1 PAYS : MADAGASCAR GMT : +2 VILLE : TULEAR Dernière mise à jour le03/09/2014 Catégorie de l’établissement : Spécificités de l’établissement : Ecole Collège Lycée Autre Atelier Laboratoire Stockage de manière dangereuse Bâtiment en construction Internat Effectifs : Nombre d’élèves : 252 dont 70 demi-pensionnaires et 19 internes Nombre de personnels : 65 dont 7 français et 58 locaux Nombre d’handicapés : aucun Communauté française : 1 200 (si l’établissement est aussi centre de regroupement de la communauté française) Horaires d’ouverture de l’établissement : Vacances scolaires et jours fériés : (Visa obligatoire de l’officier de sécurité du poste diplomatique) Tuléar, le 03/09/2014 M.PRENOM NOM. Officier de sécurité de l’Ambassade de France à ………. (signature + Marianne) NB : Chaque établissement devra transmettre son PPMS au secteur géographique de l’Agence, sous couvert de l’officier de sécurité du poste et du conseiller de coopération et d’action culturelle. PLAN PARTICULIER DE MISE EN SURETE (P.P.M.S) FACE AUX RISQUES MAJEURS DU COLLEGE ETIENNE DE FLACOURT En présence des élèves En présence du personnel Lundi 7 h 45 - 18 h05 6 h 00 - 20 h 00 Mardi 7 h 45 - 18 h05 6 h 00 - 20 h 00 Mercredi 7 h 45 - 17 h00 6 h 00 - 20 h 00 Jeudi 7 h 45 - 18 h05 6 h 00 - 20 h 00 Vendredi 7 h 45 - 18 h05 6 h 00 - 20 h 00 Samedi 8 h 00- 12 h 00 6 h 00 - 12 h 30 Fin des cours Reprise des cours Vacances de la Toussaint 17/10/2014 03/11/2014 Vacances de Noël 19/12/2014 05/01/2015 Vacances d’hiver 20/02/2015 09/03/2015 Vacances de Printemps 17/04/2015 04/05/2015 Vacances d’Eté 03/07/2015 01/09/2015 Fête nationale locale 26/06/2015
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PLAN PARTICULIER DE MISE EN SURETE (P.P.M.S) FACE ... - Etienne de … · Lieu(x) de mise en sûreté (regroupement) 4. DEFINIR LE OU LES LIEUX DE MISE EN SURETE ... 1.Plan(s) de
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PAYS : MADAGASCAR GMT : +2
VILLE : TULEAR Dernière mise à jour le03/09/2014
Catégorie de l’établissement : Spécificités de l’établissement :
Ecole Collège Lycée Autre Atelier Laboratoire
Stockage de manière dangereuse
Bâtiment en construction
Internat
Effectifs :
Nombre d’élèves : 252 dont 70 demi-pensionnaires et 19 internes
Nombre de personnels : 65 dont 7 français et 58 locaux
Nombre d’handicapés : aucun
Communauté française : 1 200 (si l’établissement est aussi centre de regroupement de la
communauté française)
Horaires d’ouverture de l’établissement :
Vacances scolaires et jours fériés :
(Visa obligatoire de l’officier de sécurité du poste diplomatique)
Tuléar, le 03/09/2014
M.PRENOM NOM.
Officier de sécurité de l’Ambassade de France à ……….
(signature + Marianne)
NB : Chaque établissement devra transmettre son PPMS au secteur géographique de l’Agence, sous couvert de
l’officier de sécurité du poste et du conseiller de coopération et d’action culturelle.
