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hoto
grap
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ers
est un magazine
29, rue Notre-DameL-2240 Luxembourg Grand-Duch de Luxembourg
T. +352 26 10 86 26F. +352 26 10 86 27E. [email protected]
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Eric BuschDirecteur de la [email protected]
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Florence ThibautJournalisteM. +352 691 99 78
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Photography Raoul Somerswww.raoulsomers.lu
Remerciements au Comit ditorial 01 Jol Wozniak, BSBPhilippe
Pierre, PWCPascal Lanser, IBM
Au comit ditorial 02 Patrice Witz, Accenture Yves Compan,
Temenos Patrick Ittah, Orange Luxembourg
Layout Piranha et Petits Poissons [email protected]
AbonnementsLuxembourg 75,- - Europe 85,- www.itnation.lu
ITnationIBAN LU53 0030 7526 7288 1000BIC BGL : BGLLLULL TVA LU
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Maison dditionsAutorisation dtablissement N 102739 Toute
reproduction, mme partielle, est soumise lapprobation crite
pralable de lditeur. Tous droits rservs. ITnation 2.0 est membre de
Luxorr - Luxembourg Organization For Reproduction Rights -
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EN jUIN 2011 LE GUIDE SERa cONSacR aU cLOUD cOMpUTING ET aUX
DaTacENTERS Clture : le 2 JUIN 2011Rdaction : Florence Thibaut -
[email protected] publicitaire magazine et guide : Isabelle
Libouton - [email protected] events : Isabelle
Libouton - [email protected] et Emilie Mounier -
[email protected]
Des aspirations internationales pour
Golden-i 2011Pour la quatrime dition de son Gala Golden-i,
ITnation a choisi de donner la parole ses partenaires. Tribune
libre, ce magazine se compose en grande partie de contributions sur
des sujets qui animent le secteur. Petites structures ou gants de
lIT, les proccupations semblent se rejoindre. Le cloud, encore et
toujours, continue provoquer la discussion. Les postes de travail
virtualiss, smartphones et autres applications mobiles, suscitent
aussi intrt et inqui-tudes et transforment les modes de travail
comme lorganisation des directions informatiques.
Le thme choisi cette anne de la promotion de Luxembourg hors de
ses frontires reflte aussi lair du temps. Comment repositionner la
place aux yeux de ses voisins ? Comment promouvoir de nouvelles
comptences et centres dexpertises ? Les questions mritent dtre
poses LAssociation des Professionnels de la socit de linformation
remettra ce titre son Flagship Awards lentreprise qui aura le mieux
russi exporter ses services ltranger et promouvoir limage de
Luxembourg comme centre de comptences, notamment grce aux
technologies de linformation.
Un autre temps fort de la soire sera la publication de la
slection nationale des meilleurs produits et services dans le
domaine du cloud computing et SaaS dans le cadre du concours
EuroCloud Luxembourg. Les vainqueurs annoncs seront en outre
automatiquement en lice pour le concours pan-europen EuroCloud
Europe.
Pour suivre cette volont de faire participer la communaut IT, le
troisime prix de la soire est destin au CIO choisi par les
internautes. Un jury compos des membres de la rdaction dITnation et
soutenu par lApsi dsignera ainsi parmi les propositions du public
celui qui a le plus fait lactualit cette anne.
Florence Thibaut
-
le business change avec Orange. Nous savons que vos activits
professionnelles peuvent aller au-del du Luxembourg. Cest pourquoi,
avec Team Border, nous vous offrons un forfait unique pour
lensemble de votre socit couvrant toutes les communications dans
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GRAND ENTRETIEN
6 CIOs qui ont fait lactualit
Golden-i 20 - Atos Origin reprend Siemens IT Solutions and
Services 23 - e-Proceed mise sur la convergence 24 - ebrc tudie le
cloud 26 - Kitry se positionne comme une valeur sre29 - Benchmark
Group : vers une rvolution des
contenus en ligne32 - tecsys IT-HAUS revient sur son 1er
anniversaire34 - Telindus sallie Tango36 - iKe Consulting prsente
ses diffrents mtiers39 - CETREl amliore son infrastructure avec
SUNSHINE42 - Orange croit au poste de travail virtualis44 - Steria
passe au crible la scurit des donnes46 - CSl vise lexcellence dans
la gestion de linformation
ITnation events51 - EMC sur la piste des records54 - voipGATE
veut challenger les communications unifies57 - tempo-team sonde la
satisfaction des travailleurs
Portraits59 - Perso Jean Diederich,Prsident de l'Apsi60 - Perso
Amal Choury, Prsident d'EuroCloud 62 - Perso Renier Lemmens, VP de
PayPal Europe 64 - Perso Serge Bertoldo, Associ chez PwC
-
Choisis pour faire la couverture ditnation, six CiOs ont partag
avec nous leurs ambitions et visions pour leurs entreprises
respectives. Manuel Fischer, CiO de Cetrel, Benot Wtterwulghe, CiO
de la Compagnie de Banque Prive, Vincent Burgraff, it Manager la
Banque Fideuram, Philippe Sterno, directeur des Systmes
dinformation et de lOrganisation de BGL BnP Paribas, Carlo
Gambucci, directeur du Sigi, et Christophe Pierron, CiO de CaCEiS,
poussent chacun sa manire son entreprise sur le devant de la scne
luxembourgeoise. ils nous ont fait part de leurs dfis, succs passs
et venir, leurs chantiers it en cours et de leurs projets pour
lavenir. Voici quelques passages remis jour de nos rencontres
GRAnd EnTRETIEn
6 MAI 2011
6 CIO's
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Som
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Monsieur Fischer, comment votre it participe aujourdhui au
rayonnement de Cetrel hors du Luxembourg ?
Depuis lentre de SIX Group dans le capital de Cetrel, nous avons
lanc la refonte com-plte de nos applications informatiques du
domaine de paiement par carte et lectro-nique, ainsi que de notre
centre de calcul Luxembourg. Nous jouons un rle essentiel dans la
stratgie europenne du groupe dans le domaine des cartes et du
paiement en prestant nos services partir du Luxembourg. Lensemble
de nos prestations ncessite une disponibilit et une qualit
informatique extr-mement leves et reprsentent la base de notre
croissance europenne. Nos services informatiques et nos comptences
dinnova-tions technologiques partir du Luxembourg sont partie
intgrante de cette stratgie.
Le monde du paiement reste-t-il le cur de votre activit ?
Cela reste bien sur notre core business. Cela dit, il y a plus
de 5 ans, nous nous sommes diversifis dans les Shared Services qui
reprennent lide de mutualisation des pro-cessus de back office. Les
produits que nous possdons sont en grande partie des services de
Software as a Service (SaaS) : on gre le hosting de lapplication,
mais aussi son op-ration et son Management (les releases, les tests
dintgration et des utilisateurs finaux) pour que le client ait
rellement un service
constant et continu, comme sil sortait dune prise lectrique. Un
lment qui nous diff-rencie dans le SaaS, cest notre Customer
Service Center qui prend tous les appels de nos clients pour
rpondre leurs questions et rsoudre des problmes techniques.
"Multiline" par exemple, est une fonctionna-lit que lon offre de
cette manire. Pour la dcrire, cest une interface e-banking multi-
banque qui permet au client de grer faci-lement lensemble des
comptes de son entreprise dans une seule application. En
ras-semblant toutes les informations financires au mme endroit,
loutil facilite normment la gestion des liquidits dune socit.
Toujours dans les Shared Services, nous avons aussi lapplication
"Sophie" qui assure le reporting lgal envers la CSSF et la banque
centrale par les banques, par les fiduciaires et les gestionnaires
de fonds. On la dploie, la dveloppe et la gre, les clients
lutilisent comme un logiciel standard out of the box. Nous assurons
galement le fonctionnement technique de Cetrel Securities, nous
sommes leur partie agent technique.
Les Shared Services reprsentent bien tout un deuxime pilier de
notre portfolio de pro-duits. Lide centrale derrire ce volet est
doffrir des applications en mode partag. On les co-dveloppe avec
nos clients, cest une autre faon de travailler.
Manuel Fischer (Cetrel) Nous mettons des solutions partages
disposition dune communaut de clients, quils soient issus du monde
bancaire, industriel, fiduciaire... la co-cration est au centre de
notre volution. Nos solutions veulent correspondre des besoins
spcifiques du march
septembre 2010
GRAnd EnTRETIEn
MAI 2011 7
6 CIO's
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ANN IT NATIONS.indd 1 03/05/11 14:05
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Som
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Monsieur Wtterwulghe, vous avez la responsabilit de lit depuis
les dbuts de la Compagnie de Banque Prive. Participer la cration
dune nouvelle banque nest pas courant ?
Jai eu, en effet, la chance de pouvoir tre l ds le dpart, de
pouvoir tout imaginer sur une page blanche et de tout monter from
scratch,... Cest le rve de beaucoup de CIO's et dIT managers et une
occasion qui ne se ralise presque jamais, encore moins dans le
domaine bancaire ! Pour revenir aux origines de la Compagnie de
Banque Prive, il sagit dun projet qui a t initi par Marc Hoffmann
et Nobert Becker qui ont voulu crer une banque diffrente
Luxembourg. Cela faisait trs longtemps quil ny avait pas eu une
telle initiative Luxembourg. Cela faisait prs de 80 ans quil ny
avait pas eu de cration dune nouvelle banque luxem-bourgeoise, ce
qui ma tonn moi-mme ! De plus, des banques avec un actionnariat
priv, cest trs rare, surtout des banques luxembourgeoises.
