Vol. 22, no 1 Association des Directions d’Établissement scolaire Retraitées de Montréal Volume 22, numéro 1 Juin, Juillet, Août, Septembre 2014 5565, rue Sherbrooke, Est Montréal, QC H1N 1A2 Téléphone (514) 596-5156 Télécopieur (514) 596-5772 «Un pas de géant» Marthe Desautels
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Vol. 22, no 1
Association des Directions d’Établissement scolaire Retraitées de Montréal
Volume 22, numéro 1 Juin, Juillet, Août, Septembre 2014
5565, rue Sherbrooke, Est
Montréal, QC H1N 1A2
Téléphone (514) 596-5156
Télécopieur (514) 596-5772
«Un pas de géant»
Marthe Desautels
Vol. 22, no 1 2
NDLR Les opinions émises dans les articles
de L’ n’engagent que les auteurs et
non l’ADERM.
Autant que faire se peut, l’ADERM
n’intervient pas dans le style et la forme
employés par les auteurs.
SOMMAIRE
Messages du C.A. 2 Informations aux membres
-Nouveau C.A. Pense-bête 3 -Golf 4 Culture et Compagnie
-Croatie Art Déco 5 - Mille carré doré Déjeuner de la non- rentrée 6
-Vins rosés 7 -Déjeuner du printemps 8 Chroniques
-Anniversaires 9 -Saviez-vous que…? 10 -Assemblée générale septembre 11 -Rapport annuel 12,13 -Chronique 90 14 -Comité d’action sociale 15 -Soutien au milieu de vie 16 -Quatre petits riens 17 -Boire de l’eau 18 -Caisse de l’Éducation 19 -Club de marche et de lecture 20 - Exposition Fabergé 21 Pause-détente 22 Publicité 23-24
Veuillez noter que le terme masculin est
utilisé sans aucune discrimination, ceci
dans le but d'alléger le texte.
LES MESSAGES DU C.A.
Directrice Jocelyne Poulin
Infographiste Jocelyne Villemaire
Collaboration spéciale Francine Lachapelle
Photographe Roland Labine
Publicité Jocelyne Villemaire
Rédactrice en chef
Jocelyne Villemaire
Équipe de planification
Jocelyne Villemaire, Michèle Tellier, Gisèle
Émond, Lise Robitaille, Jocelyne Poulin, Carole
Bourdages et Ginette Meunier
Saisie des textes Jocelyne Villemaire
Révision des textes Lise Dubuc, Monique
Grignon et Gisèle Émond
Correction d’épreuves
Monique Grignon
Expédition Robert Duquette
U ne autre année commence à l'ADERM avec ce premier journal, la dernière
année pour moi comme présidente. Que le temps passe vite !
Je tiens à remercier toutes les personnes qui participent à nos activités. Un merci spécial et chaleureux aux membres qui nous ont encouragés à poursuivre
nos mandats en étant présents à l'assemblée générale de mai.
Vous trouverez dans ce journal le rapport de la présidente qui résume les actions
2013-2014.
Notre association est très vivante et active, grâce aux nombreux membres qui y
travaillent. Comment vous dire toute mon appréciation! Quelle équipe extraordi-
naire vous êtes!
C'est avec grande appréciation et tristesse que j'annonce le départ de madame Joce-
lyne Villemaire qui quitte le C.A. après huit ans d'engagement et de dévouement
pour notre association. Sa présence et sa compétence nous manqueront. Heureuse-
ment, Jocelyne demeurera la rédactrice en chef de notre journal. Nous l’assurons de toute notre collaboration dans l'excellent travail qu’elle fait pour notre journal. Un
grand coup de chapeau à toi!
Madame Claudette Major, notre vice-présidente, a pris la décision de quitter le C.A.
pour des obligations familiales. Nous avons grandement apprécié sa présence, sa
participation et son dévouement pour l'ADERM.
Nous espérons la rencontrer souvent dans nos activités.
