DERNIÈRE HEURE =LA GUERRE= DANS LESJALKANS La Mobilisation Autrichienne serait terminée Vienne, 17 Décembre. — On mande à VEchn de Paris (pie le ministre de la Guerre autrichien, annonce la cessa- tion de la convocation des réservistes, les troupes étant au complet. Que nous réserve demain ? Que •cherche l'Autriche ? Ses corps d'ar- mée mobilisés sont sur les frontières Tiusse et Serbe. L'empereur, recevant, hier, le pré- sident et le vice-président de la Com- mission de contrôle de la Dette Publi- que disait que la situation extérieure s'était améliorée. Pourquoi donc, alors, cette mobili- sation ? La conférence jouant, auprès du vieux monarque iiuslrn-hon^i'oi- le rôle du confulonl inipn-s 1^ l'urlnis est fondée à lui dire : -.Pourquoi tous ces armements '.' Une nation qui mobilise en si gran- de hâte, ne pourra bientiM \>\n< retenir ses armées et imposer l'inaction a -r^ hordes déchaînées. Là réside, le. urand dantier de l'heure présente. Est-il iné- vitable ? Peut-on, d'autre part, ad- mettre en bonne logique que l'ambas- sadeur de François-Joseph soit à Lon- dres, s'il se savait impuissant à écar- 1er le danger ? L'évacuation de Durrazzo Londres, tLI heures. On mande de Belgrade, au Haih' Mail que la Serbie, se rewlunl uu.r <//'- jservations présentées par .1/. li'lqnai. au nom de la Triplia\ nmrrrnant l'é- vacuation de Durruzzu par les troupes serhi'.\. mirait consenti à évacuer cette nlli'. Mais elle aurait, mis comme con- rliti'in ijnr Durrazzo serait • occupée par IWiii/teterre, jusqu'au règlement ilfjinUij tla sort de l'Albanie. On ne sait pas encore si l'Autriche a accepté cette condition. On espère, cependant, qu'une solution pacifique interviendra. La Question d'Andrinople Paris, i3 heures. Les grandes puissances se sont con- sultées sur la question d'Andrinople. Elles se sont mises d"accord et ont ju- gé qu'il était ju-ste que la Turquie cède Andrinople au Gouvernement bulgare. Elles vont, en conséquence, faire des démarches pressantes auprès de la su- blime Porte en faveur de cette cession. La Turquie veut la guerre Park, ih heure*. U' Matin reçoit de Constantinople une dépêche laconique disant que Na- zim-Paclia aurait déclaré que la guerre ne faisait que commencer. Si celte nouvelle se confirmait, il n'y aurait que peu d'espoir dans le -succès de la conférence de Londres. La Flotte turque endommagée /llhMi's, •! heures. Nous avon> aiii]<>m:<\ hier, qu'un violent combat naval avait mis aux prises les escadres grecque et turque, aux environs de l'Ile Ténédos. lin annonce d'Athènes que les pas- sagers du vapeur Jérusalem, qui est sorti des Dardanelles après le combat naval d'hier, ont déclare que deux na- vires turcs ont été fortement endom- iin croit -avoir que la flotte grec- que « eu également deux imités ava- riées. En somme, le résultat de la bataille- navale est douteux. La Crise intérieure de la Turquie Cotïslantinople, i heure. La crise intérieure s'accentue en Turquie. On annonce que les élections de la Chambre auront lieu immédiatement après la conclusion de la paix. On mande également que la Dette Publique a consenti à la Turquie une avance de 300.000 livres turques. Le Trône d'Albanie Vienne, 17 décembre. Il se confirme que l'Autriche exige- ra l'indépendance absolue de l'Alba- nie. Ce coin de terre qui a soulevé tant de convoitises serait érigé en ro- yaume. On insinue même que le prétendant « ce nouveau trône ne serait autre que le prince Ghika qui sert en ce moment dan.