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O^T XT¥¥ - BAnQ

Feb 23, 2023

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Khang Minh
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Page 1: O^T XT¥¥ - BAnQ

LE

“SOLEIL”est lu dans 100% des familles

canadiennes-françaises de Québec

O^T XT¥¥S7e ANNEE—No 8 EDITION Q QUEBEC, VENDREDI 7 JANVIER 1938 TIRAGE CERTIFIE PAR L’A. B. C. — PRIX : DEUX CENTINS

La lutte légale s’engage entre Ottawa et EdmontonLe gouvernement albertain va tenter de faire déclarer

hors de question plusieurs parties du factum du gouvernement fédéral.LE MAJOR DOUGLAS

La “Presse Canadienne” explique à la Cour Suprême comment toute atteinte à la liberté de la

presse nuit à tous les quotidiens du pays.

LE FACTUM

SUR LE THEATRE D’UN VIOLENT INCENDIE, RUE ARAGO

mm, Igègj

Le ministre de France au Canadaviendra à Québec demain seulement

w

DOSSIER COMPLETOttawa. 7. (C.P.) — Le gouverne­

ment albertain va tenter de faire déclarer hors de question par la Cour Suprême des parties considé­rables du factum fédéral.

Le colonel Biggar, premier avocat pour l’Alberta, a donné avis hier qu'il demanderait au tribunal de dire si certaines parties du factum fédéral ne sortaient pas de la ques­tion. Quant à lui il prétend qu'elles lui sont étrangères.

L’Alberta s’oppose aux parties du factum fédéral traitant du program­me créditiste du gouvernement al­bertain et comprenant des citations empruntées aux écrits du théoricien créditiste, le'major Douglas. En les insérant dans son factum le Domi­nion avait pour objet de montrer que les trois bills dont la constitu­tionnalité est contestée devant la Cour suprême font partie d’un vas­te projet illégal pour établir le cré­dit social en Alberta, le gouverne­ment provincial empiétant ainsi sur les attributions du pouvoir fédéral. Ce à quoi les avocats albertains re­pondent que les intentions de la lé­gislature d’Edmonton n'ont rien à faire avec les projets de loi dont la Cour est saisie, et que les juges, en rendant jugement sur ces derniers, n’ont pas à s’occuper du reste de la législation albertaine.

DOSSIER COMPLET

Le dossier de la Cour suprême est maintenant complet avec 1C fac- tums, dont 4 pour le gouvernement albertain, 2 pour le gouvernement fédéral, 1 pour l’Association des quotidiens et hebdomadaires de l’Alberta, 1 pour les quotidiens et hebdomadaires du Canada, 1 pour les banques à charte et 1 pour la Colombie, seule province autre que

(Suite à la page 23 6e col.)

W.-E. DODD REVIENT AUX

ETATS-UNISL’ex-ambassadeur des Etats-

Unis à Berlin désespère de la paix universelle — Une guerre mondiale serait l’is­sue logique des vastes pré- paratifs militaires en cours.

LES JOURNAUXOttawa, 7. (P.C.).—Les principaux

journaux canadiens sont solidaires, en ce sens qu'associés avec la “Pres­se Canadienne”, ils s’alimentent de nouvelles transmises réciproquement, au moyen de fils télégraphiques loués à cette fin et reliant toutes les parties du pays. Ils constituent un système coopératif dont ils dépen­dent. Toute règlementation régio­nale ou provinciale nuirait à l'en­semble des journaux du pays. C'est ce qu'explique, dans un factum la “Presse Canadienne", intéressée dans le procès qui s'instruira la semaine prochaine sur la validité de certai­nes lois de l’Alberta.

Logiquement, de par sa constitu­tion, un tel système tombe sous la juridiction du Parlement fédéral afin que toute réglementation l'af­fectant sont soit uniforme dans tout le pays, dit le factum.

L’intervention de toute legislature provinciale auprès des journaux d’une province est illégale parce que la presse d’information du Canada a pris de telles proportions qu’elle affecte le corps politique du Domi­nion, poursuit le factum

Des lois albertaines dont la vali­dité est contestée, le factum s’appli­que particulièrement a la “loi ay­ant pour objet d’assurer la publica­tion d’une information et de nou­velles exactes”. Le Législature al­bertaine adopta cette loi en même temps que les autres au cours d’u­ne session spéciale en août dernier.

Les associations de journaux pré­tendent que la “loi ayant pour ob­jet d’assurer la publication d’une information et de nouvelles exac­tes” vise à assujettir la presse à une censure rigoureuse et que la censu­re de la presse est une question qui, logiquement, doit relever et, en fait, relève exclusivement du Parlement fédéral

Le factum dit:“Il est soutenu que la loi projetée

dépasse la Juridiction de la Légis­lature de la province d’Alberta pour

(Suite à la page 23 1ère col.)

Au SéminaireLes élèves du Petit Séminaire re­

viennent aujourd’hui de leurs va­cances de Noël. Dès demain matin, les classes reprendront régulière­ment et les élèves tomberont en plei­ne période d'examens. A l’Univer­sité, les cours reprennent aussi de­main.

LES JUIFSNew-York. 7. (A. P.) — L'ex-am­

bassadeur des Etats-Unis à Berlin, M. William-E. Dodd. de retour dans son pays après avoir résigné ses fonc­tions, dit que représenter les Etats- Unis en Allemagne est une tâche ab­solument ingrate et qu’il désespère, quant à lui, de-la-paix "universelle. Il volt dans une nouvelle guerre mon­diale l’issue logique des vastes pré­paratifs militaires en"cours”

M. Dodd qui était accompagné de son fils, part ce soir pour Washing­ton, où 11 fera en personne, rapport au président de son ambassade de 4 ans et demi dans la capitale du Reich. La déclaration inattendue par laquelle l'ancien professeur d'his­toire k l’Université de Chicago ex­plique sa démission contient l’as­sertion que plusieurs Allemands émi-

(Suite à la page 23, 3e col.)

UNE SAISIEMontréal, 7. (P.C.)—Les quar­

tiers généraux du “Canadian Labor Circle” que ses directeurs appelent “la plus importante so­ciété non-politique du Canada’’ ont reçu la visite de la Police provinciale qui a saisi 800 des 950 livres de sa bibliothèque. Les directeurs de l'Association, qui existe depuis dix ans, préten­dent que les livres saisis sont des classiques juifs. Cinq agents de la Sûreté provinciale, munis d’un ordre du procureur général, ont effectué la descente en fin de semaine. La nouvelle n’a été connue qu’aujourd’hui. La des­cente est la troisième exécutée en fin de semaine, en vertu de la loi provinciale contre la propa­gande communiste. Les direc­teurs de l’Association, qui a ses bureaux nie St-Laurcnt, disent que la police a passé deux heures à leurs bureaux.

Fête canadienne-française à New-York le 29 janvier

La Société St-Jean-Baptiste de la Métropole Américai­ne célébrera le 88e anni­versaire de «a fondation— Un grand bal.

M. J.-X~ASTORUne grande fête canadienne-fran­

çaise aura lieu en plein coeur de New York le 29 janvier prochain. La So­ciété St-Jean-Baptlste de cette vil­le célébrera le 83e anniversaire de sa fondation par un grand bal à l'hôtel Waldorf-Astoria l’un des plus somptueux de New York. Le Socié­té St-Jean-Baptiste de la grande métropole américaine a été fondée par Gabriel Franchère, qui fut, un employé de John Jacob Astor, le fondateur des hôtels Astor et Wal­dorf-Astoria. M. Astor avait un ma­gasin de fourrures à Montréal. Son établissement était un rendez-vous

(Suite à la page 23 8e col.)

Le “Montcalm”Ce matin, à 7 heures, le “Mont­

calm” était dans le golfe St-Laurent, à 50 milles à. l’est de l'entrée de la baie de Gaspé. Son voyage se pour­suit normalement et tout le monde à bord était en parfaite santé. Le navire a cependant rencontré beau­coup de glace de la pointe d’Anticos jusqu'à l'endroit où il se trouve ac­tuellement,

Canadiens en EspagneNew-York, 7. — (P. C.) Le com­

mandant américain du bataillon Abraham Lincoln, qui combat dans les rangs des gouvernementaux en Espagne, a déclaré hier que les vo­lontaires canadiens étaient "les meilleurs soldats" de la brigade in­ternationale, laquelle participe ac­tuellement à la bataille de Téruei.

iSÉ fî.l

A cause des funérailles dp Sir George l’erley, le eomte de Dam- pierre, le nouveau ministre de France en Canada, n'arrivera à Québec que demain à I heure et 10. Les visites qu'il devait faire dans l'avant-midi sont re­mises forcément à l'après-midi. Après une réception intime au consulat de France, le comte de Dampierre se rendra à la Société de Bienfaisance française, et au début de la soirée il sera 1 hôte du comité France-Amérique, à une réception au Winter Club.

Dimanche malin, avec, la com­tesse de Dampierre, U assistera à la grand'mcsse à la Basilique, et il es’pèrc visiter la ville dans l'a­près-midi. Lundi matin, le com­te pi la comtesse seront reçus à Spcncerwood par le lieutenanl- gouvenieur et Madame Patenau- de.

On remarquera que, par une délicatesse émouvante, la pre­mière visite au Canada du mi­nistre de France est pour Qué­bec, ia première ville française du continent.

Un pompier a été blessé et douze personnes ont été chassées de leur foyer, à la suite d’un violent incendie qui s’est déclaré vers dix heures trente,' aujourd’hui, dans une maison en briques de trois étages, rue Arago, prè s de la rue Aqueduc. Sur la photo de gauche, on voit les pompiers à l'ar- ; rière de la maison, tentant de pénétrer dans le logement du second étage et de monter sur le toit, où l’incendie faisait rage. Sur la photo de droi­te, on voit le toit en flammes. Une fumée si dense s’en dégageait que le s pompiers ont dû dresser une échelle à coulisses et percer des brèches dans la couverture, afin de rendre leur travail effectif. Une maison se trouvait à la gauche de l'incendie, mais les flammes, heureusement, ne s'y , sont pas propagées, vu que le vent soufflait de l’autre côté, où ü n’y a qu'un vaste champ. (Photos du “Soleil")

Deux officiers anglaissont battus à Shanghaï

Vaste projet pour la défense des lignes côtières du Canada

i_ ... . i i m _

La RoumanieBucarest, 7. (C. P.-Havas). — La

Roumanie conférera avec Londres et Paris avant de reconnaître la con­quête de l’Ethiopie par l’Italie, dé- clare-t-on aujourd’hui dans des mi­lieux autorisés. Un nouveau minis­tre de Roumanie à Rome ne sera pas nommé tant que M. Micesco, le ministre des affaires étrangères, n’ait eu l'occasion d’en causer avec MM. Eden et Delbos au conseil de la S. D. N„ à Genève, le mois pro­chain.

PROMESSE DE RESISTANCE

DE F. HAGUELe maire de Jersey City,

Frank Hague, déclare que sa ville résistera à l’inva­sion rouge dont il la dit menacée par le CIO et la Ligue des libertés civiles.

DECLARATIONS

On considère dans plusieurs milieux, à Ottawa, que le Canada pourrait bien devenir la Belgique de l’Améri­

que, si les Etats-Unis étaient en guerre avec une puissance étrangère — De nouveaux aspects

du problème de la défense du Canada

COLLABORATION POSSIBLE

Ottawa, 7 (Spéciale au “Soleil”) — D'excellente source on apprend que le gouvernement du Canada se­rait disposé à accepter l’aide des Etats-Unis pour la protection de ses côtes, si le gouvernement américain faisait une proposition acceptable et qui n’engageât pas le Canada. De plus en plus on se rend compte de l’ampleur et du sérieux du problème de la défense nationale. Le Cana­da a une vaste superficie de côtes à protéger tant du côté du Pacifique que de l’Atlantique. Outre que no­tre pays pourrait être attaqué par

Tune ou plusieurs des nations qui réclament des colonies, il pourrait aussi servir de base d’attaque pour les Etats-Unis, si ce pays était en guerre contre le Japon, par exem­ple. Des conversations officielles auront lieu à ce sujet, tout prochai­nement, et il en sera question à la prochaine session. Les partisans de la protection des côtes du Canada font valoir l’argument suivant: si les côtes du Canada ne sont pas défendues, n'importe quel pays en guerre avec les Etats-Unis peut fa-

(Suite à la page 23. 8e col.)

Jersey City, N -J. 7 (AP) — he maire de cette ville, Frank Hague, a déclaré hier soir, aux acclamations de plus de 20,000 personnes massées dans la salle d'armes (armory) et des milliers d’autres écoutant ses pa­roles répercutées par les hauts par­leurs dans la rue, que Jersey City opposerait une résistance invincible à l’invasion rouge dont elle est me­nacée par la visite projetée du C.I.O. et des leaders de l'American Civil Liberties Union.

Sur d’immenses drapeaux on pou­vait lire “Reds Keep Ouf’. Des piè­ces pyrotechniques éclataient dans l’air et trois fanfares jouaient des airs patriotiques tandis que les vé­térans, les unions de la F.A.T. des républicains et des démocrates ac­clamaient à tout rompre les décla­rations du maire, vice-président du comité national démocrate et leader du parti dans le New-Jersey.

Durant ce temps-là, un New-Yor­kais haranguait les écouteurs au ra­dio de tous les Etats-Unis, disant que le maire Hague avait forcé les gens à venir l’entendre et à Tap- plaudir. ,

Van Zeeland à Londres

Un violent incendie à Saint-Sauveur

Les pompiers sont appelés par deux alarmes pour com­battre un incendie menaçant, rue Arago — Dou­

ze personnes sur le pavé — Un pompier lé­gèrement blessé.

NOMBREUSES ALARMES

Un violent incendie, qui a nécessi­té deux alarmes, s’est déclaré vers dix heures trente, aujourd'hui, dans

i une maison de trois étages située rue Arago, à l’est de la rue Aque­duc. Un logement a été complète­ment détruit et deux autres ont su­bi des dégâts fort considérables. Les pompiers de cinq casernes y ont com­battu les flammes pendant près de deux heures.

Le feu a pris d'abord au rez-de- chaussée. qui était occupé par la famille de M. Mathias Picard, 377, rue Arago, puis il s’est rapidement propagé dans la cheminée jusqu’au second étage, où demeurait la famil­

le de M. Antoine Baribeau, 375 1-2, rue Arago. A l’arrivée des premiers pompiers, les flammes s’étaient dé­jà communiquées au toit et avalent pris de telles proportions que le sous- chef Napoléon Drolet demanda aus­sitôt du renfort en hommes et en appareils.

Les pompiers de trois casernes ré­pondirent au premier appel, sous les ordres du sous-chef Drolet. Au se­cond appel, les pompiers de deux au­tres casernes se rendirent sur les lieux, de même que le chef Rosaire Beaulieu. A ce moment, le feu, acti­vé par la tempête de vent et de nei-

(Suite à la page 23. 7e col.)

SOLLOWAY EST ACQUITTEToronto, 7. (C. P.) — Isaac-W.-C. Solloway, qui fut à la tête de

Salloway, Mills and Co’y, maison de courtage, a été acquitté par un jury des sessions générales, à 5 heures 50 ce matin, de l’accusation d’a­voir volé $2,144,740. "Vous bénéficiez d’un verdict de non culpabilité, a déclaré le juge Daniel O’Connell. Vous pouvez vous en aller main­tenant”. Le procès durait depuis 35 jours.

Londres, 7. (P.C .-Havas) M. Paul van Zeeland, ancien premier ministre de Belgique, est arrivé ici hier pour des conversations avec les hommes d’état anglais au sujet de Tétude des conditions économiques dans le monde qu’il a entreprise a la demande des gouvernements de Paris et de Londres.

Il doit rencontrer ce matin le premier ministre Neville Chamber­lain. M. Chamberlain remplitéem- poralrement les fonctions de minis­tre des affaires étrangères en Tab- sence de M. Anthony Eden, qui est en villégiature dans le midi de la France. ,

TEMPERATUREFort vent du nord-est avec gré­

sil et neige. Samedi: vents du nord- ouest; beau et froid.

UNE VIOLENTE TEMPETEDepuis hier soir Québec est

aux prises avec la plus violente tempête de neige et de vent depuis le début de la saison. Heureusement pour ceux qui sont obligés de sortir, le froid n’est pas trop aigu. Le thermomètre marquait vers 10 heures, 10 au- dessus de zéro.

Les citoyens de la rive sud qui travaillent à Québec ont été quelque peu retardés. Le bateau de la Traverse parti de Lévis à 8 heures est arrivé à 8 h. 40 au lieu de 8 h. 10. Par la suite, ce­pendant, malgré le vent et les énormes morceaux de glace sur le fleuve, le service est redevenu à peu près normal. On ne si­

gnale aucun retard dans l’arri­vée des trains.Tout l'équipement de chasse-nei­

ge du département de la Voirie est au travail. M. Bergeron, sous-mi­nistre de la Voirie, nous dit. que le département ne pouvait conseiller la circulation des automobiles sur le circuit d'hiver, malgré que des équipes y travaillent continuelle­ment.

L'on rapporte cependant que la circulation est possible à Lorettevil- le, St-Augustln, Charlesbourg. St- Grégolre, Ste-Anne et Lévis, mais

j les chemins risquent d'être fermés à 1 chaque Instant par les bancs de nei­ge qui se forment continuellement.

Avion disparuSan Diego, Californie, 7.—(P.A.)

! Un des avions de reconnaissance et | de bombardement de la flotte amé­ricaine est disparu en mer au cours de ia nuit de mercredi à jeudi avec sept hommes à bord, ont révélé les officiers, hier, après de longues et vaines recherches.

Des navires de guerre et leurs ! avions commencèrent leurs recher­ches peu après que Tavion eût ces­sé de communiquer par sans-fil avec un autre appareil.

PREPARATIFS A UN COMBAT

TRES VIOLENTLes troupes chinoises et ja­

ponaises se préparent à un combat qui doit donner aux uns ou aux autres la domination sur un chemin de fer.

A SHANGHAIShanghai, 7. (A.P.)— Troupes chi­

noises et japonaises se préparent au combat qui doit donner à l'une ou à l’autre la domination sur la partie est du chemin de fer de Longhai, principale voie ferrée chinoise en direction est-ouest. Les Chinois as­surent qu'ils ont 100,000 hommes le long de cette vole, dans le nord du Kiangsou et l'est du Honan, entre Soutchéou, 175 milles au nord-ouest, et Kouité, 90 milles à l’ouest.

Une armée japonaise forte de G0,- 000 hommes opère en direction du chemin de fer à la fois du nord et du sud. La colonne partie de Nan­kin a encore 90 milles'à franchir, et celle qui vient, du nord est enco­re à plus de 100 milles de Soutchéou.

La domination de ce chemin de fer fournirait aux Japonais une ba­se pour pousser en direction de l’ouest jusqu'à la voie ferrée Pékin- Hankéou, et de là vers le sud sur une distance de 300 milles jusqu'à Han­kéou, Tune des capitales provisoires de la Chine. Les Chinois paraissent

(Suite à la page 23, 6e col.)

AMBASSADEURS

Un nouvel incident aggrave I la situation dans la conces­sion internationale — Ba­garre entre officiers an­glais et soldats nippons

Shanghaï, 7, (A. P). — Des sol­dats japonais ont roué de coups aujourd'hui deux officiers anglais de la police municipale de Shan­ghaï, aggravant ainsi la tension qui règne entre Nippons et étran­gers. L’inspecteur F. G. West, Tun des deux officiers, a rapporté comme suit l’incident au quartier général de la police:

Le sergent A. R. Turner, voyant la police japonaise fouiller des col­porteurs chinois près de la ligne anglo-nipponne, fit observer que ces derniers étaient traités avec une dureté nullement justifiable. Un agent japonais ne goûta pas cette remarque.. Il asséna à Tur­ner un coup de poing sur le nez en lui disant: “Ce n'est pas de tes maudites affaires.”

Plusieurs soldats nippons fran­chirent alors la ligne et assaillirent Turner à coups de poing. L'ins­pecteur West, se portant au secours du sergent, reçut des coups lui aussi. L’inspecteur George Bennett avait été traité de la même façon la semaine dernière, au quartier gé­néral de la marine japonaise, où il s’était rendu pour demander des explications sur un acident de cir­culation dans les rues.

Shanghaï, 7, (A. P ). — Le major général Telfer-Smollett, comman­dant les troupes britanniques à Shanghaï, a protesté contre les voles de fait dont deux officiers anglais de la police municipale de Shanghaï avaient été victimes de la part des soldats japonais. Il ac­cuse ces derniers d’avoir envahi le secteur de défense britannique, dans la concession internationale, et prévient l'autorité militaire ja­ponaise qu’une répétition de cette offense pourrait avoir les plus gra­ves conséquences.

Un porte-parole de l’ambassade japonaise, interrogé au sujet de cette affaire, a déclaré n'avoir au­cune information là dessus.

Vingt censeurs et fonctionnaires japonais affectés aux communica­tions se sont Installés hier dans les bureaux des trois compagnies étrangères de câble, dans la con­cession internationale, où ils ont commencé à surveiller l'expédition des dépêches.

ASSERMENTATIONM. le juge Armand Boi-

ly, récemment nommé pour les districts d’Amos et de Pontiac a prêté ser­ment ce matin devant M. le juge Ferdinand Roy.

M. le juge Boily prési­dera son premier terme le 18 janvier à Rouyn.

UNE AVENTURE

GERTRUDE BENNETT, 17 ans, fil­le de H.-H. Bennett directeur du personnel de la compagnie Ford aux Etats-Unis a causé une sen­sation lorsqu’elle disparut ces jours derniers. Elle avcr'it plus tard ses parents qu’elle s’était en­fuie avee Russell Hughes qu’elle a épousé à Auhern Indiana.

LE SUCCES DU PLAN DUNNING DANS QUEBEC

Un grand nombre de prêts sont consentis en vertu du plan d’améliorations aux logements dans les villes de 5,000 âmes et phis.

DES CHIFFRESOttawa, 7. (D.N.C.) — D’après une

déclaration de l’honorable C.-A. Dunning, ministre des Finances, les prêts consentis sous le régime du Plan d’améliorations aux habitations dans les cités et villes de 5,000 âmes et plus, se chiffrent à 22,218 et for­ment le montant de $8,989,558.18. Ces chiffres concernant la période qui se termine au 30 novembre der­nier et sont basés sur les rapports communiqués par les institutions de prêts autorisées.

Il ne faut pas confondre ce total avec celui qui comprend tous les prêts consentis sous le régime de ce plan, dans le Canada, tant dans les districts urbains que ruraux. Au 31. décembre dernier, les chiffres dont

(Suite à la page 23, 7e col.)

Un expert en explosifs est soupçonné de i

Washington, 7. (A.P.) — Le président Roosevelt a nommé Joseph P. Kennedy, le président de la Federal Maritime Com­mission, ambassadeur des Etats- Unis à Londres, où il remplace­ra feu Robert W. Bingham. Le président a egalement annonce, dans sa conférence avec les journalistes aujourd’hui, l’envoi au Chili comme ambassadeur de Norman H. Armour, actuelle­ment ministre des Etats-Unis à Ottawa. Joseph E. Davies, am­bassadeur à Moscou, va être transféré à Bruxelles, où il rem­placera Hugh Gibson le prin­temps prochain. Le successeur de l’ambassadeur Dodd à Ber­lin est Hugh R. Wilson, assistant du secrétaire d’Etat, dont la nomination, avee les autres, a été soumise au Sénat aujour­d’hui.

Le piquetageMontréal, 7. (D.N.C.) — Des dé­

marches seront faites aujourd'hui auprès du directeur de la police municipale afin de permettre aux grévistes de ITdeal Dress qui sont en grève depuis plus d’un mots, de recommencer le piquetage devant Tusine.

Le piquetage a été interrompu à la suite d'une injonction intérimai­re prise par les manufacturiers et l’union a reçu ordre de suspendre temporairement le piquetage. Le Juge, à la suite d’une objection, dé­clare qu’il remettait la question en­tre les mains du directeur de la po­licé. Depuis Noël ce dernier avait défendu le piquetage.

Si le directeur de la police refuse le piquetage les ouvriers en grève demanderont au ministre fédéral du Travail d’intervenir’afin de les pro­téger en vertu de la loi.

La police qui enquête sur le dynamitage d’un chemin de fer à plan incliné croit qu’un expert en explosifs est le coupable.

CHOC ^VIOLENT

Hamilton, 7. (P.C.)—La police qui enquête du dynamitage d’un che­min de fer à plan incliné dont on ne se servait plus sur la montagne d’Hamilton est à la recherche d'un expert en explosifs, auteur présumé de l'attentat. Plusieurs familles de­meurant au pied de la montagne ont couru un grand danger du fait de cette explosion, qui a secoué tout le pays environnant.

La police croit que plusieurs bâ­tons de dynamite avalent été placés derrière un tramway de 20 tonnes pour le faire dévaler commt un bo­lide sur les habitations d’en bas, à

(Suite à la page 23,8e col.)

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LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 JANVIER 1938

NOUVELLES DE LEVIS Pour vous, MesdamesPar Laura-I. Baldt, A. M.

Notes personnelles.M. l'abbé F.-X. Lefebvre, curé de

Beaumont, était en promenade au début de l’année chez son père, à Boischatel.

—M. le Dr Sauveur Patry, de l’HÔ- tel-Dieu de Québec, était chez son père, M. Stenio Patry, maire de Beaumont, au jour de l’An.

—Mlle Thérèse Labrecque. du cou­vent de Lauzon, est venue passer ses vacances des Fêtes chez son père, M. J.-E. -Labrecque, à Beaumont.Il est sérieusement malade.

M. Henri Dussault, de Lauzon- Ouest, employé au bureau de la Da­vie Shipbuilding, qui a subi mardi dernier, à l'hôpital de Lévis, une délicate opération chirurgicale, est sérieusement malade et très faible. Son état est considéré comme grave. La fête de l'Epiphanie hier sur la

rive sud.Hier, dans les différentes églises

de la rive sud, a été célébrée la fête de l’Epiphanie connue sous le nom des Rois. Les chorales paroissiales ont chanté une messe en musique.

A Lévis, l'office de la grand'messe fut chanté par M. l'abbé Jules Emond. vicaire dominical et le sermon fut fait par M. le vicaire Achille Demers.

A Lauzon. l'office de la grand - messe fut chanté par M. l’abbé H. Bernier, curé de la paroisse et le sermon fut fait par M. l'abbé Paul- Henri Turgeon, professeur au col lège de Lévis.

A Bienville, l’office de la grand- messe fut chanté par M. l’abbé Tho­mas-Eugène Boissinot, professeur au collège de Lévis et le sermon fut fait par M. l’abbé S. Villeneuve, curé de la paroisse.

Au Christ-Roi, l'office de la grand'­messe fut chanté par M. l’abbé L- P. Lecours, du collège de Lévis et le sermon fut fait par M, le vicaire Emile Bourassa.

A Ste-Jearme d’Arc, l’office de la grand’messe fut chanté par M. l’abbé Alex. Rochette, curé de la paroisse, et le sermon fut fait par le Révd Père Lagardin, des Pères de Mont- fort, de Lauzon,L'ouverture des classes demain ma­

tin au collège et couvent de Lévis et au couvent de Lauzon.Les vacances des Fêtes commencées

la veille de ël tirent à leur fin et déjà ce soir plusieurs élèves seront de retour pour commencer leur se­cond semestre qui se terminera en .iuin prochain avec J a fin de l’année scolaire et l’ouverture des grandes vacances d’été. Tous vont se mettre maintenant résolument au travail après avoir passé la période de Nod et du jour de l’An avec leurs parents.

Au collège de Lévis, les pension­naires sont entrés pour six heures ce soir et les classes ouvriront de­main matin, à 8 heures.

Au couvent de Lévis les pension­naires sont entrées aussi aujourd’hui et les classes ouvriront demain ma­tin.

Au collège de Lauzon les pension­naires entreront demain et les clas­ses ouvriront lundi matin prochain

Au couvent de Lauzon les pension­naires sont entrées aujourd'hui et

l’ouverture des classes sera faite de­main matin.

Pour les élèves des écoles sous le contrôle des Commissions Scolaires les classes ouvriront lundi matin pro­chain.

Les cours de 1 Institut Commercial et Classique de M. le professeur Wil­frid Laverdière, de Lévis, ouvriront lundi prochain.La bénédiction des enfants à Lévis

et à Ste-Jeanne d’Arc hier et àVillemay, dimanche.Hier après-midi, à 3 heures, en

l’église Notre-Dame de Lévis, a eu lieu une touchante cérémonie reli gieuse consistant en la bénédiction des enfants de la paroisse. Les pa­rents vinrent en grand nombre avec leurs jeunes enfants. On fit d’abord la procession de l'Enfant-Jsus puis M. le chanoine J.-Eugène Carrier, V. F., curé de la paroisse, fit une courte instruction à ces bambins. 11 y eut ensuite salut du St-Sacrement et la térémonie se termina par la vénération de la statue de l’Enfant- Jésus par ces enfants.

Hier après-midi, à 2 heures, en l’église de Ste-Jeanne d'Arc. eut lieu une cérémonie semblable Là aussi les parents vinrent nombreux avec- leurs jeunes enfants. La cérémonie fut présidée par M. l'abbé Alex. Ro­chette, curé de la paroisse et le ser­mon fut fait par le Révd Père Legar- din. des Pères de Montfort, de Lau­zon.

Dimanche après-midi prochain, à 2 heures 30. en l’église du Christ- Roi, sera faite la bénédiction des en­fants de la paroisse. Les parents de Villemay voudront bien venir nom­breux avec leurs Jeunes enfants afin 'de les faire bénir par le petit Jésus. ; Deux appels des pompiers de Lévis

hier matinLes pompiers de Lévis ont été ap­

pelés vers 7 heures, hier matin,! pour un commencement d’incendie chez M. J.-B. Gosselin, boulanger, rue St-Louis de France. Le feu, probablement mis par des fils élec­triques, était pris dans la toiture de la verandah et menaçait de se com­muniquer à| la maison. On dut se servir des boyaux à incendie et il y I a eu des dommages par l’.eau.

Les mêmes pompiers fuient ap­pelés vers 10 h. 45, hier matin, pour un feu de tuyau sans dommages, à la résidence de M. Lucien Guay, rue Samson.Veillée des Rois lundi soir en la salle des Chevaliers de Colomb de Lévis

Les membres du Conseil Notre- Dame 2651. des Chevaliers de Co­lomb de Lévis, sont invités avec leurs dames ou compagnes, à une veillée qui aura lieu lundi soir pro­chain, à 8 heures, en leurs salles, rue St-Louis, à Lévis, à l'occasion de la fête des Rois Un beau pro­gramme est préparé pour la cir­constance et tous passeront une in­téressante soirée.Le lt-eolonel Guénet a reçu ses douze camarades à dîner chez lui

Le lleut-colonel Roméo Guénet, de Lauzon. a reçu Mer, à sa résidence, ses douze compagnons revenus avec lui des solitudes de la Baie James. Ces hardis arpenteurs portent en­core les marques des fatigues et pri­vations endurées mais se remettent rapidement. La plupart sont main­tenant partis pour retourner dans leurs familles.Il» ont présenté voeux à S. E.

le cardinalUne nombreuse délégation des

groupements organisés de Lévis se sort rendus mercredi soir dernier au palais cardinalice pour offrir à S. E. le cardinal Villeneuve, arche­vêque de Québec, leurs respectueux hommages et meilleurs voeux à l'occasion de la nouvelle année. MM Gérard Lépine. P.-H. Maran- da, Paul-H. Dumas et Roméo Cou- lombe représentaient la J. I. C. ; MM, Réal Carbonneau, J.-G. For-

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des questions importantes seront discutées. Il sera question de la sor­tie du club dimanche matin pour

jla parade d’église à Québec, sous les auspices de 1 Union locale des ra- quetteurs..Mort de Mlle C'élanire Dupéré,

! à LévisNous avons appris avec regret la

mort de Mlle Célanire Dupéré, fille de feu M. Damase Dupéré et de feu dame Amanda Filteau. survenue mercredi dernier, à l’hôpital de Lé­vis, à l'âge de 76 ans. La défunte était la soeur de M. Basile Dupéré et de Mlle Herméline Dupéré, de Lévis, Mme François Laliberté, de Lévis et Mme Vve Arthur Samson, de Bienville, la tante de MM. Adju- tor et Orner Laliberté, de Lévis, M. Lionel Laliberté, de Riviére-du-Loup et M. Philippe Laliberté, de Ville­may.

M. Maurice Gilbert a transporté les restes mortels de la défunte, à sa résidence, rue St-Julien, où ils sont exposés. Les funérailles auront lieu demain matin, à 9 heures, en l'église Notre-Dame de Lévis et l’in-

I humation sera faite au cimetière Mont-Marie. Nous présentons à la

i famille en deuil nos plus vives sym- ; pathies.1 Assemblée du club de raquettes j “Le Lévis” ce soir

Une assemblée des officiers et 1 membres du club de raquettes “Le ! Lévis” sera tenue ce soir, 8 h. 30, !en leur chalet, salle Dion, rue St- Louis, à Lévis. On demande à tous les membres d’être présents, vu que des questions importantes seront discutées. Il sera question de la sor­tie du club dimanche prochain pour la parade d’église à Québec, sous les auspices de l’Union locale des raquetteurs.Ficvx exercice en l’honneur de sainte Thérèse

Hier soir, après l’office des vêpres, en l’église Notre-Dame de Lévis, a eu lieu le pieux exercice hebdoma­daire du jeudi soir en l’honneur de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus. M. le chanoine J.-Eugène Carrier, V, F., curé de la paroisse, récita les prières habituelles, parla de la vie de la petite sainte de Lisieux et de la dévotion que l’on doit avoir pour elle qui se plait à exaucer tous ceux qui la prient avec confiance. La cé­rémonie se termina par la vénéra­tion de sa reliaue.

» Itin, à 8 heures, en l’église Notre- Dame de Lévis et l’inhumation sera faite au cimetière Mont-Marie. Nous présentons à la famille de la regrettée défunte nos plus sincères condoléances.Réception aux employés des Iaxis Antoine Roy, de Lévis

Nous recevons le communiqué suivant avec prière de le publier.

A l’occasion du nouvel An, nous tenons à remercier M. Antoine Roy, propriétaire des taxis Antoine Roy, de Lévis, pour un souper qu’il a bien voulu nous donner mardi soir der­nier, à sa résidence, rue St-Onési- me. Nous le félicitons de son bon accueil et lui promettons de notre part de lui donner un bon servivee comme les années passies.

Nous nous joignons f>us pour lui souhaiter ainsi qu’à son épouse une bonne et heureuse année avec tout le succès possible.

Ont signé: MM. Aurèle Cantin, Marcel Beauchemin, Arthur Roche- fort, Aimé Roy, Roland Nolin et Laurier Blais ainsi que le commis des Taxis Antoine Roy, M. Philippe Pellerin.Mort d’anciens paroissiens de Bienville

Nous avons appris avec regret la mort de Mme Vve Elzéar Beaudoin, autrefois de Bienvüle, survenue hier matin, à l’Hôpital Général, à Québec, à l’âge de 84 ans et 4 mois. La défunte était la mère de Mme Hervé Latulippe, de Bienville et de Mme Aimé St-Laurent, de Lévis.

M. J.-P. Thibault a transporté les restes mortels à la résidence de M. Hervé Latulippe, gendre de la dé­funte, rue Wolfe, à Bienville, où lis sont exposés. Les funérailles auront lieu demain matin, à 9 heures, en l'église de Blenvillp et l’inhumation sera faite au cimetière de la pa­roisse.

Hier matin, au prone de ia grand’-

IMPOSANTES OBSEQUES DE

Mlle HACHE

mitée, le deuil était coaduit par les frè­res- de la défunte, nMM. Joliet-E., Pascal. Louis-Philippe et Eugène Taché; son beau-frère, M. A Padley; ses cousins, MM. Cap. E.-M Johnstone. Guy. Jac­ques, Philippe, Eugene et Etienne Taché, Paul et Adrien Bélanger.

Dans l’imposant défilé, on remarquait MM. Arthur Duval. N.P., Eéchevin. Wil­frid Samson. Eehevin; Prank Dinar.. Echevin; J-A. Roy, I.-F., Robert Côté,

D imposantes obsèques ont été faites C.R.; D.-J. Kane; James Lynch; Alphon- vendredi matin, en l’église St Patrice, se Talbot. Arthur Egan. Geo. Paquet, rue MacMahon. à Mlle Jeanne Taché. Henri Méthot, I-F, Henri Kieffert, I.- fllle de feu Jules-P. Taché et de feu F., Arthur et J.-E. Leblanc, C. N. R., Marguerite Burke, décédée à Montréal le I Bender Leblanc, C. N. R., Paul2 décembre, a l’âge de 26 ans. Une fou-1 Vocelle. Alex. Morisset, W.-Hle nombreuse de parents et d’amis a1 Laroche. R. Michaud, J.-E Michaud. R. voulu apporter à la famille si lourde- Bain, C. P R., Frank Couture, J.-W. Ga- ment atteinte le réconfort de sa sym- ; gnon, Ph. Couture, A. Biron, M. Mcpathie et participer a l’ultime témoi­gnage à la mémoire de la Jeune fille dis­tinguée dont on déplore unanimement la perte. Des membres de l’administration municipale, plusieurs notables #du mon­de professionnel et des affaires ainti que des représentants de toutes les clas­ses de la société figuraient dans le cor­tège.

A l’église, la cérémonie fut très impo­sante. Le temple paroissial était paré de ses plus riches tentures de deuil et rempli de fideles Le R. Pere Murphy a présidé la levée du corps et a aussi chanté le service. Plusieurs membres du clergé avaient pris place dans les stal­les du sanctuaire. La chorale paroissia­le a rendu avec brio une messe de re­quiem harmonisée

Au départ du cortège, au salon mor­tuaire de la maison Germain Lépine Li-

messe, M. l'abbé S. Villeneuve, curé de Bienville, a recommandé aux prières de ses paroissiens les deux personnes suivantes autrefois de Bienville :

M. Joseph Picard, époux de dame Juliette Morency et füs de feu M. Michel Picard, décédé le 3 janvier, à Québec, à l’âge de 47 ans. Les fu­nérailles ont eu lieu mercredi ma­tin dernier, en l’église de Bienville et l’inhumation a été faite au ci­metière de la paroisse.

M. François Labrecque, décédé le 31 décembre demier, à Vallée Jonc­tion, à l’âge de 44 ans.

Nos plus cordiales sympathies aux families en deuil de ces trois per­sonnes décédées.

Koewn, Henri Glguère, de Giguére Auto, R. Canner. W.-J. Berrigan, Welley Browns, Maxime et Jean Hébert, Paul Huard. J.-S Lindsay. C.-R Webber. P.-J, Sunderland, Alphonse Côté. J. Noonan, R. Noonan et E Lachance, H. Webber. H Halleasey. Jos. Tanguay. Florian Fortin. J.-Chs Bégin et Paul Bégin. Ernest Dom- browski, E.-L. Gosselin, W’ilfrid Beau- champ, Ph. Dussault, C P R., J.-E. Gi- guère, C. P. R., Charles Michaud, C. P. R., Lucien Proteau, A.-P. Bibaud, Martin Dempsey. Roméo Rousseau.

La maison Germain Lépine Limitée avait la direction des funérailles.

Le “Soleil" réitère à la famille si lour­dement atteinte l’expression de ses très vives condoléances.

