REVUE DE PRESSE Janvier 2015

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ANPR - Agence Nationale de la Promotion de la Recherche Scientifique 6 Rue Ibn El Jazzar, 3

ème étage 1002 Lafayette Tunis

Tél : +216 71 841 565 Fax : +216 71 842613 e mail : [email protected] site internet : www.pasri.tn

REVUE DE PRESSE Janvier 2015

Revue de presse du mois de Janvier 2015

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SOMMAIRE

INNOVATION La lumière s'imprime désormais sur le papier P4

L'Orange Cloud pour une mobilité plus grande des données P6

La pêche aux nuages: renverser la vapeur P9

SAMSUNG Tunisie: la 1 ère salle de classe autonome grâce à l'énergie solaire P11

INDUSTRIE ET RECHERCHE Réalisation d'une douzaine de projets innovants prochainement à Tataouine P13

Ampion Venture pour booster l'entreprenariat en Tunisie P14

Textile- habillement: TFCE et Maille Club tissent leur toile P18

Le CJD lance sa stratégie sur l'entreprise et la formation P20

Vers une installation de GDF Suez dans nos murs P21

WES lance sa stratégie sur l'entreprise et la formation P22

Conventions de partenariat entre CCI Tunis et 4 organismes d'appui P24

Kamel Ben Naceur promet l'éradication de la pollution de l'air à Gabés en 2016 P26

Tunisie: Hausse du déficit commercial du secteur industriel P27

Banque Mondiale: Les start ups sont des véritables moteurs de l'emploi P28

Les habitants de Kerkennah arrêtent la production de Petrofac P30

Qui a droit à quoi: L'accord de la propriété intellectuelle pour la réussite du partenariat MOBIDOC

P31

TIC-Etude d'Ipemed, le maghreb dispose d'atouts innombrables P32

Textile: la lingerie tunisienne au Salon "interfilière" à Paris P34

Vers la création de 34 nouvelles zones industrielle dans les régions P36

Siphat: Baisse de 7,63 % du chiffre d'affaires en 2014 P37

20 entreprises sont entrées en activité à Ben Arous en 20014 P38

FINANCEMENT Nejib Belhabib se lance dans le crowdfunding P39

La BFPME a approuvé plus de 1500 projets en 2014 P40

La Tunisie et l'Union Européenne en 2014 P41

Micro-finance: l'ONG Luxembourgeoise ADA prend pied en Tunisie P43

COOPERATION / INTERNATIONAL Un don allemand de prés de 100 millions d'euros à la Tunisie P44

Sousse: Avionav signe un contrat avec l'avionneur italien Next Aircraft P45

Des opportunités en Tunisie pour les investisseurs allemands P46

Table rond tuniso-allemande dans l'industrielle P47

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EVENEMENTS

Le 1er salon Start up expo du 18 au 20 Février 2015 à Tunis P48

Les 7ème Journées de l'éco construction:" le bâtiment de demain: écologique et

innovant."

P49

Sousse abrite le 24 Février le premier salon de l'emploi. P51

Petro- Ener'2015: Salon international de l'énergie renouvelable et des services pétroliers. P52

Big Data Forum- Tunis 2015 P53

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LA LUMIERE S'IMPRIME DESORMAIS SUR LE PAPIER

Source: Magazine up Date: 06 Janvier 2015

Nous y sommes : la lumière n'est plus un transport d'énergie sans transport de matière.

Désormais, ce ne sont plus des longueurs d'onde dans le vide mais de la matière lumineuse

! Du papier lumineux, créé par une société américaine, à partir de diodes et d'encre, le

Lightpaper. Il est désormais possible d’imprimer de la lumière sur une feuille de papier...

La société Rohinni, aux USA dans l'Idaho, a créé un prototype de papier lumineux à partir

d'une source de lumière aussi fine et flexible qu'une feuille. La technologie utilisée est celle

des Diodes ÉlectroLuminescentes - DEL - mélangées à de l'encre, et "imprimées" sur un

support. Ce dernier est lui-même inséré entre deux couches protectrices, qui sont ensuite

scellées. Les différentes couches sont conductrices, afin d'assurer une alimentation

électrique.

Imprimer de la lumière et l’appliquer à n’importe quelle surface est une innovation majeure

dans le domaine de l'impression. Le principe est "d'imprimer" une lumière en mélangeant de

l'encre et des micro-LEDs (bien plus fines que celles issue de latechnologie OLED) sur un

calque conducteur et de sceller le tout entre deux autres calques : une technologie qui

repose sur la miniaturisation, comme pour les écrans TV extra plats, puisque la taille des

diodes utilisées sont de 8 micromètres, soit la taille d'un globule rouge !

INNOVATION SES NOTAMMENT DANS LA FABRICATION DU COUSCOUS «FAIT MAISON». CES PETITES ENTREPRISES QUI TRAVAILLENT HORS DE TOUTE REGLEMENTATION S'ADRESSENT SURTOUT AUX CLIENTS QUI PREFERENT ACHETER UN PRODUIT FABRIQUE AVEC DES MOYENS TRADITIONNELS. LA SALUBRITE ET LA PROPRETE DE CES ATELIERS SONT MISES EN DOUTE PAR LES INDUSTRIELS QUI INVITENT LES CONSOMMATEURS A OPTER POUR LES PRODUITS VENDUS PAR L'INDUSTRIE DANS LES GRANDES SURFACES. LA CONCURRENCE ENTRE LES DIFFERENTES ENTREPRISES QUI PROPOSENT DES MARQUES DIFFERENTES, LES ATELIERS FAMILIAUX ET LES ENTREPRISES ETRANGERES QUI VANTENT DES PRODUITS SIMILAIRES EST DONC DE PLUS EN PLUS RUDE, D'OU L'APPEL LANCE POUR ORGANISER LE SECTEUR EN FAVORISANT L'ENTREPRISE TUNISIENNE. C'EST LE SEUL MOYEN POUR PRESERVER LES POSTES D'EMPLOI ET PERMETTRE A L'ENTREPRISE DE SE MODERNISER ET D'AMELIORER CONSTAMMENT SES PRODUITS. C'EST QUE NOMBRE D'ENTREPRISES N'ONT PAS PU CONCRETISER, AUJOURD'HUI, LEUR PLAN DE DEVELOPPER ET DE REALISER LEURS PROJETS, FAUTE DE MOYENS.

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De nombreux types de supports et formes sont compatibles avec la technologie, ils doivent

toutefois être conducteurs pour permettre au courant d’atteindre les LEDs fixés sur le

support. Une fois le courant établi sur la surface conductrice, les LEDs réparties sur le

support s’éclairent. Il reste encore à régler le problème de répartition équitable des diodes

sur la feuille de papier et le défi pour les mois à venir est d'obtenir le placement spécifique

des diodes pour produire uniformément la même intensité de lumière. Autre piste de

recherche : créer plusieurs circuits au sein d'une même feuille, afin d'afficher des motifs ou

faire clignoter certaines parties lumineuses. Une deuxième version de Lightpaper est donc

en cours courant 2015.

De nombreuses applications

La simplicité de la technologie permet d’envisager de vastes applications industrielles dans

l’industrie automobile, la fabrication d’écrans de smartphones ou d’autres appareils. Les

maisons pourront s’équiper de murs, de mobiliers ou encore de revêtements textiles. De

même, l'industrie textile pourra équiper ses créations de vêtements connectés, notamment

dans le secteur de la santé.

Nick Smoot, responsable marketing de l'entreprise Rohinni, pense orienter les applications,

dans un premier temps, vers de petites surfaces, pour lesquelles l'éclairage reste assez

diffus, comme des téléphones portables ou des signaux à l'intérieur des automobiles. Les

premiers essais industriels devraient débuter en 2015, et une démocratisation, à l'aide des

imprimantes 3D, devra suivre dans la foulée.

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L'ORANGE CLOUD POUR UNE MOBILITE PLUS GRANDE DES DONNEES

Source: Kapitalis Date: 14 Janvier 2015 Avec le service Orange Cloud, Orange Tunisie offre au client un espace personnel gratuit de stockage et de partage de ses données sur tous ses écrans. Par Zohra Abid

Orange Tunisie crée l'évènement avec le lancement, en avant-première, à partir de ce mercredi 14 janvier 2014, d'Orange Cloud, un nouveau service simple, pratique et pour tout public.

Vous êtes à la recherche de solutions simples et performantes, qui vous permettent de consulter, partager et sauvegarder vos données entre un téléphone mobile, une tablette et un ordinateur, Orange y a pensé. Et c'est son petit plus pour démarrer la nouvelle année. Car il s'agit d'une première tunisienne.

Une utilisation simple et accessible à tous publics.

Innovation pour tous «C'est le travail de toute une année. Nous étions plusieurs de différentes spécialités à travailler pour trouver finalement cette solution qui, à mon avis, va intéresser et accrocher

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nos clients», a indiqué à Kapitalis, Sarah Bouchrara, responsable à Orange Tunisie, en marge d'une conférence de presse, mardi 13 janvier 2014, au siège de l'opérateur privé au Centre Urbain Nord de Tunis, en présence de Didier Charvet, directeur général, Asma Ennaïfar, directrice des relations extérieures,du mécénat et de la Rse, et Zied Tira, directeur du système informatique. «Ce nouveau service intéressera tout le monde. Il est destiné à tous les clients Orange. C'est l'innovation pour tous», a lancé Didier Charvet.

De gauche à droite: Hatem Masmoudi, Didier Charvet, Zied Tira et Asma Ennaifar.

Du 3G au Orange Cloud Hatem Masmoudi, directeur marketing et communication, a rappelé, de son côté qu'Orange a apporté, il y a 5 ans, le 3G en Tunisie et facilité la vie de ses clients. «Aujourd'hui, dans sa logique d'innovation continue, l'opérateur met en vente l'Orange Cloud. Avec ce nouveau service, le client retrouve, consulte, partage et sauvegarde, partout où il se trouve, ses photos, vidéos, contacts, fichiers et tout autre document personnel, depuis un smartphone (iPhone, Androïd) ou une tablette (iPad, Androïd), et ce grâce à l'application Orange Cloud», a précisé M. Masmoudi. Pour le lancement d'Orange Cloud, l'opérateur offre gratuitement à ses clients un espace de stockage pour utiliser le service quelle que soit son offre, soit à partir d'une ligne post payée ou hybride, clé Orange 3G, Flybox et ADSL (5Go gratuits inclus dans le forfait), ou ligne prépayée, mobile ou clé 3G (2Go gratuit pendant 6 mois ensuite à 1 dinar le mois), a expliqué, de son côté, Sami Boughaba. Et d'enchaîner :«Orange, leader de la 3G en Tunisie, offre aussi gratuitement la synchronisation en 3G pour les abonnés du service Orange Cloud».

Didier Charvet.