- les armées serbes en qualité de simple soldat. Jusqu'à quel point faut-il ajouter foi à ce bruit ? D'autant plus que nom- breux sont les prétendants éventuels au trône d'Albanie. La Conférence de Londres Premières divergences entre le bloc des alliés et les Turcs Londres, 17 décembre. Selon un télégramme de Londres, à l'Echo de Paris, les délégués grecs dé- claraient, dans la soirée, que, ayant participé à la première réunion de la paix, les objections que les Turcs pour- raient présenter désormais, seraient sans objet. Les délégués ottomans auraient ce- pendant affirmé, aujourd'hui, à leurs collègues étrangers, qu'il leur était impossible de négocier avec les Grecs avant la signature de l'armistice. Ces objections étaient à prévoir. I^es conversations diplomatiques de ces trois jours ont donné confirmation aux bruits de « discorde » qui régne- raient au cours de cette « conférence de la paix ». Turcs et Grecs jouent au plus ma- lin. La question de l'armistice — non encore signé, — devait fatalement être agitée. Il convient de rapprocher de ces faits que les alliés balkaniques ont déclaré agir en parfait accord. La situation, on le voit, est loin d'ê- tre claire. Les divergences s'accen- tuant entre les turcs et le bloc balkani- que, cette conférence pourrait bien n'être qu'un coup d'épée dans l'eau. Les divergences entre l'Autriche et la Serbie Vienne, iG heures. M. Jova.novitch, ministre de Serbie a déclaré à la Neue Freïe Presse que les divergences entre l'Autriche et la Serbie n'étaient pas si grandes, qu'un accoivi pacifique entre ces deux puis- sances ne puisse intervenir encore. IJI mobilisation autrichienne ne se- rait donc alors qu'un bluff monstre, un coup d'Agadir au petit pied ? Attendons les événements. Bruits tendancieux Budapest, i n décembre. Le correspondant, à I!uda|X'st, du 'temps signale qu'un lipUloniadaire hongrois se fait l'écho d'un bruit mis en circulation depuis quelques jours. Selon cette rumeur, l'Autriche-Hon- grie et l'Italie se seraient mises d'ac- cord pour régler la question serbe par un changement de dynastie. Les Kara- georgevitch alnliqueraient et le roi Ni- colas de Monténégro deviendrait roi île Serbie tout en gardant la couronne Monténégrine. Découverte d'un tableau Londres, 17 décembre. La Gazette de Westminster publie un télégramme daté de Musuri, disant que l'on a découvert dans un bazar de Landaur un tableau de Hemhrnndt. Cette trouvaille a soulevé le plus vif intérêt dans les milieux artistiques. Plusieurs experts ont examiné le ta- bleau et l'ont reconnu authentique. La Grève de 24 heures Paris, 17 décembre. La Bataille Syndicaliste parue ce matin, affirme que 120.0000 ouvriers ont chômé, hier, à Paris et dans le dé- partement de la Seine. Amiens, 17 décembre. La grève d'hier a causé, à Amiens, une certaine effervescence. Plusieurs patrons, pour répondre au chômage des ouvriers, ont décidé le lock-out pa- tronal de 24 heures. On craint que des incidents violents ne viennent ponctuer le geste belli- queux du patronat amiennois. Un espion condamné Berlin, 17 décembre. Le sergent Voeberling, accusé d'es- pionnage au profit d'une puissance orientale, a été condamné, pour crime de haute trahison, à 15 ans de tra- vaux forcés. M. Guist'hau en Espagne Paris, 17 décembre. D'après le Matin, M. le Ministre de l'Instruction Publique a reçu M. Geof- fray, accompagné des recteurs des Académies de ISourdeaux et Toulouse, qui sont venus l'inviter à inaugurer, en personne, l'Institut Français de Madrid. M. Guist'hau a accepté. C'est la première fois qu'un