Les deux fondateurs de la CBP voulaient obtenir un
positionnement diffrent des concurrents et avoir une banque qui ne
vend pas de produits, mais plutt qui soit proche des clients et qui
soit un intermdiaire entre les intrts des diffrentes parties au
sein de la banque. Cette ligne de principe va trs loin et possde
mme des ramifications dans lin-formatique. L aussi, nous avons
essay de travailler avec des accords de partenariats plutt que
clients/fournisseurs comme on peut retrouver dans beaucoup
dendroits. Cest donc un projet extrmement motivant, il a t lanc
partir de lt 2006. Les pre-mires personnes sont alors arrives, il y
a
eu la leve des fonds vers la fin de lanne, lagrment bancaire en
dcembre Le projet de cration de la banque sest fait en paral-lle.
On a eu la chance de pouvoir mobiliser les quipes. On a d crer les
systmes, crer les processus en partant dune page blanche.
de quelle manire votre it participe aujourdhui au rayonnement de
vos activits hors de nos frontires ?
Le modle et la plate-forme ont t des fac-teurs cls du succs des
ngociations avec le groupe Quilvest et un atout indniable pour la
CBP. En effet, les autres entits du groupe oprent sur des systmes
dont le fournisseur arrtera le support. Nous avons au contraire,
depuis le dpart, bas notre stratgie IT sur une vision dexpansion
internationale. La russite et la notorit de la Banque, et
indirectement de son IT, contribuent limage locale et
internationale dune place dynamique. Elle prouve que lon y trouve
les talents et le support pour russir des projets ambitieux. Ceci
mme dans le domaine trs comptitif de la Banque Prive.
Benoit Wtterwulghe (CBP) le dveloppement de nouveaux mtiers et
de lefficience sont les cls pour faire face la consolidation et
laccroissement de la concurrence dans le mtier de la Banque
Prive
novembre 2010
GRAnd EnTRETIEn
MAI 2011 9
6 CIO's
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Som
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Monsieur Burgraff, quel est le portrait actuel de Fideuram Bank
Luxembourg ?
Nous dclinons nos activits de banque Luxembourg au travers de
trois ples prin-cipaux. Lactivit la plus importante pour la banque
est certainement la gestion de dif-frents fonds dinvestissement
domicilis Luxembourg. Le deuxime ple est relatif lactivit de
private banking, mme si nous devons le constater, cest un domaine
qui tend lgrement se contraindre Luxem-bourg au fil des annes,
puisque nous disposons depuis peu dune filiale dans le groupe,
localise en Suisse et qui est essentiellement ddie ce domaine.
Enfin, le troisime ple dactivits est la partie en prestations de
services, o nous sommes gnrateur ou prestataire de diffrents
servi-ces pour diffrentes entits du groupe. Pour le moment, nous
navons pas de clients externes au groupe et prestons pour cinq
socits : Fideuram Banque Luxembourg, notre filiale Fideuram Banque
Suisse, Fideu-ram Gestion, Euro Trsorerie et Fideuram Banque
Paris.
Au niveau informatique, nous avons donc une double casquette;
celle dinformaticiens internes et celle de prestataires de service
pour des socits du groupe.
Quel est votre parc informatique global ?
Nous sommes aujourdhui face un dfi. En effet, notre
environnement est trs htrogne, construit au fil des besoins.
Aujourdhui, nous avons donc une quipe de spcialistes dans des
matires et solu-tions informatiques trs pointues. Nous avons, au
fil des annes, toujours dus tre trs ractifs pour accompagner le
business au plus prs. Nous avons privilgi le fait dajouter des
briques en fonction de ces exigences la plate-forme de base pour
pouvoir faire face aux volutions. Cette approche rapide et souple
a, dun autre ct, augment la complexit de linfrastructure puisque
pour chaque change-ment nouveau, il faut modifier dsormais
plusieurs systmes. Je serais partisan lavenir de regrouper cet
environnement htrogne dans une plate-forme plus simple.
Vincent Burgraff (Fideuram) En tant que socit de taille moyenne,
nous avons besoin de projets innovants, qui amnent une plus-value
mais surtout qui ne nous ferment pas la porte pour le futur ! Cet
objectif ne peut tre atteint quavec des ressources humaine internes
de qualit qui allient la fois esprit de crativit, mais aussi
motivation, comptences et savoir-faire
dcembre 2010
GRAnd EnTRETIEn
10 MAI 2011
6 CIO's
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Monsieur Sterno, que de grands vnements ces 18 derniers mois !
Quelle a t votre action durant cette priode ?
Ce qui sest pass ces derniers mois au sein de BGL BNP Paribas,
cest avant tout un tra-vail trs intensif tous les niveaux ! Dans
les comits de direction, nous avons commenc rflchir au plan
industriel luxembourgeois de lintgration de Fortis-BGL et de BNP
Pari-bas dans la nouvelle BGL BNP Paribas dbut 2009, pour aboutir
un plan concret la fin de lt. Il a fallu donc rflchir assez vite
dans un laps de temps finalement assez court, compte tenu des
enjeux et challenges.
Au final, et en ce qui concerne lIT, je dirais que nous nous
sommes impos un rythme de rflexion trs rapide, dans lequel on a d
sortir un plan industriel en un temps record. Il a fallu dfinir
lorganisation-cible, larchitecture IT, et dfinir lenveloppe
budgtaire pour couvrir toute cette trajectoire ; et tout cela en
quelques semaines seulement. Le plan a donc t dfini la fin de lt,
pour ensuite tre prsent publiquement lautomne. Dun autre ct, si
nous navons eu que peu de temps pour rfl-chir au plan industriel et
IT, nous nous sommes aussi donn des dlais trs courts pour le
rali-ser. Au sein du groupe, on nous laisse environ deux ans pour
raliser lintgration complte. Concrtement ce plan dfinit le primtre
IT, vers quelle architecture on veut tendre et pr-voit comment la
mettre en uvre.
Quelles taient les grandes lignes de ce plan directeur ?
Dans ce plan, deux trajectoires distinctes taient prvues ds le
dpart. La dmarche tait dcoupe en deux pisodes que lon peut
identifier comme une trajectoire 2010 pour premire partie et une
seconde, trajec-
toire 2011, pour arriver lintgration finale. Lide de la premire
mission, ctait de dfi-nir quels efforts les entits devaient engager
pour que lancienne BGL absorbe lancienne filiale BNP Paribas sur le
plan technologique et quel en serait le travail ncessaire fournir
pour tendre cet objectif.
La rflexion que nous avons suivie a t didentifier les chantiers
mettre en uvre pour transfrer les fonds de commerce de la filiale
BNP Paribas vers la structure de la BGL dans un premier temps, tout
en dtermi-nant les niveaux de transformation apporter aux
plates-formes de BGL afin quil ny ait pas de repli qualitatif sur
le traitement apport la clientle BNP Paribas. La filiale
luxembour-geoise de BNP Paribas tait principalement active en
Banque Prive, alors que la BGL est une banque universelle ; ce qui
ne positionne pas les relations clients un niveau identique selon
les deux approches et ce par essence.
Ds lors, le choix de base de la plate-forme technologique a t
trs rapidement arrt.Cela a t une dcision immdiate et nces-saire :
les plates-formes cibles Core-System adoptes ont t celles de la BGL
! Mais nous avons d aussi dcider des niveaux de transformation leur
apporter pour pouvoir absorber lactivit plus spcifique de BNP
Paribas. Nous avons donc dfini cette pre-mire trajectoire en
travaillant main dans la main avec le business pour dterminer
com-ment allaient se comporter les processus de BNP Paribas dans
lenvironnement BGL.
Comment votre it participe-t-elle au rayonnement de la banque
hors de Luxembourg (par rapport vos clients et partenaires) ?
Le Dpartement IT de BGL BNP Paribas est un partenaire
indispensable de la stratgie
informatique du Groupe. Partager et nourrir des rflexions
stratgiques informatiques, mettre en uvre et dcliner localement des
solutions globales, tre un acteur gnrateur de valeur au sein de
cette gouvernance infor-matique mondiale reposent sur un ensemble
de partenariats avec bon nombre dentits informatiques rparties au
sein du Groupe. Ces alliances informatiques sont autant de relais
au service des Mtiers Luxembourg pour expri-mer leurs ides, leurs
besoins et leurs priorits. Les prendre en compte est indispensable
pour leur rayonnement local et international et pour la
satisfaction de leurs clients.
Philippe Sterno (BGl BNP Paribas) Aujourdhui, le dpartement
informatique de luxembourg dans le Groupe est bien plus visible
quauparavant. En tout cas, cest intense, riche et complexe, mais
jaime tout cela
fvrier 2011
GRAnd EnTRETIEn
MAI 2011 13
6 CIO's
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Comprehensive front-to-back solution
Holistic, customer centric wealth management
Flexible product factory
High automation for lower TCO
Smart sourcing options : SaaS and BPO
www.cw-thaler.com
THALERWEALTH MANAGEMENT
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ers
Monsieur Gambucci, comment le SiGi utilise-t-il lit pour
promouvoir limage de Luxembourg ?
Les services de-gouvernement sont lordre du jour de la plupart
des pays europens. Le portail MaCommune conu par le SIGI consti-tue
une approche trs intressante pour le Luxembourg dans sa volont de
simplification administrative lchelle nationale. Le rle du SIGI
auprs des communes est de promouvoir la simplification
administrative en leur permet-tant doptimiser les processus de
gestion communale et en amliorant les services aux citoyens. Les
communes luxembourgeoises prennent ainsi une longueur davance dans
le domaine des services en ligne.
aujourdhui, quels sont les lments it cls au cur de vos activits
? Quel est lcosystme de partenaires du SiGi ?
Les lments cls sont trs clairement les gens ! Nous avons
dexcellents collabora-teurs et ce, travers toutes nos catgories de
mtiers. Au total, nous employons une cinquantaine de personnes et
nous recou-rons frquemment et grande chelle des experts externes...
Les outils quon met en place, le sont pour remplir un rle dans la
chane de production. Les diteurs comme Microsoft, Oracle ou
Netvibes et beaucoup dautres, remplissent leur rle dans la chane
des services offerts. Ce qui est important, cest lintgration des
outils en solution. Jai abandonn lillusion de trouver la solution
aux besoins de nos communes sur le march.