Le plus de l'année M. Masmoudi a indiqué que les clients pourront maîtriser facilement Orange Cloud. Et pour cause. «Il y a une assistance dans les boutiques Orange. 1150 personnes ont été formées

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pour expliquer aux clients ce nouveau service convergent vers toutes les solutions et accessible à tous les abonnés. Pour être Orange Cloud, il faut tout simplement s'inscrire sur le site dédié www.orange.tn/moncompte», a expliqué M. Masmoudi. Y-a-t-il une offre spécifique Orange Cloud pour les professionnels? Réponse de M. Boughaba: «Orange a tout un programme. Ce 1er lancement est pour le grand public, mais il y aura une autre version de Cloud Pro qui sera prochainement lancée».

Asma Ennaifar.

Sarah Bouchrara en dit un peu plus mais ne dévoile pas tout. «Le nom exact du prochain produit sera annoncé ultérieurement. Nous sommes en train de travailler dessus et il intéressera les professionnels des petites entreprises», a-t-elle dit.

Et ce ne sera pas tout. L'équipe Orange Tunisie est en train de travailler sur un autre projet pour que le stockage des données de ses clients se fasse désormais dans un Data Center en Tunisie. Une mise en bouche avant de dévoiler d'autres services dont le lancement est prévu cette année et qui cibleront les diverses catégories de clients.

sés notamment dans la fabrication du

couscous «fait maison». Ces petites

entreprises qui travaillent hors de toute

réglementation s'adressent surtout aux

clients qui préfèrent acheter un produit

fabriqué avec des moyens traditionnels.

La salubrité et la propreté de ces ateliers

sont mises en doute par les industriels

qui invitent les consommateurs à opter

pour les produits vendus par l'industrie

dans les grandes surfaces.

La concurrence entre les différentes

entreprises qui proposent des marques

différentes, les ateliers familiaux et les

entreprises étrangères qui vantent des

produits similaires est donc de plus en

plus rude, d'où l'appel lancé pour orga-

niser le secteur en favorisant l'entreprise

tunisienne. C'est le seul moyen pour

préserver les postes d'emploi et per-

mettre à l'entreprise de se moderniser et

d'améliorer constamment ses produits.

C'est que nombre d'entreprises n'ont pas

pu concrétiser, aujourd'hui, leur plan de

développer et de réaliser leurs projets,

faute de moyens.

sés notamment dans la fabrication du

couscous «fait maison». Ces petites

entreprises qui travaillent hors de toute

réglementation s'adressent surtout aux

clients qui préfèrent acheter un produit

fabriqué avec des moyens traditionnels.

La salubrité et la propreté de ces ateliers

sont mises en doute par les industriels

qui invitent les consommateurs à opter

pour les produits vendus par l'industrie

dans les grandes surfaces.

La concurrence entre les différentes

entreprises qui proposent des marques

différentes, les ateliers familiaux et les

entreprises étrangères qui vantent des

produits similaires est donc de plus en

plus rude, d'où l'appel lancé pour orga-

niser le secteur en favorisant l'entreprise

tunisienne. C'est le seul moyen pour

préserver les postes d'emploi et per-

mettre à l'entreprise de se moderniser et

d'améliorer constamment ses produits.

C'est que nombre d'entreprises n'ont pas

pu concrétiser, aujourd'hui, leur plan de

développer et de réaliser leurs projets,

faute de moyens.

sés notamment dans la fabrication du

couscous «fait maison». Ces petites

entreprises qui travaillent hors de toute

réglementation s'adressent surtout aux

clients qui préfèrent acheter un produit

fabriqué avec des moyens traditionnels.

La salubrité et la propreté de ces ateliers

sont mises en doute par les industriels

qui invitent les consommateurs à opter

pour les produits vendus par l'industrie

dans les grandes surfaces.

La concurrence entre les différentes

entreprises qui proposent des marques

différentes, les ateliers familiaux et les

entreprises étrangères qui vantent des

produits similaires est donc de plus en

plus rude, d'où l'appel lancé pour orga-

niser le secteur en favorisant l'entreprise

tunisienne. C'est le seul moyen pour

préserver les postes d'emploi et per-

mettre à l'entreprise de se moderniser et

d'améliorer constamment ses produits.

C'est que nombre d'entreprises n'ont pas

pu concrétiser, aujourd'hui, leur plan de

développer et de réaliser leurs projets,

faute de moyens.

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LA PECHE AUX NUAGES : RENVERSER LA VAPEUR !

Source: Up Magazine Date: 19 Janvier 2015

Un chercheur russe, Andreï Kazantsev, a trouvé comment récolter l'eau des nuages au

moyen d'un immense filet suspendu à un dirigeable à deux kilomètres d'altitude, pour

exploiter l’eau contenue dans les nuages et produire de l’eau potable et de l’électricité.

Ce dispositif, nommé "Air Hes", repose sur un immense filet suspendu à un dirigeable à plus

de deux kilomètres d’altitude et à travers lequel l’humidité contenue dans les nuages

s’accumule et se condense pour ensuite être ramenée à terre. Transitant par un long tuyau,

l’eau récoltée arrive dans une mini centrale hydroélectrique avant d’être stockée en

bassin. Un filet de 10 mètres carrés permettrait ainsi d’atteindre une puissance électrique de

200 watts et de produire près de 1000 litres d’eau par jour. Après une chute de 2 000

mètres, l'eau transite dans une minicentrale hydroélectrique avant d'être récupérée dans un

bassin. D'après son inventeur, c'est le procédé le plus écologiste pour produire de

l'électricité et de l'eau potable.

Les concepteurs affirment qu’un premier prototype produit déjà environ 4 litres d’eau par

heure par mètre carré de tissu au niveau du filet. Le modèle final que l’équipe projette de

construire serait un ballon d’un diamètre de 18 m avec un filet de 1000 mètres carrés, qui

pourrait produire jusqu’à 185 kW d’électricité.

Déjà, Pierre Amato, microbiologiste de l'environnement à l'ICCF (Institut de Chimie de

Clermont-Ferrand) installait en 2013 sur le sommet du Puy-de-Dôme un aspirateur à nuages

permettant de récupérer les microorganismes vivants dans les nuages et de les analyser en

laboratoire pour comprendre leurs rôles dans la composition chimique de l'atmosphère.

Utopie ou piste sérieuse d'énergie renouvelable ?

La nature met librement à notre disposition une grande variété de ressources pour produire

de l’énergie. Pour les exploiter, il suffit de convertir la lumière du soleil, le vent, la biomasse

ou l’eau en électricité, en chaleur ou en énergie, de la manière la plus efficace, durable et

rentable possible.

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En moyenne, l’énergie des rayons solaires qui atteignent la Terre est d’environ un kilowatt

par mètre carré. D’après l’Association pour la recherche sur l’énergie solaire, la puissance

phénoménale dégagée par les sources renouvelables représente plus de 2 850 fois les

besoins en énergie de la planète.

Exemple : en un seul jour, les rayons solaires qui frappent la Terre génèrent assez d’énergie

pour satisfaire le niveau de demande actuel pendant huit ans. Bien que seul un infime

pourcentage de ce potentiel soit techniquement accessible, son exploitation permettrait de

couvrir six fois la demande énergétique mondiale actuelle.

Les énergies renouvelables n’induisent aucun frais de combustible : le vent, le soleil et la

pluie sont gratuits ! Alors pourquoi pas ? Le hic reste l'’intermittence de la production liés

aux conditions météorologiques qu’on retrouve pour les énergies solaires ou

éoliennes... Comment résoudre le problème majeur de l'instabilité de cette production ?

De nombreux projets se développent à travers le monde pour exploiter l'énergie des nuages,

comme ce projet de technologie éolienne géant, le BAT (Buoyant Airborne Turbine) : un

ballon géant gonflé d'hélium équipé d'une turbine, développé par Altereos Energies, une

société fondée en 2010 par le Massachussets Institute of Technology (MIT). Le BAT est

actuellement déployé au-dessus d'Alaska, à une altitude jusque-là inédite de 300 mètres.

Conçu pour s'adapter à un environnement très rude, il peut résister à des vents allant

jusqu'à 160km/h. Il est arrimé au sol par trois câbles qui lui permettent de s'orienter

automatiquement pour faire face au vent.

A terme, le potentiel de cette technologie semble infini, puisqu'il suffirait à l'Humanité

d'exploiter 1% de l'énergie dégagée par les vents de haute altitude pour satisfaire 100% de

ses besoins actuels. Mais avant de rêver à un monde qui tirerait son énergie des nuages,...

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SAMSUNG TUNISIE: LA 1ERE SALLE DE CLASSE

AUTONOME GRACE A L’ENERGIE SOLAIRE

Source: Kapitalis Date: 28 Janvier 2015 Le géant de l’électronique vient d’inaugurer la Samsung Solar Powered Internet Classroom à l’école primaire Hay El-Waha de Bizerte.

Ce projet , inscrit au programme international «Samsung Hope for Children», est le fruit d’une collaboration étroite avec le ministère de l’Education et l’association «L’enfant D’abord». Il a abouti à la mise en place de la première salle de classe préfabriquée, aménagée et totalement équipée en high tech, fonctionnant à l’énergie solaire, qu’il est possible d’installer dans différents lieux afin d’appuyer des écoles délaissées et à soutenir les régions incapables d’accueillir la totalité de la demande locale.

Le ministre de l'Education Fathi Jarray inaugure, à Bizerte, la 1ère

Samsung Solar Internet Powered Classroom, en Tunisie.

Lueur d’espoir pour un avenir meilleur «En pilotant avec conviction le projet des Solar Powered Internet Classroom dans le cadre du programme menée en Afrique du Sud, au Kenya au Nigeria et, aujourd’hui, à notre grand bonheur, en Tunisie, Samsung œuvre chaque jour pour relever un défi commun auquel sont confrontées plusieurs communautés rurales africaines», a déclaré, à cette occasion, Ho. Lim,

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directeur général de Samsung Tunisie.

Le projet Samsung Solar Internet Powered Classroom offre un environnement d’apprentissage riche en technologie de plus de 12.000 salles de classes dans plus de 5 pays.

La première Samsung Solar Internet Powered Classroom à l'école Hay El-Waha à Bizerte.

Avec ce programme, le géant sud-coréen aspire à toucher 2,5 millions d’élèves sur le continent africain dans les 5 années à venir. Une manière pour Samsung de mettre à disposition sa technologie pour aider à améliorer les chances des enfants d’accéder à une éducation adéquate.

La technologie au service de ‘‘L’enfant D’abord’’

C’est face au travail acharné que mène l’association «L’enfant D’abord» pour l’amélioration des conditions de l’enseignement des enfants tunisiens, soutenu par le ministère de l’Education, que le projet Solar Powered Internet Classroom a vu le jour en Tunisie.

La première salle de classe préfabriquée, aménagée et totalement équipée en high tech, fonctionnant à l’énergie solaire.

Face au besoin exprimé par ces acteurs dévoués pour une telle infrastructure, Samsung Tunisie s’est empressé d’appuyer les nombreuses personnes employées et bénévoles pour concrétiser leurs ambitions et faire la différence dans le paysage, à travers de la réalisation de ce projet.