ministre Jrançais ira officiellement inaugurer une oeuvre française à l'Etranger. Catastrophe de chemin de fer Rome, 17 décembre. La catastrophe de chemin de fer de la ligne Catme-Venise a causé de nom- breuses victimes. Oncompte déjà 25 tués et H0 blessés. Conseil des Ministres Des poursuites seront exercées contre la C. G. T. et les auteurs de la tentative ratée de grève générale. Paris, i!x heures. Au Conseil des Ministres tenu ce matin, à l'Elysée, la situation exté- rieure a fait l'objet de longs échanges de vues. On s'est aussi entretenu de la tenta- tive de grève générale dont le minis- tre de l'Intérieur a signalé l'échec complet. M. Steeg et ses collègues sont tombés d'accord pour décider des poursuites envers la C. G. T. et les auteurs de la tentative de grève. Les distributeurs de cartes au nom de l'Union des Syndicats feront également l'nbjet de poursuites. Bourse de Paris du XT Décembre (Cours de 1 heure) 3 % FRANÇAIS ITALIKN 5 % EXTÉRIEURE 4 % PORTUGAI s 3 % TURC UNIFIÉ HKKSIL 4 % SKRHK 4 % RUSSK CONSOLIDÉ RUSSE i8yr SUEZ ACTIONS THOMPSON-HOUSTON SOSNOWICK Rio Tinta 88 85 97 95 90 55 8-1 70 79 15 80 65 74 30 5848 90 737 42 •.Î7) " 1780 . 1 HARSIS ( -OI.DFIKI.DS ])!•: lilLERS RLCETTE DE SUEZ. 77 BANQUE DE PARIS /CRÉDIT LYONNAIS MÉTROPOLITAIN Xo TÎRIW BANQUE OTTOMANE TABACS OTTOMANS LYON NORD LOTS TURCS CHARTERED EAST RAND RANDMINES Cossoi mfS ANGLAIS. 1550 626 H 2 455 454 634 296 1232 1628 183 32 7° '59 .... 190 000 TENDANCE DU MARCIU-, : l<\nhlï. L«s crimes des exploitants du caoutchouc Lima, 17 décembre. Le juge chargé de l'affaire Putuma- ye a ordonné l'arrestation du chef de l'entreprise de l'exploitation de caout- chouc, nommé Julio Arana. Il s'ensuit que les accusations con- cernant les mauvais traitements infli- gés aux indigènes seraient fondées. Pharmacie & Commerce Nous avons inséré le 14Novembre un arti- cle intitulé ; Pharmacie et Commerce. En réponse nous recevons de /'Association Géné- rale des Syndicats pharmaceutiques de France la lettre suivante que nous insérons avec d'autant plus de plaisir qu'il n'est ja- mais entré dans notre esprit de suspecter en quoi que ce soit la correction professionnelle des pharmaciens. Paris, le 8 Décembre 1912. Monsieur le Rédacteur en chef du Littoral, à Cannes. Monsieur le rédacteur en chef, L'Association générale des Syndicats -phar- maceutiques de France, représentant 8.000 pharmaciens syndiqués, c'est-à-dire plus des deux tiers des prmrmrtricns rxerçant en France, ne saurait laissrr sans protestation l'article que vous avez cru devoir publier le 14 novembre, sous le titre : Pharmacie et Commerce. Les auteurs ou les inspirateurs de cet ar- ticle sont anonymes. Tout en nous réservant de poursuivre contre eux, par toutes voies de droit, la réparation du dommage causé par de telles assertions, nous vous ferons re- marquer que c'est contre ceux qu'ils appel- lent avec mépris des * petits pharmaciens » qu'ils répandent de vagues calomnies, sans les appuyer, d'ailleurs, du moindre commen- cement de preuve. Qu'est-ce qu'un «petit pharmacien»? C'est un pharmacien qui préparc lui-môme les médicaments, ou les fait préparer sous sa surveillance directe, un travailleur di- plômé qui met avec empressement sa science au service de son client, et qui ne pense par que son rôle essentiel consiste à faire débiter des substances médicamenteuses par un, personnel trop nombreux pour être efficace- ment surveillé. L'Association générale des Syndicats pharr maceutiques de France estime, en outre, que