PLAN PARTICULIER DE MISE EN SURETE (P.P.M.S)
FACE AUX RISQUES MAJEURS DU COLLEGE
ETIENNE DE FLACOURT
En présence des élèves En présence du personnel Lundi 7 h 45 - 18 h05 6 h 00 - 20 h 00 Mardi 7 h 45 - 18 h05 6 h 00 - 20 h 00 Mercredi 7 h 45 - 17 h00 6 h 00 - 20 h 00 Jeudi 7 h 45 - 18 h05 6 h 00 - 20 h 00 Vendredi 7 h 45 - 18 h05 6 h 00 - 20 h 00 Samedi 8 h 00- 12 h 00 6 h 00 - 12 h 30
Fin des cours Reprise des cours Vacances de la Toussaint 17/10/2014 03/11/2014 Vacances de Noël 19/12/2014 05/01/2015 Vacances d’hiver 20/02/2015 09/03/2015 Vacances de Printemps 17/04/2015 04/05/2015 Vacances d’Eté 03/07/2015 01/09/2015 Fête nationale locale 26/06/2015
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SOMMAIRE
1. RISQUES PARTICULIERS DE L’ETABLISSEMENT ______________________________ 8
2. STRUCTURE DE L’ETABLISSEMENT __________________________________________ 9
3. IDENTIFICATION DES RISQUES MAJEURS ___________________________________ 11
4. ACCES DE L’ETABLISSEMENT : _____________________________________________ 12
5. DEFINITION DU (des) LIEU(X) DE MISE EN SURETE ___________________________ 14
6. ZONES DE MISES EN SURETE _______________________________________________ 16
7. EQUIPEMENT OBLIGATOIRE D’UN LIEU DE MISE EN SÛRETE ________________ 17
8. FORMER UNE CELLULE DE CRISE INTERNE _________________________________ 18
9. REPARTITION DES MISSIONS DES PERSONNELS _____________________________ 19
10. LISTE DES SECOURISTES ET LEURS COMPETENCES : ________________________ 22
11. REALISER UN EXERCICE ANNUEL DE MISE EN SECURITE ___________________ 23
1. MAIN COURANTE _______________________________________________________25
2.MATERIEL DE CRISE ____________________________________________________26
3. FICHE INDIVIDUELLE D’OBSERVATION (A remettre aux secours)____________27
4 . ANNUAIRE DE CRISE ___________________________________________________28
5. ETAT DES VICTIMES ____________________________________________________29
6. MEMENTO – STOCKS DE SECURITE _____________________________________30
7. MODELE DE TABLEAU DE GESTION DU STOCK DE SECURITE ____________33
8. LES CONDUITES À TENIR EN PREMIÈRE URGENCE ______________________34
9. LISTE DU PERSONNEL __________________________________________________38
10. LISTE DES ELEVES ____________________________________________________42
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PROCEDURE
I°) SUR LE PLAN TECHNIQUE
1. POSITIONNER L’ETABLISSEMENT SUR LA CARTE DES RISQUES MAJEURS ARRETES PAR LE POSTE
DIPLOMATIQUE
L’officier de sécurité du poste diplomatique sera votre interlocuteur privilégié. En effet, le plan de sécurité de l’ambassade ou du consulat général liste et hiérarchise, par ordre de probabilité, les risques présents dans la circonscription. L’officier de sécurité sera en mesure d’évaluer les risques particuliers de votre établissement, d’autant plus si celui-ci est un point de regroupement de la communauté française.
2. DETERMINER LES ACCES DE L’ETABLISSEMENT
3. SITUER SUR LES PLANS DE L’ETABLISSEMENT
L’emplacement des organes de coupure Les locaux à risques Les ascenseurs Lieu(x) de mise en sûreté (regroupement)
4. DEFINIR LE OU LES LIEUX DE MISE EN SURETE
2°) SUR LE PLAN PRATIQUE
1. FORMER UNE CELLULE DE CRISE SOUS L’EGIDE DE L’OFFICIER DE SECURITE DU POSTE DIPLOMATIQUE
Répartition des missions des personnels
2. PREVOIR L’EMPLACEMENT ET LES MOYENS DE COMMUNICATION DE LA CELLULE DE CRISE
1.Plan(s) de l’établissement : Plan de masse Plan des étages
1. Situer sur les plans de l’établissement (un plan par bâtiment) :
L’emplacement des organes de coupure :
GAZ………………………………………….