Un partenariat stratgique, sous la forme dun GIE a vu le jour en
2010 avec les ministres de lconomie, de la Famille et de lducation
dans le domaine de la scurit autour de nos communes. Ensemble avec
les membres du GIE, nous accompagneront nos communes dans le
conseil et le dveloppement dune politique de scurit informatique au
sein de leurs propres administrations et sur Internet bien
naturellement.
Quels sont les dfis relever pour 2011 ?
Un dfi majeur du SIGI sera datteindre tous les acteurs qui
participent la vie commu-nale et de les impliquer dans les
processus mtiers. Toutes les initiatives locales et
gou-vernementales qui contribuent la richesse locale doivent tre
lies entre elles. La simpli-fication administrative doit impacter
chacun de nous. Dautres dfis en dcoulent dans les domaines de la
communication et de lintgration. Dans les mois venir, nous allons
aider prparer les lections com-munales du mois doctobre. Nous
sommes galement acteur dans les fusions des communes.
Limplmentation de MaCommune au niveau national est probablement le
dfi les plus demandeur. Lobjectif de 200.000 citoyens est prvu pour
fin mai.
Carlo Gambucci (SiGi) Nous nous devons dtre concurrentiels en
tant que petit pays. Nos concitoyens de toutes nationalits ne
comprendraient pas pourquoi le luxembourg ne leur mettrait pas
disposition le mme agrment dutilisation administratif que dautres
pays
mars 2011
GRAnd EnTRETIEn
MAI 2011 15
6 CIO's
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Som
ers
Monsieur Pierron, quelles sont les grandes lignes de la
fondation de CaCEiS ?
Lhistoire de CACEIS est avant tout une histoire de fusions.
Lentreprise telle quelle existe aujourdhui est assez jeune. Elle
remonte 2005 suite la fusion des entits dInvestor Services du Crdit
Agricole et de la Caisse dEpargne. Cette fusion a cr un nouvel
acteur important sur ce march et a permis un dcloisonnement des
activits. Luxembourg, nos activits se concentrent sur quatre grands
mtiers : ladministration et la conservation de fonds, le
Middle-Office et la distribution de fonds.
Quel est le rle de lit dans les diffrentes activits de CaCEiS
?
Aujourdhui, une socit comme la ntre ne peut dgager de la marge
que si elle a des cots de revient faibles. La DSI a un rle cl dans
lindustrialisation des processus et la rduction des frais de
fonctionnement, cest un volet sur lequel CACEIS a dj beau-coup
travaill. En effet, les systmes doivent pouvoir intgrer facilement
de nouveaux volumes.
CACEIS va aussi de plus en plus vers un mode de fonctionnement
avec des centres
dexpertise mtier o lharmonisation des processus est forcment
indispensable. Un bon exemple concerne le traitement des drivs OTC
; il sagit l dun mtier trs sp-cifique que lon peut centraliser dans
lune ou lautre entit. Dans ce domaine, cest le Luxembourg qui est
le centre dexpertise.
La tendance est double : des centres dexper-tise centraliss en
France ou au Luxembourg et des mtiers o la production est rpartie
dans plusieurs pays, mais avec le mme pro-cess et systme
dinformation. Nous avons un seul centre drivs OTC, mais pour
lad-ministration de fonds des comptables en France, au Luxembourg,
aux tats-Unis et bientt en Asie pour bnficier du dcalage horaire.
Dans les 2 cas, la DSI est au 1er plan et participe pleinement aux
transformations de CACEIS.
Christophe Pierron (Caceis) Pour une socit comme CACEIS, qui
excelle plutt sur des mtiers industriels et de back-office, lIT
occupe un rle dterminant
avril 2011
GRAnd EnTRETIEn
MAI 2011 17
6 CIO's
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AGILE PARTNEROur methods are above the scrum
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GOLdEn-i
> Un nouveau gant de lIT sur le march luxembourgeois p.20
> Convergence of BPM & SOA, next Generation of Agile
Business Platforms p.23
> To be, or not to be To cloud, or not? p.24
> Kitry, une valeur sre p.26
> Contenus en ligne : un Panda et beaucoup d'amis p.29
> First review for tecsys p.32
> Telindus et Tango, double T et double digit growth p.34
> iKe Consulting et ses diffrents mtiers p.36
> CETREL amliore son infrastructure avec SUNSHINE p.39
> Le poste de travail virtualis comme rponse au phnomne
dhyper mobilit p.42
> Flux de donnes sous contrle, un nouveau challenge p.44
> Sally out to a new society of excellence p.46
MAI 2011 19
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Un nouveau gant de lit sur le march luxembourgeoisatos Origin
annonait il y a quelques mois lacquisition de Siemens it Solutions
and Services. Ce partenariat stratgique avait alors fait les gros
titres des magazines informatiques. depuis que la pression est un
peu retombe, les deux partenaires travaillent plus concrtement sur
le volet lgal de la transaction et un plan dintgration des systmes.
Lunit antitrust de la Commission Europenne vient ce titre de donner
son accord sur la fusion des deux entits au dbut du mois
davril.
La signature finale de laccord sera effectue en juillet prochain
aprs lapprobation de tous les actionnaires qui se runiront en
Assem-ble Gnrale Extraordinaire la fin du mois de juin 2011. Une
fois le contrat sign, lin-tgration en tant que telle pourra
dmarrer. Dici-l, les socits vont continuer uvrer de manire
concomitante jusqu ce que la transaction soit officiellement
conclue. Il ny aura pas de changements fondamentaux pour nos
clients, prcise Philippe Houssier, Chief Executive Officer chez
Siemens IT Solu-tions and Services.
UN paRTENaRIaT wIN-wIN
Pour rappel, Siemens IT Solutions and Services apportera
lalliance sa divi-sion informatique pour un montant total de 850
millions deuros. En change, Siemens deviendra aussi actionnaire
industriel dAtos Origin pour une dure minimale de 5 ans et possdera
aussi 15% du capital. Le but premier tant de crer un champion
europen des services IT runissant prs de 78 500 salaris de par le
monde. Les deux socits se sont galement mises daccord sur un
contrat doutsourcing dune valeur de 5,5 milliards deuros tal sur
une dure de sept ans. Atos Origin fournira Siemens IT Solutions and
Services des services dinfogrance
et dintgration de systmes durant cette priode. Ce nouvel
ensemble constituera la plus grande plate-forme dinfogrance en
Europe et profitera dun positionnement sans prcdent pour dvelopper
des nou-velles offres dERP, de cloud ou encore de services de
paiement.
VERS DE NOUVELLES OppORTUNITS EUROpENNES
Complmentaires, les deux socits ne ciblent pourtant pas les mmes
clients. Sie-mens IT Solutions and Services recherchait dj un
partenaire pour renforcer son ple IT depuis quelques temps, un des
critres de dcision a t la complmentarit go-graphique. La couverture
territoriale a pu tre complte, tant donn que Siemens IT Solutions
and Services tait encore peu pr-sente en France, la mme chose pour
Atos Origin en Allemagne. Nos clients bnficieront du meilleur de
chacune des socits. Le but est vraiment de crer une entit la pointe
de linnovation et proche du mtier. Le porte-feuille largi sera
construit sur les points forts dAtos Origin en conseil, innovation,
solu-tions haute disponibilit et la rputation de Siemens IT
Solutions and Services comme Business Technologist dans de nombreux
secteurs, continue-t-il.
UN pORTfOLIO TENDU
Le nouvel acteur majeur possdera une puis-sance commerciale
unique pour acclrer sa croissance. Les deux partenaires
dveloppe-ront dici quelques mois de nouveaux services et produits
de manire conjointe. Pour ce faire, ils se sont tous deux engags
investir 50 millions deuros dans la R&D. Le poids lourds de lIT
pourra ainsi se positionner plus efficacement sur les secteurs de
la sant, de lnergie, le transport ou encore lindustrie, des
secteurs fort potentiel. Daprs les estimations, le gant devrait
connatre une croissance de son chiffre daffaires avec une marge
oprationnelle denviron 6% en 2011, soit un pourcentage en ligne
avec la crois-sance du secteur.
Siemens IT Solutions and Services sest ga-lement engage assister
Atos Origin dans lintgration IT des deux structures et met-tre en
place plusieurs niveaux de synergies entre les deux groupes. Si
lidentit du nou-veau venu reste encore un peu floue, il est
probable que la nouvelle structure reprendra le nom dAtos dici
quelques mois. La ques-tion de nouveaux bureaux pour accueillir les
quipes reste galement ouverte.
Nous sommes deux intgrateurs de sys-tmes, nous resterons
certainement une
20 MAI 2011
GOLdEn-I INTGRATION
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socit proche de lADN et des valeurs de Siemens IT Solutions and
Services. Notre objectif central est de garantir une stabilit nos
clients, il ny aura pas de bouleversement ni de grand plan de
restructuration, mme si le challenge est bien de faire en sorte que
ces deux socits se rapprochent, tout en main-tenant la qualit de
service. Il nous faut nous concentrer sur nos clients plutt que sur
des processus internes. Dici le mois de juillet, les deux socits
vont communiquer plus troi-tement travers la vente, les oprations
et le Management. Nous allons galement uvrer construire une
structure commune, ter-mine Philippe Houssier. Lunion dAtos Origin
et de Siemens IT Solutions and Services fera entrer la nouvelle
entit directement dans le top 5 des plus grandes botes
informatiques Luxembourg.
Par Florence Thibaut
Philippe Houssier, Chief Executive Officer chez Siemens IT
Solutions and Services
MAI 2011 21
-
FINANCECASH & LIQUIDITY
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is to make a difference aligning business and IT departments
through a unique service offering combining both SAP & business
expertise.