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INDUSTRIE ET RECHERCHE

REALISATION D'UNE DOUZAINE DE PROJETS

INNOVANTS PROCHAINEMENT A TATAOUINE

Source: Webmanagercenter

Date: 02 Janvier 2015

La direction régionale de l'Office de développement du sud (ODS) a reçu plus de 780

candidatures au projet de "création d'emploi et de l'entrepreneuriat" à Tataouine, parmi

lesquelles 12 candidats recevront une enveloppe de 25.000 dinars pour la création de

projets innovants avant fin février prochain.

Les bénéficiaires du projet seront sélectionnés parmi un premier groupe de 45 candidats qui

suivront une formation d'une semaine.

Cette initiative a été lancée par le PNUD (Programme des Nations unies pour le

développement) en coordination avec l'ODS fin 2014 dans les gouvernorats de Tataouine et

de Médenine.

Elle vise les diplômés de l'enseignement supérieur et de la formation professionnelle dans

les secteurs de l'industrie et de l'agriculture qui sont au chômage, a expliqué, à l'agence TAP,

Saad Essabah, cadre à la direction régionale de l'Office de développement du sud.

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AMPION VENTURE BUS POUR BOOSTER L'ENTREPRENARIAT EN TUNISIE

Source: Kapitalis Date: 09 Janvier 2015 L'Ong allemande Ampion a organisé récemment un évènement visant à booster l'entreprenariat en Tunisie et y révéler des startups innovantes. Par Yousr Dridi*

L'évènement Ampion Venture Bus Tunisie est une compétition unique dans son genre. Elle s'est déroulée pour la première fois en Tunisie du 14 au 19 décembre 2014 et regroupé, dans un bus, des participants tunisiens et d'autres, venus de tous les coins du monde (Etats Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Pays-Bas, Libye, Algérie, Maroc, Palestine...).

Les participantes ont bénéficié de l'aide précieuse des coachs venus spécialement pour encadrer les équipes et les accompagner, durant toute l'aventure, avec leurs expertises pluridisciplinaires et leurs riches expériences dans le secteur entrepreneurial.

L'aventure a commencé à Cogite, un espace de travail moderne et chaleureux situé au Berges du Lac de Tunis, où tous les participants ont fait connaissance dans une atmosphère conviviale, alliant les activités collectives de Team-Building, les formations bien ciblées et les interventions enrichissantes, notamment celles de Jazem Halioui, entrepreneur et cofondateur d'OpenGOV, et de Leila Charfi, connue pour son engagement dans la société civile et actuellement représentante de Yunus Social Business.

Au cours de cette première phase, il y a eu également l'annonce de la compétition organisée par Esprit, Samsung fast-track, avec la prolongation des délais d'admission des idées de projets accordées spécialement aux participants de Ampion. Le lendemain le bus a quitté la capitale pour un voyage jusqu'au cœur du désert tunisien. Le trajet a duré, en tout, 5 jours, durant lesquelles le Venture bus s'est arrêté à Kairouan, Gafsa, Tozeur, Douz, Sfax, Hammamet, avant de retourner à la capitale pour l'ultime finale.

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Les 40 participants se sont partagés en 7 équipes, formées pour travailler chacune sur une idée commune préalablement choisie et validée par le groupe. Une fois les groupes constitués, le coup d'envoi a été donné. La compétition a démarré dans un esprit de saine émulation. Les équipes ont travaillé jour et nuit pour développer leurs idées, les valider par des études pertinentes et faire en sorte de multiplier leurs chances de donner naissance à la startup gagnante.

3e jour de l'aventure le bus quitte Gafsa pour se diriger vers Tozeur (Matthias Lenssen).

Les défis à relever augmentaient de jour en jour dans une course contre la montre et des cadres de travail inédits pour les uns et les autres. Les participants ont ainsi travaillé au cœur du désert, au milieu des dunes, où ils ont passé la nuit dans un campement.

Dans les trajets qu'il a effectués, le bus s'est arrêté dans plusieurs universités et établissements d'enseignement, notamment l'Institut supérieur d'informatique et de gestion de Kairouan, l'Institut supérieur des études technologiques de Tozeur, l'Ecole nationale d'ingénieurs de Sfax, où les organisateurs ont présenté la compétition, tissé des liens avec des étudiants, des professeurs et des entrepreneurs de la région.

L'Agence de promotion de l'industrie et les pépinières d'entreprises a été fortement présentes à travers ses représentants locaux ce qui a permis de réaliser une collaboration étroite et des partenariats gagnant-gagnant.

Au bout des 5 journées riches en travail, partage et apprentissage, les équipes ont présenté leurs projets à Esprit, en présence d'un jury d'experts formé par Youssef Bechaouch (responsable RSE Orange), Douja Ben Mahmoud Gharbi (1ère vice-présidente Conect ), Khaled Ben Jennet (Senior Manager AfricInvest), Maher Kallel (président de Carthage Business Angels), Alya Bettaieb (directeur exécutif chez Esprit Factory), Hamdi Ksiaa (directeur de la BFPME), Mohamed Khemiri (banquier QNB et homme d'affaires), Bertrand Effantin (directeur Tunisie à Mercy Corps) et Leila Charfi (directrice chez Yunus Social Business).

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Campement au cœur du désert les équipes présentent l'avancement de leur projet face au Jury formé par les coachs (Ph. Matthias Lenssen).

Nous publions ci-dessous la liste des startups nées grâce à l'initiative d'Ampion Venture Bus Tunisie :

TrashCash (1ère place) Secteur : recyclage; Description : c'est un projet mettant en place des poubelles intelligente dans des espaces publics, notamment les stations de train, universités, etc., pour collecter les canettes en contrepartie d'un crédit téléphonique. Equipe : Asma Ayed (Tunisie), Hamza Barkaoui (Tunisie), Omar Trabelsi (Tunisie) XTails (2e place) : Secteur : tourisme ; Description : C'est une application mobile dédiée aux amateurs de voyages leur permettant de bénéficier d'un service personnalisé en ce qui concerne les lieux à visiter, et ce en se basant sur leurs préférences, budget et temps alloué. Equipe : Firas Aloui (Tunisie), Henning Jakob (Allemagne), Alaa Daoudi (USA), Musaab Ahmed (Libye), Kais Segni (Tunisie). Citizen+ (3ème place) Secteur : Open Government; Description : C'est une plateforme participative facilitant la communication entre les citoyens et les municipalités ainsi qu'entre les citoyens eux-mêmes. La plateforme permet aux citoyens de mettre en exergue les problèmes locaux et de les transmettre aux municipalités. Equipe : Kathrin Treutinger (Allemagne), Ines Cheniour (tunisie), Nesrine Souissi (Tunisie). Infinity Funds Secteur : services financiers; Description : c'est une plateforme de financement et support communautaire, qui permet aux projets de collecter des fonds et faciliter la donation non-monétaire des bénévoles. Equipe : Ala Oueslati (tunisie), Sana Ksouri (Tunisie), Mohamed Chahbi (Tunisie), Kais Chaoullah (tunisie). Yelaah : Secteur : Social Entrepreunership. Description : C'est une plateforme permettant de connecter les investisseurs aux différents porteurs d'idées talentueux et passionnés. Les startups et les jeunes entrepreneurs présentent leurs projets qui se situent dans le cadre de secteurs préalablement financés.

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Equipe : Yousr Dridi (Tunisie), Martin Bremner (Royaume-Uni), Mevish Aslam (Royaume-Unis). EM-Detect : Secteur : santé ; Description : C'est un outil médical intelligent facilitant la communication entre les enfants autistes et leurs parents, et ce en analysant le champ électromagnétique émis par le corps humain et en le traduisant en des critères prédéfinis de l'état de santé. Equipe : Houssam Eddine Kassah Laouar (Algérie), Cheyma Ksouma (Tunsie). GeoTbibi : Secteur : santé ; Description : c'est une plateforme web et mobile connectant des patients au médecin le plus proche et le plus compétent, leur permettant également d'arranger des rendez-vous en ligne de façon rapide et facile. Equipe : Mohamed Bouabdelli (Algérie), Hamza Ben Bouzid (Tunisie), Mohamed Bouya Maalainine (Maroc), Ikram Ennajeh (Tunisie).

Certes, l'aventure d'Ampion Venture bus s'est achevée mais le voyage vers l'entreprenariat et le succès ne fait que commencer. Plusieurs startups ont déjà été contactées par des investisseurs.

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TEXTILE-HABILLEMENT: TFCE ET MAILLE CLUB

TISSENT LEUR TOILE

Source: Kapitalis Date: 15 Janvier 2015 Les groupes tunisiens TFCE et Maille Club conjuguent leurs talents et savoir-faire pour donner naissance à un opérateur régional majeur de la distribution du textile-habillement.

Les groupes TFCE, un des leaders de l’industrie textile, et Maille Club, acteur de premier ordre dans la distribution de la mode, ont signé, le jeudi 8 janvier dernier, sous l’égide d’AfricInvest, un partenariat qui officialise une association proactive dans le domaine de la distribution.

Ce nouveau partenariat s’appuie sur de très fortes complémentarités métiers et capitalise sur des valeurs et des cultures d’entreprises partagées par les deux équipes dirigeantes, ainsi qu’une vision stratégique commune en phase avec les évolutions du marché.

«Il s’agit d’un projet structurant qui a pour objectif de projeter nos deux groupes dans un avenir prometteur et ambitieux, en consolidant notre leadership sur l’ensemble du secteur», a indiqué Mehdi Abdelmoula, DG du groupe Maille Club. Et d’ajouter: «La complémentarité de nos expertises nous permettra de développer nos marques, notre réseau de distribution ainsi que notre offre produits, et de consolider nos positions en Tunisie et en Algérie, puis d’aller conquérir de nouveaux marchés à l’international.» Nafaa Ennaifer, DG du groupe TFCE se réjouit lui aussi de ce rapprochement mûrement réfléchi: «En nous associant avec un des acteurs les plus importants du marché, nous offrons à nos équipes une formidable opportunité de conjuguer leurs expertises et leur savoir-faire. Ce partenariat marque l’aboutissement d’une réflexion entamée depuis quelques mois, et reflète une démarche centrée sur la création de valeurs à travers la satisfaction des clients, la maitrise des process et l’amélioration des performances.» Le groupe TFCE possède une expertise industrielle dans le développement de collections, la fabrication et l’exportation de prêt-à-porter féminin. Sa créativité et son savoir-faire en maille rectiligne, en maille circulaire et en chaine et trame sont reconnus sur le marché européen où il écoule plus de 4 millions de pièces par an auprès des enseignes et marques d’habillement les plus connues (Lacoste, Kookaï, Promod, Camaïeu, Jaqueline Riu, Cache Cache, Bonprix, Morgan, Go Sport, Orsay...).

