Top Banner

of 5

Rev. Sekhmete t La Protectiond u Monde

Feb 25, 2018

Download

Documents

sychev_dmitry
Welcome message from author
This document is posted to help you gain knowledge. Please leave a comment to let me know what you think about it! Share it to your friends and learn new things together.
Transcript
  • 7/25/2019 Rev. Sekhmete t La Protectiond u Monde

    1/5

    GBPress- Gregorian Biblical Press is collaborating with JSTOR to digitize, preserve and extend access to Orientalia.

    http://www.jstor.org

    GBPress Gregorian Biblical Press

    ReviewAuthor(s): Pascal VernusReview by: Pascal VernusSource: Orientalia, NOVA SERIES, Vol. 55, No. 1 (1986), pp. 78-81Published by: GBPress- Gregorian Biblical Press

    Stable URL: http://www.jstor.org/stable/43075369Accessed: 01-05-2015 16:30 UTC

    Your use of the JSTOR archive indicates your acceptance of the Terms & Conditions of Use, available at http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsp

    JSTOR is a not-for-profit service that helps scholars, researchers, and students discover, use, and build upon a wide range of contentin a trusted digital archive. We use information technology and tools to increase productivity and facilitate new forms of scholarship.For more information about JSTOR, please contact [email protected].

    This content downloaded from 128.83.63.180 on Fri, 01 May 2015 16:30:28 UTCAll use subject to JSTOR Terms and Conditions

    http://www.jstor.org/http://www.jstor.org/action/showPublisher?publisherCode=gbpresshttp://www.jstor.org/stable/43075369http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsphttp://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsphttp://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsphttp://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsphttp://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsphttp://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsphttp://www.jstor.org/stable/43075369http://www.jstor.org/action/showPublisher?publisherCode=gbpresshttp://www.jstor.org/
  • 7/25/2019 Rev. Sekhmete t La Protectiond u Monde

    2/5

    78

    RECENSIONES

    Philippe

    Germond,

    Sekhmet t

    la

    protection

    u

    monde.

    Aegyptiaca

    Helve-

    tica 9/1981.

    Publi

    par:

    gyptologisches

    eminar der

    Universitt

    asel

    et Facult

    des Lettresde

    l'Universitde

    Genve.

    Genve,

    ditions de

    Belles-Lettres,

    982.

    [vi]-423 p.

    21x29,6.

    Le point e dpart e cette olumineuse onographiestconstituar 'dition

    critique

    'une

    itanie-supplique

    dresse

    Sekhmet

    premireartie,

    .

    1-99).

    Cette

    litanie,

    ymtrique

    la litanie

    e la

    bonne

    nnedans e

    temple

    'Edfou,

    'insre

    dans e

    crmoniale la fete

    u Premier

    ybi,

    u

    moment

    parviennent

    l'in-

    trieur u

    sanctuairees

    mages

    u

    Fauconvivant t de

    YHorus-Gmhsw,

    prs

    voir

    bnfici

    u ritede

    Confirmer

    'hritage

    mn

    wt).

    ette

    itanie-supplique

    st

    reproduite,ar

    ailleurs ans le

    chambre e l'escalier

    u

    temple

    'Edfou,

    ans la

    chambre

    et dans e

    kiosque

    'Hathor u

    temple

    e

    Dendara,

    insi

    que

    dans e

    temple

    'Isis,

    et aussi Km

    Ombo;

    dans

    ces derniers

    as,

    elle

    est

    intgre

    u

    crmonialu

    repas

    oyal.

    'A.

    fournitn

    synoptique

    es

    diffrentes

    ersions,

    vec

    traductiont

    commentaire,

    t

    dfinita fonction

    u texte:

    arantir

    e

    non

    dchane-

    ment

    es

    pouvoirs

    malfiques

    e

    Sekhmet.

    La deuxime artie e l'ouvrage,e loin a plustenduep.103-355),e veut

    une

    synthse

    es

    documents

    ttestante rle

    de la desse

    comme

    protectrice

    e

    l'univers,

    e la

    monarchie,

    u

    pays,

    t de

    l'individu.