We deliver business skills, project management and first-class
SAP implementation competencies, focusing on Financial Supply Chain
Management & Treasury, Business Intelligence and process
improvement through innovative solutions. We offer services with
high quality in the market helping European enterprises to achieve
financial excellence using best practices and implement the latest
reporting & planning solutions toward effective decision
making.
Our company philosophy has always focused on customer
satisfaction. We were recently awarded by SAP Belgium &
Luxembourg, for the second consecutive year, regarding our
excellent collaboration and best quality pre-sales which shows our
dedication to deliver end-to-end value to our customers. We are of
course supporting the SAP Value Circle initiative for Financial
Excellence.
FINANCIAL EXCELLENCE
WWW.INTENSUM.COM
-
For the last 30 years, the business world has become more
process aware, and BPM has come a long way since initial iterations
that relied heavily on static flowcharts to map out corporate
processes in mostly unchanging organizations.
Today BPM has become a discipline in its own right. It applies
sophisticated software and best practices to model, simulate,
auto-mate, manage, and monitor processes to coordinate operations
with dynamic business priorities. This has given rise to
unpreceden-ted process flexibility and scalability, where workflows
(both human and automated) are determined in real-time by events
and/or outcomes within the process, and where effective knowledge
transfer is made possi-ble as processes become well-documented
business artifacts on which employees can be trained.
The introduction of an independent process tier represents BPM's
first major contribution to business computing. It enables to put
the management of business logic in the hands of business managers,
without threatening the integrity of the application logic.
To enjoy the full benefits of BPM, processes must integrate with
existing applications and systems. They require access to the
func-tions that are locked in application silos. And today's IT
organization is complex, consisting of many different applications
and systems built using heterogeneous technologies, on various
middleware, using multiple databases and running on many platforms.
Hard-coding point-to-point integration with those applica-
tions is not a good solution as it creates tight coupling with
the application and makes the process brittle and inflexible which
may be expensive to change and may therefore defeat the entire
purpose of BPM.
This is where Service Oriented Architecture comes in. It
provides the technical ability to create that process independence.
The goal of SOA is to expose an organization's IT assets as
reusable services that can communicate and integrate more readily.
SOAs aim is to provide a common communication framework to
orga-nize and describe capabilities, usage policies and service
provider locations without exposing implementation details. It
allows organizations to plug in new services or upgrade existing
services in a granular fashion, to address new business
requirements while providing the possibility of making the services
consumable across different channels, at the same time enabling
existing legacy applications as servi-ces. The goal being to
eliminate the integration headache common to many organization
today, while leveraging existing IT investments.
BPM and SOA are a natural match: together they facilitate the
next phase of business process automation and derive higher value
from services. Business automation will no longer be about hard
coding a function to be repeated infinitely.
Today, business automation through BPM and SOA is all about
creating services reusable in many different ways in multiple
processes that can be continuously improved, featured by
comprehensive BPM ecosystem around which the business and IT are
aligned.
Through this synergy, organizations will achieve better business
and IT results than were ever possible through either discipline
alone.
But a fundamental ingredient enabling this convergence of BPM
& SOA is the advent of comprehensive BPM and SOA platforms that
are fully integrated and based on open standards.
And in that respect, the maturity of some of these software
platforms is questiona-ble: many software vendors are relying on
non-integrated software pieces, frequently featuring proprietary
and legacy software that have been rebranded, and wrapped in a poor
software bundle.
This is where Oracle, with the advent of Ora-cle BPM Suite 11g,
drives again the industry to the next level.
Well Thought Through, as quoted by Gar-tners Research
Vice-President, the Oracle BPM Suite 11g has defined new standards
for Business Process Management suites, in which its unified
process foundation enables organizations to engage both business
and IT users more easily in the management of core business
processes and simplify the complete business process lifecycle.
In simple words, it helps us as consultants to better focus on
delivering business orien-ted solutions to our customers rather
than losing time and money on re-inventing the wheel with low level
bits & bytes.
Geoffroy de Lamalle, eProseed
Convergence of BPM & SOA, Next Generation of Agile Business
PlatformsMore and more organizations are turning to Business
Process Management in their quest for practical ways to create new
business value and streamline their operations. Ultimately, to be
flexible, responsive and efficient organizations.
MAI 2011 23
GOLdEn-IBUSINESS PROCESS MANAGEMENT
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to be, or not to be to cloud, or not ?le Cloud, voil bien un
thme qui fait couler beaucoup dencre. Tellement tourn et retourn
sous tous ses angles, il parat tre un sujet hautement existentiel
et tout semble en dpendre. Chaque jour, partenaires ou dtracteurs
rivalisent en inventivit pour faire merger leur point de vue et
leur position. Tous affirment traiter ce sujet de faon novatrice et
performante, tous nous font part de leurs visions et de leurs
solutions innovantes, nous offrant en fait souvent un aperu, une
vue tronque dont les fondements reposent uniquement sur une
stratgie commerciale.
Pourtant, quand on y regarde de plus prs, le Cloud na pas
vraiment grand-chose de novateur en dehors de ces discours. tout
nest en fait que laboutissement de dcennies dvolutions
technologiques. Mais lart est dans la manire de prsenter ce tout
dans un emballage trs allchant Le Cloud semble ramen un simple
phnomne de mode.
24 MAI 2011
GOLdEn-I CLOUD COMPUTING
-
Le business dune entreprise demeure son moteur et doit donc
rester lobjectif de toute dmarche. Ces activits nces-sitent-elles
des taux de disponibilits importants ou encore des redondan-ces de
haut niveau ? Les mtiers et les besoins rencontrs sont-ils stables,
ou au contraire la concurrence du march engendre-t-elle des
changements rapi-des et courants ? Toutes ces questions, et bien
dautres, nous renvoient vers la question centrale : comment
lentreprise juge-t-elle et associe-t-elle son informa-tique son
business quotidien ? Sagit-il dun accommodement, dune facilit ou
bien encore dune contrainte ?
Mais, revenons maintenant plus prs des ralits. Le Cloud nest en
effet, rien dautre que laboutissement du concept de client-serveur,
tel que prsent il y a plus de 20 ans, lors de larrive des rseaux
locaux en entreprise. Ceux-ci laissaient prsager de mettre ses
don-nes en un endroit, les traiter partir dun autre, obtenir un
rsultat conforme aux objectifs et le tout avec un maximum de
facilits et de souplesse. Aujourdhui, les volutions en matire de
mobilit et de moyens daccs linformation ont ren-forc ce schma,
tendant encore son champ dapplication.
Mais alors le Cloud dans tout ceci ? En fait, cest une
combinaison base sur la virtualisation des ressources des syst-mes
et des moyens de communication performants qui offre, enfin, la
souplesse tant attendue par le support de services
oprationnels.
Lintrt majeur se situe dans ce dta-chement qui limine les
problmatiques lies au matriel. Ces soucis ne concer-nent plus le
gestionnaire des applications qui peut se concentrer sur la finalit
de sa solution. Par contre, il doit mainte-nant considrer un
ensemble dautres aspects, plus proches des profession-nels. Le
modle ayant fondamentalement chang, son action envers les mtiers
auprs desquels il dlivre un service doit prendre beaucoup plus en
considration les besoins de performance et de pren-nit requis par
les activits. Pour ce faire, ses choix doivent tre mis en parfaite
connaissance des moyens recherchs et des fonctions quil entend
assurer direc-tement ou encore dlguer auprs de son fournisseur de
Cloud.
Quels critres de choix prendre en compte pour dlguer
harmonieusement, tout ou partie de la gestion de cette
infras-tructure Cloud ? Le facteur financier est certainement un
aspect important, mais trop rducteur que pour rester le seul. Par
contre, un critre primordial est certaine-ment celui qui repose sur
la qualit des services offerts et dlivrs par le presta-taire. Cette
qualit de service dpasse de loin lunique performance technolo-gique
de lenvironnement en place. Elle adresse avant tout les besoins en
dispo-nibilit, tant des plates-formes que des interlocuteurs, en
assurant la gestion et le support quotidien. La transparence
offerte par le prestataire est galement un axe essentiel permettant
dtablir la confiance. Quelles sont les conditions physiques de
dploiement du Cloud ?
O sont situes les donnes et les appli-cations ? Quelles sont les
procdures mises en uvre par le prestataire pour une gestion
professionnelle ? Toutes ces questions fondamentales doivent
trouver une rponse satisfaisante avant doprer un choix clair.
Cependant, aucune rponse standard ne peut tre fournie, car opter
pour une for-mule base sur le Cloud est avant tout un choix de
modle oprationnel. Tout Cloud, de facto, se doit de proposer un
ensem-ble de couches technologiques, allant de la virtualisation
jusqu une orchestration intgre. Le diffrenciateur essentiel qui les
nuance se situe au niveau des servi-ces, de leur intgration et de
la rgulation qui les organise selon de bonnes prati-ques, comme
ITIL ou encore ISO20000. De plus, la consistance dun Cloud doit tre
en ligne avec les attentes et offrir un maximum de confiance. Une
compltude avec des normes comme ISO27000 ou encore PCI constituent
des caractres primordiaux pour certains secteurs dac-tivits. Enfin,
la localisation dun Cloud et des infrastructures qui le composent
ou lhbergent reste le premier lment requis pour pouvoir assurer les
degrs de disponibilit attendus.
Quoi quil en soit, avec ou sans Cloud, la performance du
business reste et restera toujours lobjectif final et le business
assu-rera toujours la dtermination des critres de choix.
Par Michel Ackerman
Michel Ackerman, Business Innovation Team chez ebrc
MAI 2011 25
GOLdEn-ICLOUD COMPUTING
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Kitry, une valeur sre le nombre de socits IT, SSII ou lies notre
secteur est consquent sur la place. Que ce soit avec des crations
opportunistes, des crations individualistes, des implantations
historiques, des spin-off, des implantations de grand groupe, le
secteur prsente une concurrence forte. le client ou le prospect
peut se demander si ce nest pas cela le cloud sur la place
luxembourg. Quoi quil en soit, celui-ci doit parvenir sidentifier
dans cette nbuleuse.
