hausse du coût de lavie. Si l'adaptation n'est pas auto-matique, elle se règle dans le cadredes négociations fixées par les con-trats collectifs.

Or, depuis deux ou trois ans, lahausse des prix a pris une ampleurencore jamais atteinte en Suisse.L'inflation, après avoir atteint en-viron 12 pour cent au cours desdeux dernières années, risque fortde s'accélérer encore. Des experts,avec un certain pessimisme, crai-gnent que le taux de renchérisse-ment ne se monte à 10 pour cent aucours des douze mois à venir.

Divers remèdes ont été appliquéspour freiner cette progression quiplace la Suisse en tête des pays oùrègne l'inflation. Le résultat n'a pasencore répondu à ce que l'on atten-dait de ces mesures Diverses voixs'élèvent maintenant, notamment ausein de la Banque nationale suisse,

pour remettre en cause 1 indexationautomatique des salaires qui ? en-tretient » l' inflation et anesthésieune partie de l'opinion publique,laquelle a pris l'habitude de vivreavec cette inflation.

Faut-il renoncer à l'indexation in-tégrale ? Faut-il adapter de maniè-re plus nuancée les salaires à lahausse des prix ? L'index du coûtde la vie est-il un baromètre va-lable pour tout le monde ? Tellessont les questions pratiques qu 'a-bordera « Table ouverte » , sous ladirection de Gaston Nicole. Pren-dront place autour de la table MmeJacqueline Fischer, conseiller juri-dique à Lausanne, MM. GilbertCouteau de la Société pour le déve-loppement de l'économie suisse, Pe-ter Tschopp, économiste à Genèveet Joseph Villat , secrétaire fédératifde la VPOD.20.25 - 21.55 Le Rosier de Mada-

me Husson. Un film deJean Boyer. Avec Bourvil,Jacqueline Pagnol, Mi-reille Perrey, Pauline Car-ton.

Le comité local désire décernerun « prix de vertu » à une personnerestée pure, mais ne trouve aucunejeune fille méritant cette distinc-tion. C'est pourquoi on se rabattrafinalement sur un garçon , un « inno-cent » qui accepte de toucher les100.000 francs, devenant d'un coupla risée du village. Un banquet estdonné en son honneur, après quoiil décide de partir pour Paris...

TVF I17.35 - 19.25 Le théâtre de la jeu-

nesse: « Méliès », le magi-cien de Montreuil sousBois.

Le « Magicien de Montreuil-sous-Bois » tient un peu de la féerie, unpeu de la comédie musicale, unpeu de l'opérette. C'est une évoca-tion de la carrière et des décou-vertes de Georges Méliès, le pion-nier du cinématographe, l'hommequi pressentit dès la première heu-re les possibilités de cette inven-tion en tant que « spectacle ».

L'histoire retrace donc la vie deMéliès à ses débuts quand, fils d'ungrand bottier parisien, il se pas-sionnait plus pour la prestidigita-tion et les automates de RobertHoudin que pour l'usine paternelle.

Il découvre en 1875 dans le sous-sol du grand Café de Paris, le ciné-matographe lors de la premièreséance Lumière. On le voit tournerses premiers films fantastiques, dé-couvrant tous les trucages les unsaprès les autres, construisant àMontreuil-sous-Bois le premier stu-dio du monde pour y tourner sesféeries, ses fantasmagories...

Mais ses ennuis débutent vers1905 avec les premiers tracas fi-nanciers tandis qu'autour de lui ,le monde évolue. Il sera définiti-vement ruiné par la guerre de 1914-1918, et à la fin du film, vers 1930ne sera plus qu'un triste vendeurde bonbons et de trompettes dansune boutique de jouets de la gareMontparnasse...

Certains extraits de films célè-bres de Méliès ont été incorporésà rémission, mais d'autres films ontété reconstitués en studio parAverty.

TVF II

20.30 - 21.30 Philippe Hériat.Arrière-petit-fils de Zulma Car-

raud , qui fut la confidente de Bal-

A la Télévision française , première chaîne, à 17 h. 35, la merveilleusehistoire du magicien Méliès. (photo ORTF)

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zac, Philippe Hériat est né en 1898à Paris, dans une famille apparte-nant à la magistrature. C'est sousson vrai nom, Raymond Payelle,qu 'il publie ses premiers récits, desadaptation de films de l'Herbier.

Après la guerre, il devient secré-taire de Delluc et de l'Herbier, cequi le conduit à jouer dans desfilms, comme « L'Inhumaine » et« L'Homme du large ». Il prend alorsle pseudonyme de Philippe Hériat.Son premier roman , « L'Innocent »,obtient à l'unanimité le' prix Théo-phraste Renaudot , en 1931, et sonsixième ouvrage « Les enfants gâ-tés ». le prix Concourt en 1939.Après « L'Innocent » : il écrit « Lamain tendre » en 1933, « L'araignéedu matin » puis « Départ de Valdi-via » et « La foire aux garçons »en 1934. En 1959 il publie un re-cueil de souvenirs « Retour sur mespas ».

Au théâtre, ses principales oeu-vres sont « L'Immaculée » en 1947,« Les- noces de deuil » en 1953 et« Les joies de la famille » en 1960.

Grand Prix du roman de l'Aca-démie Française en 1947 pour « Lafamille Boussardel », il est élu deuxans après à l'Académie Concourt.

Il vient de s'éteindre, le 10 oc-tobre 1971, à l'âge de soixante treizeans.

SOTTENSInfo rmations à 7.00, 8.00, 11.00, 12.00,12.30, 14.00, 16.00, 17.00, 18.00. 19.00,22.30. 23.55. — 7.00 Bonjour ù tous !Miroir-première. 7.10 Sonnez les mati-nes. 8.00 Le journal du matin. 8.15Concert matinal. 8.15 Grand-messe.9.55 Sonnerie de cloches. 10.00 Culteprotestant. 11.05 Concert dominical.11.45 Terre romande. 12.00 Le journalde midi. A mots couverts. 12.29 Signalhoraire. 12.30 Miroir-midi. 12.45 Laradio raconte l'Histoire : 1947. 12.55 Ledisque préféré de l'auditeur. 14.05 Dis-co-portrait. 15.00 Auditeurs, à vos mar-ques ! 18.00 Le journal du soir. 18.05L'Eglise aujourd'hui. 18.20 Dimanchesoir. 19.00 Le miroir du monde. 19.30Magazine 72. 20.00 Cinquante ans deradiodiffusion en Europe. 21.15 Ce soirà l'Opéra-comique. La Fille du Régi-ment. 22.50 Cinquante ans de théâtreradiophonique. La Prise de Jéricho,récit de Paul Budry. 22.40 Passage dupoète. 22.30 La musique contemporaineen Suisse. 23.55 Miroir-dernière, 21.00Hymne national.