    'introduction

    capitule

    es

    donnes ssentielles:

    ekhmet erait

    riginaire

    u

    Delta

    occidental t

    des

    rgions

    libyques,

    'o son culte e

    serait

    rogressivement

    iffusers e

    sud

    Ltopolis,

    uis

    Memphis, uis

    toute

    'Egypte).

    on

    nom,

    la

    puissante,

    matrialiserait

    en

    quel-

    que

    sorte

    'ensemble es forces

    riginelles,

    ositives

    t

    ngatives,

    ais

    complmen-

    taires t

    indissociables

    ui

    se sont

    rvles a

    Premire

    ois. Son

    iconographie

    remonterait

    u

    prdynastique,

    u

    avant,

    un

    moment

    les

    grands

    rdateurs

    s'avanaient

    menaants

    l'entre

    es

    valles

    occupes ar

    l'homme.

    Originelle-

    ment,

    ekhmet

    ossde

    une double

    nature,

    la

    fois

    malfique

    t

    bonne,

    elle-ci

    rsultante la

    canalisation,

    ans un

    sens

    positif,

    e sa

    puissance,

    analisation

    ui

    doittreraffirmet renforcehaquefoisqu'il y a transition'unephased'un

    cycle

    l'autre.

    Le

    premier hapitre

    nvisage

    e rle de

    Sekhmet

    ans le

    maintien

    e l'ordre

    universel.

    'abord dans sa

    participation

    la lutte

    ontre

    Apophis,

    t,

    corrlative-

    ment,

    u maintien

    e Mat.

    Ensuite,

    ans es

    mythes,

    ythe

    e la

    Desse

    ointaine,

    Mythe

    e la

    destructiones

    hommes

    ui

    illustrei

    bien

    e

    rite

    de

    shtp

    mt.

    n

    revanche,

    ans

    le

    cycle

    sirien,

    e

    rle de

    Sekhmet st

    plus imit,

    t

    sans doute

    secondaire,

    sultant'une

    daptation

    u monde

    outerraines

    thmes olaires.

    ar

    ailleurs,

    lle est ntroduite

    ans e

    cycle

    du

    jeune

    Horus,

    ous

    la

    forme

    'Ouadjyt

    protgeant

    e

    nouveau-n.

    Dans

    le

    deuxime

    hapitre,

    'A.

    tudie ekhmet n

    tant

    ue protectrice

    e

    la

    monarchie. s l'Ancien

    mpire,

    lle

    est

    atteste ommenourricireu pharaon.Celui-ci,yant our chede renouvelera Premire ois chaquefinde

    cycle,

    e

    This content downloaded from 128.83.63.180 on Fri, 01 May 2015 16:30:28 UTCAll use subject to JSTOR Terms and Conditions

    http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsphttp://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsp
  • 7/25/2019 Rev. Sekhmete t La Protectiond u Monde

    3/5

    Recensiones

    79

    peut

    aisser

    e

    s'assurer,

    ar

    une

    filiation

    mtaphorique,

    a

    bienveillance

    'une si

    redoutableesse. a protectione Sekhmete manifestearticulirementl'occa-

    sion des

    importantes

    tes u

    Nouvel

    An,

    en

    particulier

    l'occasion

    es

    rites e

    l'Union u

    disque

    et de

    Confirmer

    'hritage.

    ous

    forme

    'Hathor,

    lle

    contribue

    au retour e l'inondation.e rite

    'Apaiser

    ekhmet

    rend lace

    ussi

    bien

    dans

    e

    culte

    ivin

    ournalier

    ue

    chaque

    fois

    u'il

    est

    ncessaire

    e

    protger

    a

    personne

    u

    pharaon;

    'A.

    en tudie es

    composantes.

    Sekhmet,

    rotectrice

    u

    pays

    t

    de

    l'individu,

    ait

    'objet

    du

    troisime

    hapitre.

    Cette onctioncoule e

    ce

    qu'elle st,

    d'une

    manire

    nrale,

    a

    garante

    e

    Mat,

    l'ordre

    niversel. lle se

    manifesteonc

    dans

    l'anantissementes

    rebelles t des

    ennemis,

    t,corrlativement,

    ans

    'assurance e

    l'abondance.