Kitry Luxembourg a fond une base solide dexistence et de
stabilit qui demande une surveillance quotidienne pour la maintenir
moyen et long terme.
Presque 6 ans dactivits Luxembourg, un bail diront certains, une
continuit diront dautres Dans les deux cas, la Direction persiste
et sengage pour un nouvel lan.
Lorsque la structure a t constitue au der-nier trimestre 2004,
beaucoup dlments ont t envisags, beaucoup de questions se sont
poses, beaucoup de rflexions ont t menes Toutefois, deux choses
taient certaines, se diffrencier du mtier classique de prestataires
de services et appliquer nos valeurs personnelles et
professionnelles qui sont aussi celles des fondateurs du
groupe.
pOUR La DIffRENcIaTION
Tendre vers un niveau optimum de la qua-lit de nos prestations.
Pour latteindre, le recrutement est fondamental dans notre
structure. Nos collaborateurs, qui contri-buent activement notre
rputation sur la place, ont fait lobjet dun recrutement rflchi et
non opportuniste, de plusieurs rencontres, dun cycle long de
recrutement et dchanges ouverts.
Rpondre aux besoins des entreprises Luxembourg. Notre branche
solutions met en vidence notre mtier darchitecte appli-
catif. Cet axe est une volont de rpondre des problmatiques
spcifiques Mtiers que lon retrouve dans les entreprises.
Actuel-lement, Kitry Luxembourg compte 5 solutions ddicaces des
besoins spcifiques sur la place de Luxembourg.
pOUR LES VaLEURS
Le respect du collaborateur et de sa prise en considration sont
des priorits. Chaque sala-ri est adulte et responsable, connat son
rle dans la structure et est complmentaire.
Le partage de connaissances est aussi trs important. En effet,
chaque salari change et se nourrit des comptences de ses
collgues.
La gestion de la structure en bon pre de famille, la mise en
place de bonnes pratiques simples, justes et rigoureuses
garantissent un bon fonctionnement et doivent tre sui-vies pour la
viabilit organisationnelle de la structure.
Le recrutement est un lment cl de russite pour une PME comme
Kitry. En effet, la per-sonnalit du collaborateur doit tre apprcie
rapidement sans ngliger ses comptences technologiques.
aUjOURDhUI
Bas sur la rputation de ses collabora-teurs et de sa Direction,
Kitry est occup sur diffrents secteurs conomiques de Luxem-bourg.
Avec son offre globale, solutions et prestations, Kitry a bti un
socle solide qui lui permet de bien prparer 2012, de pouvoir
recruter de nouveaux collaborateurs et den-visager une croissance
saine et contrle.
Par Jean-Franois Denis, Directeur gnral, Jrme Barb et Eric
Bineau,
chefs de projets chez Kitry.
26 MAI 2011
GOLdEn-I SERVICES INFORMATIQUES
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Jean-Franois Denis, Directeur Gnral chez Kitry
MAI 2011 27
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UN NOUVEaU VENU
Deux invits surprise ont pourtant vol la vedette aux grosses
pointures de ldition : le Panda de Google et le like de Face-book.
De fait, la mise jour de Google a eu un impact non ngligeable sur
lindexation des sites web et donc sur les exigences lies au contenu
rdactionnel. Quant Facebook, sa progression fulgurante en a fait un
lment incontournable de toute stratgie en ligne.
Panda est le nom du dernier update de lal-gorithme de Google. Le
sympathique animal a dj cr le buzz dans la communaut des
rfrenceurs. De quoi sagit-il ? La mise jour Panda vise en fait
pnaliser les sites de fai-ble qualit qui taient pourtant bien
classs dans les pages de recherche, grce une quantit de contenu trs
importante. Ces sites appels fermes contenu taient sou-vent
critiqus par les utilisateurs des moteurs de recherche.
La socit Aposition a prsent les principes de lalgorithme Panda,
qui fonctionne dj aux tats-Unis et trs bientt sur les recher-ches
francophones. Selon Google, Panda a touch 12% des requtes et 84%
des sites critiqus par les utilisateurs.
Le nouvel algorithme vise favoriser :- les sites de rfrence- les
sites de marque- les contenus originaux- les contenus de
confiance.
il vise par contre pnaliser :- les contenus sans valeur ajoute-
les contenus gnrs automatiquement- les contenus repris ou communs
sur Internet- la mauvaise exprience utilisateur.
En attendant limplmentation de Panda en Europe, il vaut mieux
soigner son contenu et veiller sa qualit, sa pertinence et son
originalit. Le fait dtre cit dans des sites de rfrences et dans les
rseaux sociaux sera galement un facteur de succs qui permet-tra
dchapper aux griffes du Panda.
Contenus en ligne : un Panda et beaucoup damisContent is king,
le slogan nest pas nouveau. Il affirme la primaut du contenu dun
site web (notamment rdactionnel) sur le design ou la technologie
dploye. Mais lorsquil est apparu dans les annes 1990, il ntait
encore quune vague incantation. Aujourdhui, il devient ralit.
Le Benchmark Group la bien compris en organisant le 5 avril
dernier une confrence sur La rvolution des contenus en ligne. Une
brochette de professionnels et dexperts se sont succds la tribune
pour tmoigner de leur exprience en matire de contenus digitaux. de
grands diteurs taient galement venus exposer leurs modles et leurs
stratgies de prsence sur le web : tF1, Le Monde, Les chos, France
24, Citizenside...
MAI 2011 29
GOLdEn-ICONTENUS MOBILES
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UNE cOMMUNaUT INcONTOURNaBLE
Le Web social tait le 2me invit dhonneur de la journe. Comment
transformer sa pr-sence ditoriale sur Facebook en modle gagnant /
gagnant ? Stphane Beillaud (TF1) a dvoil sa recette couronne de
succs : 4,4 millions de fans sur les 30 fan-pages ddies aux
programmes phares. Avec un impact trs significatif sur laudience de
TF1.fr. Julien Codorniou (Responsable des partenariats
France/Benelux chez Facebook) a donn son point de vue et quelques
conseils de premire main. Trs peu dacteurs ont compris com-ment
exploiter tout le potentiel de Facebook. La moiti des boutons like
sont mal prsen-ts ou paramtrs. Les sites de commerce lectronique
devraient offrir une exprience beaucoup plus personnalise leurs
utilisa-teurs, pour que chacun puisse voir ce que ses amis ont lik
avant lui, a-t-il expliqu.
Facebook a donc encore beaucoup offrir ceux qui prendront le
temps de sy int-resser de prs. Et il faut bien reconnatre que ce
nest pas toujours simple pour les dveloppeurs, tant les API
facebookiennes voluent rapidement. Facebook doit sans doute
progresser dans la relation avec ses partenaires. Dun autre ct, le
Search Engine Marketing deviendra un mtier en soi, qui pourrait
susciter lmergence de SSII spcialises. Et Julien Codorniou doit
certai-nement avoir quelques bonnes ides pour les candidats
entrepreneurs puisquil soccupait prcdemment de programmes ddis au
Start-up chez Microsoft...
Pour Emmanuel Fraysse (lewebsocial.com), la recherche
dinformation devient de plus en plus un mix entre le Search et le
Social et les internautes font davantage confiance leurs pairs qu
des experts (mme si force de socialiser, de commenter ou de
blogger, les pairs finissent par devenir experts...). La force du
"like", cest le "link" enrichi par la contextualisation avance, a
expliqu E. Fraysse. Le web social devient un amplifica-teur de
renomme... ou de bad buzz. Mais dans tous les cas, refuser la
conversation nest pas une option, a expliqu E. Fraysse, exemples
lappui.
Au final, la confrence du Benchmark group a parfaitement tmoign
de leffervescence actuelle autour des contenus en ligne. Dun ct,
les modles conomiques ditoriaux restent trs diversifis, mais
voluent vers limplication croissante de lutilisateur. De lautre,
SEO (Search Engine Optimisation) et SMO (Social Media Optimisation)
sont de plus en plus complmentaires. Lapparition du +1 de Google va
clairement dans ce sens. Limpact des interfaces mobiles ne doit pas
non plus tre nglig. Un nouveau para-digme est en train de natre et
nous rserve encore des surprises. Like it or not.
Par Jean Larock
30 MAI 2011
GOLdEn-I CONTENUS MOBILES
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Frank Back, Executive Director at tecsys IT-HAUS
First review for tecsys it-HAUStecsys came to the market in
Luxembourg one year ago with some very ambitious goals and
announced a five year plan to become one of the leading companies
in it solutions. after the first twelve month it is time to review
this progress with the two executive directors of tecsys.
How would you describe today the goals you had, when launching
the project ?
Michael Mossal: Of course ! The goals are still described in the
same way as 2010: Our ambition was to represent one unique
structure with more than 70 mio turnover in the Grande Region. We
started with 130 IT professionals. The aim was to create and
establish a company with a 100 % Luxem-bourgish management and
corporate identity. Combining best customer experience and German
state-of-the-art processes with a Luxembourgish corporate identity
and long-term market knowledge should become the key success factor
of tecsys. Less then 30
minutes connect the IT-HAUS headquarter in Trier/Fhren, one of
the most awarded, modern IT buildings in the region, with the
tecsys head office in Luxembourg City. Purchasing department,
Logistic-, Marke-ting-, Backoffice, ITIL aligned Service Desk and
Labs are located in the headquarter. Based on this structure we can
offer our customers: Professional process and stock management,
Professional pre- and post sales support, Best pricing for hardware
and software components, Quickest delivery and Installation,
Maintenance, Repair service and Trainings.
Frank Back: Today we can consider that we are far ahead of our
initial targets for the
first 12 months. In Luxembourg we did a tur-nover of round about
5 mio Euro in the first year. According to the IT-Infrastructure
guide released by IT-Nation in 2010, this positions us just below
Compagnies like Computa-center in Luxembourg, a company that is on
the market since a long time. In addition our company managed to be
cash positive in the first year, which is rare in our days.