beaucoup de spécialités vendues à grand renfort de réclame peuvent être remplacées par des médicaments sérieux et de formule connue. Ce qui est intolérable, en tous cas, c'est qu'une marque de fabrique puisse servir à couvrir la vente d'un remède interdit par la loi, et le fait se passe tous les jours. M. le député Barthe signalait encore le fait, le 19 novembre dernier, à la tribune de la, Chambre ; t Je pourrais, disait-il, indiquer à M. le Ministre, certaines spécialités qui contiennent de la morphine,de la strychnine c'est-à-dire des poisons très dangereux, Les spécialistes qui les fabriquent n'hésitent pas à indiquer, sur les prospectus, que le produit ne confient ni morphine, ni strychnine. C'est donc une tromperie sur la marchandise vendue ». Il y a là un véritable péril pour la santé publique. A côté de spécialités honorables, dont nous sommes les premiers à reconnaître le mérite, il existe une foule de produits portant les noms les plus bizarres et dont la composition reste entourée de mystère. Tous ces noms noms sont déposés et constituent des mar- ques de fabrique. Les prospectus mentent sans vergogne, et le Service dé la répression des fraudes s'est déclaré, jusqu'à présent, impuissant à provoquer les sanctions néces- saires. Comment vérifier un produit qui s'a- brite derrière son illégalité mêmt' pour échap- per à tout contrôle ? C'est pourquoi l'Association générale des Syndicats pharmaceutiques de France de- mande instamment que tout produit por- tant une dénomination de fantaisie porte également une dénomination usuelle im- primée en caractères aussi apparents que ceux de la marque, et que toutes les spécia- lités portent sur l'étiquette le nom et la dose de toutes les substances entrant dans leur composition. PSIfl De la Horte, l'inspection des pharmacies pourra exercer son contrôle sur cette caté- gorie de produits, comme elle le fait sur tous les produits du Codex. Le public pourra vé- rifier «avec autant de soin qu'il vérifie sa monnaie », si la formule de la spécialité qu'il achète se trouve sur l'étiquette, et, au besoin, faire contrôler, par un laboratoire compétent, la conformité du produit à la formule. Le médecin pourra prescrire le pro- duit en connaissance de cause et, s'il le juge utile, modifier la formule pour l'adapter spécialement à la maladie de son client. Nous vous serons obligés, Monsieur le Rédacteur en chef, de vouloir bien publier cette réponse à la place même où a paru l'at- taque contre l'honorable corporation dont nous avons mission dedéfendre les intérêts moraux ri matériels, et nous vous prions d'agréer l'expnssion de notre considération la plus distinguée-. Pour l'Association générale des Syndi- cats pharmaceutiques de France ; Le secrétaire, Coi.LARD E. BULLETIN FINANCIER Ç Unique pour la toilette D Ce 10 Décembre 1911. L'amélioration que l'on constatait samedi n'aura pas été de longue durée. De nouveau de mauvaises dispositions font fléchir ia cote à peu près partout, notamment vers la clôtu- re, car les avii di-s places étrangères demeu- I ~\ liquul.uiuii, 1 ommV un le prévoyait s-'eifectue sans difficulté, en raison du petit nombre d'engagements pris dans la quin- zaine. Cela permet d'ailleurs de fixer les re- ports à des conditions assez faciles vfers 4 %, malgré un certain renchérissement de l'ar- .^•nt (jui, «l'utlleurs est loin d'atteindre celui i'i:i i.Lié -m les principales étrangères. l.