    'individu

    e doit

    de

    se

    la

    concilier,

    arce

    u'elle

    ontrle,

    traverses

    gnies

    t

    ses

    flches,

    a

    peste

    de

    l'anne,

    'est--direouteses

    calamits,

    orruption

    limentaire,

    pidmie,

    aladies

    (par s'expliquee rledu oub de Sekhmetomme urisseur).ource faire,n

    recourt des

    amulettes,

    olonettes

    apyriformes

    id,

    il

    wdn,

    carabes,

    agues,

    t

    aussi aux statuettese

    bronze,

    ux

    gourdes

    u

    Nouvel

    An,

    aux

    mnct t

    aux

    gides,

    ainsi

    qu'aux

    phylactres

    nscritsur

    papyrus

    u

    tablettes. a

    pit

    personnelle

    e

    cristalliseccasionnellementur

    certaines

    tatues e

    Sekhmet,

    omme

    elledu tem-

    ple

    de Sahour.

    n

    revanche,

    e rle

    de Sekhmet

    ans e

    monde

    es

    morts st

    plus

    effac

    t

    procde

    'une

    transposition

    unrairees

    mythes

    t

    rituels

    osmiques.

    La

    conclusionst suivide riches

    ndices

    dontun

    index

    des

    sources.

    Voil un

    ouvrage

    onnte t

    consciencieux,

    rganis

    utour

    'une

    de

    directri-

    ce,

    l'orientation

    ositive,

    l'aide du rite

    t des

    procds

    magico-religieux,

    e la

    force

    riginellement

    faste e

    Sekhmet.

    u

    demeurant,

    ette

    de

    directrice,

    'A.

    la

    ressasse e

    manire

    uasi

    ncantatoire;

    ommente

    lecteur

    'y

    ouscrirait-il

    as,

    une

    fois e livre erm,i tant stqu'iln'en ft as convaincuvantmme e l'ouvrir?

    Un

    louable souci de

    didactismencite

    'A.

    dvelopper

    bondamment,

    'autres

    diraientvec

    prolixit,

    es

    gnralits,

    'autres

    iraient es

    banalits.

    l

    est vrai

    que

    l'ampleur

    mmedu

    sujet

    n rend a

    matrise

    licate.

    ar ds

    qu'il

    s'agit

    de

    pro-

    phylaxie,

    a

    documentatione fait

    lthorique;

    s

    qu'il

    s'agit

    de

    desse,

    e raison-

    nement

    quatif

    e donne

    ibre

    arrire;

    'il

    y

    a

    peu

    dans

    a

    griffe

    e

    Sekhmet,

    lors,

    regardons

    ous e

    sabot

    d'Hathor,

    n

    vertu e

    l'axiome

    ekhmet

    Hathor

    Aussi,

    l'A.

    tire-t-il,

    e

    plus souvent,

    a

    provende

    es

    temples

    tolmaiques

    t

    des

    rituels

    tardifs,

    ssurment ort

    explicites,

    t

    dj

    bien

    expliqus

    par

    M.

    Alliot et

    J.

    C.

    Goyon.

    Quand

    surgit

    n

    document

    lusdifficile,

    insi e

    rcit

    u

    dmiurge

    u

    P.

    Bremner-Rhind

    7, 3-4,

    on

    passe

    plus

    rapidement

    p.

    134,

    n.

    42).

    Cela

    dit,

    des

    sources

    lus anciennes,

    T,

    Cairo

    Calendar

    etc.,

    uraient

    ourni

    a

    et l

    des

    indi-

    cations yant arfois'avantage 'tre lus prcises,t,toujours,eluid'tofferis-

    toriquement

    'argumentation.

    ar

    exemple,

    . 282-3,

    propos

    e

    Sekhmet

    ispensa-

    trice

    'abondance,

    utre es

    vagues

    pithtes

    tolmaiques

    llgues,

    e

    rfrer CT

    VI, 171,

    -m:

    C'est l'inondation

    ui

    lui

    (=

    le

    chteau

    de

    N.) apporte

    'orge

    de

    Basse

    Egypte;

    'est Sekhet

    ui

    lui

    apporte

    es

    oiseaux;

    e sont

    es

    Souchos

    ui

    lui

    apportent

    a

    pche qui

    lui

    revient: es

    poissons;

    'est

    Sekhmet

    ui-est-dans-son-

    anne

    ui

    lui

    apporte

    e

    petit tail,

    ce

    chteau e

    cetteN.

    Voil

    donc

    Sekhmet

    spcialise

    ans e contrle u

    petit

    tail

    voir

    El

    Sayed,

    Orientalia

    3

    [1974]

    285,

    n.