ELECTRICITE………………………….HT BT
EAU………………………………………
MAZOUT…………………………………
VENTILATION……………………………GV
Les locaux à risques (transformateurs, stockage de bouteilles de gaz et de
produits dangereux…)
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L’emplacement des ascenseurs ou des monte-charges L’emplacement des lieux de regroupement
▲ L’ARRET DES ORGANES DE COUPURE PEUT PERMETTRE D’EVITER LE SUR-
ACCIDENT
Définir le ou les lieux de mise en sûreté (regroupement) :
ØMaintien en salle de classe si possible
Ø Utilisation du bâtiment 1 (Gymnase) pour le primaire si nécessité de regroupement.
Utilisation du bâtiment 11 (CDI) pour le secondaire.
Utilisation du bâtiment 9 (classe de MS) pour la maternelle.
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DEFINITION DES LIEUX DE MISE EN SURETE
ANNEE 2014/2015 Nombre de bâtiments indépendants : 11
Si l’établissement se compose de plusieurs bâtiments indépendants :
Bâtiment 2, 3, 4 & 5 Lieu(x) de mise en sûreté : Référent du lieu : Gymnase Fabrice ROZIER (suppléante :Carole LARTIGUE)
Bâtiments 6, 7 , 10 & 11
Lieu(x) de mise en sûreté : Référent du lieu : CDI Juliette HIOT (suppléant : Carole VEZO)
Bâtiments 8 & 9
Lieu(x) de mise en sûreté : Référent du lieu : Bâtiment 9 François TURLAN (suppléante : Viviane HO-WEI-KING )
- Dans l’hypothèse de bâtiments indépendants, il sera nécessaire de disposer d’un moyen de communication interne entre les différentes parties. Si les lieux de mise en sûreté possèdent des issues ou des voies d’aération, il est obligatoire de prévoir un calfeutrage.
- Joindre un plan de masse ou des étages en y portant les lieux de
confinement, les accès et les acheminements, les coupures de fluides.
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SIGNAL D’ALERTE RETENU POUR L’ETABLISSEMENT :
Confinement :
Type de signal : Sonnerie longue 30 secondes répétée Évacuation :
Type de signal : Sonnerie courte répétée 3 exercices d’évacuation par année scolaire 1 exercice de confinement
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ZONES DE MISES EN SURETE
RISQUES : cyclonique et socio-politique SUR L’ETABLISSEMENT :
SUR L’EXTERIEUR : NEANT Lieux de mises à
l’abri Nombre d’élèves Référents de la
zone Moyen pour
communiquer Remarques
Classes Lieux de mises à
l’abri Nombre d’élèves Référent de la zone Remarques
TPS/PS/MS B 9 25 François néant
MS/GS B 9 25 François néant
CP B 1 17 Fabrice néant
CE1 B 1 13 Fabrice néant
CE2 B 1 17 Fabrice néant
CM1 B 1 21 Fabrice néant
CM2 B 1 24 Fabrice néant
6°A B 11 16 Juliette néant
6°B B 11 17 Juliette néant
5°A B 11 26 Juliette néant
4°A B 11 24 Juliette néant
3°A B 11 14 Juliette néant
3°B B 11 14 Juliette néant
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EQUIPEMENT OBLIGATOIRE D’UN LIEU DE MISE EN SÛRETE
(Cf. pour info le Mémento stocks de sécurité du MAEE)
Lieux de mise en sûreté Bat 1 Bat 9 Bat 11
Personne responsable Thierry Sylvie Juliette
Téléphone X X X
Poste de radio à piles
Ruban adhésif large (en cas de confinement)
X X X
Trousse de premier secours X X X
Réserve de nourriture
Eau embouteillée (de préférence à un point d’eau en cas de pollution de l’eau courante)
Sanitaires (à proximité dans le bâtiment de confinement)
X X X
Plan des locaux (accès, entrées, sorties…)
X X X
Annuaire de crise X X X
Liste des élèves dans le(s) lieu(x) de confinement
X X X
Jeux de société, livres… X X X
Lampes de poche (prévoir des piles de rechange)
X X X
Cahier pour noter la chronologie des évènements
X X X
Ces lieux devront disposer d’un m2 suffisant par personne, si possible d’un
point d’eau, de la proximité de sanitaires et présenter des critères de solidité suffisants.
