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Quels temps font-ils ?
J’ai croisé un petit bout de femme à un arrêt de bus, elle avait un
violoncelle presque aussi grand qu’elle ; alors que je regardais
l’objet, elle introduisit la conversation : - « C’est lourd à porter ! »
Peu importe l’évidence, je rétorquais : « Cela me fait songer à la
théorie M, celle des cordes… » - « Pardon ? » - « Oui il y a là
généralement 7 ou 11 reflets d’une certaine réalité, un peu
comme 7 ou 11 miroir la reflétant cette violoncelliste dont nous
sommes à la recherche ! » Elle m’aura répondu : - « J’aimerais
bien apprendre ca à l’école ! » - « Cela m’étonnerais que tu ap-
prennes cela à l’école… ! » (…) Plus tard dans le bus, je lui disais
en sortant à l’arrêt chalet : - « Si tu souhaites avoir un entr’aperçu
de ce que je te raconte, tu devrais regarder à l’adresse : quels
temps font-ils ? Il s’agit là d’une histoire du temps qu’il fait, du
temps qui passe… »
Maxime Pirart
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Quels temps font-ils ?
Une histoire du temps psychologique qui fait, du temps psychologique
qui passe, tout simplement !
Maxime Pirart
[email protected]
Édition indépendante
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Préface :
Il m'arrive parfois…
… de dire les choses tels qu'elles sont : enfant à problème
(m'houi), enfant (quelque-part) génial, là est souvent le fait des
parents :
Justement, le fait que je sois un peu des deux parmi le monde,
cette chose étrange à la fin, là est forcément toute une affaire,
et toute une ?
Histoire, non ?
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Ici Murray Gell-Mann cause d'agraindissement, chose qui est
devenue de la décohérence entre temps, c'est à dire très simple-
ment chaque danse son échelle : chaque danse ses constantes
et ses variables qui se perdent et de loin, à chaque fois...
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Il faut que ça fuse :
L'écriture est une histoire de temps cet avaleur des mots, où la
valeur des mots elle, ne se nommerait-elle pas : le prosaïsme ?
Film : « L’Odyssée de Pi » où une baleine s’en donne à cœur joie
parmi les marées luminescentes, (ce qui existe, source : Science
& Vie), entre rêve, délire et réalité ; qu’est l’essence de Dieu ?
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Pourvu que dans notre pauvre pays les choses avancent :
Torres est (il faut dire j’ai eu le père) : François Torres, et puis
Stéphane Torres (le fils), lui m’aura mis à l’Abilify ; bien avisé,
mais dans le fond, les Sophoras sont une clinique où il y a là une
certaine décence de vie, éthique si vous préférez, (vaguement
visible ici sur réseaux sociaux, et ce tout simplement, comment
dit-on déjà ? Spontanément ! (Voyez Mr Vurpas ? Je vous ai de-
mandé d’être visible ; et ? Non rien ; vous n’avez pourtant jamais
gobé de LSD je crois !)
D’où justification de précisions sur vos méthodes (aux uns et aux
autres) :
Maxou Pirart : Mars c'est où dites ? Higer Inteligence Agency ?
Diana Torres : Théâtre des blanc Manteaux ds le 4 eme métro
Hôtel de Ville !
Maxou Pirart : Pour moi, mercy, ce n'est pas Haribo c'est 5000
gouttes d'Aldol : avec pour réponse : « Erreur de frappes mon-
sieur », avec une certitude en poche ? Ça va mal monsieur de la
part de Mr Mahi du secteur arlésien il y a de cela heu 4 ans,
alors que j'attrapais une crise cardiaque ; mais pour quelles rai-
son dites-moi ? Une certitude à la con, dans un milieu qui pour
moi est transitoire, merci (en Français / pas thank you) bonjour
à vous !
Maxou Pirart : Sinon ? J'étais mort, vous pouvez rire, renseignez-
vous ; (sur l’ordinateur médical 5000 gouttes (peut-être même
500) s’affichent en rouge, comment puis-je savoir ce détail) ?
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Introduction : Et si tu vois bleu ciel et moi vert clair, et que t'appelle cela vert clair et moi bleu ciel ? Bien entendu c'est aux contraires, mais : "nous serions alors dans des mondes qui diffèrent tout en ayant les mêmes mots pour les décrire" ! (Cela me vient de mon en-fance, avec ma sœur), nous sommes passés par toutes sortes de couleurs, pour parvenir à la même conclusion...
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Athéologie,
Athéologie est un néologisme entre athées et théologie, athées
est l’ensemble des êtres non croyants, et les théologies traitent
des ensembles complexes des croyances, d’où l’athéologie est
une philosophie qui traite de façon détachée et constructive sur
un peu toutes les croyances !
Dans le fait il ne s’agit ici que de mon petit bonhomme de che-
mins en sentiers, aux creux des livres au cœur du monde, ceux
de savoir…
Je ne me situe pas réellement comme une personne traitant des
religions des uns et des autres, mais y appose mon grain de sel :
où en ce recueil il existe des curiosités littéraires, des phéno-
mènes d’émergences, en lesquels il est fort possible de se leurrer
ou pas du tout ? Bien grande question !
Les intuitions des gens d’alors n’étaient pas fausses, elles étaient
exprimées comme elles étaient exprimées, inclues dans un con-
texte, un milieu, des langues (qui ont étés vivantes durant tout
ce temps)…
D’où ma position est qu’il y a là en ce recueil une part de vérité
aussi, utile ou moins, pas moins exploitable par les uns et les
autres ; car dans l’ensemble je n’ai aucuns préjugés envers au-
cuns peuples, aucunes croyances, aucuns monuments…
Là est le fait, justement d’une façon d’être et de penser qui ne
demande qu’à fuser, que voulez-vous que je vous dise ? Que
donnant donnant a sa propre valeur ?
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Je vois que le monde est un vrai concert…
… de montres qui se remontent à nos poignets, et plus nos pen-
sées fusent et plus nous sommes entendus, là se situe le fait de
la créativité...
Là-dedans je me situe en un point instable qui s'articule autour
des mots « Ravie par la Vie et ses flux et reflux sanguins ? Elle n'a
pas de but autre que d'évoluer » ! Où le cœur, symbolisme de
bonté, de centre de l'âme est un équilibre instable, un équilibre
qui voit parfois des points de ruptures ; il m'arrive d'exprimer en-
fant à problèmes / enfants géniaux, là souvent est le fait des pa-
rents... le fait que je sois un peu les deux est forcément tout un
problème ! Je sais que le savoir vu de moi, aura été longtemps
une échappatoire : je m'évadais du haut d'un niveau 3ème ? Aux
creux des livres au cœur du monde : ceux de savoir (comme es-
sentiellement la série Champ Flammarion d’alors sur les sciences
fondamentales), donc : ces gens contribuent il est évident à une
part de rêve, une part de rêve qui parfois arrive alors que plus
rien n'est rattrapable, alors que reste nous-t-il ?
Cela faisait longtemps que l'on aurait dû s'occuper de moi... Ce
que je ne savais pas que des histoires qui se dénouent comme
des pelotes de laines, ou s'embobinent, n'est là qu'une histoire
de caractère... Sur la radio France Culture je suis tombé sur le
titrage d'un livre de Winnicott : « Une tâche sans fin », je ne l'ai
jamais trouvé alors m'est venu une idée géniale en parler tel : et
si nous l'appelions biodiversité ? Rattrapons les pots cassés ! Je
connais Winnicott d'« Entre jeu et réalité » chose qui ne me cor-
respondait pas vraiment, ce que je sais c'est qu'il y a là une re-
cherche longue entre jeu et réalité avant d'avoir des réponses
concrètes d'un enfant... mais restons simplistes voulez-vous ?
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J'aurais finis « L'inachevable de Yves Bonnefoy » la morale est
une peur énorme d'un livre, dont je ne voyais pas pourquoi ?
Dont l'essentiel est avoir peur d'un livre de l'avoir transmis, de
l'avoir conservé, etc.
En écoutant un appel téléphonique à Harmonia Mundi deman-
dant l’inachevable d’Yves Bonnefoy, j’ai développé un peu la
chose, à l’évidence il s’intéresse aux calligrammes, voire en dif-
férentes langues, à l’évidence, tout cela n’est pas si simple, la
roue tourne, les temps changent et les moyens aussi ; le fait est
d’avoir un combat valable, le fait est d’être présent, quel que soit
son grain de sel ? Hm ! Encore une fois ce n’est pas si simple car
des gens en jouent aussi !
Je suis convaincu que la scientologie (où une conviction n’est pas
une certitude) tourne autour de calligrammes tels j’ai créé mais
de loin et moins ; la question concrète que j'ai au bout des lèvres
est qu'est-ce de plus que déséquilibres fonciers ne mènent qu'à
se relever ?
Alors nous cherchons tous, en un sens comme en l'autre ; enfin
savez-vous que l'innocence si vous me trouvez bête existe, voire
même adulte et quel que soit notre souffrance intérieure, le fait
de ne pouvoir faire de mal à personne...
Un beau jour merci, mais j'avais deux cœurs à porter, un qui bat-
tait pour moi : Giselle Chiari (italienne), et l'autre sa fille d'alors
deux ans, qui ne devais pas croire n'importe quoi : elle avait un
père qui l'aimait et qu'elle aimait ! Mais après cet été flam-
boyant, je me suis mis à écrire vraiment, seulement cela aura pris
bien plus de 10 années pour parvenir à quelque chose dont je
me demanderais toujours la source, autre que la créativité ?
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Recueil : D'après certaines légendes, le monde est porté par une tortue :
un conteur avec un tambourin apportait cette légende à l'esprit
occidental, et le fait est que l'on y discerne l'origine shamanique
des religions, est en ce que se sont des événements catastro-
phiques, dont on s'est fait des épopées, puis des mythe, et en-
suite ? (Il suffit d'extrapoler) ! Pour revenir à nos moutons
d'après les Sioux, Dieu qui était sur son tapis à fumer sa pipe,
s'ennuyait, alors il pris un peu de tabac, de salive, et en conçut
la Terre, et puis les êtres qui se tiennent droit (les végétaux), et
puis les êtres à quatre pattes (les mammifères) et enfin les êtres
humains… Enfin il refit cela deux fois : car lorsqu'il vit ce que les
hommes faisaient du monde : il le brûla ; ensuite il le noya... et
puis il y a là toute une affaire et toute une histoire avec les es-
prits de maitre corbeau, etc. qui parvinrent à convaincre Dieu de
refaire le Monde encore une fois ! Moralité maintenant que les
êtres humains ont la Terre entre les mains, nous verrons, ce
qu'ils en ferrons ?
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Y a-t-il un labyrinthe derrière le labyrinthe ?
Dans le TGV de Avignon – Bruxelles vers Lilles, et oui il me faut
énormément de temps avant de sentir les gens, de savoir les
aborder, alors je devais engager la conversation avec une
femme, et son garçonnet traçait la sortie d’un labyrinthe sur un
emballage Mc Do, je lui demandai tout naturellement si il y avait
un labyrinthe derrière le labyrinthe ? Alors que ses petits pieds
nus étaient posés sur le fauteuil en face de lui, celui de maman ;
comme il ne m’apporta pas de réponse, je lui répondrai sponta-
nément : - « Nous pouvons dévorer un recueil, et puis lorsque
nous refermerons le livre : il y aura là les voies que nous emprun-
terons, les trottoirs sur lesquels nous marcherons, les portes qui
nous seront parfois entr’ouvertes le long ; les mains qui nous se-
ront tendues derrière : parfois de feu, d’autres fois d’eau… » Du-
rant ce temps je regardais ‘les eaux vives’ de Planète Terre, un
moment il se glissa sous la tablette et se mit sur les genoux de
maman avec qui nous avions commencés à parler d’Afrique,
nous nous étions accordés sur le fait que le bord d’Océan était
favorable, pour le sel et les protéines des poissons, une des
sources de nourriture, elle était tout à fait d’accords avec moi, ce
qui me suffit largement pour que ce soit une certitude qu’elle
connaisse l’Afrique ! Alors que nous arrivions au film à un caïman
de l’Amazone se faisant chasser par des loutres, le garçonnet dit
- « de grosses écailles » - je rétorquais : - « les petites mamelles
devant se défendent bien » ! Mais maman, bien accompa-
gnée aussi, m’aura rétorquée : « L’union fait la force ! » Et nous
devions peu de temps ensuite descendre en gare de Bruxelles
Midi !