FUNERAILLES DEM. LUDG. AUGER

L. Guilbualt, de Montréal.M. Geo.-E. Houde, conduisait le

corbillard et M. Chs.-H. Lagamère portait la croix. Les porteurs étaient MM. Alf. Laganière, Honoré Laga- nlère, Geo.-L. Trottter, Emile Biais. Robert L. Trottier, Fulgence Sauva- geau. Le deuil était conduit par M. le Dr F.-X. Massicotte, médecin de la famille, M. l’abbé J. Paquet, M. Rosaire Arcand, fils adoptif du dé­funt, Adrien Arcand, Roger Arcand petits-fils, Jeanne d’Arc et Cécile Arcand, petites-filles; M. Arthur Page, des Ecureuils, son demi-frère.M. Narcisse Paré, de Deschambault. son beau-frère: Oliva Auger, des Ecureuils, son cousin ; M. et Mme Francis Arcand. M. Ahtable Arcand; ses neveux de St-Marc des Carriè­res, Mlle Germaine Page, de Des­chambault, M et Mme Narcisse Pa­quet et M. et Mme Clovis Paquet: ses nièces, de Deschambault, M. et Mme Lactance Mayrand, de Des­chambault.

La choraie de la paroisse chanta la messe des morts en chant grégo­rien. Mme Paul Guilbault, organiste touchait l’orgue.

Le défunt fut inhumé dans le ter­rain de la famille. Nos plus sincères condoléances à la famille affligée.

Grondinés (D.N.C.) —• Le 30 dé­cembre dernier les funérailles de M. Ludger Auger, époux de feu Dé­lima Paquet, ont eu lieu au milieu d’un grand concours de parents et d'amis.

Le service fut chanté en l’église de Grondines par M. l’abbé J. Paquet, curé de St-Jean Deschaillons, füs adoptif du défunt, assisté de M. le curé J.-H. Cinq-Marc et de M. l’ab­bé Em. Rivard, curé de St-Alban. Des messes furent dites par M. l'ab­bé Lomer Trôttier, vicaire à St- Ephrem de Beauce et par M. l’abbé

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du premier vendredi du mois.A Bienvüle, ce soir, à 7 heures,

prière du soir et salut du St-Sacre- ment. A Lévis et à Lauzon, pas d’heure d’adoration ce soir.Mort de Mme Gaudioso Fortier, de Lévis

Nous avons appris avec regret la mort de dame Eugénie Mlarcoux, épouse de M. Gaudiose Fortîer, de Lévis, survenue presque subitement mercredi dernier, à sa résidence, rue St-Georges, à l’âge de 60 ans et 2 mois. I.a défunte était la mère de

N. B.— Ces patrons provenant d’une maj- j Albert, Wilfrid et Paul-Eugène*Fortier, de Lévis, de Mlles Lucien­ne, Marie-Jeanne, Thérèse et Mar guerite Fortier, aussi de Lévis. Les funérailles auront lieu demain ma-

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“Le Voltigeur” ce soirUne assemblée des officiers et

membres du club de raquettes ’’Lé Voltigeur” sera tenue ce soir, à 9 heures, en leur chalet, côte du Pas­sage, à Lévis. On demande à tous les membres d’être présents, vu que

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par EDOUARD AUJAY I l_______________________________ !

— C est bien simple, cependant... Que n’accepteriez-vous pas vous- méme pour trouver la solution d’une grosse enquête ... comme celle que vous menez en ce moment, par ex­emple. Tenez, peut-être, dans quel­ques jours, serez-vous amené à ab­diquer votre personnalité réelle, car je vous promets, si vous avez un peu de chance, de belles surprises !

Le Chinois se tut. D ailleurs. les gendarmes autrichiens montaient dans le train pour vérifier les passe­ports. Le convoi était arreté dans la petite gare de Buchs, qui est aux portes du Tyrol. De hautes cimes aux neiges éternelles encerclaient la vallée qu’allait suivre l’Orient-Ex- press.

Sur le quai, des douaniers s’af- lairaient auprès des porteurs qui conduisaient les gros bagages à la salle de visite. Le dining-car s’é­tait vidé peu à peu et le Français et le Chinois étaient restés en tète a tête, devant leurs tasses vides, fu­mant sans répit des cigarettes.

Le premier, l’inspecteur Janvier reprit l’entretien.

— Serait-il contraire a ta mission, demanda-t-il à Ltng Tao. que tu nous aides à retrouver le meurtrier de Franchesse ?

— Vous ne me croyez pas quand je vous affirme que je ne sais rien de cela ? Et pourtant, c’est l’exac­te vérité. Et, il y a mieux ; “Je donnerais gros pour le connaître, celui-là.”

Il avait prononcé cette phrase d’u­ne voix sourde où perçait une co­lère qu’il ne voulait pas extérioriser. Le ton était si convaincant que Jan­vier ne douta pas.

— Et... demanda-t-il, c’est à Vienne que tu comptes découvrir l’é­nigme ?

— Non. DaUleurs, Franchesse ne m’intéresse plus.

— Admettons-le. Je ne com­prends pas, alors, pourquoi tu vou­drais tant connaître l’assassin 1 Pour le compte de qui trafiquait-U l’o­pium ?

— Pourquoi toujours revenir sur cette question ? Pour lui-même, sans lui-même sans doute, d’abord.

-- Il n’avait pas besoin de ces

profits.— Connait-on jamais les besoins

des hommes ?René Janvier se leva pour rega­

gner son compartiment. Il sentait l’inutilité de cet interrogatoire, car, dès qu’il abordait les questions pré­cises, il se trouvait devant le “mur" Infranchissable qu’est un Asiatique décidé à ne pas parler.

Le convoi roulait maintenant en­tre les énonmes contreforts couverts de forêts des Alpes Tyroliennes ,et dont le spectacle, même vu d’un wagon de chemin de fer, est un en­chantement pour les yeux.

Debout dans le couloir, le policier français, tout en admirant le pay­sage. tentait de démêler, à travers les réticences du Chinois, l’indice qui le conduirait à la vérité. Il se rémémorait les péripéties de l’en­quête qu’il avait suivie dès la dé­couverte du crime.

Que se passait-il à Paris depuis qu’il avait quitté le quai des Orfè­vres ? En deux mots, le commissai­re Barthey avait conté à son subor­donné 1 incident du pneumatique que Mme Lagrange avait reçu de sa fil­le

Les recherches avaient du conti­nuer Qu'avaient-elles fait décou­vrir ? René Janvier se refusait à croire à la participation d’Andrée Lagrange dans l'affaire. Elle lui était apparue si franche, si loyale !

Que déduire, alors, de cette dis­parition théâtrale, qui suivait, à quelques heures d’intervale, la dispa­rition plus explicable de ce faux bonhomme de Langlois V

Le Jeune policier avait hâte de

se trouver à Vienne, où l'attendrait un message expédié de Paris pour le mettre au courant des derniers in­cidents de l’affaire, tandis que lui- même pourrait relater à ses chefs, par la voie télégraphique, les décou­vertes qu'il avait faites en conver­sant avec Llng Tao le mystérieux.

Le tram roulait toujours, brûlant les gares et les haltes, et ne stoppant que dans les grandes cités. A midi, à l'appel du maitro d'hôtel passant dans les couloirs, les voyageurs re­tournèrent vers le wagon-restaurant. Pour s’y rendre, l’inspecteur Jan­vier devait passer devant le compar­timent du Chinois, Ling Tao, allon­gé sur la couchette, lisait, tranquille­ment un roman anglais,

— On ne déjeune pas ? demanda le policier français de la porte du sleeping.

— Mais si..., répondit le Jaune, j'oubliais l’heure... Les histoires de détectives anglais sont tellement passionnantes ! Vous ne lisez pas les romans policiers anglais ?

— Pas le temps ! grommela Jan­vier

— C'est dommage. On y découvre à chaque page un truc nouveau. Ex­cellente école pour des gens comme nous.

Us s’installèrent, de la même ma­nière qu'ils l’avaient fait pour le pe­tit déjeuner, l'un en face de l’autre. Mais cette fols deux autres voya­geurs vinrent occuper la table et la conversation des adversaires resta dans les banalités.

Ling Tao parla de Shanghai, où il avait résidé quelques années, au ser­vice du consulat des Etats-Unis,

pour qui il effectuait des enquêtes chez ses compatriotes.

Le déjeuner achevé, le café bu, ils regagnèrent leur wagon.

— Encore deux heures, et nous se­rons à Vienne, dit Ling Tao.

— Oui. à Vienne, répondit Janvier.Et il imaginait l'arrivée dans la

capitale autrichienne, ses craintes que Llng Tao n'échappât à la sur­veillance qui serait certainement établie dès l'arrivée de l'Orient-Ex- press.

René Janvier se mit à parcourir quelques journauxx qu'il avait ache­tés en cours de route. La fatigue des derniers jours, le roulement du train le mettant dans une agréable eu­phorie : il ne pensait plus, savourant le souvenir du déjeuner qu'il venait de faire. Il fut tiré de sa torpeur par un brusque arrêt. L’horloge de la pa* tite gare dans laquelle le convoi avait stoppé marquait 2 heures 20,

— Où sommes-nous?... demanda-t- il à l’employé du wagon-lit, qui pas­sait à ce moment dans le couloir.

— Neu-Lengberg... Trente kilomè­tres de Vienne. Ce n’est pas un arrêt prévu. Il doit y avoir quelque chose sur la voie.

René Janvier vint dans le couloir, il vit le chef de station qui courait, s'agitait, glapissait des ordres à l’ai­guilleur, penché hors de sa cabine.

Puis, bientôt, le train repartit accé­lérant vite son allure.

L’Incident n’avait duré que quel­ques minutes, mais, hélas! 11 avait été mis à profit par Llng Tao, qui avait trouvé sans doute, le moyen de mettre en pratique grâce à ses ré­flexes rapides, un des “trucs" que lui

suggérait le roman policier anglais dans lequel il paraissait plongé de­puis Innsbruck.

Q’on se représente la scène. Le Chinois est allongé sur la banquette de velours vert ou sleeping. Lit-il réellement ou médite-t-il, lui aussi sur les aventures qui l’attendent à son arrivée à la Nordbahnhof et aux moyens d'y échapper ?

Soudain, l’Orient Express stoppe. Ling Tao, qui connaît la ligne pour l'avoir pratiquée souvent, est sur­pris par cet arrêt inopiné.

Mais, s’il se lève,, ce n’est pas pour aller regarder ce qui se passe sur le quai, côté couloir. Son instinct d’A slatlque rusé et prompt le porte vers la fenêtre de son compartiment. Et 11 aperçoit, sur l'autre vole, un train vide et dont les wagons portent l'inlication ; "Arbeitertrein Wien- Neu-Lengberg." Train ouvrier! Ce­lui-là s'arrêtera certainement a tou­tes les petites stations qui vont se présenter Jusqu'à Vienne. N'°st-ce pas le moyen idéal ppur ‘ sen. t” le policier français, d’abord, et pour éviter la filature qu’il pressent et qui va l’accrocher dès son débarquement dans la capitale autrichienne?

Vivement Ling Tao ouvre sa valise, prend quelques papiers qui sont dans la pochette du couvercle, enfile son pardessus, pousse doucement la porte du couloir baisse la vitre extérieure, enjambe, saute sur le marchepied

’ avec une adresse quasi simlesque, 1 ouvre la première portière qui se pré­sente à lui et se cache sous une ban­quette.

Déjà, l’Orlent-Express démarre... Ling Tao respire et sourit narquoise­

ment. A cent à l’heure, le convoi qu’il vient de quitter fonce sur Vien­ne, et il sait bien, le madré, qu’on n’arrêtera pas le bolide en route pour un Chinois qui a disparu !

Peu après, d’ailleurs, dès que le bloc de voie est libre, le train ouvrier dé­marre pour s’arrêter dix minutes plus tard à Purkerdorf, où Ling Tao l’abandonne. On le laisse sortir li­brement de la petite gare. N'a-t-il pas un billet pour Vienne ?

Et c’est au moment où l’Asiatique, ayant faussé compagnie à ceux qui s’inquiétaient de sa mystérieuse per­sonne, s'enquérait d une auto pour se faire conduire à Vienne, que l’em­ployé du wagon-lit constatait sa dis­parition.

Il alerta René Janvier.— Votre Chinois ? Vous savez où

il est ?— Dans son compartiment, sans

doute, ou à la toüette ?— Ça m'étonnerait... son chapeau

et’ son pardessus ne sont pas la. Il a dù en jouer un air à Neu-Lengberg.

— Sacrebleu ! 11 faut le chercher !— Vous donnez la peine ! «Vous

ne le trouverez pas !Fataliste et habitué à ces incidents

souvent répétés dans les trains inter­nationaux. l'homme du wagon-lit sait bien que le Jaune a profité de l'arrêt Inopiné du convoi pour pren­dre In poudre d’escampette.

— Signalez-le en arrivant à Vien­ne, dans cinq minutes. Le télégra­phe n'est pas fait, pour les chiens !

René Janvier fouillait la valise du Chinois. Elle ne contenait rien d'au­tre que des vêtements. Par terre gi­

sait le roman policier anglais, ironi­quement ouvert à une page de gra vure sur laquelle on voyait un hom­me sauter d’un train en marche !

La déception du policier français était grande. S’étre laissé rouler ain­si stupidement ! U pensait aux con­séquences de sa distraction impar­donnable.

Impardonnable, car, en sompie Llng Tao l'avait prévenu en ne lui cachant rien de sa personnalité, — ou du moins, de sa personnalité cachée.

L'Orient-Express franchissait le pont sur le Danube et, à vitesse ré­duite, s’engageait entre les rangées de maisons norcles de fumée.

Déjà, les voles s’écartaient en épis nombreux. C’était Vienne, où René Janvier venait pour tenter d’élucider le mystère qui planait sur la mort de Franchesse.

Il avait quitté Paris en tenant en­tre ses mains un des füs qui pou valent le conduire au cours de l’In­trigue. Il descendait du train: le fil était rompu. Le rusé Asiatique avait brouillé les pistes...

VIII

LE CLAQUEDENT J>E MAYERHOE

Pour être certain de ne point man­quer les deux Invités — l’inspecteur Janvier et Ling Tao — qu'on lui avait annoncés par télégraphe, le chef de la sûreté viennoise avait établi une sourcière à l’arrivée de l’Orient-Ex- presse.

(A «ulvsej »

*

Page 3: O^T XT¥¥ - BAnQ

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LES GROUPEMENTS DE JEUNESSE PRESENTENT DES HOMMAGES AU CARDINAL

A L’ETAT-MAJORSon Eminence le cardinal

Villeneuve reçoit les hom­mages de la jeunesse ca­tholique et parle de l’ur-

> gente nécessité de la vie chrétienne.

M. G.-H. DAGNEAU

Le lieut-colonel G.-E.-A. DEI’l'IS, M.C., commandant du Royal 22c Régiment depuis 1932, sera désor­mais attaché à l’état-major du district militaire de St-Jean, N.-B.

CELEBRATION EDIFIANTE DE

L’EPIPHANIEDans toutes nos églises, la

fête de l’Epiphanie a été célébrée avec dévotion — L ’ assistance considérable aux messes paroissiales.

A LA BASILIQUELa fête de l’Epiphanie a été cé­

lébrée avec grande solennité hier dans toutes nos églises. Des foules de fidèles ont commémoré l’acte de foi des Rois Mages en s'approchant de la Table Sainte. L'assistance était très considérable aux diverses messes paroissiales. Dans tous les temples des prédicateurs éloquents ont commenté les grandes leçons qui se dégagent de la visite des Mages à la Crèche après un long et péni­ble voyage.

Cette célébration a revêtu un ca­ractère de particulière splendeur à l’église-cathédrale, où S. Em. le Cardinal a officié pontificalement à la grand'messe. Mgr l’Archevêque a prononcé une homélie sur l’évan­gile du jour duquel il a dégagé trois grandes leçons. Avant la messe eut lieu l’impressionnante cérémonie du chant du Saint Office de Tierce se­lon une vénérable tradition en usa­ge dans les cathédrales romaines.

On vient de chanter, après l’évan­gile, l'annonce des fêtes de l’année, dit en substance Mgr l’Archevêque dans son homélie. Dés les débuts de l’Eglise, toute lecture était un chant ou au moins une spalmodie.

L’année liturgique commence avec le premier dimanche de l’Avent. Elle est déterminée par la fête de Pâques qui en est le centre. Après les fêtes de Noël, on annonce la da­te des fêtes mobiles. Ainsi on vous a annoncé que le dimanche de la Septuagésime tomberait cette année

(Suite à la page 8. 4e col.)

M. J.-M. DessureaultAinsi que le “Soleil" l’annon­

çait U y a une semaine, le bruit court que M. le commandeur J.- M. Dessureault, industriel et homme d’affaires bien connu, serait candidat à la mairie aux prochaines élections. Interrogé à ce sujet M. Dessureault a ad­mis que plusieurs groupes l’a­vaient approché à ce sujet, mais qu’il n’a pas encore pris de dé­cision. M. Dessureault prendra une décision dans quelques jours.

“Le catholicisme des jeunes pa­rait sur leurs fronts et c'est ce qui nous fait vous regarder avec plus de confiance, plus de joie, mes chers fils. Mais de là aussi vous incom­bent des devoirs particuliers. Il faut que les motifs inspirateurs jaillissent du fond même de vos âmes. Il faut qu’il y ait en vous de la vie chré­tienne. Cette année, nous aurons une belle aimée, une année eucha- j-istique, une année de vie divine.’’

Telle est la déclaration que fai­sait mercredi soir S. Em. le cardinal Villeneuve, archevêque de Québec, aux mouvements de jeunesse spé­cialisés groupés au salon rougë de l’Archevêché pour lui présenter leurs hommages. M. l’abbé Guillau­me Miville-Deehêne, de l’Université Lavai, aumônier diocésain général, et les aumôniers respectifs des di­vers groupements de jeunesse en­touraient le Primat de l’Eglise ca­nadienne. On remarquait dans la foule des jeunes de nombreuses dé­légations de la J. O. C., de la J.I.C., de la J.E.C. secondaire, de la J.E.C. primaire et de la J.C.P.

M. Georges-Henri Dagneau, pré­sident diocécain de TA.C.J.C., se fit l’interprète du groupe pour formu­ler au Chef de l’Eglise de Québec des hommages et des voeux ainsi que l’assurer de la filiale soumission de la jeunesse diocésaine spécialisée. “Toute la masse des militants et des sympathisants de la jeunesse catho­lique spécialisée est ici, Eminence, pour vous présenter ses hommages et solliciter vos paternelles directi­ves et votre bénédiction”, dit M. Da­gneau. Le président de l’A.CJ.C. souligna que la jeunesse ne manque pas de générosité, mais que le don de soi nécessite parfois beaucoup de courage. Il déclara ensuite que la jeunesse est prête à se dévouer pour le succès du congrès eucharistique national de juin prochain.

“C’est vraiment une bénédiction paternelle”, dit Mgr l'Archevêque après avoir béni les jeunes qui rem­plissaient le grand salon du Palais Cardinalice. “Au début de l'année, il y a lieu de nous rappeler que les liens de la grâce sont plus étroits et plus forts que ceux de la chair. Personne n’est plus père que vos pè­res spirituels. Ceci est vrai pour vos aumôniers et peut-être encore da­vantage pour moi, je crois.” S. Em. le cardinal dit alors son attache­ment pour les jeunes de son diocè­se puis il continue: “Vous venez ici

(Suite à la page 13, 2e col.)

DEUX REUNIONS ONT

LIEU A QUEBECLes officiers de la Légion cana­

dienne et des Voltigeurs ont re­çu, hier, un grand nombre d’in­vités, à l'occasion de la Nouvelle année.

LES OFFICIERSLes officiers de la Légion cana­

dienne et les Voltigeurs ont reçu, hier, un grand nombre d'invités, à l’occasion de la nouvelle année. La première réception a eu lieu dans les salles de la Légion canadienne, rue Saint-Augustin, et la seconde au “mess” des officiers des Voltigeurs, au Manège militaire.

A la Légion Canadienne, les invités étaient reçus par le lieutenant-colo­nel J.-D. Brousseau, M.D., président de la succursale, par le lieutenant- colonel Philippe Ouellet, vice-prési­dent et par M. Henri-Paul Hamel, président du comité de réception.On remarquait le colonel W. Wood, de T Army & Navy Association, le lieute­nant-colonel Léon Lambert,, de la police provinciale, M. A.-G. Penny, le

(Suite à la page 8. 8e col.)

Le major P. Flynn succède au Lieuf-col. Alex. Dupuis

La jeunesse catholique spécialisée a présenté ses hommages au Chef de l'Eglise de Québec au cours d une belle manifestation au salon rouge de l'Archevêché mercredi soir. M. Georges-Henri Dagneau. président de l'A. C. J. s’est fait l'interprète du groupe pour assurer Mgr l'Archevêque de la filiale soumission de la jeunesse catholique diocésaine. S. Em. le Cardinal a répondu par «le paternelles paroles. — Dans l'illustration de gauche, M. l'abbé Guillaume Mi- ville-Dechêne, de l’Université Laval, aumônier diocésain général de la jeunesse catholique, présente à Son Eminence les délégués des divers groupements. A droite, on remarque quelques personnages ecclésiastiques qui accompagnaient Mgr l'Archevêque, de gauche à droite : M. le chanoine J.-A. Chamberlaml, S. Em. le Cardinal ; M. l’abbé Guillaume Miville-Dechène i le K. Père Schelpe, S. J., aumônier de la J. I. C. A l'extrême droite, M. Georges-Henri Dagneau. président de PA. C. J. C, lit une adresse au Primat de l'Eglise canadienne.

(Clichés du ''Soleil")

CANDIDAT

M. J.-A. BONNIER, échevin «le la Côte Saint-Paul, à Montréal, qui vient d’être choisi candidat offi­ciel du parti libéral à l’élection complémentaire dans le comté de Saint-Henri. L’élection aura lieu le 17 janvier.

DESASTREUX INCENDIE A

ST-ROMUALDLa maison de M. Malcolm

Couture et de sa famille, à St-Romuald, est complè­tement détruite — Elle était en face de la gare du C. N. R.

LES VOISINSUn violent incendie, qui a failli

dégénérer en conflagration, a com­plètement détruit, hier, une maison occupée par M. Malcolm ^Couture et sa famille, à Satnt-Romuald. Cette maison appartenait à M. Napoléon Larose, de Saint-Henri, et était si­tuée en face de la gare du Cana­dien National. Grâce à la prompte intervention des pompiers volontai­res. les maisons avoisinantes ont pu

(Suite à la page 13,2e col.)

LES CLUBS LIBERAUXAU CLUB DE REFORME

Les membres de l'Association de la Jeunesse libérale du district de Québec, sont convoqués à une gran­de assemblée -qui aura heu, ce soir, au club de Réforme, sous la prési­dence de M. J.-Yvon Bouchard. Ce sera la première assemblée de Tan­née de cette association. Il est tout probable que Thon. Adélard Godbout, ancien premier ministre de la pro­vince et chef du parti libéral pro­vincial, sera présent.

AU CLUB MERCIERLa prochaine assemblée du club li­

béral Mercier aura lieu mercredi soir prochain, à 8 h. 30, sous la présidence de Me Philippe Corriveau. C.R. Tous les membres sont priés d’y assister, car ce sera la première réunion de Tannée 1938 et plusieurs importan­tes questions seront discutées. M. Corriveau fera part aux membres du programme des activités du club d’ici au printemps prochain. Il compte sur une nombreuse assistance.

3,500,000 VISITEURS

Montréal, 7. <D. N. C.) — On très que les soins reçus et à des cau-rapporte qu'au cours des cérémonies qui se sont déroulées à l’Oratoire Saint-Joseph, à l’occasion de l’anni­versaire de la mort du Frère André, quatre miracles ont été accomplis. Lors des cérémonies de mercredi et d’hier le Révérend Père Cousineau, supérieur de l’Oratoire, a donné lec­ture de documents attestant ces quatre guérisons.

I Les guérisons miraculeuses sont i celles de Soeur Marie-de-Saint-Fro- ! debert, de Mme Joseph Petit, de ! Valcourt, de Mme Florent Désilet et de Thérèse Cousineau, de Montréal.

La guérison de Soeur Marie est [attestée par le docteur Préville, au­trefois des hôpitaux Notre-Dame et Saint-Paul. Celle de Mme Petit, par le docteur Guénette. de Laurence- ville. Elle souffrait d’une maladie de débilité. Tous les médecins attri­buent les guérisons à des causes au-

ses surnaturelles. Elles seront tou­tes soumises aux autorités religieu­ses qui les étudieront.

Au cours de Tannée qui s’est écou­lée depuis la mort du Frère André. Ton annonce que 1,952 faveurs et guérisons ont été attribuée au saint religieux. De plus, 1921 autres, fa­veurs et guérisons sont attribuées â saint Joseph par l’intercession du Frère André.

Au cours de la journée d’hier, des dizaines de milliers de personnes ont visité le sanctuaire qui n’a pas vidé de la journée et de la nuit. Hier avaient également lieu deux grandes cérémonies à l’occasion de l’anniversaire de la mort du saüit Thaumaturge.

Les Pères de Sainte-Croix annon­ce que 3,500,000 personnes ont visité le sanctuaire en 1937 et que plus de 217,000 lettres y furent reçues.

MALHEUREUX SECOURU

DISTRIBUTION DE CADEAUX A DES ENFANTS

Un malheureux qui vivait seul dans une vieille automobile, à quelque 100 pieds de la rivière Saint-Charles, a été secouru mercredi après-midi, par des inspecteurs de la Ville. On Ta transporté en toute hâte chez les SS. Grises, où il passera le reste de Thiver. Le vieillard, car il s’agit d’un homme de soixante ans au moins, a donné son nom, mais il n’a pu dire ni son âge ni l’endroit d’où 11 vient. Il a beaucoup souffert du froid et a été affaibli par les privations, mais les médecins ne jugent pas cepen­dant son état précaire. Tout Indique qu’il sera complètement1 rétabli d’ici quelques jours.

UN VIOLENT INCENDIE A LA BAIE SAINT-PAUL

Baie St-Paul, 7. (D.N.C.) — Un violent incendie qui a failli dégéné­rer en conflagration a détruit hier de fond en comble les granges et écuries de MM. Aimé Simard et Joseph Simard, fils d’Alex. Ce n’est que grâce à un temps calme et au travail ardu des pompiers volontai­res qu’une conflagration a pu être évitée et que Ton a réussi à sauver la résidence de M. Joseph Simard ainsi que celles de M. Joseph Allard et de M. Aimé Simard, occupée par M. J. Boily.

Le feu a été découvert vers deux heures et demie dans la grange de

perd six bêtes à cornes, quantité de foin d’avoine ainsi que plusieurs voitures.

Les flammes se sont communi­quées ■ ensuite avec une rapidité étonnante chez M. Joseph Simard pour détruire sa grange, son étable ainsi qu’un hangar. Les pompiers volontaires ont pu cependant sau­ver tous les animaux renfermés dans Tétable. Us durent travailler fer­me pour empêcher les flammes de se communiquer aux maisons de MM. Simard et Allard qui se trou­vaient à proximltéé du théâtre de Tlncendie. S’il avait venté, les per-

M. Aimé Simard et en un rien de ( tes assez élevées auraient été beau- temps se communiqua à Tétable. En ! coup plus considérables car une plus de ses bâtisses. M. Aimé Simard conflagration était à craindre.

Les "Légionnaires de la Frontière", ont distribué, mercredi, des cadeaux a un groupe d’enfants, a l’occasion des fêtes. Sur la vignette du haut, on voit les officiers de ce groupement, et plus bas, la scène qui s’offrait à leurs yeux à l’hôtel St-Louis, lors de la distribution.

L’EDITION DE 5 HEURESLe "Soleil ' tient à remercier le public de Quebec, qui a

accueilli avec un enthousiasme particulièrement encoura­geant, la réapparition de notre édition de 5 heures.

Plusieurs milliers de citoyens ont acheté cette édition, mercredi, avec la certitude d’y trouver de nombreuses nouvelles inédites et exclusives. Ils n’ont pas été déçus.

Un grand nombre de lecteurs ont tenu à nous féliciter mais ils l'ont fait à titre d'encouragement et non parce qu'ils étaient surpris de l'excellence de notre service, au­quel ils sont habitués.

Le “Soleil” continuera, comme par le passé, à donner au public l’information la plus impartiale, la plus com­plète et la plus variée.

PRESIDENT

Guérisons miraculeuses attribuées au Frère André

Au cours des cérémonies qui se sont déroulées à l’Ora­toire St-Joseph, le R. P. Cousineau proclame qua­

tre guérisons.

Le colonel Dupuis est atta­ché à l’état-major de St- Jean,N.-B.r et le major Flynn devient comman­dant du Royal 22e Régi- \ ment.

F.-C. HanningtonOn nous apprend de source cer-

I laine que le major Percy Flynn a été j | nommé commandant du Royal 22c i Régiment en remplacement du lieu- ! tenant-colonel G.-E.-A. Dupuis. Ce | j dernier fera dorénavant partie de i ! Tétat-major du district militaire de i Saint-Jean, (N.-B,). Ces change­ments doivent être officiellement annoncés en fin de semaine.

Le lieutenant-colonel Dupuis était commandant du fameux régiment canadien-français depuis 1932. Il avait succédé au lieut-colonel J.-P.- U. Archambault, maintenant atta­che à Tétat-major général à Otta­wa. Depuis cette date, également, le major Percy Flynn était com­mandant en second du régiment.

Les officiers du district militaire de Québec, de même que tous les sous-officiers et soldats, verront partir avec grands regrets le colo­nel Dupuis. Après avoir brillam­ment fait la guerre aux côtés des autres Québécois qui ont si glorieu­sement illustré Téix>pée du 22e Ré- j giment, “Alex” Dupuis entra dans! Tannée permanente où sa populari­té ne fit que s'accroître. Il a été. depuis quinze ans, appelé à aider à [ la formation de nombreux jeunes officiers, enrégimentés dans les ca­dres de la milice non permanente. Le colonel Dupuis, alors capitaine, puis major, est le prototype du véri­table soldat de carrière. Intransi­geant sur les questions disciplinaires, il reste quand même le compagnon charmant des heures de détente. Ses anciens subordonnés lui ont voué une véritable affection. Tous lui offrent des voeux de succès, sachant que sa carrière est loin d’être terminée et qu’il peut attein­dre aux postes les plus enviés de la hiérarchie militaire. Nous joi­gnons nos voeux à tous ceux que formulent scs amis et ses compa­gnons d'armes.

Le major Flynn qui lui succède a aussi une belle carrière à son actif.

PROMOTION

Le major PERCY FLYNN, comman­dant en- second «lu Royal 22e Ré- ginienl, vient d’être promu com­mandant de ce régiment <|iii s’est couvert de gloire au cours de la Grande Guerre.

REPONSE DES JOCISTES AUX

COMMUNISTESLa jeunesse catholique fran­

çaise réplique aux commu­nistes qui lui tendent la main que “le Christ est le vrai sauveur de la classe ouvrière”.

UN ARTICLEParis, 7. (P. C.—Havas) — “Le

Christ est. le vrai sauveur de la clas- Au cours de ses nombreuses années|se ouvrière”: C'est en substance la

Le docteur EUGENE BISSON NETTE a été proclamé officiellement hier président de la Société Médicale de Québec en remplacement du Dr Achille Paquet sortant de charge.

DE NOMBREUX DINERS POUR

LES RESCAPESLes douze rescapés du grou­

pe d’arpenteurs perdus dans le nord-ouest de la province sont reçus par nombre de leurs amis et parents.

M. GEORGES COTE

de service il a su s’attirer la con­fiance et l'estime de ses chefs et de ses subordonnés. Il saura conti­nuer la tradition créée au régiment par les Chassé, les Vanier, les Ar­chambault et les Dupuis. Nous sommes heureux de le féliciter de cette belle promotion.

Le district militaire de Québecverra aussi partir avec regrets, dans quelques jours, le major F.-C. Ha- nington, qui vient d'être transféré à Kingston, à son régiment d’artille­rie. Un “send-off" sera fait same­di soir prochain, au major Haning- ton par les officiers du district.

CHANDLER AURA SOUS PEU UNE

GARE NOUVELLELes chemins de fer nationaux ap­

prouvent, conjointement avec les autorités de Chandler, les plans d'une nouvelle gare.

Plusieurs grands diners, qui fai­saient contraste avec les privations endurées dans la région de la Baie James, ont marqué hier et avant- hier, à Lauzon et à Québec, le re­tour à la civilisation des douze mal-

UNE ENTENTE

Chandler, 7 •— (Spéciale) —A la suite d’une conférence tenue ici à Thôtel «le ville, entre de hauts offi­ciers des chemins de fer nationaux et le maire et les conseillers de cet te municipalité, les plans nouvelle gare de chemin de

réponse des jeunes ouvriers catholi­ques à la politique communiste dite de “la main tendue.”

"Pour nous chrétiens, écrit à ce propos l'organe officiel des jocistes français, “le jeune ouvrier n'est pas qu’un Instrument à produire. Tout homme, tout jeune travailleur, c.sl un fils de Dieu et un frère du Christ. Ne nous demandez donc pas, adhé­rents du matérialisme, de vous appor­ter notre aide pour la construction d'un monde dont nous n’avons pas même une conception. Aux problè­mes que pose la vie vous voulez ap­porter des solutions qui sont con­traires aux nôtres. Comment tra­vailler ensemble avec deux buts aus­si différents ? C'est vouloir nous fai­re apporter des pierres à un édifice dans lequel nous savons que nous serons emprisonnés. Car nous ne pouvons pas admettre que notre vie chrétienne soit en dehors de notre vie ouvrière.

“Aller au secours de nos frères de travail, leur apporter la Joie de con-. naître le Christ et de l'aimer parce qu’ils découvriront en lui le vrai sauveur de la classe ouvrière et de notre monde désorganisé: les jocis- tes sauront, remplir ce rôle.”

Villa ManrèseIl y aura samedi soir le 15 jan­

vier prochain une retraite fermée pour hommes et jeunes gens. On peut demander son admission au

d’une ! Père Directeur, 100, Chemin Ste- fer à ; Foy, tél.: 5052.

Chandler ont été approuvés, et 1^ construction doit débuter sous peu. Cette nouvelle gare, au coût de dix mille piastres, sera construtie en un,

heureux qui, pendant trente-neuf j endroit rapproché du centre de la jours, ont été privés presque complè- vi]]e offrira toutes les commodi-tement du boire et du manger dans les plaines enneigés du nord de l'On­tario.

Partis de Moosonee, en

tés modernes, tel que chauffage central, chambre de toilette, salle d’attente pour dames, salle d’atten-

Ontario, ] te générale, etc. Son style et sondouze des quinze arpenteurs re.sca- [ apparent > refléteront le bon goût, pés sont arrivés mercredi matin à et un véritable souci d’embellir le Québec, après avoir fait une partie site qu’elle doit occuper. Une pe-du trajet en avion jusqu’à Makamik et le reste en chemin de fer.

Trois autres rescapés sont demeu­rés dans la mission catholique de Moosonee. Us appartiennent à la région de Trois-Rivières et retour­neront sous peu dans leurs familles respectives. A Lévis et à Québec, les arpenteurs ont reçu de leur fa­mille un accueil enthousiaste et leurs camarades les ont accompagnés.

Les familles du lieutenant-colonel(Suite à la page 13, 1ère col.)

louse et des fleurs recouvriront ses abords.

Notre population est grandement reconnaissante aux autorités des chemins de fer nationaux de s’être rendues d’une manière aussi promp­te et aussi pratique à la demande de son conseil municipal.-

Une autre construction qui s’im­pose à Chandler est celle d’un bu­reau des Pastes et des Douanes, et on espère que le gouvernement fé­déral l’accordera bientôt.

Tragédie évitéeUn groupe d’hommes de la

station du feu No 3 l’ont échap­pé belle mercredi. Au retour d’un feu. le conducteur de la voiture à boyaux constata que le mécanisme du volant venait de se briser en entrant à la caserne. On imagine l’impres­sion qu’en éprouvèrent les hom­mes qui venaient de faire une course dans cette voiture. S’il eût fallut que cet incident se produisiit alors que le lourd vé­hicule était lancé à vive allure, il est probable qu’on aurait ou en effet à déplorer quelque tra­gédie. Non seulement la vie des pompiers était en danger mais aussi celle des piétons. La voilure était en effet en parfait ordre et Ton ne voit pas bien ce qui aurait pu causer cette rupture.

RECEPTION A LA LEGION CANADIENNE

Le Lt-Col. J.-D. Brousseau. président de la Légion Canadienne et le Lt-Col. Ph. Ouellet quartiers généraux de la Légion à l’occasion de la fête du Jour de l’An. (.

recevaient, hier, aux Photo du “Soleil")

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Page 4: O^T XT¥¥ - BAnQ

4 LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 JANVIER 193»

Fais ce que dois

LE SOLEILOrgane du parti libéral

Henri Gagnon, président et directeur général

Georges Langlois, rédacieur-en-chef

Ce ait ils disent

QUEBEC, 7 JANVIER 1938

Le Frère AndréHier, Jour des Rois, c’était le premier anni-

versaire du décès du Révérend Frère André, des Clercs de Sainte-Croix, le célèbre thaumaturge du Mont-Royal où s’élève aujourd’hui le monumental Oratoire de Saint-Joseph. Des milliers de person­nes se sont en cette occasion rendues auprès de la tombe de celui qu’on considérait déjà de son vivant comme un saint et que l'Eglise ne tardera peut-être pas à faire monter sur les autels.

Depuis son inhumation, son tombeau, dans la crypte de la basilique du Mont-Royal, est quoti­diennement fréquenté par un nombre incalculable de pèlerins qui viennent soit lui demander d inter­céder pour eux auprès du Tout-Puissant, soit le remercier des faveurs qu’il leur a obtenues. Car si pendant la plus grande partie de sa longue vie le Frère André a mérité par ses vertus d’accomplir de nombreux prodiges qui ont répandu sa renom­mée par tout le monde, ceux qui ont confiance en lui et qui partagent avec lui sa grande dévotion à saint Joseph ne l’ont pas non plus invoqué en vain depuis sa disparition.

Beaucoup de fidèles affirment que leur confian­ce a été exaucée. L’Eglise, toujours prudente, ne veut pas agir prématurément et se contente de re­cueillir les innombrables témoignages que lui ap­portent quotidiennement des fidèles impatients de voir canoniser le Frère André. Nul doute qu un jour elle le fera monter sur les autels. Mais que ce jour soit prochain ou éloigné dès maintenant Dieu permet qu’on invoque avec fruit 1 humble re­ligieux qui a tant fait pour sa gloire.

Le message de M. RooseveltLa session régulière du Congrès des Etats-

Unis vient de s’ouvrir par un retentissant discours du président Roosevelt. Pour 1 instant c est le message du Président qui retient 1 attention. De la session qui s’ouvre il vaut mieux ne pas risquer d’anticipation, car le Gouvernement soumettra des mesures dont on ne connaît pas encore le détail et qui sont si importantes qu’on ne saurait prévoir quelle sera la réaction des représentants du peuple et de quelle façon ils se grouperont. Il n’est pas du tout certain que sur certaines réformes d’ordre fi­nancier, économique, fiscal et social, dont le Gou­vernement a laissé entrevoir les tendances, les lé­gislateurs américains se séparent selon les lignes traditionnelles des partis. La session spéciale d il y a quelques semaines a trop trompé les faiseurs de pronostics pour qu’ils s’aventurent à en établir de nouveaux et. surtout de plausibles dont, à distance, nous puissions tirer parti.

Le discours du Président a, dès le début, ren­versé les prévisions et créé toute une sensation par le seul fait qu’il n’a pas été sensationnel alors qu’on s’attendait à ce qu’il le fût. Sans doute a-t-il voulu atténuer l’effet un peu trop prononcé qu’avaient causé des discours tout récents de deux de ses col­laborateurs. En tout cas il n’a pas été aussi agres­sif qu’on croyait et qu’il est si souvent. Ce qui ne veut pas dire qu’il ait été doucereux. Mais le radi­calisme qu’on prête à M. Roosevelt, et qui avait une si belle occasion de s’exprimer à propos de la brû­lante question des relations du capital et du travail, est resté dans l’ombre pour ne laisser voir qu’un li­béralisme conciliateur qui n’a montré les dents qu’aux mauvais capitalistes et non pas au capita­lisme même, c’est-à-dire à des individus et non pas à un système, à des groupes et non pas à une classe.