2e programme8.00 Bon dimanche ! 9.00 Informations.9.05 Rêveries aux quatre vents. 12.00Midi-musique. 14.00 Cinquante ans dethéâtre radiophonique. Jef des Maré-cages (1). 14 30 Aspects du Groupeinstrumental romand. 15.00 La joie dejouer et de chanter. 15.30 Cotileur desmots. 16.15 Echos et rencontres. 16.35Concours international d'exécution mu-sicale, Genève 1972. 17.30 Perspectives.18.30 Les secrets du clavier. 19.00 A lagloire de l'orgue. 19.30 Jeunes artistes.20.00 Informations. 20.05 Le septièmesoir. Russlan et Ludmila. Musique doM.-I Glinka. 21.00 Les grands instantsde la musique. 22.00 A l'écoute dutemps présent. La flûte dans la musiquecontemporaine. 23.00 Hymne national.

BEROMUNSTERInformations-flash à 7.00, 8.00, 12.3017.00 19.15 22.15, 23 25. — 7.05 Oeuvresde Alfvén, Luigini, Respighi. 7.55 Mes-sage dominical. 8.05 Quatuor de Mo-zart. 8.30 Musique sacrée. 9.15 Culteprotestant. 9.40 L'Eglise aujourd'hui9.55 Prédication catholique-romaine.10.20 Orchestre radiosymphonique deBâle et Ch. Castleman, violon. 11.30La Cathédrale de Coire a sept centsans. 12.05 Pages pour piano de Schu-mann. 12.45 Musique de concert etd'opéra. 14.00 Jodels, accordéon et mu-sique champêtre. 14.40 Ensemble à ventgrison. 15.00 Récit. 15.30 Sports et mu-sique. 17.30 Musique à la chaîne. 19.25Concert du dimanche soir. 20.30 Visite

v., au conseiller fédéral Kurt Furgler 21.30Orchestre récréatif de Bèromunster.22.20-1.00 Entre le jour et le rêve.

MONTE-CENERIInformations-flash à 7.00 , 8.00, 10.25,11.00, 18.25, 22.00. — 7.10 Sports. Artset lettres. Musique variée. 8.30 Maga-zine agricole. 9.00 Mélodies populaires.9.10 Méditation protestante. 9.30 Messe.10.15 Les Cordes de Clebanoff. 10.30Musique sans frontières 11.30 Orches-tres variés. 11.45 Méditation. 12.00 Fêtedes vendanges. Actualités. Sports. 13.15Minestrone à la tessinoise. 14.05 Musi-que de films. 14.15 Case postale 230.14.45 Disques des auditeurs. 15.15Sports et musique. 17.15 Rythmes. 17.30Le dimanche populaire. 18.15 Inter-mède. 18.30 La journée sportive. 19.00Solistes. 19.15 Actualités. 19.45 Mélo-dies et chansons. 20.00 Théâtre. 21.50Sur deux notes. 22.05 Panorama musi-cal. 22.30 Orchestre Radiosa. 23.00 Ac-tualités Sports. 23.30-24.00 Nocturnemusical

LUNDI

SOTTENSInformations à 6.00, 7.00, 8.00, 9.O0,10.00, 11.00, 12.00. — 6.00 Bonjour àtous ! Miroir-première. 6.35, 8.10 Laroute, ce matin. 6.59 Horloge parlante.7.00 Le journal du matin. 8.05 Revuede presse. 8.15 Cent mille notes demusique. 9.05 A votre service ! 10.05Eve au rendez-vous. 11.05 Crescendo.12.00 Le journal de midi. A mots cou-verts.

2e programme10.00 Panorama quotidien de la musi-que en Suisse romande. 10.15 Radio-scolaire. Centre d'intérêt du mois : Laforêt. 10.45 Cours d'anglais de la BBC.11.00 Université radiophonique inter-nationale. Petite histoire du ballet. 11.30La vie musicale. 12.00 à 14.00 et 16.00à 18.00. Programme musical interrégio-nal. 12.00 Midi-musique.

BEROMUNSTERInformations-flash à 6.15, 7.00, 8.00,lfl .OO , 11.00. — 6.10 Bonjour. 6.20 Musi-que récréative pour jeunes et vieux etrécit. 6.50 Méditation. 7.10 Auto-radio8.30 Mélodies de Bizet et Delibes. 9.30Poésie. 9.35 Concerto pour violon No 1,M. Bruch. 10.05 Airs populaires. 11.05Orchestre récréatif et de danse de Bè-romunster. 12.00 Ensembles H. Wonderet C. Alzner.

MONTE-CENERIInformations-flash à 6.15, 7.00, 8.00,10.00. — 6.00 Disques. Concert matinal.7.10 Sports. Arts et lettres. Musiquevariée. 8.45 Danses norvégiennes, Grieg.9.00 Radio-matin. 12.00 Musique.

RadioLi\ù vie* %m u mm

SUISSE ROMANDE11.30 Table ouverte12.45 Télé journal12.50 Tél-hebdo13.15 (c) Aujourd'hui et demain13.40 A vos lettres14.05 II faut savoir14.10 (c) Le Grand Saut périlleux15.15 (c) Fête des vendanges de la Côte16.40 (c) Tirez à vue17.30 (c) A propos du Festival de Marrakech17.40 (c) Ouvert le dimanche

2. Le détective.18.00 Télé journal18.05 (c) L'océan Pacifique

Un film de la série « Les sept mers ».18.55 J'aime les jeunes

Présence catholique19.15 Horizons19.40 Téléjournal19.55 (c) Actualités sportives20.25 Le Rosier de Madame Husson

Un film de Jean Boyer.21.55 Festival international de Jazz

de Montreux22.25 Téléjournal22.35 Méditation

SUISSEALÉMANIQUE

10.00 Télévision éducative11.00 Attribution du Prix de

la Paix 1972des librairesallemands

12.30 Informations13.30 Panorama14.00 Agriculture moderne14.30 Divertissement

populaire15.15 (c) Fête des vendanges

de Morges16.25 Portrait17.00 Tous mes animaux17.50 Informations17.55 Résultats sportifs18.00 Faits et opinions18.55 (c) Fin de journée19.00 Les sports du

week-end20.00 Téléjournal20.15 (c) Babette s'en va-t-

en Guerre21.55 Téléjournal22.05 Le Combat de

Tancrède et deClorinde

22.35 lies programmes dedemain

SUISSEITALIENNE

13.30 Téléjournal13.35 Télérama14.00 (c) Amicalement

Tribune dominicale.14.45 (c) Fête des vendanges15.50 (c) Vingt minutes

avec...1G.15 (c) La mer des

CaraïbesDe la série documen-taire « Les sept mers ».