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Parler d’un film ?
Des racines incertaines, des personnages exceptionnels, des his-
toires de vies atypiques, autrement-dit : très fort en goût !
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Je suis un peu à l’image de cette femme, à l’image d’un silence
théâtrale, d’un manque d’amour pas si simple…
Joli silence vu de moi !
En Arles, alors que nous discutions entre trois gars à la rue, un
ami, et deux petites femmes de passage entre nous, dont une
ouvra la conversation vu de moi… enfin un moment un petit est
passé avec sa maman et a avancé sa main vers la poche d’un des
gars ! Alors j’ai engagé la conversation : - « hé t’as vu ? Le petit
(qui s’éloignait) t’a piqué ton portefeuille. » Le gars à tâtonné sa
poche, surpris ; et j’ai poursuivi : - « non je rigole, il a juste tendu
la main, où ce sont souvent des mouvements induits comme
cela, qui te construisent une personnalité ! » C’est là que j’ai
parlé de ce film, DONOMA, où : « Notre Dame du RER
entr’aperçu un pickpocket très doué, elle retira les objets de va-
leurs de son portefeuille, y glissa son numéro de téléphone, et se
mit en position de proie : en gros elle le voulait, t’as vu ? » Mais
malgré tout biaisé, cette femme n’avait d’yeux que pour ce gail-
lard, voire son bout de chocolat !
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Ne trouvez pas cela normal que mes parents apprécient un peu
la situation, c’est-à-dire que j’ai le nez rond d’un petit clown ?
De plus j’ai eu les bras bandés cause de parents que je voyais oui,
mais qui me déniaient totalement…
Il m’aura fallu plus d’une dizaine d’années pour retomber sur
terre, et ce grâce à une passion issue de la lecture : l’écriture, un
style résurgent un beau-jour ; mais entre temps ? Encore et en-
core du temps, beaucoup de temps pour dénouer les nœuds de
cette putain de vie ? Plutôt celle que m’ont conçue mes putains
de parents, oui !
Notre Dame du RER
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Les portes de l’Occident :
Pont d'Arc sur l'Ardèche : pour moi une sorte d'Origine du monde
d’il y a là la nuit des temps, surplombant ce symbole du temps
qui passe, du temps qu'il fait !
Autrement dit au présent, c’est un beau symbolisme de portes
de l'Occident, voyez-vous ?
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Le temps psychologique qu’il fait, le temps psychologique qui passe ?
Parlons opportunités, opportunités dont j’ai fait tout ce que j’ai
pu pour qu’elles deviennent jolies et appréciables, mais quoi
dont ? Que la courbure de mes pensées, où tout part d’une
phrase qui n’avait pas tant de sens que cela : « je suis avide de
quelque-chose qui n’existe pas, mais que j’imagine très bien » !
Théoriquement, entre ce que l’on pense, ce que l’on dit, ce que
l’on fait ; cela fait trois !
Bien entendu, que mes mots ont pris la couleur et l’odeur de mes
pensées… la façon dont j’y suis arrivé ?
Exclue de tout contexte :
Je suis resté longtemps, très longtemps silencieux au pays des
rêves, où les silences me glaçaient, où les paroles des uns et des
autres parmi les marées vivantes de l’école en Europe, se retour-
naient contre moi, (n’oubliez pas qu’il y a une déchirure, une
sorte de choc des civilisations au creux de ma vie) ! Alors aux dé-
buts moi-même avec moi-même, je marmonnais entre mes
dents ce que j’allais dire, ce qui était lourd, très lourd, mais moi
j’avais les pieds sur terre, je ne savais pas que la vie était un plat
salé sucré que l’on appréciait continuellement, perpétuelle-
ment ! Donc au cours du temps j’ai changé de tactique, j’ai com-
mencé à faire tout comme mon propre théâtre intérieur, à me
faire des questions réponses pour m’élaborer en quelque sorte ;
ce qui, nous y sommes passé, fut efficace côté expression ; mais
pas beaucoup plus !
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La façon de coucher mon père :
Nous avons que peu d’opportunité au cours de nos vies, je pense
avoir saisies celles que je pouvais, où une des seules, si pas la
seule personne que je retiens ici, est ma prof de français en 3ème ;
celle qui m’aura avancé l’écriture, avancé un petit travail de mai-
rie a ma portée. Maintenant que dire d’un père odieux, qui con-
naissait l’Europe, alors que ma sœur est tout aussi odieuse (elle
est arrivée 2 ans avant moi en Europe), là n’est pas le sujet, mais
ils auront joué d’un jeu malsain à en crever plutôt 5 ou 10 fois
qu’une, autrement dit je n’ai pas de famille… Que dire de ces
choses qui se conçoivent ? Qu’en définitif, c’est après un déni
complet de ma personne, de plus de coups de bottes en coups
de bottes, il est arrivé un moment, où mon inconscient qui (vu
de moi) est très loin d’être constitué de façon sociale, dans le
fond, mais des caractères qui s’affrontent, cela vous parle ?
De plus, j’en suis arrivé à générer des stéréotypes fonciers que je
ne suis pas, comme la schizophrénie, etc. Pour quelles raisons ?
Pour ne pas vouloir m’imaginer que les seules personnes à mon
idée sur lesquelles je pouvais m’appuyer, étaient alors qu’on
leurs remuaient les méninges, surtout mon père : un psycho-
pathe qui ne risquerait pas un poil de cul !
Cela aura été jusqu’à ce que je me rende, dans l’ensemble, la
somme et les parties de ces écrits à la mairie saint-martinoise
leurs exprimer, mais combien d’années ensuite les psychiatres ?
Que si le crime parfait existe, j’en gerbe dans mes cornflakes de
bon matin !
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La psychiatrie ?
Ce que j’ai dit très simplement en fait, a une personne dont je
doute des capacités d’appréciations (Fabien) : les médicaments
ne mènent à pas grand-chose dans un milieu dépassé à pleines
coutures par, comment dire ? L’infrastructure psychologique de
ce père : (ici une illusion d’optique) :
Précision, je n’aurais jamais eu réellement les pieds sur terre
avant d’avoir vu le ministère de l’économie et des finances ; au-
trement dit : (lâchons un peu de mou sur l’infrastructure psycho-
logique de mon père), voir plus : non-assistance à personne en
danger s’impose ! Je n’ai jamais vu personne lever le petit doigt
envers ce connard finis, dont certainement personne ne sait rien
(vous me prenez pour un crétin ou quoi ?) Tout ce qui est écrit
au cours de ce recueil, furent des choses développées et redéve-
loppées, où un style cela s’acquière, alors ? Les sûr de vous,
quand je vous parle d’infrastructure ?
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Mes humeurs ?
Ne ressens-tu pas mes mots battre en silence comme des pau-
pières ? Voire plus bruyamment comme un cœur ému et ses flux
et reflux sanguins ? Ne te souviens-tu pas de mes lèvres préhen-
siles envers tes lèvres charnues regorgeantes de ses douceurs
dont tu as le secret ? Ne te souviens-tu pas de l’odeur douce et
âcre de mes humeurs ?
Paupières, iris et pupille ?
Alors que l’aube s’est levée, depuis peu à peu il pleut par ce
temps morose, un temps s’écoulant fluide comme le prosaïsme
de la course des nuages alors que le ciel illuminé, voire teinté
d’un certain spectre s’insinuant en mes yeux humides…
Où ce sont toujours les mêmes larmes qui perlent goûtent et
ondes : où l’ambiguïté de ces larmes sont un peu comme un
monde passé, un peu comme un monde à retrouver ?
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« Nous sommes nés poussières, nous retournerons poussières,
je ne savais pas qu’elles s’étaient formées aux creusets des
étoiles, je ne savais pas qu’elles faisaient partie de l’évolution du
grand tout : de l’Univers, de la Terre et de la Vie ! » Les pieds sur
Terre, la tête dans les étoiles ; se voit ici un obstacle de taille :
concrétiser nos rêves…
Rêve de fleurs et bois en moi, papillon !
Dont le Monde pourrait s’appeler donnant donnant, un monde
de blessés pour la vie, un monde d’échange de fluides de la pen-
sée consensuelle, bien joli mot ma belle, mon cœur s’envole à
tire d’ailes…
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Imagine… Nos petits cœurs, dis ;
Battant sans réel répit… Tout au long de nos vies
De chairs et d’esprits Vies qui elles étant
Exclusivement, Référent
Ciel
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L’Odyssée de Pi !
Si j'en suis là c'est pour avoir créé tout ce que j'ai pu créer autour
d'une personne aura eu confiance en moi, m'aura aimée... un été
flamboyant ! Vous y entendrez ce que vous y entendrez, je n'ai
jamais eu de famille ; ils m'auront détruit de multiples fois, en-
core fallait-il en être conscient... Je pouvais toujours rêver, je
pouvais toujours rattraper les pots cassés... De ce film, « L’Odys-
sée de Pi », Je me souviendrais toute ma vie d'une fleur de lotus
au milieu de la forêt, (expression de danse indienne) :
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Que voulez-vous que je vous dise ?
Nous dévouons tous notre vie à une morale, à une philosophie...
Si j'ai créé tout ce que j'ai créé, c'est pour donner un certain point
de vue sur ce qu'est l'infinitude...
Après toute cette aventure qui s’éternisa, et s’éternisera, tu es
toujours aussi fraiche que la rosée en ma mémoire, mais une ro-
sée pas comme toute les autres : la rosée résultante de cette
nuit, semble avoir trait les étoiles, vidée de leurs scintillance ces
regards du Ciel servant la Vie d'une coupe brisée !
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Pupille, iris & nébuleuse !
Voyez-là en ce titrage, l’atmosphère de ce montage : j’ai été mis
au monde, j’ai une vie, et la Vie est ce qu’elle est en termes d’es-
pèce humaine, aussi ; et oui je m’exprime ! Autrement-dit qu’est-
ce de plus qu’un travail graphique très intéressant sur l’implosion
d’une étoile en singularité (une sorte de non-sens mathéma-
tique), qu’un ouvrage de morphing entre nébuleuse et iris et pu-
pille, s’étendant en l’Univers grâce aux poussières d’étoiles libé-
rées ?
Peut-être se situe là un certain visage de Dieu, c’est-à-dire : ce
que je décrirais par une certaine utilité d’information, de son
évolution, et de sa libération grâce à l’Amour oui mais, devenu
des uns et des autres ? Certainement que le caractère que j’ai au
creux du cœur dépasse les uns et les autres, certainement est-ce
une histoire de vie détruite par un père odieux, certainement en-
core que la part de rêve que j’ai en moi dépasse le dédain que
l’on avait de moi !
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Ces silences qui nous construisent ?
Bien entendu que la vie voit parfois ces phases difficiles, des mo-
ments de sérénités, et une éternité d’incompréhension surtout ;
choses qui découlèrent naturellement vers un certain attrait des
sciences fondamentales : des Origines de l’Univers, de la Vie et
de la création de la conscience : autrement dit, ces choses-là pro-
gressent continuellement avec la conception que l’on se fait de
la réalité !
Tout cela est bel et bien fondé, j’y cherchais alors que l’on me
détruisait méticuleusement de façon presque intime, familiale,
avec qui, parmi mes silences, mes incompréhensions, ne s’est
pas leurré et jeté dans l’Arène ?