On serait presque tenté de rapprocher le mes­sage du président Roosevelt des déclarations ré­centes du cardinal Mundelein que nous commen­tions dans le dernier numéro du Soleil. Ce qui nous empêche de pousser plus loin ce rapprochement, c’est qu’on n’est pas du tout certain que les mesu­res qui seront prochainement présentées au Con­grès s’inspireront du message présidentiel plutôt que des discours enflammés, ultraradicaux, presque révolutionnaires de ses collaborateurs Ickes et Jackson. Cela, on ne le saura que lorsque la cam­pagne de M. Roosevelt contre les mauvais capita­listes, ses intentions de forcer le capital à collabo­rer au New Deal se seront concrétisées dans des me­sures législatives.

L’Angleterre et la Palestine

Si nous en croyons les rares dé­pêches que nous recevons sur la Pa­lestine et sur l'état de quasi guerre civile qui y règne,—dépêches qui su­bissent nécessairement le crible de la censure britannique,—U est clair que l’Angleterre n'y a pas la par­tie trop facile, mais qu’elle entend cependant imposer son projet de partage de la Palestine

On sait que dans ses grandes li- gness, celui-ci relègue les Arabes à l'arrière de la Palestine, conserve à l'Angleterre un mandat sur les vil­les saintes et confie aux Juifs le mince, mais riche et commercial pays du littoral. /

Pourquoi l'Angleterre a-t-elle soumis ce projet de partage de la Palestine ? Pour favoriser les Juifs en. vertu de la déclaration fameuse de lord Balfour ? Pour satisfaire à une promesse d’un état arabe en Palestine faite aux Arabes quand, durant la grande guerre, elle voulut s'assurer leur concours et leur aide?

Pour remplir l’une ou l’autre de ces promesses, il lui eût fallu suggé­rer ou un état arabe ou un état juif. Elle s’est gardée de le faire. Pourquoi ? On n’en voit point d'au­tre raison que le désir de mieux protéger le canal de Suez, essentiel à la route de l’Inde et voie princi­pale reliant l’Angleterre à son vas­te empire de VExtrème-Orient. L’Angleterre n’a voulu se fier à per­sonne, encore moins aux Arabes qu’aux Juifs. C’est pourquoi elle a soumis le projet de partage de la Palestine qui provoque à un si haut point la colère des Arabes. Et si le littoral a été donné aux Juifs, c’est parce que l'Angleterre a moins à redouter d'eux que des Arabes.(Le Nouvelliste — Trois-Rivières)

Carrière intéressante

TRIBUNE LIBRELe Soleil ne prend pas la res­

ponsabilité des lettres ou com­munications <rui paraissent sous cette rubrique. Nous ne publions que des lettres signées ou des communications accompagnées d'une lettre signée par une per­sonne responsable et portant une adresse authentique.

Québec, le 5 janvier 1938. A Monsieur le Maire et à Messieurs les Echevlns de la Ville de Québec.Messieurs,

De nouveau, je vois par les jour­naux qu’il y a une Commission, ou un comité, nommé pour étudier les, moyens à prendre pour résoudre la question du trafic dan^s la ville de Québec. Me serait-il permis, à ce sujet, d'attirer l'attention des con­tribuables sur certains travaux que j’avais commencé en 1923-24, pour améliorer un pénible état de cho­ses que nous subissons ici depuis longtemps

J’avais fait des plans à cet effet, et j’avais même réussi à en faire exécuter une partie.

Premièrement: Mes plans compor­taient la continuation de la côte Samson depuis les Glacis jusqu’à la rue Saint-Olivier et à la côte d’Abraham, en élargissant la partie basse de la rue Saint-Eustache, et en faisant disparaître la propriété qui avait été achetée par la ville pour cette amélioration urgente qui devait dégager le Carré d’Youville de la congestion du trafic qu’on ob­serve à cet endroit. Après ces ame­liorations obtenues, ce trafic aurait bien été obligé de passer dans la partie haute par la rue Saint-Jean et par la rue d’Aiguillon

Deuxièmement: Continuer l’élar­gissement de la côte de la Canoterie depuis le Carré Parent jusqu'à la rue Sainte-Famille, projet qui avait une première fois été suggéré lors rie l’achat fait par le gouvernement des terrains de la partie basse à partir de la rue Saint-Roeh jusqu’à la côte Dambourgès. L’élargissement rie la côte de la Canoterie permet­trait de diriger vers la Haute-Ville le trafic venant du pont samson, et de la gare du Pacifique Canadien à l’est de la côte du Palais, en le faisant passer par les Remparts ou par la rue Sainte-Famille, libérant d'autant la côte du Palais et la me Saint-Jean, dont la congestion de-

à certains en-

CHRONlQUE

OUVRIERE

! L’industrie minière en l’année ’37'Suite de la dernière page) j

p. 100 celle de 1936, qui s'était chif­frée à $361.900,000.

Un communiqué du ministère de la Défense Nationale, à Ottawa, an­nonce qu'il y a encore quelques va­cances pour des sujets qualifiés dans le corps d'aviation royal cana­dien. Il est à espérér que bon nom­bre de nos jeunes compatriotes n’au­ront pas attendu jusqu'à aujourd'hui i vient inquiétante pour solliciter et mériter leur ad- droits, mission dans ce corps d'élite. Us! Troisièmement: Redressement de trouveront là une carrière fort in- ! ia côte de la Négresse, lui permet- téressante où, s'ils travaillent et, tant d'être utilisée sans les dangers s'appliquent, ils pourront se distln- : et les périls qui la menacent actu- guer. ellement.

Le corps d'aviation royal est.! Quatrièmement: Elargissement et avant tout et d’abord, un effectif redressement de la rue Saint-Val militaire. N’empêche que, pendant lier, depuis la rue Saint-Roch jus-plusieurs années, ses activités ont surtout, pour ne pas dire exclusive­ment, revêtu un caractère civil.

qu’à la rue de la Couronne d’abord; puis, ensuite, élargissement de la rue Arago et de la me Saint-Val-

C'est ainsi que nos aviateurs ont ' lier jusqu'à la côte Franklin per- partlcipé à une foule d’initiatives * mettant au trafic qui circule par les utiles ; inspection, arpentage et côtes, soit en montant, soit en des- pvotection de grandes étendues de cendant, de pouvoir sans encombre territoire non encore organisé ; lut- j se diriger d'un bout de la ville àte contre les feux de forêts, recher­ches préparatoires à l’établissement de services aériens, etc.

C’est dira que le corps d’aviation royal canadien a été et demeure,

l'autre. Les plans que j avais requis à cette émique avient ét : a'tsn i-vement élaborés; c’est aussi vers la même période qu’on avait homolo­gué une partie de la rue Saint-

i Réal, commencement d’un boule-dans une certaine mesure, une ex- ; vard sur ]e haut de la falaise cellente école pour s’initier au ma- cinquièmement: Continuation de nlement et à la conduite des avions. Rélargissement du Chemin Sainte-Et si la science ainsi acquise peut servir, au besoin, à la défense du pays, elle n’en est pas moins pro­pre à son développement économi­que, côté par lequel elle peut inté­resser nos jeunes finissants des ins­titutions techniques, pour ne men­tionner que ceux-là.

Les Canadiens français ne sau­raient se tenir à l’écart des entre­prises qui tendent à établir l’avia­tion commerciale à travers le Do­minion.

(La Presse — Montréal)

Après soixante-dix ansLe Canada a célébré le 70e anni­

versaire de la Confédération, cette

Foye. a partir de la rue Sherbrooke jusqu’à l'église du Saint-Sacrement. Pour cette amélioratior préconisée depuis longtemps, les pians avaient été également du temps que j’étais à i’Hôtel-de-Ville. On n’en a guère entendu parler depuis que je n’y suis plus.

XXXSi je reviens si souvent a la char­

ge. c’est que toutes ces améliorations seraient fort utiles, et que quelques-

i unes d'entre elles sont absolument urgentes pour décongestionner le trafic qui au centre de la ville ren- I contre encore des ruelles qui datent du temps de l'Intendant Talon! Que voulez-vous que lassent les gros ca­mions engagés dans des voies aussi

sage union de territoires qui donna étroites, sinon d’écraser tes passants

Assemblées syndicales à jonquière

Jonquière. (D.N.C.) — Voici la lis­te des assemblées ouvrières qui se­ront tenues la semaine prochaine à Jonquière; lundi, le 10 janvier, le Syndicat catholique des peintres; mardi, le il, le Conseil Central; mercredi, le 12, le syndicat des com­mis et comptables; jeudi, le 13, le syndicat interprofessionnel; vendre di, le 14, le Syndicat Catholique de la pulpe et du papier de Jonquière.

Réunion du Bureau confédéral de la C. T. C. C.

Comme nous l'avons annoncé le Bureau confédéral de la C.T.C.C. se réunira demain dans notre ville sous la présidence de M. Alfred Char pentier. Les membres étudieront le mémoire que la C.T.C.C. présentera au Cabinet provincial vers le 20 janvier ainsi que l'ordonnance de l’Office des salaires raisonnables

D'après une déclaration du prési­dent, M. Alfred Charpentier, la C.T.C.C. demandera au gouverne­ment de Québec d’aider les petits propriétaires afin de leur permettre de bénéficier du plan fédéral du lo­gement et du plan fédéral d'amélio­rations aux habitations. Qubec se­rait ainsi invité à fournir au moins deux pour cent de l'intérêt exigé sur tous les prête faits en rapport avec ces deux plans d’Ottawa. Cette mesure, expliqua M. Charpentier aura pour effet de faire disparaître les taudis et de remédier au chôma­ge qui sévit encore dans l’industrie de ia construction.La Fédération du Travail de la

Province de QuébecL'exécutif du Congrès des Métiers

et du Travail du Canada, section provinciale, rencontrera, comme nous l'avons déjà annoncé dans une autre colonne il y a quelque temps, les membres du Cabinet provincial, le 19 courant. A cette occasion la Fédération du Travail de la provin­ce de Québec nous prie de publier l’avis suivant qu’elle adresse à tou­tes les unions internationales:

Lors d’une récente réunion du Co­mité exécutif provincial du Congrès des Métiers et du Travail du Canada, il a été décidé de procéder conjointe­ment avec notre Fédération pour la présentation du programme législa­tif devant être soumis à l'hon. Mau­rice Duplessis ainsi qu’aux membres de son Cabinet mercredi, le 19 cou­rant, à 10 h. 30 du matin, salle des réunions du Conseil des ministres, édifice du Parlement, Québec, P.Q.

Au nom des deux corps ainsi asso­ciés, nous adressons une cordiale in­vitation à votre union de s’y faire représenter par un on plusieurs dé­légués. Si vous acceptez cette invi­tation, veuillez nous faire parvenir, dans le plus bref délai possible, le nom de vos représentants.

Nous désirons aussi vous informer que mardi, 18 courant, à 8 heures du soir, en la salle du Conseil Fédéré des Métiers et du Travail de Qué- bec-Lévis, 110, rue du Pont, Québec, il y aura une grande assemblée des délégués et représentants à la Fédé­ration Provinciale du Travail. Au cours de cette très importante réu­nion, il sera procédé à la remise of­ficielle de la Charte émanant du Congrès des Métiers et du Travail du Canada, de même qu’à l’installation des officiers élus lors de la Confé­rence provinciale du Travail qui eut Heu, comme vous le savez aux Trois- Rivières, en août dernier.

Production des principaux néraux au Canadda il).

Métaux : <2)

Cuivre (tonnes courtes) . Or (onces de fin) ... Plomb (tonnes courtes). . Nickel (tonnes courtes) . Argent (onces de fin) . . Zinc (tonnes courtes) . . Combustibles :Charbon (tonnes courtes. Gaz naturel (m.pd.cu.) . Pétrole (barils) .... Autres métalloïdes : (3) Amiante (tonnée courtes) Feldspath (tonnes courtes

9 mois)Gypse (tonnes courtes) . Sel commercial (tonnes

courtes)Produite de l’argile

i$-9 mois) Ciment (barils - 9 mois) Chaux (tonnes courtes—

9 mois)

10 mois de 1936 10 mois de 1937Production

170,2053.095,435

152,24568,300

14,810,428144,541

Valeur31,276,351

108,340,22511,057,42035,516,260

6,728,4709,281,140

Production Valeur 214,900 58,795,000

3,376,121 118,164,235176,753 18,932,727

92,677 48,192,17019,358,049 8,687,412

158,488 16,400,700

12,264,94622,207.939

1,239,051

36,794,8388,439,0003,036,674

12,487,80021,402,0822,233,557

37,463,4008,346,8194,913.825

242,566 8,077,114 324,502 11,542,250

12,982696,352

158,516

109,0001,118,163

15,611881.383

181,825

142,0001,483,380

2,588,6745,272,381

3,090,2427,134,5423,514,921 4,769,693

334,085 2,405,268 401,421 2,850,089

1. —Chiffres fournis par le Bureaufédéral de la Statistique.

2. —Les statistiques mensuelles pourle platine ne sont pas colligées.

3. —Les chiffres pour les dix moisne s’appliquent qu’à l'amiante et

au gypse.

LES BAS METAUX

Les bas métaux méritent d'etre mentionnés d’une façon spéciale dans toute revue des événements de l’année, car ce secteur de l’industrie a rarement suscité un Intérêt aussi prononcé. En deux mots, on peut dire que la hausse des prix moyens du plomb, du zinc et du cuivre sur ceux de l’année précédente va per­mettre aux producteurs canadiens de bas métaux d'enregistrer les plus fortes recettes nettes qu’ils aient jamais connues. Il y a toutefois Heu de signaler plusieurs autres faite très importante en tête desquels se placent les progrès réalisés dans le bassin pétrolifère de Turner Valley, en Alberta, où la production de pé­trole brut qui était de 5,000 barils par jour au commencement de 1937 peut être portée maintenant à 28,- 000 barils par jour ; une réparti­tion proportionnelle a fait baisser ce chiffre à environ 10,000 barils par jour. L’addition de quatorze nou­velles mines d'or à la liste des ter-

établis dans la production de l’a­miante et du soufre arrivent en tè­te des plus importante progrès réa- rains en exploitation offre un in térêt spécial et les nouveaux records Usés dans l’extraction des métalloï­des, à part la production de pétrole brut.

Les rapports disponibles indiquent que la valeur totale de la produc tion des minéraux dans la plupart des provinces a été plus élevée qu'en 1936 et que de nouveaux records ont été établis par Québec, l’Ontario, le Manitoba, la Saskatchewan et la Colombie-britannique. Le rendement des mines de l’Ontario en 1937 a représenté près de 45 p. c. de la valeur totale pour l'année ; vieil nent ensuite la Colombie britanni­que avec Ifi p. c., Québec avec 14 p. c., la Nouvelle-Ecosse avec 5.5 p. c, et l’Alberta avec un peu pliis de 5 p. c.

On calcule, d’après les rapporte des dix premiers mois, que la pro­duction d'or du Canada, avec la for­te contribution des mines du dis­trict de Porcupine et de celui de Kirland Lake dans l’Ontario. a atteint en 1937 une valeur de $143,- 000000. Comme l’indique le tableau ci-dessous, de nouveaux records ont été établis par toutes les provinces qui produisent le plus d’or, mais la production du Yukon a été un peu plus faible qu'en 1936.

Projet à SherbrookeCe soir, le Conseil de Ville se reu­

nira en Conseil plénier pour étudier le projet d’anarchement de Two Miles Falls, et aussi la révision du règlement de construction. Un co­mité a déjà été formé pour l'étude de ce règlement, formé de Newton, du maire Rioux, des échevins Thi­bault et Royer et du procureur de la ville. Me Ed. Boisvert. Pou ce qui est de Two Miles Falls, le conseil veut étudier le choix d'un ingénieur et du genre des prochains travaux préliminaires dont une partie à dé­jà été faite.

Jeune accuséeUne fille de 15 ns a été arrêtée,

hier, par les détectives municipaux pour avoir déserté le domicile de ses parente. Elle comparaîtra, aujour­d’hui, en Cour du Recorder.

A SilleryL’Association pour l'avancement

et le progrès de Sillery tiendra une assemblée générale, ce soir, à 8 heu­res 30, à la salle de la garde. Tous les membres sont invites. Des questions intéressantes seront dis­cutées.

PRODUCTION D’OR PAR PROVINCES

naissance à une Nation.

Important projetMontréal, 7. (D.N.C.) — Montréal

sera enrichi d'un centre Civique de $4,000,000 sans qu’il lui en coûte un sou, avons-nous appris de la part du maire, M. Raynault.

Cette nouvelle construction s’élève­ra, tout probablement à l’endroit où se trouve actuellement le trou béant, sur la rue Dorchester, forme lorsque furent commencés les travaux de construction d’une gare-terminus à Montréal, il y a quelques années. | Nous apprenons qu’une réunion dé­finitive des promoteurs de ce projet aura Heu cet apràs-mldi à l’hôtel Mont-Royal pour la réalisation de ce projet.

Le gouvernement fédéral est repré­senté, à cette réunion. Les trois quarte du capital souscrit dans cette entreprise proviendront de source canadienne française alors qu'> ’? res­te serait souscrit par des lais Une société, dont le dernier ua néro de la Gazette Officielle de Québec rapporte l'incorporation sous la rai­son sociale: "Le Centre Civique de Montréal ”, par MM. Roch Pinard et Châteauguay Perreault, tous deux avocats, une téléphoniste et deux sténographes, a causé toute une sur­prise, et cette nouvelle a contribué

Poursuite en libelleNew-York, 7. — (P. A.) E.-I. du

Pont de Nemours and Company, a annoncé hier leur avocat, vont in­tenter une action en libelle de $150,- 000 à Ferdinand Lundberg, auteur du livre "America’s 60 Families’’ et à la Vanguard Press, les éditeurs, parce que la famille du Pont est comprise dans l’énumération que donne ce livre des 60 familles les plus riches des Etats-Unis.

Et en ce 70e anniversaire le Ca­nada contemple un merveilleux re­cord de progrès et de réalisations Descendant d’une vigoureuse race de pionniers, les Canadiens forment aujourd'hui une nation d’une ma­turité et d’une sagesse qui la font classer parmi les plus grandes du monde, qui lui ont acquis une place d'honneur dans leurs délibérations, et qui lui permettent de vivre dans la paix et la prospérité.

Etudions le record atteint dant j son développement ! Grâce à un travail énergique, les Canadiens ont j su tirer des immenses ressources M naturelles de leur pays, dans le do­maine des pêcheries, des industries du bois, des mines et de l’agricultu­re, les nombreuses denrées servant de base à un commerce qui s’étend Jusqu'aux confins de l'univers. L'in­géniosité des fabricants canadiens leur a permis de produire des arti­cles qui sont recherchés sur tou:- les marchés du monde. Avec une population relativement beaucoup plus petite que celle d'autrfes pays, le Canada occupe aujourdhui le cinquième rang dans le commerce international.

Et l'avenir est toujours plus en­courageant ! Les marchés impé­riaux et étrangers s'empressent d'a­cheter les produits du Dominion.Les Commissaires du Commerce du Canada dans 32 pays mettent sans cess» à la disposition des exporta­teurs canadiens des renseignements sur le commerce et les modes d’af­faires. Le ministère du Commerce qui célèbre son 45e anniversaire, foumit aux Canadiens toutes les facilités voulues pour donner enco-

inattentifs, et de massacrer leurs roues 1

A la veille d’une élection munici­pale générale, i! serait intéressant de voir ces améliorations figurer sur le programme des candidats les plus intelligente, les plus progressifs et les mieux décidés à rendre service au public.

Votre bien dévouéJOSEPH SAMSON,

ancien maire de Québec, Québec

LES CHOMEURSQuébec, le 6 janvier 1938.

le rédacteur,“Le Soleil”,

Quebec.Cher monsieur.

Auriez-vous l'obligeance, s’il vous plait, d'insérer sous votre rubrique "Tribune libre” la lettre suivante. Je vous remercie à l’avance de vo­tre bonne attention.A S. H. le maire Grégoire,

En ma qualité de citoyen de Qué- vec, je vous demande pourquoi vous

Fraternellement à vous,Four la Fédération Provinciale du

TravailGUS. FRANCQ, Secrétaire.

Les employés de tavernesSe rendant à la demande d’un

grand nombre d'employés de taver­nes, le comité d’organisation du Con­seil Fédéré des Métiers et du Travail de Québec et Lévis tiendra une grande assemblée à laquelle tous les employés de tavernes sont invités di­manche matin, à 9 heures, à 110, rue du Pont. Tous les intéressés sont cordialement invités à assister à cet­te réunion. (Jos. Matte, secrétaire- organisateur.)

ConvocationsAu Secrétariat (17 Caron)

CE SOIR : L’Union Catholique des manoeuvres de Québec L’Union Ca­tholique des ouvriers en confection de Québec, Inc. La Caisse Populaire. Edifice Hudon (110 du Pont)

CE SOIR : L’Association Interna­tionale des machinistes, local 604.

Le vote des femmesMontréal, 7. (D.N.C.) — Lors de

l'entretien des Unions Internationa­les des ouvriers avec les représentants

__ du gouvernement provincial, le 19 ne permettez pas aux chômeurs de ; janvier prochain deux membres de cette ■ ville de pouvoir gagner $6.00 I Uriion Internationale des Femmes par semaine à part les secours di- se joindront aux délégués afin de j;ects réclamer du gouvernement le droit

M Grégoire je vous crois sincè- de vote pour les femmes à Québec, re mais vous’ ne pouvez constater j Cette décision a été prise au cours la’misère qu’endurent les chômeurs d’une réunion tenue mercredi soir, de la ville. 1 sous la présidence de M. Gustave

Ne croyez-vous pas qu'il serait Francq, qui dirigera la délégation à juste do permettre au chômeur qui ] titre de président de l’exécutif pro- a 9 enfants et qui ne retire que vlncial du Congrès des Métiers.$10.00 par semaine, de gagner $6.00afin de lui permettre de faire vi­vre sa famille modestement? N'ou­bliez pas, M. Grégoire, que les élec-

re plus d'expansion à leur commerce üons s-e^ viennent et que la situa

Des espionsNew-York, 7. — <P.A i Les détec­

tives fédéraux ont découvert hier que les mystérieux ‘ M. et Mme Do- nald-L. Robinson", le couple ré­cemment arrêté à Moscou par la police soviétique, avaient obtenu leurs passeports avec l'aide d’un commis du consulat égyptien ici. Ce commis a été identifié comme Ar- ron Sharfln, d'origine russe

Des désordres

extérieur.Profitons pleinement de ces ser­

vices. Que la magnifique oeuvre cU s 70 dernières années ne soit qu’une étape dans cette marche vers la prospérité, de façon que chaque an­née, nous ayons- encore plus raison de dire : "Vraiment, les années nous ont comblés I"

IBulletin des Renseignements commerciaux)

Kingston, Jamaïque, 7. — (P.C. - Câble. Des désordres ont éclaté hier entre las employés en grève d'une plantation de canne à sucre datte la

à attirer tous les regards sur ce pro- | paroisse de St-Thomas et la police, jet, qui se matérialisera, selon l'ex- Trente-quatre grévistes ont été piession du maire, incessamment. 1 blessés et 60 autres emprisonnés.

Au bagneUn jeune homme qui traitait

son désenchantement et ses plaies intérieures à la teinture d iode a compam devant M. le Juge Lac- tare Roy et plaidé coupable à deux accusations de tentative de suicide. 11 avait ingurgité de la teinture d’iode à deux reprises au début de la semaine. Il n'habi- tait pas chez lui «t donnait à sa mère dé sérieuses Inquiétudes. Son dossier Judiciaire était déjà char­gé, Le juge a donné à ce déses­

péré deux ans de pénitencier.

tion actuelle des sans-travail pour­ra vous causer de graves ennuis.

Bien à vous,(Signé) J.-A. MOISAN.

CondamnationMontréal, 7 (D.N.C.) — Le juge

Maurice Tétreau a condamné un jeune homme de 17 ans, Lucien Vin- j cent, 1017 rue St-PhiHppe, au temps j qu'il avait passé en prison et à four- j nlr un cautionnement de $500, pour j garder la paix durant ua an.

On se souvient que Vincent avait | avoué sa culpabilité, vers le 20 sep- j tembre 1937 devant le même Juge, à ; l'accusation d'avoir profané un ca- ! davre dans le cimetière de la Côte des Neiges.

Il avait été arrêté la nuit, par un policier de Wcstmount qui lavait surpris, lui et un compagnon en bas âge, rue Dorchester ouest.

La police découvrit un sac dans le­quel se trouvaient un crâne et des ornements de cercueil.

Les employés en fourruresLe Syndicat Catholique des employés

fa fourrure tiendra une assemblée ce soir, à 8 heures, à 17, rue Ca­ron. D'importantes questions se­ront discutées. Tous devraient être présents. (Le secrétaire).

Les rhumes et toux

ne sont mieIS5 k/M 1 VIV*

votre senteSIROP de GOMME DEPINETTE ROUGE

DE GRAYD WA).SON L'tU.

Provinces :Ontario...............................Québec ..............................Colombie-britannique .. .. Manitoba et SaskatchewanTerritoire du Yukon....... .Nouvelle-Ecosse..............Alberta ................................

Vers la fin de 1937, environ 42.- 000 tonnes de minerai étaient trai­tées quotidiennement dans les mou­lins à or installés dans les différen­tes parties du Canada au Heu de37.000 tonnes à la fin de 1936 et de16.000 seulement à la fin de 1931.

Treize moulins à or d'une capa­cité quotidienne de 3,200 tonnes sont actuellement en construction et on projette d’en construire au moins huit autres d’une capacité quotidienne totale de 2,000 tonnes. Comme on prévoit une augmenta­tion, il est probable qu'au moins48.000 tonnes de minerai seront traitées quotidiennement dans les moulins à or du Canada à la fin de 1938. Il ne faut pas oublier, tou­tefois, qu’une bonne partie, peut- être 20 p. 100 de la production to­tale d'or au Canada, chaque année est représentée par des sous-pro- duite qui proviennent de bas-mé­taux. Certaines sociétés qui font le commerce de ces bas-métaux figu­rent parmi les principaux produc­teurs d’or du pays.

les chercheurs d'or et les socié­tés d'exploitation ont surtout pros­pecté en 1937 dans la région de la rivière Zeballcs, en Colombie-Bri­tannique, des parties du district du lac Athabaska, en Saskatchewan, la rivière Yellowknife, le lac Gordon et d’autres étendues situées le long des tributaires du Mackenzie dans les Territoires du Nord-Ouest, les districts <îe Flinflon et de Cranber­ry Portage au Manitoba, ceux de Kenora, du lac des Bois, de la ri­vière Sachigo et du lac Larder, en Ontario et les régions de Bourlama- que et de Cadlllac-Malartic dans Québec. Peu de découvertes impor­tantes ont été signalées mais les ré­sultats obtenus ainsi que les tra­vaux préliminaires d’exploitation entrepris sur des concessions décou­vertes précédemment sont encoura­geants.

Les derniers rapports annuels sur la production d'or dans les diffé­rente districts où des découvertes ont été faites depuis cinq ans, ac­cusent une augmentation progres­sive. La prôduction d’or dans le dis­trict de Bridge River, en Colombie- Britannique, par exemple, a at­teint une valeur d’environ $5,000,- 000 en 1937. La production des con­cessions minières du centre du Ma­nitoba a dépassé $1,000,000 et celle du district de Pickle Crow $3,600,- 000. La production d’or du district de Little Long Lac et de la rivière à l'Eturgeon, qui, depuis la fin de 1934, s’est totalisée à plus de $,7,- 100.000. va probablement, dépasser $6,500,000 en 1938. Les chiffres de la production d’or dans les nouveaux districts de la province de Québec sont tout aussi Impressionnante.

Les exportations de bas métaux comme le nickel, le cuivre, le plomb et le zinc dont la valeur totale avait été de $83.008,900 pour les dix mois terminés en octobre 1936, se sont chiffrées à $123,841,100 pour la pé riode correspondante de 1937. Les expéditions de nickel en Grande- Bretagne pendant les dix premiers mois de 1937 représentaient une va­leur de $18,106.300, celles de cuivre $29,709.000, celles de plomb $9,255.- 500 et celles de zinc $7,097,100. Ces chiffres sont tous bien supérieurs à

; ceux de l’année précédente.Durant les dix premiers mois de

1937, le Canada a produit du cuivre, du nickel, du plomb et du zinc au taux d'environ 751,000 tonnes par année alors que la production tota­le de ces quatre métaux avait été de 653,000 tonnes en 1936 et de 441,- 000 tonnes en 1929. Les métaux sont affinés avant d’être mis sur le mar­ché et on exporte environ 90 p. 100 de la production totale de l'année. Ce rnmmerre d’exportation s'est dé-

10 mois ter- 10 mois deminés en oct. 1937

Valeur Valeurs$ $

68,496,700 74,570,60019,526,745 20,340,46013,057,625 14.616,385

5,362.280 6,700,6601,561.360 1.374,345333,620 561,610

2,800 1.155

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veloppé si rapidement que le Cana­da fournit actuellement 90 p. 100 du nickel, 11 p. 100 du cuivre et du plomb et 10 p 100 du zinc dont ont besoin les différents pays de l’uni­vers. La Grande-Bretagne constitue le meilleur débouché pour ces mé­taux mais on en expédie aussi de grosses quantités dans au moins cinquante pays différents.

L'amélioration constatée dans la production de l’amiante est due en bonne partie à l’augmentation de ia demande pour ce produit de la part de la Grande-Bretagne et des Etats- Unis. Les expéditions en Grande- Bretagne se sont en effet chiffrées à $1,051,600 pour les douzes mois terminés en octobre 1937, soit un gain de $509,700 sur la période cor- respondahte de 1936, tandis que la valeur des expéditions aux Etats- Unis a atteint le chiffre de $8.199,- 500, une augmentation de $2,052,700. Les expéditions ae gypse aux Etats- Unis ont aussi accusé une hausse sensible sur l’année précédente mais les envois en Grande-Bretagne ont très peu augmenté. L’augmenta­tion enregistrée pour le ciment, les produite de l’argile et autres maté­riaux de construction est une preu­ve que la situation de l'industrie canadienne du bâtiment s'est amé­liorée.

Il est évident, d’après ce qui pré­cède, que l'industrie minière a en­core joué un rôle important dans la prospérité nationale. Elle a payé plus de $125.000,000 en appointe­ments et salaires en 1937; elle a versé $105,000,000 en dividendes et elle a acheté pour environ $120,000,- 000 d'approvisionnements et de ma­tériel. La plus grande partie rie cet argent est dépensé au Canada même, de sorte que presque chaque centre et chaque industrie un peu impor­tante du pays en bénéficie dans une certaine mesure. L’industrie a remnorté de beaux succès dans le passé et les nouveaux renseigne­ments qu'elle a obtenus sur les pos­sibilités des anciennes comme des nouvelles régions minières lui assu­rent un avenir encore plus bril­lant.

105,562 chômeurs A Montréal

NE

NégligPAS LES

RHUMES• Hier maman travaille _ comme

d’habitude dans la maison. Ce n’est rien qu’un petit rhume. Au­jourd'hui elle est au lit.

Attention lorsque VOUS attrapez le rhume. Il faut le traiter au plus vite, efficacement, pour ce qu’il est: une infection INTERNE exigeant un traitement INTERNE.

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Montréal, 7. — (P.C.) Il y a as­sez de familles sous les secours à; Montréal pour remplir une grande | ville. Les statistiques rendues pu­bliques hier révèlent qu’à la fin de novembre il y avait sous les secours 26,161 familles comprenant, 105,- 562 nersonnes. A la même date en 1936, ces chiffres étalent 38,221 et, 142,228.

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MA 2361

Page 5: O^T XT¥¥ - BAnQ

LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 JANVIER 1938

CHEZ LES JEUNES

Dr Claire Gauthier, 12 ans, Des- chambault.

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PE,0. N iKdtnour Lajoie, 9 ans, Hébertville,

Lac-St-Jean.

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GHbcrte Doyon, 13 ans, St-Samuel- Station, Frontenac.

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Albert Martin, 14 ans, Amos, Abi­tibi

Camille Tremblay, 12 ans, 811 St- Vallier, Québec.

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bridge-contratpar

Shepard Barclay

SOLUTION DU PROBLEME PRECEDENT :

* 8 7 3* 7 4 2« A V 10 9* 9 6

♦ R 5 2♦ R 9 3♦ 82* RD732

* V 10 9 4* V 10 8 6* D 5* V 10 5

♦ A D 6♦ A D 5♦ R 7 6 3♦ A 8 4

Sud à la main. Est et Ouest sont vulnérables. Comment Sud doit-il jouer pour faire 3 Sans-Atout après que Ouest a attaqué par le 3 de Trè­fle ?

Sud est arrivé à gager un contrat de 3 Sans-Atout dans cette main, après une ouverture de 1 Sans- Atout, une déclaration de 2 Carreau de son partenaire et un saut à 3 Sans-Atout, de Sud, Ouest attaqua alors avec le 3 de Trèfle et Sud lais­se la levée au Valet de Est. Il déci­da alors de tenter, plus tard, une finasse du côté de Ouest. A la se­conde levée il joua son As de Trè­fle puis attaqua en Carreau et fit cinq levées dans cette couleur. Avec sa levée de Trèfle, cela lui en fait six. Il est sûr de ses deux As, Ouest a conservé trois Trèfle, le Roi de Coeur et une carte de défense dans cette couleur, mais il a découvert son Roi de Pique.

Sud attaquant du •‘dummy’’ avec une carte de Pique, tenta une fi­nasse avec la Dame de Pique. Ouest fit la levée avec son Roi et rempor­ta ensuite 3 levées en Trèfle, em­pêchant ainsi le contrat.

Si Sud, après avoir remporté la première levée en Trèfle, était re­tourné immédiatement dans cette couleur. Ouest aurait pris la main et aurait fait son Trèfle, mais Sud aurait ensuite facilement, fait son contrat.

PROBLEME A RESOUDRE

» R V 8 7 4 3» Aucun♦ R V 9 5♦ R 9 2

* D 9 5* 5 4 3 2 ♦78* 8 6 5 4

* A 10 6 2* A V 10 8 7 ♦83* V 7

♦ Aucun» R D 9 6♦ A D 10 4 2♦ A D 10 3

Sud à la main. Nord et Sud sont vulnérables.

Quelle est la déclaration solide de Nord-Sud dans cette main ?

Hélène Langlois, 12 ans, 41 Saint- Louis, Lévis. *

v h’t'A

Thérèse Larouche, 12 ans, Hébert- ville Station, Lac-St-Jcan.

Feu Mme W. BélangerUne famille bien connue de St-

Romuald vient d'être plongée dans le deuil par la mort rie madame Ma­rie Nicole, épouse de feu Wilfrid Bélanger, décédée mardi dernier, à l’âge de 73 ans.

Mine Bélanger était bien connue et très estimée de la population de St-Romuald. C'était une épouse profondément chrétienne et une femme d’oeuvres d’un grand dé­vouement. Elle a succombé à une maladie de quelques jours et sa dis­parition sera vivement regrettée de la population de l’endroit. En outre d’appartenir à toutes les sociétés re­ligieuses de. sa paroisse, elle était vice-présidene de l’amicale N.-D. des Apôtres, du couvent des Soeurs de la Congrégation de St-Rormulad.

La regrettée défunte était la mère de M. Joseph Bélanger, employé à la Cie Price, de St-Romuald. Elle laisse, en outre, un frère et un de­mi-frère, MM. Napoléon Nicole, et Procule St-Hilaire, de Berlin, N.H ; deux soeurs, Emma, de l’hôpital St- Ferdinand d'Haliax, et la Rév. Sr Thérèse, de la maison S te-Mar gué­rit?. Québec.

Le service funèbre sera chanté ce matin, le 7 janvier, a 9 heures, à l’église de St-Romuald, suivi de l'inhumation au cimetière parois­sial.

Nos sympathies à la famille en deuil.

Jean-Paul Rnhitaillr, 13 ans, 81 St- Matljias, Québec.

Flagrant délitUn garçon de 15 ans. sorti de pri­

son il y a à peine deux mois, a été pris sur le fait hier soir, dans une cave d une résidence de la rue Ste- l Thérèse, où il était à voler des pots | de confiture. Le maraudeur avait réussi à pénétrer dans cette éta­blissement au moyen de fausses clefs et il transportait dans un sac tous les pots qui lui tombaient sur la main. Ce sont des citoyens du voi­sinage qui ont pris connaissance des allées et venues du garçon et ont ensuite prévenu la police du pos­te No 8, qui a opéré l’arrestation

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, chlrante, J'avais essayé plusieurs remè- I des pour m’en débarrasser, mais sans suc- > ! cès Jusqu'à ce qu'un ami me dit de pren-1 dre du Sirop de Pin de Norvège du Dr

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6 LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 JANVIER 1938

Des plaintesLe mauvais état d'une partie du

joulevard des Capucins a fait l’ob- iet de plaintes de la part de ci­toyens du quartier Limoilou auprès le l’échevin du quartier, M. Hubert Simard. Cette artère qui s’étend de a quatrième avenue jusqu’au che- nin de la Canardière ne possède lu'un seul trottoir et encore celui-ci jst-il encore très mauvais en maints îndroits. Plusieurs accidents ont iailli résulter de cet état de chases 3t hier encore, une femme qui dut oasser dans la rué vu que le trot- ,oir est dangereux, faillit se faire écraser par un camion. Le boulevard est très fréquenté et il importe d'y faire les réparations nécessaires sans tarder. L’échevin Simard a été prié de lancer une campagne en ce sens.

On veut former unecoopérative de lait

Des députés ruraux, qui viennent de se former en comité pour étu­dier la possibilité de former, à Montréal, une coopérative de pro­ducteurs de lait, se réuniront, le 14 janvier, à l’hôtel du Gouvernement, en conférence à laquelle assisteront l’hon. M. Bona Dussault, ministre de l’Agriculture et plusieurs tech­niciens du ministère. Le but de cette conférence est de trouver un débouché pour les produits laitiers des cultivateurs qui résident près de Montréal et qui ne peuvent fai­re concurrence aux grandes indus­tries laitières qui contrôlent la

Un candidatUne délégation de citoyens de

l'Ancienne Lorette, ayant à sa tête M. le docteur J-F. Beileau, s’est présentée, lundi soir, chez M. Jo- seph-A. Hamel, pour le prier de briguer do nouveau les suffrages de ses concitoyens comme conseiller. M. Hamel a accepté et a remercié pour les marques de confiance qu'on voulait bien lui témoigner.

vente du lait dans la métropole. On est d’avis qu’avec la formation d’une coopérative de producteurs de lait, ces derniers pourront fa­cilement parvenir à rencontrer la concurrence des grosses laiteries dont lers plus importantes sont à capital anglais ou américain.

Fête à St-RaymondM. le notaire Larue et M. le doc­

teur Moisan furent les héros d’une fête, dimanche dernier, au cours de laquelle les amis de l’Union Natio­nale de St-Raymond leur offrirent un cadeau. Cette soirée était prési­dée par M. le maire P. Cantin, de St-Raymond, et fut suivie d’un ban­quet: MM. Lame et Moisan, dans de courtes allocutions, exprimèrent leurs généreux sentiments à l'égard des amis qui les fêtaient.

Magasin incendiéSayabec, 5. — (D.N.C.) Le maga­

sin de nouveautés de M. J.-Z. Ver- reault, à Sayabec, a été détruit de

fond en comble, hier matin. Le feu s’est déclaré vers 7 heures 30, et en quelques minutes tout l’établisse­ment était en feu. M. Verreault s'est aperçu des flammes en des­cendant l’escalier de l’étage supé­rieur où tous les membres de sa fa­mille étaient au repos. Madame Verreault et ses enfants ont eu à

K dltru{t.ps de se sauver Tout II est arrêté dans

] second enfant du couple princier. ’ Alphonse XIII et don Juan étaient à l'hôpital anglo-américain lorsque l’enfant y vit le Jour. On rapporte que la mère et le fils se portent bien. Le nouveau-né aura le titre d'AIte&se royale infant d'Espagne.