Together with our German collegues we gave us last year a joined
target of 70 mio Euro. Germany continued their growth as well by
doing 71 mio only in Germany. We represent together a pool of 160
experts in the Grande Region. The virtual team serving Luxem-bourg
today are 35 people. Half of them are located in Luxembourg.
32 MAI 2011
GOLdEn-I INTEGRATION
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Michael Mossal, Executive Director at tecsys IT-HAUS
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Frank Back, Executive Director at tecsys IT-HAUS
What did make you believe in the success when you started and
what did motivate you to launch that project ?
Michael Mossal: The new tecsys project was something that was
build up on a very solid foundation. Both of us, Frank and myself,
had been in this business for years as a part of two very
successful Luxembourgish IT Compa-gnies in the past. We did know
exactly what was possible and what we had to do. In 2009
both of us where committed to projects outside of the classical
IT infrastructure business and if someone would have come 2 years
earlier with the opportunity probably none of us would have been
interested. It was the right moment in time. The plans to team up
with IT-HAUS in the product business have been develo-ped already
in 2007. We started a joined go to market model between tecsys
S.A.R.L. and IT-HAUS in 2009 and based on that successful pilot we
presented the business plan to the sha-reholder beginning of 2010.
IT-HAUS was the missing link, it stands for a solid backend
struc-ture, German quality standards and processes.
Frank Back: When I was asked if I would like to join the project
I was immediately inte-
rested. I saw the tremendous dynamic and the opportunity of the
project and was sure that I could investigate myself fully to make
it a success.
When did you decide your brand name and what does it today stand
for ?
Michael Mossal: tecsys is a very power-ful brand name that is
still today known by customers from the 90s and associated with
building trust to establishing a community around IT projects. Most
of all it stands for its people and their ability to execute their
job to help customers in success with their challenging IT
projects. Further tecsys stands for the dynamic that Frank
mentioned earlier. IT-HAUS was voted in 2010 by COMPUTE-RWOCHE for
the 2nd time in a row as the 2nd best System House in Germany. In
our logo we underline our project focus and dynamic of the tecsys
brand with the power, quality and credibility of IT-HAUS. The
luxembour-gish press somewhere invented our slogan we ARE
different. We try to highlight our dynamic by very agile marketing
campai-gns with rare sports cars and bikes. We are sponsoring and
organizing Porsche G3 and Motorbike track days with our customers.
Luxembourg is traditionally a very conserva-tive market. Our image
is seen as different to the others and from marketing point of view
we took benefit of that.
Frank Back: we ARE different stands also for a different
business model that we introduced. I describe it often as a LuxDe
model instead of a classical BeLux model. We fully respect the
local business rules of our partners, but thanks to IT-HAUS we are
able to also fully take advantage of the Ger-man distribution to
provide best pricing and delivery times to our customers. We see us
confirmed because other Compagnies on the local market started in
the meantime to copy this model. In addition we are obviously,
thanks to our IT-HAUS backoffice, because of our own logistic and
stock management very competent in pure box moving. We are also
different in our sales approach. Our more business related history
allows us to position projects not only form the IT angle but
often
from the business perspective. This is facili-tated by strong
partnerships in those areas with sister Compagnies like Orgavision
(ERP) and exigo (business consulting).
So what do you see as your major achievements in the last months
?
Michael Mossal: When we came to the market, we positioned us
with a service port-folio focused on IT transformation, Datacenter
automation and Cloud computing. This was a very clear, future
driven focus, giving us a certain advantage over our competitors.
While others still prevented to talk about migrating Microsoft
Exchange in the cloud, because they where afraid that it
canniba-lized their revenue in hardware selling, we did already
first cloud migration projects. An example is Wagner-Schaffner. Our
traditional business remains helping our customers to realize their
business projects in IT and help them to implement and measure IT
proces-ses. Some customer examples in 2010 have been Tango,
ZithaKlinik and DKV Globality. Here we found beside HP, with
Microsoft an additional, very future driven partner. But the
biggest achievement we made where around Desktop Virtualization. In
most cases there was a real business driver behind. Perfect
exemples are DZ Privatbank in Luxembourg formally known and DZ BANK
International who came with a new business model and branch office
concept and found in tecsys a strategic partner for the design and
imple-mentation of a VDI concept. Further Cetrel where VDI
facilitated the implementation of their new core system and allows
publishing customer related parts of this core system to their
customers (the banks). What we see as the most important
achievement is that we have many very committed customers who
trusted us already in the early days. The long-term customers
together with new cus-tomers see us today as a strategic partner
and trusted advisor. We are of course very proud about that and we
are very commit-ted to them as well. Now we are just started and we
have great potential. We plan some announcements in the very near
future that will show this potential in the form of projects where
Luxembourg as country benefits and that are highly visible in the
market.
MAI 2011 33
GOLdEn-IINTEGRATION
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Grard Hoffman, CEO de Telindus
telindus et tango, double t et double digit growthLe retour de
la croissance des entreprises du priv profite aux fournisseurs qui
ont capitalis sur la crise pour se prparer un nouvel avenir
telindus et tango font partie de ces leaders qui ont investi
contre-courant les 18 derniers mois et qui ambitionnent, pour le
march professionnel, une double digit growth en 2011
La crise de fin 2008 2010 est probablement bien derrire les
entreprises, et a rattrap les tats et pays. Si le secteur public,
particuli-rement, a permis aux acteurs de se maintenir des niveaux
de revenus levs, il est fina-lement constater que la crise aura
moins impact le Luxembourg que ses pairs euro-pens. Chez Telindus
Luxembourg, nous nous sommes placs en premire position des 6 pays
dans lequel lentreprise est pr-sente au regard de la meilleure
traverse de crise, dit Grard Hoffmann, Prsident &
Admi-nistrateur dlgu de Telindus Luxembourg. Nous avons maintenu un
niveau de revenus lev et stable, mme si nous avons connu moins de
croissance que prcdemment. Paradoxalement, 2009 et 2010 ont t nos
meilleures annes. Selon Telindus, le shift du secteur priv vers le
secteur public, ultra concurrentiel en priode de crise, a renforc
la position des acteurs srieux et reconnus sur la Place. La crise
impose aux entreprises et institutions de ne pas prendre de risque
: il est donc logique que le secteur public se soit tourn vers les
entreprises numro 1 de leur segment respectif, dont e.a. Tango et
Telindus, acquiesce Didier Rouma, CEO de Tango.
Dans le domaine de la tlcom, le secteur, driv par le march
rsidentiel, na pas souffert dune large perte de revenus. Chez
Tango, nous avons profit de leffet de la crise pour nous staffer
davantage et rebondir lors de la reprise dans les meilleures
conditions, expli-que Didier Rouma. En 2008, nous avons t
acquis par loprateur Belgacom ; en 2009, nous avons mis en place
lintgration avec le groupe belge ; en 2010 nous nous sommes
rapprochs de Telindus Luxembourg pour proposer des offres
convergentes.
LIT EST TLcOM, La TLcOM EST IT, LE cLOUD EST IT ET TLcOM
Nous constatons deux grandes tendances, avise Grard Hoffmann.
Une fusion claire des environnements IT et de tlcommunication et
une migration logique dans la continuit vers le Cloud. Telindus a
en effet dcid en priode de crise dinvestir une vingtaine de
millions deuros sur 5 ans pour se doter dun environnement de
datacenter performant au travers de linfra de LuxConnect et pour
sen-gager dans la connectivit pour les entreprises en tant
quoprateur fixe. Un atout partag avec Tango qui tait
essentiellement tourn vers le mobile et le rsidentiel priv. Le
Cloud rpond au mieux aux volonts "Anywhere, Any Time, Any Device,
Any Data", argumente Didier Rouma. En outre les donnes sont de plus
en plus consquentes
La VOIE DU LUXEMBOURG
Pour les deux CEOs, les efforts gouverne-mentaux portent leurs
fruits dans le secteur ICT. Ainsi, Telindus Luxembourg propose
ltranger ses services qui sont reconnus comme excellents grce
linfrastructure state-of-the-art insuffle par les initiatives
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34 MAI 2011
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nationales (dont LuxConnect,) qui, cumu-les un niveau de cots
comptitifs et des avantages connexes en matire dimposition, de TVA,
de contexte denvironnement co-nomique, permettent une nouvelle
attractivit pour Luxembourg.
Aussi, au sein du groupe Belgacom, cest un projet de
centralisation innovateur Luxembourg de loffre CaaS (Communica-tion
as a Service, pour environnement Cloud de tlcommunication pour les
entreprises), pour tout le groupe belge qui pourrait sim-matriculer
aux couleurs grand-ducales ! Un environnement politiquement stable,
rgul et ouvert est une qualit reconnue par les grands acteurs de
leBusiness et par nos entrepri-ses, prcise Grard Hoffmann.
Luxembourg est ainsi lendroit parfait pour les prises de dcisions
rapides, et pour construire des business expansion importante ou
mme norme, comme pour Skype, Amazon ou eBay De plus, Luxembourg est
un mar-ch test idal, convient Didier Rouma. Nous y trouvons un
microcosme unique qui peut hberger une plate-forme de distribution
lchelle europenne importante.