Alors j’avance, j’avance encore où toutes ses réponses très su-
perficielles vues de moi qui ai un niveau 3ème français, je les re-
porte forcément à mon propre référent, où je ne prétends pas
être tout le monde, ni personne, mais utile !
Voyez-vous parmi tant d’origines, le film : « I Origins » est une
part de créativité ; mon recueil : « Quels temps font-ils ? » se voit
à l’opposé, aux contraires, pas moins complémentaire : autre-
ment dit ces ouvrages sont aussi de la créativité !
Bien que le sujet soit difficilement abordable de façon abstraite,
il y a ici-bas des choses qui nous dépassent, qui ne se résument
pas à un côté anthropomorphique de façon global, linguistique,
frontalier, etc.
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J’aime la Terre :
J’aime la Terre s’enlaçant et se délaçant de ses ombres ; j’aime
la nuit embrassant le jour et le jour embrassant la nuit ! Si toute-
fois quelque chose nous a menés tous autant que nous sommes
jusqu’ici au cours du festin gargantuesque du Vivant, il s’agirait
plutôt d’un cuistot et de la courtisane un peu théâtrale du XVIIème
Siècle qui s’évanouissait au mot cuisse !
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Le crépuscule ?
Cette zone de pénombre précédente ou suivante à une journée,
est symboliquement un peu plus une fin qu’un commencement,
autrement dit le sens de la Vie, le sens de l’évolution ; évolution
(toute naturelle), faite de révolution terrestres (toutes natu-
relles) ! Ici vu de l’espace :
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Les Feux du Savoir Le soleil se couchant dans de chaudes
lumières crépusculaires, les bras frais de la
nuit, embrassant le relief d’ombres déjà bien
étendues… La faucille d’or dans
le ciel, cette plume ; sera bientôt
bordée de sa couche d’étoiles,
bordant
la Terre
des milles
luminescences
( du ciel ! )
#
Depuis la nuit des temps ;
les humains sont fascinés par cette
danse, mais depuis combien
de temps ils existent ?
#
Avant de la voir
acquise à réel
savoir ?
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La réelle réalité ??? Aux origines de conscience, pénétrantes
pensées en les bruits humides de la pluie ?
Personne n’oubliera jamais mes liaisons avec
cette déesse de l’amour et de la guerre ;
je t’ai sur le cœur et tu y resteras toujours !
Ravie par la Vie
et ses flux et
reflux sanguins ?
Elle n’a pas de but ultime
( autre que d’évoluer ! )
#
Si près des oiseaux et des nuages
Vers les cimes des montagnes du savoir
Mmmhhh’oui je t’ravale, foulant
L’herbe des pieds !!!
#
Tempête c’est déjà vue causée
par le vol d’un papillon
et d’un oiseau !
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Aux reflets d’une certaine réalité :
Vu de moi, l’aube d’une page blanche est une promesse de lu-
mière, ambigüité dont mon choix pour le prosaïsme est aux re-
flets de ce temps qui me va si bien, d’un certain équilibre instable
autour des mots : « Ravie par la Vie et ses flux et reflux sanguins ?
Elle n’a de but autre que d’évoluer ! »
Ce temps qui voit en ce présent des ouvertures, des anfractuosi-
tés où le fluide subtil de l’inspiration s’insère, s’insinue avec la
vitesse grisante (plaisante, excitante), de la modernité…
Les fruits charnus du savoir,
Causer en cohérence, voit les perspectives individuelles s’ouvrir
de façon pas si simple, où l’Individu n’est pas rien, où la Vie pos-
sède un certain mordant parfois démesuré envers les petites
choses que nous sommes ! Des fois je le dis tout cru : « Je pense,
parle et écris tout comme certains calculent le chiffre Pi avec un
nombre phénoménal de décimales après la virgule. » J’y dé-
couvre saveurs et nuances aux creux des mots turbulents travail-
lant avec les horizons singuliers.
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Le relais de la diligence :
Les belles de printemps évapotranspirent leurs parfums mati-
naux, alors que les graminées ondoient sous le vent le prin-
temps et le cours d’eau non loin, s’égaye de ses bruits humides,
bientôt nous arriveront au relais de la diligence ! Un mot issu du
temps semble-t-il ?
Peut-être que l’Univers est ailes de libellule ?
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La mémoire d’un certain passé ?
Il y a là très longtemps de cela, je devais avoir dans les 5 ans, alors
que j’étais descendu dans une petite crique pour voir les vagues
s’échouer sur la plage, un moment une vague pas comme les
autres gonfla au loin, enfla, enfla et enfla alors que la peur mon-
tait ; je devais faire demi-tour et escalader le fond de cette petite
crique, juste mes bras étaient au-dessus, la vague s’écrasa contre
les rochers et m’avala, me submergea, et m’engloutis, je me sou-
viens du pétillant de l’eau comme si s’était hier… Le fait est que
je me suis retrouvé à plat ventre sur la petite plage, me retour-
nant par instinct et regardant toute cette masse d’eaux s’engouf-
frer dans l’Océan Atlantique…
J’étais indemne malgré tout, ce qui est miraculeux ne croyez-
vous pas ? Ne doutez-vous pas ? C’est naturel les vas et les viens,
les flux et les reflux, et puis il y a là un instant figé en moi !
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La physique des catastrophes…
La physique des sphères, une sorte d’horlogerie intemporelle ;
une sorte de travail minutieux à en perdre-halènes, où le temps
ne s’écoule plus réellement autre que viscéralement, que de fa-
çon cérébrale, mais pas que !
De la Vie détruite ?
Rattraper les pots cassés ? Cela n’existe pas mais n’en est pas
moins expression mienne !
Causons de cœurs oubliés ; causons de mémoire qui s’envole…
mais encore ? Causons d’un combat gagné d’avance ; lorsque je
me souviens du cynisme de ma vie, il y a là de quoi en perdre le
cœur ; ce cœur qui s’envole à petit feu !
Ce cœur dont la fleur est d’or ; dont le sang bat à la chamade…
Allons-dont ? Comment aurais-je pu m’imaginer que l’on avait ce
que l’on méritait ? Comment aurais-je pu vivre ailleurs qu’aux
pays des rêves ? Loin de moi tout se sent, cette chose qui s’ac-
quière ; loin de là être écouté, et ce par-delà la raison… mais en
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combiens de putains d’années ? Voire une trentaine ; que vou-
lez-vous que je vous dise ?
Que les seuls points d’appuis que je pouvais avoir sur ces sociétés
civilisées depuis mes 14 ans étaient mes parents ?
Aujourd’hui j’ai 42 ans, et je vomis sur mon innocence ?
A d’autres !
La part de vérité là-dedans ?
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Un horizon de complexité
Bonne intuition sur ce film : INTERSTELLAR (Les textes datent
d’avant ma vision de ce film) :
Cet horizon était, à peu près comme à chaque fois, ma vie, mais
derrière lequel j’ai toujours eu une lueur d’espoir d’y découvrir,
qui sait ? Une certaine vérité sur ce qu’est réellement la réalité,
une autre vie, une autre façon de voir ?
Cet horizon était une fuite éperdue parmi la série Champs Flam-
marion, d’il y a là longtemps ; où mes sujets de prédilection
étaient les Origines : de l’Univers, de la Vie, la création de la cons-
cience… dans l’ensemble ce qu’est la Vie dans la matière, et
toute l’Histoire avec un grand H qui vas avec…
Bien entendu que cette Histoire aux creux des livres au cœur du
Monde vus de moi, est toujours similaire, jamais vraiment iden-
tique ; malheureusement comment dire, parmi ma recherche
s’est insinuée pas mal de psychologie, cette chose avec laquelle
j’ai appris à faire aussi…
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Un milieu où les ondes circulent…
Une galaxie en formation : agrégation des gaz autour d’un cœur
massif autour duquel graviter, qui d’agrégats en agrégats, une
kyrielle d’étoiles se formeront, une kyrielle de planètes aussi…
l’ensemble est plus que la somme de ses parties, ce plus voyant
tout référentiels au centre de l’Univers, nous parle de liens…
De façon surprenante… et moins…
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Les zones frontalières ?
Cela me laisse un goût de rancœur dans la bouche, un goût dé-
plaisant, un arrière-goût comme l’on dit, de stabilité par trop dif-
ficilement accessible, où l’on peut toujours s’imaginer ce qui ne
s’écrit pas ? Ce qui ne se retourne pas ? Mais devant quoi ?
Tout ce que l’on vit, tout ce que l’on croise, tout ce que l’on ima-
gine peut s’écrire où le corps et l’esprit se croisent !
Si l’on en a le vœu, l’en soi et l’hors de soi n’est pas si simple
entre nous autres non plus ; vu d’ailleurs, vu d’ici, vu des uns et
des autres, rien n’est si simple ici-bas ? Pas même une belle his-
toire, elle dépend encore du goût des uns et des autres !
Au diable la violence et la haine, au diable la résultante, au diable
même tout ce qui est fait envers grâce à un but précis, améliorer
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la courbure de mes pensées dans le but d’aimer, tout simple-
ment ; mais tout ce qui est en moi, tout ce qui se sent en moi est
un manque cruel d’amour !
Alors au diable même ce manque cruel d’amour !
Voyez comment on en arrive là : avec un cœur soyeux qui s’en-
vole à petit feu !
Il n’y a aucun préjugé là-dedans, il y a juste l’histoire d’une cer-
taine mémoire, la propre mienne…
Juste l’histoire d’une certaine volonté, la propre mienne :
Être aimé !
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Curieuse ?
© Loisel
La curiosité est un défaut relatif, et la relativité une qualité par-
ticulière :
La faute à pas de cul, qui dit Drü ?
Le fougueux je crois, cette petite bébête bleue dont la particula-
rité est d’être l’hôte de Pelisse, au cours d’une quête aux travers
de contrées infranchissables fantastiques, en quelque sorte à la
recherche de l’oiseau du temps : une sorte d’utopie je dirais, un
peu comme une recherche éternelle…
En voilà de la curiosité, comment dire ?
Débridée ?
Tout-à-fait…
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Alors je me demande ?
Je me demande seulement qui vaut réellement le coup sur cette
planète, l’innocence ?
Théoriquement nous la perdons bien vite notre innocence, dans
la pratique c’est beaucoup moins simple, car il y a là le vice qui
s’insinue, fuse et découvre des failles lui aussi ; autrement dit ?
Un monde parfait il n’y aura jamais vraiment, voyez-vous ? Alors
j’ai opté pour ce qui m’aura semblé être l’essentiel, l’expressi-
vité, soit-elle débridée, et combattre ce vice que je ne développe
pas du tout.
Attention, je ne dis pas que je suis innocent, loin de là, mais je
l’ai été si longtemps…
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La Vie ?
Le temps n’est pas une rivière, le temps est dans la réalité, ce-
pendant il s’écoule, réalité en laquelle la conscience est quoi ?
Suffisamment étendue, vivace et réactive pour y développer de
multiples modes d’expressions et d’abstractions parlantes…
utiles… ou esthétiques…
Où l’essentiel est de participer à cette course entre le bien et le
mal ! C’est une course souvent serrée où rien n’est joué
d’avance, où la Vie est un plat salé sucré que l’on apprécie con-
tinuellement, perpétuellement, et ce jusqu’au mot fin !
J’aime mes songes,
Où la musique est du mou, une ondine dans l’air du temps qui
passe, du temps qu’il fait…
La musique plus l’on y porte attention, plus elle fait partie de
nous…
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Aux Origines, l’Univers devait-être
emplit de points d’inter- rogations, à partir où des jeux d’efforts apparurent tout un tas de réponses
fut fourni, qui ?
Différèrent en cette complexité d’expression
qui caractérise les êtres que nous sommes
chacun au centre de cette chose étrange qu’est notre Monde… les Hébreux m’ont élevés ; c’était toute une af- faire, et les Grecs m’ont mis au Monde… et c’était tout…
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La conscience ?