Nouveau princeRome, 5 tA.P.) — Dona Maria,

femme de don Juan, 3e fils d’Al­phonse XIII, en qui les royalistes espagnols mettent leur espoir pour une restauration monarchique, a donné le jour mercredi à un fils,

l’attente du MessieMontréal, 5. <P.C.) — Wilfrid Mes­

sier, qui habite un humble appar­tement que la police a fouillé parce que deux épouses avaient prétendu que leurs époux attendaient là “un second Messie", fut arrêté mer­credi sous l’accusation d’avoir ex­

torqué plus de $1,500 par vol et par fraude. Celui qui se prétend le chef du “Culte du St-Esprit", a choisi un procès par Jury quand il a comparu devant le Juge Marin, qui a fixé son enquête préliminaire au 12 cou­rant.

ST-JOACHIM DETOURVILLE

F«te de NoëlNoël a été célébré avec splendeur

cette année. La messe de minuit fut chantée par l’abbé R. Grenier. ; Une foule nombreuse s'est approchée de la table sainte.

Un magnifique programme de chant et de musique fut très bien rendu par des jeunes fijles du cou­

vent, sous la direction des Révé­rendes soeurs St-Paul.Mariage

Dernièrement a eu lieu le mariage de M. Maurice Italien à Mlle Marie- Anne Vallée. M. Alfred Italien ser­vait de témoin à son fils et M. Xa­vier Vallée à sa fille. La mariée portait une jolie toilette. Plusieurs personnes assistaient à la messe du mariage.

Nos voeux de bonheur aux nou­veaux époux.Baptême

M. et Mme Wilfrid St-Laurent, née Corinne Lévesque, annoncent la naissance de Marie-Euphrasie. Par­rain et. marraine, M. et Mme Elle St-Laurent, Porteuse, Mme Elle St-Laurent, marraine.

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8 LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 JANVIER 1938

iEchos mondains;r,] DEPLACEMENTS

LE MONDE OFFICIELLe Comité F rance-Amérique of­

frira samedi soir, au Quebec Win­ter Club, un diner en l'honneur de Son Excellence le Ministre de France au Canada et la comtesse. Robert de Dampierre. M. Arthur Vallée., président, présidera le dîner.-

— o —

L'honorable juge Alfred Savard passe plusieurs jours à New-York, j

— o —

L'honorable Louis-A. Giroux, de Sweetsburg. était de passage à Québec, ces jours derniers.

Anniversaires11 >

Nos meilleurs voeux à l'hon. Edgar-N. Rhodes, sénateur, an­cien ministre des finances, né le 5 janvier 1977;

M. James-P. Mullins, député de Richmond-Wolfe aux Com­munes, né le 5 janvier 1874,

M. Napoléon Tétrault. indus­triel, né le 5 janvier 1869

MARIAGESRECEPTIONSL'' president et les officiers de la

Légion Canadienne, succursale 11 ^ ...........JJ. B. S. E. L., ont reçu de midi a février, le mariage de mademoi-

M. René Chalov.lt, député de Ka mouraska. madame Chaloult et leurs familles ainsi qua leur rest- comme des Dieu Adorons donc ce leurs fils, MM. Henri, Louis et Mi- ■ denee de Boucherville. . chel Chaloult, sont partis hier pour . ~Miami Beach. Floride, Où ils passe- Mademoiselle Lorraine Legendre.ront quelque temps. E.G.M. à lhôpital du S.-Sacrement, était Assisté à l'autel

_n a reçu a la residence de ses parents, ‘ /neneveque était assiste a tauteiM et madame Louis-G Bou- ei madame J.-H. Legendre, ses de Mgr J.-N. Gignac, P A., comme

chard sont retournes a Montréal compagnes de deuxième année. -vu-être rie m le eharvoine .l.-A.

En EuropeM. et madame J .-A. Dé L'orme voyons-nous le Fils de Dieu, le Ver- sont retenus de Montréal, ou ils be lait chair, vivant au milieu de sont ailes passer quelques jours dans nous pour nous montrer à vivre

annonceVerbe laif chair et plaçons en Lui qUe l abbé Guillaume - Miville

Déchéne. D.Th.. D:Ph„ du Séminai­re de Québec, secrétaire de l'Ecole des Sciences Sociales de l'Universi­té Laval, se rendra d’ici à quelques

i archiprètre, de M. le chanoine J.-A.

toutes nos espérances.

Pour la messe Mgr

après avoir passé quelques jours a Loretteville, les invités du lient.- colonel et de madame Georges-R. Bouchard.

— o —Le docteur et madame Jacques

Audet sont retournés à Rouyn après avoir passé quelque temps à Lévis, les invités des parents de madame Audet, l’honorable juge et madame Noël Belleau.

o —M.

— o —L’épouse du docteur Cùme Hamel, Blanchet, comme diacre et sous

de Frampton, ainsi que ses enfants, c^e dhonneur. MM. les abbés Be- Réginald, Serge et Christian ont pas- ; noit Garneau et Jules-Albert Mé- sé les fêtes de Noël et du Jour de nard agissaient respectivement l'An chez madame H. Chevalier à St-Thuribe de Portneuf.

mois en Europe. Il y restera envi­ron deux ans. Il préparera son doc-. • i llJIl 11 ~ LIA fl. 1 jo, jj v-ej tvcjj w * »

nU^Tmme e"-dia-' ^ Sciences Sociales

ROBERTSONVILLE

BIENFAISANCELa première partie d’une série de

bridge au benefice de la C. W. L.

comme diacre et sous-diacre d offi- dr minuuce MM les abbés Bruno Desrochers, ! Dans la paroisse de rimmacuiée con-soérotai'ro rip l'Archevêché et PaU. ceptlon de Robertsonville, avec une splen- secretaire de i Arcnevecne, et rau. j deur a!gne d.une granae cathédrale, a étéNicole, cé.émoniaire, dirigeaient ■ célébrée la messe de minuit.cérémonies. On remarquait dans les ’ Nous avons eu le plaisir d'avoir parmictallps Hit vanrtnairp Mar E-C La- bous le Rév. Père Arthur Marie Gran- stalles au sanctuaire tyigi a g. 7el. 0 p qul est venu aidfr a M. le curetlamme, P. A., V. F., cuie de Notre- j } Philibert riante.

... Pierre Amyot est retourné à aura lieu le 12 janvier, à la salle Dame; Mgr François Pelletier. P A., | La messe de minuit fut chantée par le New Milford, Conn., ou il poursuit Paroissiale de l'église St-Patrice Mm l’es chanoines Charles Beaulieu, Wy. a.-m. oranger, qui donna aussi leses études au Canterbury School, après avoir passé les vacances avec

En l’église de Notre-Dame-de-Lé- *™ Parents, le lient-colonel et ma­vis sera bénit dans l'intimité, le 1er dame L.-J -A. Amyot.

une heure, hier, à leurs quartiers rue St-Augustin selle Charlotte Fortin, fille de feu

l'honorable sénateur Emile Forttn. de Lévis, avec M Fernand Cham- poux, fils de M. et madame Calixte

— oM. et madame Jean Sénécal et

les docteurs L.-P. et J.-G. Sénécal ont passé le temps des fêtes à

Mesdemoiselles L. Bolger et 4 j.-r. Pelletier, Jules Laberge, V. Ko- O’Donnell sont en charge de l'or- ' cilct,t3. Philippe Casgrain, Arthur ganisution. j Robert, Ulric Perron et plusieursHOTELS autres membres du clergé.

Hier soir, Mgr l'Archevêque a of-

sermon, et la messe du jour par M. le curé. J.-P Plante. Une foule nombreuse s'approcha de la table sainte.

L’eRlise était magnifiquement décoree et pendant la messe un beau programme de chant fut exécuté, à l’élévation une jolie pièce de musique fut jouée par Mme Alfred Pagé, organiste de Robertsonville et M. Florian Rancourt.

Les cantiques suivants furent rendus :Dans le silence de la nuit”, par Mlle

Au Palais MontcalmTout indique que les amateurs du

bon théâtre et de la belle musique auront de quoi se récréer à Québec d'ici le printemps prochain. C est ce que nous laissait entendre, hier, l'impressano J.-A. Gauvin, ‘‘mais à la condition”, dit-il, ' que les repré­sentations de Tino Rossi et de sa troupe de music-hall remportent un brillant succès”. Ce succès, heureu­sement. parait déjà assuré. M.. Gau­vin a l'intention de faire venir, vers la fin de janvier, les ballets comi­ques de Trudi Schoop qui devaient vepir à Québec le printemps der­nier. En février, il voudrait faire en­tendre un chanteur français en re­nom, et il a parlé pour le début de mars de la venue du célèbre Maes­tro Giuseppe Creatore et de son or­chestre. Si M. Gauvin réussit ce programme, c'est lui qui aura obte­nu le plus grand succès. Espérons qu'il sera encouragé en conséquence.

Deux réunions militaires ont lieu à Québec

(Suite de la page 3( major Thériault, commandant du

: Régiment de Lévis, M. F.-A. Bardou, i président de la Société de Bienfai- i sance Française, le colonel Wiggs, le ' capitaine Emile Trudel, le major F.- I C. Hanington, de la Sûreté provin- I claie, le sous-chef Adolphe Trem­blay. M. R.-E, Studor. M. G.-M. Stan-

I ley, le docteur E. Beaulieu, le major Pierre Déguisé et plusieurs autres distingués visiteurs. Tous les vété­rans étaient également présents. Cette réception a eu lieu de midi à une heure, hier après-midi.

Chez les Voltigeurs, la réception ne fut pas moins brillante tant par le nombre des visiteurs que par le ca­ractère particulier qu’a pris cette réunion. Le lieutenant-colonel Jos.

Une ruade

Mademoiselle Marianne Cham

L'officier commandant et les of ficiers des Voltigeurs de Québec ont Champoux de Québec reçu, hier, à leur "mess” du Mané- — o -ge de Québec o /’occasion de lafête des Rois. Au mariage de m

„ Jacqueline Charron, fille ,.......... _____Leur et de madame Ernest Char- 1 tnvitee de M. et madame GonM

Madame R-P. Kernan a reçu, le . ron. avec M. Jean Bricault, fils de <Jue Champoux. ~jour des Rois, à sa résidence, che- madame Albert Jarry, que bénira 0min Ste-Foy, en l'honneur de sa M. le chanoine Adélard Harbour, fille, mademoiselle Corinne Ker- samedi, le S janvier en lu Basilique nan.

Les personnes suivantes étaient | flcié pontificalement aux vêpres so„„„ j___ „ enregistrées au Château Frontenac, ' !ennelles de la fête. La chorale par

Québec les invites de l’honorable, ces jours derniers: M. L.-B. Clarke, roissiale et la Maîtrise Notre-Dame 1 Madeleine rortin et Mme Florian aan- et madame Hector Lajerté. N- Cholmeley-Jones M. John ; ont exécuté un beau programme de : "“‘.LSfF.deres” “par

- O - JLZT0™, NeZ'vorl - iZl'éré' chant POlYPhonique au_cours de ces ; X^J.annï'TÂrc Ifason èt RoljaSSéRooert BCU, riBW-YOTK, Le cérémonies. M. labbé Joscpn Pelletier: “Cà Bergers assemblons-nous’*.

Matte, commandant du Régiment recevait les visiteurs.

, ,, nour nui nasse l'hiver à Trois-Ri- rend E'J- Potterton, Brooklyn, N.- Degmet dirigeait les choeurs et M. par Mme Cléophas Lachance, ‘'‘Bone Pas-ademoiselle POfX quipasseuuverai rots ni M HoroM G Parkridqe. N.- H^riGaenon D’ofesseur à 1‘ECOle : Mmf Antonio Beaudoin; ''Les'e du doc-i viereà, est. pour quelque temps. „r!,,,,-„ MV. n„ Heri11 Lragnon, p oiesse.ii a Anges dans nos campagnes', par M.

wo ici rt mnrinvne r.nmyn- Jmadame C aire Bernier, M. Re-. unjversitaire de Musique, touchait Hd0Uard Bisson. La messe des anges al’orgue.

M. et madame Jean Lajontaine et leurs fils, Jacques et Georges.

ginald Plimsoll, M. R.-F. Hannan, M. J.-Eugène Guay, le colonel F - G. Mead. M. J.-P. Hamel. M. .4. Grant. M. R.-J. Swan. M. H.-M.

M. H.-S. Weldon. M. J.-sitiQ us ' • , “ _ . . . Adchtewde. Montréal, mademoiselle Louise sont retourne^ a Montreal^ apres ^ ^ Crevier M Fred Beaugrand M

1 4 ' ' e_r n-ita» m. David Rochon,

ST-LEONARD (Port.)Madame E.-H.-S. Woodside a re­

çu à une danse costumée en l'hon­neur de sa tille, mademoiselle Mar­jorie Woodside, et de son fils. M. Harold Woodside. le jour des Rois.

— o —

M. et madame C.-E. Ployart ont reçu a un bridge et a l'heure du thé, le jour des Rois.

— o —

Mesdemoiselles Carter ont ré­cemment reçu aux appartements de la Grande-Allée, en l'honneur de leur cousine, mademoiselle Dah­lia Andrew, de Jersey, qui l'hiver en notre ville.

Charron, soeur de la mariée dame d'honneur, et M. Raymond Brégent. garçon d’honneur. MM. Adalbert Jarry. Jean Rinfret, Radier Merrill et Julien Savignac placeront les invités.

FIANÇAILLESLe docteur et madame Eugene

Dionne, de Ste-Marie, Beauce. an­noncent les fiançailles de leur fille, Marthe, à M. Léopold Plante. I.F., A.G., fils de M. et madame Joseph Plante, de St-Victor, Beauce.

— o —

sera avoir passebec. les invités de l’honorable juge -,

, et madame Albert Sévigny.— o —

M. et madame H.-L. Austin et ' leurs enfants. Frank et Mary, pas-

' sent quelques jours à Sherbrooke, les invités de la mère de M. Austin,

I madame F.-C.-L. Austin.— o —

Madame Georges Brunei et ma-

S.-J. Griffin, Montréal.

Célébration édifiante de l’Epiphanie

(Suite de la liage 3i le 13 février; la fête de Pâques le

— oMadame Edward Joseph a reçu

intimement à sa résidence de la rue Moncton, hier.

Le premier janvier, a Ste-Sabine. , _ , passe Bellechasse, M. l'abbé H. Labrecque moiselle Irma Pouliot.

a béni les fiançailles de sa soeur, Al­berta. G.M.G., a M. Paul Laliberté,B.S.A., de Montréal.

— o —

demoiselle Marcelle Brunet par-Ml avril; l'Ascension, le 26 mai; la tent aujourd'hui pour un séjour de Pentecôte, le 5 juin; la Fête-Dieu, le trois mois à Palm Beach, Floride. : 18 juin; le Congrès Eucharistique

— o — National s'ouvrira le 22 juin; et leMademoiselle Cramail est de re- premier dimanche de l'Avant aura

tour de Montréal, où elle a passé lieu le 27 novembre. quelques jours l’invitée de made- L'annonce de notre congrès eu-

— o —

Madame Harry Doddridge eu intimement mercredi.

charLstique national me porte à— o — ! prendre dans

Le cadel G.-A.-E. Couture, du Col- l’une des figures du Saint-Sacre-lège Militaire Royal, est retourné à ment, les Noces de Cana. On célè- Kingston après avoir passé le bre aujourd'hui trois grands mys- temps des fêtes avec ses pareuis, téres, l’adoration des Mages, les No- M. et madame Louis Couture, che- ces de Cana et le baptême de Je- min St-Louis. sus au Jourdain. On ignore malheu-

— o — reusement trop souvent les deuxMadame A.-A. MacDiarmid est. derniers mystères dont on fait men-

où elle a tion dans l'évangile du jour, les No- ! ces de Cana et le baptême de Jésus

— o — au Jourdain., ,, , /„ ln„r „„ ,.0; Mademoiselle Laura St-Luurent Mgr l’Archevêque donne ensuite

d^ MontrM a^VtTZécemment fiançailles de mademoiselle Juliette retournée à Compton après avoir lecture de l’épisode de l’évangile qui Montreal, a . r„erc„JZ*Z Saindon. fille de leu Alnhé Saindxm Passe une semaine a Quebec, linvi- raconte les Noces de Cana et le prê­

tée de M et madaipe Jean-Paul mier miracle du Christ. En chan- St-Laurent. j géant l’eau en vin, à la demande de

sa mère, Jésus révéla oa gloire et

BaptêmesLe 5 décembre, Mane-Lucille, en­

fant de M. et Mme Albert Trudel,(Blanche Berrouardi. Parrain et marraine, M. et Mme Philémon Girard, oncle et tante de l’enfant, j zanne-Fernande

—Le 23 décembre, Marie-Rosa- ” " **Aline, enfant de M. et Mme Albert Morasse, (Marie-Louise Morasse).Parrain et marraine, M. et Mme

J.-B. Morasse, oncle et tante de l’enfant.Divers

M. l'abbé J. Diament, professeur au Collège Ste-Anne, est venu dans sa famille, à l'occasion des vacan­ces du jour de l'An.

—Mme Eug. Leclerc est à l’hôpi- l’éyangile du jour ta] à Québec, suivant des traite­

ments. Souhaitons-lui de se remet

trois voix, soli par M. Edouard BissonBaptêmes

M. et Mme Arcadius Béland, née Ma­rie-Anne Plante, de St-Antoine de Pont- briand, font part à leurs «parents et amis de la naissance d une fille, baptisée sous les prénoms de Marie-Rose-Hélène. Par­rain M. Albert Plante: marraine. Mlle Rose-Aimée Plante, oncle et tante de l'en­fant. Porteuse, Adélia Lagueux.

—M. et Mme Stanislas Lessard, nee Marguerite Drouin, font part à leurs pa­rents et amis de la naissance d’une fille, baptisée sous les prénoms de Marie-Su-

Parrain et. marraine. M. et Mme Odias Labrecque, nee Delvina Trépanier, de Robertsonville, amie de la famille.

M. et Mme Wilfrid Bisson, née Lucia Métivier, font part à leurs parents et amis de la naissance d'un fils baptisé sous les prénoms de Joseph-Gilles-Mau- rice Parrain, M. Alphonse Bisson; mar­raine, Mlle Odélie Bisson, frère et soeur de l'enfant. Porteuse. Mme Métivier, née Alice Fugére. de Thetford-Mines.

ST-CHARLES (Bellch.)

M. et madame Pierre Beaumont, de Ste-Catherine, annoncent *les fiançailles de leur fille, Lucienne, à M. Ernest Fiché, fils de M. Liboire

à l’heure du thé, \ Fiché, décédé, et de ché, de Duchesnay.

o — — o —

a re­madame Pi- de retour de Montréal,

j passé quelques jours.

l'hôte d’honneur à un "progressive Saindon. fille de feu Alphé Saindon dinner" auquel assistaient: mesde- ed madame Napoléon Desjardins moiselles Monique Paquet. Simone ,de Rivière du Loup/, à Monsieur Tessier. Yolande Hamel. Marie Raymond Morissctte. fils de M. etBaillargeon. Françoise DeSerres, de Montréal. Magdeleine des Rivieres, Jeanne Taschereau, Gabrielle La- Rue, Madeleine Barnard. Louise Blais. Lillian Atkinson. May Coote. Louise Thériault, Camille Pouliot. Esme Labrèque et Claire Dagneau. MM. George Bray. Gérard Côté, Pierre Sevigny, Carleton Auger. Francois Turgeon, Jéan Turgeon, Camille Noël, Charlie Alleyn, Edwin Turcot, Maurice Kieffer, G. Labrè-

■madame ville.

C.-T. Morissette. de cette

M. et Mme W. Dupont, des Trois- Rivières annoncent les fiançailles de leur fille Mariette, à M. Rosaire Beaudry, de Donnacona, fils de M. Léon Beaudry, maire de Neuville, et de madame Léon Beaudry, décédée.

— o —

Mademoiselle Louise Martin est scs disciples crurent en lui. Le Pon- retournée à Montréal après avoir souligne que Marie était avec été l’invitée de mademoiselle Ga- jéSUs à cette fête qui se déroula bie Fortin à lu résidence de sa mè- suivant les coutumes de l'Orient. re, madame Albert Fortin. pujs u ajoute qu'il y a lieu de se

— o — '

Lucile

Joyeux anniversaireLe 12 décembre, un groupe de parents

, et d’amis se sont réunis à la demeure tre promptement afin qu elle re- de m. josepn Boiduc à l'occasion du vienne parmi les siens.

—Mlle Valéda Morasse est reve­nue de Shawinigan. à l'occasion des fêtes du jour de l’An. .....

-Mme Adélard Moisan et son “céarMRenaud fils Benoit, de Limoilou. Mme Ul- déric Cantin et sa fillette Denise, de St-Raymond, Mlle Marie-Mar­the Moisan. aussi de St-Raymond, en visite chez Mme Chs-Eug. Gi­rard, à la fin de décembre.

ST-LEONARD (Port.)Fête de Noël

La messe de minuit a été chantée

54ième anniversaire de Mme Joseph Bol duc. Assistaient à cette fête, Mlles Si­monne Bolduc et Marie-Ange Bolduc, M. Jules Bolduc. Mlle Gertrude Bolduc, M. Léopold Bolduc. M. et Mme Michel Bol- duc M. et Mme Alphonse Ratté. MM.

et Georges Bernard, M. et Mme Emile Roy. M. Jules Laflamme. M. et Mme Armand Laflamme, M. et Mme. Arthur Mercier, Mlles Irène et Jeannette Mercier. MM. Paul-Eugène Roy. Léopold Roy, Mlle Eva Rose Roy. Mlle Blanche Ratté, M et Mme Napoléon Carrier. M et Mme Joseph Asselin, tous de St- Ra­phael, M. et Mme Léopold Martineau, Mlles Thérèse et Jeannette Martineau, tous de la Durantaye. Mlles Yvette et Gertrude Côté, M. Roger Côté. Mlles Mar­guerite et Rolande couture, de St-Char- les. MM. Joseph Lacroix, Joseph Gon- thler. Sylvio Langlois, de St-Michel, MM Lorenzo Latulippe et Emile Blouin, Paul Henri Latulippe. Emilien Blouin. Mlles

. « r •Arviifjv nt-oît- i Marie-Claire Blouin et Juliette Blouin et par M. le cure Maitel. Leghse était | Armande Lambcrt, de st-vaiiicr.c'écorés ave bon goût et brillam-

On annonce les fiançailles de ma­gne. Y van Morisset Amyot Jolicoeur, demoiselle Marie-Paule Fortin, fille Maurice Gagne. Raymond Fortier. dc ^ Gëdéon Fortin, décédé et de Torn Smilii. madame Félix Dutil, de Beauceville,

— o — à M. Marcel Poulin, inspecteur sa-M. et madame Gustave Pelletier, nitairé. fils de M. Odilon Poulin et

de l'avenue Cartier, ont reçu à Toc- de madame Odilon Poulin décédee rasion du mariage de leur neveu, le • également de Beauceville. docteur Aristide Nadeau, actuelle- — o —ment en voyage à New-York, les Bermudes et Halifax.

Au début de la soirée, une adresse futrappeler que la place de Marie de- ment illuminée. Au cours de ces cé- ’ pac Mlle Simonne Boiduc, après quoi puis 1 Incarnation jusqu au terme rémonies, la chorale a exécute un t gaje^ n>a cessé de régner durant cette

Maze, de Pans, a passe les /etes au la Passion est aux côtés du Ré- beau programme de chant. Une mes-1 belle soiréeMademoiselle üelamare-

Nouvel An au Lac Masson, avec M.et madame Montréal.

L.-P. Beaubien, de dempteur. ; se à deux voix et plusieurs chants de j

— o —

Mademoiselle Marie-Paule Le-Blond. fille du docteur et de mada­me Joseph LeBlond. de Lévis, a re­çu, jeudi soir un groupe de ses amis de Lévis, Bienville et Lauzon. Après

J’ai voulu vous lire cet évangile Noël à quatre voix furent exécutés parce que le miracle qui y est ra- 1 Mlle Blanche Lortie touchait l’or-

, — 0 „ , conté est l’une des figures de l’Eu- : <me. A la messe de minuit, Je ser-M et madame Felix Desrochers, charistie. changement du pain au mon fut r’ormé pur un Père.

d’Ottawa, ainsi que leur fils, jean, de jésus et changement du ; Dans l'après-midi de Noël, il yont passe les fetes du Nouvel An a v.jn en son sang En changeant am-! eut bénédiction des enfants. La plu- Montreai. _ si la substance de l'eau en vin. Jé- ! part étaient présents ; ils reçurent

, . x 0 „ , , sus a donné la preuve qu’il ne lui up ieur curé une image-souvenir. Autournée Mmtréal^avrès avoir estK pas plu,s clifficile de changer la cours de la cérémonie, la chorale apassé 1 Nouvel Z au Château ̂ TuxiènT leçon "«"souligner exécuté des cl?nts de Noë1’ Le ReV’Frontenac arec M. Provost et ^ “Æ, hesMe^o" Pere 3 d°Wle 16

„ , . _ quelques jours l invitee de M. etM. et madame Criiuciiose Conseil- madame Henri Bclaiiger,

1er, annoncent les fiançailles de _0 _leur fille Marie-Anna, avec M. Gar-neau* Legendre.^ fils^ de M. St-Geor- pasSg quelques jours à Montréal

o —Paul Markey est retourné

RIVIERE MANIE

Baie St-Paul. 7. (D. N. C.) — M. Wilfrid Guay, 17 ans. fils de M. Lud- ger Quay, de St-Placide, a été vic­time d’un pénible accident, hier, alors qu’il a été rué par un cheval qu'il était à soigner.

Témoin de l'accident, M. Ludger Guay se porta immédiatement au se­cours de son fils qui se tordait de douleur et le transporta chez lui. Mandé d’urgence, le docteur Arthur Leclerc prodigua les premiers soins au blessé qu’il fit transporter à l’hô­pital St-Paul où on lui enleva un rognon brisé par suite de la ruade qu’il avait reçue. On a bon espoir de réchapper le patient qui devra prendre toutefois un long repos.

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ges Legendre, décédé et de madame Legendre.

‘ — o

retournée à Montréal après avoir passé plusieurs jours à Québec, l’in­vitée de mademoiselle Raymonde

M. et madame H. barlow, annon- un succulant goûter une courte cent les fiançailles de leur fille,sauterie termina cette fête intime. Au Evelyn, avec M. IV.-A. Shink, fils de nombre des invites on remarquait. M. et de madame P Shink. de Lé- mesdemoiselles Julienne Lemieux, vis. décédés.Lucette Dorval. Françoise Belzil. — o —Marguerite Roberge. Jacqueline Le Jour de TAn. eurent lieu à la Doyon.Fravcoeur. Andry Bolduc. Victorin- résidence de M. et de madame Té- — ° —ne Jenkins. Madeleine Bourget. Ja- lesphore Delisle. au Cap-Rouge, les Af. et madame Pierre Dupras ontnine Samson: MM. Jean Lemieux, fiançailles de leur fille Cézarine. avec passé les fêtes de Noël, et du JourMarcci Samson. Robert Samson, i.M. iréné Chabot, fils de M. et de de TAn à Montréal, dans leur fa-Noël Roberge, William Francoeur.\ madame Eugène Chabot, du Pont mille.Rosaire Fortier, Benoit. Belzil.

de Marie dans la distribution des grâces. Le geste de Marie à Cana

,, , _, illustre son maternel souci de pour-M. el madame J.-A. Auger ont volr . nQS besoin& Quelle bon^ etaussi quelle puissance sur le coeur

Jf Paul Markey est retourné à £ ^Montréal après avoir été l’invité du ce.ü a,ler .. Jesyl par , , nf brigadier J.-M. Prower. La troisième leçon c est de cons-

A Montréal

_0__ tate.' comment Jésus a voulu consaMademoiselle Louise Lesage est rrer ,!e mariage au cours de cette

manifestation publique a laquelle il avait accepté de participer. Ainsi

Messe de minuitLa messe de minuit a été célébrée avec

solennité et piété dans notre petite cha­pelle. M. l'abbé C. Brèves, officiait. Tous, à cette occasion se sont fait un devoir de s'approcher de la table sainte et sa­luer le divin Enfant dans la petite crè­che qui a fait l'admiration des tout-pe­tits et même des grands. Le choeur de chant fit très bien sa part pour rendre plus belle, cette cérémonie si touchante. Nous garderons un bon souvenir de cette nuit de Noël 1937.BaptêmeLe Jour de Noël, en la chapelle de Rivière Manie, *a été baptisée par M. l’abbé C.

Fn 1937 Fr^ves, Marie-Pierrette-Suzaime, enfant%- -* ™----- AliceMme

Montréal. 7. — (P.C.i ----------- . „ ., , ,, x . , , ... ; de M. et Mme Pierre Lajoie meele port de Montreal a reçu la Visite : Gagnon». Parrain et marraine. M. et de 1.070 navires d'un tonnage global Lorenzo Ouellet, de St-Pacôme.de 4,338,841 venus d’outre-mer, soit No.t.es Ts0®ia,^s , ^ rx i' . ’ , . M. J.-C. Gagnon est revenu de Quebec63 navires et 64.667 tonnes de moins! où il était allé passer la fête de Noël dans que l’année précédente. Il s’est ex- sa famitle.pédié 5,284.187 boisseaux de blé de —Mlle O. Dionne, inst. est aller passermoins.

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ney sont de retour de Montréal, où ils ont été les invités de M. et ma­dame J.-C. Héon, pour le Premier de TAn.

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Page 10: O^T XT¥¥ - BAnQ

10 LE SOLEIL. QUEBEC, VENDREDI 7 JANVIER 1938

Young Sonnenberg et Lucien Sanfaçon finalistes ce soir à la TourLes skieurs du Collège des Jésuites gagnent VInterscolaire

La direction du Club Athlétique Champlain donnera *a première séance de l’année 1938 ce soir, en pré­sentant un combat final entre Lucien Sanfaçon et Young Sonnenberg — Quatre autres combats sont également à l’affiche — Le gars de Giffard a li­vré un rude combat à Bob Birno, mercredi, à Mont­réal— La rencontre de ce soir s’annonce encore plus mouvementée.

K1D LEWIS CONTRE GEO. CAGNEY

LEHOCKEY

Lucien Sanlaçon, de Gilfard, qui vient de livrer un rude combat à Montréal au puissant Bob Birno, sera l’adversaire de Yoi.ng sonnen­berg, lutteur montréalais, dans la finale au programme que présente­ra le promoteur Ernest Lantier. ce soir, à la Tour.

Mercredi, au marciré St-Jacques, Sanfaçon et Birno prirent chacun une chute. Se voyant dans l'impos­sibilité de renverser son rival, pour la chute décisive, et réalisant qu’il était lui-même en danger d’être ■‘collé. Birno expédia Sanfaçon hors des cables pour le mettre hors de combat. L’arbitre disqualifia Birno donnant ainsi une victoire technique au gladiateur de Québte.

Il y a tcllemçnt de rivalité entre lutteurs de Québec et de Montréal, qu’on peut s'attendre à ce que le combat de ce soir .entre Sonnen­berg et Sanfaçon. fournisse beau­coup d’action. Ce combat, de deux chutes dans trois, sera limité à 90 minutes.

Kid Lewis, de Trois-Rivières, est d'une telle rudesse qu'on ne veut plus le laisser lutter à Montréal.

George Cagney n'a cependant pas refusé de le rencontrer. Au con­traire. il prétend que lorsque le com­bat sera terminé, à l'expiration des 30 minutes, et peut-être avant (!), Lewis sera doux comme un mouton. Ce combat sera l'attraction semi-fi­nale de la soirée.

Doux lutteurs très populaires, ra­pides et scientifiques, Maurice Ber­trand et le Japonais Al Tabah. fe­ront les frais d'un numéro spécial de 30 minutes. Cette rencontre sera certainenment goûtée des amateurs de belle lutte.

Maurice Fortin et* le métis Al Brosso se rencontreront dans une préliminaire limitée à 20 minutes, tout comme Cyclone Bailey, de Trois-Rivières, et Jack Théo, de Québec, qui ouvriront la séance à 8 heures 30

Les billets réservés ont été ven­dus avec tant de régularité qu’on prévoit une assistance considérable pour le spectacle de ce soir. Les prix d’entrée seront les suivants: sièges réservés. 55 cents; admission géné­rale, 30 cents.

LIONS VS TIGRESLes Lions de Québec se rendront i

à Victoriaville, dimanche, accompa- | gnés de nombreux supporteurs. Tel ; que nous l’avons déjà annoncé, un convoi spécial quittera la gare Union à 10 heures, dimanche matin, et les excursionnistes reviendront dans la Vieille Capitale le soir même, à 11 h. 15.

Ceux qui désirent faire le voyage sont priés de réserver leurs billets dès maintenant, en téléphonant ou en se rendant chez Léo Bourgault.

DEFI DU CANTINLe Cantin & Fils a défait le Be­

dard par 5-1, hier après-midi. La rondelle fut mise au jeu par MM. A Hébert et A. Lelièvre.

Tout bon club de la cité et du dis­trict de Québec qui désire rencon­trer le Cantin & Fils, un soir de la

ANNEA1

LIGUE INTERIEURE

Les membres du club d’anneaux restaurant Jos. Titi, qui ont suivi les activités du circuit Grégoire, sont enchantés de ses succès et souhai­tent que leur équipe continue à bien figurer, comme elle l'a fait jusqu’à présent.

Le Restaurant Jos. Titi 1 et le St- Germain se trouvent actuellement en fête du circuit Grégoire avec 11 victoires à leur crédit.

L’entrée est gratuite aux parties de la ligue Intérieure d'anneaux.

MERCREDILIGUE SENIOR

Royals, 2; Verdun, 1.Victoria, 5; Concordia, 4.

LTNTER.-AMERICAINEProvidence, 2; Pittsburgh, 2. Cleveland, 2; New-Haven. 0. Philadelphie, 4; Springfield, 2.

HIERLA N. H. L.

Maroons, 6; Toronto, 3. Americans, 1; Détroit, 1. Rangers, 4: Chicago, 1.

LIGUE PROVINCIALE SRDrummondville, 1; Granby, 3. Sherbrooke, 5; Lafontaine, 1. Valley field, 6; St-Jacques, 2.

GROUPE PROVINCIAL

Shawinigan. 1; Québec, 5.La Tuque. 4; Grand'mère. 4 Trois-Rivières à Victoriaville,

remise au 21.LIGUE INTERCOLLEGIALE

U. de Toronto, 5; Princeton, 4. McGill, 13; Darmouth, 1. Queens, 3; Yale, 2.Havard, 5; U. de Montréal, 1.

LA LIGUE JUVENILE DE ST-SACREMENT

lilP

Guy Audet, Claude Fleury et Georges Gauvreau, porte- couleurs du Collège des Jésuites, se sont classés en tête des onze équipes qui se sont disputé, hier après- midi, les honneurs du concours interscolaire de ski. — Une deuxième victoire consécutive — Les St-Pat’s s’emparent de la seconde position — Le trophée “Seiberling” aux Jésuites.

LES CLASSEMENTS OFFICIELS

•v.

t»,

I

Les jeunes hockeyistes de St-Sacrement ont reçu la visite du Père Noël, au moment où ils s'apprêtaient à inaugurer leurs activités de la présente saison. Nos lecteurs reconnaîtront dans la photo reproduite ici, de gauche à droite, Geo.-Albert Bussières, H. Verge, J.-P. Bélanger, Alfred Bussières, Geo. Bussières, Al­bert Tessier, président de l’Association des Terrains de Jeux St-Sacrement, O. Véïina, le Rév. Père Car­rier, aumônier, J.-Chs Bussières, Lionel Fleury, G.-Marcel Lagueux, Pierrot Vézina, Adélard Rousseau et le Père Noël, personnifié par M. Paré. Ces jeunes champions en herbe ont fait excellente figure, depuis le premier signal des hostilités, et tout fait prévoir que la course aux honneurs sera chaude­

ment disputée.

COTE DE BEAUPRE

Giffard, 3; Courville, 4, St-Pascal, 1; Boischatel, 5. Beauport, 3; Céphanol, 1.

semaine, est prié de communiquer avec Armand Dufresne, 670 rue Dor­chester, tél.: 4-0150.

LIGUE JUVENILE DE ST-SACREMENT

LA LUTTEToronto — Danno O’Mahony, 225,

; Irlande, défait Dick Poweli, 230, West Virginia, 2 chutes coptre une. ’ La Crosse. W'is. — Bronko Nagur- ski, 255, International Falls, Minn., tomba Scotty Dawkins, 226. Shreve­port, La.. 16:00.

Hartford, Conn. — Yvon Robert, 221, Montréal, tomba George Clark,

1 228, Ecosse, en 2 chutes consécutives.Camden, N. J. — Gino Garibaldi,

218, St-Louis, défait W'ally Dusek, 221. Omaha, en 2 chutes consécuti-

2 joutes des ligues junior etintermédiaire ce soir à l’ArénaDeux |outes des ligues Intermédiaire et junior sont a l'affiche pour ce soir, à l'A-

réna de MM. Demers et Côté.Dans la première partie, qui débutera à 8 heures, les Castors et les Aces juniors

en viendront aux prises. Les Castors, qui détiennent la première position du circuit du Dr Robert sans avoir subi aucune défaite depuis le début de la saison, tenteront de con­server leur record intact.

Les "Petits As" de Pat Kennedy, cependant, mettront tout en oeuvre pour battre leurs vieux rivaux et se rapprocher de la première place.

Les Intermédiaires feront les frais de la seconde joute, alors que les Red Indians fe­ront face au Service Civil. Cette partie, comme la précédente, promet du très beau jeu.,,

LES COMPTEURS DE LA LIGUE

PROVINCIALE

La Ligue Juvénile de Si-Sacre- ment, dans laquelle figurent les équi­pes Bellevue, Condor, Sillery et Don Bosco, a inauguré ses activités offi­ciellement, il y a quelque temps, en présence d’une assistance fort impo­sante et, depuis, une chaude émula­tion n’a cessé de régner entre ces jeunes champions en herbe.

Le classement officiel indiquait, indiquait, avant les parties de mer­credi soir, que le Bellevue occupe le premier rang avec 8 pts. suivi du Condor (4>, du Sillery (2) et du Don Bosco (2). Le Bellevue, qui re­présente la paroisse St-Sacrement,

n’a pas le championnat en poche et son pilote, Alfred "Ti-Blanc" Bus- sière, doit s’attendre à des surpri­ses.

Albert Racette, le représentant de la Q.A.H.A. pour le district de Qué­bec, * informé le chroniqueur spor­tif du '‘SoleU” que les champions de la Ligue Juvénile figureront dans une série de détail “home and home’’ contre les champions de Thetford- Mines.

Cette intéressante nouvelle stimu­lera l’ardeur de nos juvéniles et ren­dra les parties de la Ligue de plus en plus captivantes.

ROYALS DEFONT LES FAMEUX LEAFS DE VERDUN PAR 2-1

La magnifique performance de Fernand Majeau a per­mis aux Royaux de I ’ emporter sur les équipiers d’Albert Leduc au pointage de 2 à 1, mercredi soir, au Forum — Claude Bourque fut bombardé copieu­sement — Cy Allen a fait sa part — Les Vies ont triomr’ ' du Concordia par 5-4.

LES MAROONS SCORENT 6-3

VS TORONTOLes joueurs montréalais ont

réussi à remporter une vic­toire bien méritée quand ils disposèrent des Maple Leafs de Toronto, hier soir, au Forum — Une sé­rie de batailles.

Montréal, 7. (P.C.l — Le Sher­brooke figure au premier rang chez AU JACQUES-CARTIER les compteurs de la Ligue Provin-1 ciale senior, en plus d’occuper la; première position dans le classement des clubs, sans aucun échec ni par­tie annulée.

