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Repositionner l’Hommeau cœur de la réflexion
Fondée en 2009 par Frédéric Gilbert, Solon propose aux
dirigeants actionnaires, aux familles, aux associations, ainsi
qu’aux entreprises des stratégies de structuration financières,
juridiques et fiscales. Objectifs ? Accompagner leurs prises
de décisions dans un environnement incertain. Comment ? En
concevant des solutions au service de leurs objectifs de vie tout
en veillant à les préserver émotionnellement quant à l’évolution de
leur patrimoine et des marchés. Partir et toujours revenir à
l’essentiel, telle est la vocation des équipes de Solon.
Solon doit son nom à l’homme d’État, au législateur et poète
athénien qui refusait, en son temps, de considérer une vérité comme
acquise. Or, depuis 2008, avec la révélation évidente des limites
des modèles traditionnels de gestion des risques, le prolongement
d’une période d’instabilité structurelle et la remise en cause
progressive des modèles sociaux de notre économie via
l’accélération des innovations technologiques (NBIC), la pensée de
cet homme d’État athénien semble très contemporaine. Solon, dont la
mission consiste à adresser des prestations de conseil global
visant à accompagner le
client dans la gestion de son patrimoine, affiche des ambitions
claires. Fondée sur une appréhension holistique des attentes de ses
clients, il s’agit de construire, au regard de leur situation et de
leur sensibilité émotionnelle face aux contraintes inhérentes à la
gestion d’actifs (capacité à gérer les fluctuations et l’absence
éventuelle de liquidité, capacité à tenir une position dans la
durée en fonction d’objectifs clairs, de seuils de perte et de
scénarios de gestion « du pire », intérêt intellectuel
pour une solution ou tout simplement
plaisir procuré par un investissement particulier), des
solutions d’allocations d’actifs adaptées à leurs enjeux ainsi
qu’aux évolutions permanentes de la société. « Notre expertise
consiste à délivrer une prestation de conseil qui tend à inverser
la hiérarchie des normes pratiquées habituellement dans notre
secteur d’activité », tient à souligner Frédéric Gilbert, 20
ans d’expertise à son actif en matière de gestion de fortunes
orientée vers les problématiques des dirigeants actionnaires de PME
et ETI. Et de préciser : « L’approche traditionnelle de
notre métier en France s’inscrit, en effet, bien souvent dans une
logique fiscale quasi obsessionnelle qui semble occulter la
situation budgétaire du pays. Aussi, bien qu’intégrant dans nos
analyses cette composante qui n’en est pas moins importante, nous
pensons que notre métier doit s’appuyer en premier lieu sur la
compréhension des attentes et de la personnalité de chacun de nos
clients. Laquelle, croisée avec une connaissance approfondie de
leur situation patrimoniale, nous permet de construire, d’une part,
des solutions d’allocations d’actifs totalement dédiées, cohérentes
et adaptées à leurs besoins, et d’optimiser, d’autre part, si
nécessaire, la situation juridique de nos clients ». Pour y
parvenir, Frédéric Gilbert et ses associés, Christian Ensfelder et
Céline Rouvrais (*) (Ils forment, ensemble, le collège
d’associés-gérants de Solon), ont choisi de développer « un
modèle économique équilibré, structurellement rentable, dont la
croissance doit être avant tout qualitative afin de préserver et
d’améliorer, dans la durée, la qualité de service apportée à
(leurs) clients. Comment ? En s’appuyant sur une analyse
volontairement « réaliste » de l’environnement
financier, structurellement déflationniste connue depuis 10 ans. Le
but ? Conseiller sereinement leurs clients sans être soumis à
d’éventuelles pressions de distribution de produits potentiellement
inadaptés, proposés sur la base de biais cognitifs forts, partant
du postulat que « les marchés remontent toujours, la question
étant de savoir quand ». Or, la question à se poser serait
plus justement : « Que peut-il se passer ? Les
marchés peuvent-ils remonter ? ». Cette approche initiale
qui n’est, en aucun cas, pessimiste mais observatrice, au sens
« scientifique » du terme, conditionne fondamentalement
les recommandations fournies par Solon. D’un point de vue plus
structurel, Solon intègre également les aspects liés aux
transmissions, cessions et financements dans ses réflexions. Si la
finalité de l’action menée par Solon tient - comme la majorité des
acteurs œuvrant dans son secteur - au fait de structurer
globalement le patrimoine des entrepreneurs, des familles, des
trésoreries d’entreprises et des associations qu’elles
accompagnent, il n’en demeure pas moins que ce qui caractérise leur
démarche repose sur le fait de s’affranchir, d’une part, de
contraintes extérieures en communiquant clairement auprès de leurs
clients sur leur modèle économique, et de préserver, d’autre part,
leur autonomie, au sein d’un marché très atomisé où les acteurs
sont légion et dont les messages peuvent être contradictoires. De
l’ordre de 3000 cabinets de CGP (Conseillers en Gestion de
Patrimoine) sont, en effet, recensés en France. Quant au nombre de
banques et de banques privées ayant pris le parti de se positionner
sur ce segment, il se révèle, lui aussi, significatif.