17.00 (c) Le mondemerveilleux de lacouleurDocumentaire.

17.55 Téléjournal18.00 Résultats sportifs18.05 (c) L'Alpe secrète19.00 (c) Place à la musique19.40 La parole du Seigneur19.50 Sept jours20.20 Téléjournal20.35 (c) L'Odyssée

Série de F. Rossi.21.25 Café-concert22.00 Sports-dimanche22.35 Téléjournal22.40 Les programmes de

demain

ALLEMAGNE I9.15 (c) Les programmes de

la semaine9.45 (c) Le conseiller

financier de TARD10.30 (c) Pour les enfants11.00 Attribution du Prix de

la Paix des librairesallemands àJanusz Korczak

12.30 (c) Tribuneinternationale desjournalistes

13.15 (c) Miroir de lasemaine

13.45 (c) Magazine régional14.30 (c) Vol vers Ibiza14.45 (c) Pour les enfants15.50 (c) Agriculture

moderne16.35 (c) Les Mines du Roi

Salomon18.15 (c) Télésports19.30 (c) Miroir du monde20.00 (c) Téléjournal20.15 Le tribunal TV siège21.45 (c) Parlez-moi

d'amour22.30 (c) Téléjournal22.35 (c) Foire aux livres de

Francfort 1972

ALLEMAGNE II9.00 (c) Les programmes de

la semaine9.30 Service religieux10.30 (c) Télé-hebdo11.00 (c) Tribune juridique11.30 (c) Nikka et ses rennes12.00 (c) Concert du

dimanche13.00 (c) Plaque tournante13.35 (c) La Fièvre du

Football13.55 (c) Action Place de

Jeux14.20 Les racines de la

Liberté14.50 (c) Téléjournal14.55 Strong express15.25 (c) Foire du livre de

Francfort 197216.25 (c) Patin à roulettes17.15 (c) Télésports18.10 (c) Télé journal18.15 (c) Le Virginien19.15 Tribunal 189219.45 (c) Téléjournal19.55 (c) A propos20.15 Biographie d'un

Espion21.50 (c) Entrée pour une

chansonnette22.30 Pension et retraite23.00 (c) Téléjournal

FRANCE I

9.10 Télématin9.15 Tous en forme9.30 Orthodoxie

La prière et le monde.10.00 Présence protestante10.30 Le jour du Seigneur12.02 La séquence du spectateur13.30 Musique en 33 tours

Hommage à Robert Casadesus, pianiste.13.00 24 heures sur la I13.15 Monsieur Cinéma14.00 Un Enfant nommé Michel

6. Le Vagabond.

14.30 Aujourd'hui c'est dimanche17.05 La France défigurée17.35 Le théâtre de la jeunesse: Méliès

Le Magicien de Montreuil-sous-Bois, de ClaudeVeillot.

19.25 La semaine sur la une19.45 24 heures sur la I20.10 Sports dimanche20.40 La Fièvre monte à El Pao

Un film de Luis Bunuel.

22.15 Enseignants, enseignés23.15 24 heures dernière

FRANCE II

14.45 ConcertJeunesses musicales de France.

15.30 (c) Le Locataire de l'Appartement M3Un film de Yan Majeski.

17.00 (c) On ne peut pas tout savoir18.00 (c) Télésports19.30 (c) Animaux du monde

Les gallinacés sauvages.

20.00 (c) I.N.F. 220.30 (c) Philippe Hériat21.30 (c) Vivre aujourd'hui22.30 (c) I.N.F. 222.40 (c) Ciné-Club - Cycle Orson Welles

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Page 25: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

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RESTRICTIONDE CIRCULATION

En application de l'article 52, alinéa 4 de la loi surla construction et l'entretien des routes du 2. 2. 1964 ,l'ingénieur en chef du Ve Arrondissement des Ponts& Chaussées communique :

Par suite des travaux de renforcement du pont surle Doubs à Soubey, la liaison Saint-Ursanne—Mont-faucon sera coupée à Soubey

du lundi 16 octobre 1972 dès 0800 h.

au vendredi 17 novembre 1972 à 1800 h.

Dans les deux sens, le trafic sera dévié par lesRangiers.

Une passerelle enjambant le Doubs sera mise àdisposition des piétons et des cycles.Les usagers de la route sont priés de se conformerau présent avis, à la signalisation ainsi qu 'aux direc-tives de la police et des Services des Ponts & Chaus-sées.

L'Ingénieur en chef du Ve Arrondissement :

Eckert

Delemont , le 30 septembre 1972.

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Page 27: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

L'AMICALE DES CONTEMPORAINS 1908

a la douleur de faire part à ses membres, du décès de

Charles DROZmembre fondateur, ainsi que membre du comité depuis plusieurs années.

Nous garderons de cet excellent ami trop tôt enlevé à l'affection de tous,un inoubliable souvenir.Pour la cérémonie funèbre, prière de consulter l'avis de la famille.

LE COMITE. y ¦ . i . . . .

TWImmmBFmmwmmmwitmTmnwwxwwmnmn-- ^T- ^—------- '——MiiiiraiiiM<niiiiirTiTiriiTïïOTr«wwiT>wm»wi—

L'UNION CYCLISTE NEUCHATELOISE ET JURASSIENNEa le pénible devoir d'annoncer le décès da

Monsieur

Roland MONNATPRESIDENT DU VËLO-CLUB VIGNOBLE COLOMBIER

Pour les obsèques, prière de se référer à l'avis de la famille.

TmmmmnmmmmmtmirÊmvivmï*wff îmv-i"ti™Mim-^J1™**™™sfm*¥Maj n^

CORTAILLOD * !

îMadame Roland Monnat-Cittadini et ses enfants Liliane, Carlo et f i

Bernard, à Cortaillod ; 'MMonsieur et Madame Charles Monnat-Stoquet, à Renan (JB) ; !Madame et Monsieur Jean-Louis Stegmiiller-Monnat et leurs enfants,

à Saint-Imier ; !Madame et Monsieur Claude Tschappàt-Monnat et leurs enfants, à j i

Boudry ; j 1Madame et Monsieur Jean-Louis Bayard-Monnat et leurs enfants, à U

Gorgier ; ¦ MMonsieur et Madame Albert Monnat-Mattmann et leurs enfants, à i I

Morat ;Monsieur Marc Monnat et sa fiancée, à Renan ;Madame Vve Bernard Cittadini, à Ludiano. ; . . . . .