Assemblée générale de septembre
L'assemblée générale de septembre se transforme en rendez-vous de la
rentrée. Les principaux objectifs de cette rencontre sont de vous informer des futures activi-
tés de l'association et de vous donner une place pour l'échange, les suggestions et la
prise en charge d'activités que vous pourriez nous proposer. Le nouveau dépliant de
l'ADERM, que vous retrouverez sur notre site, vous sera remis séance tenante et
sera notre outil de travail. Nous vous attendons nombreux à ce rendez-vous qui aura
lieu le 24 septembre. Voyez l'invitation dans le journal.
Le secrétariat de l'ADERM sera fermé du 23 juin au 22 août. En tout temps, vous
pouvez laisser un message sur le répondeur. Pour les urgences, vous pouvez me
contacter au 450-669-2124 ou par courriel à [email protected]. Pour les avis de
P artons à la découverte des immeubles Art Déco de notre belle ville de Montréal avec un spécialiste dans le domaine, M. Jean-
Yves Bourdages.
Cette activité est prévue pour l’automne.
Vous trouverez toutes les informa-
tions dès la rentrée dans le pro-
chain journal et sur le site Internet
de l’ADERM.
Édifice Aldred
Les représentants de l’Agence « Incursion » per-
mettront à nos 36 voyageurs de découvrir les tré-
sors de villes telles que Zagreb, Opatija, Raviji,
Pula, Sibenik, Split, Mostar, Dubrovnik et de
vivre allègrement des nouvelles expériences au
son de la musique folklorique tout en s’émerveil-
lant de la mer azurée.
Louise Godin
Culture et compagnie
Vol. 22, no 1 6
U ne quarantaine de personnes ont participé à la visite pédestre du Mille carré doré. Cette visite culturelle, guidée par
M. Michel Jutras, s’est déroulée dans une atmosphère très agréable.
Nous avons arpenté le secteur du Square Philips jusqu’au Musée des beaux-arts, là où se croisent des anciens édifices et des plus
récents.
C’est toujours très enrichissant de redécouvrir un des magnifiques coins de notre grande ville de Montréal. Une suite est à pré-
voir….
Culture et Compagnie
Francesca Gianesin
Visite du Mille carré doré
Bistro L’Enchanteur !
Date : le vendredi 5 septembre 2014
Heure : 9 h 30
Adresse : 7331, avenue Henri-Julien, coin de Castelnau à Montréal.
Il y aura un choix de trois menus différents et les prix varieront entre 10 $ et 16 $, plus taxes et service.
Le Bistro est situé près du parc Jarry et du marché Jean-Talon. Certains pourront donc en profiter pour faire une promenade ou
leurs courses dans le quartier après avoir partagé un bon déjeuner entre amis et collègues.
Au plaisir de vous y retrouver en grand nombre !
Petit déjeuner de la non-rentrée
Vol. 22, no 1 7
En page couverture
«Un pas de géant»
Acrylique de Marthe Desautels, membre du Plaisir de l’Art
Culture et Compagnie
Encore une fois QUELLE CONFÉRENCE SUR LES ROSÉS!!! Pour la troi-
sième fois, M. Jean Beaudin nous a encore surpris et épatés par ses connais-
sances et sa présentation.
La conférence a débuté par
une courte présentation d’une vidéo du concours du
meilleur sommelier du Qué-
bec, organisé sous la prési-
dence de M. Jean Beaudin.
En plus des tests théoriques,
géographiques et autres,
chaque concurrent devait faire une dégustation à l’aveugle de divers vins, une
présentation de service de sommelier à des clients (juges) et suggérer des vins en
accord avec le menu.
Puis vient la théorie sur la fabrication des rosés. Le tout fut agrémenté ou accom-
pagné de la dégustation de six rosés de régions différentes. Point nécessaire de
dire qu’après la deuxième dégustation, l’enthousiasme et le volume des questions
et des commentaires ont sensiblement augmenté! C’est donc dans une certaine euphorie que s’est terminée cette conférence par la dégustation d’une bouilla-
baisse aux fruits de mer avec un rosé de Provence : le Cape Bleue… Quel délice!
Même que plusieurs convives ont repris de la bouillabaisse et les bouteilles se
sont vidées dans la joie.