Savoir dire « non »Frédéric Gilbert l’explique par
ailleurs : « Notre métier consiste à aider nos clients
à prendre les décisions appropriées. Dans un contexte économique
qui se révèle plus qu’incertain, voire chaotique, il s’avère
essentiel de bien connaître la personne que nous accompagnons et ce
que sont ses projets personnels et professionnels. Raisonner
uniquement d’un point de vue fiscal constitue une
erreur stratégique. Nous ne sommes pas là pour commercialiser
des produits, mais pour concevoir un conseil en nous positionnant
d’égal à égal avec nos clients, étant nous-mêmes entrepreneurs. La
compréhension de cet aspect est très importante, la valorisation de
Solon étant directement liée à la bonne santé financière de ses
clients. Nous nous appuyons sur une approche pédagogique forte qui
nécessite une disponibilité totale, la compréhension des outils par
nos clients étant une variable essentielle de la réussite dans la
durée. Cela permet notamment d’éviter des réactions émotionnelles
fortes en période difficile. Notre ambition majeure ? Apporter
de la sérénité à nos clients, la gestion des émotions dans la durée
étant un élément fondamental de la réussite d’une stratégie
patrimoniale ». Mais, le fondateur de Solon - lequel a,
notamment, été lauréat du Trophée de la gestion de fortune en 2008
et se révèle, également, sportif de haut niveau «
amateur » en athlétisme (Vainqueur du semi-marathon de Paris
2016 catégorie Master, Champion de France sur 5000 mètres 2016
catégorie Master) -n’en démord pas. À l’heure où certains acteurs
de l’économie collaborative tendent à communiquer à travers le
prisme de l’altruisme et du partage bien que fondés sur des modèles
fortement lucratifs, à l’heure où les marchés financiers continuent
de jouer la carte de l’instabilité (crise économique, Brexit,
répartition des richesses, endettement des pays occidentaux,
baisses des taux d’intérêts attaquant fortement les business
modèles des acteurs de la finance), tout l’enjeu repose sur le fait
de préserver une « vraie sincérité » qui consiste à
« informer nos clients sur notre modèle économique et nos
rémunérations et à continuer à avoir, vis-à-vis d’eux, un discours
clair et tranché, au risque de déplaire ». Pour le fondateur
de Solon, le « marketing émotionnel » qui consiste à
utiliser des leviers affectifs est le germe de problèmes et de
désillusions fortes pour le futur, non seulement pour ce métier,
mais également pour la société dans son ensemble. « Nous avons
la conviction qu’un axe essentiel de notre mission consiste, dans
un certain nombre de cas, à protéger nos clients d’eux-mêmes et de
leurs objectifs parfois contradictoires dont ils n’ont pas
forcément conscience. Pour cela, le questionnement et la
communication avec nos clients est essentiel. Pour revenir à la
Grèce antique, cette vision peut rappeler l’approche
« maïeutique » de Socrate qui consistait, par le
questionnement, en une forme « d’accouchement» des
connaissances et des motivations inconscientes des hommes. Il
convient, parallèlement à cela, d’alerter les clients sur certaines
« fausses » promesses proposées par le marché, ces
croyances étant entretenues par un marketing financier global qui
laisse supposer que « l’impossible serait possible ».
