Institut catholique d’animation et de documentation pédagogiques du Brabant, A.S.B.L., Louvain-la-Neuve (2020) C������������ �� �’����� �’������������ : ������� �� ������� Lorsque les élèves sont en mesure d’épe- ler les voyelles et de les associer aux consonnes, ils peuvent se risquer à lire des syllabes, des mots courts, des petites phrases. L’apprentissage de la lecture est un exercice subtil. Pour qu’il ne soit pas rebutant, les manuels proposent des récits illustrés, brefs et attrayants. Le manuel de lecture La méthode rose est découpé en leçons. Chacune d’elles est numérotée et occupe une page. Les let- tres, syllabes et mots à déchiffrer sont mis en évidence dans un encadré. Les dessins qui soutiennent la lecture sont sobres et à peine colorés. Deux polices de caractère sont proposées dont l’une s’inspire de l’écriture manuscrite. Des indications méthodologiques s’adressent aux maîtres sous la forme de notes en bas de page. On dispose de peu de données sur les auteurs. Aimé Souché (1888-1975), origi- naire de la région de Poitiers, était inspec- teur de l’enseignement primaire. Il a écrit, seul ou en collaboration, de nombreux manuels de grammaire et de lecture. Le second auteur est peut-être Désiré Dénouel (1887-1970), instituteur à Lan- nion, Bretagne. Le dessinateur n’est pas mentionné. LANGUE MATERNELLE : lecture 1938 A. Souché, D. Dénouel, La méthode rose. Nos amis Lili et Toto, 1er livret, Paris, Nathan, 1938. 21,5 x 16 cm