Les participants ont manifesté leur appréciation par des applaudissements nourris
et ont formulé encore une fois le désir ardent d’avoir une autre conférence, possi-
blement sur les spiritueux comme le whisky, le scotch, le brandy… Le comité
culture et compagnie verra possiblement à organiser une telle conférence.
Un grand MERCI des plus cha-
leureux et ressenti par tous les
participants à Monsieur Jean
Beaudin « notre super somme-
lier ».
Monique Grignon
LE PRINTEMPS EST ARRIVÉ AVEC LES VINS ROSÉS!!!
Vol. 22, no 1 8
Déjeuner du printemps
Récompense
Quelle belle réception
Entourée de directions
De moi, quelques-unes connues
D'autres parfaitement inconnues
Même retraitée depuis 20 ans
C'est un plaisir de vous retrouver tous les ans
Bravo Monique d'avoir de tous les instants
Contourner cet inconvénient
De réservation, avec tant de dévouement
Je serai à un prochain déjeuner
Que j'ai heureusement gagné
Merci et, de la vie il faut profiter
Elle nous appartient, sachez l'amadouer
Et en faire à tout jamais
VOTRE ALLIÉE
Ginette Gagnon ( Jannard )
Ginette Gagnon
Vol. 22, no 1 9
Anniversaires de juillet
Anniversaires d’août
Que cette journée soit formidable et que vos vœux les plus chers se réalisent!
Anniversaires de septembre
(2) Carole Bourdages, Constant Douville, Claudette Pion (3) Mona Leblanc, Pierre Bernier (4) Bernard Archambault, Jocelyne
Poulin (5) Thérèse Mathieu-Beauchemin, Francine Dubé (6) Monique Asselin-Gobeil, Jacques Labelle, Ghislaine Vincent (7)
nos vies. Tout est intime. » Vladimir Jankélévitch (1902-1985) Philosophe français
La monnaie canadienne
Malgré mes avertissements, le cousin avait apporté de l’argent
canadien au Mexique, la provision de pesos étant épuisée chez
les changeurs de Montréal. On le comprend avec le froid qui
règne. Ils fuient tous au sud. Dans la petite ville de La Penita qui
a une banque centrale, on a refusé de changer les dollars du cou-
sin en pesos. Comme nous, les Mexicains exècrent-ils la face de
la reine? On l’a référé à une banque secondaire. Il a subi le même affront malgré qu’il ait présenté son passeport canadien
comme on le fait avec les billets américains. Revenant du mar-
ché, le bouche à oreille des Québécois présents sur place nous
indique une petite boutique de rien du tout placardée d’un car-
ton comme on en trouve dans nos écoles, sur lequel est écrit
CAMBIO (change). Sur présentation de quatre billets affichant
la tête de Borden, le vieux Mexicain a fouillé dans une vieille
boîte à chaussures et remis 11 pesos par dollar au lieu de l2 et
plus au tarif officiel.
Comme quoi tout marché officiel aligne aussi son marché se-
condaire.
Les oiseaux Devant notre appartement, des oiseaux noirs venant de la mon-
tagne dès potron-minet, empruntent un corridor qui s’étire de la
montagne à la plage. Ils vont faire bombance de poissons quand
les pêcheurs tirent leurs filets sur le sable. Alors là, c’est une
course de vitesse entre l’homme et les volatiles. Le soir, à la
brunante, ils font le trajet en sens inverse, s’arrêtant dans un cocotier dont la silhouette se profile sur le ciel.
Ils se posent sur les branches pendantes et par petits groupes
retournent à la montagne. Parfois dans un groupe, il y en a un
qui file en direction du corridor habituel mais revient dare-dare
car le chef de la volée n’a pas encore donné le signal du départ.
À la nuit noire, les oiseaux sont tous repartis dans la forêt et le
cocotier et ses noix flottent doucement sous la caresse de la
lune.