    107);

    il

    pourrait

    'agir

    de la

    transposition

    ositive

    e

    la

    lionne

    prdatrice

    es

    animaux

    u

    dsert,

    signs

    ussi

    par

    cwt

    comparer

    vec

    p.

    93

    n.

    44).

    De

    mme,

    p. 148-63,

    tiliser ans

    l'argumentation,

    a

    mention

    e

    Cairo

    Calendar

    rVII,

    3:

    ... ce

    jour

    o Sekhmet

    ortit ers

    e dsert

    riental

    pour)repoussera coalitionde Seth.

    This content downloaded from 128.83.63.180 on Fri, 01 May 2015 16:30:28 UTCAll use subject to JSTOR Terms and Conditions

    http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsphttp://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsp
  • 7/25/2019 Rev. Sekhmete t La Protectiond u Monde

    4/5

    80

    Recensiones

    Dans

    l'ensemble,

    e raisonnement

    e

    l'A. est

    impide, arce

    ue simple.

    oute-

    fois, l lui arrive e se mouvoir ansune eau plus imoneuse,n particulierpro-

    pos

    de la crue

    p.

    226-42).Aprs

    voir

    u

    sang

    t eau

    pour

    dmontrere contrle

    de

    Sekhmet

    ur

    'inondation,

    rce

    l'axiome

    voqu upra

    Sekhmet

    Hathor,

    r

    Hathor

    l'inondation,

    onc

    Sekhmet

    l'inondation),

    'A.

    insinue n troisimear-

    ron,

    e

    veux

    dire e

    pharaon;

    ourquoi

    ant

    de statues e

    Sekhmet

    resses

    ar

    Amnophis

    II?

    Eh

    bien,

    out

    implementour

    xprimer

    a dvotion

    fficielle

    la

    divinit

    apable

    de

    lui assurera

    parfaite

    atrise

    u retour

    riodique

    es

    grands

    cycles

    naturels,

    elui de

    l'inondation

    n

    particulierp.

    239).

    En

    fait,

    es

    statues

    sont

    a traduction

    onumentale

    'une itanie

    e

    Sekhmet,

    oublement

    rotectrice

    de

    chaque

    our

    de l'anne

    Yoyotte,

    SFE 87-88

    1980]

    46-75).Quant

    u

    couplet

    oblig

    ur e

    pharaon

    matre e

    la

    crue,

    voir

    Posener,

    e

    la divinit u

    Pharaon

    p.

    58-61

    nulne contestera

    ue

    le

    roi,

    n tant

    u'officiant

    es rites t ntercesseure

    la communautumaine gissede manire obtenir es divinitsa venue de

    l'inondation

    mais

    tout ien

    de causalit

    lus

    mmdiate

    rocde

    e

    la

    mtaphore

    t

    de

    la

    mtonymie.

    e

    mme,

    aut-ilmettre

    u

    compte

    'une

    dvotion

    articulire

    envers

    ekhmet e

    la

    part

    u

    pharaon

    gnant

    haque

    documentato

    apparat

    a

    desse?

    Ainsi, .

    183-4,

    es mentions

    e Sekhmet

    en

    tant

    ue

    membre e la triade

    memphite)

    ans

    le

    P.

    Harris,

    ur

    une stledu

    Gebel el- ilsila

    en

    compagnie

    e

    Ptah),

    t,

    plus

    encore,

    ans un clich

    e la

    phrasologieoyale,

    uffisent-ellesta-

    blir

    que

    Ramss

    II tait anim

    d'une ferveur

    emarquable

    nvers lle? Par ail-

    leurs,

    .

    335:

    La nature oncirement

    ptimiste

    e

    l'Egyptien

    evait

    naturellement

    l'engager

    ne retenir

    e Sekhmet

    ue

    son

    aspect

    ositif;

    rgumentation

    rs ech-

    nique.

    Il

    est

    vrai

    que

    la documentation

    issimule

    arfois

    uelque hausse-trappe.

    in-

    si, propos e la pitpersonnelle,ommentvaluer xactemente qui suscitee

    recours e

    l'individu

    Sekhmet?

    ont-cees traits

    pcifiques

    e sa

    personnalitui

    incitent

    lui consacrer

    es bronzes

    our

    olliciter

    toute

    vie,

    toute ant

    p. 323)?