LES DfIS ET LES ENjEUX
Dans ce contexte global, (bientt) aux mains de la Gnration Y,
linfrastructure ICT est devenue une commodit et les applications le
seront aussi prochainement. Ainsi, la dcon-nection du contenu de
linfrastructure et des applications est cl. En ce sens, Belgacom
verticalise sa stratgie par piliers de contenus et de nouveaux
enjeux la Route dAr-lon Strassen, on verrait bien des verticaux
dans le monde des fonds, dans le secteur de la sant ou du e-gaming
prendre place Luxembourg. Mais les challenges sont
nombreux : Luxembourg doit adapter son offre, est encore en
retard par rapport aux voisins allemands ou franais en matire de
connectivit rsidentielle et entreprise et doit aussi faire aboutir
les dossiers fort potentiel comme le-Archiving
La stratgie broadband du gouvernement est excessivement
importante pour nos entreprises, convient Grard Hoffmann. Le plan
FTTH (Fiber to the Home ; mis en place par les P&T pour le
compte du gou-vernement) sera un facilitateur pour injecter des
nouveaux services pour le pays, mais il ne faut pas oublier le
FTTC, le Fiber to the Company ! Luxembourg, tissu de quelques
grands comptes ( lchelle locale) est surtout un monde de PME qui
exportent bien au-del de Schengen et de Schmeide, qui comptent
aussi sur le fait de pouvoir attirer de nouveaux clients et
business en terres grand-ducales.
Loprateur mobile Tango invite donc les autorits garder le
leadership en matire de tlphonie mobile comme ce fut le cas avec le
3G en mettant lagenda LTE (Long Term Evolution ou 4G) en place. Le
secteur apprcie que le focus du gouvernement se dtourne de la
gestion de la crise (des Finances des tats) et regarde vers
lavenir, comme le Premier Ministre la partag dans son discours sur
lEtat de la Nation. Telindus est dans cette dmarche, en
investissant contre-courant, en mettant laccent sur lin-novation
avec un partenariat avec lUni et en accueillant des doctorants,
etc. Avec une telle motivation, Telindus ambitionne, pour la
premire fois depuis de nombreuses annes, une croissance deux
chiffres Un rve pas si inaccessible
par Raphal HenryDidier Rouma, CEO chez Tango
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iKe Consulting et ses diffrents mtiersSpcialise dans le conseil
et laccompagnement de projets technologiques, iKe Consulting est ne
du cabinet lancelot, principalement actif dans le recrutement
informatique luxembourg et Paris. A prsent autonome, elle se
concentre sur deux mtiers et propose la fois des missions en rgie
et des prestations de consultance IT. iKe Consulting adresse divers
secteurs allant des tlcoms, la finance, aux institutions europennes
et aux administrations publiques luxembourg, en France, en Belgique
et en Suisse.
Fonde lt passe, iKe Consulting a ainsi repris la partie
consulting de Lancelot et possde un savoir-faire qui remonte plus
de 5 ans. avec une trentaine de consultants et pour accompagner un
monde informatique en perptuel mouvement, iKe Consulting a choisi
comme plate-forme de gestion des candidats une combinaison doutils
tirant parti des rseaux sociaux afin de trouver rapidement le
profil le plus appropri la mission pourvoir. Le got de la russite
partage est un des piliers de notre approche. Le systme iKe
Consulting est conu de manire donner chacun les meilleurs moyens
datteindre ses objectifs, explique Francis absil, Business Unit
Manager chez iKe Consulting.
DES QUIpES aU SERVIcE DES pROjETS
Lquipe de consultants iKe Consulting est particulirement
spcialise dans le dveloppement dapplications (java, .net, PHP,
force.com), la ges-tion dinfrastructure (Unix, Windows, VMWare), la
mise en place de solu-tions cloud (Amazon Web Service,
salesforce.com, force.com), mais aussi dans les outils de
publication web.
Nous suivons une optique de projet, nos quipes de consultants
varient selon les missions et leur type. Nous devons constam-ment
trouver des palettes de comptences trs varies, nous faisons donc
frquemment appel des freelances, notre impratif tant de trouver la
bonne personne pour le bon pro-jet. Notre mtier nous pousse tre
flexibles
et sans cesse plus agiles pour accompagner les volutions de ces
projets. Notre but nest pas doccuper nos consultants mais bien de
russir une mission, prcise Yves Leblond, Senior Consultant chez iKe
Consulting.
Le volet consultance et intgration diKe Consulting poursuit
galement une logique de partenariats pour garantir la russite de
ses projets. Cest aujourdhui impossible de trouver Luxembourg une
entreprise qui ma-trise toutes les dernires technologies, que ce
soit iPhone, java etc. Notre intrt tous est de satisfaire les
clients. Le partage est au cur de nos valeurs, continue-t-il.
DES pOSSIBILITS DE RESOURcING
iKe Consulting se positionne entirement comme un intermdiaire de
choix en matire Francis Absil,
Business Unit Manager iKe
36 MAI 2011
GOLdEn-I CONSULTANCE ET RESOURCING
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de prestations de services IT. Nous nous engageons toujours
fournir les services du consultant le plus appropri aux besoins de
nos clients. Nous voulons proposer aux entreprises ou aux socits de
services IT les meilleures comptences du march au meilleur cot,
dans un mode brain-shopping, plutt que body-shopping. Le bien-tre
de nos consultants est aussi une de nos top priorits, la relation
humaine reste le socle de lactivit dans nos mtiers, il ne faut pas
loublier. Nous mettons un point dhonneur bien dialoguer avec nos
candidats avant de les proposer nos clients ; nous ne nous
contentons pas de faire du pusch forward de CV. Nous voulons tre
terme un interlocuteur pour toutes les socits qui cherchent
renforcer dans le cadre de mis-sions leurs quipes dans tous les
domaines de linformatique, ajoute Francis Absil.
Tout en ayant des racines locales, la base diKe Consulting se
veut galement interna-tionale. En faisant partie du rseau talents
de Lancelot, nous avons accs une biblioth-que trs riche de CV
internationaux, ce qui est un plus dans notre mtier. Cest un
avantage par rapport dautres acteurs locaux. Nous ne proposons pas
uniquement nos clients des profils locaux limits la Grande Region.
Nos consultants peuvent tre aussi bien des personnes engages par
notre socit, que des free-lances, toujours dans le but doffrir la
ressource la mieux adapte au besoin du
client, poursuit-il. La jeune socit souhaite avant tout rester
au service du march luxem-bourgeois. Nous sommes une socit locale
qui connat bien les besoins de la place. Notre centre de dcision
est ici, ce qui nous permet dtre ractif trs rapidement. Nous
offrons, en outre, une communication entirement transparente nos
consultants, clients et partenaires, termine Yves Leblond.
par Florence Thibaut
Yves Leblond, Business Line Manager et Partner chez Ike
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GOLdEn-ICONSULTANCE ET RESOURCING
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Manuel Fischer, CIO de CETREL
T +352 27 12 55 55 [email protected]
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Manuel Fischer, CIO de CETREL
Cetrel amliore son infrastructure avec SUNSHiNe CEtREL opre de
manire continue 24h/24h et 7j/7j un grand centre de calcul pour
assurer le traitement des transactions avec des cartes de crdit et
de dbit. a cela sajoute un grand nombre dautres applications trs
critiques pour lindustrie financire au Luxembourg telles que : new
Multiline, SOFiE, Luxtrust, domiciliation, CEtRELSecurities, etc.
Suite une analyse technique et stratgique en 2008, les actionnaires
de CEtREL ont dcid de repositionner CEtREL dans son march et
dinvestir considrablement pour implmenter une stratgie de
croissance forte partir de Luxembourg.
UN pROjET INNOVaNT
Cet investissement est destin au projet SUNSHINE qui consiste
dans la mise en place dun nouveau centre de calcul et de nouvelles
applications mtiers de gestions de cartes de paiement orients
Cloud-Computing, afin de rduire significativement limpact
colo-gique, de rinventer structurellement lICT et doffrir de
nouveaux services de paiements et de Software as a Service (SaaS).
Le projet SUNSHINE a une charge de 33.000 Jours/Homme avec un
budget de 28 mio EUR rpartis sur une priode de trois ans. Le projet
est men avec une grande frnsie, cest dans un temps record de 9 mois
uni-quement que le nouveau Cloud Data Center est en production et
les premiers clients sont migrs depuis le 2 juillet 2010 sur la
nouvelle application cloud. La phase de migration des autres
clients va se poursuivre rapidement en 2011. Une fois la migration
termine, toutes les anciennes infrastructures et applications
seront mises hors service et recycles.
La STRaTGIE cETREL
- une stratgie de forte expansion europenne avec une croissance
forte de ses cartes de paiements,
- un dveloppement de nouvelles
fonctionnalits de paiement,- un accroissement des services
ICT
et Software as a Service (SaaS). Pour rpondre cette stratgie, un
projet dinnovation de grande envergure appel SUNSHINE a t mis en
place en janvier 2009. Aprs analyse des forces et faibles-ses des
applications mtiers et du centre de calcul existant, le constat
tait que la strat-gie de forte croissance ntait pas possible avec
les applications et loutil de produc-tion existants. La trs grande
technicit de ces services ncessite un renouvellement de lensemble
des applications curs, une augmentation majeure de la capacit et
une flexibilit du centre de calcul de CETREL.
DES DEMaNDES INITIaLES
- dimplmenter un trs grand nombre de nouvelles fonction-nalits
mtiers innovantes,
- dimplmenter un centre de calcul ultra flexible, ultra scuris
et adap-table aux demandes mtiers,
- dimplmenter ce programme de manire rapide
(Time-To-Market),
- la rduction significative de notre empreinte
environnementale,
- dassurer une haute comptiti-vit des produits CETREL,
MAI 2011 39
GOLdEn-IINFRASTRUCTURE
-
- laugmentation de la disponibilit des services applicatifs sans
perturbations lors du projet dimplmentation,
- de sassurer que tous les collaborateurs contribuent ce projet
et y adhrent.
La STRaTGIE chOISIE pOUR SUNShINE
Pour implmenter ce projet, CETREL avait le choix entre deux
alternatives concurrentes : 1. Faire faire le projet entirement
par une socit externeou2. Faire le projet avec les ressour-
ces internes et faire appel des consultants ponctuels.