Ils devront être accessibles à tout moment et de n’importe quel point de l’école
ou de l’établissement.
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FORMER UNE CELLULE DE CRISE INTERNE
Il s’agit de dresser une liste des personnes susceptibles de constituer une cellule de crise interne à l’établissement. Il est impératif que cette cellule de crise se forme avec l’aide et l’accord de l’officier de sécurité qui maîtrise le dispositif complet. Ces personnes – de préférence facilement mobilisables - doivent être informées et se préparer à cette éventualité.
COMPOSITION DE LA CELLULE DE CRISE (fonctionnement en binôme)
1. Former une cellule de crise :
Composition de la cellule de crise : Responsable : Jean-Philippe MOUD Suppléant : Jackie MELARD Secrétaire : Sahondranirina MAMISOA Suppléant : Gina ANDRIAMANPIANINA
Emplacement de la cellule de crise : Local : Bureau du Principal
Etablir la liaison avec les secours Informer les secours de l’évolution de
la situation : effectifs, lieux de confinement ou de regroupement externe, blessés éventuels
Accueillir et accompagner les secours lors de leur arrivée sur les lieux (informations sur les personnes blessées ou isolées et celles mises en sûreté)
Remettre le PPMS à jour
Jean-philippe MOUD
Jackie MELARD
+ 261 322 98 45 22 + 261 32 22 133 92
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Prévoir l’emplacement et les moyens de communication de la cellule de crise interne.
Il s’agit de désigner un local protégé, à proximité des renseignements administratifs et doté de moyens de communication (téléphone, télécopie, poste radio FM…). L’Agence conseille fortement au chef d’établissement, d’acquérir un ordinateur portable avec clé 3G (avec chargeur sur allume cigare) et prévoir une liste de diffusion par messagerie, et avoir l’ensemble des listes des élèves, et du personnel à jour.
Plan de l’établissement avec emplacement de la cellule de crise.
X = cellule de crise (bureau du Principal)
X
B1
B9
B11
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MISSIONS DE CHACUN EN CAS DE CRISE
Les personnes référents rejoignent immédiatement le poste correspondant aux missions qui leur ont été confiées
Les autres personnes (enseignants, autres personnels…) :
- Assurent l’encadrement des élèves
- Selon les consignes reçues, conduisent les élèves vers le lieu de mise en sûreté préalablement
définis
- Contrôlent la présence des élèves
- Communiquent la liste nominative des absents
- Expliquent la nature de l’évènement et rassurent les élèves et les parents
- Informent de la conduite à tenir
- Vérifient l’arrêt de la VMC
- Informent le référent ou l’infirmière des problèmes internes
- Tiennent à jour les fiches individuelles d’observation
- S’aident des fiches en cas de problèmes médicaux
- Gèrent au mieux la mallette de 1er
urgence et la trousse de secours
La cellule de crise interne :
- Dès son activation, contacte la cellule de crise de l’AEFE (Tél :……………………., mail : [email protected] )
- Contacte les différents numéros prévus dans l’annuaire de crise et rend compte de la situation
- Se met à l’écoute de la radio :………………………………
- Tient la main courante en inscrivant l’ensemble des appels entrants et sortants, ainsi que tout évènement à l’intérieur des locaux
Toute crise se prépare et nécessite une sensibilisation de tous les acteurs ainsi que des exercices d’application. Seul ce type d’exercice permet de vérifier le bien-fondé des mesures prévues.