"'r ";Miônsîeuï>'~ët'' Mâdâïïi'e*" Euîgi" Cit'tadini-D'Âridi'ea et' leurs enfants, àpMpMg T'uHiario • "'" '¦¦i"'- -**- ' yWWWMIWWliyiW^ '¦*¦

Monsieur et Madame Marco Cittadini-Bellasi et leurs enfants, àLudiano ;

Monsieur et Madame Bernard Cittadini-Gerber et leur fille, à Saint-Imier,

ainsi que les familles parentes et alliées, ont la grande douleur de fairepart du décès de

Monsieur

Roland MONNAT Ileur cher époux, papa , fils, frère, beau-fils, beau-frère, oncle, cousin, : iparent et ami, enlevé à leur affection, à la suite d'une courte maladie I Idans sa 38e année, muni des sacrements de l'Eglise. ! y

2016 CORTAILLOD, le 29 septembre 1972. f . \

(Hôtel de la Gare). ù

L'enterrement aura lieu lundi 2 octobre, à 14 heures, au cimetièrede Cortaillod.

Messe de requiem en la chapelle catholique de Cortaillod, à 13 h.

Domicile mortuaire :Hôpital de la Providence, Neuchâtel.

R. I. P.

Cet avis tient lieu de lettre de faire-part.

Demeure tranquille te confianten l'Eternel et attends-toi à Lui.

Monsieur et Madame Henri Brandt-Anderegg :Madame et Monsieur Louis Rigotti et leur fille, en Australie,Madame et Monsieur Fernand Berger et leurs filles,Monsieur et Madame Michel Brandt et leur fils ;

Madame Marthe Simoni-Brandt, au Locle :Monsieur Jean-Claude Simoni et ses enfants, au Locle,Monsieur et Madame André Simoni, au Locle ;

Madame et Monsieur Werner Anderegg-Brandt, à Genève,Monsieur et Madame Emile Brandt-Sermet :

Monsieur et Madame Eric Brandt et leur fils,Monsieur et Madame Jean-Claude Brandt et leur fille ; '

Mademoiselle Ariette Cosandier, en Amérique,Monsieur et Madame Gilbert Brandt et leur fille ,ainsi que les familles parentes et alliées, ont le grand chagrin de fairepart du décès de

Madame

Martha BRANDTnée Heckendorn

leur chère et regrettée maman, belle-maman, grand-maman, arrière-grand-maman, tante, grand-tante, cousine, parente et amie, que Dieua reprise à Lui, jeudi soir, dans sa 90e année, après quelques semainesde maladie.

LA CHAUX-DE-FONDS, le 28 septembre 1972.i

L'incinération aura lieu samedi 30 septembre. ¦ ¦;.' ]Culte au crématoire, à 10 heures. I jLe corps repose au pavillon du cimetière. jDomicile de la famille : 2, rue des Gentianes. i

Le présent avis tient lieu de lettre de faire-part.

[¦¦¦ ¦nl—H^MWI ^^WIIIMIHlilw IIIIIIII llimlllllllinilll lllllll II Ml lllllllll ll 11 11 ¦¦ ! Il —PI I !¦ llfWTïrnnmMllTMI IIl ^MnTI

LA SOLIDARITÉ,SOCIÉTÉ DE SECOURS MUTUELS, LA CHAUX-DE-FONDS

a le pénible devoir d'informer ses membres du décès de

Monsieur

Charles DROZson cher et dévoué caissier, dont elle conservera le meilleur souvenir.

Pour les obsèques prière de se référer à l'avis de la famille.

mmn*mMmmÊnmwTmmTmTnnmmimmmmmmmmFiiT —™™*m--- .Mmi**'~'^~*mi m *^^^ au»xxMmm K ma»mwM.^

LA SOCIÉTÉ DES MAGISTRATS, FONCTIONNAHIESET EMPLOYÉS DE L'ÉTAT DE NEUCHATEL

a le pénible devoir d'annoncer le décès de

Monsieur

Charles DROZmembre de la société depuis de nombx*euses années.

Pour les obsèques, prière de se référer à l'avis de la famille.

— > -. ^ ^ j^ ^,, . ^Bw^ ^ ^ - y .. m l7rMfrïï-riir

vii"ï~'wfaMMrMMBiMiwïr Twwniiiir

Que ton repos soit doux comme toncœur fut 'bon.

Madame Nelly Droz,Mademoiselle Marie-Hélène Droz , à Moutier,

' ••:. y- sfc '-. %: 56$Monsieur Fernand Droz, ¦ ¦ -Monsieur et Madame Alfred Kohler-Fête, leurs enfants et petits-enfants,» ¦ ' -- ' ¦,-£. - ., -. .- ./ . . - y - * yy .. . ... .. .¦ ot... .. '•_ .?•.:* * <.; .Madame et Monsieur Louis Perrenoud-Koliler, leurs enfants et petits-

enfants,Monsieur et Madame Maurice Landry-Kohler, leurs enfants et petits-

enfants , y ¦¦¦ ¦ .. m ¦-Mademoiselle Marguerite Jacot, à Binningen, ;

YMonsieur Paul Jacot, à Bienne,Monsieur et Madame Frédy Boand et leur fille,ainsi que les familles parentes et alliées, ont la très grande douleurde faire part du décès de

Monsieur

Charles DROZleur cher et regretté époux, frère, beau-frère, oncle, grand-oncle,neveu, parrain, cousin, parent et ami, enlevé à leur tendre affection,vendredi, dans sa 65e année, après une longue maladie supportée aveorésignation.

LA CHAUX-DE-FONDS, le 29 septembre 1972.

L'incinération aura lieu lundi 2 octobre.Culte au crématoire, à 10 heures.Le corps repose au pavillon du cimetière.Domicile de la famille : 30, rue du Dr Kern.

Veuillez penser à : « Les Perce-Neige », La Chaux-de-Fonds,CCP 23 - 5418.

Le présent avis tient lieu de lettre de faire-part. 1 • '^—— B— fllll» IMll^WnHIIBHH 1 IIIWIIIIIHII^^IWIIIIIH 'm\M 'V l'IW'iM" W IHi 'WHWWWtim—I^HM—I

Compétition entre Courtelary et MoutierVers une reorganisation des recettes de district

La Députation jurassienne aura àprendre position, dans sa prochaineséance certainement , sur un rapport dela Direction cantonale des financesconcernant les mesures de rationalisa-tion envisagées pour les recettes dedistrict.