Bien entendu, parmi « tout se dit »… de « on » dits en « on » dits,
des milieux se conçoivent, des gens s’entr’aperçoivent... Des
gens qui se lient et se délient comme les langues, où le ciel
gangue, si fine couche bleue enrobe le filon précieux qu’est le
Vivant : une réelle palette de nuances bleutées où tout à foncière
tendance à l’équilibre : la matière, la Vie, la conscience…
Image : CNRS
Une sorte d’induction conscientielle, ici devenue humaine ? Une
sorte d’attraction à l’élévation, étonnante sensation que celle de
hauteur, que de difficulté à y parvenir (laisser la terre loin der-
rière), toute une osmose entre écriture et lecteurs, ou si le poète
est un peu l’ombre des mots, les mots sont un peu l’ombre du
poète, aussi !
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Allez savoir pourquoi ? Lorsque le livre s’est dénoué,
je lirais dans un Science & Vie !!!
Mais parmi tant d’autres articles,
un sur la curiosité des mésanges,
juste après j’en sauvais une de la
noyade en notre point d’eau !
Allez savoir pourquoi ?
Faire de la nécessité avec du
hasard, c’est la Vie vous allez dire.
Bien que le genre humain ait
4% de gènes, ou mots génétiques
différents depuis l’ancêtre commun
avec les singes… l’ADN est beaucoup
plus que ce que l’on croyait… étant et
pour chaque espèce ; toute une gram-
maire de gènes ; plus que des mots de
proche en loin identiques ; où chacune
l’écrit au cœur d’elle de façon relative !
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Dualité ?
Il est évident qu’une certaine dualité s’impose…
Sur cette planète beaucoup de choses fonctionnent par dualités ;
où les grandes questions de ce monde :
D’où venons-nous ? Où-sommes-nous ? Où allons-nous ?
Tout cela est chemins et sentiers d’information ; tel une danse
des acquis aux pleines couleurs de l’esprit :
Matérielle… génétique… biologique… voire psychologique…
Avec les symétries par exemple, comme ici :
Et l’amour, cet amour dont il existe tant de formes, où ne croyez-
vous pas ? Ne doutez-vous pas ?
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Mon Dieu, où te caches-tu ?
A l’évidence dans le bleuté du ciel ; où au cours des Temps cos-
mologiques, la matière, la Vie, la conscience, tout cela suivent
leurs propres chemins et sentiers, qui souvent sont lobés, biai-
sés, dans le but de parvenir à leurs fins ; où notre conception de
la réalité n’a de cesse d’évoluer…
Comment raconter ?
Au crépuscule, cette zone de pénombre précédente ou suivante
à la nuit, vu de créatures d’il y a là nuit des temps : comme les
limules, les iguanes, en bord d’Océan !
Les nuages pourraient se teinter de feu, une trainée d’apoca-
lypse s’en suivre, fusant dans le ciel ; vers une extinction de
masse d’il y a la nuit des temps…
Sauf que n’est là qu’un référentiel qui diffère en un pas de plus
vers l’Espace, vu d’une plage de Kourou en Guyane française !
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Souvent,
Souvent j’aime ce qui arrive de temps en temps, des moments
pas comme les autres, des moments dont l’on peut se servir pour
concevoir de petites histoires ; ces moment où nos pensées
coïncident avec ce qui se déroule autour de nous, qu’elles soient
exprimées ou pas, qu’il y ait une part de véracité en ces coïnci-
dences, ou pas…
Théoriquement des gens s’aiment pour ce genre de coïnci-
dences, pour presque rien, ou pour beaucoup, autrement-dit des
histoires qui se conçoivent ; dans la pratique, des gens s’aiment
pour être des caractères compatibles ! Disons que pour moi, ces
histoires qui de remues méninges en remues méninges me tur-
lupinent, sont restées très légères et superficielles…
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De chemins en sentiers :
Cette créativité est enivrante, accueillante, fructifère, charnue,
surprenante… ce que nous devrions nous apporter l'un l'autre,
devrait-être énorme, non ? Mais tu sais je n'aime pas bousculer
les uns et les autres mais les enrober, comme la nuit embrasse
le jour et le jour embrasse la nuit... C'est comme une source de
lumière et une part d'ombre qui s'évade, s'évade et s'évade
vers une nouvelle journée ! J'ai besoin de vous voir, je sais c'est
vif, c'est clair, c'est même comment dire une nouvelle déchi-
rure dans ma vie, une déchirure qui m'apporterait je le dé-
couvre à l'instant un peu de feu pour éclairer mes nuits... Je
sais que tu t'y attendais, que tu me l’as même avancé comme
l'on cueille une pomme... un fruit défendu ; tout un ouvrage à
venir... c'est merveilleux, enfin ? Comme la fin d'une douleur
sereine, mais si douloureuse que j'en suis là moi aussi, un peu
comme une nouvelle naissance ; où j'estime les femmes êtres
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des héroïnes ! Soyons amis pour la vie, d'accords, je... l'amour
m'aura donné tant d'espoir et de rêve qui se sont vu méticu-
leusement détruits par mes parents, j'estime aimer la vie, j'es-
time aimer tout court, j'estime décemment, alors je (je ne
trouve pas les mots) mais je suis blessé au cœur de moi... juste
aimer et puis... renaitre ? Ce n'est pas concevable, non ? Com-
ment dire d'autre que j'ai besoin de délicatesse ? De temps
aussi alors que cette nostalgie naît si vite, non ? Nom de dieu !
Donc as-tu une réponse à mes questions : y a-t-il un après ? La
vie voit aussi ces moments difficile, de sérénité, où avant et
après : je crois que la réponse se situe en : c'est pareil et c'est
différent ! Enfin j’ai découverte au creux des mots une lueur
d'espoir qui laisse à rêver de s'il y a un après d’une façon autre.
C'est l'évidence que malgré le poids écrasant des sociétés (nous)
sur la biosphère, elle ne saurait vivre sans nous ni nous sans elle
(...) J'estime les êtres vivant êtres tous corrélés et même s'il est
vrais que c'est dur à voir, à apprécier, derrière son journal télé-
visé ou internet !
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Le feu & l’eau :
Les songes, les pensées, les réflexions ; sont à l’image du mouve-
menté du feu et ses éclats de sève, sont à l’image de la constance
des remous de l’eau dû au lit du torrent… Dans l’ensemble les
opposées s’attirent, autant que ce qui se ressemble s’assemble…
Où chacun sa part de masculinité, tel le feu, et de féminité, tel
l’eau ; cette ambiguïté génétique mène un beau-jour à une vraie
tornade hormonale menant à la puberté…
La combustion lente du Vivant, n’est-elle pas l’essentiel ?
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Une danse des acquis aux pleines couleurs de l'esprit ; cette
phrase fait songer à de multiples allusions, mais encore ?
Aux chromosomes, à la source de l'embryogénèse, c’est-à-dire ?
Au rêve de plénitude de maman !
Ensuite ? Aux rêves de plénitudes de bébé…
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Hum...
La réalité n'est-elle pas le téton de la Vie ? Elle serait si douce
alors que ce doit être l'amour plutôt je crois, le téton de la Vie...
Cela est mon recueil pour moi, que je découvre en toi ce poten-
tiel dont je souhaiterais tant de fruits à venir, à grandir, à élever,
et qui prendront le large un beau jour... tu vois, je n'ai pas d'en-
fant, mais j'ai une empathie naturelle étonnante de temps en
temps avec les enfants... tu sais ils ont leurs moments, et nous
les nôtres !
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Les horloges biologiques ?
COSMOS, est encore une fois une Histoire du Temps, avec un grand H ; il est intéressant, très intéressant d’y voir mêlée la Vie à l’Univers ; et j’aime les concepts qui y sont abordés tout sim-plement d’actualité, voyez-vous ?
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C'est une chose étrange
à la fin que le monde :
Est un roman de Jean d'Ormesson publié le 23 août 2010 aux éditions Robert Laffont. Le titre de l'œuvre provient d'un des vers du poème du même nom d'Aragon, ancien ami de Jean d'Ormes-son que ce dernier avait essayé de faire entrer à l’Académie fran-çaise. Le vers suivant du poème, « Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit », constitue le titre d'un autre roman publié par l'auteur en 2013.
Résumé : Qu’est donc la vie ? D’où provient-elle ? A-t-elle un sens ? Com-ment se fait-il qu’il y ait un Tout et non un rien ? Comment fonc-tionne ce Tout qu’est l’Univers ? Est-il permis d’espérer Dieu ? Est-il permis d’espérer à un autre Tout après la mort ? Voici les principales questions que les philosophes, les mathématiciens, les scientifiques, l’Homme, se posent depuis trois mille ans. Ces mystères sont passés par la théorie des quanta, par la loupe des philosophes grecs, par les microscopes intellectuels de Darwin, Planck, Newton et bien d’autres. Depuis quelques siècles, les idées et les découvertes s’accélèrent. La raison et ces puissants alliés que sont la science, les chiffres et la technique gagnent en puissance, semblant reléguer l’image divine à la place d’une im-pératrice détrônée, d’une puissance déchue. Jean d’Ormesson nous propose alors, avec ses mots et sa gaité rigoureuse, de se pencher à nouveau sur ces questions, mais d’une manière nou-velle. C’est une nouvelle histoire de la philosophie, une histoire abordée de façon neuve au lecteur, un chapitre du grand roman fabuleux de la Vie, de l’Univers et surtout des Hommes.
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Il y a là une époque pour tout,
Il est bien facile de couper coller de bien belles doctrines miracles
pour parler des réseaux sociaux, mais le sens de l'évolution ne
changera pas de sitôt, ne croyez pas que je me dore le blason,
l'évolution se conçoit par l'amélioration du substrat (sociétaire
pour l'être humain)… les grandes extinctions ne se voient pas à
la racine du sujet ; mais y contribuent pas moins !
À c’t’heure, nous vivons une période critique, faire progresser
l'information, vu de chacun de nous, essentiellement vu de moi,
les personnes à problèmes, histoire d'une meilleur empathie
avec le sujet, font progresser les choses : où mes psychiatres ré-
férents en la littérature sont : Boris Cyrulnik et Carl Gustav Jung
(proches l'un et l'autre de mes problèmes, voyez ?) Je ne suis pas
simple à cerner, à appréhender, et cependant la Vie à ce qu'elle
veut ! Comment aller à l'encontre ?
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Psychologie :
Comment fonctionnent les pensées ?
Mon favoritisme sur le sujet est, il est vrai : les pensées sont en-
racinées en tous les êtres Vivants, que j’estime corrélés ; où le
poids des sociétés est écrasant (problème d’écologie, humains
et de crise qui est globale) ; bien-entendu que la majorité des
gens surnagent d’une façon qui m’est étrangère, et même cer-
taines masses minoritaires ou moins, car j’ai grandi toute mon
enfance en Afrique en tant qu’expatrié ! J’étais ébloui par ces so-
ciétés, cependant j’ai vécu une sorte de déchirure psycholo-
gique, de choc des civilisations, que j’ai très mal vécu vers 14 ans,
un âge critique sexuellement, enfin il y eu signes sur signes de
détresse de ma part, mais aucune réaction de mes parents ?
Alors que j’étais seul parmi les marées vivantes de l’école, une
crise de larmes : pour seul réponse – « qu’est-ce que tu fous là ? »
La petite mélodie de The Wall des Pink Floyd que je décrirais :
mélancolie mon amie ! Une plongée aux creux de la série
Champs Flammarion qui s’éternisera ! Mais pire encore, aux ori-
gines la prof de français m’aura orienté vers un travail de Mairie
à ma portée, dénié purement et simplement par mes parents…
Toujours ? Bourré de coups de bottes en coups de bottes j’étais
acculé de culs de sacs en culs de sacs, sans en avoir conscience…
Maintenant j’ai 42 ans ; où je ne savais pas que parmi « tout se
dit », de « on » dits en « on » dits des gens s’entr’aperçoivent,
des milieux se conçoivent… Où « on » n’est pas si simple vu d’une
personne, ni si complexe (parfois) !