Dates des exercices de mise à l’abri et retours d’expérience :
Date de l’exercice : Commentaires :
Date de l’exercice : Commentaires :
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ANNEXES
1 Exemple de main courante 2 Lot matériel de crise 3 Fiche individuelle d’observation 4 Annuaire de crise 5 Etat des victimes 6 Mémento stock de sécurité (MAEE) 7 Modèle de tableau de gestion du stock de sécurité 8 Conduites à tenir en première urgence 9 Modèles de liste du personnel et des élèves
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1. MAIN COURANTE
Responsable : M./Mme : ……………………………………… JOUR /HEURE ORIGINE MOTIF REMARQUES/
REPONSES
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2. MATERIEL DE CRISE
Il est recommandé de préparer: RUBAN ADHESIF LARGE TROUSSE DE PREMIERS SECOURS 1 (OU +) LAMPE DE POCHE 1 POSTE DE RADIO (à piles) PILES DE RECHANGE 1 CAHIER (Chronologie des évènements ) EAU POTABLE COUVERTURES PLANS DES LOCAUX SACS POUBELLES OUTILLAGE
Emplacement du matériel de crise : ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
OUI NON
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3. FICHE INDIVIDUELLE D’OBSERVATION (A remettre aux secours)
NOM :……………………………………………. Prénom :…………………………………………. Age :……………..Sexe :………………………… Maladie connue :………………………………… Cochez les cases de ce que vous avez observé.
Répond
Ne répond pas
Réagit aux pincements
Ne réagit pas aux pincements
Difficultés à parler
Difficulté à respirer
Respiration rapide
Plaies
Membre déformé
Mal au ventre
Envie de vomir
Vomissements
Tête qui tourne
Sueurs
Pâleurs
Agitation
Angoisse
Pleurs
Tremblements
Autres
Durée des signes observés
Fiche établie par : NOM : ……………………………….. Fonction :……………………………Heure :………………… Notez ce que vous avez fait : …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
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4 . ANNUAIRE DE CRISE Ligne directe : +261 20 94 426 68 2ème ligne : Portable : +261 32 07 601 09
SERVICES CONTACTS N° DE TELEPHONE Fixe, Portable, courriel
conserves (2 plats "à réchauffer", fromage et pâté), des biscuits, 6 pastilles de
purification d’eau. Prix : 7,55 euros pour une personne pour un jour (ou 2 jours en "mode survie").
Délai de péremption : 2 ans.
- Rations et transports chers : réservé à quelques pays où il existe une forte probabilité de
les voir consommer, ou bien des pays situés à proximité d’une implantation militaire
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française, ce qui evite des frais de transport depuis Paris.
NB : les achats de RCIR à des forces françaises outre-mer ne sont pas effectués à l’échelon local
(instruction de l’Etat-Major de l’Armée de Terre).
La commande et le paiement sont réalisés par le CDC à Paris.
- Pour 8 pays, la DFAE a passé un accord avec l’Etat-Major des Armées, prévoyant la réservation
d’un stock de RCIR au sein des emprises militaires, à destination des postes en cas de crise. Les
rations ne sont facturées qu’en cas d’utilisation (cf.annexe"convention relative au soutien des
ambassades, en rations de combat, par le ministère de la Défense".)
- Rations de survie (exemples de fournisseurs : Dauriac Nautic Sécurité en France, Survivor
aux Etats-Unis) : biscuits de survie, à accompagner d’eau. Prix : moins de 3 euros pour
une personne pour 2 ou 3 jours. Délai de péremption : 5 ans.
- Rations et transport beaucoup moins chers que pour les RCIR, facilité de stockage et de
gestion du stock.
- Commande et paiement à l’échelon local possible.
▪ Médicaments :
Bien distinguer ce qui relève de la sécurité de la communauté française en cas de crise et regroupement
(trousses de 1ère urgence, principalement) et qui a vocation à être fourni ou payé par le CDC, ce qui
relève des CMS (cabinets médicaux-sociaux) et la dont la demande sera adressée à FAE/SFE/ASE, et ce
qui relève du poste lui-même, qui a vocation a être payé par la DGA/SSD.