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Riche de son expérience dans la distribution, notamment avec Dixit, sa marque de mode féminine, etAshkan, concept stores valorisant l’artisanat de qualité et marque citoyenne 100 % tunisienne, le groupe est présent en Tunisie, en Algérie ainsi que dans plusieurs pays du bassin méditerranéen. Le groupe Maille Club, qui opère dans l'industrie textile et la distribution de la mode, s'est spécialisé dans le travail à façon de petites séries sur cycle court pour le compte de marques européennes de luxe avant de se lancer en 1982 dans la distribution avec le lancement de la marque enseigne Mabrouk et se développer par la suite dans les segments du luxe et de l’esthétique (Max Mara, Paul&Shark, Hugo Boss, Square 5, Eden Park, Jacques Dessange...) et Mass Market (Jules, André, Du Pareil au Même…). Le groupe est présent en Tunisie et en Algérie. AfricInvest, gestionnaire de fonds d’investissement en capital risque/capital développement, est le partenaire financier du groupe Maille Club.

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LE CJD LANCE SA STRATEGIE SUR L'ENTREPRISE ET LA

FORMATION

Source: Webmanagercenter Date: 19 Janvier 2015

La stratégie "Entreprise formatrice: renforcer la croissance - soutenir la productivité" sera

lancée par le Centre des jeunes dirigeants d'entreprises (CJD), le 22 janvier 2015, à Tunis.

C'est ce qu'on lit dans un communiqué de la Chambre tuniso-allemande de l'industrie et du

commerce (AHK), publié récemment.

Une conférence se tiendra, à cette occasion, en partenariat avec le programme "Pacte pour

l'emploi en Tunisie" géré par sequa gGmbh (organisation allemande de développement du

secteur privé), la fondation Konrad- Adenauer et l'AHK, précise le document de l'AHK.

"La réussite de la formation passe par l'entreprise formatrice, une entreprise qui a une vision

et partage une culture entrepreneuriale et innovatrice. Pour ce faire, parvenir à un

partenariat public-privé est indispensable ainsi que l'engagement du secteur privé pour la

qualification sur mesure, adaptée aux besoins spécifiques de l'entreprise", indique le

communiqué.

Axe principal de développement des ressources humaines, la formation professionnelle est

aussi l'une des composantes primordiales du dispositif national d'éducation, de qualification

et de l'emploi, a précisé la même source, ajoutant que "s'investir d'une façon continue dans

la formation est une tâche commune de l'économie et une responsabilité entrepreneuriale".

L'organisation sequa gGmbH participe, depuis 1991, à des programmes de coopération

internationale en partenariat avec le secteur privé allemand et offre des services notamment

dans les domaines du développement du secteur privé, la formation et le dialogue social.

Revue de presse du mois de Janvier 2015

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Vers une installation de GDF Suez dans nos murs

Source: Espacemanager Date: 20 Janvier 2015 Le groupe GDF Suez pourrait bien être présent en Tunisie, c'est en tout cas ce qu'a déclaré ce mardi, son président Gérard Mestrallet. Intervenant sur Express Fm, Mestrallet assure qu’au sein de GDF Suez, une réelle volonté existe pour intervenir en Tunisie : « Nous y travaillons, notamment dans le domaine de l’engineering, où nos experts peuvent apporter une assistance technique à la STEG, en cas de formulation d'un quelconque souhait». Et le PDG de GDF Suez de souligner que les contacts établis depuis belle lurette pourraient déboucher un jour sur une présence de GDF Suez en Tunisie en tant qu’industriel de l’énergie».

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WES LANCE DE NOUVEAUX CENTRES POUR LE

DEVELOPPEMENT DES ENTREPRISES FEMININES

Source: Webmanagercenter

Date: 22 Janvier 2015

Chéma Gargouri, directrice nationale du programme "Entreprises Féminines Durables"

(WES- Women's Enterprise for Sustainability), a annoncé mercredi 21 janvier le lancement

de cinq nouveaux centres WES pour le développement des entreprises féminines à Béja,

Bizerte, Le Kef, Tozeur et Tataouine.

Lors d'une conférence de presse organisée à Tunis, elle a indiqué qu'avec la création des cinq

nouveaux centres, le programme WES, lancé depuis 2102, prend désormais en charge des

femmes entrepreneures à travers 13 centres dans 11 régions de la Tunisie (Tunis, Sousse,

Kairouan, Sfax, Gafsa, Zarzis, Bizerte, Le Kef, Beja, Tozeur et Tataouine ).

Soutenu par un financement du gouvernement des Etats-Unis d'Amérique, le programme

"Entreprises féminines durables offre de la formation, des programmes d'encadrement et du

soutien financier aux organisations partenaires leur permettant de créer de nouveaux

centres pour le développement des entreprises féminines selon le modèle de l'entreprise

sociale", a-t-elle précisé.

Elle a ajouté qu'en imposant des frais pour la formation et les services, les organisations

partenaires récupèrent une partie de leurs coûts d'exploitation, augmentent leur propre

durabilité et étendent leur portée tout en soutenant les femmes entrepreneures dans leurs

communautés.

Mme Gargouri a fait remarquer que depuis 2012 jusqu'à aujourd'hui, le programme WES a

créé 13 centres opérant selon le modèle du recouvrement des coûts, a formé 40 formateurs,

a créé un réseau de femmes dans chaque centre et a assuré la formation de 1.492 femmes,

outre le lancement et la consolidation de plus 180 projets dans des secteurs différents.

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Intervenant à cette occasion, Richard Michaels, conseiller politique et économique à

l'ambassade des Etats-Unis d'Amérique en Tunisie, a souligné que le programme

"Entreprises féminines durables" a été financé à hauteur de 3 millions de dollars par le

gouvernement américain à travers l'Initiative de Partenariat avec le Moyen-Orient du

Département d'Etat américain (MEPI).

Dans ce contexte, il a rappelé que depuis la révolution à ce jour, les aides du gouvernement

américain pour la Tunisie ont atteint 550 millions de dollars qui ont été investis

essentiellement dans les secteurs de la sécurité, de l'économie et dans le développement de

l'éducation.

De son côté, Neila Châabane, secrétaire d'Etat chargée des Affaires de la femme et de la

famille, s'est félicitée pour la création de cinq nouveaux centres WES soulignant l'importance

de telles initiatives visant à renforcer les capacités économiques des femmes.

"L'autonomisation des femmes est aujourd'hui un atout pour l'économie nationale surtout

qu'elles représentent la moitié de la société", a-t-elle dit.

Selon la secrétaire d'Etat, il existe aujourd'hui "un gouffre entre les textes de loi qui stipulent

les droits socioéconomiques des femmes et la réalité qui les prive dans plusieurs cas de leurs

droits notamment dans le secteur privé".

Elle a, en outre mis l'accent sur l'importance de revoir le code du travail et de développer les

lois afin que la femme tunisienne puisse bénéficier de tous ses droits.

La conférence a été aussi une occasion pour présenter quelques témoignages de femmes

ayant bénéficié des services du programme WES. Elles ont signalé que grâce à cette

initiative, elles ont pu développer leurs projets, vendre leurs produits sur le web, passer du

secteur informel au secteur formel et ont compris l'importance des études de projet et la

connaissance des nouveaux besoins du marché.

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CONVENTIONS DE PARTENARIAT ENTRE LA CCI TUNIS ET 4 ORGANISMES D’APPUI

Source: Webmanagercenter

Date: 23 Janvier 2015

Par Tallel BAHOURY

L’union fait la force! C’est un adage qui remonte à la nuit des temps, et c’est lui que la

Chambre de commerce et d’industrie de Tunis (CCIT), d’une part, et le CEPEX, la FIPA, le

CETIME et l’APII, d’autre part, ont choisi d’appliquer, en signant, ce vendredi 23 janvier

2015, des protocoles de coopération, séparés mais complémentaires, et ce suite à la mise

en place de la plateforme Tunisia e-business Network par la CCI de Tunis.

En effet, les 5 premiers responsables de ces organismes d’appui sont convaincus qu’en

unissant leurs forces, ce sera au bénéfice de l’entreprise tunisienne, et donc de l’économie

du pays.

Ainsi, dans le protocole entre la CCI de Tunis et l'Agence de promotion de l'investissement

extérieur (FIPA), il est d’abord rappelé que cette dernière et la Chambre «… ont toujours

manifesté leur volonté de jouer un rôle actif dans le domaine de la coopération au

développement économique en Tunisie…», qu’il existe des liens d'amitié entre elles, et «…

que ces liens ne peuvent se consolider que par un partenariat responsable entre les deux

parties…». Par conséquent, la CCIT, qui abrite le projet "Tunisia e-Business Network" -projet

appuyé par le gouvernement américain constituant un espace de rencontres

professionnelles aidant les entreprises tunisiennes à développer leurs marchés-, et la FIPA –

dont la mission est d'apporter soutien et accompagnement nécessaires aux investisseurs

étrangers afin de développer et de stimuler l'IDE en Tunisie-, il est donc tout à fait logique

que les deux organismes s’associent dans cette initiative afin de donner plus de visibilité à

leurs actions.

En plus clair, il est mentionné qu’«il s'agit de définir les modalités de collaboration de la FIPA

dans la promotion de la plateforme Tunisia e-Business Network".

Un autre article de la convention a trait aux échanges d’informations et de promotion entre

la CCI de Tunis et la FIPA. Pour ce faire, «la FIPA est disposée à agir en tant que partenaire

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national et international en matière de développement, de sensibilisation et de promotion

de la plateforme»…, en fournissant à la CCIT la liste de ses bénéficiaires et autres contacts

d'entreprises désirant entrer en partenariat avec des partenaires Tunisiens, mais aussi de la

documentation, des données et autres informations relatives aux modalités

d'investissement en Tunisie.

L’accord stipule également que la FIPA va intégrer le lien du site d'inscription de la

plateforme sur son site web, référencera la plateforme sur ses pages des réseaux sociaux de

la FIPA, insérer une bannière publicitaire relative à la plateforme sur son site web pour une

période d'un mois sur la durée du protocole.

Pour sa part, la CCIT s’engage à fournir toute la documentation et les informations relatives

à la plateforme pour une éventuelle exploitation; à offrir une formation gratuite pour le

personnel de la FIPA susceptible d'accéder à la plateforme et exploiter les informations

existantes; à insérer sur la plateforme une bannière promotionnelle de la FIPA pour une

période d'un mois sur la durée du protocole. Elle va valoriser la contribution de l'organisme

partenaire en apposant son logo sur tous les supports de communication de la plateforme

en tant que partenaire privilégié (affiches, brochures, panneaux, bloc-notes, publications

dans la presse, colloques, réunions, séminaires...). Enfin, la Chambre mettra à la disposition

de la FIPA l'application B2B Matchmaking permettant d'optimiser les rencontres

professionnelles lors de la réception des délégations étrangères.

Chose encore très importante: la cluse de confidentialité. Il est clairement stipulé que:

«hormis les actions de communication réalisées dans le cadre du projet "Tunisia e-Business

Network", les parties s'engagent à conserver confidentielles… les informations de toute

nature auxquelles elles pourraient avoir accès dans le cadre de l'exécution des présentes…».

Tout ceci montre qu’il y a du sérieux, de rassurant dans le protocole pour les entreprises et

autres institutions.

D’ailleurs, les mêmes termes, à quelques exceptions près, sont mentionnés dans les autres

protocoles d’accord que la CCIT a signés avec l’APII, le CETIME et le CEPEX.