Partant du principe que la vie est, par essence, risquée, notre
rôle consiste, également, à savoir dire « non »,
assumant que cette réponse puisse apparaître comme contreproductive
de prime abord. Cette franchise et cette transparence nous
permettent, in fine, de nouer, avec nos clients, des liens dans la
durée et de vivre plus sereinement notre activité en intégrant nos
valeurs et convictions personnelles à notre métier ». Une
approche qui se distingue, vous l’aurez compris, de ce que Frédéric
Gilbert et ses associés qualifient « de l’industrialisation
croissante du métier », puisque conçue en s’appuyant sur la
compréhension fine des besoins, de la personnalité et des émotions
de chacun de leurs clients. Une démarche qui redonne, c’est un
fait, toutes ses lettres de noblesse au sens du mot
« humain ». g
> Christian Ensfelder, Frederic Gilbert, Celine Rouvrais
Ce qu’il en pense…
« Dans un contexte de marchés qui se révèle
particulièrement instable et chahuté, nous avons fait le choix
d’une collaboration avec le cabinet Solon au regard de son
expertise, mais également de sa capacité à nous proposer des
solutions de placement adaptées à nos objectifs à court, moyen et
long termes. Par ailleurs, nous partageons la même vision quant à
l’évolution de la situation économique et financière
internationale ».Prosper Teboul, Directeur général,
Association des Paralysés de France
Experts en ligne de mire…
La force de Solon réside dans ses capacités
pluridisciplinaires : aux côtés de Frédéric Gilbert qui
conçoit les orientations financières, Christian Ensfelder apporte
une expertise de pointe en matière d’Ingénierie patrimoniale (25
ans d’expérience, enseignant à l’Université de Clermont
Ferrand/Aurep : Association Universitaire de Recherche et
d’Enseignement sur le Patrimoine). Tous deux sont épaulés par
Céline Rouvrais, secrétaire générale de Solon (diplômée de l’ESCP
Europe, 11 ans d’expérience dans l’industrie automobile, a été
notamment responsable synthèse contrôle de gestion chez PSA Peugeot
Citroën). Elle supervise les aspects back office et
réglementaires.
FINANCES GESTION DE PATRIMOINE
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Repositionner l’Hommeau cœur de la réflexion
Fondée en 2009 par Frédéric Gilbert, Solon propose aux
dirigeants actionnaires, aux familles, aux associations,ainsi
qu’aux entreprisesdes stratégiesde structurationfinancières,
juridiques et fiscales. Objectifs ? Accompagnerleurs prises de
décisions dans un environnement incertain. Comment ? En
concevant des solutions au service de leurs objectifs de vie tout
en veillant à les préserver émotionnellement quant à l’évolution de
leur patrimoine et des marchés. Partir et toujours revenir à
l’essentiel, telle est la vocation des équipes de Solon.
Solon doit son nom à l’homme d’État, au législateur et poète
athénien qui refusait, en son temps, de considérer une vérité comme
acquise. Or, depuis 2008, avec la révélation évidente des limites
des modèles traditionnels de gestion des risques, le prolongement
d’une période d’instabilité structurelle et la remise en cause
progressive des modèles sociaux de notre économie via
l’accélération des innovations technologiques (NBIC), la pensée de
cet homme d’État athénien semble très contemporaine. Solon, dont la
mission consiste àadresser des prestations de conseil global visant
à accompagner le
client dans la gestion de son patrimoine, affiche des ambitions
claires. Fondée sur une appréhension holistique des attentes de ses
clients, il s’agit de construire, auregard de leur situation et de
leur sensibilité émotionnelle face aux contraintes inhérentes à la
gestion d’actifs (capacité à gérer les fluctuations et
l’absenceéventuelle de liquidité, capacité à tenir une position
dans la durée en fonction d’objectifs clairs, de seuils de perte et
de scénarios de gestion « du pire », intérêt intellectuel
pour une solution ou tout simplement
plaisir procuré par un investissement particulier), des
solutions d’allocations d’actifs adaptées à leurs enjeux ainsi
qu’aux évolutions permanentes de la société. « Notre expertise
consiste à délivrer une prestation de conseil qui tend à inverser
la hiérarchie des normes pratiquées habituellement dans notre