La trousse de 1ère urgence contient par exemple :
▪ Petit matériel de chirurgie
▪ bandages, pansements, coton
▪ seringues, aiguilles
▪ produits antiseptiques
▪ baumes contre les brûlures
▪ antalgiques
▪ anxiolytiques
▪ antidiarrhéïques
▪... Grippe aviaire : tous les postes ont été ou seront prochainement dotés des matériels de protection
suivants :
▪Tamiflu adulte, conditionné par boîtes de 10 gélules de 75 mg ;
▪Tamiflu pédiatrique, conditionné en flacons ;
▪masques FFP2 ;
▪masques chirurgicaux. Ces traitement, qui visent à lutter contre une éventuelle pandémie de grippe
aviaire, ne devront être distribués aux Français malades que sur prescription du médecin référent du
poste et dans le seul but de traiter le virus grippal aviaire. Un traitement se compose d’une boîte de
Tamiflu (10 gélules) et d’un lot de 25 masques chirurgicaux. Les masques FFP2 sont destinés à protéger
les agents du poste et le médecin référent.
Il appartient à chaque poste de vérifier la date de péremption de ces traitements et d’en demander le
renouvellement par TD au CDC au moins 3 mois avant cette date. A noter toutefois que le Département
ne pourra répondre à ces demandes que dans la limite des stocks nationaux disponibles.
Comprimés d’iodure de potassium : cf. fiche "risques nucléaires"
▪ Couchage : En raison de contraintes budgétaires, le Département fournit rarement des matériels de
couchage (lits picots, tapis de sol, duvets ou couvertures), d’autant que leurs conditions de conservation
les rendent souvent inutilisables après quelques années. Toutefois, la constitution d’un petit stock de
couvertures de survie isothermes est parfois conseillée.
▪ Matériels divers Quelques exemples :
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▪ Groupes électrogènes : dans les pays où l’approvisionnement en électricité risque d’être défaillant en cas
de crise, il importe d’assurer une alimentation électrique de secours. Les PR étant rarement des sites
dédiés au regroupement des Français, veiller à négocier un co-financement des groupes électrogènes
avec l’autorité de tutelle du lieu (AEFE pour une école, par exemple) ;
▪ Essence (à stocker sous strictes conditions de sécurité)
▪ Tentes : pour le cas où le PR ne sera peut-être pas utilisable (par exemple, ambassade vulnérable, située
sur une faille sismique)
▪ Bougies, lampes
▪ Rallonges électriques
▪ Vaisselle
... Tout est envisageable, à condition d’en justifier la demande, et de veiller à rechercher la possibilité
d’acheter localement avec des crédits délégués.
NB : pour l’ensemble des stocks, y compris les réseaux, ne pas hésiter à solliciter le soutien financier des
entreprises françaises présentes. En effet, elles peuvent fournir du matériel de communication, un soutien
logistique (utilisation de leurs locaux), et financent souvent les travaux de sécurisation de l’école française, où
sont scolarisés les enfants de leurs expatriés.
|Il est indispensable de tenir à jour l’inventaire de l’ensemble des stocks (vivres, matériels, réseaux de
communication, etc - avec dates de péremption) et de l’adresser annuellement au CDC. Les télégrammes de
demandes (objets : sécurité des Français : ...) sont à adresser à l’automne au CDC, ainsi qu’aux autres services
concernés (DSI/IDA/DET pour les réseaux , par exemple). |
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7. MODELE DE TABLEAU DE GESTION DU STOCK DE SECURITE
Masques de protection
Quantité
Type/libellé
config. (fixe,
portatif ...)
Catégorie de
réseau (HF,
UHF...)