    Mais demande-t-on

    utre

    hose ux

    autres ivinits?

    e

    mme,

    a

    numinosite

    la

    Sekhmet

    e

    Sahour

    rocde-t-elle

    e la dessedont

    cette tatue st

    l'hypostase?

    Mais

    les

    prires

    elle

    adresses

    tilisentxactement

    a mme

    phrasologie

    ue

    cel-

    les

    prononces

    on

    seulement

    l'gard

    'autres

    ivinits,

    ais aussi

    l'gard

    e

    tout

    bjet

    enti

    omme

    umineux

    sphinx

    e

    Giza,

    voire tatues e roisou de

    par-

    ticuliers lus

    comme

    ntercesseurs).

    e

    problme

    e rsoud

    ans doute en terme

    d'une

    dialectique

    ntre

    ersonne

    t fonction

    omme elle

    suggre

    ar

    Derchain,

    Dictionnaire

    es

    mythologies

    p.

    21-9

    du

    tir

    part.

    ekhmetst

    la foisforce ru-

    tale canalise

    ositivement,

    ais

    aussi,

    desse

    opique,

    t

    considre,

    ans

    son

    lieu

    (ou ses lieux) omme ivinit miurgiquepar mtonymie),tdonc,matresseu

    destin

    e ses

    fidles,

    t

    susceptible

    e

    rpondre

    toutes eurs

    spirations,

    u del

    de sa

    spcialisation,

    ar

    ailleurs,

    ans une fonction

    articulire;

    ur

    e

    problme

    e

    la

    pit

    personnelle,

    oir

    Vernus, olloques

    e

    la Socit

    ErnestRenan

    (Centre

    interdisciplinaire

    'tudes

    t d'volution

    es

    ides,

    es sciences t

    techniques

    , 1977,

    143-5.

    Une

    prcision

    propos

    u bon

    dveloppement

    e

    l'A.

    sur

    Sekhmett la

    peste

    de

    l'anne

    p.

    286-95).

    armi

    es

    calamits,

    a dhrt 'est

    pas

    le malheur

    p.

    292,

    n.

    3),

    mais

    bien

    'agent

    athogne

    t la douleur

    u'il

    provoque,

    uand

    vhicul

    ar

    un

    souffle chan

    ar

    a

    desse,

    l

    pntre

    ans e

    corps

    Vernus,

    dE 34

    [1982]

    121-5).

    e

    souffle

    eut

    tre e

    vent,

    mais

    aussi e souffle

    e la bouche 'une

    parole

    nuisible; n ce sens, e termesrflche, st la foishomophonee sr d-

    mon,

    ommee

    remarque

    'A., p.

    298,mais usside sr propos

    voir

    auneron,

    This content downloaded from 128.83.63.180 on Fri, 01 May 2015 16:30:28 UTCAll use subject to JSTOR Terms and Conditions

    http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsphttp://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsp
  • 7/25/2019 Rev. Sekhmete t La Protectiond u Monde

    5/5

    Recensiones

    81

    JNES 19

    [1960]

    82,

    n.

    82).

    Ce

    qui expliquerait

    'allusion uivante:

    jour

    de

    repous-

    sertoute arole e Sekhmetn ce our (CairoCalendar XXI, 8-9; le signe de

    pn

    est omis dans a

    transcription

    e

    Bakir).

    6,

    rue de l'Arrive

    F-75015Paris

    Pascal Vernus

    Elmar

    Edel,

    Hieroglyphische

    nschriften

    es Alten

    Reiches

    Abhandlungen

    der Rheinisch-Westflischen

    kademie

    der

    Wissenschaften,

    d.

    67.

    Opladen,

    Westdeutscher

    Verlag,

    1981. 98

    S.,

    6

    Taf.

    21x29,6.

    DM

    58,-.