secteur d’activité », tient à souligner Frédéric Gilbert, 20
ans d’expertise à son actif en matière de gestion de fortunes
orientée vers les problématiques des dirigeants actionnaires de PME
et ETI. Et de préciser : « L’approche traditionnelle de
notre métier en France s’inscrit, en effet, bien souvent dans une
logique fiscale quasi obsessionnelle qui semble occulter la
situation budgétaire du pays. Aussi, bien qu’intégrant dans nos
analyses cette composante qui n’en est pas moins importante, nous
pensons que notre métier doit s’appuyer en premier lieu sur la
compréhension des attentes et de la personnalité de chacun de nos
clients. Laquelle, croisée avec une connaissance approfondie de
leur situation patrimoniale, nous permet de construire, d’une part,
des solutions d’allocations d’actifs totalement dédiées, cohérentes
et adaptées à leurs besoins, et d’optimiser, d’autre part, si
nécessaire, la situation juridique de nos clients ». Pour y
parvenir, Frédéric Gilbert et ses associés, Christian Ensfelder et
Céline Rouvrais (*) (Ils forment, ensemble, le collège
d’associés-gérants de Solon), ont choisi de développer « un
modèle économique équilibré, structurellement rentable, dont la
croissance doit être avant tout qualitative afin de préserver et
d’améliorer, dans la durée, la qualité de service apportée à
(leurs) clients. Comment ? En s’appuyant sur une analyse
volontairement « réaliste » de l’environnement
financier, structurellement déflationniste connue depuis 10 ans. Le
but ? Conseiller sereinement leurs clients sans être soumis à
d’éventuelles pressions de distribution de produits potentiellement
inadaptés, proposés sur la base de biais cognitifs forts, partant
du postulat que « les marchés remontent toujours, la question
étant de savoir quand ». Or, la question à se poser serait
plus justement : « Que peut-il se passer ? Les
marchés peuvent-ils remonter ? ». Cette approche initiale
qui n’est, en aucun cas, pessimiste mais observatrice, au sens
« scientifique » du terme, conditionne fondamentalement
les recommandations fournies par Solon. D’un point de vue plus
structurel, Solon intègre également les aspects liés aux
transmissions, cessions et financements dans ses réflexions. Si la
finalité de l’action menée par Solon tient - comme la majorité des
acteurs œuvrant dans son secteur - au fait de structurer
globalement le patrimoine des entrepreneurs, des familles, des
trésoreries d’entreprises et des associations qu’elles
accompagnent, il n’en demeure pas moins que ce qui caractérise leur
démarche repose sur le fait de s’affranchir, d’une part, de
contraintes extérieures en communiquant clairement auprès de leurs
clients sur leur modèle économique, et de préserver, d’autre part,
leur autonomie, au sein d’un marché très atomisé où les acteurs
sont légion et dont les messages peuvent être contradictoires. De
l’ordre de 3000 cabinets de CGP (Conseillers en Gestion de
Patrimoine) sont, en effet, recensés en France. Quant au nombre de
banques et de banques privées ayant pris le parti de se positionner
sur ce segment, il se révèle, lui aussi, significatif.
Savoir dire « non »Frédéric Gilbert l’explique par
ailleurs : « Notre métier consiste à aider nos clients
à prendre les décisions appropriées. Dans un contexte économique
qui se révèle plus qu’incertain, voire chaotique, il s’avère
essentiel de bien connaître la personne que nous accompagnons et ce
que sont ses projets personnels et professionnels. Raisonner
uniquement d’un point de vue fiscal constitue une
erreur stratégique. Nous ne sommes pas là pour commercialiser
des produits, mais pour concevoir un conseil en nous positionnant
d’égal à égal avec nos clients, étant nous-mêmes entrepreneurs. La
compréhension de cet aspect est très importante, la valorisation de
Solon étant directement liée à la bonne santé financière de ses
clients. Nous nous appuyons sur une approche pédagogique forte qui
nécessite une disponibilité totale, la compréhension des outils par
nos clients étant une variable essentielle de la réussite dans la
durée. Cela permet notamment d’éviter des réactions émotionnelles
fortes en période difficile. Notre ambition majeure ? Apporter
de la sérénité à nos clients, la gestion des émotions dans la durée
étant un élément fondamental de la réussite d’une stratégie