\ (wtijjiyLi de Janvier de 0.75 centimes, ' a 3 % - sc représente à 88.60 contre 89.85, soit en réaction d'un demi point. Aux Fonds étrangers les russes cèdent de 50 centimes à 1 franc suivant les emprunts. le Serbe abandonne plus d'un frinc à 78.70 et le Turc revient à 84.50. Extérieure 90.75 et Italien 97.75 cn réaction tous deux égale- ment. Les Sociétés de Crédit perdent naturelle- ment les fractions qu'elles gagnaient Samedi et les Chemins.espagnols s'alourdissent à la suite de l'Extérieure. Le Rio revient de 1821 à 1770, compensé à 1790 et aux valeurs russes, la Sosnowice se tasse de 1428 à i 557, M:ikcc:wka s'alourdit à 220, la Briansk e<i à <).\\. Vive réaction de iiakou à 1875 en liquida- tion. Le Naphte clôture à 623. On est lourd, également dans les autres compartiments, les Omnibus reviennent de 769 à 753, le Métropolitain cote 618 contre 626, la Thomson termine à 739, la Parisienne de Distribution est à 633 enfinde séance, cédant une quinzaine de francs, Sur le marché en Banque, où l'on n'a pas aujourd'hui à se préoccuper de la liquidation des ventes nombreuses pèsent s\ir les cours qui, comme au Parquet sont presque par- tout au dessous de ceux de Samedi. Les industrielles russes, doivent finir en réaction d'une (|uinz;i.mc de points. La Mali/of à uiu, Tagann^ à 740, la Hartmann à 643. Les cuprifères se tassent à la suite du Rio, la Tharsis revenant à 154 et le Cape Copper à 158. La Balia Karaidin d'autre part revient au cours rond de 400 et le Platine s'inscrit à 708 venant de 720. Les Mines d'or doivent céd«r quelques fractions et la de Bcers, bien que toujours animée, revient à 501 au plus bas contre 514 samedi. Rappelons que la Ibero Platense Crédit Foncier et Hypothécaire cn République Ar- gentine émet actuellement 20.000 obliga- tions hypothécaires 5 % or de 500 francs chacune au prix de 469 frs. 50 garanties par les prêts hopothécaires existants et par ceux qui seront obtenus avec les fonds provenant de l'emprunt. Cette obligation sera cotée prochainement. L'Informateur Financier, 16, rue Drouot, Parii M me ff'A mi An la célébrr voyante et U MIIHuUr cartomancienne italien- ne reçoit tous les jours de 8 h. dumatin à 8 h. du soir, 7, rue Hoche (1 er étage) Cannes BANQUES RECOMMANDEES BANQUE POPULAIRE de CANNES ,10, me do la Gare. —Téléphone : 3.85 Escompte —Dépôts à vuo —Chèques — Lettres d« Crédit. —COUPONS. — ORDRES DE BOURSE. — LOCATION DECOFFRES-FORTS. - GARDEDH COLIS. —DEPOTS DE TITRES. 8«# BANQUE PRIVEE Industrielle, Commerciale, Coloniale Agctiw <io CANN'F.S — CAPITAL 50 MILLIONS — (Ancienne Maison COGNET & RIDDETT) BANQUE —CHANGE —TITRES A COUPONS Locution de Coiïrns-forts —^ESCOMPTE &RECOUVREMENT — COMPTOIR NATIONAL D'ESCOMPTE DE PARIS SociiW Anonynu- an CtipiUl de '200 millions entier•- ment versés. —5%, mu d'Antibca. Escompte. — Dépôts à vue. —Bons & ûcheanoo fixa. — Cheqncs. — Lettres de Crédit et Maniiits do voy»g«. — Chunge. —Avances sur titres. —Paiement do ooupona. — Ordres de bourse. — Dépota do titres. — Location d» coffres-fortn. — Garde de Colla. 8*82 CREDIT LYONNAIS 33. Roe tTAiitibe*. — Hitiiquc. - Changa. — Orfdil •fljfcJîiimiu t.jwh] pour h-i Btriuigera 8f & V\mU , l u, 8410 T HONS A K< :11KANGE de 3 mois à «mon 2 % defltnoiaàll m,ih iiL-linivi'incnt I \% de 1 un à 2 nn-< l % ARTICLES FUNÉRAIRES 18, Rue de Châteaudun, 18 T' A M T O I i\ ï Tj M A M charge de livrer de suite, sur demande, n'in REPETTO ET MOUGIN MÉCANICIENS AU RIOU Mit SANTE.FORCE,ENERGIE Le Ctrant : .T. BEJOT. Si.ci(Ht ; Anonym-e d'Imprimeries et Journaux du Littoral. Société au capital de :>5o.ooo francs, :>/j, rue Hoche, Cannes.