L'introduction de la perception partranches va modifier considérablementles travaux d'encaissement des impôtspar les recettes de district. Initiale-ment, celles-ci seront équipées d'appa-reils à perforer et de contrôle qui ser-viront à transmettre les chiffres auCentre de calcul électronique. Par la

suite, les recettes seront reliées, aumoyen d'un ou plusieurs appareils spé-ciaux formés d'un écran et de télé-scripteurs dénommés « terminal » auCentre électronique de Berne par lignetéléphonique. Ainsi se trouvera suppri-mée la carte de recette de chaque con-tribuable.

Ce projet de modernisation et de ra-tionalisation va provoquer une imman-quable réorganisation des recettes dedistrict. Il ne restera plus que deux re-cettes d'arrondissement, l'une dans leNord , l'autre dans le Sud. Les recettesdes Franches - Montagnes et de Laufon

ayant déjà été réunies récemment àcelle de Delemont, c'est au chef-lieu duJura que s'opérera le regroupement,Porrentruy perdant son bureau.

Dans le Jura - Sud , la réunion destrois districts de Courtelary, Moutier etLa Neuveville pose un problème plusdélicat quant à la fixation du siège.Courtelary et Moutier revendiquent larecette d'arrondissement. La Directioncantonale des finances penche en fa-veur de Courtelary, car le bâtiment ad-ministratif qu'y possède l'Etat disposede suffisamment de locaux pour rece-voir les nouvelles installations. A Mou-tier, où la place disponible est tropprécaire, la municipalité offre toutefoisles bureaux nécessaires à la nouvellerecette centralisée, (fx)

Le frisson de la cultureLa troisième « Quinzaine culturelle »

de Moutier, qui se déroulé tous lesdeux ans, débute officiellement samedi.Une cérémonie, en présence de M. Si-mon Kohler, président du gouverne-ment bernois, marquera dans l'après-midi l'ouverture de cette manifesta-tion. Durant quinze jours, les habitantsde la région de Moutier n'auront quel' embarras du choix pour occuper leursloisirs et leurs soirées. Thème centralde la quinzaine : La Formation, (ats)

FH : M Leder s'en vaLe chef du Service d'information de

la Fédération horlogère suisse, M. Pier-re Leder va quitter ses fonctions pourmettre ses connaissances au serviced'une grande firme à Baden. Il seraremplacé par un j eune journaliste RP,M. Marco Richon de Lausanne.

En quittant la FH, M. Leder laissederrière lui le souvenir d'un homme àl'affabilité efficace qui, grâce à- unsens aigu des contacts a su servir au-près de la presse d'informateur particu-lièrement apprécié, toujours très sou-cieux de servir au mieux les intérêtsde l'horlogerie en général et ceux desjournalistes en particulier.

LA Var JURASSIENNE- « LA VIE JURASSIENNE ] §

Heureux développementindustriel

En janvier 1972, la fabrique AubryFrères SA, montres Ciny, Le Noirmont,Saignelégier a acheté l'entreprise Ar-thur Dorsaz et Cie, montres Dogma àLa Chaux-de-Fonds.

L'administration et la fabrication ontentre-temps été transférées au Noir-mont et à Saignelégier.

A la suite de ce rachat et de l'heu-reux développement de l'entreprise Ci-ny, les locaux étant devenus trop exi-gus, la direction de l'entreprise a prisla décision de construire une adjonc-tion à l'immeuble qu'elle possède auNoirmont.

Les travaux ayant commencé aumois de juillet, la deuxième dalle, letoit , a été posée cette semaine. Les tra-vaux d'aménagement intérieur pour-ront de cette façon être poursuivis ra-pidement, si bien que les nouveaux lo-caux pourront être occupés au débutde l'année 1973.

On se rejouit , dans la région de cons-tater qu'une importante entreprise nerecule devant aucun effort pour favo-riser l'essor industriel de la région.

LE NOIRMONT

Démission du maireM. Maurice Péquignot

Jeudi soir, lors de la séance du con-seil, M. Maurice Péquignot, a fait partà ses collègues de sa démission de mai-re. Il quittera ses fonctions de prési-dent de l'exécutif communal le mer-credi 18 octobre prochain.

Si la nouvelle causera bien des re-grets, elle ne sera pas une surprise auchef-lieu où chacun sait que M. Péqui-gnot, conseiller aux Etats et inspecteurscolaire du 15e arrondissement s'ap-prête à quitter les Franches-Montagnespour aller habiter à Moutier.

M. Péquignot est entré au Conseilcommunal, en qualité de maire, le 1erjanvier 1955 ; il succédait ainsi à M.André Taillard, également du partilibéral.

Administrateur très compétent et àl'esprit ouvert, le premier magistrat duchef-lieu franc-montagnard aura mar-qué la commune de sa forte person-nalité.

Il s'agit maintenant de lui donner unsuccesseur. Cette élection complémen-taire est fixée aux samedi et dimanche4 et 5 novembre prochains, (ay)

SAIGNELÉGIER

NOCES D'ORAujourd'hui samedi, M. et Mme

Georges Goudron-Lauber célèbrentleurs 50 ans de mariage. Cette bellef ê t e débutera par une messe célébréeen l'église, car M. Goudron a passétoute sa jeunesse aux Pommerats.

C'est en 1922 qu'il épousa Mlle Lau-ber de La Chaux-de-Fonds. Le jeun efoyer alla ' s'installer ' à Saint-Gall oùM. Goudron fu t maître d'équitation du-rant 35 ans. Il s'est maintenant rappro-ché de son Jura et habite Saint-Biaiseoù il jouit d' une heureuse retraite avecson épouse. Grand ami du cheval etdes sports équestres, il est très lar-gement connu, (ay)

LES POMMERATS

Troisième candidatà la mairie

Réuni en assemblée vendredi soir,le Parti socialiste de Porrentruy a dé-signé M. François Mertenat, 31 ans,maître & l'Ecole cantonale, conseillermunicipal sortant, comme candidat àla mairie de la localité.

Trois candidats brigueront donc, le29 octobre, la mairie de Porrentruy oùle maire sortant, radical, ne se repré-sente pas. Il s'agit de MM. GabrielTheubet (PDC), conseiller municipalsortant ; Edmond Montavon (rad.), di-recteur de l'Hôpital, et François Mer-tenat.

PORRENTRUY

CLAUDE CALAME |Pompes funèbres LE LOCLE iToutes formalités Tél. (039) 31 14 96 I

POMPES FUNÈBRES |T£l oi i n AI Toutes formalités *Tel. 31 1043 Transports Cercuoils IAndré BOILLOD - Le Locle I

LE FC LA CHAUX-DE-FONDSa le pénible devoir de faire partdu décès de

Monsieur

Charles DROZMEMBRE D'HONNEUR

frère de M. Fernand Droz,membre d'honneur.