Pour notre part, nous estimons que, par la mise en place de cette plateforme Tunisia e-

Business, la CCIT donne encore plus de visibilité aux entreprises tunisiennes, en particulier,

et à l’économie du pays, en général. Et au-delà, la Chambre donne ainsi des pieds à ceux aux

boiteux, des yeux aux aveugles, des oreilles aux malentendants et sourds. Car, toutes nos

entreprises, petites, moyennes et grandes, peuvent désormais envisager ou essayer d’aller

nager dans les eaux troubles des marchés extérieurs, mais avec plus de visibilité, de clarté.

Ce qui, à notre sens, permettra plus de création d’emplois en Tunisie.

Mais le passeport pour que marche pour les entreprises, il faut avoir de l’audace –et donc ne

pas avoir peur de la concurrence-, et bien sûr être imaginatif. Cette plateforme est un océan

d’opportunités pour la Tunisie. Nous devons la saisir

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KAMEL BEN NACEUR PROMET L'ERADICATION DE LA POLLUTION DE L'AIR A GABES EN 2016

Source: Webmanagercenter

Date: 23 Janvier 2015

Le ministre de l'Industrie, de l'Energie et des Mines, Kamel Ben Naceur, a annoncé que la

pollution de l'air sera éradiquée à Gabès à l'horizon 2016 à la faveur de solutions

opérationnelles qui seront aussi appliquées sur le littoral, à Sfax et Skhira.

Dans un entretien accordé à l'agence TAP, il a indiqué, concernant la pollution qui provient

de l'usine de phosphogypse à Gabès, que les composantes de la société civile ont refusé les

solutions proposées à travers le transfert des déchets solides à d'autres régions situées loin

de la mer.

En ce qui concerne les projets entrepris par le ministère dans les domaines des phosphates

et des mines, le ministre a indiqué que l'objectif recherché pour 2015, est de parvenir à

produire environ 6,5 millions de tonnes de phosphates.

Il a souligné qu'il faut mettre fin aux grèves qui ont paralysé le secteur, estimant que

l'administration a déployé d'énormes efforts pour répondre aux revendications sociales. «En

2015, les études techniques et les études de faisabilité concernant les mines de Maknassi

(Sidi Bouzid), El Jerid (Tozeur) et Sraouertane (Le Kef), seront parachevées», a-t-il dit,

rappelant que ces études permettront de faire le diagnostic sur les potentialités de

production et d'extraction et aussi sur les techniques à utiliser.

Sur un autre volet, Ben Naceur a relevé que le projet de création d'une unité chimique à

M'Dhilla entrera en production en 2016 après un retard de deux ans à cause des grèves et

sit-in. Il a ajouté que le projet qui vient remplacer celui de l'unité chimique de Sfax,

permettra de créer environ 650 emplois.

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TUNISIE: HAUSSE DU DEFICIT COMMERCIAL DU SECTEUR INDUSTRIEL

Source: Kapitalis Date: 27 Janvier 2015 Le déficit commercial du secteur industriel tunisien s'est établi à -8135,7 millions de dinars (MD) en 2014, contre -7183,8MD en 2013.

Selon des données de l'Agence de promotion de l'industrie et de l'innovation (APII), les exportations du secteur industriel ont augmenté de 4,9%, passant de 22.576,8 MD en 2013 à 23.675 MD en 2014.

Cette hausse est due essentiellement à la progression des exportations des industries mécaniques et électriques, qui ont atteint 11.574,1 MD en 2014, contre 10.364,6MD en 2013, en hausse de 11,7%.

Les exportations des industries des matériaux de construction, de la céramique et du verre ont augmenté, elles aussi, de 24,2%, passant de 436,8 MD à 542,5MD.

C'est aussi le cas des industries diverses, dont les exportations ont augmenté de 5,8%, passant de 1.338,9MD à 1.416,8 MD. Ainsi que des industries du textile et de l'habillement avec des exportations de 5.388,1MD en 2014, contre 5214,6MD en 2013 (+3,3%).

Les industries mécaniques et électriques accaparent, à elles seules, 48,9% des exportations industrielles, suivies par les industries du textile et habillement qui en représentent 22,8%.

Les importations du secteur industriel ont augmenté, quant à elles, de 6,9%, passant de 29.760,6MD en 2013 à 31.810,7MD en 2014.

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BANQUE MONDIALE: LES START-UPS SONT LES VERITABLES MOTEURS DE L’EMPLOI

Source: Kapitalis Date: 27 Janvier 2015 Pour favoriser l'essor du secteur privé et la création d'emplois, les pays de la région Mena ont besoin de renforcer leur tissu de jeunes entreprises productives.

Les start-up et les entreprises innovantes sont les moteurs de la création d'emplois dans la région Mena (Moyen Orient et Afrique du Nord), mais elles peinent à se développer, en raison des privilèges accordés aux entreprises liées au pouvoir politique, souligne un rapport de la Banque mondiale (BM), présenté, lundi 26 janvier 2015, à Tunis.

Intitulé «Emploi ou privilèges: Comment libérer le potentiel de la création d'emplois dans la région Mena», le rapport révèle que, dans les pays de la région Mena, les start-up sont les plus productives et créatrices d'emplois, mais les politiques destinées à protéger certaines entreprises proches du pouvoir limitent la concurrence et freinent la croissance et la productivité de ces start-ups. En ce qui concerne la Tunisie, le rapport qualifie d'«entreprises connectées», toutes celles qui ont appartenu à la famille de l’ex-président Ben Ali et dont les avoirs ont été confisqués par l’Etat après la Révolution de 2011.

Les données de l'enquête mettent l'accent sur les privilèges dont ont bénéficié en Tunisie et en Egypte les entrepreneurs proches du pouvoir et leurs impacts négatifs sur la croissance et la capacité de création d'emplois des start-ups dans les deux pays.

Entre 1996 et 2010, les jeunes entreprises tunisiennes ont créé 580.000 emplois, soit 92% du total de la création nette, soulignent les auteurs du rapport, ajoutant que 64% des entreprises ayant des connexions politiques sont actives dans des secteurs soumis à des restrictions sur les investissements directs étrangers (IDE).

Ces entreprises privilégiées ont aussi bénéficié d'une influence disproportionnée sur leurs secteurs d'activité respectifs. En effet, 39% des secteurs, qui comportent au moins une seule entreprise connectée, nécessitent l'obtention d'un accord et d'une autorisation du

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gouvernement, contre 24% pour les secteurs ne comportant pas d’entreprise ayant des liens politiques.

La région Mena a besoin de renforcer son tissu de jeunes entreprises productives afin de favoriser l'essor du secteur privé et la création d'emplois, mais les règles en vigueur tendent davantage à protéger ces entreprises privilégiées bien établies qu'à encourager de nouvelles entreprises, souligne encore le rapport.

Dans la région Mena, en moyenne 6 entreprises à responsabilité limitée (Sarl) sont créées tous les ans dans la région pour 10.000 personnes en âge de travailler.

«Pour la Tunisie, il y a 1,2 entreprises créées pour 1000 personnes en âge de travailler, un chiffre à comparer aux résultats de pays comme le Chili, qui compte 3 entreprises créées pour 1000 personnes, ou la Bulgarie qui crée 4 entreprises pour 1000 personnes en âge de travailler par an», a affirmé Abdoulaye Sy, qui présentait le rapport.

Les pays de la région ne parviendront à répondre aux besoins d'une main-d'œuvre de plus en plus instruite et nombreuse qu'en refondant leurs politiques protégeant les entreprises privilégiées, concluent les auteurs du rapport.

Concrètement, il s'agit de mettre en avant les réformes visant à réduire la portée des privilèges, un travail qui devra être réalisé par une administration publique forte dont les agents sont recrutés en fonction de leur mérite, soulignent-t-ils, tout en recommandant la mise en œuvre de ces réformes dans un environnement transparent et ouvert, qui permet de tenir les citoyens informés de l'action gouvernementale et leur donne la possibilité de contribuer à l'élaboration des politiques.

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LES HABITANTS DE KERKENNAH ARRETENT LA PRODUCTION DE PETROFAC

Source: Webmanagercenter

Date: 27 Janvier 2015

Les blocages de la production de la société pétrolière de prospection et d'exploitation

énergétique Petrofac continuent, si bien qu’elle se trouve contrainte d’arrêter sa production

pour des raisons qui lui sont étrangères.

La direction de l’entreprise souligne que Petrofac est toujours otage des revendications de

certaines parties à Kerkennah lesquelles ne trouvent pas mieux, à chaque fois, que d’exposer

leurs doléances tout en empêchant les camions citernes de Petrofac de quitter l’île.

Après la fameuse grève sauvage décrétée par le syndicat des marins de la Sonotrak (Société

nouvelle de transport de Kerkennah) depuis quelques semaines, et qui avait obligé la société

à arrêter sa production, voilà que certains habitants de l’île optent depuis quelques jours

pour cette même tactique d’interdiction des camions citernes remplis de condensat de

quitter Kerkennah. La raison? Soutenir un boulanger de la région qui n’a pas reçu les

quantités espérées de farine subventionnée.

Face à l’impossibilité d’évacuation des quantités produites de condensat (produit associé au

gaz) de l’île à travers la sortie de ces camions, et puisque les cuves de stockage sont presque

pleines et ne peuvent plus absorber de nouvelles quantités de ce produit, la direction ne

peut qu’arrêter encore une fois sa production.

Cet arrêt éventuel de la production de Petrofac, qui produit 12,5% des besoins en gaz de la

Tunisie, la privera comme d’habitude de produire des quantités avoisinant le million de m3

de gaz par jour et coûtera très cher à l’État tunisien qui possède 55% du capital de ladite

société. Ceci sans parler du fait que cet arrêt forcé de la production de Petrofac, qui ravitaille

en gaz la centrale de connexion de la STEG à Aïn Turkia dans la région de Sfax, pourra obliger

la Société tunisienne d’électricité et du gaz de se ravitailler en Algérie afin d'assurer ses

besoins pour la production de l’électricité, en cette période de grande vague de froid.

Malgré tous ces risques qui menacent les intérêts du pays, les autorités continuent de traiter

avec une grande passivité cette interdiction imposée aux camions de Petrofac remplis de

condensat de quitter l’île de Kerkennah.

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QUI A DROIT A QUOI :L'ACCORD DE LA PROPRIETE INTELLECTUELLE POUR LA REUSSITE DU

PARTENARIAT MOBIDOC

Source: Tunisia IT

Date: 27 Janvier 2015

l'Agence Nationale de la Promotion de la Recherche Scientifique, ANPR, organise avec l'appui du Projet d'Appui au Système de Recherche et d'Innovation, PASRI, six ateliers sur les aspects de la propriété intellectuelle qui ont trait aux projets de partenariat entre l’université et l’industrie. Ces projets sont mis en œuvre dans le cadre du dispositif MOBIDOC. Les ateliers se dérouleront selon le calendrier suivant: le 27, 29 Janvier et le 03 Février à Tunis, le 05 Février à Sousse et les 10 et 11 Février 2015 à Sfax. Conçu comme un outil de partenariat par excellence, le MOBIDOC est un dispositif, lancé pour la première fois en Tunisie sous forme d’une action pilote financée par l'Union Européenne dans le cadre du projet PASRI. Il permet aux doctorants et aux docteurs de mener des travaux de recherche dans le milieu socioéconomique par opposition à la thèse traditionnelle menée à l'université. Dans ce cadre, plus de 240 entre doctorants et docteurs bénéficient d’allocations sur des périodes allant de 12 à 36 mois. L'objectif de la thèse MOBIDOC est d'une part développer une recherche scientifique dans l'intérêt commun des deux sphères académique et socioéconomique et d'autre part imprégner les thésards de l'esprit entrepreneuriale innovant.

Le montage d'un partenariat MOBIDOC nécessite forcément un montage juridique solide clarifiant les règles de partage des actifs de la propriété intellectuelle et de confidentialité entre les partenaires. C'est exactement dans cet esprit que s'inscrivent ces ateliers qui visent surtout à sécuriser les relations dans ces partenariats. Ces ateliers seront aussi l'occasion pour le lancement du guide de la propriété intellectuelle qui a été élaboré par l'experte du droit de la propriété intellectuelle du PASRI en collaboration avec l'Organisme Tunisien des Droits d’Auteur et des Droits Voisins- OTDAV, L’Institut National de la Normalisation et de la Propriété Industrielle- l'INNORPI, la Direction Générale de la valorisation de la recherche au ministère de l'Enseignement Supérieur , de la Recherche Scientifique et des Technologies de l'Information et de la Communication, L'Agence Nationale de la Promotion de la Recherche Scientifique ainsi que la Direction Générale de la Protection et du Contrôle de la Qualité des Produits Agricoles au Ministère de l’Agriculture.

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TIC — ETUDE D’IPEMED

LE MAGHREB DISPOSE D’ATOUTS INNOMBRABLES

Source: La Presse Date: 28 Janvier 2015 Les trois pays du Maghreb (Tunisie, Algérie et Maroc) disposent de prérequis humains, techniques et d’infrastructures pour rendre le monde du numérique un levier de croissance de leurs économies. La région du Maghreb arabe a été l’une des parties du monde qui ont toujours favorisé l’émergence d’une filière euromaghrébine des TIC, explique M. Rachid Jankari, expert Ipemed. Il mentionne sur les colonnes du site «econostrum.info» que la mise en place d’une filière euromaghrébine des technologies de l’information ne relève pas de l’impossible, mais présente tout au contraire une opportunité. «La croissance économique des pays du sud et du nord de la Méditerranée est tributaire de l’émergence d’une société de l’information et de la connaissance. Le numérique est aujourd’hui un levier incontestable pour booster les économies du Sud, en partenariat avec le Nord, dans une perspective de co-localisation. La concrétisation de cette vision prospective passe par la mise à contribution des atouts et des prérequis TIC de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie, et ce, tout en capitalisant sur la dynamique et le potentiel de la chaîne de valeurs des marchés européens, africains et du Moyen-Orient», développe-t-il. Cette filière doit passer par l’adoption d’une nouvelle vision des relations entre les pays du Maghreb, basée sur une synthèse intelligente qui évolue de la compétition à la coopération. «Une telle approche servira de catalyseur pour la mise en place d’une stratégie d’innovation et de connexion des acteurs publics et privés des deux rives de la Méditerranée», assure-t-il. Son institut a recommandé, à cet effet, six principaux axes qui pourraient favoriser l’émergence d’une telle filière. «Il s’agit du financement, de l’innovation, de la mobilité, du développement d’une infrastructure numérique mutuelle, du soutien à l’export euromaghrébin et international et de la mise en réseau TIC privé et public». Les trois pays du Maghreb disposent déjà de compétences jeunes et qualifiées, d’infrastructures technologiques évolutives, de champions nationaux ainsi que de politiques publiques ambitieuses dans le domaine des TIC. Autant d’atouts qui permettent la mise en place d’une filière d’avenir avec un esprit coopératif basé sur le volontarisme des pouvoirs publics et la dynamique du secteur privé des deux rives de la Méditerranée. «Cette interconnexion entre les pouvoirs publics et le secteur privé doit, au préalable, fluidifier et renforcer la mobilité des professionnels maghrébins du secteur TIC», indique M. Jankari. Financement par les Business Angels… Le financement de la filière peut passer par les fonds de capital-risque et les Business Angels. «Les pays du Maghreb doivent, en effet, mettre en place des mécanismes de financement et des fonds (capital-risque, développement et d’amorçage) spécialisés, tout en adoptant un cadre fiscal et législatif incitatif pour les solutions de financement innovantes telles que celles proposées par les Business Angels». L’autre alternative pour la promotion de ce secteur dépend de la promotion de l’innovation, de la recherche et développement par la mise en place d’un fonds de soutien à l’innovation «Euro-Maghreb Innova». Selon cet expert, il y a urgence à «faciliter la mobilité des professionnels du secteur TIC, et ce, tout en interconnectant les écoles et les instituts universitaires maghrébins à vocation

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technologique notamment, à travers l’alignement des niveaux de qualification et la reconnaissance mutuelle des diplômes». Le secteur des TIC euromaghrébines dépend de la capacité des privés, qui opèrent dans le numérique, à accéder aux marchés de l’Afrique et du Moyen-Orient. «Le Maghreb est déjà une base d’implantation des acteurs mondiaux du secteur des TIC qui s’intéressent à ces marchés à fort potentiel de croissance. Il peut l’être davantage, sous réserve d’une meilleure intégration Sud-Sud». Pour explorer les gisements de l’export à l’international, il faut développer les opérateurs télécoms et les banques-assurances, car la création d’un espace numérique euromaghrébin est un choix de survie. Auteur : Saoussen BOULEKBACHE (D’après l’étude de l’Ipemed)

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TEXTILE: LA LINGERIE TUNISIENNE AU SALON ‘‘INTERFILIERE’’ A PARIS

Source: Kapitalis Date: 28 Janvier 2015 Onze entreprises tunisiennes ont pris part au salon de la lingerie et balnéaire ‘‘Interfilière’’, du 24 au 26 janvier 2015, à Paris.

C’est la troisième fois que des entreprises tunisiennes participent à ce salon spécialisé dans les produits tels que les maillots de bains, les sous-vêtements homme/femme et les corsetteries, ainsi que les tissus et accessoires liés à la filière.

Avec l’aide du Centre de promotion des exportations (Cepex), qui a encadré leur participation, les entreprises tunisiennes ont eu de nombreux contacts professionnels avec des professionnels français et européens.

Contacts entre professionnels tunisiens et européens.

Une attention particulière a aussi été accordée à la communication pour valoriser la participation tunisienne et promouvoir la destination Tunisie en tant que site pour les investissements et les exportations des produits et articles de la lingerie.

Une conférence a ainsi été organisée, conjointement par le Centre de promotion des exportations (Cepex) et la Chambre syndicale nationale des fabricants de lingerie (CSNFL), sur le thème: «Le secteur de la lingerie et balnéaire, développeur et non simple sous-traitant».

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Les intervenants tunisiens, notamment l'ambassadeur de Tunisie à Paris, le président de la CSNFL et la représentante du Cepex, ont donné un aperçu sur les défis et perspectives de la filière lingerie et balnéaire en Tunisie.

Présentation des opportunités du secteur en Tunisie.

La conférence a aussi été marquée par les témoignages de deux entreprises du secteur opérant en Tunisie: la marque internationale OSER et l’entreprise tunisienne totalement intégrée New Body Line.

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VERS LA CREATION DE 34 NOUVELLES ZONES INDUSTRIELLES DANS LES REGIONS

Source: Investir en Tunisie Date:29 Janvier 2015

« Les zones industrielles en Tunisie souffrent de nombreux problèmes relatifs majoritairement à la maintenance et à la réhabilitation », a affirmé le ministre sortant de l’Industrie, de l’Energie et des Mines, Kamel Bennaceur.

Lors de son passage ce jeudi 29 janvier 2015 sur Express FM, M. Bennaceur a ajouté que face à ces problèmes, son ministère œuvre à faciliter les procédures pour accélérer la création de nouvelles zones dans les régions prioritaires. «34 nouvelles zones industrielles seront bientôt lancées », a-t-il précisé. Le ministre a, également, fait savoir que le niveau des investissements étrangers a nettement baissé durant les deux dernières années. « Le climat d’investissement est redevenu stable et propice notamment avec la stabilité sécuritaire, politique et sociale », a-t-il déclaré. Il a, en outre, précisé que le raccordement des foyers des habitants de Djerba et Zarzis au réseau du gaz naturel va être lancé au cours de la semaine prochaine. En ce qui le projet de la ligne électrique reliant Gafsa à Tozeur, estimée à 150 kilovolt, M. Bennaceur a indiqué que les travaux vont reprendre prochainement, ajoutant que le bassin minier est concerné, également, par le raccordement au réseau du gaz naturel.

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SIPHAT : BAISSE DE 7,63% DU CHIFFRE D’AFFAIRES EN 2014

Source: Kapitalis Date: 29 Janvier 2015 Le chiffre d'affaires (CA) de la Société des industries pharmaceutiques de Tunisie (Siphat) a accusé une baisse 39,99 millions de dinars (MD) en 2014 (-7,63%).

Selon l'intermédiaire en bourse Axis Capital, cette baisse est due au recul des ventes hospitalières de 2,93% (19,67MD), des ventes du modèle officinal (produits utilisés pour les préparations médicales) de 11,33% (16,46MD) et des ventes à l'export de 13,64% (3,860MD).

La baisse du CA à l'export est expliquée par les soubresauts politiques en Libye et les changements du cadre réglementant l'industrie pharmaceutique en Algérie (marchés cibles).

Le niveau de l'endettement du la société a, également, baissé de 3,61% (28,721MD en 2014, contre 29,796 MD en 2013).

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20 ENTREPRISES SONT ENTREES EN ACTIVITE A BEN

AROUS EN 2014

Source: Webmanagercenter

Date: 29 Janvier 2015

Les investissements dans les secteurs de l'industrie et des services ont enregistré une

évolution en 2014, dans le gouvernorat de Ben Arous. C'est ce qu'indique un rapport de la

Direction régionale de l'Agence de promotion de l'industrie et de l'innovation (APII).

Ainsi, une vingtaine de sociétés industrielles sont entrées en activité en 2014 moyennant un

investissement global estimé à 15,93 millions de dinars ayant permis la création de 244

emplois, précise le rapport.

Le taux d'investissement dans le secteur de l'industrie s'est élevé à plus de 15,68 millions de

dinars en 2014 contre 253.000 dinars dans le secteur des services. Les projets les plus

importants ont été réalisés dans les secteurs de maroquinerie et des chaussures, l'industrie

des matériaux de construction et les industries chimiques, ajoute le document.