Marque, modèle Etat ou
péremtion
STOCK DE SECURITE DE L'ECOLE,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,
Nbre d'usagers : Nom du PAYS : Nom de l'Etablissement : Courriel de l'agent en charge du stock:
INVENTAIRE DE L'EXISTANT
FFP2
Chirurgicaux
CommentairesSTOCKS MEDICAUX Quantité DésignationEtat ou
péremption
Tamiflu Adulte
Pédiatrique
Pastilles d'iode NBC
Kits d'assistance médicale
Autres stocks médicaux
Rations rcir
CommentairesSTOCKS DE PREMIERE
NECESSITE
Quantité Désignation Etat ou
péremption
Rations dns
Eau
Autres matériels (matelas,
MATERIEL DE
COMMUNICATION
Matériel radio
Matériel satellite
Téléphonie cellulaire
TOTAL
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8. LES CONDUITES À TENIR EN PREMIÈRE URGENCE
(Dans les situations particulières de risques majeurs)
CONSIGNES GÉNÉRALES : Après avoir rejoint les lieux de mise en sûreté : - utiliser la mallette de première urgence - se référer, si nécessaire, aux protocoles d’urgence pour les élèves malades ou handicapés - faire asseoir uniquement les élèves indemnes - expliquer ce qui se passe et l’évolution probable de la situation - établir la liste des absents (cf. FT Réalisation 5.5) - repérer les personnes en difficulté ou à traitement médical personnel - recenser les élèves susceptibles d’aider, si nécessaire - déterminer un emplacement pour les WC.( poubelle, sacs plastiques, draps pour assurer la discrétion, papier toilette) - proposer aux élèves des activités calmes - suivre les consignes en fonction des situations spécifiques (saignement du nez, « crise de nerfs »…) - remplir une fiche individuelle d’observation (annexe 9) pour toutes les personnes fortement indisposées ou blessées
CONSIGNES EN FONCTION DE SITUATIONS SPÉCIFIQUES : -1- L’ENFANT OU L’ADULTE SAIGNE DU NEZ
● Il saigne spontanément :
le faire asseoir, penché en avant (pour éviter la déglutition du sang) ; le faire se moucher ; faire comprimer la (les) narine(s) qui saigne(nt) avec un doigt, le(s)
coude(s) prenant appui sur une table ou un plan dur pendant cinq minutes ; si pas d’arrêt après cinq minutes continuer la compression
● Il saigne après avoir reçu un coup sur le nez ou sur la tête :
surveiller l’état de conscience ; si perte de connaissance (voir situation 5), faire appel aux services de
secours.
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xe 04-2 -2- L’ENFANT OU L’ADULTE FAIT UNE « CRISE DE NERFS » :
● Signes possibles (un ou plusieurs) :
crispation ; difficultés à respirer ; impossibilité de parler ; angoisse ; agitation ; pleurs ; cris.
● Que faire ?
l’isoler si possible ; le mettre par terre, assis ou allongé ; desserrer ses vêtements ; le faire respirer lentement ; le faire parler laisser à côté de lui une personne calme et rassurante.
-3- STRESS INDIVIDUEL OU COLLECTIF : Ce stress peut se manifester pour quiconque
isoler l’enfant ou l’adulte, s’en occuper personnellement (confier le reste du groupe à un adulte ou un élève leader) ;
expliquer, rassurer, dialoguer ;
● En cas de stress collectif
être calme, ferme, directif et sécurisant ; rappeler les informations dont on dispose, les afficher ; se resituer dans l’évolution de l’événement (utilité de la radio) ; distribuer les rôles et responsabiliser chacun.
nexe 04-3 -4- L’ENFANT OU L’ADULTE NE SE SENT PAS BIEN MAIS RÉPOND :
● Signes possibles : (un ou plusieurs)
tête qui tourne, pâleur, sueurs, nausées, vomissements, mal au ventre, agitation, tremblement.
● Questions :
a-t-il un traitement ? quand a-t-il mangé pour la dernière fois ? a-t-il chaud ? froid ?
● Que faire ?
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desserrer les vêtements, le rassurer le laisser dans la position où il se sent le mieux surveiller
● Si les signes ne disparaissent pas : donner 2-3 morceaux de sucre (même en
cas de diabète).
● Après quelques minutes, le mettre en position « demi-assise » au calme.
● Si les signes persistent, faire appel aux services de secours.
-5- L’ENFANT OU L’ADULTE A PERDU CONNAISSANCE :
● Signes :
il respire ; il ne répond pas ; il ne réagit pas si on le pince au niveau du pli du coude.
● Que faire ?
le coucher par terre « sur le côté » (position latérale de sécurité) ; ne rien lui faire absorber ; le surveiller ; s’il reprend connaissance, le laisser sur le côté et continuer à le surveiller ; s’il ne reprend pas connaissance, faire appel aux services de secours.
-6- L’ENFANT OU L’ADULTE A DU MAL À RESPIRER :
● Signes : (un ou plusieurs)
respiration rapide ; angoisse ; difficultés à parler ; manque d’air ; sensations d’étouffement.
● Que faire ?
Le laisser dans la position où il se sent le mieux pour respirer. l’isoler si possible desserrer ses vêtements le rassurer et le calmer Si les signes persistent, faire appel aux services de secours.
● Questions : est-il asthmatique ?
Si oui, que faire : A-t-il son traitement avec lui ?
● Si oui : le lui faire prendre.
● Si non : quelqu’un d’autre a-t-il le même médicament contre
l’asthme ? _ Si la crise ne passe pas, faire appel aux services de secours.
Si non, que faire : _ l’isoler, si possible ; _ desserrer ses vêtements ; _ le rassurer et le calmer ; _ au delà de 10 minutes, faire appel aux services de secours.
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-7- L’ENFANT OU L’ADULTE FAIT UNE « CRISE D’ÉPILEPSIE » :
● Signes :
perte de connaissance complète : il ne réagit pas, ne répond pas ; son corps se raidit, il a des secousses des membres. Il peut : se mordre la langue, devenir bleu, baver, perdre ses urines.
● Que faire ? Respecter la crise :
ne rien mettre dans la bouche, et surtout pas vos doigts ; éloigner les personnes et les objets pour éviter qu’il ne se blesse ; ne pas essayer de le maintenir ou de l’immobiliser ; quand les secousses cessent, le mettre en position latérale de sécurité (sur
le côté) et le laisser dans cette position jusqu’au réveil ; rassurer les autres.
● Remarques : il peut faire du bruit en respirant, cracher du sang (morsure de
langue) Ne pas essayer de le réveiller : il se réveillera lui-même et ne se souviendra
de rien. Si les signes persistent, faire appel aux services de secours.
-8- L’ENFANT OU L’ADULTE A MAL AU VENTRE :
● Signes :
a-t-il des nausées, envie de vomir et / ou de la diarrhée ? est-il chaud (fièvre) ?
● Que faire ?
rassurer, trouver une occupation ; proposer d’aller aux toilettes, si elles sont accessibles ou sur le récipient
mis à disposition ; le laisser dans la position qu’il choisit spontanément ; si les signes persistent, faire appel aux service de secours.
● Remarque : signe très fréquent chez le jeune enfant, qui traduit le plus souvent
une anxiété, une angoisse. -9- TRAUMATISMES DIVERS :
● Pour toutes les autres situations, en particulier traumatismes (plaies,
hémorragies, fractures, traumatismes divers…) : Faire appel aux services de secours En attendant leur arrivée : éviter toute mobilisation, tout mouvement du membre ou de
l’articulation lésée ; isoler l’adulte ou l’enfant et le rassurer ; couvrir et surveiller l’adulte ou l’enfant ; en cas de plaie qui saigne ou d’hémorragie, mettre un pansement serré
(sauf en cas de présence d’un corps étranger) ; en cas de fracture, ne pas déplacer, immobiliser le membre ou
l’articulation avec une écharpe par exemple. Si la situation le permet, lorsque la gravité de l’état d’un enfant ou d’un
adulte impose de faire appel aux services de secours, prévenir le directeur d’école ou le chef d’établissement.
pays : MADAGASCAR
nom de l'établissement : COLLEGE ETIENNE DE FLACOURT