Parfois, durant le jour, un oiseau furète autour de notre com-
plexe. Perché sur un des parasols, il s’oublie donnant ainsi du
travail au préposé à l’entretien. Un deuxième cherche un insecte sur le sol de la terrasse recouvert d’un tapis gazonné et n’en
retire qu’une fibre de plastique.
Ah ! La nature en prend pour son rhume.
À la pharmacie
J’entre dans une pharmacie acheter un médicament. Le profes-
sionnel cherche l’équivalent générique dans son ordinateur.
Merde! Le prix affiché est élevé. C’est vrai que le gouverne-
ment mexicain ne participe pas aux coûts. Ça m’apprendra à
apporter tout ce qu’il me faut. Je dois payer à la caisse. Le café
de la préposée traîne sur le comptoir. Évidemment, je l’accroche
avec ma main qui cherche une carte de crédit et le contenu de la
tasse se répand sur la surface. D’un coup de tête, la fille mur-
mure quelque chose comme « Ce n’est rien ». Elle enfonce ma
carte dans le réceptacle. Ça ne fonctionne pas. Le pharmacien vient à la rescousse, zigonne, taponne, bricole. Ça finit par se
tasser. La fille m’indique qu’il me faut écrire mon numéro. Je
« nippe » et l’argent sort comme la pâte dentifrice de son tube.
Elle veut que je signe le « papel ». Mais avec le NIP on ne signe
pas. Elle voit bien qu’il n’y a pas d’espace pour la
« firma » (signature). Elle renonce et me donne ma copie.
Évidemment, les autres clients attendent derrière moi sans rechi-
gner. Ces Latinos connaissent ici le peu d’importance du temps
qui passe.
Petit-fils à la plage
Guillaume nous accompagne au bord de mer. Il est beau, grand
et costaud. À l7 ans, j’étais plutôt gringalet : 6 pieds, 140 livres.
Mon petit-fils s’élance dans la mer, ne se demande pas si l’eau
est à la bonne température, il fend la vague. Il veut peut-être
nous impressionner. Et ça réussit. Il mange comme trois. Il est en train de défoncer le budget de sa
mère, ma fille, même si au Mexique le restaurant ne coûte pas
cher. Sa mère l’empêche parfois de commander le plat le plus
dispendieux. Guillaume aime tous les mets, le chanceux. Il vient
de finir son secondaire au Collège français après son primaire au
privé. « Un gosse de riche », dit mon aînée, la seule fille de
cette strate de la famille. Mon frère a trois gars, ma sœur, un et
moi, trois. Guillaume veut suivre un cours de cuisine. La cuisine
est un sujet de conversation familial. Tous savent faire à man-
ger, même les hommes. Mon benjamin, maîtrise en diététique,
enseigne la nutrition à l’Université de Montréal. Le modèle de Guillaume c’est Giovanni Apollo. Ce dernier a paru impression-
né d’autographier son livre pour un gars de 17 ans. Guillaume
ne reste que deux courtes journées avec nous. Il nous étreint
encore à son âge, moi, son grand-père et ma femme, sa « ma-
mieco ». Il couvre sa mère de baisers tellement que parfois, gê-
née, elle l’écarte. Il s’ennuie d’elle. Il a choisi de vivre chez son
père parce qu’il n’a pas de belle-mère. Mais là, sa mère l’em-
mène en vacances.
Mon petit-fils, c’est ma fierté, ma descendance. Je n’ai pas con-
nu mes grands-parents, je compense avec mon petit-fils. Depuis
sa naissance, j’ai ouvert à son nom un régime d’épargne-études.
Ce sera son héritage.