Les projets dans le secteur des services ne sont pas en reste puisqu'ils ont connu une forte

évolution en 2014 avec 7 projets réalisés contre 3 en 2013. Le taux d'investissement a

quadruplé en comparaison avec l'année 2013. Ces projets relèvent notamment des secteurs

de la formation professionnelle et des communications mais qui ont moins d'emplois par

rapport à 2013 (244 en 2014 contre 350 en 2013), selon le rapport.

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FINANCEMENT

NEJIB BELHABIB SE LANCE DANS LE CROWDFUNDING

Source: Kapitalis Date: 16 Janvier 2015 Entrepreneur dans l’enseignement supérieur privé, Nejib Belhabib initie une action associative et, plus précisément, dans le crowdfunding.

M. Belhabib a, en effet, créé l’association Tunisia-Crowdfunding, dont il est président, afin d’apporter un soutien aux jeunes investisseurs confrontés à des problèmes, notamment de financement.

Entrée au début des années 2000 dans l’enseignement supérieur privé, Nejib Belhabib est aujourd’hui à la tête d’un groupe composé de l’Université de Technologie (Utech) Tunis et Gabes, de l’Ecole supérieure de technologie et de management (SupTech).

Happé brièvement par la politique, le patron d’Utech a fait partie de l’équipe dirigeante du parti Al-Watan lors de son lancement par Ahmed Friaa et Mohamed Jegham, en tant que secrétaire général-adjoint chargé des études.

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LA BFPME A APPROUVE PLUS DE 1.500 PROJETS EN 2014

Source: Webmanagercenter

Date: 19 Janvier 2015

La Banque de financement des petites et moyennes entreprises (BFPME) a approuvé,

jusqu'au 31 décembre 2014, 1.543 projets d'un coût global d'environ 1,2 milliard de dinars,

et pour lesquels la banque a présenté des financements avoisinant les 353,3 MDT.

Au niveau de la répartition sectorielle des projets approuvés, la banque a précisé dans des

données publiées sur son site web, que le secteur des industries agroalimentaires a la part

du lion des financements avec un montant de 79,5 MDT (326 projets), suivi par le secteur de

services (54 MDT et 301 projets), des industries chimiques et plastiques (48,4 MDT et 142

projets) et des industries des matériaux de construction, de la céramique et du verre (39,2

MDT et 113 projets).

Les projets approuvés par la BFPME ont bénéficié à l'ensemble des régions du pays, dont 101

projets à Kasserine (22 MDT), 83 projets à Gafsa (plus de 11 MDT), 81 projets à Zaghouan (31

MDT) et 77 projets à Béja (23 MDT). La banque a approuvé, aussi, 122 projets à l'Ariana (22

MD), 105 projets à Sousse (22 MDT) et 91 projets à Sfax (32 MDT). La BFPME a révélé que

1325 projets sont actuellement en cours de réalisation, pour un coût global de 811 MDT,

moyennant des crédits à hauteur de 273,8 MDT.

Ces projets couvrent, essentiellement, les secteurs de l'agroalimentaire (285 projets)

mobilisant des crédits de la BFPME à hauteur de 65,3 MDT, des services et divers (238

projets pour des crédits de 38,4 MDT) et des industries des matériaux de construction, de la

céramique et du verre (94 projets pour des crédits de 30,1 MDT). Les secteurs du textile et

de l'agriculture ont reçu des crédits respectivement de 28 MDT (194 projets) et 12,3 MDT

(79 projets).

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LA TUNISIE ET L’UNION EUROPEENNE EN 2014

Source: Webmanagercenter

Date: 27 Janvier 2015

Voici la chronologie des principaux dons, prêts et autres accords entre l’Union européenne

et ses institutions financières et la Tunisie au cours de l’année 2014.

22 janvier 2014 UE: octroi de 15 millions d'euros à la Tunisie

La Tunisie bénéficie d'une enveloppe de 15 millions d'euros (environ 33 millions de dinars)

de l'Union européenne (UE) dans le cadre d'un nouveau plan d'aide adopté par l'UE en

faveur de trois pays de la région (Tunisie, Jordanie, Libye), le 29 janvier 2014.

13 février 2014 - Parlement européen: un crédit de 300 millions d'euros à la Tunisie

Le Parlement européen décide d'octroyer un crédit de 300 millions d'euros à la Tunisie dans

sa stratégie de réformes économiques et structurelles.

28 février 2014 - Tunisie-BEI: contrat de garantie du financement des crédits et leasing

Adoption par l'ANC (Assemblée nationale constituante) d'un projet de loi relatif au contrat

de garantie de la 1ère tranche de la 6ème ligne de financement (100 millions de dinars)

dédiée aux établissements de crédits et aux sociétés de leasing, conclu entre la Tunisie et la

Banque européenne d'investissement (BEI).

4 mars 2014 : octroi par la BEI de 150 millions d'euros à l'ETAP

La BEI accorde un crédit de 150 millions d'euros -environ 325 millions de dinars- à

l'Entreprise tunisienne d'activités pétrolières (ETAP), pour l'exploitation d'une partie de la

concession "Nawara", située dans le sud tunisien, pour la production de gaz et de pétrole.

19 juin Tunisie/BEI : 170 millions d'euros pour l'éducation et les PME

La Banque européenne d'investissement (BEI) accorde à la Tunisie un prêt d'un montant de

70 millions d'euros (environ 157 millions de dinars) pour développer le système éducatif et

lance une ligne de crédit de 100 millions d'euros (225 millions de dinars) pour soutenir les

PME tunisiennes.

5 septembre: L'UE accorde à la Tunisie un prêt de 300 millions euros

L'Union européenne accorde à la Tunisie un prêt d'une valeur de 300 millions euros (environ

674 millions de dinars) pour parachever le programme des réformes économiques.

15 septembre: La CE garantit un financement de 5,5 milliards d'euros au profit de la

Tunisie

La Commission européenne annonce avoir arrêté des mesures garantissant un important

financement de l'UE, de plus de 5,5 milliards d'euros (12,547 milliards de dinars) pour la

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période 2014-2015. La dotation indicative pour la Tunisie sera comprise entre 202 et 246

millions d'euros (environ 460 à 560 millions de dinars).

L'UE accorde un don de 104 millions d'euros à la Tunisie...

L'Union européenne (UE) accorde à la Tunisie des dons de l'ordre de 104 millions d'euros

(238 millions de dinars) au titre du programme d'Appui à la relance de l'économie tunisienne

(PAR III) et aussi pour financer, en partie, le programme d'appui des ressources en eau

(PASEAU) et des projets divers.

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MICRO-FINANCE : L'ONG LUXEMBOURGEOISE ADA

PREND PIED EN TUNISIE

Source: Kapitalis Date: 28 Janvier 2015 Appui au développement autonome (ADA), Ong luxembourgeoise spécialisée dans la finance inclusive dans les pays du sud, vient de créer une antenne en Tunisie.

ADA est dirigée par Robert Wagener, en qualité de président du conseil d’administration, de nationalité luxembourgeoise, qui a travaillé de 1976 à 2008 à la Banque européenne d’investissement (BEI) et au Fonds européen d'investissement (FEI), comme secrétaire général.

En plein boom en Tunisie depuis près de trois ans, le secteur de la micro-finance a vu plusieurs nouveaux opérateurs (Tayssir Micro-finance, Microcred – Groupe PlaNet Finance – et Horus Development Finance) venir concurrencer le leader historique Enda.

L'antenne tunisienne d'ADA sera dirigée par Bruno Obegi, directeur Grands Projets à ADA.

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COOPERATION / INTERNATIONAL

UN DON ALLEMAND DE PRES DE 100 MILLIONS

D'EUROS A LA TUNISIE

Source: Webmanagercenter

Date: 19 Janvier 2015

L'Allemagne a accordé à la Tunisie un don 99,9 millions d'euros (221 millions de dinars) dont

26,9 millions d'euros (59,76 millions de dinars), en vertu de deux accords de coopération

technique et financière signés, lundi 19 janvier à Tunis, entre les deux pays. Ces accords, qui

s'inscrivent dans le cadre des domaines prioritaires de la coopération tuniso-allemande,

prévoient la réalisation de projets clés dans les secteurs de la micro-finance, de

l'entrepreneuriat, de l'eau, de l'énergie, de l'environnement, de l'emploi et du

développement régional.

D'un montant de 13 millions d'euros (28,88 millions de dinars), l'accord de coopération

technique porte sur des projets relatifs à la promotion du secteur de la micro- finance et à

l'appui à la décentralisation, à l'entrepreneuriat et à l'innovation. Ces projets seront mis en

œuvre en collaboration avec l'Agence Allemande de Coopération internationale (GIZ).

Mobilisant un financement de 86,9 millions d'euros (un peu plus de 193 millions de dinars),

sous forme de crédits bonifiés et de don de l'Institut allemand de crédits pour la

Reconstruction -KFW-, l'accord de coopération financière prévoit la réalisation de projets en

matière de gestion intégrée des ressources en eau d'efficacité énergétique, de dépollution

des zones industrielles et d'aménagement des décharges contrôlées. «Cet accord ne peut

que réaffirmer l'engagement de l'Allemagne à soutenir la Tunisie en cette nouvelle étape de

son histoire», a déclaré le secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères, Fayçal Gouia, lors de la

cérémonie de signature, à laquelle a pris part l'Ambassadeur d'Allemagne à Tunis, Andreas

Reinicke.

De son côté, l'ambassadeur allemand a réaffirmé le crédit de confiance dont jouit la Tunisie

auprès de l'Administration allemande, annonçant, à ce propos, la visite, dans les prochains

jours en Tunisie, du chef de la diplomatie allemande, Frank-Walter Steinmeier. Cette visite,

a-t-il dit, vient renouveler la confiance placée par l'Allemagne en les choix de la Tunisie et

réaffirmer son engagement à l'accompagner dans son processus d'édification économique et

démocratique.

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SOUSSE: AVIONAV SIGNE UN CONTRAT AVEC

L’AVIONNEUR ITALIEN NEXT AIRCRAFT

Source: Kapitalis Date: 23 Janvier 2015 Avionav, constructeur aéronautique tunisien, a reçu une commande pour la construction de pièces de 9 avions pour le compte d’un client italien.

Le constructeur aéronautique tunisien, situé à Borjine, près de Sousse (centre-est) a signé un accord pour une collaboration technique avec l’avionneur italien Next Aircraft. L’accord porte sur la construction de pièces de 9 aéronefs de type Rider MD3.

La signature a eu lieu lors de la visite en Tunisie, en décembre 2014, du Pdg de Next Aircraft et la commande concerne la production, par Avionav, de châssis ULM Rider MD3, un avion léger aile haute en composite/aluminium, qui va être commercialisé en Europe.

Beaucoup d’autres sous-ensembles de l’avion seront produits, prochainement, en Tunisie, indique Avionav dans un communiqué, ajoutant que les premières pièces produites ont déjà été expédiées en décembre 2014 et janvier 2015.

«Une coopération pour le développement d’un nouveau modèle d’ULM aile basse est en train d’être mise au point entre les deux sociétés», indique encore le communiqué, ajoutant qu’Avionav, constructeur d’avions légers, a déjà construit et expédié une vingtaine d’avions depuis sa création en 2007 vers plusieurs pays comme le Pakistan, l’Iran, la Belgique et la France.

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DES OPPORTUNITES EN TUNISIE POUR LES INVESTISSEURS ALLEMANDS

Source: Webmanagercenter

Date: 24 Janvier 2015

La délégation allemande qui accompagne le ministre fédéral des Affaires étrangères, Frank

Walter Steinmeier, qui effectue une visite de travail en Tunisie, a affirmé qu'il existe des

potentialités et des opportunités réelles pour établir un partenariat fructueux entre les deux

pays.

Cette délégation allemande, constituée de plusieurs hommes d'affaires et de représentants

d'institutions gouvernementales, s'est entretenue, vendredi, avec le secrétaire d'Etat chargé

du Développement et de la Coopération internationale, Noureddine Zekri, sur des questions

ayant trait à la création de projets, notamment dans les secteurs de l'énergie, des TIC, des

industries mécaniques et du commerce intérieur.

Les deux parties ont en outre évoqué le renforcement de la coopération en matière de

formation professionnelle. Cette visite témoigne, selon les membres de la délégation, de

l'intérêt qu'accordent le gouvernement et le secteur privé allemands à la Tunisie, en tant

que destination favorable aux affaires et à l'investissement.

Le secrétaire d'Etat tunisien a souligné que l'adoption d'une nouvelle loi relative à

l'investissement, au cours des prochains mois, ainsi que la loi régissant le partenariat

public/privé (PPP) et les législations en rapport avec le climat des affaires en Tunisie,

constituent d'importantes incitations aux investisseurs étrangers désirant mettre les

fondements de partenariats fructueux avec la Tunisie.

Les avancées significatives enregistrées au niveau de la transition politique dans le sens

d'asseoir les fondements de l'Etat démocratique moderne constituent un levier important

pour renforcer l'investissement, a indiqué Zekri. Il a par ailleurs rappelé l'accord entre toutes

les composantes de la société civile et politique sur la nécessité de réviser le modèle de

développement du pays. Cette révision, estime-t-il, permettra de répondre aux aspirations

nationales et à leurs têtes la création d'emplois et de richesses, outre l'équilibre entre les

régions en se basant sur des créneaux porteurs tels que les énergies renouvelables et les TIC.

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TABLE RONDE TUNISO-ALLEMANDE DANS

L'INDUSTRIELLE

Source: Webmanagercenter

Date: 24 Janvier 2015

Les domaines de la coopération industrielle (énergies renouvelables, industries

pharmaceutiques) ainsi que la formation professionnelle ont été au centre de la table ronde

tuniso-allemande organisée, vendredi après-midi à Tunis, au siège de l'Union tunisienne de

l'industrie, du commerce et de l'artisanat (UTICA).

Les travaux de cette table ronde, qui s'inscrit dans le cadre du renforcement des

opportunités d'investissement en Tunisie, se sont tenus à huis clos. Des hommes d'affaires

tunisiens et allemands ont pris part à cette réunion dont la clôture a été présidée par le

ministre allemand des Affaires étrangères, Frank Walter Steinmeier, et le ministre tunisien

de l'Industrie, de l'Energie et des Mines, Kamel Ben Naceur.

A rappeler que l'Allemagne est le 3ème investisseur en Tunisie, avec 249 entreprises

allemandes pour près de 55.000 emplois créés. Ces entreprises n'ont pas quitté la Tunisie en

dépit de la conjoncture difficile que le pays a traversée après la Révolution (17 décembre

2010-14 janvier 2011).

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EVENEMENTS

LE 1ER SALON STARTUP EXPO DU 18 AU 20 FEVRIER 2015 A TUNIS

Source: Kapitalis Date: 26 Janvier 215 Le Salon Entrepreneurs StartUP Expo 2015 se tiendra, les 18, 19 et 20 février 2015 au siège de l'Utica, à Tunis, sous le slogan «Mon projet, mon avenir».

Selon la centrale patronale, ce slogan vise à inciter les jeunes tunisiens à entreprendre et à créer leur propre entreprise.

«La parole sera ainsi donnée aux entrepreneurs de la nouvelle économie pour insuffler aux Tunisiens l'envie d'entreprendre, mais aussi le goût de l'innovation», ajoute l’Utica sur son site électronique. Les trois journées du salon auront respectivement pour thèmes : «l'entrepreneuriat aujourd'hui en Tunisie, entrepreneuriat solidaire»; «Femmes entrepreneurs: entreprendre au féminin, facteurs clé de succès»; et«Journée nationale des jeunes créateurs et porteurs d'idées: qui peut vous aider?».

En plus du salon, le programme propose des conférences et des distinctions pour les jeunes entrepreneurs ayant brillé dans leurs secteurs respectifs.

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LES 7E JOURNEES DE L’ECO CONSTRUCTION: «LE BATIMENT DE DEMAIN : ECOLOGIQUE ET INNOVANT»

Cibles: Profils des participants et secteurs d’activité Fournisseurs, Décideurs, Prescripteurs, Porteurs de projets innovants, Architectes, Bureaux d’études et Prestataires de services,…. • Energies renouvelables, photovoltaïque, solaire et éolienne • Etanchéité et isolation • Domotique, automatismes, surveillance et alarmes • Climatisation, chauffage, plomberie et piscines • Menuiserie en bois, alu et PVC • Revêtement, peinture et décoration • Bailleurs de fonds, investisseurs et partenariat • Structures d’appuis et organismes • Promoteurs immobiliers écologiques 4 Événements en un Conférences – Expositions – Rencontres B2B – Village innovation Conférences techniques & Workshops Experts, Professionnels et Haut responsables animeront une série de conférences techniques. Ces conférences débattront de thèmes spécifiques autour de l’ECO-CONSTRUCTION, et une occasion de présenter les produits et services de nos partenaires.

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Expositions

Un espace d’exposition avec des stands équipés pour mettre en avant le savoir-faire et les produits aux visiteurs professionnels, décideurs-prescripteurs et acteurs avertis. Cet espace sera conçu pour vous, à travers une équipe réactive qui s’engage à répondre à vos impératifs de qualité. Votre espace personnalisé vous permet de promouvoir votre image de marque, produits et valoriser votre savoir-faire.

Rencontres d’affaires B2B

Les rencontres B2B seront au cœur de cette nouvelle édition. Des entrevues en tête à tête, entre différents intervenants sont prévues au cours des journées. L’objectif est de permettre à des entreprises de se rencontrer, en un temps record, où il est possible de nouer des contacts avec plusieurs interlocuteurs spécialisés.

Village innovation

Les porteurs des projets innovateurs ou d’idées de projets dans le domaine de l’éco construction auront un espace dédié à partir des 7èmes journées. Un espace focalisant sur les nouveaux produits, concept et solutions éco. Des box offriront l’opportunité de présenter les différents produits innovants, services et solutions a forte valeurs ajoutée des jeunes et nouveaux promoteurs face à un parterre de professionnels et investisseurs.

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SOUSSE ABRITE, LE 24 FEVRIER, LE PREMIER SALON

DE L'EMPLOI

La chambre de commerce et d'industrie du centre organise, en partenariat avec l'Agence nationale pour l'emploi et le travail indépendant (ANETI), les sections régionales de l'Union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat et les sections régionale de la CONNECT à Sousse, Monastir, Mahdia et à Kairouan la première édition du Salon de l'Emploi qui aura lieu à Sousse le 24 février courant. Cet événement sera l'occasion aux chefs d'entreprises de la région du centre et du Sahel d'avoir un contact entre près de 1000 demandeurs d'emploi

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PETRO-ENER’2015: SALON INTERNATIONAL DE L’ENERGIE RENOUVELABLE ET DES SERVICES

PETROLIERS

Le Salon International de l’Energie Renouvelable et des Services Pétroliers « PETRO-ENER’2015 » est une opportunité idéale pour les professionnels du secteur pour développer leur notoriété, multiplier les contacts et réussir les conditions idéales d’échange. Ce salon est une occasion pour présenter les solutions innovantes pour l’approvisionnement en énergie. En effet, Le salon se veut un lieu propice pour réunir les différents experts et acteurs du secteur pétrolier, ainsi que les exposants et professionnels dans les diverses spécialités et branches des services pétroliers pour discuter des problèmes du marché au double plan régional et international, mais aussi des technologies nouvelles dans le secteur pétrolier. Le salon est de parvenir à un échange d’expérience et fournir une forte valeur ajoutée pour les entreprises tunisiennes et étrangères attirées par le marché tunisien « PETRO-ENER’2015 » sera une plate forme d’échange permettant à tous les acteurs du secteur de jeter un œil sur la situation actuelle du marché de l’énergie non seulement en Tunisie mais partout ailleurs dans le monde à travers des espaces thématiques, des tables rondes et des conférences animées par des experts de renommée. LES SECTEURS D’ACTIVITES : Energie : Energie hydraulique, énergie éolienne, énergie fossile, énergie solaire, etc.. Services pétroliers : Pipe line, maintenance et accessoires, ingénierie et géosciences, logistiques, transport et appareils de levage, consultants en pétrole et gaz, raffinage, santé, sécurité et environnement, contrôle et expertise techniques, etc… PROFIL DES VISITEURS Directeurs, ingénieurs en génie civil, cadres dans l’industrie de l’énergie, responsables de services de maintenance et accessoires, gestionnaires et techniciens, responsables des achats, consultants, etc…

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BIGDATA FORUM - TUNIS 2015

L’ère du BIG DATA a commencé et les entreprises sont déjà sur le qui-vive pour adapter leur stratégie d’information. Ce phénomène est considéré comme l’un des grands défis informatiques de la décennie 2010-2020 et engendre une dynamique importante tant par l’administration que par les spécialistes sur le terrain des technologies ou des usages. Pour accompagner cette évolution, LEAD GROUP, agence organisatrice de l’événement, a mis au point un programme révélateur des nombreux enjeux liés au BIG DATA: le FORUM BIG DATA, qui ouvrira ses portes le 11 septembre 2014 et qui se positionne comme le prochain grand rendezvous des acteurs de l’univers BIG DATA. A travers 1 journée de conférences, d’ateliers et de rencontres d’affaires enrichissants, pertinents et ciblés en parfait accord entre la théorie et la pratique, le FORUM BIG DATA 2014 abordera les aspects techniques, économiques, managériaux, sociologiques. Cet évènement de référence du BIG DATA constituera le carrefour unique des acteurs les plusdynamiques de la sphère décisionnelle, pour faire le point sur les technologies et les expérimentations en cours sur le marché et a pour ambition de devenir la manifestation-clé de l’IT en Tunisie,révélateur d’une tendance forte du marché. Prédire les tendances du marché, le comportement des clients, les opportunités, les risques: c’est aujourd’hui possible avec le FORUM BIG DATA qui est le rendez-vous incontournable de tous ceux qui souhaitent faire de leurs données un levier de croissance indispensable pour leur entreprise. Informations Pratiques BigData Forum 2015 Le 12 Février 2015 de 8h30 à 17h00 LIEU Technopark el Ghazala à Tunis