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Enfin ?
Je crois encore en le concept de neurones miroirs de Boris Cyrul-
nik : où notre cerveau fonctionne toujours à flux tendus, où nous
sommes tous à la recherche de notre reflet en tant que mammi-
fère social…
Vu de moi,
Les mots créent des fleurs élaborées se formant et se reformant,
l’ensemble se dissipant dans la ramure de l’écriture, où les mots
parfois deviennent étonnant référentiels, là se situe une lueur
d’espoir de l’autre côté d’un horizon de complexité, où les mots
se voient êtres inducteurs de Vie !
La réalité,
La réalité se dérobe continuellement, perpétuellement à nos
pieds sous nos avances, voyez ? C’est joliment dit, c’est sans fond
n’est-ce pas ? C’est l’ambiguïté-même d’une danse des acquis
aux pleines couleurs de l’esprit ? Cette parure se voit à l'origine
de toute création, il y a là Orphée, précédente à Morphée la
déesse du sommeil, donc Orphée, lorsqu’elle ouvra un œil : Les
dieux apparurent, etc.
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Abstractions,
Il y a là le pays des rêves,
Choisis-t-on seulement ses rêves, ses chemins, ses sentiers ?
Choisis-t-on seulement nos caractères, nos parents, nos convic-
tions ?
Tout cela, ici-bas et dans le sens du temps, (en deux fois trois
mots), est induit tout simplement, voire très superficiel !
Le fait de la superficialité est de garder au cœur de soi sa person-
nalité, où mes convictions sont : chacun sa liberté de s’exprimer,
ses coups d’éclats, et ses convictions, parmi le mélimélo drama-
tique de la Vie !
Concrétiser ses rêves est fort possible, ne croyez-vous pas ? Ne
doutez-vous pas ?
Toute information est assimilable, et quand-bien même chacun
son potentiel, sa rentabilité, parmi ce que j’estime un optimum
de viabilité : la Vie tout simplement…
Il faut souvent faire abstraction de beaucoup pour être heu-
reux aux creux de cette Vie, du petit monde qui l’habite, non ?
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Le fin mot de l’Histoire ?
Plus nous regardons loin dans le ciel, au-delà de notre étoile, vers
l’infiniment grand, là nous nous approchons d’un certains fossile
des Origines Universelles !
Et plus nous regardons en profondeur, en-deçà des belles de
printemps, vers l’infiniment petit, là nous nous approchons
d’énergies des Origines de l’Univers !
Et tout cela s’étends et évolue avec nos conceptions de la réalité,
sans que personne n’aurait jamais le fin mot de l’Histoire, sinon
à quoi bon vivre de générations en générations ?
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Un îlot aux creux du Vide : Vu de moi, la réalité portant les peuples, leurs religions, leurs
monuments, est un îlot aux creux du Vide :
Ce Vide partout dedans, partout autour…
Ce vide dans l’air que nous respirons,
Sinon il n’y aurait pas de brise ni de vent !
Ce vide dans l’eau que nous buvons,
Sinon il n’y aurait pas d’ondes ni de vagues !
Ce vide dans la roche que nous touchons,
Sinon il n’y aurait pas d’érosion, ni de monuments !
Ce vide dans l’Espace que nous découvrirons,
Sinon il n’y aurait pas d’obstacle ni d’évolution !
Se voit ici un obstacle de taille, concrétiser nos rêves, les pieds
sur Terre, la tête dans les étoiles...
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Parmi tous s’écrit : En un instant, furent induit des mots Universels…
En un moment furent induit des mots de Vie Terrestre…
Un beau-jour, furent écrit des mots d’Amour…
Un autre beau-jour, furent écrit des mots pour une belle !
Une belle aux feulements féline,
Une belle aux mouvements fauves,
Cette Vie faisait partie des mammifère…
Encore ? Furent écrit des mots de nos mains,
Des mots qui furent écrit la veille ;
Et parmi tous s’écrit, un recueil voit le jour !
L’œil au début du film : Pandorum (fiction) !
Le sujet de ce recueil est une recherche méthodique et spiri-
tuelle, de l’existence de Dieu (en latin) !
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Mon retour fracassant en Europe ?
Je commence a beaucoup trop comprendre cette machinerie
qu’est le Luxembourg, mais pas que : autour d’une roue de sa
démesure enrayée depuis près de 30 ans !
A commencer par j’ai toujours été ce que je décrirais au présent :
une petite coquille de noix, fermé sur moi-même et sincère…
Nous avions grandis en Afrique (ma sœur est de deux ans mon
ainée) ; jusqu’à 14 ans car la mission laïque s’arrêtait en 4ème !
Alors que nous étions de retour définitif d’Afrique, il y eut tout
un tas de signaux de ma part : comme une petite mélodie mé-
lancolique au possible (l’intro et le final d’une cassette des Pink
Floyd : The Wall) ! Fredonnée continuellement…
Comme le livre de Jean d’Ormesson où il aborde le sujet de
Mourmansk, cette base de sous-marins nucléaires en Russie, qui
ne demandent qu’à crever et déverser leur poison nucléaire dans
les Océan de la planète… parmi tant de superficialités que cela
me toucha : Un soir j’ai eu une crise de larmes moi qui était seul
parmi les marées vivantes de l’école en 3ème, alors je me suis mis
dans le lit de mes parents pour pleurer, et oui vers 14 ans ; seule
réaction : - « qu’est-ce que tu fous là ? »
Il est évident que la pédopsychiatrie, voire psychanalyse s’impo-
sait ; Frédérique, un médecin faisant partie intégrante de la fa-
mille aura dit à mon père : « ton fils a de sérieux problèmes de
communication », et pas de réactions encore une fois…
(Sa aussi, je l’aurais appris très tard)…
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J’ai redoublé la 3ème et parmi cela je me souviens que de deux
noms : Jérôme et Nassima ; vous imaginez l’échange que je pou-
vais avoir ?
Nassima je lui écrivais de petits mots très forts en goût, et Jérôme
est venu une fois chez moi...
Alors la prof de français m’aura orienté à la sortie de la 3ème vers
un petit boulot à ma portée : bien entendu ? Mes parents
m’avaient dessinés un avenir vernis (au point où nous en
sommes caricaturons : ‘l’Afrique c’est chic’, l’électrotechnique te
permettra de réussir. Je me suis rendu à la mairie, où un adjoint
m’aura proposé ce boulot, l’évidence est que cela me convenais
mais que je parlais aussi de cette formation en électrotech-
nique…
Alors de retour chez moi, vous entendez bien qu’ils étaient les
seuls personnes sur lesquelles je pouvais m’appuyer, ici ; alors
j’ai posé à mon père la question la plus pertinente qui me vint à
l’esprit : « qui a parlé, nous qui sommes seuls parmi tous ces
gens ? » Mais sa seule réaction fut, récapitulons : « l’Afrique c’est
chic » !
Ici nous sommes au début d’une déconstruction progressive et
méticuleuse de ma personne ! (88/89)…
Alors j’avais 15-16 ans et je me noyais dans la série Champs Flam-
marion.
L’écriture s’imposait de plus !
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La centrale de Cruas !
Pour se rendre à Pinol, en Haute-Loire, on passe devant cette
centrale nucléaire, je crois que j’ai créé pas loin de ce château de
cartes en calligrammes (ces sculptures de mots), je n’en ai con-
servé que les plus pertinents, les plus conceptuels, mais en prio-
rité : ceux qui me collaient le plus à la peau ! Alors voyez là une
peinture à laquelle j’identifie beaucoup nos châteaux de sables,
souvent fait par mon père, des châteaux qui étaient continuelle-
ment effacés par les vagues à la marée montante, soit par les
vagues…
Coquille Saint-Jacques ? Hm ! Mon cul oui, mon père s’appelle
Jacques ! Écrire ? Hm ! Mon cul oui ; en définitif, c’est envers et
contre tout que j’ai écrit, alors que plus rien d’autre n’était pos-
sible, au vu de qui que ce soit !
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Le petit village de Pinol
Un endroit où l’on fait des mômes,
Tout près du petit village de Pinol ;
En Haute-Loire où j’adore les loirs,
On fera des glissades sur les fesses
En les ayant sur le dos,
Pour descendre dans le vallon,
Où se situe une ancienne mine d’or
Où la nature est reine… où les aléas
Singuliers : me font me demander ?
Pinol est un village qui me fait songer à « La clef des champs »,
ce monde en calligramme, il s'agit de Carine et Frédérique, avec
leurs enfants…
Au fond de la marre : deux tritons s’ébattent :
Gain de sel France Culture : « La clef des champs » est un recueil
oublié et un procès qui aura abouti…
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La clé des champs : Ce film est l'histoire intérieure d'un bien petit bonhomme et
d'Iris, l'induction conscientielle vers un monde meilleur vu de lui !
Que voulez-vous que je vous dise ?
Qu'il est temps de faire avec ce qui est, où ce n'est pas si simple
ni n'importe quoi ; que lorsque l'on réagit il est souvent trop
tard ; que les livres et la lecture sauvent certaines personnes...
tout cela est vrai ! La clé des champs est pour moi : miss Terre
rieuse, où être libre comme le vent n’est pas du tout constructif
psychologiquement ; mais en définitif, grâce à mes mots, je n’en
suis pas moins là : le côté masculin est plutôt oiseau, et le côté
féminin plutôt papillon...
J'aime cette image réaliste, expressive, mes anges aussi !
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La moins belle histoire ? Oui, les réseaux sociaux sont une sorte de recherche comme il
s'est trouvé souvent, depuis certain croquis (qui ne rimaient à
rien) jusqu'à, comment dire ? Des choses beaucoup plus fondées
(où je rajouterais mon propre grain de sel : (cette danse des
chromosomes : donne n'importe quoi comme résultat : c'est à
dire êtres vivant / humains, et quelque soit les racines) ! Mais il
est vrais, qu'en termes d'être en lui-même, collecter des info par-
fois sauve, (mais rapporte quoi envers des êtres incrédules) ? Qui
savent jongler entre différentes façon de procéder ? (Personnel-
lement je me souviendrait toujours d'un mafioso dans sa ca-
bane, sans télé, sans rien, sans même machine à laver, qui fut
arrêté pour avoir laissé une lettre dans son sac de linge sale (à
laver)) ! Où le côté cartésien (enfin la police quoi), est une chose
en laquelle les faits priment ; (histoire de parents sans scrupules
aucuns, je fait en partie partie de la psychiatrie) : ce n'est pas
catastrophique, mais il aura fallu tellement de temps pour que
cette histoire évolue : qu'il m'est difficile de ne pas utiliser le mot
‘autisme’ et à la fois de créer !
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Faut-il que je te sorte une histoire des rats de P’tit Luc ?
Il y a là Edgard qui malencontreusement était le nom de mon
grand-père, donc Edgard amène en cette décharge quelques
autres rats de laboratoires, évidemment fallait les connaître les
petits gris, la première question qu'ils se posent est : « Il n'y a
rien à bouffer ici ? » Ensuite ils tirent n'importe quoi n'importe
comment comme rates, et en définitif ?
Ils finissent à la broche ! Alors Edgard rentre dans son Labora-
toire en bon connaisseur ; faut-il que je précise que nous ne
sommes pas des rats ?
Qu’en termes humains, c'est beaucoup plus complexe ? Là il ne
s'agit (symboliquement) que du début de l'histoire... il y a 30
ans de cela, notre retour en Europe…
Est-ce que cela s’arrête là ? Faites-moi rire : demandez-vous si
Carl Gustav Jung, par exemple était un rat ?
Qu'y voyez-vous ? La pensée Universelle ? Où avec un neurone
cela pense encore ? Nique encore ? Faut-il que je vous précise
qu'en terme d'esprit une boite blanche est un peu un géno-
type, et la nature un phénotype ?
Ensuite au vu de son vécu de ce qu'il fait, vous avez là : Boris
Cyrulnik, ainsi qu'un monde durable de science & vie, où il ex-
prime la modernité pas si simple, où l'on peut très bien avoir
deux spits de bidoche pour chien ou chat sur son frigo en ou-
vrant une boite pour nourrir ses animaux !
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Un album parmi d’autres, Où je ne me leurre pas c’est bien que la psychiatrie a participé
à mon malheur malgré toute ma sincérité, malgré tout ce qu’ils
savaient de moi, sans plus de raison que leurs oreilles collées
au plafond, aucune conversation, et des surdoses de pilules qui
riment à ? Une sorte de camisole chimique, ce qui arrange bien
les oignons de mon père (essentiellement, voyez ou pas) ?
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Voulez une charade, une histoire drôle ?
Le suscité Edgard est dans le fait symbolique : mon père, ensuite,
je vous sors un morceau de saxophone si vous le souhaitez ? Là
se situe ma personnalité…
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Points de ruptures psychologiques !
Que voulez-vous que je vous dise ?
Que malgré tout porter son fardeau durant une éternité, ensuite
combien d’années ai-je écris, écris, et écris ? Il y a là en ce recueil
une évidence, cela fait longtemps, très longtemps que l’on aurait
dû s’occuper de moi, voire j’aurais très bien pu m’occuper de moi
tout simplement (avec un petit travail de mairie) ; mais malgré la
part de rêve contenue en ces calligrammes, malgré un certain
vécu ?
Difficile à dissocier les choses, alors que dans le fait, j’en suis con-
vaincu, n’est là qu’une aptitude ; où très certainement aurais-ce
été trop gentil, trop con, n’en suis pas moins là !
Une solitude qui s’éternisa et cette seule règle que je recon-
naisse de la Vie, la vraie : donnant donnant !
Dommage une dizaine d’années de psychiatrie pour arriver à ?
On en arrivera à la fin du monde plus tard, il y a là ce qui est rien
enfin vu de moi, sauce ça pue ou pas ? (Voyez le côté psychia-
trique de la chose ?) Et ce qui est profond, m’aura été vendu plus
vite que la musique de retour en Europe il y a là une 30 aine d’an-
nées de cela, avec l’essentiel une certaine proximité de vie fami-
liale…
Au pays de tout est perdu d’avance, nous en sommes là !
Vu de moi, rien n’est perdu d’avance, et Dieu merci j’ai encore
une conscience, une morale, etc.
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Ce qui est rien ?
Il est étonnant que des réactivités, qui en fait sont toutes natu-
relles de rejets, en découlent ? Vous voulez toute ma sincérité ?
D’ailes d’anges je me suis brûlé les yeux, ce poison je le sais au
creux de ma paume, dont les dents ont fait voler en éclat ce châ-
teau de cartes… (Histoire de gendarmerie saint-martinoise).
Des fois remonter le courant est encore possible malgré tout, et
cependant j’affrontai mes parents qui sont singles à lier, proba-
blement effondrés sous leurs montagnes de pognons, prenons
toute l’ironie qui s’impose, où le fric s’il ne sent pas à un poids,
je suis la lavette de mes parents qui se torchent à peine.
© Jean-Pierre Luminet, physicien et passionné d’expression…
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Qu’en reste-t-il ?
Tu sais, belle note ?
S’il existe des points de non-retour, il ne s’agit pas de moi, et s’il
existe des points de ruptures psychologiques, (qui vus de moi
sont non souhaités) ; ensuite des gens comme Boris Cyrulnik
abordent le sujet aussi de capacités qui dépassent celles d’un
seul cerveau, peut-être est-ce histoire de rattraper les pots cas-
sés, vus des uns et des autres ; (ce qui est catastrophique seule-
ment) ? Réaliser qu’il y a des milieux desquels on ne sort pas sim-
plement du tout, voyez-vous ?
Mélodia drammatica :
L'avant et l'après ? Qu’en pensez-vous ?
Tout cela s'écoule de mes mains réunies en récipient alors que
j'y bois quelques goulées de déraisons : les femmes et leurs pou-
voirs ? Éthérées, libre pensantes, ondulent comme des
flammes... Que ne ferait-on pas au nom des femmes ?
Ma petite personne aura écrit à la déraison, peut-être autour de
nos cœurs perdus, de nos cœurs qui se sont petit à petit noyés,
et qui est responsable ?
Je n'y vois que deux vies détruites pour la vie, je n'y vois que cha-
cun ses desseins, et sa mémoire... avec beaucoup de temps j'en
suis ici au présent :
L'évidence est une vie détruite qui se relève, la mienne, et un
soleil qui se couche parmi les coquelicots, voyez ?
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Mon étoile filante ?
Que dire ; que méritions-nous ?
Que dire ? Mon étoile filante !!!
Hormis :
Ce que j’aurais aimé verser, mes
Larmes de sel et de sang, devant
Cette femme ayant été mienne ;
J’ai un cœur gros comme :
Planète Terre !
Hormis :
Tu fais partie du passé, ma belle
Souvenue, en vrais sans savoir ?
Je t’ai sur le cœur tu y resteras ;
Longtemps, toujours… qui sait ?
Bonne mère je t’aime, je te hais
Je ne sais pas, je ne sais plus du
Tout quoi faire, hormis !!!
Crier ma détresse,
Moi aussi.
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Voyez-là de la relativité :
Les Islandaises à gorge déployée contre la censure :
Personnellement j'ai l'esprit plutôt féminin, où j'ai découvert le
machiste spontané contenu en la langue française qui est la
mienne ! Cela m'a mené de façon intuitive, à me souvenir de la
première femme à s'envoler dans l'espace, et me dire que ce
genre de jeux de tentions et d'efforts contenus (hormis quelques
exceptions archaïques : les matriarcats) en les langues du
monde, sont la source de l'accident qui eut lieu (où il y a une part
de vérité en tout, s'appelant la raison), ce qui en découla c'est
que les pionnier, il y a la belle histoire, et la moins belle histoire
(enfin celle des gentils et des méchants) !
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Les oiseaux de nuits,
Alors que les oiseaux de nuit
Voyaient poindre la fin
De leurs parades matinales de printemps,
Une matinée morose s’est empourprée,
Suivie de bleutés profonds,
Et puis les fines larmes de brumes aidant
Les couleurs se sont réchauffées progressivement…
Une fine lueur d’espoir d’une journée radieuse ?
Souvenir de ce temps qui me va si bien,
Où le goût d’une de tes larmes sur tes lèvres…
M’ont fait songer à un plat salé sucré, celui de la Vie !
Film : I Origins, (fiction spirituelle), ici une recherche méthodique
et spirituelle du faciès de Dieu !
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Elsa : Physiologiquement est très semblable à cette héroïne, psycholo-
giquement encore où son caractère est tel qu'elle me connaissait
parfaitement ; mais encore ? Il y a là une quête de vérité de façon
fondée de ma part, et une recherche du visage de Dieu d’après
elle… ce qui découle de nos relations ? Un dessin de sa main sur
mes conseils d’aiguillons de rosier, d’une fleur qui ne se dit pas,
et pourquoi pas une plume ?
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Il y a là une évidence :
L’évidence, est qu’elle souhaitait le fin mot de l’histoire, et elle
l’a bien, il peut vu de nous se résumer à comment rentre-t-on
dans la danse ? Comment s’en sors-t-on aussi ?
C'est une chose étrange à la fin que le monde
Est un roman de Jean d'Ormesson publié le 23 août 2010 aux
éditions Robert Laffont. Le titre de l'œuvre provient d'un des vers
du poème du même nom d'Aragon, ancien ami de Jean d'Ormes-
son que ce dernier avait essayé de faire entrer à l’Académie fran-
çaise. Le vers suivant du poème, « Un jour je m'en irai sans en
avoir tout dit », constitue le titre d'un autre roman publié par
l'auteur en 2013.
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© Milo de Manara !
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La femme est l’avenir de l’homme, Entière et éthérée, libre pensante telle la flamme et son mouve-
menté, tout cela est aux reflets de la constance des remous de
l'eau, d'une eau douce, vive et forte, où la femme est l'avenir de
l'homme...
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Voyez-là de la relativité :
Merci : je vous laisse, un In memoriam au World Trade Center
(cela m'est arrivé de nommer cela de la sorte), et une mémoire
pour moi et Giselle Chiari (italienne, prononcez Kiari) : mais c'est
vrais au vu de mon vécu j'étais comment dire ? Dans un carcan
psychologique et n'avais pas les bonnes réponses à ce qu'est
cette vie concrètement : par exemple elle s'apprécie continuel-
lement perpétuellement, comme un plat salé, sucré... s'il m'ar-
rive de nommer Bob Dylan : Bobby Dylan c'est pour, des fois :
« Rêve de fleurs et bois en moi, papillon » ! Ainsi que ce soleil qui
se couche parmi les coquelicots (mon père), voyez ?
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La croisée des chemins,
moralité de l'histoire : La tour de Babel était supposée toucher le
Ciel, de quelle sorte ? En contenant tous les livres qui peuvent
s'écrire, autrement dit : tout livre complète un autre, tout livre
contredit un autre, etc. autrement dit : aucun livre n'est le
même, ce qui se voit être un peu l'origine des langues, mais en-
core de la débâcle que cela entraina depuis plus de 2000 ans...
Où : "la terre ayant été repeuplée après le Déluge, les hommes
s’arrêtent dans la vallée de Sennar pour édifier une tour dont le
sommet atteint les cieux. Dieu interrompt leur projet en brouil-
lant leur langage, uni jusque-là, et les disperse à la surface de la
Terre".
La tour de Babel est un symbolisme de la pensée se conçoit de
façon sociale, intélligente, abstaite, il y a là aussi confrontation.
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Au début, Richard,
Avec tout le flegme et l'humour anglais, marié avec Henriette,
Canadienne (ils habitent à Québec), ont travaillé un temps en
Inde, aussi : déconnait avec ses cigarettes : « mon fils est marié
avec une amérindienne, bientôt j'aurais les cigarettes hors
taxes » ; entre temps, il a contracté le cancer : les derniers
échanges entre nous : « moi aussi je déconne avec cela : ça m'ins-
pire, ça me regarde, et puis l'on n’en décroche plus… » Alors il
m'aura avoué fumer un peu encore, visiblement pour sa chimio-
thérapie, voyez ?
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Voyez là, en ce tableau de Salvador Dali, quelque chose comme ?
Très parlant côté songes, et quelqu'un comme Rudy Villard, une
chose à laquelle s'identifie, histoire pour tout dire de mes
propres pressentis : Christian Priac (ce qui est risible, presque ri-
dicule), je vous referais pas l’histoire…
Evidemment il y a là des réminiscences successives, vous vous
demandez peut-être pourquoi ? Ce que je me demande, moi,
c’est pourquoi ceux qui connaissent un peu l’histoire s’échap-
pent, s’échappent et s’échappent, avec les derniers arrivés
(sauce psychiatrie), et oui comme si j’avais des parents (oubliés
oui, enfin) !
Allons-dont, revenons à nos moutons : les derniers arrivés et
leurs canons de chasse sous mon menton ? Histoire de mériter
une place au chaud ? Vous savez à quoi elle ressemble, non ?
Avec toute la trame qui va avec, non ?
Voyez là symboliquement mon habitat, ce qui devrait finir, bien.
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Le tigre du Bengale :
Il n’y a pas si longtemps que cela, au mieux de ma forme ce tigre
était splendide, moi emplis d’espoir ! Où la part de délire dans ce
film exprimant qui sait ? La dualité bien / mal ; est représenté en
cette îlot flottant, à l’image du jour et de la nuit… La journée est
splendide, merveilleuse, emplie de trésors, alors que la nuit l’eau
douce devient acide, les suricates disparaissent dans les arbres ?
Enfin, l’îlot est un peu aux reflets d’une femme !
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Voyez-là cette fleur de lotus au milieu de la forêt :
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Le fait de se battre ?
En gardant le sourire ne rentre pas dans la catégorie mes parents
(excusez-moi je reviens à mes problème) : ils sont inactifs depuis
près de 30 ans et ne s'occuperaient de moi pour rien au monde,
de plus, ils n'ont que des gribouillis dans la tête, et n'entendent
que la haine, envers l’indien dans la nuit (pour faire abstraction
du côté symbolique très fort de ma vie, en ce film) que je suis
resté très longtemps, histoire d'avoir la conscience tranquille, et
moi qui rattrapais les pots cassés : l'histoire est à voir : Depardieu
est la seule personnalité que j'ai vue en Saint-Rémy-de-Pro-
vence : le voilà de façon éphémère aux creux d'un film qui me
parle des plus : L'Odyssée de Pi !
« Sens / non-sens » ; là ne se situe pas le livre « Aux contraires »
de Jean-Marc Lévy-Leblond, mais le côté résurgence de la chose ;
à savoir un style d’écriture cela s’acquière, se travaille !
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Mais ce n'est pas tout,
J’ai une vie, un combat aussi (...) et c'est le combat d'une vie si
toute fois il faut qu'il y ait résilience... envers des gens tels mes
parents ce qui n'est pas si simple vu d'ici où l'on dissocie telle-
ment l'histoire du petit blanc qui l'a fait pour... etc. alors que le
petit noir est une chose à laquelle je m'identifie, et ? Vu d'il y a
20 km d'ici, il y a là le Belge (mon père) et le petit, moi... (SVP ne
vous embrouillez pas les oranges mal pressées et les yeux brouil-
lés par le sommeil) ! Hein ? Mais comme je parle à des personnes
qui ne connaissent pas mon histoire : cela me parle de « L'étoffe
de l'Univers d'Andrée Chedid » (Ce qui ne parle que de l'Egypte,
ces cars mitraillés, et ces voyages à des prix défiant toutes con-
currences, où alors : (d'où l'intérêt) « l'on rencontre des gens de
la pire espèce… » (Ce n’est pas moi qui l’invente) !
Je situe là une femme en particulier, où alors : finalement nous
nous apercevons en être là nous aussi, après quoi ? L’on a moyen
de s’en sortir que par soi-même !
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Déduction : Comment est fait "on" ? "on" est l'Individu, une chose indisso-
ciable faite de vas et de viens, que je nomme un certain fluide
de la pensée consensuelle, l'inspiration : des fois je l'imagine ce
présent voir des failles, des brèches s'ouvrir, en lesquels nous dé-
couvrons des opportunités, une source d'inspiration, alors que ?
Rien n'est si simple, encore une fois, et pourtant tout ce que l'on
te prends, tu ne peut que te le rendre par toi-même... Où don-
nant donnant est la seule leçon de Vie que je retienne... (plutôt
musicale : Acoustic Shapes ; Jazz ; Hubert Nuss / Cloudland ;
Jazz ; Ludovico Einaudi) !
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Une petite cause induit de grands effets :
C’est étonnant ce que peut devenir que rattraper les pots cassés,
c’est vrais à la fin… Si j’en suis là à écrire des petites phrasettes,
histoire de délicatesse, histoire noire peut-être, histoire d’être
avant tout ; être est faire, faire est participer, participer est être,
tout simplement ! Est-ce un excès de logique ? Ben justement là
est ma façon d’être, mon paraître, je veux bien est en peau de
banane, mais s’élève aussi encore et encore… Mes racines per-
dues en quelque sorte, je les retrouve en ces mots qui sont
miens, étonnantes racines, étonnante mémoire d’un peuple au
creux, enfin vu de moi, c’est-à-dire pas grand-chose ! Ensuite ? Il
y a des gens ont des feuilles vont ou parcourent leurs jardins
jusqu’au bout presque, et tout simplement pour évaluer, donner
une idée de la distance des planètes avec le soleil ! Le soleil cet
astre, notre étoile, qui est énorme à côté de quelque planète que
ce soit ; et tout ce qui tournoie autour danse un peu ; « on » se
souviendra de la pub « Les planètes » de Perrier : « Say on the
sing, i’m a sex machine » ; enfin vive les capsules, les vieux
disques, la poussière, et ? Le Oulla-hop interstellaire, ouaiiiiip !
Un jour je comprendrais, d’ailleurs ne comprends-je pas déjà
cette chose qui est le savoir, devient déjà des légendes, les lé-
gendes modernes sont les films, mais bien-entendu les films, la
musique, etc. avec une moralité, une philosophie de fond, enfin
toute une affaire et toute une histoire comme l’on dit !
Enfin comment expliquer que la télé courante ce n’est pas mon
pied, que les films que je regarde me collent à la peau en quelque
sorte, c’est une nécessité pour moi que d’avoir mes données,
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elles sont une induction indéniable, et même le côté financier,
j’entends payer ces médiats y participe ; d’ailleurs je participe
moi aussi d’une façon étonnante, d’une façon… enfin ce sont
mes convictions, mes évidences, mes certitudes…
J’ai bien aimé une émission télévisuelle il y a pas tant de temps
que ça : « Les sorcières en herbe du Val de Lêche » où la vie est
autre parmi de grands espaces, les gens se côtoient de façons
différentes, s’apprécient de façons différentes : enfin ce sont des
pays presque vierges : des montagnes des prairies en plein milieu
de l’été… et puis de petits jardins de ces gens du froid habituel-
lement, voilà !
Enfin la moralité de l’histoire est en quelque sorte l’herbe des
femmes, c’est une herbe comme une autre presque, mais il y a
là un petit jeu : la feuilles recueille la rosée, et où il s’agit pour les
enfants de boire cette rosée au creux de cette herbe miracle où
les histoires autour sont : « ce qui ne s’apprends pas jeune ne
s’apprends jamais ! »
Emoi émoi et moi ?
Je vois tout cela de quelque-chose comme : loin !
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Corto Maltese d’Hugo Prat :
J’aime ce regard en amande, je me demande où il a été le trou-
ver ? Dans un lointain passé forcément, comment dire ? L’his-
toire dans l’histoire où chacun son histoire parmi l’Histoire avec
un grand H, tiens j’ai dit 4 fois histoire, stop !
Que dire autour de ce héros de BD que j’aime un peu ? Je m’y
identifie un peu, voire loin aussi ? Le côté aventurier je l’ai dé-
couvert au creux de ces mots qui sont les miens :
La rosée résultante de cette nuit
Semble avoir trait les étoiles ;
Vidée de leurs scintillance
Ces regards du Ciel
Servant la Vie
D’une
Coupe brisée.
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Je creuse,
Ils creusent, nous creusons, ne nous demandons pas trop pour-
quoi, la Vie vue de moi est une musique, une musique à laquelle
je participe, « One more cup of coffee for ago… »
J’aime un homme que je nomme rarement Bobby Dylan, mais
cela m’arrive, pour quelle raisons, pour un soleil qui se couche
en un sublime dégradé rougeâtre parmi les coquelicots, regar-
dons :
Sublime travail !
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Les petits papiers :
Ne vous battez pas contre des moulins en papier, trêve d’étoiles
et d’arc-en-ciel, il y a là aussi de la pierre et de la glace ; je vous
dirais je n’ai pas de recettes miracle, il y a là de bien grandes pa-
roles, des uns et des autres, autrement dit : la liberté d’expres-
sion est essentielle ; je vois bien que tournoyer, tournoyer
comme je l’ai fait dans le passé, n’a aucun sens, hormis se relever
est l’essentiel, et l’évidence, un certain attrait pour ce qui est
créé, et puis la valeur inclue dedans, la signature aussi !
Bref, ce qu’il m’est arrivé d’exprimer être au-delà des cimes, c’est
un peu le cas, mais au-delà des cimes est un documentaire sur
l’alpinisme de haut niveau de Catherine d’Estevielle ; alors qu’en
fait je suis un bien petit bonhomme, dont il m’est arrivé d’expri-
mer sur ces choses étonnantes que je nomme les structures
étranges, un peu comme des attracteurs étranges, où de petites
causes induisent de grands effets !
C’est vrai à la fin, une petite cause qui aurait dû, pu, se dérouler
il y a longtemps ; histoire d’induire une certaine tornade de
l’autre côté du monde, seulement étais-ce voulu ? Vous pensez
bien que non ; où « on » vu de moi était exclusivement presque,
mes parents un peu de famille et deux trois cons durant très, très
longtemps ; où même parmi les marginaux, j’étais un marginal,
et puis un beau jour, et bien voilà je me suis arrêté à mes petits
papiers !
Si le poète est un peu l’ombre des mots, les mots sont aussi un
peu l’ombre du poète, n’est-ce pas ? Ensuite si j’ai une sainte
horreur de l’argent, c’est une histoire qui m’est propre !
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Escher :
Ici l’escalier qui monte tout le temps
Ce genre artistique s’intéressant à briser, fausser les lignes de
fuites, est une spécialité d’Escher, un artiste qui fut connu après
sa mort, pour quelles raisons ? Je ne sais pas, peut-être que l’in-
térêt s’est découvert ensuite ; où a son époque il passait un peu
pour un fou, et ces œuvres pour inutiles, alors qu’a c’t’heure cela
se découvre dans des manuels scolaires, des livres de savoir, etc.
un peu comme des curiosités ou des bien beaux symboles !
Ecrire dans la marge, est un peu à l’image de ce tableau en par-
ticulier, et pourtant ; la roue tourne, les temps changent, où
l’écriture est pour moi une passion avant tout !
Les réponses que j’apporte à mes questions sont futiles, vu de
certains, mais pas moins une part de vérité sur les choses tels
qu’elles sont pour une part de rêve, où le présent se dépoussière
grâce aux moyens, grâce à un gain en information…
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El Ché :
La révolution est intérieure, la révolution est expressive, la révo-
lution est présente, mais qu’est-elle réellement ? Elle est à l’évi-
dence des questions réponses induites vues de moi, c’est-à-dire
d’une imagination débridée, où la Vie à ce qu’elle veut ! Il est
bien joli de se dire que des idéaux ne riment à rien, émoi, émoi,
et moi ? Je suis un bien petit bonhomme parmi tout ce que j’ob-
serve, tout ce que je constate, tout ce que j’évalue, et puis ? Rien
n’est tout, chacun son petit bonhomme de chemin en sentier
parmi l’histoire des uns et des autres !
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Vu de moi…
… le problème est catastrophique : je me suis retrouvé dans la
gratuité de la chose (ce qui m'est arrivé de décrire le trou du cul
de la psychiatrie au vu des moyens de mes parents, en parlant
de l'organisme : le secteur arlésien) ; je ne suis toujours pas dia-
gnostiqué, et pourtant c'est si simple, pour que je vive un point
de rupture psychologique, il m'auront remis sous neurolepti-
cons, (comme je dis parfois) ; ce n'est pas surprenant que je pre-
nais mon cinéma intérieur pour des vérité... histoire de ? mériter
une place dans ces putains (désolé ici nous sommes en Provence)
d'appartements thérapeutiques, où je ne pose pas tant de ques-
tions que cela, le gros, le sérieux problème était d'être aux côtés
de mes parents... ce que j'ai dit quelques fois, probablement trop
bas pour qu'ils m'entendent, ces psychiatres... (Précision : tout à
fait comme mes parents) !
Maintenant je suis à la recherche d'un appart à moi et d'un peu
de vie tant méritée...
Comment dire ?
Hm ? Difficile de parler en période électorale, de ? Vas et de
viens ? Des uns et des autres ? Alors que, comment ai-je eu en
tant qu'autiste avéré (ce qui semble dur à déceler au présent) ;
évidement que voulez-vous que je vous dise ? Que j'ai vécu une
violence psychologique foncière (parlons plutôt de véritable lyn-
chage psychologique) qu'en définitif il ne me restait pas grand-
chose à faire que rattraper les pots cassés, car "Rêve de fleurs et
bois en moi, papillon" ; aura été un recueil écrit parmi la tour-
mente, près de chez mes parents, et que pouvais-je faire de plus
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que rattraper les pots cassés ensuite ? Ici j'estime, je le redis (en
les appartements Entrego en Arles) ne plus être parmi de la ma-
chine à casser mais parmi le système...
Où j'ai encore une chance :
Comment en suis-je venu à vivre parmi un sarkozyste (en appa-
rence 100% pur et dur) qui en fait à depuis une 30aine d'années
le cul dans le beurre la faute à pas de couilles que s'en est incon-
cevable ? En commençant à m'exprimer sur moi tel je suis : 0
dégâts mon cul oui... (Plutôt 2 - 3 ou 4 fois concrètement (puis
qu'il vous faut des fait concrets), nous y sommes déjà passé
(point de rupture psychologique) ici nous parlons mon cul con-
crètement, le propre mien) en venir ensuite à shine shine on
you'r crazy diana (déviation de P.U.L.S.E des Pink Floyd) pour
quelles raisons ? Lady Di s'était pris un pilier à 200 Km/h sur le
périf parisien, et le premier politicien qui ramena sa fraise : 0 dé-
gâts cela n'existe pas (ce que je nomme un mur médiatique),
vous pouvez vérifier cela ne se trouve plus sur les émissions qui
persistent sur la toile mais pas moins l'objectif pour le peuple, lui
existe (et le paparazzi aussi) !
Si toute fois je manquais de faits concrets parmi cette psychia-
trie, des mots que j'avais à la bouche sont :
"Je me sais sain malgré tout" ; "c'est ce que j'ai en moi qui vous
dérange ?" etc.
Il m'aura fallu une 10 aine d'années (ne mégottons pas) de psy-
chiatrie, après avoir vécu un été flamboyant, en me ré-effon-
drant à base de au début tout ce que demandait mon père pour
parler pervers narcissiques : "tu fais semblant d'être propre" ; "tu
fais semblant d'être bien", etc. et puis à petit feu (après avoir
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abordé la psychiatrie) et arrêté en quelque sorte : Christian Priac
infirmier, autrement dit vu de mon père : les couilles à mon psy-
chiatre : Mr Jean Luc Vurpas ; est arrivé avec un super truc qui
rends maboule et des docteurs maboule je vous en réinventerais
pas :
(Précision : je ne suis toujours pas diagnostiqué alors que je sais
parfaitement, voire même de façon poussée ce qu'est l'autisme
(sans jamais avoir lu un livre sur l'autisme) ; et vivre je ne sais plus
combien de temps ensuite un point de rupture psychologique) !
C’est étonnant, Elsa Chevrier très similaire en esprit et en appa-
rence, à cette héroïne quelque-part, je l’aie vécu aux Sophoras,
en Nîmes, et les responsables de tout : Il y en a marre !
Je suis à la recherche après cette conclusion heureuse, mou-
chons nous dans une culotte, ce ne sera pas la fin du monde, où
si toute fois il y a là une conclusion même sans préjugés aucuns
envers une minorité, il n’y a pas moins (terme introduit vu de moi
par Carl Gustav Jung, repris par Hubert Reeves dans Synchronici-
tés, l’âme et la science, et abordé par Boris Cyrulnik où ce sont
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des sujets d’actualités (des synchronicités sont un peu tel ces cal-
ligrammes (ces structures étranges tel je les décrits)) ; des fois
nos pensées coïncident avec les événements qui se déroulent
autour de nous, et ce de façon surprenante, alors où qu’est réel-
lement la conscience ? L’homme est-il un singe devenu fou ? Cer-
tain abordent le sujet que l’origine de la conscience est, qui sait ?
Les hallucinogènes… je n’irais pas si loin, mais de causes en rai-
sons à tout, ils font partie du décor vu de certains, vu de certains
calligrammes aussi ; que dire de plus que cette allusion :
« L’homme est-il un singe devenu fous » me fait songer encore à
un mur que m’aura fait prendre mon père bien qu’en mon moi
intérieur je le savais, nous avons vu des gorilles en Guinée Cona-
kry, vus du siège minier de Sangarédi, la raffinerie à Camsar, avec
les minéraliers qui chargeaient près des côtes avec un tapis rou-
lants transportant le minerai raffiné de bauxite (voilà si vous vou-
lez la géolocalisation) ensuite ?
Mon père m’aura affirmé : « ce sont des chimpanzés, ils peuvent
devenirs si gros ! » Chose que je n’ai jamais gobée, voire même
exprimée en Afrique, ici devant des documentaires, etc. Et si
vous voulez vous renseigner sur la présence de bambous en Gui-
née, regardez : les chutes du Voile de la Mariée (où il n’y a que
ça, des bambous) !
Bien entendu vu de moi, que puis-je crier plus fort qu’un lyn-
chage psychologique : (chose non répertoriée bien qu’il se
trouve de la violence psychologique (envers les enfants aussi) où
réaliser à l’âge adulte existe bel et bien) !
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N’oubliez pas que nous sommes passés par Elsa Chevrier, une
femme que je n’oublierais jamais, une femme faisant partie de
mon cinéma, où dans la continuité de cette boucle sans fin :
Pandorum : Est un film (fiction / horreur), dont le caporal Bower est le héros
tout au long du film, au début il rêve de sa femme en sortant de
sa léthargie cryogénique, et vois ces yeux, elle est restée sur
Terre, cette Terre en déperdition ! Alors que les héros, et le anti-
héros le Capitaine du vaisseau Pandorum qui reste tout au long
du film bien planqué dans la salle des commandes, est le type qui
semble avoir le plus d’assise, en fait il déraille totalement et ce
de façon transparente, le mal de l’espace, un mal invisible, ayant
mené le vaisseau parvenu sur Tanis à sa perte, mais il y a là toute
une affaire et toute une histoire à venir, celle d’une pièce
blanche au milieu du vaisseau contenant une banque de don-
nées génétiques pour un nouveau monde, cette histoire, c’est la
mienne, c’est la nôtre !
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‘Le monde est stone’ :
J’ai la tête qui éclate,
Je voudrais seulement dormir,
M’étendre sur l’asphalte
Et me laisser mourir,
Stone,
Le monde est stone,
Je cherche le soleil
Au milieu de la nuit,
Au milieu de ma nuit,
Je sais pas si c’est la terre
Qui tourne à l’envers,
Ou bien si c’est moi,
Qui m’ fait du cinéma,
Qui me fait mon cinéma,
J’ai plus envie de me battre,
J’ai plus envie de courir,
Comme tous ces automates
Qui bâtissent des empires,
Que le vent peut détruire,
Comme des châteaux de cartes,
Laissez-moi-me
Débattre,
Venez pas m’secourir,
Venez plutôt m’abattre,
Pour m’empêcher de souffrir…
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Une femme presque comme une autre :
J’aime bien quand vous travaillez, c’est somme une induction,
comme un vent portant, comment dire ? Que ne porte-t-il pas ?
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Je sais que tu habites en pays de trolls et de lutins, de fées aussi
alors cela ne me surprends pas que cette main dans la main, que
cette compassion envers ta créativité ; j’aime beaucoup ! Car
comment peut-on ne pas être fasciné par ce que l’on fait, com-
ment peut-on ne pas y prêter toute son empathie parmi tout ça
tout ça ? Le recueillement devant un certain Bouddha m’avait
fasciné aussi ; te souviens-tu ?
Delpin Nolwenn
Le résultat est surprenant, on dirait comment dire ? Alors que je
pensais que c'était une effigie de Bouddha, c'est pas si simple,
comment dire quelque chose qu'un recueillement, non ?
J’entends bien que ton style musical soit, comment dire ? Faisant
partie de toi, un peu 68, etc. tout à fait, pas du tout, un peu, non ?
Moi j’aime bien Maxime le Forestier en 68, il faisait des choses
plus contées que chantées, et très alambiquées !
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La libellule et le philosophe ?
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Mon cheminement personnel, voire spirituel :
Est d'exprimer : « 0 dégâts mon cul », « 0 dégâts mon cul », « 0
dégâts mon cul » (...) et puis un beau jour : « shine shine on you'r
crazy lady diana ! » (Déviation des Pink Floyd : P.U.L.S.E.), objec-
tivement : « Shine, shine on you’r crazy diamond… » !
Dans le fait, l’histoire est Lady Di l'objectif derrière et le pilier en
face à 200 km/h sur le périphérique parisien, et puis ? Le premier
politicien qui ramena sa fraise : 0 dégâts cela n’existe pas ;
merde, vu de moi, c’est un mur médiatique pas de la rhétorique
au sens propre du terme ! Enfin, des fois grâce à tout envoyer au
diable, permet de vivre un été flamboyant, histoire d’un brin
d'amour parmi les cinglés complets qui sont mes parents…
Il y a là différentes théories : depuis une 30aine d'années le cul
dans le beurre la faute à pas de couilles (enfin moi je ne com-
prends pas), voire m’y arrête, cela vaut mieux, non ?
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Série :
Les illusions d'optiques (source MSN) :
C'est émouvant car l'on croit quelque-chose, l'on ressent
quelque-chose, mais sans savoir réellement quoi...
C'est un peu comme une histoire racontée près du feu, un peu
comme il y a parfois des sacrifices sans couteaux, sans adieux,
mais avec une volonté profonde de rattraper les pots cassés : (ce
qui est un peu comme avoir plusieurs cordes à son arc), c'est un
peu un peu comme si je me perdais à desseins...
Avec toujours une pensée du soir, lueur d’espoir !
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Éclairer les gens, c’est gentil ? C’est méchant ? Peut-être est-ce
ambigu ? Des fois j’ai peur moi-même, et pourtant j’avance !!!
L’eau et son pouvoir de déferler, de danser, de sculpter parmi le
relief, au clair de lune ou en plein jour, c’est une danse éternelle.
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Le cœur de la langue,
Les flux et reflux de nos pensées, voient le temps qu’il fait en nos
consciences, le temps qui passe être bel et bien l’avaleur des
mots ! À l’image du mouvementé d’un feu de bois de charme, et
ses éclats de sèves ; encore à l’image de la constance des remous
d’une eau vive, douce et clair de montagne…
De la feuille jusqu’au bout des plumes,
Il m’est arrivé l’automne, d’entrevoir une feuille tomber d’une
branche, illusion éphémère qui découla sur la réalisation con-
crète d’un petit oiseau ouvrant ces ailes pour s’envoler dans les
airs : Parfois une illusion éphémère découle sur une réalisation
concrète jusqu’au bout des plumes…
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Rêve de fleurs et bois en moi, papillon !
Le calme cours d’eau de ma vie, si étroitement enserré de
pierres et de roches, entrevit la lumière d’une aurore !
Comme éblouis par une fleur portant d’autres boutons flo-
raux à éclore ; ces symbolismes se voient au présent, entre-
mêlés :
L’un comme roches et pierres fleuries…
L’autre comme fleur pétrifiée…
Y a-t-il un sens aux opposées de sangs mêlées ?
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Ascendance ?
Moi je suis une ascendance, et des étoiles l’influence
Ne fait causette que de nous,
Et d’une minimale transe, sur laquelle on danse
Jusqu’à cours de nous…
Au cours des temps diffus où trêve,
Tout cela s’étends, fuse et s’élève…
Où plus nous investissons dans des flèches,
D’expressivité, en la reine de l’expression, la réalité…
Plus nous insinuons des brèches,
D’expressivités, en l’Arène de l’expression, le Vivant !