Il gardera du défunt un sou-venir ému et reconnaissant.

Pour les obsèques, prière dese référer à l'avis de la famille.

Page 28: Les Danois se prononceront lundi - RERO DOC

Des gisements prometteurs pour la Grande-BretagneLe pétrole de la mer du Nord

Les deux importants gisements pétrolifères sous-marins, découverts cettesemaine en mer du Nord, contribueront à réduire la dépendance de laGrande-Bretagne à l'égard des fournitures de pétrole du Proche-Orientet l'ensemble de ses importations de carburant sera diminué d'au moins50% dans les années 1980, a annoncé, hier, le Ministère du commerce et

de l'industrie.

Les premiers forages du gise-ment découvert par les prospecteursdu consortium anglo - américain Mo-bil Oil North Sea (M. O. N. S.), à 100

miles au sud - est des îles Shetlandont un débit quotidien d' environ3200 barils , tandis que ceux du se-cond gisement , exploité par le grou-

pe Hamilton Brothers , et qui se trou-ve à 200 miles à l'est de Dundee(Ecosse) at teindrai t près de 4000barils par jour.

Les forages en cours et les résul-tats déjà obtenus laissent prévoir uneproduction de 400.000 barils, la mê-me que celle du gisement Forties , dé-couvert précédemment par la Bri-tish Petroleum en mer du Nord.

La production globale , selon unporte-parole du Ministère du com-merce et cle l'industrie, pourrait s'é-lever annuellement à 25 millions detonnes vers 1975, et à 75 millions detonnes dans les années 1980 , ce quicouvrirait alors la moitié des besoinsen carburant de la Grande-Bretagne.

En plus d'une réduction de quel-que 5 milliards de francs sur ses im-portations de pétrole , les gisementsde la mer du Nord rapporteraient enredevances au Trésor bri tanniqueenviron un milliard par an d'ici unedizaine d'années. En outre , en 1975.quelque 113 millions de mètres cubesde gaz naturel seront extraits jour-nellement des gisements de la merdu Nord , soit l'équivalent de 60 mil-lions de tonnes de charbon par an.

Procès d un CRS accusé d'assassinatProchainement devant la Cour d'assises du Doubs

Le 23 octobre , devant la Courd' assises du Doubs , s'ouvrira le pro-cès de Jacques Petite , 25 ans, ancien

membre de la CRS 43 de Chalon-sur-Saône, mais demeurant à Pon-tarlier.

Petite est accusé d'assassinat, dedétention et de vol de matériel deguerre et de proxénétisme. Le ven-dredi 9 janvier 1971 , il avait abattud' une balle de revolver 7 ,65 mm.,l'un de ses camarades , Yvan Thomet ,35 ans, brocanteur - anti quaire àMouthier , dans le Doubs, et plus con-nu sous le pseudonyme d'« Yvan leTerrible » . La victime de Petite, enplus de sa profession , exerçait desactivités peu recommandables, tanten Suisse qu'en France. On supposeque c'est au cours d'une rixe sousforme de règlement de compte quele CRS a tué son ami.

Petite a d'abord nié son crime ;mais à la suite de nombreux témoi-gnages provenant tant de Suisse quede France, il dut revenir sur ses dé-négations et avouer. Cependant, au-jourd'hui, il plaide la légitime défen-se, déclarant que c'était à celui quitirerait le premier.

A l'appui de sa thèse le fait quel'on a découvert dans la voitured' « Yvan le Terrible > une carabine22 long rifle qui avait été utiliséele soir du crime par son propriétaire.

Une vingtaine de témoins serontentendus au cours des débats qui se

prolongeront pendant plusieurs jo ur-nées, car le dossier touffu , épais etcontradictoire sera très long à tirerau clair, (ap)

CEE : les Danoisvotent lundi

SUITE DE LA 1ère PAGEUn récent sondage d'opinion a in-

diqué que 44 pour cent des électeursavaient l'intention de voter « ou; »et 36 pour cent « non » .

Mais il a été effectué avant quesoit connu le résultat du référendumnorvégien et il est possible que ce-lui-ci influe sur le vote des quelque30 pour cent d'indécis.

Une majorité de « non » ne seraitpas en elle-même suffisante. Selon laConstitution, une décision approuvéepar le Parlement ne peut être annu-lée que si elle est dénoncée par untiers au moins du corps électoral. Cepeut-être une raison pour que la par-ticipation électorale au référendumde lundi atteigne un pourcentageélevé.

O. D.

La défense desfedayin de MunichUn avocat algérien , M. Bentoumi ,

a demandé aux autorités judiciairesallemandes d'être autorisé à assumerla défense des trois rescapés du com-mando de « Septembre noir » , au-teur du drame de Munich , le 6 sep-tembre dernier.

Vice-président de l'Union des avo-cats arabes, membre de l'Organisa-tion de l'unité africaine, M. Bentou-mi s'est entretenu mercredi et jeudiavec les trois hommes, détenus dansdifférentes prisons de la région mu-nichoise pour des raisons de sécuri-té et pour éviter qu 'ils puissent com-muniquer entre eux. (ap)

Le FMI et la Banque mondialese retrouveront aux AntillesLes assemblées générales annuel-

les du Fonds monétaire et de laBanque mondiale ont pris f in offi-ciellement hier , après que MM.Schweitzer et McNamara , eurent faitle bilan de cinq jours de travaux.

M. Schweitzer, directeur généraldu FMI, a souligné le ton « construc-tif et franc » des différentes proposi-tions qui ont été faites pour la ré-forme du système monétaire et qui ,a-t-il dit , reflètent « le désir évidentde s'engager dans un échange devues en évitant les positions trop ri-gides » .

Pour sa part M. McNamara , pré-sident du groupe de la Banque mon-diale , a insisté une nouvelle fois pourque les efforts de la Banque mondia-le et des pays membres ne visent passimplement à accroître le revenunational , mais cherchent à améliorerla vie des individus, ceux qui sontsans emplois, insuffisamment nour-ris, et tous ceux que les circonstan-ces privent d'une opportunité décen-te d' améliorer leur futur.

Les assemblées du FMI et de laBanque mondiale ont ensuite choisiTrinidad et Tobago pour présiderles travaux de l'année prochaine àNairobi. Le ministre des financesdu Kenya présidera l'assemblée duFMI , et le gouverneur de la Banquecentrale de Trinidad et Tobago , cellede la banque, (ats , afp)

Importante prise de positionJura : «Affaire Giordano»

Réuni en séance plénière, le collègedes maîtres de l'Ecole normale dePorrentruy invite la direction de l'Ins-truction publique à admettre M. Vic-tor Giordano au cours accéléré de for-mation d'instituteur. A l'issue de cetteséance, qui s'est prolongée fort tardvendredi, les professeurs de l'Ecolenormale de Porrentruy ont publié lecommuniqué suivant :

« Le collège des maîtres a pris con-naissance, aveo indignation , de la cam-pagne de presse dont l'Ecole normaleest l'objet. Il croit devoir rendre pu-blic sa décision unanime du 19 j uin1972 de proposer l'admission au coursde formation accélérée de M. VictorGiordano, vu ses résultats aux exa-mens. II réfute en conséquence les at-taques qui mettent en cause la valeurde l'examen d'admission et se réserve,lors d'une conférence de presse, d'ap-porter toutes preuves utiles. Il deman-de instamment à la direction de l'Ins-truction publique d'admettre M. Vic-tor Giordano au cours de formation ac-célérée, qui débutera le lundi 2 octo-bre 1972 ».

Il s'avère donc que c'est la commis-sion du cours seule qui a évincé M.Victo r Giordano du cours accéléré, con-

tre l'avis du collège des maîtres del'Ecole normale de Porrentruy. Face àl'invite des maîtres de l'Ecole normale,il ne fait guère dc doute que l'intéressésera admis, par la direction de l'Ins-truction publique , à suivre le cours deformation accélérée pour l'obtentiondu brevet d'instituteur, (ats)

Un vieillard succombeDispute à Bulle

Un ancien ouvrier communal , M.Joseph Uldry , 74 ans, a trouvé lamort au cours d'une dispute avecune voisine, une mère de famille de35 ans. Une autopsie a été ordonnéeet la voisine a été arrêtée.

SUITE DE LA 1ère PAGEAinsi s'explique , pour une part ,

la rapidité extraordinaire aveclaquelle le traité a été conclu etles vieux d i f f é r e n d s définitive-ment enterrés ou oubliés.

Au renouveau japonais s'ajoutele rapprochement avec la Chine.Cela signifie-t-il pour autant quede nouvelles perspectives s'ou-vrent aux destins asiatiques ? Cen'est nullement exclu. Encore nefaut-il pas oublier qu'à Pékin onsonge beaucoup plus et avant toutà rompre la menace d' encercle-ment soviétique qui p èse sur laChine. Dès lors, jusqu 'à quelpoint, en faisant miroiter auxyeux des industriels nippons l' ou-verture du marché chinois, leprésident Mao n'espère-t-il pasdétourner l intérêt nippon d uneéventuelle mise en valeur de laSibérie ? C' est encore une desquestions « de concurrence » quepose le rapide et facile succèsremporté par M. Tanaka. La di-plomatie de. M. Chou En Laiest subtile en même temps quepositive. Et le réalisme n'en estpas exclu. On doit s'en rendrecompte une fo i s de plus à Moscou.

Quant à l' abandon de Formose,s'il ne surpreiid personne, il n'ensera pas moins durement ressentipar les milieux industriels et f i -nanciers nippons. La rupture deTokyo avec Taïwan (ou Taipeh)devait être proclamée hier. Sui-vant la réaction du gouvernementnationaliste elle pourrait occa-sionner pour le Japon des pertes

énormes. Sans parler d'une misesous séquestre éventuelle desbiens japonais dont on parle, maisqui ne se réalisera vraisembla-blement qu'en fonction de l'inté-rêt bien compris de l'économieformosanne.

Quoi qu 'il en soit jusqu 'à ceque Tokyo regagne en Chine po-pulaire ce qu'il perd à Formoseprendra du temps. Beaucoup detemps. Le fameux débouché n'estpour l'instant qu'un miroir auxalouettes. Car d' une part le paysde Mao , comme divers chroni-queurs le soulignent , n'est pasdisposé à développer ses relationscommerciales avec un seul pays.Et d' autre part le Japon n'estpas à même de fournir tous lesbiens d'équipement dont la Chinea besoin.

E n f i n et c 'était là la récenteconclusion du « Monde » : « LaChine et le Japon vont donc a f f i r -mer de plus en plus leur présenceen Asie ; Us s'y rencontreront ,mais ne risquent-ils pas du mêmecoup de multiplier les points defriction ? »

Alors ?Fin de la suprématie occiden-

tale ?Asie aux Asiatiques ?Nouvelle page de l'histoire du

monde ?N' allons pas si vite et atten-

dons de voir. Certes la situationen Extrême-Orient évolue. Maiselle réserve encore bien des sur-prises.

Paul BOURQUIN

Quelle est la valeur réelle de l'accord de Pékin ?

Attentatà Jérusalem

Un attentat a eu lieu vendredi ma-tin dans un supermarché du centrede Jérusalem qui a fait trois bles-sés, des femmes, dont l'épouse d' unfonctionnaire de l'ambassade du Ve-nezuela.

Toutefois , personne n'est griève-ment atteint. La police est convain-cue que la charge, qui ne devait pasêtre puissante , a été déposée parune femme, (ats, afp, reuter)

JN ÉVÉNEMENT PAR JOUR

L'impérialisme. C'est un de cesmots à la mode, qui apparaît , aumoins une fois, dans chaque dis-cours de démagogue, qui le voueaux gémonies. C'est un de ces motsmagiques qui secouent la tripe sen-sible des intellectuels et des masseslaborieuses.

Loin de nous l'idée d'en fairel'apologie, niais il faut rappeler par-fois que l'impérialisme est de tousles temps, de toutes les couleurs po-litiques , ou presque, de tous lespays. Protéiforme, il se contentetantôt d'être économique ou finan-cier , tantôt il se mue en dictaturepolitique. Tartufe , il se cache sousle masque du communisme, Love-lacc , il prend le masque de libéra-teur des peuples. Père Noël, il revêtle déguisement du bienfaiteur. Amé-ricain , il se fait bay-scout. Français ,il s'affirme culturel. Neutre , il en-tonne le fameux hymne : « Pastillesà la menthe, bonbons, chocolat... »

Un des impérialismes dont onparle le moins est l'égyptien. Pour-tant il est bien réel. A peine le man-dat britannique sur la Palestinea-t-il pris fin que les successeursdes pharaons s'empressent de pren-dre part au partage. Plus tard , sousun régime différent, on lo verraréapparaître à l'égard de l'Irak , dela Syrie , du Yémen , et il empêchera ,dans une bonne mesure , tous lesembryons de Fédération arabe dese développer.

Aujo urd'hui , il renaît aux dépensde la Libye et du Soudan. L'hom-me fort de Tripoli , tout entier plon-gé dans ses rêves fabuleux, n'yprête pas attention. En revanche , legénéral Noumeiry y est plus sensi-ble. Depuis qu 'il a modifié sa poli-tique vis-à-vis des Noirs anémis-tes du sud de son pays ct qu 'ilparaît vouloir les placer sur uncertain pied d'égalité avec les mu-sulmans du nord , il semble s'êtremieux rendu compte du phénomèneséculaire qui a toujours poussé lesgens du Caire vers l'Afrique noirepour y trouver ou des esclaves oudes conquêtes faciles.

Peut-être le fait que le colonellibyen Khadafi , l'allié dc M. Sada-te, a voulu envoyer des troupes enOuganda, a servi de catalyseur.Toujours est-il que les relations en-tre Khartoum et Le Caire sont entrain de se détériorer sérieusement.Car le général Noumeiry a bien di-cerné que des troupes libyennes ,stationnées en Ouganda , pourraientnon seulement servir aux carpicessanglants du général Amin , maisqu 'elles pourraient encore, à l'oc-casion , être dirigées contre les ha-bitants du sud du Soudan qu 'il s'ef-force de ramener à lui.

Et cette prise de conscience d'unimpérialisme non-occidental par leSoudan est édifiante. Elle montreles difficultés des jeunes Etats afri-cains noirs , qui commettent , certes,bien des erreurs, mais qui doiventlutter contre des dangers de touteespèce , qu 'on a trop tendance àsous-estimer. Willy BRANDT

Les métamorphosesde l'impérialisme

Vous lirez en page :

2 Page magazine.3 Première à la patinoire des

Mélèzes.5 Arrestation au Col-France.7 Fête des vendanges : c'est

parti !9 Les 25 ans de la SFG de

Saint-Imier.11 Lausanne et Genève : agita-

tion parmi des recrues.15 Samedi magazine.16 Bourse.19 Cyclisme : avant Paris-Tours.23 et 24 Programmes radio, TV.27 Jura : vers une réorganisation

des recettes de district.

Auiourd'hui...

Le beau temps d'automne persistedans le pays , sous l'influence del' anticyclone qui recouvre l'Europecentrale.

Niveau du lac de NeuchâtelHier, à 6 h. 30 ! 429 ,04.

Prévisions météorologiques

Strasbourg. — La neuvième sessionde la Conférence européenne des pou-voirs locaux, qui rassemblait à Stras-bourg les représentants des communes,des collectivités et des régions des 17Etats membres du Conseil de l'Europe,de la Finlande, de la Yougoslavie etd'Israël, s'est achevée hier.

Stockholm. — Le groupe suédoisVolvo et la société néerlandaise Dafsont arrivés à un accord de principepour l'établissement d'une étroite coo-pération financière, technique et com-merciale, dans le domaine de leurs voi-tures de tourisme.

Los Angeles. — En marge d'un con-grès sur le cancer, le Dr Sachs, chefdu Département de génétique à l'Ins-

titut Weizmann (Israël) a annonce qu ilavait réussi à transformer des cellulesnormales en cellules cancéreuses, et àrefaire de celles-ci des cellules nor-males.

Manille. — Le président Marcos aordonné à tous les fonctionnaires etaux membres des services gouverne-mentaux de remettre leur démissionafin de permettre d'épurer l'adminis-tration de ses éléments « corrompus ,ignorants et inutiles ».

Paris. — Après le suicide d'un direc-teur d'Ecole à Nice, un instituteur ori-ginaire de la Martinique, M. L Autyly,58 ans, a mis fin à ses jours.

Sanaa. — Appuyées par des tanks ,des unités du Nord-Yémen ont attaquéen trois jours quatre villages du Sud-Yémen, tuant 25 civils et un officier.

Moscou. — L'URSS a reconnu , hierpour la première fois , que ses conseil-lers entraînent les forces armées sy-riennes au maniement des dernièresarmes soviétiques,

Washington. — M. Maurice Schu-mann a été reçu pendant 40 minutespar le président Nixon.

La Rochelle. — Des quadruplés sontnés à La Rochelle et ont été immédia-tement placés en couveuse.

Brest. — Un incendie s'est déclaréà bord du cargo grec « Kerkenis » de5000 tonnes, qui transportait du nitrated'ammonium. Deux membres de l'équi-page ont été tués, cinq sont portésdisparus et dix-sept ont été recueillispar un bâtiment suédois.

Nice. — Un Tunisien assassin de lapetite Danièle Marra a été condamnéà mort. Son complice a été condamnéà la réclusion à perpétuité.

Saigon. — La Commission interna-tionale de Contrôle (CIC) au Vietnam adécidé de transférer son siège de Sai-gon à Hanoi.

Leningrad. — L'URSS a ratifié letraité américano-soviétique sur la li-mitation des systèmes de missiles anti-balistiques.

Kiev. ¦— Les autorités soviétiquesauraient décidé de maintenir dans unHôpital psychiatrique le jeune AlexeiToumerman, opposant au régime, arrê-té le 20 septembre, bien que les méde-cins aient estimé qu'il était sain d'es-prit.

Skopje. — La Suisse a réussi un ex-ploit en faisant match nul (aux échecs),avec les Etats-Unis (2 à 2), dans le pre-mier groupe.

Washington. — M. John Mitchell , dutemps qu'il était ministre de la jus-tice, contrôlait personnellement unfonds républicain clandestin destinéà recueillir des renseignements sur lesdémocrates, écrit, vendredi, le c Was-hington Post ».

Chicago. — A l'occasion de son 85eanniversaire, M. A. Brundage , l'ex-président du CIO a déclaré qu 'il fau-drait modifier profondément les JOparce qu'ils sont trop coûteux et tropgigantesques.

En Belgique

SUITE DE LA 1ère PAGELes résidus sont actuellement

transférés soigneusement dans deshangars militaires en attendant detrouver la meilleure méthode pourles détruire. Certains de ces déchetsdevront peut-être être neutralisésau centre nucléaire de Mol.

Leur déplacement , qui nécessiteun équipement spécial et exige desmesures de sécurité extrêmementstrictes, sera encore long et coûteraplusieurs millions de francs.

Ces résidus, qui provenaient d'usi-nes en Allemagne fédérale et de larégion d'Anvers, avaient été stockéspar la firme hollandaise « Hakeba »,en dépit d'un refus officiel. Une au-tre firme hollandaise dirigée par lesmêmes hommes, « Vebeka », seraitégalement impliquée dans l'affaire.

(ap)

Résidus menaçants