Vol. 22, no 1 18
Françoise Coulombe
À l'approche de la saison estivale, il semble bon d'évaluer nos habitudes de boire de l'eau. Car de tous les éléments nutritifs,
l'eau est sans contredit le plus essentiel à la vie. Alors que nous pouvons survivre plusieurs semaines sans nourriture, notre
organisme ne peut vivre que quelques jours sans eau. L'eau représente entre 50 et 60% du poids d'un adulte en santé et environ de 45 à 50% de celui d'une personne âgée. Cette eau
constitue un élément indispensable à l'ensemble des processus vitaux de notre organisme. En effet, l'eau maintient le volume de
sang et de la lymphe. Elle fournit la salive permettant d'avaler les aliments. Elle sert de lubrifiant pour les articulations et elle joue
un rôle d'amortisseur dans l'œil et dans la moelle épinière. Elle contribue au maintien de la température corporelle en distribuant la
chaleur dans l'organisme et en favorisant sa dissipation par la transpiration. Elle favorise les réactions chimiques dans les cellules,
permet l'absorption et le transport des nutriments ingérés et contribue à l'élimination des déchets de la digestion et des divers pro-
cessus métaboliques. Elle assure aussi l'hydratation de la peau et permet l'activité neurologique du cerveau.
On entend souvent dire qu'il faut boire 1,5 litre à 2 litres d'eau par jour (ce volume inclut l'eau prise sous forme de boissons,
comme le thé, les infusions, le café). Il s'agit bien sûr d'une recommandation moyenne que l'on dépasse facilement lorsqu'il fait très
chaud ou quand on se dépense physiquement. Les personnes qui consomment peu de fruits et de légumes devraient en consommer
2 litres. Quant à celles qui font de l'exercice intensif, il leur est recommandé de prendre un litre supplémentaire par heure d'exer-cice. En été, on oublie plus rarement de boire, parce que l'on éprouve la soif. Mais en toute saison, il s'avère important de ne pas
descendre en dessous de 1 litre de boisson par jour. Cette recommandation concerne particulièrement les personnes âgées qui res-
sentent moins la sensation de soif.
Mais il ne faut pas attendre d'avoir soif pour boire. Ce constat est valable à tout âge et d'autant plus important chez les seniors qui
expérimentent deux phénomènes avec le vieillissement: d'une part, une diminution de l'appétit, ce qui cause une carence en miné-
raux et une perte des apports en eau par l'alimentation (soit pour les fruits et légumes qui peuvent contenir de 70 à 95 % d'eau; pour
les viandes, volailles, poissons et œufs dont l'eau représente 50% de leur poids; pour les légumineuses et pâtes qui renferment
moins de 15% d'eau) et d'autre part, une forte diminution de la sensation de soif ce qui n'incite pas à boire de l'eau autant qu'il le
faudrait. La conséquence majeure de ces deux diminutions, c'est la déshydratation. Pour y remédier, il est suggéré de garder tou-
jours une bouteille d'eau à portée de main et de boire en petites quantités tout au long de la journée. Autrement, la constipation, les
infections urinaires, les calculs rénaux et d'autres troubles digestifs surviendront comme premiers dysfonctionnements de l'orga-nisme.
Il est toujours possible de boire l'eau du robinet, si l'on en a envie. Car cette eau demeure parfaitement salubre et propre à la con-
sommation. Sa qualité sanitaire se trouve régulièrement vérifiée par des contrôles rigoureux. Mais si elle sent le chlore (c'est le
reproche qu'on lui fait le plus fréquemment), il existe un premier moyen d'améliorer cette situation, soit en la servant bien fraîche
après l'avoir mise dans une carafe au réfrigérateur. Le goût de chlore s'atténue ainsi assez rapidement. De plus, il demeure toujours
possible d'aromatiser l'eau avec quelques feuilles de menthe ou un peu de jus de citron ou d'un autre fruit.
Des personnes pourront préférer l'eau en bouteille, trouvant son goût plus agréable. Dans ce cas, il est recommandé de bien véri-
fier que cette eau soit faiblement minéralisée et dépourvue de nitrates (à vérifier sur l'étiquette). Certaines eaux minérales permet-
tent de répondre à des besoins nutritionnels particuliers (par exemple, renforcer des apports en magnésium, en fluor, en calcium...).
D'autres, comme les eaux bicarbonatées sodées, peuvent faciliter la digestion, mais il faut tenir compte de leur apport important en
sodium.
En tout temps, il importe de boire de l'eau en quantité suffisante. À chacun et chacune de choisir la formule qui répond le mieux à ses besoins, pour un BON ÉTÉ en meilleure santé!