GORMAN JUBILE

4,000 SPECTATEURS

Montréal, 7. — <P.C i Les Royals ont causé une surprise aux 4.000 spectateurs qui assistèrent à la réou­verture de la ligue Senior de Qué­bec. mercredi soir, en disposant des Maple Leafs de Verdun au pointage de 2-1 dans la première partie d’un programme double. Dans la 2e paff­ile, le Victoria a défait ,e Concordia par 5-4

Du commencement a la fin de la partie, les Royals oombardèrent copieusement Claude Bourque, le gardien du Verdun, qui succomba finalement au début de la 2e pério­de quand Fernand Maieau qui fai­sait ses débuts avec le club de Frank Carlin, mit les Royaux en avant sur une passe de Cy Allen.

Dix-huit minutes plus tard, Bill Summerhill égalisa le score, aidé de Jean-Louis Bourcier.

Mais Allen et Majeau unirent de nouveau leurs efforts pour donner la victoire aux Royals après 4 minu­tes dans la période finale.

La 2e partie fournit nu jeu plus ouvert. Après avoir terminé 1s pre­mière période à 1-1, 'es deux équi­pes attaquèrent furieusement dans la seconde reprise, qui se termina a avantage des Vies par 5-4. Aucun

point ne fut compte dans la session finale.

Mickey Moynilian et Hugh Tra­cey dirigèrent l'attaque pour les vainqueurs, le premier avec 3 points, et le second avec deux.

PREMIERE PARElE

ROYALS VERDUN;Carey Buts BurkeGriffiths Défense ArcandH. Murray Défense GallagherMajeau Centre WillsonC. Allen Aile J. L BourcierK. Murray Aile Summerhill

Subs ROYALS - Jotksis, Donnelly, O'­Connor, D. Neville, Lorimer, Mahaffey, Morin, J. Allen,

Subs VERDUN — Meronek, Pellssler, Ambois, M. Martel. Desroches, Tourvlhe, Titcombe, C Bourcier.

Première période

Pas de pointt.Punitions Arvand, H. Murray, Don­

nell).

seconde période

1— Royals. Majeau(C. Alleni...................................................... 40

2— Verdun. SummerhillU. L. Bourcier»................................ 18.35

Punition : K. Murray.

Troisième période

3— Royals. C. AlleniMajeaui ..... 4.45

Punitions : Donnelly, C. Bouicier.

SECONDE PARTIE

CONCORDIA VICTORIASArchambault Buts MartelRaymond Défense WeirBelhumeur Défense ElleAlexandre Centre MundeyGaudette Aile PenneeP Armand Aile Carroll

Subs CONCORDIA -’lomilty, Carlgnan, Laframboise, Cormier. Desautels, Mullins. J. Armand. Bellemare.

Subs VICTORIAS Wigle. Strickland, MacNeil. Tracey, H. Neville, Moynlhan, Davis, White.

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Première période! 1—Concordia, cormier ... 3.03| 2—Victorias, Hoynihan

'Davis) 4.42Punitions . Mundey. Raymono, Mullins.

Seconde période

3 Victoria^, Tracey ..... 4,204 - Victorias, Tracey

'H. Neville»................................................ 4.585— Concordia, Carignan

U. Armand)...................................... 8 296— Concordia. Raymond . . a* . 10.107— Victorias. Moynlhan »

iWhitei . . 11.40Concordia. CormieriCariKnai) - J Armand) . , . 14.05

0 - Victoria, Moynlhnn'WMtc - Davlsi ....... 14.46

Punition: Raymond, 2. White, Mun-üey, Weir.

Montréal, 7. — <P. C.) Dans une orgie de points et de batailles, les Maroons de Montréal ont défait les Maple Leafs de Toronto, meneurs de la section canadienne de la N. H. L., par 6-3, ici. hier soir, devant 6,- 000 spectateurs.

Les Leafs avaient promis de leur “faire payer ça” chaque fois qu’ils rencontreraient les Maroons après que les clubs de Montréal eut don­né son congé au coach King Clancy la semaine dernière. Mais après que le Toronto eut compté le pre­mier point, les Maroons se mirent au travail et infligèrent aux Leafs une défaite au cours d’une partie

| prodigue en punitions.Red Horner du Toronto et Jim-

! my Ward des Maroons reçurent des I majeures et des punitions de match 1 quand ils en vinrent aux coups dans la première période et continuèrent leur bataille daas la boite du péni-

! tender. Presque tous les joueurs des deux équipes participèrent à la

; bagarre. L’arbitre Johnny Mitchell, qui réussit à rétablir l'ordre, sortit de la mêlée la figure enflée.

Ce résultat a laissé les Leafs un point en avant des Americans dans

I leur section.i On apprit après la partie que Paul Range, des Maroons, fut blessé à un genou dans la partie.

ALIGNEMENTS

TORONTO MAROONSBroda Buts BeveridgeDavidson Défense WentworthHamilton EvansChamberlain Centre GracieMetz Aile CainKelly Marker

Subs. TORONTO : Thoms. Boll. Cona- cher. Drillon, Horner. Fowler. Apps, Jack­son, Kampman.

Sub», MAROONS : Blinco. Trottier. Ro­binson, Shields. Smith, Cook, Runge,

I Ward. Northcott.i Officiels : Mickey Ion et Johnny Mit- ! chell.

SOMMAIRE Première période

i 1—Toronto. Drillon < Apps' 8.201 :!—Maroons, Oracle

'Cook-Ncrthcott) . . 9 033—Maroons. Cain

'Oracle Marker' . 14.534 4 - Maroons, Wentworth . 1& 25( 5—Maroons. Blincoi 'Robinson Shields' . . . 19.11

Punitions : Horner majeure et punl- ! lion de match). Ward 'majeure et pu­

nition de match), Smith. Davidson.Deuxième période

6— Maroons, Evans• Northcott-Shield»! 10 37

7— Toronto, Metz•Davidson Kelly» 13.12

8— Maroons, Northcott'Evans-Oracle» . . 13.40

» Toronto. Apps •Drillon i 18.12Punition Marker. Chamberlain.

ShieldsTroisièmr période

Pas de point.Punitions . Davidson 2, \Vent*orih2

Les statistiques de ce circuit dé­montrent que Guidoo Roy a enre­gistré 4 buts et 6 assists, soit un to­tal de 10 points. Ses co-équipiers. Camille Henri. Hank Harris, Roger Cormier et Magella Laforest, occu­pent la deuxième position avec 9 points chacun. Harris a compté le plus grand nombre de buts, soit 6.

Théo Hamel, du Valleyfield, et» Larabie, du Granby, se classent en- ! suite avec chacun 8 points.

iRoland Reeves, du Valleyfield, estj

le “méchant garçon" de la ligue: il a, en effet, passé 21 minutes au pé­nitencier.

Voici le classement des compteurs:B. A Pts Pun

Les huit équipes qui ont participé à la première ronde du concours an­nuel pour la coupe St-Lawrence, hier après-midi, au club de curling Jac­ques-Cartier, se sont livré une lutte fort contestée.

Voici le résultat des matchs :

Roméo Blanche! .... 13 Réal Talbot ...... 12George Jeffrey . .Olivier Drouin . . .Arthur Egan . . ,Aimé Déry ...Wilfrid Samson . .Emile Morency. . .

Roy. Shebrooke 4 6 10 4Henri. Sherbrooke . . . 5 4 9 4Harris, Sherbrooke . fi .7 9 4Cormier. Sherbrooke . . 5 4 9 2Laforest, Sherbrooke . 3 6 9 5Hamel, Valleyfield . , 5 3 8 2l.abadie, Granby . . , 5 3 8 13Leroux, Sherbrooke . , 3 4 7 7F. Ranger. Granby , , 5 2 7 4Bélanger, Granby . , 2 5 7 14Lilly, Valleyfield . . . 3 3 6 0McCormick. Granby 3 2 5 14Deschamps. Valleyfield . 4 1 5 6J,-P. Ranger, Shebrooke 3 2 5 14Deneault, Valleyfield 2 3 5 6Gagnon. Shebrooke 2 3 5 8A. Laîonde. Granby . . 2 2 4 10Rivet. Lafontaine 2 2 4 0Bastien, Sherbrooke . 9 4 4 2Revves, Valleyfield 4 4 4 21Bergeron, St-Jacques . . 1 3 4 2

LE “BIG SEVEN”(Par la P. C.)

En dépit de la défaite des Maple Leafs de Toronto par 6-3, aux mains des Maroons. Gordon Drillon a aug­menté son avance en tête des meil­leurs compteurs de la N. H. L. quand il enregistra un but et un as­sist, pour porter son total à 27 points.

Syl Apps figure dans les deux buts avec Drillon, et se classe au deuxiè­me rang avec Cecil Dillon, Rangers, qui scora une fois contre le Chica- ga. Voici le classement des comp­teurs:

Drillon, Toronto Dlllon, Rangers Apps, Toronto Jackson, Toronto Stewart. Americans 10 Barry, Détroit Schriner. Americans 12

B. A Pts.13 14 2711 10 218 13 21

10 10 2010 9 197 12 19

12 < 18

Les semi-finales sont au program­me pour dimanche après-midi.

A noter que les "curlers écossais ", en tournée au pays, sont attendus au club vers les 3 heures, demain après- midi. Tous les membres sont priés d'être là, pour les recevoir.AU VICTORIA

Le “Little Christmas Bonspiel" a été tenu hier, au Victoria Curling Club.

Dans la section des fers, l equipe du Colonel A. de M. Bell fut battue par 10-9, par celle de A. S. Cook. Aux granites, le "rink" du docteur J. M. Elliott disposa de celui du sé­nateur Georges Parent par 8-7.

Voici les résultats des parties dans les rondes éliminatoires :

LES FERSColonel Bell, 10; C. B. Bignell, 8.A. C. Smith, 6; E. E. Ross, 6.A. S. Cook, 18; W. E. Reed, 7.

LES GRANITESSénateur Parent, 14; J. G. Ross, 8.Dr J. M. Elliott, 11; H. E. Wey-

man, 10.Juge Roméo Langlais, 14; Major

W. H. Petry, 7.LE TROPHEE FINNIS

Voici les résultats des matches joués mercredi, dans le concours pour le trophée Flnnls :

Juge R. Langlais, 5; H. E. Wey- man, 10.

Major W. H. Petry, 6; E. E. Tur­ner, 9.

CE SOIRDeux parties sont à l’affiche pour

ce soir, huit heures, dans la compé-, tltion pour le trophée Laird :

A. S. Cook vs C. B. BignellColonel Bell vs Dr J. M. Elliott.

LA BOXEPhiladelphie — Midget Holgast,

139 3-4, Philadelphie, décision sur Norment Wuarels, 137, Henderson­ville, N. C.. (9).

Portland, Me. — Heywood Storey, 162, Waterville, obtient la décision des journalistes sur Joe Lynch, 151, Jersey City, N.J., (8).

RED WINGS ET AMERKS FONT

PARTIE NULLELes équipiers de Détroit ont

enregistré une deuxième victoire consécutive, hier soir, quand ils annulèrent à 1 -1 avec les Amerks — Hooley Smith et Larry Au- rie ont scoré.

9,000 AMATEURSNew-York, 7. — <P. C.) Les Red

Wings de Détroit ont joué hier soir leur deuxième partie ’ consécutive sans défaite, quand ils se sont ral­liés pour annuler 1-1 avec les New York Americans, devant 9.000 spec­tateurs.

Hooley Smith donna l’avantage aux Amerks dans la première pério­de, mais Larry Aurie égalisa au mi­lieu de la troisième session. Une victoire aurait permis aux Amerks de rejoindre les Maple Leafs en première place, dans la section ca­nadienne.

ALIGNEMENTS:

AMERICANS: DETROIT:Robertson Buts N. SmithJerwti Defense YoungMurray Défense McDonaldChapman Centre BarryCarr Aile AurieSchriner Aile Sorrell

Subs AMERICANS — Day, Gallagher, Stewart. Wiseman. Lamb, Emms. H Smith, Johnson, Anderson.

Subs DETROIT — Goodfellow, Howe, Liscombe, Beattie, H. Kllrea, Motter, Hud­son, Bowman.

Officiels — A. G. Smith et Bert McCaf­frey.

SOMMAIRE

Les porte-couleur.s du Collège des Jésuites ont remporté, pour la deu­xième année consécutive, les hon­neurs du concours interscolaire de ski et le trophée emblématique "Seiberling", en vainquant les dix autres équipes en lice par une marge vraiment édifiante.

Cette épreuve annuelle, organisée par le Ski Club de 'a Voirie, et que nous devons à l’initiative du di­recteur technique de ce club, M. Mi­chel Dehquck, a vivement intéressé une galerie de près de quatre cents personnes, et mis en évidence près de quarante jeunes skieurs.

Chaque équipé se composait de 3 skieurs, chacun devant franchir 2 milles. L’équipe du Collège des Jé­suites négocia la distance de six mil­les en 47 minutes et 44 secondes, battant celle du St. Patrick’s High School, qui se classa au 2e rang, par trois minutes et neuf secondes. La seconde équipe du Collège des Jésui­tes finit brillamment, en 3e posi­tion, une seconde seulement en ar­rière des ‘ Irlandais" ! Les skieurs de l’Académie St-Jean-Baptiste se sont mis en vedette en prenant la 4e place en 51.49.

Onze collèges furent représentés dans cette classique annuelle, et plusieurs jeunes skieurs s’inscrivi­rent en individuels.

Soulignons, fait remarquable, la performance de Jean-Yves Gosselin, qui finit 33ème, dans le classement individuel. Ce jeune homme, en dé­pit du formidable handicap de n'a­voir qu’une jambe, n’en fait pas moins du ski avec enthousiasme, et fait preuve d'une habi'eté inconce­vable.

Georges Gauvreau, du Collège des Jésuites, réussit la plus rapide epreuve individuelle, négociant ses 2 milles en 13 minutes et 58 secondes. Gordon Dale, de St. Patrick’s, se classa second, dans ce departement, en 15.27.

Après la course, un banquet fut servi aux jeunes skieurs par le club de la Voirie, banquet que présida le sympathique M. J.-E. Pépin, prési­dent du club, qui était accompagné de madame Pépin. M. Pépin félicita les gagnants ainsi que tous les con­currents, et leur dit que c'est avec plaisir que le Ski Club de la Voirie veut faire sa part poui promouvoir le sport du ski à Québec, en encou­rageant les jeunes.

M. Gustave Garant, représentant à Québec de la compagnie Seiber­ling. présenta son trophée à l’équipe gagnante, ainsi que des miniatures aux membres de l’équipe et une coupe à Georges Gauvreau, déten­teur de l’épreuve la plus rapide.

Jos. Girard, président de la Zone de Ski, et Albert Laliberté. secrétai­re du Quebec Ski Club, adressèrent aussi la parole. Claude Delisle, de la Voirie, donna lecture du palmarès.

Voici dans quel ordre les équipes

furent classées:I— Collège des Jésuites (No 1)

Guy Audet Claude Fleury Georges Gauvreau

Temps : 47.443—St. Patrick's High School. (No I)

Gordon Dale George Brady J. Walsh

Temps : 51.033— Collège des Jésuites (No f)

Guy Renaud Clément Renaud Jacques Fortier

Temps : 51.044— Académie St-Jean-Baptiyte

Laval Turgeon Dominique Jacques Gérard Verreault

Temps : 51.49&—St. Patrick’s High School (No 2)

Bob Dale Ben Chartier Paul Verge

Temps : 52.286— Ecole Technique

Gaston Angers Robert Hamel Henri Picard

Temps : 52.447— Ecole Lé gare

Maurice Lebon Robert Lebon Léo Brown

Temps : 53.118— Ecole Montcalm

Paul Reny Pierre Gaboury Claude Faguy

Temps : 54.479— Commissioners’ High School

D. Cherry A. SturtonE. Bignell

Temps : 57.361(V—Académie Commerciale (No 2)

René Boily Cyrille Légaré Pierre Bélanger

Temps : 58.55II— Académie Commerciale (No 1)

André Fiché Charles Plamondon Jean Dolbec

Temps : 58.58 Classement individuel

1— Georges Gauvreau .....2— Gordon Dale.................................3— Jacques Fortier ....4— Laval Turgeon . . • . •5— Dominique Jacques.................6— Guy Audet..................................7— Léo Brown.................................8— Claude Faguy...............................9— Paul Verge .....

10— E. Bignell . .................................11— Robert Hamel..................... . ..12— Clément Renaud . • . (13— Claude Fleury...........................14— George Brady...........................15— Guy Renaud ■ . , . .

Jean Dolbec.................................17— Bob Dale ..................................18— Gaston Angers.............................19— H. Picard .....20— Ben Chartier...........................21— Maurice Lebon...........................22— John Walsh .....23— A. Sturton . . ....24— Cyrille Légaré...........................35—Robert Lebon.............................26— Paul Reny ....27— 0. Dumontier dnd.) . . .28— G. Verreault . ...29— Guy Pelletier.............................30— Charles Plamondon . . ,31— Pierre Gaboury.........................32— René Boily............................. §33— J. Y. Gosselin .....34— J. P. Bélanger.............................35— André Fiché................................36— D. Cherry

Organisateur : Michel Dehouck Juges : Jos. Girard. Albert Laliberté,

! Maurice Poullot. Laurent Robert. St-Chcr- les Côté. Augustin Gignac et Gustave Ga­rant.

Juges du parcours >nrad Delisle. Pierre

lardins et Roger Bédard.

13.5815.2716.09 16.15 16.20 16.23 16.3116.3417.00 17.07 17.1117.2217.23 17.2 J 17.3317.3317.3517.4617.47 17.53 18.0518.0018.09 18.1813.35 18.43 18.45 19.1419.1019.2919.30 19.4220.33 20.55 21 56 22.20 «

I Juges du parcours : Jacques Leclerc, 1 Conrad Delisle. Pierre Levesque, Guy Des-

Première période1— Americans, Smith

(Jerwa-Emmsi .....Aucune punition

Deuxième périodePas de pointPunitions Wiseman, Young.

Troisième période2— Détroit. Aurie

•Young-Barry) . . , ,Aucune punition.

Supplémentaire Pas de point.Punition : Anderson.

17.27

LE DOG-DERBY DE L’HOTEL ST-MALG

jfciÜ

LA CIE PAQUET DECROCHELE TROPHEE SLATER SHOE

Roland St-Hilaire s’est classé en tête des onze “mushers” qui ont participé au dog-derby annuel de Beauport, hier après-midi, accordant ainsi une seconde vic­toire consécutive à la compagnie Paquet, Limitée, et la superbe coupe Slater Shoe — Narcisse Dom- pierre, au deuxième rang — M. E. Fortin présen- te le trophée et le» prix.

M. G.-E. LETOURNEAU SIXIEMELa compagnie Paquet, Limitée, a

remporté les honneurs du dog- dedby annuel de Beauport et le championnat du comté de Québec pour la deuxième fois consécutive, hier après-midi, grâce à son habile "muiflier", Roland St-Hilaire, s'ap­propriant ainsi la coupe embléma­tique offerte par la compagnie Sla­ter Shoe.

Cet attelage parcourut la distance de 12 milles en 35 minutes et 32 se condes, soit 7.32 minutes de moins que l’hiver dernier.

M. G.-E. Létourneau, qui condui­sait l’autre attelage de la compa­gnie Paquet, Limitée, se classa sixiè­me en 43.11 minutes, Narcisse Dompierre, porte-couleurs du nou­veau Garage Frontenac, est arrivé bon deuxième, en 41,16 minutes.

Voici le classement des équipes :1— Roland St-Hilalre,

(La Cie Paquet Ltée) 35.322— Narcisse Dompierre,

(Nouveau Garage Fron­tenac) . 41.16

3— O. Savard,(O. Galarneau) 41.53

4— A. Grenier,(J. Roméo Croteau) . 42.21

5— Edmond St-Hilairc(A. Paquet) 42.53

6— G. E. Létourneau,(La Cie Paquet Ltée) . 43.11

7— E- Laperiière .................. 43.168— Georges Chevrette .... 44079— C. E. Paré,

(J.-A. Gagné.....................45.43lu—M. Garneau,

(J.-F. Plante).................. s .2011—J.-B. D’Anjou...................... 52.50

Au termp de la course, le trophée emblématique et les prix furent pré­sentés par M. E. Fortin, de Mont­réal. représentant de la compagnie Slater Shoe. M. Fortin a annoncé l’heureuse nouvelle qu'un nouveau trophée Slater sera l'enjeu l’an prochain.

Des centaines de spectateurs ont suivi les péripéties de ce dog-derby. Les organisateurs. MM. Lucien Brousseau et Gaudias Parent, doi­vent être félicités pour leur brillant succès.

JUTRAS VS LAVERGNE’’Poney’’ Jutras, boxeur poids-plu­

me local, nous a fait parvenir sa ré­ponse au défi que lui a lancé il y a quelques jours Paul Lavergne, de Grand'Mère. Ce dernier est considé­ré comme une excellente attraction dans les cantons de l’Est.

MPJtELi

F/

troisième période

1 Pas de point.i Punition.) : Alexandre, Cunginu», R»y. | monel. White. Carroll.

**•***•• i AUé* U9L m 4bdc Daigntault.

ük t\ zom:Une assemblée de la Zone Ce 8kl

de la Vallée du 8t-Laurem sera te- ! nue ce soir, a 8 h. 30. au Château Frontenac.

Ucs Intéressé» sont prié.1, dène ( présenis. 1

La photo reproduite Ici fut prise au terme du récent dog-derby disputé sous les auspices de l’hotel St- Malo. On remarquera, au premier plan, M. Edgar St-Hilalre, vainqueur de l’épreuve, et dans le groupe 31. Romeo I,épine qui pr ' .dii I- trophée einhlèmatiqur Quebec Power, ainsi que MM. Frank Gosselin, propriétaire de l’hotel St-Malo: René Lambert. Jos. Tureotte, Gérard Larhance et Lucien Tessier, de l’U­nion Nationale sportive de Quebec, organisateurs du dog-derby, (Photo Turcotte & Gousse, Enrg.)

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Page 11: O^T XT¥¥ - BAnQ

LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 JANVIER 1938

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Les Lions de Québec ont pris la mesure du club Shawlnigan $-1

Pilotes par Léo Bourgault, les équipiers québécois ont remporté une nouvelle victoire dans le Groupe Pro vincial de l’Est en l’emportant par 5-1, hier après- midi, a l'Aréna — Bisson, Nolan, Parent, Graham et Comeau ont score pour les Lions — Chamaillard a évité un blanchissage aux “Cataractes”, en pério­de initiale — Les arbitres Leclair et DeRouin ont distribué une demi-douzaine de punitions.

UNE JOUTE FORT CAPTIVANTE

LA CONVENTION INTERNATIONALE DES RAQUETTEURS

A MONTREAL

LES ETOILES'Par la P. C i

Phil Watson. Ringers, a effectue les passes qui permirent à son club de .J'oie;' les deux premiers points quand Chicago perdit à 4-1

Carry Aurie. Détroit, a enregistré le point peur porter le score à 1-1 avec American dans les dernières

RANGERS COMPTENT 4-1 A CHICAGO

Chicago, 7. «P. C.i Secouai.;la guigne qui s'acharnaient contre eux dans leurs parties contn- le Chi­cago, les Rangers ont défait le.- Black Hawks par 4-1, hier soir, pou. leur première victoire de la saison sur les détenteurs de la troisième place dans la section américain" dt la N. H L

PARTIE NULLEL'Etoile du Sacré-Cœur est aile

rencontrer le Notre-Dame de l'An- cienne-Lorette. hier après-midi, et le,- deux clubs annulèrent a 2-2 de­vant une foule assez considérable.

SIX TO ESCOBAR VS HARRY JEFFRA

Lime des plus captivantes joutes du Groupe Provincial de l'Est a été disputée hier après-midi, à l’Aréna. quand les Lions de Québec triom­phèrent des “Cataractes” de Sha- winigan Falls au pointage d,e 5 à 1, en présence de 1.500 amateurs.

Cette magnifique victoire des équi­piers de Léo Bourgault leur a per­mis de conserver la deuxième posi­tion du circuit Trudel, "sur les talons” des Renards Noirs des Trois- Rivières.

Les Lions eurent a faire face à une équipe vaillante, agressive et déterminée qui mit en danger à plu­sieurs reprises la forteresse de Du quel . Eclipsés à l'attaque dans les deux premières périodes, les visl-

'tcurs "ouvrirent tout grand" dans la période finale; seule une malchance inouïe autour des filets les empê­cha de compter au moins une cou­ple de points dans cette session.

Le Shawlnigan compta le premier point de la partie après 13 minutes dans la 1ère période Roland Mer­cier solide joueur de de'ense qui se révéla excessivement dangereux par ses longues courses, ouvrit la défen­se des Lions et fit déplace; Duquet avec tu; haut lancer. Le retour alla à Gabriel Chamaillard qui n'eut qu'a pousser la rondelle dans un fi­let vide.

Une minute a peine avant la fin de !a période, Yvon Labrosse, joueur d'attaque des visiteurs, décrocha une j Irf,vas5Pur, i,abro68l punition mineure pour avoir accro- subs Quebec ché Bisson. C'était l'ouveriure qu'at­tendaient les locaux. Bisson égalisa d'abord le compte en lançant der­rière Camille Hébert, le cerbère du Shawlnigan, au cours d'une mêlée puis Phil Nolan, défense des Lions, donna l'avantage au Quebec 15 se­condes plus tard, aidé de Conrad Parent et “Sparky" Graham

La seconde période était vieille de 6 minutes à peine quand parent, sur une passe parfaite de Jos Plourde, déjoua Hébert pour un troisième point. Ce fut le seul point de cette période.

Dans un effort pour égaliser le .score, les visiteurs laissèrent toute

prudence de côté au début de ia 3e période et lancèrent 5 hommes à l’attaque. Surtout pendant l'absence de Savard et Nolan, qui récoltèrent des punitions pour les •rion.-,. la ca­ge du Québec fut en danger mais le Shawlnigan montra trop d'anxié­té et ne put capitalise; son avan­tage.

Plus rapides que leurs rivaux, les Lions profitèrent des ouvertures laissées sur la défense ennemie et Graham, sur une pass- de Parent, puis Comeau. aidé d’Adjutor Blan- chet et J. P Poulin, donnèrent deux autres points aux locaux

Les Lions firent plusieurs autres assauts dangereux, mais Hébert, qui joua une brillante partie dans 1rs filets des visiteurs et qui attn-a !es applaudissements de la foule ne laissa rien passer d'autre

XXXGabriel Chamaillard, joueur d'a­

vant du Shawlnigan, lut rudement culbuté durant la seconde période, et on dut le sortir de la glace II se blessa au-dessus de l'oeil, mais il put reprendre son poste dans ia période finale.

ALIGN EM EN I S

Le, récentes chutes rie nerge dont mmutes de ]a t,e nous avons ete gratifies en fin dan- ^nee, favorisent la raquette et tou­tes les conversations roulent sur ce sport et sur le prochain Congres in­ternational, qui aura lieu à Mont­réal à la fin du mois de janvier.

Le comité d'organisation peut déjà compter sur une assistance son c]ub d(;m Toronto par 6-3] sans précédent. D'après les compa

Hooley Smith. Americans, a comp­té un but contre Détroit, et les Amerks se sont classés à un point près des Maple Leafs

Baldy Northcott Maroons, scora un but et fournit deux assista quand

SOMMA1RI

Premiere période1- Range xi, Shlbicky Watson 3—Rangers. Keeling

Watson Cooper- . ,3- Chicago. Romnes

March-Thompson . . Punition Watson

Deuxieme période4 Rangers. Dillon * Pratt

Troisième période5 Rangers Hrxtall

! Keeling KlrkiPunitions Coopc, Pratt

conduite*. Brydson

1 41) 'mauvaise

j New-York, 7. - (P.A 1 Harry Jef- fra. de Baltimore, défendra son

'championnat poids-?oq du monde 10 contre T::to Escobar, ancien cham- u jj pion, dans une bataille de 15 rjn-

1 des. à San Juan. Porto Rico, le 39 il.*3 ou le 20 février

j Cette nouvelle a etc annoncée 9 4„| après une conversation entre le gou- ’ j verneur Blanton Winship de Portq-

Rico et W. S Farnsworth, vire-pré­sident du 20th Century Sporting Club.

FREDDIE STELE VS APOSTOLI CE SOIR

v-York 7. 'PA ■ Freddie Steele, champion poids-moyen ei Fred Aporioli, de San Francisco, son p daneereux concurrent se ren­contreront ce soir au Madton Square Garden, dan. une bataille de 12 rondes. Le titre de Steele ne sera pas au Jeu II pourrait, fort bien se faire que ces deux hommes se rencontrent de nouveau r .chain, cette fois avec le Uti Steele au jeu

__ 11

LACHANCE VS COTELe tournoi de pool pour le cham­

pionnat de Québec et District se continuera lundi soir, à ia salle Le­roux, rue S;-Paul, quand Arthur Lachance, ancien champion du Ca­nada. .se mesurera a Philippe Cô'é de 6t-Louis de Courville dans la première partir dune 'erie de 3

Lachance est allé donner des ex- l'été hibitions dans Beauce à la fin de

de décembre, et cela la grandement aidé a se mettre en parfaite condi-

; tion . On croit qu'il causera <Je« Le champion entrera dans 1 aiene surprises La partie commencera a

favori à 8-5. g heures 30Si Ap^stoH remportait la ..e.

Steele sfrt.it en quelque sorte obMgé ---------------- ---------------------------de signer un contrat pour une ba­taille pour le titre. , iechnique quand larbitre arrêta le

C sera la de Teuconue en- i combat a la 10c parc? qu’Apostolitre les deux box * a pre qu? -s'était fait faire une mauvaise con­trols an.s Steele gagna par K. O pure sur un œil.

SHAWINIGAN ; Hébert

Mercier ; st-Plerre I Richard

Dugré| Chamaillard

Bu*:,DéférerDéfen.spCe tu rf*AileAile

QUt.BKCDuquPlourde

Sllb> SHAWINIGAN F LevB

Du b*. Comeau chet. Blsson, Poulin, NoIhu

Arbitres : Leeiair DeRouin

SOMMA1RF Premiere période

Shawlnigan, Chamaillard 1 Mercier 1Quebec. Bi&son . .Québec. Nolan<Parent - Graham) , .

Punition ' Labrosse

Deuxieme périodeQuebec. Parent i Plourde) . . . .

Punitions Comeau. H Levasseur

Troisième période Quebec, Graham «Parent) ...Québec. Comeau

Blanchet - Poulin) Punitions Savard. Nolan.

Les curlers écossais à Québec

Les curlers québécois auront de la “grande visite, demain après-midi, lorsque des vedettes ecossaires seront leurs hôtes, au cours d une sérié de matchs qui seront disputes aux clubs Jacques-Cartier. Quebec et Victoria.

Les détails de la réception organisée en l'honneur des membres du Royal Caledonian Curling Club, sont les suivants :

Les “curlers’’ écossais seront reçus a la gare par leurs contreres de Quebec, et escortés jusqu au Château Frontenac, ou ils établiront leurs quartiers generaux. A 3 heures 30. Son Excellence le lieutenant-gouverneur recevra les "brithers curlers" à Spencer-Wood, puis Ecossais et Québécois se rendront au Quebec, au |acques-Cartier et au Victoria, ou seront jouées cinq parties. Il y en aura deux au Quebec, deux au (acques Cartier et une au Victoria.

Le soir y il aura diner au Château Frontenac.

“CROSS-COUNTRY” ligue de hockey DE L’ETCHEMIN cote de beaupre

LE 9 JANVIER

gaies de chemin de fer et les nom­breuses demandes déjà reçues, le;

j comité se prépare à recevoir en ou- j tre de 5,000 raquetteurs, au delà rie

i 25.000 touristes, qui sont attirés par | rie programme très élaboré de ce I Congrès.

ïæ Congrès commencera le 26 jan­vier par un grand bal. alors que sera proclamée la "Reine des Raquet-

rieurs". Ce joyeux événement est attendu avec impatience pur tous les raquetteurs et les amis de la ra­quette ; ce sera l'événement social par excellence rie la saison.

la* 29 janvier marathon de 10 | milles, dont le gagnant sera procia - i mé champion de courses sur longue ; distance. Ce gagnant sera envoyé, avec un représentant, toutes dépen­ds payées à St-Paul. Minn., où il

i prendra part à uli marathon qui i sera disputé dans cette ville, le 5 fé-

Ivrier 1938.U y aura remise des clés de la

ville par les autorités civiques et Savard I durant les 29 et 30, les raquetteurs;

Graham SPront les hôtes de la métropole Tarent ; ..

Clout ter canadienne.-at-ur. h Aucun délai! n'est négligé, afin de

rendre le séjour rie nos congressis­tes ie plus agréable possible Divers

i événements tant sportifs que so- j jciaux se succéderont sans répit du- ’ rant les quarante-huit heures que durera le congrès des raquetteurs.

Un programme sera publié dans ce journal très prochainement, afin que tous les raquetteurs soient au courant des activités du Congrès. Déjà lés championnats internatio­naux canadiens sur petites distan- ; ce.-, qui seront courus samedi après- midi, intéressent vivement nos athlètes. Plusieurs sont à l'entrai­nement et nous réitérons l'invita­tion à tous les clubs d'inscrire de nombreux athlètes car les trophées et les récompenses sont de valeur

Nos hôtels ont déjà reçu de nombreuses réservations et les club», qui n’y ont pas encore vu feraient bien de faire les leurs. Le comité demande aux clubs de référer leurs réservations d'hôtel au comité d'hô­tellerie du Congrès, dont le prési­dent est M J.-L. Racine, afin d ob­tenir meilleure satisfaction et de ne pas être desappointé à la der­nière minute.

Blan-

13.0019.40

19.55

fl.33

8 10

10.55 ;

A ST-ROMUAI.DDimanche après-midi, à St-Ro-

muald, sera disputé le ''cross-coun­try" pour le championnat de la Vallée de la Chaudière, sous les aus­pices du club rie ski Etchemin.

Conrad Delisle. le vaillant skieur du Ski Club de la Voirie, défendra son ri ire et, le trophée Georges Mai - roux, entrepreneur de pompes fu­nèbres, contre un champ composé dès meilleurs skieurs de Québec et du district. Marcel Lavoie, Q S. C.. Jacques Leclerc, Voirie, les frères Berryman, Jim et Eddy, d,ii Q S. C, Dermott Conway, du Snowbirds ain­si que Henri Dut.il et Roland Sam- son, de l'Echemin. seront parmi les concurrents.

Le depart sera donné à 1 heure (0 et le parcours sera de 6 milles

la* tirage sera fait demain soir à 9 heures, au chalet de l’Etchemin,

ue Richard, à St-Romuald.Tous les skieurs qui veulent par-

Trois joutes des plus captivantes i ont été disputées dans la ligue de | hockey. Côte de Beaupré, hier après- ! midi. En voici les résultats .

Giffard 3, Courville 4 St-Pascal 1, Boischatel h. Beauport 3, Céphanol 1 L'assemblée de la ligue que i on

: avait annoncée pour ce soir, a ete ! remise à mardi soir prochain, en la salle paroissiale de Beauport

MOULIN VS RENARDS AUX PRISES CE SOIR

Ce soir a LoretteviUe, aura lieu la partie de hockey qui mettra aux prises, pour la première fois celte saison. Le Moulin avec Les Renards La première partie cédulée entre ces deux clubs fut retardée indéfiniment à cause de la mauvaise température

.s'adresser à M Ghislain Gravel, pre-iieiper à cette épreuve sont priés de sident du club, tél: 21

DES PATINEURS AU FESTIVALDU COMMERCE LE 17 JANVIER

Voici 1 alignement des “Chevaliers i deux milles, pour messieurs, et unde la Valise qui sont au programme du Festival du Commerce, lundi le 17 janvier; Alph. Chassé. G A Mar­tel, w.-E Thompson, Lucien Moren- cy, Alex Lefebvre, Alb. Latour. R Roche Lévesque, Philippe Fleury, Camille Roy. Gérard Auriet, J.-B Germain, Jules-R. Clavet, R. Léves­que, Josaphat Drouin. Wilfrid Per- teault. Lucien Dugal s port msn bien connu, sera le “coach" des “Cheva­liers de la Valise"

En plus des attractions déjà an­noncées, 11 y a quelques' jours, Il y aura aussi une course en patins.

i demi-mille, pour dames. Les coureurs désirant s'inscrire, devront télépho­ner leurs noms et adresse immédia­tement à Lorenzo Morel. 4-3897 ou à L LeBel après 8 heures le soir à 2-7410

Ceux qui nom pas encore achetéleurs programmes afin d'obtenir ...corerent un point chacune dans la

BAPTISTE ET MARIEJMLAIUL H venons au Feativa\ fles cour­

bes a travers barils.BAPTISTE--L'boD temps de rendre mes

tonnes, sa mèreM A E1L Envoyé fort son pere, tu pour­

rai.- tel ben t'faire couper iei, cheveux avec I argent.

BAPTISTE Insuite-moé. si tu tirais pas tant J'lejj aurais pas si longs.

M.VrGl- Passons j'ssil ,*H' Baptlnte, si va y avoir de gars de 1 Abitibi pour scierdu bois.

BAPTISTE J’pense pus sa mere, y ai men*, pax b^n bel. les noeuds ces gars-là.

MARI! T'appelles tu Baptiste, l'année passée, lu course a travers barils, t as res­te It tête prise dans le noeud

BAPTISTE Cl asser les put,s trucs, j les connais, tu m as fait courir pour es- .sayer de m'prendre a tête dans le trou du baril.

MARIE Fache-toe pas. tiens v la les billets aller et retour pour aller en ville.

BAPTISTE-Continue a Rre le Festival.MARIE Y a aussi des courses en skis,

mai. . tu n courras pv>. 1 an passe ça t a coûte, deux fonds d'cullotres, pis. tes skis, y eXLVent plus, J ni chauffe le poêle avec.

BAPTISTE Ca, c'est un peu fort, que J mette la main sur ton chignon, tu vas voir,

MARIE Mon chignon ah ahmn beau iiognon. t^i 1 trouveras

pa.-*, Je 1 porte plus, c’est .dus de mode.BAPTISTE- Te via a la mode toé. des

p tits rouleaux en dessous les oreilles, des put rouleaux par-dessus 'es oreilles, la : bouche en coeur rose, des poils de yeux ; à extension, si tu riais frapper par une machine, ça v prendre un bon menui­sier. pour t remonter.

MARIE Regarde toc donc avant. une ; moustache avec la moitié des poil» de partis, des cheveux entre xes deux yeux, j du poil dans les oreilles, uas de sourcils.

' lavais paa marié, j te prendrais pas pour un homme.

BAPTISTE; Pipe de plâtre vas-tuarrêter Vas t habiller qu’on s’en aille en ville

LA TUQUE FAIT PARTIE NULLE

VS GRAND’MERESCORE; 4-4

Shawinigan, 7. — (FL ■ Déploy­ant une meilleure qualité de hockey que lors de ses parties précédentes, le Grand’Mere est venu près dèn- registrer, hier après-midi, sa pre­mière victoire de la saison dans le Groupe Provincial de .’Est quand il a tenu la rapide équipe de La Tu­que à une partie nulle ici à 4-4

En arrière par 1-0 au début de la 2e période, le Grand Mere se rallia pour prendre l'avance grâce aux buts comptés par Dallaire et Le- cou.. Les Loups de La Tuque égali­sèrent au début de In je session et prirent de nouveau l'avantage sur 2 points de Gauvin

D nouveau, le Grand Mère elfec- tua un ralliement et N Boisvert compta pour nécessiter une période upplémentr ire Los deux équipes

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i quelques sieges réservés que vous pouvez obtenir par l'entremtae d'un voyageur de commerce ou d'un mar-

, chand en gros, en tabac ou confise rie

Surveillez le “Soleil" du 10 au 17 ; afin d’être au courant des développe­ments qui surviendront dans l'orga luxation du Festival du Commerce qui sera plus intéressant que Jamai Nous tenons à vous rappeler que per­sonne ne sera admis à l'Aréna sans sa carte d'entrée En plus davoir une carte rièntrée pour l'aréna lors­que vous achetez un programme, vous participerez au tirage d< cin­

quante prix de presence, -iComm i

période supplémentaire. Champagne compta pour Grand'Mère après 4.50, et il ne restait que 25 secondes à jouer quand Etienne Gauthier, du l.a Tuque, déjoua Bishop avec un dur lancer.

SOMMAIKS l'rrniirfe période

1 L.- J iiqur, Lévfnque•R F. GagHéi . 17.44

Punition P LordDrimrme période

‘J Grand Mere, Dnllulr»'« Rourdngffti

3—Grand Mêrr. Lccour*<8!-Cyr • Champagne)

Punition» Bouchard 2, Chanipacne. Cô­té. B a u ve gét u RochCttA. Dfnhrr:

Tr«i«ième period*4 Lh I uque, Oituvln . .5 I Tuque, Oauvln6 omnd'Mére, Boinvtrt

<fci-('yr DetAulntorMPunition* W OHuthier, Géant*

Supplémentaire " Grand Mere, Champagne

Lécourtl ......8 La luque, K Gauthier

Punitions Rot bette. Grer.jeiArbitre* Walsh et Berthiaume

11.40 j

14 02

4.SO U 45

15.08

4.309 35

'V - •' r>

Après années fructueuses

L.-A. ROY ENRG.176 ST-JEAN

ABANDONNE LESAFFAIRESLa vente de ce stock

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commencele: stock entier sacrifie avecDES REDUCTIONS FANTASTIQUES SUR CHAQUE DOLLAR.

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La raison de cette vente s explique par le Fait que j'ai loue mes etablissements a Lechasseur Limitée de Montreal qui en prendront possession des le 1er février. Avant cette date il me faut ecouler mon stock au complet — vous pouvez donc en conclure que ce n est pas une affaire a longue échéance. |’ai donné des instructions pour que toutes les marchandises soient étiquetées a un prix minimum ce qui permettra un écoulement plus rapide."

“Permettez-moi de profiter de cette occasion pour remercier personnellement les nom­breux clients et amis de L.-A, Roy Enr., de leur fidele encouragement qui a rendu pos sible le succès des trente-huit dernières années. Je suis certaine que les prix en vigueur durant cette vente d'abandon des affaires seront une raison de plus de vous souvenir de L.-A. Roy Enr., pour plusieurs années a venir."

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176 St-Jean- -, ■”ir ''iüM

Page 12: O^T XT¥¥ - BAnQ

12_____

Hommage du cardinal aux Rvdes Srs Franciscaines

<8uiU* ïa dernière paire) de l’exposition put' la fo -e s’' transporta en la chapelle du my nastère pour le Balui soîenr'’. » Très Baint-Bacremer,- qui c!*1 ra U manifestation.

v! \ oiwin

Daas son allocution prej-identielie M A Denault a voeu* •■•i :" ■» o depuis slngt-rinq ans quelle pour­suit sa mission, l'Association d" 1 A doration Perpétuelle et l'Ouvrolr des églises pauvres au diocèse de Qué­bec a connu maintes journées de Joie suave c* de pieux réconfort^ dont, elle rend constamment nu Ciel d'ardentes action de grâces

"Elle n'en aura guère savouré ' dtt-l!, "de mieux réconfortant, de plu» encourageant pour s’imuler - »èle et magnifier son essor que le Jour que nous vivons en cette émou­vante fête de l’Epiphanie r es’ que cet Instant tron court d’alléarep-'-e et de salr.o réjouis..it;r)u"; :■porte Eminence avec le retour cou­tumier et si paterncrcîT - m; or ••>* - rendant de voire cnr' >nr « modeste célébration annne * In* tense et vive satlsfactlo! de ".voir j acclamer en votre m-r * r,* - ‘ né-rée, rinstnimept d'élite émlnetn ment éffi-'ace actif . • -h * , oioc- dont le choeur eucl ari‘ttmtf’ de te aua-Rol a daigné faire choix fin* ri ordonner préparer, faire rayonner sur toute notre bien aimée patrie qui vous en serti rcconrmts- xante A Jarre; 1 anot-héese rédemrt- trlce (lu nrernler com'P e>io! tique national n'i ;■ )’ "anariien

“Rove? en bénie F’mir.cu"é 1 r est 1* cri de filiale gratitude qui monte Irrésistiblement ver- vous en n éme temps, que nous •- îr i oncédée la faveur Insigne d'être admt A • n dre no* humble- suffrage* A • qui jaillissent de votre grande Ame de Pontife comme He 1s masse émue et vibrante de vo- fldèV h- é tiln lafqties aussi bien qu’c-1, ■ -que nour bénir Dieu de la magniftoue tn*n( ration oil’ll Insuffla naguère à votre c rien r apostolique, non molnt oue de la MiblUnr afflrmaMon de foi chréMenne nul se prénare - * non­et, qui ne saurait manque’ cl obtenir de par la mu- if'cencc dlvlr e le plus éclatant sucre

M Denault souligne Ici que depuis des mois dét;\ nntentlnn nr-u-bnle de l’Association dans n ’ •-i’hebdomadaire est dlrlcêe < et i f-fet fi sc niait ensuite à îinnré cter ie *éîe des dame roopé: «trier, de l’Ouvrolr de- ég''.scs pauvre- ( ou’elles nous font voir auiourd'ind dit-!! "suffit à rassurer tout A fait lew moins optln •’■ sur le;, men > : 1ns d’art et de beauté dont leur * i lent et leur ténacité exen ' dre pa- viendront A enrichir encore ('avan­tage d'ici juin prochain le ’cmar- quable év. lierre' ' reh peu' n’ ' • ’ Ïm unf*5 r.ommf 1 n!!îT‘“’' ■ 1 '■

a^llde ^GRATTERSoulagement rn une minuteHa DÉMANGEAISON!a 4émân««ti*>n mênu* * rlu» cï s’"*fmt \r* postDiVra. rs tén.*, b*'* '

U*iv. CM. ras «le™,,. MO >' HirUI-Nllqui'V. I«^niki v«e * U U Pétt t>r rVnm* htnite* hi tut é ; a- n te# 0*1rum I'imtaiJ <0 <\t ’» l1*** • ‘

et et- n t^rh*!!-'’ -«*■■■ Ur rue 1 Aiti pt- U d*r *U phw lnt*«*r V e t-yvO'E, ■ -1 - ,l .»tr* i^n * rr* -, s '1 k., * « • t*i ft tKi r» i » n

I rorus contribuer à asuurer un éclat ! grandiose

Kl< MK BILAN

L année a été reniarquablement fructueux* â l’Association de i'Ado-

| ration Perpétuelle. "Au cours de j l’année finissante", dit M. Denault,

“elle a recruté UK meinbre* nou- ! veaux, on trois réceptions différen­

te». Ses effectifs se composent ac­tuellement, de 2.B00 adorateur; 1ns- f cru.1-, .soit 1,600 à la .seclion de', da­mas et 1,200 à celle des hommes

“Au cours de l'année finissante elle a recruté 118 membres non-; veaux, en trois réceptions différen­tes 8e-> elfe< tils »<» composent, ac-

ituellwnent, de 2.800 adorateurs ina- :ent* sr-it 1,600 à la aect-jon des da- I mes et 1.200 a celle des hommes

"Dans le même lap,-, de temps elle a re>vé un total de 41,512 heures

; d'Acloration, dont 1,200 p'1' un seul ! groupe de 25 jeunes fille.1;, aux ven­dredis de chaque semaine.

“Le;, élèves des couvents et écoles ; ont fourni 2.440 stations d'Adora- ; tien, durant ie Truiuum Eucharis­

tique, et les enfants du Patronage lent augmenté de 14.800 visites au . Très Saint Sacrernent notre in .-or : eucharistique.

“L’Ouvrolr de.- EgUsee pauvres, par ailleurs, compte 60 ouvrières inscri­te.',, dont 35 fréquentent l'Ouvrolr avec une rigour, use assiduité Cet Ouvr n modèle n tenu 20 séances de travail, dam : année, ce qui le met en mesure d'offrir a l’ad mirai loi; dm connaisseurs et autres inte- rc.-es - dans la présente expa-itiou annuelle des vé’ ements liturgique1 qu y furent confectionné, en o-1

'ate.i'-r, un militer de piéc'.- vartet•

■ heu de vous. Je vous bénis et je j voudrais que dam- cette bénédiction ! U y ait .surabondance dé voeux *ur- 1 naturels. Et. dan» la joie de ces sentimen’s surnaturels. Je vais bénir v«- ornement» "

En terminant. Mgr l'Archevêque\ eut aussi des paroles élogleu- es pour | > dévouement discret des religieuses qui animent le zèle admirale de:

, dames roopé-ratnees de l'Ouvreur deséglises pauvres

î.e R pere Quélo. eudiste curé de St-Cwur de Marie, présida ensul-

! te la bénédiction du T S. Sacrement en présence de S Ern. le Cardinal. H était assisté de M. l'abbé Janvier , [.«chance, de I'An-bcvcrhc et de M l'abbé St-Qecrgc.’ Berg ron. aumô­nier de l'Association de 1 Adoration Pcrpctutlîe. On remarquait aussi' M 1 abbé Hémillard, chapelain des Soeur:; Franciscaines Missionnaires

■ de Marie DR père David Eudiste, tjo b* -Coeur de Marie; M l'abbé

: Bruno Desrochers, secrétaire de 1 An i.evéc.hc. M 1 abbé Georges Marchand, du collège de Lévis; et

- (j-s religieux FranciscainsL'exposition est maintenant ou­

verte au public qui pourra admirer Ile; pièces multiples ci. variées d’or­

nement» gothiques et autres qui il- ! lustr ent un travail artistique si re­marquable. Le» heures des visites soi ; ‘ le matin, de neuf heures c trente a onze heurr.s et trente, et . âpre1 midi, de une heure trenb à cinq heures

LE SOLEIL, QUEBEC. VENDREDI 7 JANVIER 1938

Demande des chômeurs

toutes dlu plu.-i ii.g-ré&b!e effet."AHn que ,‘-e maintlpnne «a 5e

dévetoPIje ce double inouve ment,iietirt"ÜX autant que 1)1 ;iüqui depiété >«t d'action euchart. tique, nousvotiloius implor■(•r. Ehumence, deV’otn c harlté s i blenvi ilaink■, unedo C(" bénédtct ions féc( nides dontDieu V OU.S R 1constitué k noî reégord ■ e fidèle et généreux d Lsjx’n-siit.cur

s LM I i ( MiIHN M

et te année

j Mgr l'Archevêque di rabord com­bien il apprécie eette manifestaU' i annuelle qu’lllu' tre tant de ferveur eucharistique "J’en suis d'autant plus heureux", dit-il, "que non.' en irons dans une innée 1 ingullèrcment (•iichiuiftique qui doit mettre Dieu au-dessus de tous nos rumba;

"Le Chilet a voulu, même aprè- :«on ascension, rester parmi nous scu.s 1» r;-; s*'; de l’EuciiartstleCe i, te mystère de i amour, c'est l'es i-nücl de la vie ehréi n-iun’ C c-t ce mystère que nous vouions mettre en lumière au cours de Jubilaire.

“Notre-Seigneur est chair 11 est dans i.a n viblc omis il est aussi d Vous lui offrez rhonitn

; par vos adorations Vous lui direz ku;>m t corporel en quelque o

| vêtements et ornements liturgiques que vous fabriquez m v tain d'art

“Si vous songe* quel piédestal on cherche A dresser au mal. n'y a t-U

i pn» lieu de dresser le trône plus haut que nou» désirons pour Dieu Il faudra qu i! y au de la foi et rie l'amour ivour faite triompher le ré­gne du Chn< C'eut par vu- priè­res que vous préparoré* ce triomphe extérieur. Combien je vous féli­cite de l'expansion de votre oeuvre et de tout <c qu elle représente de

' valeur spirituelle

c pritinsen

pu ;t ue

nunug

St-Laurent et Sirois à

Winnipeg-Suite de la dernière page)

ministre du Québec devra prendre une décision dont la responsabilité sera plus grande que celle des Com- j

i mi-giairer enquêteurs, lorsqu'ils fe­ront leur rapport."

M Kavard pu Ce un beau langage. Il pourrait facilement tMre pr! pour un parlait-:i II a parlé "a mot.- cou- v. its" r-t a paru très discret II ne,

1 semblait pas partager les craintes «le M Hnirit-Laurent, parce qu’il est

Sun Canadien-français résidant dans une province en majorité anglaise r- ce que le vers de Virgile : "Tl-. meu Dant*o. et dons ferentes" luiaurait échapp** ?.

N< hôte qui sont des tiomme.s (Lune bien rrande envergure, nous ;mt imité comme des frères, et ce ont immédiatement mis A notre

niveau Les paroles nous manquent pour leur exprimer toute notre gra­titude. IL- sont des hommes de coeur. Des vrais patriotes !

Nous regrettons beaurotip que ce diner h it. eu lieu .e même soit que

,-!ni ( •> l’Alliance Française. Nous ne pouvions pa l'éviter Plusieurs., «-pendant. >.e sont payé le luxe de

, rendre a rhô?: : Fort carry pour voûter le chef-d'oeuvre de M ie Cous il de France,

l lai* nt p; r - - ; * .i ce diner; MM A-1 R, aubten Son Honneur le ju- j.,. i p Roy, E.-F BUinrhard, C, Toilet, J-I,. Couture F-J Tonkin, Marius R loi ' J -F Duma. Dr A H-.v, A-V Munnin. Charland Prud'­homme, S-A N.itilt .Joseph Oau- th!,.r. J -B -T Hébert. Louis Lari- viere. I -H. Aude! Arthur S Si- hom :n. travistra! H Lacer if Geor- «, , Jessop, Hon. Sauveur Marcoux. M i abbé Antoine D'K-i hambault, j,-T P-eauhien C R

D* Conseil de la Ville de Sher­brooke. a fait approuver par voie de referendum, e n décembre dernier, un programme de travaux, au mon- tant de $210.000.00 pour améliora­tions diver es, pavages, aqueduc», etc. ET chaque matin, depuis ce temps. OU du moins d epuis quelques jours, une certaine quantité de chô­meurs sont sur les lieux où les tra­vaux doivent, s’exécuter, pour de­mander de l’emploi.

Le Conseil, de Ville .se propose de faire enquête sur la situation des sans-travail, car le gouvernement provincial, a qui no échevins ont demandé de contribuer pour une "••aine -anime dans cc *21.000 00. desire obtenir des formules asser­mentée. par les chômeurs et rati­fie*. ;>ar le Conseil de Ville, avant !o faire parvenir sa réponse.

I «chevin Ro-o, président du Co­mité de la Voirie déclarait ces Jours- ci, que plu.- de 50 à 60 hommes ré­clament du travail au bureau de la voirie. Il a hâte que le gouverne- mtnt ratifie ces demandes afin que

i w travaux commandés pussent être poussé* Rue King, ouest, les tra­vaux ont été commentés et déjà une vingtaine d’hommes y travaillent L’inBonl-’ur Tremblay espère embau-

. cher m plu.-, grand nombre d’hom- ine.s itu.-v-u’o* que d’autres travaux seront permis, e a.d. qu’un autre chantier .'«era ouvert.

Le gouvernement provincial a été Invité à contribuer au coût de la main d'O" ivre soit $100,000 sur un total de $210,000 00.

KAFFEE HAG A LAGENERAL FOODS

R K McIntosh, vice-président de General Foods Limited, vient d an- : i.oncer aujourd'hui l'acquisition par j sa compagnie du fonds de commerce i Kaffee Hag appartement à la com­pagnie Kfùlogg.-

Kaffee Hag est un calé décaféi­né. et cette transaction comprend le ' matériel, effets mobiliers, et acces­soires en usage dans ce commerce en

, même temps que la marque rie com­merce, les affaires courantes et la clientèle.

General Foods exploitera le com­merce de Kaffee Hag conjointement

! avec celui qu'elle possède déjà le 'café Sanka. qui est aussi décaféiné ! L’une ou l'autre de ces deux marques i jouit de la faveur du public dans ! presque toutes les parties du Cana- I da.

General Foods continuera à expé­dier Kaffee Hag de Montréal, ou sont situes ses entrepôts de café.

AU CAMBRAI

04 i

Il reste des billets pour les representations

de Tino Rossi

PASTILLES VICKS

C’eat infaillible : a chaque spectacle ou les billets se vendent très rapidement u y a toujours quelqu'un pour lancer ia fausse rumeur qu il "n'y a plus de billets a vendre . . „

La direction du Palais Montcalm affir­me que c'est absolument faux. Il reste de très bons bille U pour les trois représen-

i tâtions Evidemment les billets a bas prix ! 150c, 75c r. $1 00- sont presque tous pris.! inais il reste de très bons billets a $1.25 e' $1.50 en matinée et aux memes prix en soirées de même que les meilleurs bii-

hets à $2 00 et $2 50 lundi et mardi soirs.Nous apprenons que le spectacle de mu-

I sic-hall qui accompagne Ttno Ross: dans : sa présente tourne» comporte les très jo­lies Albertina Rasch Girls. l'Orchestre de

^ Jazz dirigé par le musicien français An- l dré Monlei, les danseuses acrobatiques j • Aurette Sisters", un numéro de fantaisis- i tes, De may, Moore et Martin, un numérp ! sensationnel de patineurs et équilibrâtes » e: autres. Le maître de cérémonie sera le i fantaisiste Pierre Carri r et ie directeur ! de la scène M. Louis Beckman, du Cas:- ! no de Paris.

‘ Ce spectacle est donc i un des pius un- ; posants et des plus attrayants jamais of : fi?rts a Québec et vaut la peine d’être vu | même par les plus difficiles - Comm.

Charles Boyer à l’Empire aujourd’hui

médicamentées avac des ingrédients d

Vicks VapoRub

CONTRE LA TOUX3

Spencer TRACY et Luise RAI MR dans H1G CITY en programme double pour la dernière fois aujourd’hui au < ambrai.

VICTIM DERNIERJOUR

ARLEQUINAl JOt H D’H i I

Mi- c ;r k e John Payne, 300 jolies fü- :;l r j i n s "lists Off" Richard Dix.

: .m perry ’ I he Devil Is Driving"I -. t , ■ - H.« :• v dans "A

Per led D.i> •' F ; i ".lungle Menace ' , n k r ; i • 'T*f.e Ruse Ouellette

1 I » I'd une » >i troupe Vaudeville ;\ Qui ia Dinde ?". Représentation

conumiehe . vaudeville tous les jours

ÏÏTÏÏi Dernière fois

Aujourd'hui

COLBERT BOYER“TOVARICH”

Au : Raikrlrrrs in Evitel’opeye et 'Ujels court»

DEMAIN

“Un CARNET de BAL”,vpc l«-* plu, gra-nd, artisle, de PARISHurry KM R. MAiie BEI,!.. FER- NANDEI l’ierre BLANt HAR. lÆUis JOUVET RAIMI l’ierre- Uiebard WII.I.M et Françoise KOSAV.

ps*se a lh..VMh ii.VOh IO 'ih.15 aussi autres attractions

RUpplémcfi i ires

(OMMI NCAM DES DEMAIN

IA0RUV

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RIALTOAUJOI RD HUI

CAftOlt i

\ f I FR \N(La danseiLSp Internationale

Joan Warner dans ( INOERELLA

MAT IN El 10c. SOIR! F iOc.

•J CeMs yitHUt

AUM«NTCO LAM0

ACHh.Th /, le* M \RCH 1 \MSES (N\n\CEES

que • Mutiny on t he B .nt v

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Diuvaalcs irALBtDT

PRÉJ£.%N

AUC( T E13 ^ PA U U Y .

métier de chien ' Et le •noven <|t»e J'»*e de sorlir c est de déroweHr l* pre«

ia» MiadiD e*( mêle a une te d* forban» l

Il faudra taire prendre I air . Us> Ititsv dans le parc mjourd but ' Je «ut» sure qu'elle en a besoin L est le — premier beau jour que non* J tvons depuis Ion*temps 11 !faudra U porter sur son J . vous saver *

Hello t Hello ! spike ? Ici skadds ! C r»t aujourd hut le tour * Oui l nleve-Ia au jourd hui, et ne manque pas

ton coup '_______________>~~

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" ~mî . r

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\ l® «JT V >■

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ji iau^ aNOMmm

Hello Hello ! sa-Mvre C e>t moi Je viens justement d'avoir la preuve que skadds est le chef de la bande qui projette un enlevement. Je viens de l'entendre donner des ordres par téléphone de faire l’enlevement aujourd'hui 1 Alors . si quelqu'un est enlevé aujourd hui, Skadds rn sera

responsable !

h

N«* &î» _____________________ ___________________

• 'J.4 ' Dim merci. J en a.-hese avoe ef | 1 . f*1 fl<bu metier ’ J si la pieuve » * a « . .

* ■ a que skadds prémédité un enlève * * ” - « , .J r ■ ; P nient pour aujourd hui le me , w

rut enleverir* • y-vii'\u n

f , Y Sr

' r~. [ >atredie Je crois quei quelqu'un m'a donné un 1

^ * 1 roup sur le r<»eo ‘ Non -~J, .. . d'u*ie pipe ' It le

% ' toutou s'est envole '

v?

II,^r 1 v* ~ * w «-*» > s i»*_%s —

O-oh * Ma pauvre Itsy-BItsv * Je vols qu elle a ete enlevée ... et vous en rte* U cause, vous ! horrible

chenapan !

aJ y T*t e*

BRICK BRADFORDm “* " ■ ■ -y-"1*11 ,1*1 'T," -Noua voila tau» dens I

.. A la dérive su. un atome - par WILLIAM R1TT et CLARENCE GRAYperdus malntensnl 1

ftriek !Jt ne pouvais pas vous »«r *eule tel î

le ne vols »u< une chaîn e pour non de «ortir d Ici psr le chemin «u

noua sommes «mua

t

pente Nous au hanee de

. À ...Aujourd'hui et votre rtrntlorr rhanre dr voir ( HARM s BOVEK M ÇtAÇDCTT«

1 COLBERT dans "TOVAR1CH" a l alfirhe 6r l'Empire pour aujourd hul «eulo

ment.

CANADIENDernier Jour aujourd'hui

HARRY KAUR dans •l N GRAND \MO! K DE

BEETHtn EN”Xn programma douhlr avor Renée S' Cyr. René L»(èvr«

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CLASSICAl JOURD'HUI

“La Valse Eternelle”avec

Pierre brasseurloan SERVAIS. Renée ST-UYR

Aussi' ALONG CAME LOVE’’

avecIrene Ilervey (’ C harles Mairetl

et Sujet Court

C t ROI E LOMB ARD dans la splendidecomédie musicale “SWING HIGH. SWING LOW", aujourd’hui, au cinémaKialto.

AU CARTIER

1 \

En programme double a\ec

BACH cims1 I (ANT INT ER Kl

1 1 < ... nv 1 < 1 v

CAMBRAI Mat, .21 TaxP

Soir .26 04

DF. R MER JOIRLuise Rainer. Spencer Tracy

dans

Edna May Oliver. Maureen OSulh-

v an dans

MMJOHN BOI.KS rt IUUHARA M AMVVl K

dan, “STF LJ A DAU-AS“, a I affirhr du Tartirr. .ujourd’hui.

FRANÇAIS vuï^h\frNoua force à tarder aujourd hul a

l’affiehe la série complète“WOl.T DOG * avec

IiIN-1 IN- I IN ★Commençant demain sli.M.I. WE

D\N< 1 awe Fred AvUire et JOt El M D ORt.ri:

plus fort que Ta Porteuse de Pain”

Mv DearCITY Mixx Aldrich

- - Et sujet» courts —-

j-:”DEMAIN PAUL ROBESON

dans

JERICHOasFSsl

“Behind the Mike”avec

l/es artistes; de la radio

Dernière fois aujourd'hui

L n film qui voua remuera profondément

AU CAPITOL

m * 1

ELLE AIMII A GAIETE

Mala on It» dit volage et indigne d'ê­tre maman!

üarbmt STA\ JOHN BOLES

ANNE SHIRLEYMm*

aussi y“SING ||and bd jHAPPY |

ICAROU l,OMB Vit!) rt riiFI» M»cMI H- H \> couple favori de I e> • »n vont ac­tuellement a l’aff rhe du Capitol dan* TRIE «OMISSION", en même temp*

qu'un ,>uu«• c’.mti Mm

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Page 13: O^T XT¥¥ - BAnQ

LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 JANVIER 1938 13

Une fête aux directeurs du club Kiwanis

(Suite de la dernière page)/ destinées du club. En terminant, il présenta à tous ses confrères ses meilleurs souhaits.

Le nouveau bureau de direction se composera comme suit : présidant ; «T.-R. MacLeod: 1er vice-président, Raoul Fortier; 2ième vice-président. H.-L. Austin: secrétaire trésorier. J.-F. Ross; secrétaire, Lionel Roy; auditeur, D. Marsh, historien. E.-C. Woodley; sergents-d’armes, Ernest Vançiry et Paul Soucy. Les direc­teurs sont Rev. L.-M. Pepperdene, MM. O. Trakas, Henri Bélanger, J.-L. Drolet, A. La framboise, T. Vali- quette, H. Copeman, A. McCauley et le Dr J.-E. Laforest.

Voici maintenant les noms des présidents des divers comités ; membres et classification, M. Al­bert Daoust; bien-être des enfants,M. Gérald Martineau; musique, M. Geo. Brown; conférencier. M. Louis Coderre; malades, M. Paul Malouin: maison, M. E.-C. Joseph; relations interclubs, M. J.-A.-Y. Bouchard; éducation, Rev. L.-M. Pepperdene; convention de Kingston, M. Pat Mooney, propriété, M. Adhémar La- framboise; réception, M. Ken Co­peman: publicité, M. Jack Latter; assistance, M. Jean St Jacques; af­faires publiques, M. Lucien Brous- seau; programme récréatif, M. Wil- brod Bhérer; rapports, M. Maurice de Goumois.

Au cours du déjeuner. Mlle Mar­the Lapointe, soprano, l’une de nos artistes les plus appréciées, a exé­cuté plusieurs chants de son réper­toire. Mlle Juliette Croteau ac­compagnait au piano.

SOUFFRAIT L’AGONIE PAR TEMPS

Le rhumatisme le tenaillait dans tous ses membres

Il avait souffert du rhumatisme durant plusieurs années. Les douleurs qu'il éprou­vait par temps humides étaient ’•intolé­rables". pour employer sa propre expres­sion. Mais heureusement que tout cela est bien fini maintenant, grâce à Kruschqn. Lisez ce qu’il nous écrit:

“J’avais souffert de rhumatisme pen­dant plusieurs années. Je craignais surtout les temps humides, car c'est alors que les douleurs devenaient intolérables. Le mal avait commencé à se faire sentir dans mes membres, mais peu à peu il se propogea et me fit souffrir dans toutes les parties de mon corps. Un jour, on me conseilla de prendre des Sels Kruschen, ce que Je fis. Je constatai bientôt, à mon grand plai­sir, qu'ils me faisaient plus de oien que tout ce que j'avais pu prendre Jusque là. Aujourd'hui. Je suis débarrassé de ce mal qui me tenaillait; je ne m’aperçois même de rien quand il fait humide. Je n’hésite donc pas à recommander les Sels Krus­chen à quiconque souffre de rhumatis­me". — N.M.

Le rhumatisme est souvent le résultat d'un excès d'acide urique dans l'organis­me. Deux des ingrédients des Sels Krus­chen ont pour effet- de dissoudre leurs cristaux d'acide urique, tandis que d’au­tres de leurs ingrédients aident la nature a expulser ces cristaux dissous par les voles ordinaires. CANN)

confiance, plus de joie. Mais de là aussi vous incombent des devoirs particuliers. Ce n est pas ce qui pa­rait qui compte cependant. Il faut qu'il y ait de la vie chrétienne en vous. Cette vie chrétienne, cette vie divine doit être agissante. Soyez

I donc des vivants et pour cela soyez des communiants”.

S. Em. le Cardinal propose ensui­te à la jeunesse comme vertus à pra­tiquer l'amour du prochain, la pru­dence surnaturelle, l’humilité, l'o­béissance, le dévouement et la pa­tience. Puis il les met en garde con­tre l’égoïsme et l’orgueil, deux obs­tacles à la vie vraiment chrétienne.

En terminant. Mgr l’Archevêque dit sa joie que la jeunesse catholi­que diocésaine spécialisée ait expri­mé par la bouche de son président le désir de contribuer à faire au Christ un beau triomphe à l’occasion du congrès eucharistique. Il met les jeunes en garde contre les faux Christ comme Staline en Russie et Hitler en Allemagne et il dit la né­cessité pour les catholiques de fai­re des affirmations envers le Christ. Le congrès sera pour nous une bel­le occasion d’élever notre Seigneur, notre Sauveur. Cette année, con­clut-il, nous aurons une belle année, une année eucharistique, une année de vie divine. Faites vos commu­nions avec foi et amour pour le suc­cès du congrès. Demain j'aurai un souvenir pour vous à la messe pon­tificale que je célébrerai”.

M. l'abbé Guillaume Miville De­part pour Trois-Rivières,

M. Georges Côté, surintendant des ________ ___arpenteurs au ministère des terres chêne'présente ensuite à Son Emi

De nombreux dîners pour les rescapés

(Suite de la page 3)Roméo Guénet, de Lauzon, de MM. Léonard Bernier et Joseph Dorval, de Québec, ont fait de magnifiques réceptions à ces héros du nord. Tous les arpenteurs non encore ren­dus chez eux participèrent à ces fê­tes. Madame Guénet sauta au cou de son mari et reconnut à peine son fils, Roger, tant il était amaigri Elle embrassa les 12 hommes de re­tour des portes de la mort et les invita tous cordialement chez elle Madame Joseph Dorval, une femme élégante, distinguée, aux cheveux gris, vint à la rencontre de son fils avec ses quatre frères et ses deux soeurs. Sept membres de la fa­mille Laflamme, de Lauzon. voisins des Guénet, à Lauzon, accueillirent Joseph-Edouard Laflamme, arpen teur, âgé de 21 ans dont c’était le premier voyage dans le nord. De? larmes tombèrent des yeux émus des parent:; de Léonard. Bernier lors­qu’il' - rencontrèrent avec leur fils qui : failli rester éternellementsur h s rives de la rivière Missikabi.

Exténué, mais plein de courage, le jeune Bernier déclara qu’il allait se reposer au moins une semaine.

J.-B. Gaudreault, arpenteur de Québec, qui se dévoua pour aller à la recherche des hommes perdus et accompagna le pilote G. R. Sprad- brow et l’ingénieur J.-H. Lucas, de la Dominion Skyways, dans l’avion qui retrouva les 15 arpenteurs, a dé­claré que les 15 hommes devaient la vie à l’énergie, l’ingéniosité et le courage du lieutenant-colonel Ro­méo Guénet. Gaudreault et Rodol­phe Houde, les organisateurs de l’ex­pédition. étalent à bord du train de Makamik.

Les cinq arpenteurs de Maria: Oc­tave Lapointe, Alfred; Guite, Léo­nard et Edouard Cyr et Maurice Au- det, ont pris le train hier à Lévis à destination de leur famille, ainsi que Louis-Philippe Pelletier qui se rend à Saint-Alexandre. Gérard Ebacher

Dur cToreille ?Si vous entendez la voix sans comprendre les mots, essayez la fameuse huile à oreil­les LEONARD. Prictlonnez-en en arriéré des oreilles pour soulager la surdité par­tielle, les bruits dans la tête, le mal d’oreille.HUILE A OREILLES _

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et forêts, à qui M. Gaudreault a rendu hommages en disant que c’était grâce à ses Indications qu’il avait retracé les 15 arpenteurs per­dus, a déclaré que ce retour mouve­menté lui rappelait une aventure tragique qui lui arriva dans des cir­constances analogues il y a une vingtaine d’années.

—Il y avait, dit-il, une foule sem­blable à la gare, mais le retour était infiniment triste. Trois hommes étaient morts le long de la rivière Megdskan, à dix milles à lest de

l‘Senneterre, dans une contrée alors absolument déserte. Nous descen­dions la rivière. Edmond Savoie, de Maria, Lucien Desrochers, de Qué­bec. et Pierre Tardif, de Baie-des- Sables, quand notre embarcation frappa un corps flottant entre deux eaux et chavira. Le courant les em­porta et je n’ai jamais pu m’expli­quer comment j’avais réussi à at­teindre la rive”.

LEONARD‘S

Désastreux incendie à St-Romuald

(Suite de la page 3) être sauvées. L’une d’elles, cepen­dant, qui était occupée par les deux familles de MM. Arthur Robitaille et Edouard Brousseau, a été endom­magée par la fumée.

Ce violent incendie, qui a jeté l’émoi parmi la population de St- Romuald, s’est déclaré vers midi. M. Malcolm Couture, employé aux entrepôts frigorifiques de Québec, et les membres de sa famille, étaient à Lévis. Le jene J. P. Brousseau a vu les flammes et a donné l’alarme. En lieu de temps, la maison devint un immense brasier et les flammes qui jaillissaient de toutes parts constituaient de graves dangers pour les propriétés voisines. Les gens du voisinage de même que les pompiers volontaires n’ont pas pu pénétrer dans la maison pour sauver du mé­nage. Seul un appareil de T.S.F. a pu être épargné. Pendant tout le temps que la maison de M. Larose brû lait, les pompiers volontaires, qui n’avaient pu arrêter la marche des flammes, surveillaient de près les maisons voisines et prenaient tou tes les précautions . nécessaires pour éviter que le feu s’y communiquât. A 2 heures 30. le feu était sous con­trôle et vers 3 heures 15, les pom­piers volontaires pouvaient aban­donner leur travail. La maison de M. Couture n’était plus que des cendres fumantes.

Les pompiers volontaires ont tra­vaillé sous la direction du chef Art. Paquet. L’équipe se composait de MM. Arthur Robitaille, Edouard Brousseau, Léo Brousseau, Odilon Couture, Hector Robitaille, Albert Seaborn. J.-M. Robitaille, Sylvio La­roche, Alf. Côté. Emerville Côté, Loys Côté, Jos. Larochelle. Georges Momeau, Georges Holford, Joseph Robitaille.

nence chacun des membres des di­vers groupements de jeunesse qui étaient présents à cette manifesta­tion. Tous reçurent aussi en pas­sant devant le trône de Mgr l’Ar­chevêque une image pieuse portant la prière du Congrès eucharistique national.

De nombreux mer. ores du clergé et des religieux éducateurs partici­paient à cette belle démonstration. On remarquait en outre de M. l’abbé Dechêne, aumônier diocésain géné­ral, M. le chanoine J.-A. Chamber- land ; le R. Père Pomerleau, O.M.I.. aumônier de la J. O. C„ le R. Père Schelpe, S.J., aumônier de la J.I.C., M. l’abbé Roch Rochette, aumônier diocésain de la J.E.C., secondaire; M. l’abbé Léo Bouille, aumônier dio­césain de la J.-E.C. primaire; M. l’abbé Stanislas Paradis, aumônier de la section jociste de St-Grégoire de Montmorency M. l’abbé Paul Ni­cole. du secrétariat de l’Archevêché; le R. Frère Béland, S.V.P., directeur de l'Union Notre-Dame du Patrona­ge St-Vincent de Paul; le R. Frère Armand-Raoul, directeur de la J.E. C., de la paroisse de Saint-Domini­que; le R. Frère Maximin, directeur de la J.E.C., de Notre-Dame de Grâ­ce; le R. Frère Léon, directeur de la J.E.C., de l'Ecole du Sacré-Cœur et le R. Frère Léon, sous-directeur de la même institution; le R. Frère Barthélémi. de l’Ecole Notre-Dame de Grâce; M. Amédée Daigle, prési­dent de la J.O.C. et les officiers des divers mouvements faisaient aussi partie du groupe.

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Les groupements de jeunes en visite à larchevêché

(Suite de la page 3) avec une joie qui nous émeut. Il y a quelque chose qui vibre en vous et ce qui vibre en vous, c’est la foi qui le fait vibrer. Je sens votre af­fection filiale. Nous sommes ici dans une réunion de famille d’âmes. Vous attendez des directives, un mot d'ar- dre. De mon côté, il est bien sûr qu’en vous regardant, je pense à l'a­venir. Je pense à l’avenir de l’Eglise, à l'avenir de l’apostolat ".

Mgr l’Archevêque rappelle ici que la génération précédente a accompli les combats qui lui ont été deman­dée mais que de nos jours des be­soins nouveaux surgissent et que des armes nouvelles sont nécessaires. ‘‘Je vous regarde avec confiance, mes chers fils”, dit-il.,Le Père de la Chrétienté se penche aussi avec es­pérance sur la jeunesse.

"Il y a quelque chose de changé. Le catholicisme des jeunes parait sur leurs fronts. C’est ce qui nous fait vous regarder avec plus de

ST-SAUVEURLa fête de l’Epiphanie

La fête de l’Epiphanie a été cé­lébrée solennellement hier, dans notre paroisse. Les missionnaires dont c’était la fête patronale, étaient à l'honneur.

Le Rév. Père Laflamme, O.M.I., of Viciait à la grand’messe, assisté des RR. PP. Garneau et Lortie, O.M.I.

Le sermon fut donné par le Rév Père Moreau, O.M.I.

Une belle messe en musique fut exécutée par la chorale paroissiale et la maîtrise du Collège, sous la di­rection de M. Emile Larochelle. M. Orner Létourneau. touchait l’orgue.

Le soir, à 7 heures, il y eut vê­pres solenelles suivies de la bénédic­tion du St-Sacrement.Heure sainte

Ce soir, à 7 h. 30, à l’église pa­roissiale, aura lieu l’heure sainte, pour tous les fidèles, à l'occasion du premier vendredi du mois.

Les membres du chœur St-Louis, feront le chant, et les Demoiselles Enfants de Marie seront chargées de la quête.

Tous les paroissiens sont invités à assister à cette heure sainte.Pour les Dames de la Ste-Famille

Toutes les Dames approbantstes de la confrérie de la Ste-Famille, sont priées de se rendre à la sacris­tie ce soir, à 7 h. 30, pour un exer­cice.Confessions

Demain après-midi à 3 heures, et samedi soir, après la récitation du rosaire devant le St-Sacrement ex­posé, il y aura séances de confes­sions à l'église paroissiale. Grand'messes demain :

A l'église paroissiale : 5 h. 30, en action de grâces; 6 h. 15, pour Dame Willie Cook; 7 heures, pour Arthur Létourneau; 7 h. 45, pour Béatrice Chabot.

ST-ZACHARIEDécès

Le 25 décembre est décédé M. Léon Turcotte âgé de 80 ans. Ses funérailles ont eu lieu le 27 dé­cembre.

Le 26 décembre est décédé M. Hen­ri Champion. Sa sépulture a eu lieu le 29 décembre. Nos sympathies.

Les familles de M. Thomas Ga­gné et M. Linlère Cloutier nous ont quittés pour aller demeurer dans le Témiscamingue.

Mme Vve Joseph Chabot ainsi que son fils, Gérard, de Sherbrooke en visite chez ses parents.

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VISITEURS AU "SOLEIL"

M. EDGAR GAGNE. d’Amqui. Matapédia rt M. GEDEON GREGOIRE, de Beaureville, de passage à Québec ecs jours derniers ont visité les bureaux du plus grand journal de Québec où une photographie fut prise.

(Photo du "Soleil")

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14LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 JANVIER 1938

LES PRISES DE PROFITS FREINENT L’AVANCE A N. Y.Commentaires

de Boursentiment est meilleurI.e se

' Depuis le début ae l'annee nou­velle, le sentiment est franchement meilleur sur toutes les places mo­bilières. Plusieurs spéculateurs crai­gnaient un discours à l’emporte-pie- ce du président Roosevelt à l'occa­sion de l’ouverture du Congrès, ce qui aura.it i>u envenimer davantage les différends qui existent entre le chef de 1 administration et le mon­de des affaires. Il n’en fut rien. M.Roosevelt ü'est montré résolu mais aussi raisonnable. De plus, il a an-

,nonce un programme de réanne- ' ments qui ne pourra manquer de créer une plus forte activité d'ici quelques mois. La Grande Bretagne est très prospère de ce temps-ci à cause de l'exécution d’un program­me analogue. On prévoit que ce se­ra la même chose aux Etats-Unis, et les spéculateurs n’ont pas pris de temps à reprendre courage. Hier, les valeurs industrielles et les titres cuprifères ont été fermes sur les!marchés américains et canadiens.ki t -, .1 1 tOn peut so demander avec raison j Norand3 était plus terme a S'il est. bien -sage de construire' de| nouveaux navires de guerre, des avions de bombardement plus nom­breux et plus gros et toiK ces ar-j Monlreul 7 ... ,p.c., Le., cours mements-de.st mes tôt ou tain a en :du marché local étaient très soute- gendrer la guerre, alors que 1 argent, im cc matir L-actlvlté était assez qui servira pour ses fins auiait pu forte par aiueurSi Dans les bas mé-étre dépense pour des oeuvres plus F -----utiles. Mais les Etats-Unis ont con­fiance en la démocratie tout comme la Grande Bretagne d’ailleurs et ils veulent être prêts à la défendre si elle est attaquée. Woodrow Wilson, un autre idéologue, avait confiance lui dans le désarmement pour assu­rer la paix mondiale. Il serait fort étonné de revenir sur terre aujour­d’hui

LE DOLLAR CANADIENNew-York, 7. (P.A.) — Le dol­

lar canadien était inchangé au cours de S0.99 31-32 sur ie mar­ché des changes étrangers, ce matin, ta livre sterling a gagné 1-4 de sou à $5.90 et le franc français a monté d'un huitième de point à S0.0339 7-16. A Lon­dres. l'or en barres a monté d'un demi penny à 139 shillings 9 pences et l'argent en barres a gagné 3-16 de point à 19 5-8 pen- I ces. A Paris. les rentes 3 pour cent ont coté 70 francs 5 centi- i mes, les 4 1-2 pour rent A ont coté 75.80 francs et les 4 1-2 1pour eent 1937 ont coté 104.85 francs. Le change sur Lon­dres était de 147.30 francs à la livre sterling et le change sur j New-York de 29.4* francs au dollar des Et^ts-Unis.

COURS 'WITCNIIè |

EN BOURSE I.OGAIE

BOURSE DE VANCOUVERSéance du 6 Janvier 1938

Haut Bas Ferm.

950 Anglo Can . 500 Àmal OU . .

4000 Anaconda . . 300 Aztec . . . .

1900 B C Mck 9300 Big Miss 3125 Bra’.orne

30 Brew & Dist 1500 Bridge R . .1670 Calmont . . 400 Caribou . .

1740 Cal Edm . . 4500 Connu P . . 1000 Congress . . 300 Dentonia . .

5000 Dun well 2000 East Cr . . 1700 Fairv Am . ,

500 Firestone . . 1000 Founda . . 7900 Freehold

35 Va 354 35 Va160 150 160

64 64 6413 U 134 13 Va74 7Va T/a

10 10 1049 43 49

905 890' 900550 550 550

o 4 3 4 3462 61 62

170 170 170305 295 305

42 41 42'a24 24 24

11 11 11 '5 4 5

15 144 14* a5 Va 5 Va 5*4

17 17 ^ 11.18 1H 1 18

8 U 8 8

Les marchés--Le groupe des titres ferroviaires en avant—

Activité à la hausse à la Bourse de Toronto.

MARCHE DES DENREES HAVELAND AIRCRAFTPRIX DE GROS A MONTREAL

Séance du 6 janvier 1938Blé Nord No 1.............................Blé Nord No 2 ............Blé Nord No 3............................Avoine Ouest No 2

$1.68' a ! 1.62' g I 1.44 >/4 ;

0.65 i

57. — Nickel a bais­sé à 48.

National Grocers Co.

Les actionnaires privilégiés et or­dinaires de National Grocers Com­pany, Ltd ont approuvé par une forte majorité le projet de règle­ment des arriérés s’élevant à $26.- 25 par action privilégiée 7 pour cent Le vote contraire dans les deux cas fut insignifiant. Lorsque la Cour aura approuvé le projet à son tour les actionnaires privilégiés rece­vront en règlement du montant de $26.25 d'arriérés ce qui suit : $4. en argent, le droit de souscrire à trois actions communes au prix d'un dol­lar chacune. Le capital autorisé sera porté de 300,000 actions com­munes à 400,000.

<’.-VV- üUidsay & t o.

On rapporte officiellement que les affaires de C. W. Lindsay &; Com­pany Limited vont probablement dé­montrer une amelioration durant l'année financière en cours pur rap­port à l'année précédente. Les ventes de la compagnie en décembre 1937 ont augmenté légèrement com­parativement à décembre 1936. La compagnie a encore deux bons mois de ventes avant la fin de son ex-

se termine le 28 février, des derniers mois, lesfaisaient surtout au

ercice qui Au cours achats se comptant.

toux, Noranda a monté à 56 7-8 et il a même touché 57 au début de la séance. Nickel était un peu plus faible à 48 et Smelters a cédé un point à 60. Canadian Car commun a coté 10 3-4 et National Steel Car 35 7-8. Les actions du Pacifique Ca­nadien se sont vendues à 7 5-8. Le compartiment des utilités publiques était stable. Brazilian se vendit à 12 3-4. Shawinigan à 20 1-2. Mont­real Pdwer à 30 et Gatineau Power privilégié à 77. Bathurst cotait 9 3-4 dans les papeteries, St-Lawren- ce Corporation 5 1-8, le privilégié 16. et St Lawrence Paper privilégié 45 1-2. Dominoin Steel a coté 15 7-8. Price commun 15 1-2 et Domi­nion Bridge 31 1-2.

SUR LE CURB

Montréal, 7 — iP.C.i Au début de la séance. Fraser Voting Trust a monté à 17 sur le Curb de Mont­réal. mais 11 a réagi ensuite à 15. Consolidated Paper était en mieux d'un huitième de point à 6 1-4. Abi­tibi privilégié a coté 17 1-4. Donna- comi 6 1-2. Dans les mines, les cours étaient généralement soute­nus. Stadacona a coté 34 sous, O’Brien $5.40, Sullivan $1.00. Siscoe $3.30, Thompson Cadillac 33 sous, Sladen Malartic $1.06. Shawey 22 sous. Read Authier 34.35, Eldorado $2.45. Red Lake Gold Shore 20 sous, Prancoeur 46 sous, East Malartic $1.22, Calgary and Edmonton $3.00. Home Oil $1.35, Pend Oreille $2.30 et Sherritt Gordon. $1.46.

200 George Cop . . 40 40 401U00 Gold Mt.............. 2 4 24 24 |

28300 Grandv . . . . ., 11 94 1041650 Grüll..................... 8 8 8

24000 Haida 6 V2 54 64150 Hargal ...... 35 35 35500 Home Oil . . . ■, 135 135 135

5000 Homo Gold . . .. 14* P/8 Pa500 Koot Belle . , 100 100 100

25900 Lucky .J . • , 3 4 3*8 344500 Madison . . . ., 9 8:4 8 43500 Mar Jon . . . ,. 104 104 1043300 McD Seg . . . ., 27 27 27

500 Met aline . . . ... 56 56 5667(10 Mercury . . . ., 18 18 18

12000 M into . . . >4 34 IT’82000 Mou Roy . . . 184 18 Va IS1 à4000 Noble Five . . . 4 4 4

10O Nordon . . . * . 124 124 1243800 Okalaa ... . 222 215 2222200 PacalU .... . u 14 141500 Pend Or . . . . 235 220 2353250 Pioneer ... . 320 310 3205000 Porter 1 ... 14 34 3's2050 Prarie Roy . . . 344- 334 3443000 Prem Bor , . . . 14 Pa P'82500 Prem Gold . . 210 202 207IflOOQuesnal Q . . . 64 64 641250 Relief Arl , , . 19 18 19950 Reno . 57 V2 574 57 Va

5 Royalite ..... .460) ■1600 •16003000 Rufus Arg . . . 2% 2 24200 Ruth Hope . . 2 2 2

1000 Salmon Gold . 7 Va 7*/* 7*42000 Sheep Cr . . 97 95 97235 Stlbak Pr . . . 210 210 210

5500 Well . . . . 3 3 32500 Wesko . ... SVa 83/4 8 4400 West Flank . . . 33 33 33

22000 Whitewater . 64 6 645900 Ymlr Girl . . . . 27 264 264Total : 245,765.

BOURSE DES CEREALES\ WINNIPEG

Séance du 6 janvier 1938Ouv. Haut Bas

BLE:

LES COURS DES MINES SONT FERMES

I.obhiw Groceterias to. Les prix étaient stables à Toronto. — Les huiles

avancent.

Mai . . . 125 a 124 4 129% 124 Va 1284Jull . 116*8 à % 1214 116 Va 1204aOct . . . 102 à

AVOINES:

100 102 98 98 */aà %

Mai . . . 49 Va 504b 49%a 49%bJull . . 46’U

ORGE:47 Va b 46% 46-8a

Mai . 63*2 a 'h 65 Va b 634 64 4Juil 63

LIN:63 01%a 61%a

Mai . . 1764 SEIGLE:

177%bl764 177 % b

Mai . . . 824 85 Va b 824a 84Juil 824 à 82 86Va SPsa 83%a

A CHICAGO

Ouv.BLE:

Haut Bas Ferm.

Mai . . 93 a 93% 96% 93 964à %

Juil 87 Va a 4 90',8 87*8 897b à 90

Sep 86*2MAIS:

89 8G'e 88%

Mai . 62 a 62 4 62 % 61% 624 . à 4

Juil - 61*8 62 4 61*4 614 à %

Sep 61AVOINES:

62*8 60% 61%

Mai . . . 314 à % 32 314 32Juil . . . 294 30*8 294 30Sep 29*o

FEVES:29 4 29 Va 29%

Mai . . . 974 98'/3 974 98%Jull 99

SEIGLE:Mai . . .. 744 76 4 74 % 76%Juil . 69 714 69 704

Toronto. Ontario, 7. (P.C.t — Les mines d'or de deuxième importance étaient stables à l'ouverture, ce ma­tin, sur le marché de Toronto. Le ton était un peu meilleur dans No­randa, Pend Oreille et Walte Amu-

Les ventes <le Loblaw Grocete­rias Company Limited durant la période de quatre semaines finis­sant le 11 décembre 1937 furent de $1.809.930 alors qu'elles avalent été de $1.556.70» durant la période cor­respondante de 1936. Les profits nets ont. été de $90,192 au lieu de $88,047 après la dépression, les taxes, etc. Durant la période de 28 j let. tandis que Nickel et Smelters semaines finissant le 11 décembre ; ont cédé un peu de terrain. Dome, 1937. les ventes furent de $11,079,444 ! McIntyre et Teck Hughes ont enre- au lieu de $9.541,076 durant la mê­me période de 1936. Les profits nets ont été de $461.510 après la dépré­ciation et les taxes au lieu de $439,- 840 l'an dernier.

COURS MOYENSDES OBLIGATIONS

Wall Street protite largement des nouvelles plus favorables a la spéculation qui sont connues depuis le début de l'année. Hier, on a appris que* l'Interstate Commerce Commission, agence du gouver­nement fédéral américain, avait consenti à prêter un montant de plus de $8 millions au Baltimore and Ohio qui est présentement gê­né dans ses finances. Cette attitude conciliante venant après le re- _ fus qu'essuya le chemin de fer Erie il y a quelques jours a ranimé la confiance dans le groupe des titres ferroviaires à la Bourse de New- York. Les spéculateurs ont porté leur attention sur une liste plus etendue de valeurs â tel point que le cours moyen de 60 titres re­présentatifs gagna 1.8 point au palier de 45.8. Le roulement fut de 1.209.840 actions à rapprocher de 1,150.840 actions la veille. Signa­lons parmi les grandes vedettes de Wall Street U. S. Steel à 59 1-8. Bethlehem Steel à 63 1-8, Chrysler à 53 3-8 et Anaconda à 33 7-8.

Il va sans dire que les marchés mobiliers canadiens sont toujours très sensibles aux fluctuations de New-York. Mais au Canada aussi les nouvelles favorables ne font pas défaut. A témoin, le rapport financier de Dominion Bridge publié dans ces colonnes et indiquant des profits nets de $1.28 par action pour 1937 à rapprocher de 18 sous par action l'année précédente. De même, les soumissions deman­dées il y a quelque temps par le Canadien National pour l’achat de matériei ferroviaire, exemple .suivi ces jours derniers par le Pacifique Canadien. A Montréal. National Steel Car a monté à 36 7-8 à cause de cela et Canadian Car commun fut très actif à 10 7-8. Le privilégié s'est même vendu à 22 1-2. Il se dessine aussi un mouvement d’achats dans les actions de bas métaux depuis que le président Roosevelt a annoncé que l'an prochain les Etats-Unis débourseront un milliard de piastres pour les armements. Le prix du cuivre à l'exportation a remonté d'une trentaine de sous la livre d'ailleurs depuis quelques jours. Nickel était fort hier à 48 5-8 avec Noranda à 56 1-2 et Smel­ters à 61 1-2 Les Sctions de papeteries ont aussi monté. Le rou­lement dans Montreal Power a dépassé 1.500 parts et le titre ferma à 30 après avoir coté 30 1-2. Les obligations 3 1-2 pour cent de la mê­me compagnie ont monté d'un point. Roulement total de 154,000 parts comprenant 29.800 parts industrielles et 124,200 parts minières.

Si nous en venons aux titres miniers, nous constatons que l'ac­tivité augmente constamment dans ces valeurs. Toronto a rapporté pour hier-seulement un roulement de 1,032,000 parts, ce qui est assez extraordinaire pour la période actuelle. Le gros des achats portait dans les bas métaux et les mines d'argent. Il y eut des ventes dans quelques mines d’or, en particulier Stadacona qui baissa à 32 sous pour fermer à 36 1-2 sous. Le groupe des Malartic était ferme. Quant à Eldorado, cette valeur a touché $2.50 pour clôturer à presqu'au som­met à $2.48. Okalta et Brown furent les deux valeurs actives à la hausse dans les huiles de l’ouest canadien.

La tenue des obligations canadiennes est toujours très satisfaisan­te, Les papeteries ont enregistré de nouveaux gains, hier, de même que les utilités publiques. Les valeurs de premier choix étaient, ter­nes. Canadian Locomotive 6 pour cent a monté de cinq points à 62 pour la même raison qui a fait monter National Steel Car en bourse. C'est aujourd’hui que l'annonce du syndicat est publié en ce qui con­cerne le nouvel emprunt du Canadien National. Les valeurs de ce chemin de fer sont stables à Montréal depuis l'annonce de l’emprunt. Les gain's enregistrés dans les obligations de chemins de fer américains étaient assez sensibles, notamment dans celles de Baltimore and Ohio.

Le blé canadien a encore monté de cinq sous le boisseau, hier. Il ne conserva toutefois que 3 1-4 sous à 4 1-4 sous de ce gain. Mai co­tait en clôture $1.28 1-4 et juillet $1.20 1-2. Octobre a coté 98 1-2 - 5-8 sous A Chicago, l’on disait que le Canada pourrait fort bien manquer de blé et qu'il serait obligé d’acheter du blé américain. Mai a coté 96 1-4-3-8 sous, juillet 89 7-8-90 sous. Le maïs a baissé d’un quart de sou ou monté de 3-8 de sou. Mai a coté 62 1-8 - 1-4 sous et juillet 61 3-4 - 7-8 sous

Aux changes étrangers, le dollar canadien perdit 1-64 de .sou à $0 99 31-32 le franc français a cédé 1-16 de point à $0.0339 5-16 et la livre sterling perdit 5-16 de sou à $4.99 3-4 à New-York.

i Son Gru rouge

Avoine Ouest No 3................................0.59Avoine d’engrais No 1 ... . 0.57Orge Ouest 0.75VaPar ooisseau ô Montréal, ex-magasin

Graine moulue à engrais$29.25 $31 25

Gru blanc extra $30.25tPai tonne comprenant les sacs ex voie

Terrée moins 25 centtns par fconne oou» du comptant»Grain séché de brasserie . . . $28.00

par tonne au détail . . $30.00Avoine roulée igruau pai sac ne 90 ibs livré au commerce y compris taxe de ven tu .. . .. $3.15

Farine de ble d’hiver :Qualité de choix pour lots de wagons nou­

velle, par baril . . $4.70 $4.80Qualité de choix par tots irréguliers nou

velle par baril et magasin . $4.80 $4.90 iFarine de mais Diane pour oaru «“y sacs |

de chanvre, livrée $4.% $4.30 iFarine de ble du printemps

Par baril en sacs d» chanvre de 80 livres I livrés a MontréalPremière patente ........... . $ .40 i LgDeuxième patente ..... $8.00 !Patente à boulanger.......... $7.90 j

Foin pressé •Extra No 2............................No 2 .... ’ ..................No 3 . . - •

iPar tonne tob Montréal».Patates :

Québec nouvelles No i par sacs de 80 Ibs

Québec nouvelles No 2 par sacs de 80 ibs .

Nouveau-Brunswick Montagnei No 1 en sacs de 80 Ibs .

Ile du P E Montagnes No 1 en sacs de 90 Ibs

No 2 en sacs de 90 Ibs

Toronto, Onia., — (P.C.)—Les profits nets de Haviland Air­craft of Canada Ltd durant l’an­née finissant le 30 septembre 1937 f urent de $3.338 apres le pré­lèvement d’une perte sur la vente d'obligations et de l’impôt sur le revenu. L’année précédente, la compagnie avait gagné $1,651. Le déficit a été réduit à la somme de $25,261. Le fonds de roulement s’élève à $145.463 au lieu de $162,- 570. Les disponibilités courantes sont de $366,617. en mieux de $166.354 tandis que les exigibili­tés ont augmenté de $183,461 au total de $221,154.

NOUVELLESMINIERES

_ ______ •!Thompson Cadillac

La récupération nette de Thomp­son Cadillac Mining Corporation durant le mois de décembre 1937 a été de $20,135 à rapprocher de *13,- 563 durant novembre 1937. Le mou­lin a traité 5.300 tonnes de minerai durant le mois sous revue. Andrew Walz, vice-président et directeur- gérant. explique en partie l'aug­mentation dans la production, par la plus forte capacité du moulin et aussi par le développement favora­ble de la propriété en profondeur, principalement au niveau de 300 pieds. Le moijlin de Thompson Ca­dillac a maintenant une capacité de

! 200 tonnes par jour et il sera possi- rurui-r-mi-n 151 e. lorsque les circonstances le per­

il P Rr rorrll.r \ i mettront., de porter cette capacitéà U L ULI1LI SULW j 250 tonnes par jour. On a trouvé

______ | du minerai de riche teneur aux ni-, , / .. • . i veaux de 300 et de 450 pieds,était réactionnaire ------

DES PRISES

$11.50 $10.50 $ 8.50

0.57 0.60

9 3â U 40

0.65 0 700.80 0.85 0.70 0.72

tones matin, dans les

vedettes.

En sacs de 50Oeufs

Ibs 0.50

A-i grosA-l medium . 0.29 !A-gros . 0.29A-medium . ,. .............. . . . 0.27 IA-de poulettes 0.25B-grosB medium 0.23C ................... ............., ... .. . 0.22

Beurre, No 1 304 31

Fromage :Ontario blanc ou coloré .. 144Québec blanc ou coloré Ne 1 134 H

Mélasse d’engrais :Canne û sucre Indes Occidentales (flnai

blackstrop» par gallon, t o.b Montreal.quanti# de 64 è 60 ûarlls de 45 gsl-Ions

Wagons citernes gallons

i Volatilesi Dindons pour rôtir .| Oies.................................! Volailles de choiz j Canards domestiques , Poulets de choix ; Poulets nourris au lait

0.14approxlmhtirement 0,700

104

0.28 0.290.19

U.18 0.22üi7 0.200.25 0.270 27 0.29

New-York, 7. (P.A.) — Les spé- i culateurs ont pris leurs profits ce matin, à New-York, et les titres mobiliers accusaient à l'ouverture des reculs allant d'une fraction de point à plus d'un point. Le ton était réactionnaire dans Anaconda Allied Chemical. Texas Corpora­tion. U. S. Steel. Beihlehem Steel, Chrysler, General Motors, Sears Roebuck. New-York Central. Santa Fe et Goodyear.

La revue hebdomadaire de l'agen­ce Dun & Bradstreet rapporte que les ventes au détail ont rapidement augmenté au cours des derniers jours. La revue ajoute que le mois de janvier a causé une surprise en­courageante à venir jusqu'à pré­sent et .qu’au lieu du fléchissement anticipé après la semaine des Fê­tes, les ventes à prix réduits ont créé de la demande dans la plupart des centres.

I A 11 HEURES

Les titres mobiliers n'avaient plus

CURB DEJEW-YORK; Cours fournis par GREENSHIELDS

& Co., Edifice l’riee, rue Ste- ! Anne, Québec. Tél.: 2-1591

Séance du 6 janvier 1938

790 Alum Co Am , ..1700 Am Cyan B . . .

700 Cam G & El . ..300 Am Super ....

2900 Cities Ser ....5500 El B & Sh , . .

800 Ford of C A . ,.1600 Gulf Oil..............900 Hud Bay..............

1300 Humble Oil . . .1100 Int Pet................lOOONewmont ....1100 Ni’ag Hud ....

600 Penroad...............1200 St Hegis P . . ..1400 Un Lt «Sc Pw A .

se de New-York. Plusieurs vedettes ont subi des reculs allant jusqu’à plus d'un point. Les aciéries et les

j automobiles furent surtout vuiné- ! râbles. Les chemins de fer ont mon­tré plus de résistance. L’activité avait été forte à l’ouverture mais elle a beaucoup diminué ensuite. Les courtiers attribuaient le fléchis­sement aux prises de profits à la suite de la rapide montée de ces jotirs derniers.

On notait des reculs dans U. S

Argosy Gold MinesArgosy Gold Mines Limited a fait

une cession de ses biens pour le bé­néfice de ses créanciers. Les récla­mations contre la compagnie s’élè­vent à $174.884.63. La liquidation a été rapportée à F.-Gordon Cook, of­ficier en charge de la Cour des faillites à Toronto. E.-G. Clarkson, de Toronto, a été nommé gardien. L’actif total de la compagnie dont la propriété se trouve dans la ré­gion de Patricia est donné comme étant de $408,618.51.

Buffalo Ankerite

La production de Buffalo Ankeri- ,te Mines durant l'année finissant le r31 décembre 1937 a été de $2.833,240, en augmentation de près d’un mil­lion de piastres sur celle de 1936 qui avait été de $1,888,829. La produc­tion de Buffalo Ankerite en décem­bre dernier a été de $299.400 au lieu de $245.300 en novembre 1937.

x Paymaster Consolidated

Paymaster Consolidated Mines Limited a rapporté en décembre dernier une production de $115,163 avec le traitement de 14.902 tonnes de minerai. La production avait été de $111,229 et le traitement de 15,- 415 tonnes durant le mois précé­dent. Durant l’année 1937, Paymas­ter Consolidated a produit pour une valeur de $1,267,101 avec le traite­ment de 170,298 tonnes de minerai. La production avait été l’année pré­cédente de $972,427.

Cariboo Gold Quartz

La production de Cariboo Gold

Fer in.85 23"'e 26

1V/b

tev’ ! Chrysler, Westinghouse, American ! nier a été de 24,152 onces d’or avec 4(i ;Can, DuPont. American Telephone, : le traitement de 55,104 tonnes de' 26' s | Boeing, U. S. Rubber. Sears ' Roe- i minerai pour une valeur' de $845,-

| Steel, Bethlehem Steel, Youngstown ; Quartz Ltd durant la période de dix I Sheet & Tube. General Motors, i mois finissant le 30 novembre der-

65 Va cg’-j 611 .• 8'4 2>2 3>4 3

: VALEURS ETRANGERESA NEW YORK____

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Pierre. Québec. Tel. : 4-4651.

ibuck, Anàconda, Kennecott et 341. La nouvelle a été donnée par i Standard Oil of N. J. \ R.-R. Rose, directeur-gérant.1 Les actions et les obligations du! „| chemin de fer Erie ont subi de nou- ' ,a<|arona Roujnvelh’s pertes parce que le piésident ! production de Stadacona

1 Jesse Jones de la Reconstruction ; Mines durant le quatrième iFinance Corporation a laissé enten-, (,rimestre de l’année 1937 a été de dre quo 1 agence federate ne fcmr-; un nouveau chiffre record,nirait pas le ; fonds requis pai a annoncé officiellement Roy An- l’Erie pour surmonter ses dt.ficul- ! Person, directeur-gérant. La récu- tés financières. Le ton était mixte , ^ration totale a été de $525.898 de­dans les obligations comme dans les pUis qUe je moulin a été mis en

OBLIGATIONS CANADIENNES MINES HORS-LISTE«Scrv. de la Presse Canadienne»

New-York, 7. -- Voici 'e tableau des ] moyennes des obligations .7 New-York, pour la séance du 6 janvier 1938 préparé j par Standard Statistics Co. Inc.:

20 cf 10 ind 10 ut» 10 étr

Seance du 6 JanvieiObligations du Dominion:

P a, ci f icjue Canadien

gistré de faibles gains dans les mi nés d'or importantes tandis que les autres valeurs de ce groupe n'affi­chaient pas de changements pronon­cés. Le ton était ferme dans les valeurs clhuile de l’ouest canadien. On notait des gains dans Okalta, Brown. East Crest et. Foothills.

Hier 69.9 96.7 90.8 66.2Avant-hier 69.3 96.5 90.9 66 2Mois dern . . 74.5 97.1 92.6 65.71937 ............... 98 5 104.1 102.4 73.5Haut 1937-38 . 99.0 104.4 102.H 74.7Bas 1937-38 . 69.3 95.5 90.3 64 2Haut 1936 98.2 104 4 108.1 73 0Bas 1936 . . . 86.9 101.8 99.3 67.6Bas 1932 . . . 45 8 40.0 64.6 42.8Haut 1928 . . 101 î 98.9 102.9 100.5

LE BLE DE MAI MONTE A SI,29

Le chemin do fer Pacifique Cana­dien vient d’annoncer qu'il achète­ra pour dix millions de dollars d’é­quipement ferroviaire, comprenant surtout des wagons de marchandi­ses. Le Pacifique a demandé des soumissions pour l’achat de 2.700 wagons de différentes sortes, de mê­me que pour l’achat de dix locomoti-1 --------- _ /ves du type Hudson. On annonce Winnipeg a enregistré de que d'autres soumissions pour Ta- n^,VOA,,v oâins cechat de locomotives pourront être nouveaux gains, cedemandées r>Uis tard, cette année. matin.

_______ ______ I Australie, livreWinnipeg, 7. 1 P C.- - Le ble ca- | umn,. Kong dollars

nadien a encore gagné du terrain aW.-H. Hurd.

10 obligations a faible rendement:Hier................................................Avant-hier....................................Mois dernier ................. . .1937 ......................................................Haut 1937-38 .......Bas 1937 38 ...................................Haut 1936 .......................... .............Bas 1936 ..................................... ..... .Haut 1928 .. -................ .. . . •Bas 1932 .....

2 1-2 1 Juin 1943 . .2 1-2 15 OcL 1939 . .3 1 Juin 1950-55

Do 15 Oct 1942 .66 2 I 3 perpétuelles

*3 1-4 l Juin 1946-49 Do 1956-66

3 1-2 15 Oct 1944-494 15 OCt 1943-45

Do 1939 ...............Po 1947-52 . . .

41-21 Sep 194U ............4 1-2 15 Oct 1946 .................4 1-21 Fev 1946 ....4 12 1 Nov 1946-56

Do 1947-57 .......................Do 1948-58 .....DO 1949-59 .......................

5 15 Nov 19415 15 Oct 1943 . . • •

Garanties iiar le Dominion:iïo's | C N R 2 1943

1 Do 2 1-4 1944 ....Do 3 1944 ....................Do 1945-50

106.9 107 1106.7113.5118.7105.6

1937 Membres de la Bourse de Montreal, 10Ô,

Off. Dem.Côte de la Montagne. Québec, tél. 2-7091)

1004101* t

101410fc%

Seance du 6 Janvier 1938Offre Dem.

90"r 97% AbbuPUc • . .. .. 15 17103*4 104% Algold . . 35864 6 / * '4 Arme Cad. .. 5

100% 101% Albany R.......... 6199 100 Amity............. .. .. 1% 24

101% 102% Ardeen .. .. . 3106% 107% Arncour ............ 10104 105 Bailor . . -’4106% 107% Btlmac............ .t . ............ 16 18

matières premières.

110.2104.486.8

106TiHO1?110 Va 110 110’» 110 * / 8111 un111 '* 4

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Dorval Unites

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1614 » £5 Va 55

10$13 .

Haut Bas Ferm.2900 Arg 4 1972 . 377 « 87% 87%6000 Austra 5 1955 104% 104% 104%1000 BPlg 6 1-2 1949 107 107 1079000 Brazil 6 1 2 1957. 19 Va 19% 19* h3000 Oo 7 1952 . 19 18% 18%2000 Chile 6 1961 . 17 16% 175000 Canada 5 1952 . . 113 112% 113

10000 Germ 5 1-2 1965 . 25*4 25*4 25', .'i2000 Haiti 6 1952 . . 85 84*4 85

32000 Italy 7 1951 • . 794 78% 79*43000 Japan 5 1 2 1965 01 60 609000 Milan 6 1-2 1952 . 65', 4 65 65*43000 N S Wal 5 1957 . 1014 1014 101*23000 Poland 6 1940 . . 674 67*4 0742000 Do 7 1947 . . 824 82*4 82*42000 R tin J 6 1-2 1959 P*/2 9 Va 94

11000 Do 1953 . . 94 9% 9 Va1000 R G Do S 6 1969 9% 9% 9%

34000 Rome 6 1-2 1952 . 70% 70 Va 70%23000 San P 7 1940 . . 47 404 46*»30000 Serbs 7 1962 31% 314 31%

COMMERCE DE GROSOttawa, Ont, 7. — La valeur du

marche le 4 décembre 1936. La pro­duction du troisième trimestre de Stadacona avait été de $111,762. cel­le du deuxième trimestre de $118,994 et celle du premier trimestre de $103,565. En décembre 1936. Stada-

EXPORTATIBNS D'AMiâNTE

Lake Sulphite Co.

COURS DES CHANGESSéance du 6 janvier 1938

Cours des changea en cloture a Montreal, fournis par la BANQl'F.HOYAU; du CANADA.

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de la Lake Sulphite Pulp Company, aujourd’hui. L'option de mai a mon- “ae.^ ' réorganisation té d'un sou à 1-4 de sou à $1.29 1-4- j Nonvi

d’administration de la $i 28 1-2

Inde, rupee Japon, yenNouvelle-Z#!andc, livre

Colle de juillet a monté | sud Afrique, livre

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0.3780 0.2914 ■1.0239 4.9746 0.2316

prime.

Do 1948-52 . • • • 96*4 ü7»/4 Dunlop nouv............... .. .. 4 5Do 1948-53 . • • • • 9fi* » 97*4 Flemming .................. 9Do 4 1-2 1951 . 1144 Flintoba..................... 1Do 1956 • • • • 113% 114% Franklin . .. •• .. 1Do 1957 1134 114*2 Frontier L. L. .. ... 5 7Do 4 3-4 1955 . . • • 1164 1174 Garnet . . ............. .. .. 1 2Do 5 1954 117*4 118*4 Gateway Pat. . • .. .... 4Do 1949-59 118% 119% Ollbec.......................... .. .. 2 3

Provinciales:Ail a 4 1954 . . 40 51 Golden G» te .. .. •.

Gold Range..............4fi

Do 4 1-2 1956 48 53 Goldslde . .. .. 3B C D 1-2 1945 100 102 Hudson Pat .. .. .... 3 1

Do 4 1 2 1953 . • . 94V. 90*2 Johnson Nip. .............. 3Man 6 1947 . . « . 88 93 Kawcrow.................... .. .. 34 5

du conseil ---------- ----- ------------- — ___ _____ . ,. compagnie. Les directeurs de Ten- d’un sou à 5-8 de sou à $1.21 1-2-1 -8. ^cam 1-32 p

treprise seront : Joseph-A. Simard, | et l'option d'octobre a gagne 1 1-8président de Consolidated Marine sou à 5-8 de sou à 99 5-8-1-4 sous. | séance du 6 janvier 1938Company Ltd, de Montréal. Bethine Les avoines étaient en mieux de 1-8 ',r',,.cuhr‘n,i;'*p.,'rni. ranVi , ’Smith, avocat de Montréal, Gordon ; à 5-8 de sou. Mai a cote 50 sous et Leitch. président de Toronto Ele-; juillet 47 1-2 sous. L’orge affichait | arukn r vator Ltd. Fred Connell, directeur des gains de 3-8 à 1-8 de soil. Mai de Noranda. Mines Ltd et J.-W. a coté 64 7-8 sous et juillet 82 sous.McColl. ancien président de McColl | Le lin n'a pas été coté à l’ouverture Frontenac. Pt.-O. Sweezey a cédé la Le seigle a gagné 3-4 de sou a 3-8 : présidence active à John Stadler, mais il demeure président du con­seil d'administration.

par1)1 MONTREAL.

©ivi dendeSEastern Theatres Limited, $3.5U

par action privilégiée payable le 31 janvier aux actionnaires inscrits le 15 Janvier.

Humber.stoi ie Shoe, 50 sous par ac­tion payable le 1er février aux ac­tionnaires inscrits le 15 janvier.

Wood Alexander and James, 1 3-4 pour cent j>a r action de premier privilège payable le 1er février aux actionnaires inscrits le 20 janvier.

Hydro Electric Securities Corpo­ration, 50 sous par action privilé­giée de classe B. payable le 1er fé

de sou. Mai a coté 84 3-4 sous et juillet 84 sous.

Les cours ont avcause de la fermeté de Liverpool. On 1 a rapporté que 25 navires ont trans- ■ Norveg porté du blé de l'Amérique du Nord ! Danemark dans les pays étrangers au cours des i B^'°" °' deux derniers jours. Le blé ouvrit t poiogir Inchangé ou en mieux de 7-8 de ( AUtrjchf sou. Mai ajuillet 90 1-2-3-4 sous. Les cours lu- joênn! rent soutenus ensuite à ces prix là. I ^

marche des denrees1-2-3-4 sous et juillet 62 3-8 sou *Le maïs était ferme ensuite.

Demande 4.99Cables 1 99

Australie ............ 3.9980Nouvelle-Zelande . . 4.0302

i France . . 0.0339! Belgique.............., Italie . . 0.0526i Suisse . # 02315i Hollande..............j Allemagne . . . (1.1(028! Suède . , .. 0 2577' Norvège . . . 0 2511' Danemark . . . 02231Tchécoslovaquie 0 0351

i Brésil . . .. 0 0335! Pologne 0 1901Autriche 0.1893Hong Kong 0 3135

i Yen ... 0 2913Dollar canadien : 1-32 p. c. escompte

Janvier 1938

LES DENREES

Séance du BEURRE, comptant

Quebec O II 30*4 à 31 Venter. 200 boite» Québec G H 31

FROMAGE, comptant:1 Non coté.

Montréal. 7. 'P.C.» I-rv prix (oeufs, comptant de.s produit* de la ferme étaient i Ontario Agios 2.:> E-m-auim 23 stables sur le marché de.s denrées, JnUm°3Ô'Ur 21 B'*ros ‘!n hier. Le benne a coté 30 3-4-31 j transit sous la livre par quantités de wagons ; Bru ht rt. from»u non cul.

'*■ * “tnlr:sans ohangemtiit

A* B-me-

Do \ 1-2 1956 i N B 3 1901 . . «

Do 4 1-2 1961 . . . . I N 8 3 1950 ■ - .

Do 4 1-2 1960 . . • . : Ont 4 1962 .......

Do 4 1-2 1949 .............i Que 3 !951.....................

Do 3 1-4 1949 . . . ■ Sask 4 1954 .. ..

Do 4 1-2 1951 ... Municipale»:

i Mtl \ 1945 .....................Do 4 1-2 1971 . . .

, Que 4 1-2 1950 IT RU 4 1-2 1956 .

MU Cath Sch 4 1048 . . Mtl Metro 4 1 2 1962

Do 4 1947 Kails et navigatMin:

C P R 4 1949 . . . «i Can 88 5 1957

Ltilltts r’ihliques: Beailhar 5 t973 . . .Bell Tel 5 I960 . .

J Gfit Pow 5 1956Do 6 1941 . ...

tnt H Kl 6 1944 M L H A-, P 3 1 -2 1956 MU Train 5 1955 Shav 4 1-2 1970

Do 4 1961| Unit Sec» 5 1-2 1952 » Industrielle*: i Abitibi 5 1953 . ., Brown A 1-2 1946 Can Cem 4 1 4 1951

’ Can Vick « 1947 . . .Icon P 5 1-2 1987 . .Donn P 4 1-2 1956

; Fraser 6 1950 G S Wares 4 1-2 1962 .

I Great I, P 5 1955 Minn A Ont P 6 1947 .Price ft 1957 ...................

Do 4 1957

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102U 94

108 106 Mr 109 U 95’ « 96 61 72 1

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102034 b 71 9894 V»933095 98

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98774

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1024 754

105*4 102

Kinp Kirk ................. . .. 1’Kenricla........................................... 25

j Kewdgaua............................... 12Kenecho - 3Lafayette .. .. .. .. •» .. 14I Luke Geneva........... .... 23Lakfhill .. .. . .. . - 1Montigny................................

: Lake Rowan.......................... 21Lamaqiie................................. 675!.. L. Lagoon ..........

! LeRoy......................... 5Magnet Lake . 74Man. Basin, nouv..................Martin Bird .. ...... 49

i Margaretj McCarthy W............................ 13I Moffatt Hall . • 2

Moffatt nouv.......................... 6I Mooshla...................... .. 7

Mosher L. L. ......................... HNorlako....................... ». .. 4Nortrac..................... •• •• 4No. Ghore . . .......................Ob a Is k i.................... .. .. 1Oklend.................... ............ 0O'Leary M. .. .. HOpemiska C. . • •• *............ jj'sOriole *• ^ ̂

61 4 584

10196 48 74

10197 95 389899

vrler aux actionnaires inscrits le 15 I ou moins. Les prix pour les détail-, janvier. lants étalent de 31 1-2 sous et de1

Toburn IVtines Limited. 2 sous plus 32 sous. Les arrivages furent de 1 sou. payables le 22 février aux 877 boites. Les oeufs classifiés se actionnaires inscrits le 22 janvier. ! vendant par quantités do wagons ou

moins ont coté 25 sous la douzaine

4 de icent.

Janvier 30*4 Février 314 Mars 314

31.

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ABITIBI PAPER CO.Toronto. Ont,. 7. — O,-T, Clark-

son, liquidateur et gérant de TAbltl- bi Paper Company, u annoncé que le moulin de Sioux Falls de la com­pagnie va marcher seulement trois Jours )>ar semaine en Janvier et que cet exemple sera vraisemblable-

porc. Lake.............i Potterdoal..............1 Rajah....................| Rrd Gold . . .. ..Rtbago....................

| Rter Lake..............; Rout hier Cad. ..[ Ru bec......................I Send River.. .. ..I 8c h rHber..............! Skookum ..: Bmelter»..............! Springer Hturgeon I Stanley Go’d .