patrimoniale ». Mais, le fondateur de Solon - lequel a,
notamment, été lauréat du Trophée de la gestion de fortune en 2008
et se révèle, également, sportif de haut niveau «
amateur » en athlétisme (Vainqueur du semi-marathon de Paris
2016 catégorie Master, Champion de France sur 5000 mètres 2016
catégorie Master) -n’en démord pas. À l’heure où certains acteurs
de l’économie collaborativetendent à communiquer à travers le
prisme de l’altruisme et du partage bien que fondés sur des modèles
fortement lucratifs, à l’heure où les marchés financierscontinuent
de jouer la carte de l’instabilité (crise économique, Brexit,
répartition des richesses, endettement des pays occidentaux,
baisses des taux d’intérêtsattaquant fortement les business modèles
des acteurs de la finance), tout l’enjeu repose sur le fait de
préserver une « vraie sincérité » qui consiste à
« informernos clients sur notre modèle économique et nos
rémunérations et à continuerà avoir, vis-à-vis d’eux, un discours
clair et tranché, au risque de déplaire ».Pour le fondateur
de Solon, le « marketing émotionnel » qui consiste à
utiliserdes leviers affectifs est le germe de problèmes et de
désillusions fortes pourle futur, non seulement pour ce métier,
mais également pour la société dansson ensemble. « Nous avons
la conviction qu’un axe essentiel de notre missionconsiste, dans un
certain nombre de cas, à protéger nos clients d’eux-mêmes etde
leurs objectifs parfois contradictoires dont ils n’ont pas
forcément conscience. Pour cela, le questionnement et la
communication avec nos clients estessentiel. Pour revenir à la
Grèce antique, cette vision peut rappeler
l’approche« maïeutique » de Socrate qui consistait, par
le questionnement, en une forme« d’accouchement» des
connaissances et des motivations inconscientes deshommes. Il
convient, parallèlement à cela, d’alerter les clients sur
certaines« fausses » promesses proposées par le marché,
ces croyances étant entretenues par un marketing financier global
qui laisse supposer que « l’impossible seraitpossible
». Partant du principe que la vie est, par essence, risquée, notre
rôleconsiste, également, à savoir dire « non »,
assumant que cette réponse puisseapparaître comme contreproductive
de prime abord. Cette franchise et cettetransparence nous
permettent, in fine, de nouer, avec nos clients, des liens dans la
durée et de vivre plus sereinement notre activité en intégrant nos
valeurset convictions personnelles à notre métier ». Une
approche qui se distingue,vous l’aurez compris, de ce que Frédéric
Gilbert et ses associés qualifient « del’industrialisation
croissante du métier », puisque conçue en s’appuyant sur
lacompréhension fine des besoins, de la personnalité et des
émotions de chacunde leurs clients. Une démarche qui redonne, c’est
un fait, toutes ses lettres denoblesse au sens du mot
« humain ». g
> Christian Ensfelder, Frederic Gilbert, Celine Rouvrais
Ce qu’il en pense…
« Dans un contexte de marchés qui se révèle
particulièrement instable et chahuté, nous avons fait le choix
d’une collaboration avec le cabinet Solon au regard de son
expertise, mais également de sa capacité à nous proposer des
solutions de placement adaptées à nos objectifs à court, moyen et
long termes. Par ailleurs, nous partageons la même vision quant à
l’évolution de la situation économique et financière
internationale ».Prosper Teboul, Directeur général,
Association des Paralysés de France
Experts en ligne de mire…
La force de Solon réside dans ses capacités
pluridisciplinaires : aux côtés de Frédéric Gilbert qui
conçoit les orientations financières, Christian Ensfelder apporte
une expertise de pointe en matière d’Ingénierie patrimoniale (25
ans d’expérience, enseignant à l’Université de Clermont
Ferrand/Aurep : Association Universitaire de Recherche et
d’Enseignement sur le Patrimoine). Tous deux sont épaulés par
Céline Rouvrais, secrétaire générale de Solon (diplômée de l’ESCP
Europe, 11 ans d’expérience dans l’industrie automobile, a été
notamment responsable synthèse contrôle de gestion chez PSA Peugeot
Citroën). Elle supervise les aspects back office et
réglementaires.
FINANCES GESTION DE PATRIMOINE
55Paru dans Informations Entreprise N°162, Septembre, Octobre,
Novembre 2016