    Nach einer eit

    angen

    ahren

    ortgefhrten

    erie

    von Artikeln

    it

    Neubearbei-

    tungen

    on nschriftenes AltenReiches

    atE. Edel zu

    einigen

    eiteren

    nschriften

    nuneine

    Monographieorgelegt.

    rfat

    inddabei Texte

    us den

    Grbern

    on el-

    Qar

    /

    el-ayyad

    nd

    den beidenGrbern

    es

    Nj-'nh-kij

    n

    Tehna sowie

    einige

    krzerenschriftenus

    Saqqara

    und

    Hagarsa.

    ie

    Arbeit eichnet

    ich

    durch

    ll

    die

    Vorzge

    us,

    die auch

    enen

    frheren

    rtikeln

    emeinsam

    aren.

    n

    eindrucksvoller

    Weise

    eigt

    ie ein

    weiteres

    al,

    n

    welchem

    usma

    krupulse ollation,

    enaue

    Kenntnis er Paralleltexte

    nd der

    zeitgenssischen

    hraseologie

    nd ihre

    konse-

    quente

    Auswertung

    u

    neuen

    esungen

    nd

    einem rheblich

    erbesserten

    erstnd-

    nis auch von

    Texten,

    ie

    schon

    ange

    bekannt

    ind,

    fhren

    nnen.

    eiche

    Ergeb-

    nisse

    fallen abei auch auf

    lexikalischemebietund fr

    die

    Prosopographie

    es

    AltenReiches b.

    Fr

    el-Qar

    el-$ayyad

    at E.

    Edel nebenden vier

    bisher

    ekannten

    rbern

    ein

    weiteres mit Restenvon

    Dekoration nd

    Beischriften

    feststellen,

    r

    Grab und

    IV

    die frheren

    bschriftenor allem

    von R.

    Lepsius

    und

    P. Montet

    ergnzen

    nd verbessern

    nnen.

    n

    Grab

    (Jdw

    nnj

    wird

    amit as

    Verstndnis

    der

    Autobiographie

    nd der

    Schachturkunde

    esentlich

    efrdert,

    r

    Grab

    V

    zu-

    nchst dw

    Mnzl

    als Name

    des Besitzers estimmtnd fr

    ie

    Texte ufder

    Grab-

    front ine

    definitive

    earbeitungegeben.

    n

    dem

    neuentdeckten

    rab

    V)

    ist der

    Name des Besitzers icht

    rhalten,

    in

    Sohn(?) trgt

    en Namen

    Dmd

    ?).

    Wie ein

    Abschnittur

    Genealogie

    er

    n

    el-Qar

    el-ayyad

    estatteten

    rstenfamilie

    eigt,

    habenvon der Titelfllees

    Vaters

    Tiwtj

    ie

    ShneJdw

    nnj,

    JdwMnzi

    und

    Bbj

    nur

    eweils

    inenTeil

    bernommen,

    en hchsten

    angtitel

    ines

    rp't

    dabei aber

    nichtmehr rhalten. Zu den Grbern on el-Qar el-ayyad gl. nzwischen

    auch

    L.

    Habachi

    n

    Biblical

    Archaeologist

    2

    (1979)

    237f.

    Fr die beiden

    Grber es

    Nj-'nh-kij

    n

    Tehna

    werden ie

    Totenkultbestim-

    mungen

    nddie

    Organisation

    er

    Totenpriester

    eu untersucht

    auch hier

    ufder

    Grundlage enauester

    ollation rherer

    bschriften

    Fraser,Maspero,

    ethe)

    und

    verbesserter

    esungen.

    rotz

    llerUnterschiede

    n

    Anlage,

    ekoration nd

    Beschrif-

    tung

    wischen em lteren

    II)

    und

    dem

    ngerenI)

    Grab assen

    ichdoch

    weitge-

    hende arallelen

    nddabei uch

    Konsistenz

    n

    den

    Verfgungen

    um

    Totenkult

    nd

    zur

    Totenpriesterorganisation

    eststellen.

    enau

    dargelegt

    ird abei

    auch,

    wie

    weit

    sichdie

    in

    den

    Texten

    enannten

    inder nd Diener

    des Grabbesitzers

    it

    darge-

    stellten ersonen

    ecken. on

    besonderemnteressest

    auerdem in

    Abschnittu

    Dienerdarstellungenit den seltenen der zumindestrdas AlteReich)sonstnicht

    ezeugten

    iteln

    'w

    "Wscher",

    rj-nfrt

    nd

    mj(t)-

    mUr(w)tS.

    48ff.).

    Orientalia

    6

    This content downloaded from 128.83.63.180 on Fri, 01 May 2015 16:30:28 UTCAll use subject to JSTOR Terms and Conditions

    http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsphttp://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsp