Monitoring d’infrastructure : Eyes Of Network Eyes Of Network Pare-feu : IPCOP IPCOP Wordpress HTTPS avec Wamp Wordpress avec Wamp PPE SIO2
Monitoring d’infrastructure : Eyes Of Network
Eyes Of Network
Pare-feu : IPCOP
IPCOP
Wordpress HTTPS avec Wamp
Wordpress avec Wamp
PPE SIO2
Monitoring d’infrastructure à l'aide de Eyes Of Network, basé sur Nagios Core.
Monitoring d’infrastructure :Eyes Of Network
Monitoring d’infrastructure : Eyes Of Network
Eyes Of Network est une solution Open Source réunissant de manière pragmatiqueles processus ITIL et l’interface technologique permettant leur application. C’est une solution desupervision d’infrastructure comme Nagios. Celle-ci regroupe différentes solutions : Cacti, Nagios,Thruk, Nagvis ou encore Weathermap.
C’est une solution à base de Nagios. La configuration s’effectue uniquement en GUI comparé àNagios qui s’effectue en ligne de commande. Les modifications via GUI vont faire pour nous lesmodifications en ligne de commande.
Eyes Of NetworkIntroduction
DéveloppementCahier des charges
Pour ce TP, le but est de superviser de nombreux appareils : machines linux & Windows, Switch,Vidéoprojecteur, Routeur internet, imprimantes…
Ce service doit resté disponible, avec un accès réservé à l'administrateur, pour éviter tout accèsnon autorisé. En effet, on a à disposition ici de nombreuses informations sur l'infrastructure.
Ce projet a été réalisé à deux. Les tâches ont été divisées : La recherche de la méthode desupervision, configuration des équipements en SNMP, sécurisation…
Répartition du travail
Configuration de la machine virtuelle
Installation de EoN
Pour la destination de l'installation :
On paramètre bien le réseau :
On coche cette case :
On n’oublie pas de l’activer en haut à droite.
On met le nom d’hôte
On se rend dans Sélection de logiciels :
On prend ce qu’on a besoin.
On clique sur démarrer.
On défini un mot de passe.
Fini !
sudo yum –y install nano
Installation de Nano
Accès en GUI via un navigateur web
Le compte par défaut est admin:admin.
Changement du nom de communautéSNMP
nano/etc/snmp/snmpd.conf
Ensuite, on fait de même dans snmptrapd.conf.
Dans l’interface web, Administration – Configuration Nagios – Nagios Resources
On modifie la variable $user2$ par le nom de la communauté.
On clique sur « Update Ressource Configuration » puis on applique.
On restart nagios.
On va dans Admin – Lien externes – Cacti et dans settings.
systemctl restart snmpd
nano /etc/snmp/snmptrapd.conf
systemctl restart snmptrapd
On remplace par le nom de communauté puis on enregistre.
On supprime l’accès root direct en SSH.
nano /etc/ssh/sshd_config
On change la ligne #PermitRootLogin yes par « PermitRootLogin no ».
On crée alors un compte de maintenance :
(Ici, le groupe wheel est l'équivalent de sudo)
En se connectant via notre utilisateur créé, on peut passer en root en rentrant « su - ».
Par défaut Cacti n’affiche que les logs locaux. On modifie rsyslog.conf
Sécurisation
systemctl restart sshd
useradd maintenance -g wheel
passwd maintenance
Configuration du rsyslog
Sous la ligne $ModLoad imuxsock, on ajoute :
On redémarre rsyslog.
nano /etc/rsyslog.conf
#Provides UDP syslog reception
$ModLoad imudp
$UDPServerRun 514
#Provides TCP syslog reception
$ModLoad imtcp
$InputTCPServerRun 514
systemctl restart rsyslog
MonitoringMonitoring d’une imprimante HP
Configuration Nagios, Equipements, Ajouter
Dans Template, on choisit Printer.
On se rend aussi dans Services puis on créer un service.
On choisit le check_hpjd et generic service
On met la communauté défini précédemment.
https://sourceforge.net/projects/nscplus/files/nscplus/
On télécharge et installe nsclient++ sur notre machine windows que l’on souhaite superviser.
Monitoring d’un hôte Windows
On rentre l’ip du serveur Nagios.
On installe.
On se rend dans le dossier d’installation et on modifie le fichier nsclient.ini.
On redémarre.
On vérifie dans services.msc si le service nsclient++ est bien présent et démarré.
On se rend ensuite dans Eyes Of Network, Administration et Configuration Nagios > Commandes.On ajoute une commande check_nt
On remplace <mot-de-passe> par le mdp rentré dans NSClient.
Equipements > Ajouter
On ajoute ensuite des services.
On fait la meme chose pour ce que l’on veut monitorer :
Si l’hôte est considéré comme “down” :
Pour avoir la réponse PING d’autres équipements, on ajoute un équipement et on rentre l’ip àchaque fois. On applique.
On ajoute l’hote puis cisco en template
Monitoring d’un switch cisco
On ajoute un service check_snmp_interface.
Si on a un unknown, il faut enlever l’argument « -k » dans la commande.
Mise en place d'un pare-feu
Pare-feu : IPCOP
Pare-feu : IPCOP
IPCop est une distribution Linux basée sur Linux, qui vise à fournir un pare-feu simple à gérer basésur du matériel PC. IPCop est un pare-feu à états construit sur le framework netfilter de Linux.
Nous allons installer IPCop sur une machine virtuelle.
IPCOP
Introduction
Développement
Installation
Configuration de la machine virtuelle
localdomain car pas de domaine.
RED pour WAN
GREEN pour LAN
10.0.0.254 en 255.0.0.0 pour l’interface GREEN (LAN)
192.168.0.162 / 24 pour le Wan (RED)
Il faut un nom d’utilisateur et mot de passe différent pour l’admin, idem pour le chiffrage dessauvegardes.
IPCOP est installé et configuré !
On peut se connecter en ligne de commande ou par navigateur web.
Configuration d’IPCOP
Mise à jour
L’actualisation ne marchant pas, nous allons l’importer ici. Pour cela, on se rend sur le site d’ipcopet on télécharge la dernière mise à jour.
On la téléverse puis on l’applique.
On peut modifier le port du proxy, la langue des messages d’erreurs etc.
Proxy
On active les journaux.
Plus bas :
Limitation du trafic FTP
Il faut modifier le fichier rc.firewall dans le but de bloquer le ping, comme la capture d’au dessus.
Blocage du ping coté internet
Dans services, serveur mandataire.
Services, serveur mandataire
Service, filtreur d’url
nano 146 /etc/rc.d/rc.firewall
Blocage du portable
Impossible d’aller sur internet le week-end
Blocage d’un site
On clique sur mise à jour immédiate
Test :
IPCop permet d’avoir un pare-feu logiciel à moindre coût. Cependant, IPCop est dépassé. Ladernière version date de février 2015. Il faut donc passer à des solutions de pare-feu plus récentes,comme pfSense ou IPFire (spin-off de IPCop).
Mise en place d’une blacklist
Conclusion
Wordpress HTTPS avecWamp
Wordpress HTTPS avec Wamp
WordPress est un système de gestion de contenu gratuit, libre et open-source. Ce logiciel écrit enPHP repose sur une base de données MySQL et est distribué par la fondation WordPress.org. Ilpermet de simplifier la création d’un site web.
https://www.wampserver.com/en/download-wampserver-64bits/#wpcf7-f451-p543-o1
D’après l’installation de Wamp :
Si vous avez un Windows en 64 bit, il faut installer les deux versions 32 et 64bits de chaquepaquetage VC, même si vous n'utilisez que Wampserver 32 bit
Wordpress avec WampIntroduction
DéveloppementInstallation des prérequis
Pour vérifier que tous les paquetages VC++ sont bien installés et avec les dernières versions,utilisez l'outil : http://wampserver.aviatechno.net/files/tools/check_vcredist.exe et vous trouvereztous les paquetages sur http://wampserver.aviatechno.net/ dans la section Visual C++Redistribuable Packages
On se rend donc sur le dernier lien (https://wampserver.aviatechno.net/) pour télécharger etinstaller chaque paquetage.
On extrait puis on installe.
Nous pouvons vérifier si tous les prérequis sont bien installés :wampserver.aviatechno.net/files/tools/check_vcredist.exe
On installe Wamp.
On choisit le chemin d’installation. Il faut que le chemin ne contienne pas d’espace. (ProgrammesFiles par exemple).
Installation de Wampserver
On choisit ici Firefox.
Nous pouvons faire de même avec l’éditeur de texte.
WAMP est installé.
On démarre wamp.
On vérifie que l’icône est verte, sinon on redémarre les services.
On ouvre les ports entrant 80 & 443 pour ouvrir le serveur web vers l’extérieur.
On ouvre également le port 80 et 443 au niveau du NAT du routeur.
Pour ensuite autoriser l’accès, on édite le fichier suivant :
E:\wamp64\bin\apache\apache2.4.46\conf\extra\httpd-vhosts.conf
On édite la ligne « Require local » en « Require all granted ». (Accès depuis le LAN)
On redémarre ensuite WampServer.
Préparation à l’installation de Wordpress
Règles de pare-feu
Autorisation sur le LAN
On se rend sur la page de WordPress puis on télécharge Wordpress.
https://wordpress.org/download/
On extrait ensuite le fichier téléchargé.
On déplace le dossier WordPress extrait et on le met dans E:\wamp64\www.
On se rend dans phpmyadmin pour créer la base de données de wordpress :http://localhost/phpmyadmin/
Téléchargement et extraction deWordpress
Création de la base de données pourWordpress
De base, root n’a pas de mot de passe.
Installation de Wordpress
Vérification des mises à jour
On arrête les services.
https://www.win-acme.com/
Activation du SSLCréation d’un certificat (avec domaine)
On extrait.
On déplace le dossier dans un endroit utile, dans mon cas à la racine du disque C.
On ouvre un invité de commande en admin, puis on se rend dans ce dossier
wacs.exe --target manual --host khroners.fr --webroot "E:\wamp64\www" --test
Le test s’est bien déroulé.
On crée le dossier certs dans C:\
On copie ces fichiers vers un dossier, dans notre cas : C:/certs
On modifie le fichier httpd.conf dans bin/apache/apachex.x.x/conf/
On décommente les lignes LoadModule ssl_module modules/mod_ssl.so , Include conf/extra/httpd-ssl.conf et LoadModule socache_shmcb_module modules/mod_socache_shmcb.so.
wacs.exe --target manual --host khroners.fr --webroot "E:\wamp64\www" --store pemfiles --
pemfilespath C:\certs
Configuration pour l’activation du SSL
On modifie le fichier httpd-ssl.conf dans bin/apache/apachex.x.x/conf/
On ajoute vers la ligne 120 :
Et on commente les lignes des certificats SSL plus bas.
On se rend ensuite sur le wordpress et on change l’url du site dans les réglages.
Dans notre cas, on modifie le nom du dossier wordpress en blog. On remplace alors le« wordpress » dans les url par « blog ».
Define CERTROOT "C:/certs"
<VirtualHost _default_:443>
# General setup for the virtual host
DocumentRoot "E:/wamp64/www/"
ServerName khroners.fr:443
ServerAdmin [email protected]
ErrorLog "${SRVROOT}/logs/error.log"
TransferLog "${SRVROOT}/logs/access.log"
SSLCertificateFile "${CERTROOT}/khroners.fr-chain.pem"
SSLCertificateKeyFile "${CERTROOT}/khroners.fr-key.pem"
<Directory "${INSTALL_DIR}/www/blog">
Options +Indexes +Includes +FollowSymLinks +MultiViews
AllowOverride All
Require all granted
</Directory>
On se rend ensuite dans les extensions et on installe « Really Simple SSL ». On l’active ensuitepour bien gérer le SSL sur le site.
On crée un fichier .htaccess dans le dossier www.
On y ajoute ces lignes permettant la redirection :
Redirection http en https
L’adresse url : http://khroners.fr/wordpress redirigera vers https://khroners.fr/wordpress.
Wordpress est un CMS très simple d’utilisation, il suffit que de quelques connaissances en Web(Apache, PHP & MySQL) pour sécuriser le site en HTTPS à l’aide d’un certificat. De nombreuxhébergeurs proposent l’installation et la sécurisation du site en quelques minutes.
Options +FollowSymLinks
RewriteEngine on
# force ssl
RewriteCond %{SERVER_PORT} ^80$
RewriteRule ^(.*)$ https://%{SERVER_NAME}%{REQUEST_URI} [L,R=301]
Conclusion