Pour garantir le maximum dengagement, valoriser les comptences
existantes et assurer une grande motivation de nos col-laborateurs
internes, CETREL a fait le choix dimplmenter ce projet avec les
collabora-teurs internes exclusivement. CETREL fait confiance aux
compten-ces pointues existantes pour mener un tel projet denvergure
et souhaite dvelopper davantage encore les comptences de ses
collaborateurs travers un tel projet. CETREL a ainsi fait recours
des consultants externes pour nous renforcer dans ladminis-tration
des systmes vieillissants qui seront mis hors service partir de
2012. La VaLEUR ajOUTE DE SUNShINE
Le projet SUNSHINE a rinvent loutil de production informatique,
les processus et lensemble des applications informatiques de CETREL
en apportant une valeur ajoute dans tous les domaines de notre
entreprise. Cest un projet dinnovation denvergure et dimportance
stratgique pour le dveloppe-ment et la croissance dans le futur
proche et moyen terme pour toute la socit. Le projet a industrialis
en profondeur les processus mtiers, lorganisation et la production
infor-
matique chez CETREL et permet de raliser la stratgie de
croissance significative au Luxembourg et en Europe. Limplmentation
de ce projet nous permet : - de fournir de toutes nouvelles
fonction-
nalits de paiement qui se reposent sur la convergence des
technologies et dintgrations de services dans le e-commerce pour
des clients Busi-ness-To-Business. Elles vont innover nos habitudes
de paiement comme par exemple lintgration Smartphone, Iphone,
Blackberry, SMS, Pre-Paid, Contactless, Peer-To-Peer Payment,
etc.
- de fournir un grand nombre de nouveaux services aux
professionnels de lindustrie de fonds et de la finance
(e-archiving, e-invoicing, e-billing, reference data fee-ding,
UCITS4, Corporate action support, etc.) en mode Software as a
Service.
- de fournir nos clients internes et externes des services ICT
flexibles et hautement disponibles.
- une scurit informatique encore plus leve rpondant en mme temps
aux exigences locales et aux atten-tes des clients
internationaux.
- des nouveaux processus et organisations de travail grce des
desktop totalement virtualiss et accessibles travers linter-net en
toute scurit et confidentialit.
- de diminuer le TCO (automatisation lors du dploiement de
nouveaux services, gestion et supervision optimises, flexibi-lit
pour les interventions planifies, etc...).
- doptimiser notre mission CO2 en profitant des effets de la
consolidation, de la virtualisation et de la moderni-sation du
matriel informatique.
Le projet SUNSHINE est dimportance strat-gique pour construire
le futur moyen terme de lentreprise. Cest grce cet investissement
de taille que les cots dexploitation informa-tique pour nos
services restent comptitifs, la productivit par collaborateur est
maximise afin de nous permettre dassurer la crois-sance ncessaire
et gagner de nouveaux clients en Europe partir du Luxembourg.
LE fEEDBacK REU DE cE pROjET
Les bnficiaires jugent de la qualit de livrai-son en fonction
des nouvelles fonctionnalits mtiers mises leur disposition, du fait
que la migration se passe sans aucun encom-bre, que le projet na
pas de retard et que les performances correspondent aux cahiers des
charges. Les bnficiaires ont pris possession de la Release 2 et le
premier client vient dtre migr sur le nouveau Cloud Computing et
les nouvelles applications Cloud. Aussi le dpartement Business
Dveloppe-ment planifie dj une monte en charge plus rapide
quinitialement prvue, preuve que le projet rpond leurs attentes. Le
premier client est migr sur la nouvelle infrastructure sans que le
client final lait remarqu.
La migration sest droule sans encombre, les performances
techniques sont en ligne ou meilleures que prvues. Les prochains
clients migrer sont planifis dans les prochaines semaines.
Le Business Dveloppement de CETREL en est trs satisfait et il
remporte de plus en plus dopportunits grce aux nouvelles
fonction-nalits mtiers et SaaS. LAssociation des Professionnels de
la Socit de lInformation (APSI) dcern en 2010 au projet le prix de
lInnovation AWARD pour honorer les innovations mises en place et
rendues tangibles pour le busi-ness de CETREL.
Par Manuel Fischer
40 MAI 2011
GOLdEn-I INFRASTRUCTURE
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Surfant sur la vague du Cloud Computing, linfrastructure pour
postes de travail virtuels (VDI Virtual Desktop Infrastructure) est
plus que jamais un enjeu majeur pour les socits et semble devenir
une priorit pour les direc-teurs IT. Lenjeu du poste de travail
virtualis est de permettre un utilisateur daccder lensemble de son
environnement de travail o quil soit et par le biais de diffrents
types dappareils comme un Smartphone ou bien encore une tablette
tactile. Il sagit dune sorte de dlocalisation du traitement des
donnes porte par la technologie du Cloud Compu-ting. De nos jours,
deux socits dominent historiquement ce march : VMware View et
Citrix XenDesktop proposant chacune sa solution. Mais nous voyons
lmergence de nouveaux acteurs qui proposent des solutions ddies et
adaptes aux environnements spcifiques des Smartphones. En effet,
lap-proche du poste de travail virtualis rpond de nombreuses
problmatiques dentreprise quelles soient conomiques,
organisationnel-les ou bien encore environnementales.
En tmoignent les chiffres du cabinet dtude Gartner qui mettent
en avant que 15% des PC utiliss en entreprise dans le monde
seront virtualiss dici 2014. Ainsi, cest toute la structure
informatique et les syst-mes dinformation qui sont repenss pour en
optimiser la gestion et les performances. Les bnfices de cette
solution sont rels. Par consquent, il devient plus facile
dadminis-trer le parc informatique dune socit, den rduire les cots
et bien entendu la mainte-nance. Un des points essentiels concerne
la scurit de laccessibilit et de la gestion des donnes. De nos
jours, la scurisation des donnes en entreprise est un enjeu majeur
et le poste de travail virtualis permet la mise en place dune
politique de prvention contre la perte des donnes et des
environnements de travail ainsi quun contrle et une scurisation des
accs en amont aux applications et aux donnes sensibles.
LES TaBLETTES EN phaSE DE SUppLaNTER LE pc EN ENTREpRISE ?
Cest avec lessor de lutilisation des tablet-tes tactiles et plus
particulirement de liPad dApple en entreprise que le phnomne de
virtualisation du poste de travail prend toute son ampleur. Avec
celles-ci, lapproche est
diffrente et complmentaire. Il convient de mettre en avant la
complmentarit de ces priphriques quils soient PC ou tablette. Pour
un utilisateur, il sera bien plus facile dac-cder son poste de
travail pour consulter des informations via une tablette tactile
mais il sera plus difficile de faire de la saisie, chose plus
vidente sur un PC. La caractristique essentielle est de souligner
que grce aux postes de travail virtualiss, il nexiste plus de
segmentation PC Smartphone Tablette car lensemble de ces
priphriques acc-dent lenvironnement de travail utilisateur de faon
native.
ORaNGE LUXEMBOURG, paRTENaIRE DE chOIX DaNS LES pROjETS VDI
Chez Orange Luxembourg, nous avons le savoir-faire et la
connaissance pour accom-pagner nos clients dans leurs projets de
virtualisation de poste de travail. De plus, nos partenaires
intgrateurs sont mmes de pro-poser des solutions sur mesure suivant
le profil et les caractristiques dun projet VDI. tant donn la
spcificit de chaque environnement client, nous suggrons de raliser
des proofs
le poste de travail virtualis comme rponse au phnomne dhyper
mobilitavec les volutions des rseaux tlcoms et la dmocratisation
des Smartphones, vritables tlphones intelligents, nous entrons
clairement dans une socit dhyper connectivit o il est possible
daccder lensemble de ses donnes nimporte quel moment depuis
nimporte quel appareil. Ce phnomne est dautant plus important pour
les entreprises o de nombreuses technologies mobiles sont dployes
permettant un accs linformation permanente. Le principal problme
est de pouvoir retrouver son environnement de travail sur son
appareil mobile quil soit Smartphone ou bien encore tablette
tactile. il est donc ncessaire pour une entreprise de se voir
proposer des solutions pour que ses collaborateurs retrouvent cet
environnement de travail en toute scurit.
42 MAI 2011
GOLdEn-I MOBILIT
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Som
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of concept pour valider la parfaite intgration de la solution
dploye. Actuellement, Orange Luxembourg investit dans ses
infrastructures rseau et informatique afin de proposer une
prestation de service de qualit et cela sans interruption par le
biais dune refonte totale de son systme informatique et rseau.
En conclusion, nous entrons dans un nouveau cycle o la
technologie VDI est devenue une ralit concrte et permet un rel
bnfice pour les entreprises. Le choix de dvelop-per une solution de
poste de travail virtualis vient de la volont dharmoniser des
systmes dinformation complexes afin den faciliter leur
administration, de rduire les cots opration-nels et surtout de
mieux exploiter la puissance de traitement du systme. Cest bien
videm-ment avec le dveloppement et la croissance forte du Cloud
Computing qui viendra soutenir cette tendance, que les possibilits
offertes aux entreprises seront multiplies.
Par Richard Peiffer
Richard Peiffer, Director, Corporate Sales chez Orange
Luxembourg
MAI 2011 43
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Ann Deruytter, Channel Manager Benelux chez Sophos
Steria et SophoS Signent
un partenariat Sur loffre
Scurit & encryption
Par la voix dAnn DERUYTTER, Channel
Director SOPHOS BENELUX BV et
Charles MANDICA, Managing Director
Steria PSF Luxembourg SA, les deux
socits ont annonc un accord de
partenariat, lchelle du Grand-duch
de Luxembourg, pour la fourniture de
prestations de conseil et de services
autour des solutions de Sophos. Cette
dernire dveloppe des progiciels
robustes de scurit reconnus dans le
monde dICT. Cette alliance contribuera
enrichir loffre de Steria PSF Luxembourg
SA et devrait tre tendue, courant
2011, dautres pays o agit le Groupe
STERIA.
Flux de donnes sous contrle, un nouveau challenge !Nous allons
vous raconter une petite histoire illustr