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113

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705

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1034

183

405424

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372534R2*/4

10 24

11ftH5 8

293

commerce do gros au Canada, d a-1 cona avajt produit pour $36.883. Le près des rapports reçus de ptesque. rapp,,,^ de Futterer and Reid. in- de 300 maisons de gros operant ^ g^nieurs conseil, qui viennent de ter- dan.s neuf lignes differentes, miner l'examen do la propriété, seramente de 6.7 pour cent en novembre env0y^ solls pp,, ;u, pureau-chef.comparativement a la période cor-: ______respondents de 1936. mais elle accu-1 Parkhili Gold Minesse une baisse de 10.4 peur cent surjle mois précèdent. L'indice s’éta- : G. F. Racine, secrétaii'e-trésorier blit à 96.2 contre 107.4 en octobre! de Parkhili Guld Mines 0 9371 Li- et 90.2 en novembre de Tan dernier, j mited, a envoyé le communiqué sui- L .s totaux des premiers onze moisi vaut, au Curb de Montréal: "Le pré- de Tannée montrent une augmenta- ! sident de la compagnie Parkhili me lion d'environ 11 pour cent sur la | prie de vous aviser qu'une requête période correspondante de 1936. j de mise en liquidation a été présen-

Présentés séparément par régions j téff à la compagnie et qu'elle sera économiques, les résultats indiquent rapportable devant le régistraire des

_____ I qUe les ventes au gros en novembre j faillites, à, Montréal, le 14 janvierOttawa, Ont., 7. — L. exporta- i augmentent dans toutes les divi- j prochain .

tions canadiennes d'amiante en ; siens comparativement à Tan dev- ; “ _novembre sont de 20.741 tonnes ($l,-jnier. Les Provinces Maritimes| Eldorado Gold152,035) contre 16,373 ($845,245) en j montrent un gain de 10 pour cent, Ridorario Gold

tonnes vont aux Etats-Unis, 3.812 a.vinces de.s Prairies de 6.8 pour cent,, nrocramme d'exuansionl'Allemagne. 3.730 au Japon et 2, j ,ft Colombie Britannique dé 6.6 pour,

re. Gilbert - A. LaBine, président, a dit qu'au cours de Tannée écou­lée. il a été fait 8.000 pieds de creusage en profondeur sur la pro­priété. H y a actuellement 125 hommes qui travaillent à TEldorado Mines. Le coût de l’énergie élec­trique a diminué depuis l’installa­tion du nouveau moteur Diesel.

406 au Royaume-Uni. Les exporta-' cent et le Québec de 5 pour cent, tions totales des huit mois finissant j . „ , ,le 30 novembre sont de 146,225 ton-: J ’ A E?rpNT.MKT Alne: contre 92.217 la même période Le cours de

1£36' , • ^ .. i l'arpent-métai étaient inchangés ouLes exportations de sable et de-| mieux cle 2o points, ce matin, sur

chef, d amiante au cours du dernier :11 f'1 ....... «vshonœ

La production d'électrlcltc auxsous pour B-moyens d'entrepôt.. Les | les no 2 à 35-40 sous le sac. Les ment suivi par les autres moulins dearrivages furent de 627 caisses. Le Montagnes No 1 du Nouveau Bruns- la compagnie M Clarkson a laissé Etats-Unis durant la semaine mifromage blanc et coloré de TOnta- wlrk ont coté 65-70 sous le sac d entendre à Canadian Dow Joncs 1er janvier 1938 a diminué de J.Jrio a coté 14 1-2 sous la livre. Les 80 livres, les Montagnes de file que les commandes en carnet pour pour cent par rapport à la semainearrivages furent d’une boite seule-1 du Prince Edouard No 1 ont cote la période présente peuvent être correspondante de 1937. La semal-ment. Les pommes de terre bian- 80-85 sous le sac de 90 livres, 70-72 exécutées en faisant marcher les ne précédente, Il y ' rhes no 1 du Québec seà 57-60 sous lc*rtic de 80 livres et le sac de 50 livre.

'e Canadian Commodity Exchange ,$297.1521, contre 16.693 ($275.151)., ^c. Les cours offerts étale«t les sul- Les Etats-Unis en absorbent 13,2451 vants: janvier 43.50, mars 43.10 ettonnes .tandis que l'Allemagne figu-imal 42'8U'______________re pour 2,825. Les exportations to-f taies de.s huit mots sont de 136.501 tonnes ($2.275.2441, contre 117.142 ($1,908.258).

REPUBLIRUE DE COLOMBIENew-York, 7. — Le comité des

obligataires pour la république de la ! Colombie annonce la démission duj 1 New York Trust Company en quali - | té de eo-dépositairc pour le comité, i Cette décision a été prise parce que la New York Trust Company agis-

! sait aussi comme fiduciaire pour Tune des émissions de la Colombie

, et qu'il aurait pu y avoir conflit i d'intérêt entre ces dieux charges, i Corn Exchange Bank Trust Compa­ny demeure la seule dépositaire

I maintenant. Les certificats de dé- | ix>ts n'auront pas besoin d'être i changés attendu qu'ils seront hono­

rés par la Corn Exchange Bank Trust Company même s'ils sont si­gnés par la New-York Trust.

PAIEMENTS AUTORISESLa Commission Municipale

Québec annonce que la paroisse de St-Honoré. comté de Chicoutimi, et la commission scolaire de cette mê­me paroisse ont, été autorisées à pa­yer les coupons d'intérêt suivants sur leurs obligations en souffran­ce:

Paroisse de St-Honoré. coupons d'intérêt du 1er mal, du 1er août et du 1er novembre 1936;

Commission scolaire de St-Hono­ré: coupons d'intérêt du 1er novem­bre 1933

Ces coupons pourront être dé]»

PRETS AU* COURTIERSWashington, 7. — (P. A.) Les

banques faisant partie de la Fe­deral Reserve dans la ville de New-York ont diminué leurs prêts aux courtiers et aux agents de ehange durant la se­maine de S45 millions au to­tal de $674 millions. Les prêts s'élevaient à la même date Tan dernier â $1,042,000,000.

v......................... .................... ... __________ 11 y avait eu augvendirent I sou» le sa< de 80 livres et, 50 sous moulins de la compagnie trois»Jours mentation de 2-10 de un pour cent j sés Immédiatement à la banque et

par semaine. » re sujet. 1 ils seront honorés sur presentation.

charte- H. Parités, directeur rie l'orien- ! ; --.ton professionnelle de Utilities Engi-

,,,, peering Institute cie Chicago, pour Ir cil , matisatlon de lalr et la refrigeration, a

qui on u confié le soin rie rholstr les can­didats qui peuvent être qualifiés pour sui­vre ce cours. On pourra obtenir une en­trevue en communiquant avec M Parités (v l'Ho tél Bt-Hoch.

M Parkes sur la recommandation de la compagnie qu'il représente adresse le mes­sage suivant aux intéressés - Plusieurs catégories d’hommes prendront connais­sance de cette communication mais celui- là seul nous Intéresse qui remplit les con­ditions suivantes.

Il n'est pas indispensable qu 11 connais­se la réfrigération électrique ou la cli­matisation de lalr. mais par contre 11 doit Hre d’intelligence moyenne, avoir des aptitudes pour la mécanique, ne crai­gnant pas le travail et anxieux de se perlerüonner. en outre II devra être dé- iireux lie consacrer une heur- ou deux chaque Jour à cette fin. (ANN)

PROVISION SUR LA REPRISE

Umt analyse sur les con­ditions et les perspectives desalTaireset des marchés mobiliers pnraît dans notre récent bulletin.

Copie sur demande

Greenshields & CoMembres fit' la Hoursr dr Montréal

et du Curb de Montréal

Priei» Iluiisr, Suite i26 Québec

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Page 15: O^T XT¥¥ - BAnQ

LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 JANVIER 1938 15

BOURSE DE NEW-YORK BOURSE DE MONTREAL

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167% 171 167% 17048 49% 47% 46%

1% 1% 1 % 1%41 42 41 4275% 79 75% 7925 25% 25 25%12% 12% 12 12

3V4 4 3% 419% 20% 19% 20%13% 13% 13% 13%12% 13% 12% 13193 , 20 34 1 93449 V4 51V4 4926 V4 26*4

20 V4 51V4 26,<

148 U 149 Va 147 V. 149 «BVa 69 Va «8 Va 69 Va 13% 12 Va 11% 12 4 Va 4 Va 4Va 4 Va

2 8 Va 28% 28% 28 «a63 65V. 63 653b32% 33% 32Va 33Va 7

36 207 «

3 Va 4%7%9%

1413%31 Vi 62

9% 5 Va

19 93n 8

14 7 Va

85

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503'4 117 V.22 Va 1788%IVa

34%23 Va 225«9%

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4% 4%

19% 17% 23 Va 16

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7% 7 7%38% 36 38%21V$ 20% 21 Va

4 3 Va 44% 4% 4%8% 7% 8%9% 8% 9%

15 14 1513% 13% 13 Va3 IVa 31 31%63% 61 Va 6334% 33% 3426 24 Va 2623 21% 239% 9 Va 9 V45% 5 Va 5 Va

19% 18*4 18%10% 9% 9%8% 8 8%

15% 14 15%7% 7% 7%

91% 85 91%16 15% 1642 Vii 40% 42 Va34% 33% 34%

1% 1% 1%53 Va 50 53 Va

120 117% 12023 Va 22 Va 23%17 17 178% 8 8%8% 8% 8%1% 1% 1%

37 34 Va 3723 % 23% 23%24 22 Va 24

9% 9% 9%42 40 4259 Va 59 59 Va39 37% 39

4% 4% 4 Va17% 16% 1725 23 Va 2523% 22 Va 23 Va

7 Va 7 Va 7%42% 4 IVa 42

117 112 116 Va167 165 16718% 18 Va 18 Va8% 8% 8%

12% 11% 12 Va4% 4% 4%5% 4 Va 5%

20% 19% 20%17% 17 Va 17%23% 23% 23 Va16% 16 16 Va43% 42 Va 43%31% 3 IVa 3 IVa

1% 1% IVa33% 31% 33%22 10

2V/h 22 Va 15V4 16 Va

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10 Va 11 Va 64 Va 66

21 Va 2212 15 Va 16 Va

20 Va 19 Va 20 Va 1% IVa 1%

23% 21% 33% 9 9 Va9% 10 Va 79ViIVi

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165 16512% 127

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1988Bas Ferm.

9% 9%164% 164%

12% 12%33

53%

53%

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1011 Va 12%

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10% 64 Va

11 Va 66

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3 4 Va 35% 34% 35% 31% 31% 31% 31%6%

78O1/*

6% 6% 81% 78

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6 V 80

7 Va13 Va 13% 13 Va 13% 3 8 Va 40 Va 38% 40 Va

16 15 V15 Va 1611% 11% U Va 11%

4% 5 Va 4% 5%4 7 Va 48 Va 47 Va 48%16%20 Va 21 29 29 V

17 Va 16% 20

21%21%9IVa 2 Va

32% 346

10% 11% 10% 11%

22239%IVa2%

292 IVa 21%

9l'/a 2 Va

16 V.21 Va 29%22 23

10 Can Br . 38 38 38 381020 Can Car . 10 Va 11 10 V« 10%370 Do Pri . 21% 22% 21% 22780 Can Cel 16% 17% 16% 17%155 Do Pri . 105 105 105 105100 Can Cem 11VÂ 11 Va 11 11 Va250 Can In A A 4% 4% 4 Va 4 %335 Do B . . 3% 3% 3% 3%130 Can Loco 9 9 Va 9 9 Va506 Can P Ry 7 Va 7% 7 Va 7%

8Can St . 2% 2 Va 2% 2%80 Do Pri . , 9 9 8% 8%

465 Cong Sm . 59 61% 59 6130 Dist Sea . 14% 15% 14% 15 Va

170 Dom Br . 31% 31 Va 31% 31%50 Dom Soal P 20 20 19 Va 19 Va

4110 Dom St B 15% 16 15% 16155 Dom Tar . 7% 7% 7% 7 Va170 Dom Tex 65 65 Va 65 65'a

35 Electro . 14% 14% 14% 14%100 Found Co 13% 13'% 13% 13%

61 Gatineau 9 9 9 940 Do Pfd . 77 77 75 Va 7 5 Va45 Gen S W. 7% 7% 7% 7%

Gyp L & A 7% 7% 7 Va 7 Va5 Ham Br . 8 8 8 8

10 How Sm . 14 14 14 145 Do Pri . 98 98 98 98

1090 Imp Oil . 18 18% 17% 1895 Imp Tob . 13% 13% 13% 13%

3979 Int Nic . 47 48% 46% 48%25 Lake Sulp 12% 12 Va 12% 12%

405 M Harris 7 7 6% 710O McColl F 11 11 11 11

1523 Mont Pow 29 Va 30 Va 29 Va 30255 Nat Br . 38 39% 38 39%535 Nat St C 36 36% 36 36%540 Noranda . 55 Và 56% 55 Va 56 Va

25 Ogilvie . 29 Va 29% 29 Va 29%500 Price Br . 15 15% 15 15%

10 Q Power . 16 Va 16% 16% 18%100 Rég Knit 9 9 9 9

70 Shawin . 20 20 % 20 20%460 St Law C 5 5 Va 5 5 Va’195 Do Pri . 16 16 Va 16 16 Va770 St Law P P 45% 45% 45 45%365 St, of C . 67 Va 68 67% 68220 Unit St . 5 5% 5 5%145 Winn E A 2% 3 2% 3

BANQUES:

59173300185

59177300185

2 Canada .110 Commerce 21 N Ecosse

7 Royale .OBLIGATIONS:

$2350 Mont Pow3 p c 1939 50% 50Ve 50

Ventes: 29,800.

59 59172% 177 300 300185 185

CURB DE MONTREALCours fournis par L.-G. BEAU-

BIEN & CIE. 70 rue St-Pier­re, Québec. Tél. : 2-1521SEANCE ni. «JANVIER IKM

ntes Titres Ouv. Haut Bas Ferm550 Abitibi . 2 % 2 Vu 2 2Vi490 Do 6 pr 18 18 17% 18321 Asbes V T 59 59 Va 58% 59

6 Beauhar . 5 Va 5% 5 Va 5 V30 Br & Dist 5% 5% 5% 53.50 Br. Corp. . 150 150 150 1505 Do priv. 16 16 16 16

20 B. A Oil 21 21 21 2166 C Malt, . 34 34 Va 34 34 v:50 C. Marco. . 125 125 125 125

2861 Cons Pap.90 C. Vickers 40 Do priv.

145 Donn. A . 160 Do B .405 Ford A 185 Fraser V T 620 Falrch A 300 Int Ut B

10 Lake S. J.25 McLaren .

5 Page H. . 155 Royalit.110 Walk Brw

10 Walker . MINES :

6% 6 Va6% 6

22 21 6% 6 Va

6 6 6 16% 16 Va 163 14 Va 14%

5 Va

21 6 Va

6 Va 6 Ve

22

16 Va

5 Va80 80 8024 24 2416% 16% 16 91 91 9145 45 Va 45

160 160 150

14% 14 Va5 5

802416%9145 Va

15042% 42% 42% 42%

3000 Alderm. . 55 56 53 56Base Met. . 31 34 31 33

6300 Big Mis . 44 49% 44 48 V?1500 Big Kirk 35 35 25 25300 Bouscad . 10 10 10 10640 Bulolo 26% 27 26 % 27100 Can. Mal. . 103 103 100 103

32% 346 6 Va

19 Va 18 V

19% 19 Va 19 V17 16 Va 17

13 Va 14 Va 13 Va 14 V 22 Va 22% 22 Va 22%28Va

7%3%

28 Va 7 Va 3%

28 Va 28 Va 7% 7 Va

17 Va 182Vi9%

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3% 16% 2 Va

3%182%

1020% 21% 20% 21 10% 11 Va 1$% 11 Va8 Va 8 Ve 8 la8 Va 8% 8 Ve 8%

13% 13% 13% 13% 22 23 Va 21% 23 Va10 Va 10 Va 10% 10% 27%

4 Va27 Va 28

4 Va 4% 9% 10Va

43 43

28 5

10%43 4321% 22 Va 21 Va 22% 32 Va 33% 32 Va 33 27 Va 28% 27 Va 28% 4014 42% 40 Va 42 Va 32% 33 Va 32% 33% 31 33 31 3311 Va 12 Va 11% 12Va6Vb4 V

19

«Va4%

194 Va

19

G % 4%

1912% 13 Va 12% 13 Va2%

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182%

1944 la 45 Va 44 Va 45 Va31 Va 35 31% 3527 27 Va 27 27%

Ve % Va % 58 59 Va 57% 59 Va13% 14 Va 13 Va 14 Va 8% 8 Ve 8% 8 3/e

20%15

21 Va 20% 21% 15% 14% 15%

18% 19% 18 Va 19 Va24 24 Va 24 24 Va11% 12 Va llVa 12 Va

19 19 V» 18% 199 Va 8%4%

30 Va 31% 30 Va 3 IVa 48 V

10%8 Va 4%

9%8 Ve 4%

10% 8% 4 Va

48'34 Va

50 Va34 Va 35 9% 10%5% 6 V8

40 U 42 Va 40 28 Va 29 Va 28

15% 15 44% 43 54

9 V 75 V 85

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16 43 54 9 Va

73% 84

9 Va 10% 5 Va 6 Va

42% 29% 15 Va 44 % 54 9%

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73% 75%84 85

26% 27 26 Va 26%40% 41% 40% 4 IVa3%«Va

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60% 6211 21 6 Ve

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11 Va J1 21 21 6 Vi

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60% 62 11 Va

27 Va 29 5 5 Va

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21

27 Va 29 5 5 Va

24 Va 26 24 Ve 2658 Ve 59 Va 67 Va 59 11 111 65 66

11165

111«fl

Van&dim.i 16 Va 17% 16% 17 VaWarner Pic . . 8 Va «% «Va 6%Western Union . 28 Va 26 25 Va 26West. AJr Brak. 35% 26 Va 25% 26 VaWesting Elec 102% 105 102 104%Woolworth . . . 37% 39 37% 39Worthington P. . 17 18 17 18Wellow Truck B 9% 10% 9% 10%Youngstown 8 40 Va 41% 40 Va 41%‘'Aenith Radio . 14% 15% 14% 15%

6550 CentCad . 1 Cent Pat.

500 Conà 500 Duparjj

8100 East 1150 Eldora

Fal Nick 800 Franc.400 Home O 100 Hud Bay .

1100 J M Cons 325 Lk Shore

Lebel . 1625 O’Brien . 1700 Pandora .

14733 Parkhill 900 Perron 300 Pick Cr

Pioneer 860 Read Au 500 Red Crist

1500 Shawkey 2696 Sherritt .

335 Slscoe 41300 Stada.

200 Sulliv . . Teck H .

8000 Thompson Ventur

2000 Wood C . Ventes : 124.200

36240

316

121237570

47133

2417

3924031

612423660047

1332517

52% 52 13

530 45 3

106 505 310 430

38 23

135 335

32 102 560

13 535

45 4 Ve

107 510 315440 ■

38 23

148 335

38 102 565

. 33 33700 72036 36

4500 Lam Cont 2600 Lapa Cad 2205 Lava Cap 5000 Lebel 1000 Lee G .

10400 Leitch 1255 Little L L

193 Loblaw 1600 Macassa 250 Madsen

2500 Man A E. 615 M. Harris 126 McColl . .

1800 McKenz 690 McVitt

1200 McWatt. . 1000 Mercury . 6600 Min Corp

11602 Moneta 100 Moore

6200 Morris 1000 Murphy .

50 N Grocer 2000 Newbec 5500 N G Rose

160 Nipiss 1450 Noranda

160 Norm Min. 3700 Nor Can 2895 O’Brien . 3550 Okalta . 6500 Olga . . 3180 Omega 6100 Pacalta

25 Page H. . 18784 Pamour 5100 Parkhill .

28500 Partan.1500 Paulcre .

10400 Paymast. 2725 Perron 2250 Pickle Cr 1025 Pioneer 7500 Powell 2900 Premier . 4850 Preston 1300 Que Gold 1300 Quemont . 600 Read Au

1500 Red Cr . 9400 Red Lak 500 Reeves

1500 Reno .3500 Roche . .

320 Royalit 2500 St Anth 1300 San Ant . 500 Shawkey . 200 Sheep Cr

10610 Sherritt .1890 Siscoe

34900 Sladen 500 Slave Lak

1000 South Pet 45500 Stadac . .

740 Stl of C. 3975 Sud Bas 1500 Sud Cont

800 Sulliv.1350 Sylvanit. . 1916 Teak H. 2700 Texas .

500. Toburn . . 35 Toront. E.

4050 Towag.3150 Uchi Lak

35 Un Gas . . 2500 Un Stl C. 825 Ventur. . . 100 Vulcan .

6814 Waite A. 1378 Walker . 430 Weston 500 Wiltsey .

3525 Wright 5100 Ymir

CURB : Brett .C. Malt. Coast C. . Dal Oil .D. Bridge East C O Honey Hud Bay Int. Met.N. SU Car OU Selec Pend Or Robb M. Rogers . Shawin.S. Paving Temisk.

: 1.032,000

442

100132%

97540

23515149

2%7

11103

4 V4 42

102 13 2%

98 550 23%

515 149

2% 7

11 105

14% 15 190 195134 142136 13930 3052 V4 52%

4 4%42 42

100 100 13 132% 2%

96 96

LES PRIX DE LA COOPERATIVE

PRIX DE REMISE DE LA COOPERATIVE FEDEREE DE QUEBEC Succursale de QUEBEC

Semaine finissant le 1er janvier 1938 POULETS ABATTUS 'Engraissés au lait)

Prix de1 a

54023

510145

2%

545 23 Va

510 145

2%

remise fournis Coop érative Fédérée.

par

14 V* 14% 32 3217% 17%

198 210230 238

32 3218% 16 2% 2%

6% 711 11

103 10314% 14%32 3217% 17%

195 209228 235

32 32

2250150220185200

15950180929135320

100018580

1000105

503200

Ventes

7%3%

30 200

55 90 65

530 212

5 40 12

92 385

3 Va 10 16 65

108 505 310 185 202

. 112 , 70

8. 435

37. 21

53 58 1145%

. 13137

22 94

136 . 330

100 11

. 6633

. 67 Va 325

13102 310 560 127 250

. 1656 96 13%5

70012017242%10%4%

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3106531

. 13% 60 24

7% . 36

3% 215

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203. 3

. 24

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152%7%3%

162%7%3%

30 28 28200 200 200

i 56 • 55 5695 90 9465 62 % 62%

545 525 545223 210 223

5% 4 y* 5Vi40 Va 40 40 Va14 12 14#2 91% »!»/«

410 385 405i 3% 3 Va 3%

12% 10 12%16 16 1665 62 64

115 108 109510 500 510315 305 315193 184 193210 200 206114 110 112

70 70 708 8 8

435 430 43537 37 3721 20 2053 53 5358 58 5811 Va 11 11%

t 45% 45% 45%13 13 13

140 137 14022 22 2294 94 94

145 136 145335 325 330107 98 107

11 11 1166 66 6637 32 36 Va

; 68% 67% 68%350 325 350

13 13 13102 100 100315 310 315565 555 560130 127 130250 250 250

16 16 1656 52 5696 95 95

i 13% 13 Va 13%5% 4% 5V«

720 700 700120 120 120179 172 177

: 43 V8 42% 43, 11 10% 11e 4 Va 4% 4 Va

795 760 770e 78 76% 78

i 8 7 Va 7 Va! 34% 34% 34 Va

325 310 32565 65 653 IVa 31 31%

i 14% 13 14 Va60 55 5525 Va 24 25 Va

. 7Mi 7 736% 36 36%

i 3% 3% 3%233 212 232

, 1% 1% 1%* 3% 3% 3%i 20% 20% 20%

.3 2% 2%24 2.3 24

____

LA COOPERATIVE FEDEREE DE QUEBECfournit les commentaires suivants sur lé

marchéBEURRE

Nos principaux distributeurs qui, depuis quelque temps, se montraient Indécis, n’opéraient que prudemment et préféraient plutôt écouler leurs réserves, ont démon­tré plus de vigueur au cours de cette der­nière semaine. Sans aucun doute, pour la plupart d’entre eux. leurs approvisioonne- ments sont maintenant beaucoup réduits et, conséquemment, obligés d'en faire un renovivellement.

Outre l’amélioration assez marquee dans la demande pour subvenir aux besoins lo­caux immédiats, il faut ajouter une aug­mentation dans les achats pour expédition dans les centre^ ruraux

Avec un tel regain d'activité, les déten­teurs sont actuellement peu empressés à offrir, demandent de meilleurs prix et ces facteurs contribuent à donner une allure plus ferme à ce marché.

D’ici quelques jours, nous aurons un aperçu des stocks entreposés par tout le Canada au 1er janvier courant. Entre­temps, tout semble indiquer une réduc­tion assez substantielle comparativement à la date correspondante de l’an dernier.

Au cours de l’avant-midi, le 3 anvier, au gros le No 1. Pasteurisé reclassé était coté de 30 3-8c a 30 l-2c la livre et le beurre frais de 30c à 30 l-8c la livre.

FROMAGECe marché est tranquille et les tran­

sactions limitées.Les arrivages de fromage frais obtien­

nent de 13 l-8c à 13 l-4c la livre. Cepen­dant. les fromages d’herbe plus âgés réa­lisent des prix plus élevés, suivant la du­rée de maturation.LA COOPERATIVE FEDEREE DE QUEBEC fournit les commentaire* suivants sur le

marché

VOLAILLES VIVANTES:—Les arrivages disponibles sont restreints

et avec une très bonne demande le5 prix demeurent fermes.VOLAILLES ABATTUES:—

La demande a encore été plus prononcée que la semaine précédente ét la vente très facile.

Par suite d'une assez forte réduction j d'arrrivages, 11 y a eu rareté de sujets de certaines catégories dont les prix accu­sent une plus grande fern été OEUFS:—

MONTREAL et QUEBEC:—Réellement, ce marché a été des plus dé- 1

concertants Après la dépréciation de prix , enregistrée la semaine dernière, nous | pouvions espérer une amélioration dans la demande, mais contrairement à l’atten­te de certains opérateurs, les arrivages ont augmenté considérablement et avec difficulté à les écouler, il a fallu accepter j une autre réduction de prix pour en trou­ver des acheteurs.VEAUX ABATTUS:—

MONTREAL et QUEBEC: —Bonne demande, peu d'arrivages et

marché très ferme.PORCS ABATTUS:—

MONTREAL et QUEBEC:—Marché ferme et tendance la hausse.

PRIX DE REMIJ|I.Semaine finissant le 1er janvier 1938

POULES VIVANTES et plus jusqu'à 5 Ibs jusqu’à 4 Ibs

A- 5 Ibs. et plus 28cA—4 Ibs. Jusqu’à 5 Ibs 27cB- 5 Ibs. et plus 28cB- 4 Ibs Jusqu'à 5 Ibs

POULETS ABATTUS25c

• Sélectionnée)A—5 Ibs 26cB—5 ibs. et plus 24cB—4 Ibs. jusqu'à 5 Ibs 23cC—6 Ibs. et plus 20cC—5 Ibs. jusqu'à 6 Ibs 19cC—4 Ibs. jusqu'à 5- Ibs 18c

VEAUX ABATTUSBons

POULES ABATTUES15c

l Sélectionnées»A—5 Ibs. et plus 20cA—4 Ibs. jusqu'à 5 Ibs 19cB—5 Ibs. et plus 18cB—4 Ibs. jusqu'à 5 Ibs 17cC—5 Ibs. et plus 15cC—4 Ibs. jusqu'à 5 Ibs 13cCocqs 10c

OEUFPA—(Gros 24cA—(Moyens» 22cA—(Poulettes; 21cB— 20cC— 19c

Sur les prix ci-haut mentionnés, nous retenons une commission de 5 p. c. aux coopératives affiliées et 8 p. c aux expé­diteurs individuels.

PORCS ABATTUSA--Bacon de choix 135 Ibs. à 160 Ibs 11 l-2c net. plus $1.00 prime.B—Bacon 120 Ibs. a 160 Ibs, 11 l-2c net.

LES COMPENSATIONSToronto, Ont.. 7 — (PC.) Les

compensations bancairee.s au Cana­da ont diminué de plus de $26 mil­lions cette semaine, par rappon à la semaine dernière. Aotonro a rapporté une diminution de $2 millions au total de $121,042,788. Les compensations globales furent de $356,528,430. Winnipeg a rap­porté une diminution de $6 millions. Vancouver. Halifax et St-Jean. N- B.. ont rapporté des diminutions. Montréal et Windsor ont eu des augmentations de plus d’un million de piastres dans chaque cas. Ha­milton et Sherbrooke avaient égale­ment des augmentations.

LES COMPENSATIONSLes compensations bancaires dans

la ville de Québec durant la se­maine finissant mercredi furent de $4,173,465 alors qu’elles avalent été de $4.288,736 la semaine précédente et de $4 122,149 la semaine corres­pondante de 1937.Boucher. 120 Ibs a 160 Ibs. 11c net Lourd, 160 Ibs a 200 Ibs, 10 1-2 cnet. Léger, 100 Ibs. à 120 Ibs 10 1 2c net.

BANQUE DU CANADAOttawa. Ont., 7. — (P.C.t Le

rapport hebdomadaire de la Ban­que du Canada pour la semaine’ du 5 janvier 1937 indique une aug­mentation de plus de $2 millions dans les dépôts du gouvernement fédéral et une diminution de plus de $3 millions dans les dépôts des banques à charte. La réserve en livres sterling et en dollars améri­cains a diminué de plus de $4 mil­lions. Les obligations à courte i échéance du Dominion et des pro­vinces ont augmenté de plus do $1.500,000. La proportion entre la réserve nette et les billets et dépôts | était de 52.53 pour cent au lieu de 53.31 pour cent la semaine précé-1 dente.

RECETTES DU C. N.Montréal. 7. — Les recettes bru­

tes du Canadien National durant la période de dix Jours finissant je 31 décembre 1937 furent de $1,722.048, au lieu de $5,110.624 durant la pé­riode correspondante de 1936. soit une diminution de $388.576 ou de 7.6 pour cent.

VENTES AU DETAILOttawa. Ont., 7. — Les ventes au

détail au Canada l'emportent de 8.4 pour cent en novembre comparati­vement au mémo mois de 1936, L’indice général s'établit à 84.1, contre 77 6 sur la base de 1930 à 100. Douze des treize genres de commerce sous revue augmentent. Les magasins de musique et de ra­dio avancent de 18.1 pour cent; les établissements de nettoyage et de

; teinturage de 17.8: les épiceries et les boucheries de 12.4; les vêtements pour femmes, de 11.2; les ventes rie magasins à rayons de 8.7; les meu­ble.'-, de 8; les drogues de 5; la quin­caillerie de 4.9; les bazars, rie 4.4 ; les restaurants, 1.7 et les bonbons, de 1.3.

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ministration du Curb de Montréal^ vient d’annoncer qu'U a approuvé la formation d’une nouvelle société par G.-H. Turpin, de Turpin and Co M. Turpln a donné avis qu'l! pre­nait comme associés à compter du 5 Janvier courant MM. J.-Emest Ba­vard, C.-F. Hart, et W. M. Hodg-| son. Le nom de la nouvelle firme [ sera Bavard, Turpln and Company.

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60 Biltm. . . B Blue R . .

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10 C. Cem.5 C Packers .

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75 C. Loco. . 6000 Can. Mai.

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2100 Darkw.660 Dist. Corp 790 Dome .

1225 D. Btl C. 000 Dorval

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25 Harding . 5530 Hard R.1000 Hargal 700 Hanker .

1500 HlghW.989 Holllng

1000 Homrst 11500 Howey

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30 Int Util 2000 J Waite f>700 Jacoln

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Gouvernement du Dominion du Canadaquant au principal et à l'intérêt

Ixi Banque du Cxinada est autorisée par le ministre des Finances à recetrdr, pour le compte de la Compagnie des Chemins de fer nationaux du Canada, les souscriptions aux titres suivantsi

Obligations 2%, quatre ans, échéant le 15 janvier 1942

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Obligations 3%, treize ans, échéant le 15 décembre 1950(rachrtahlcs le on après le 15 décrmhrc 1945)

Prix d'émission: 97.00% et l'intérêt count, rapportant environ 3.29% jusqu'à l'échéance.

Le* obligation* 2% seront datées du lô janvier 19,}8. les obligations 3% seront datées du 15 décembre 1937. Le principal et les intérêts seront payables en monnaie légale du Canada. les intérêts sur les obligations 2% seront payables franco semestrielle­ment à toute succursale canadienne de banque à charte. Les intérêts sur les obligations 3% seront payables franco semestriellement à toute succursale de la Banque canadienne de Commerce au Canada (sauf au territoire du Yukon).Ces valeurs constitueront une obligation directe de la Compagnie des Chemins do fer nationaux du Canada, dont le capital-actions est détenu par le Dominion du Canada. Le paiement du principal et de l’intérêt sur ces obligations sera garanti sans condition par le gouvernement du Dominion du Canada, en vertu de pouvoirs con-

' férés par le Parlement du Canada. Une. copie de la garantie apparaîtra au dos de chaque obligation.Le produit de l’émission sera affecté exclusivement au remboursement d’emprunts provisoires obtenus du gouvernement par la Compagnie pour le rachat de la dette consolidée qui est échue, et à des dépenses en immobilisations.Le paiement doit être fait en entier, y compris l’intérêt couru, contre délivrance da certificats provisoires, le ou vers le 18 janvier 1938.

.. _ Obligations 2% $1,000P 1 ' Obligations 3% $500 et $1.000

Les souscriptions peuvent être adressées au siège social de la Banque du Canada,Ottawa, par l'intermédiaire de toute succursale canadienne de banque à charte ou de tout négociant en valeurs attitré, qui pourront fournir, sur demande, des exemplaires du prospectus officiel contenant tous les renseignements voulus au sujet de celte émission. Le ministre des Finances se réserve le droit d’accepter les souscriptions en tout ou en partie.La souscription sera out'erfe le, 10 janvier 1938 et close pour rime ou Vmitre échéance,

ou les deux, sur ou sans avis, à la discrétion du ministre des Finances.

Ottawa, le 7 janvier 1938.

QUEL SERA LE VERDICT DES JURES

LATRAGIQUEAFFAIRE

DESCANNI­

BALES

BLANCS’’

EN SIX

EPISODES

NO. 4

Par L. Allen Heine

TViens, Steve ! C’en est as­sez! Quand un homme com­me Broohs O'Brien se dé- eourare.. c'est le temps

V d’arr

AttendsAttendsminute

Oudune

Le lendemain arriva, avec un beau temps clair, mais il n’y avait rien à l’horizon. La mer était calme, formant un trasique contras­te aver la tempête qui faisait rage dans les coeurs et les estomacs des naufragés

Notre Pere qui êtes aux rieux, jetez sur nous votre regard et pardonnez nous ce que nous allons faire par­donnez-nous bénlssez-nnns et sau vet-nons. Amen

( DE L'EAU.... DE L'EAl Ma gorge .ma gorge est

^ en feu !

- v <■

fopyrifhl. 1*37, hv C»rli!e

Crutcher. World Rifhta Reserved )

Deuxjours après, réconfortés de corps et d'es­prit par la chair et le sang de leur Infortuné camarade, les naufragés aperçoivent à l'hori-

Dieu soit loué ! Un navire vient droit sur nous !

TRAGIQUEAFFAIRE

C’est un vaisseauRegardez ma­rins. Regardez C’est un vaisseau!CANNI­

BALES

BLANCS”

EN SIX

EPISODES

\0. 5

A bord d'un na­vire de l’Ami­rauté en route pour l’Angle­terre.

Voilà notre histoire, capitaine ! Nous avons souffert de la faim et de la soif Nous avons vu la mort de près . mais c’ert la vérité je le jurerais sur l'Evangile Ayez pitié de nous !

Lmmenez-les, officier ! Donnez-leur à manger et à boire, faites-les se fa- ver mais soyez sur vos gardes ! Et survelllez-les de près ! Ce sont des meurtriers !

*5

/(Cepyr i|h*. 1*17. _Cru»f hPf. World RigMt R#

Page 16: O^T XT¥¥ - BAnQ

16 LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 JANVIER 1938

Le tournai Inédit de l’un des 15 rescapés( />«■ notre édition de 5 heure»)

(Droits reserves)!,<' ‘‘Soleil" est heureux de

publier en primeur le journal d’un des rescapés de la terrible aventure qui s’est déroulée du­rant le mois de décembre, dans le nord de l’Ontario. Ce journal a été écrit par M. Léonard Cyr, l’un des douze rescapés qui sont arrivés aujourd'hui à Québec.

(Par LEONARD CYR)

Le 24 novembre. — Il neige. J'ai fait un feu dans la ligne. Cet après- midi, j'ai bûché. Ce soir, je couche avec Roger Guénet.

Le 25 novembre. — Beau temps.Pète de la Sainte - Catherine. M.Guénet revient sans avoir trouvé la ! cache.

Le 26 novembre. — Fait beau. Je pars pour chercher la cache avec Léo Bemier et Edouard Cyr. Avons fait cinq milles et trois-quarts et ' avons couché près d’un lac.

Le 27 novembre. — Fait beau. Je prends une marche de deux milles j pour chercher la cache. Ne trouve rién. Edouard Cyr retourne au! campement.

Le 28 novembre. — Dimanche.Fait beau. Prends une autre mar­che et reviens le soir sans avoir rien trouvé.

Le 29 novembre. — Fait beau. M.Génet et Fred Guité partent pour un autre bord. Reviennent le soir sans avoir rien découvert. ,

Le 30 novembre. — Fait beau, nous ne travaillons plus. Cinq hom. mes reviennent à la rivière pour essayer de s'arracher la vie en pé­chant, Jusqu’ici, nous avons pris deux repas par jour.

Le 1er décembre. •— Fait froid.Ramène le campement près de la rivière Missiskabi.

Le 2 déécembre. — Gros froid. Rien pour déjeuner. Allons à la chasse et tuons 4 perdrix et deux lièvres.Ce soir, on dit le chapelet afin que quelqu'un vienne à notre secours.

Le 3 décembre. — Petite neige.Cet avant-midi, je fends du bois.Cet après-midi, j'ai tué un lièvre.Ce soir, chapelet.

Le 4 décembre. — Beau. Ai tué un lièvre ce matin. Signaux sur la rivière pour tenter d'alerter avion.

Le 5 décembre — Beau temps clair toute la journée. Ce soir, nous man­geons une assiettée de bouillon.

Le 6 décembre. — Neige. On des­cend à un petit lac pour pêcher trui­te.

Le 7 décembre — Neige toute la journée. Ce soir, rien qu’un bouil­lon pour souper.

Le 8 décembre — Jour de l'imma­culée Conception. Avoirs dit le cha­pelet à toutes les heures. Le soir, en- rosaire, core du bouillon. t Tisane,

DOUZE DES QUINZE RESCAPES DE MOOSONEE ARRIVENT A QUEBEC

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(De notre édition de 5 heure»)

Douze des quinze rescapés de la ter­rible aventure qui s’est déroulée, durant le mois de décembre, dans le nord de l'Ontario, sont arrivés ce matin à la gare du Palais. Sur les photos ci-haut, on voit d’abord en haut, à gauche, MM. Roger GUENET et Joseph DOKVAL, deux des rescapés ; et à droite, sur le quai de la gare, Mlle SI- ROIS, parente de M. Guénet, Mme G.-R. GUENET, le lieutenant co­lonel GUENET, qui dirigeait l'ex­pédition dans la région de la Baie James, et M. L.-P.-J. RUEE, maire de Lauzon. En bas, à gau­che, M. Louis-Philippe PELLE­TIER, qui était chargé de prépa­rer ie bois de chauffage et de la distribution des vivres au cours du voyage et qui a donné un récit au “Soleil" que l'on trouvera en pa­ge 15. A droite : MM. Alfred GUITE et Octave LAPOINTE, deux autres rescapés.

(Photos du "Soleil"

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;

Le 9 décembre — Gros vent. Ce i donné matin, avons pris lièvre. Ce soir, nous cours.

Le soir, disons le rosaire, N’avons rien mangé encore. Léo Bemier commence à se décourager. Nous nous efforçons pour l'encourager.

Le 28 décembre. — Beau temps. Coupons du bois, Le soir, disons le

Rien mangé de la journée. Le beau temps nous a re-

du courage. Espérons se-

avont dit le rosaire.Le 10 décembre — Beau temps.

Nous prenons un lièvre. Nous man­geons du bouillon le soir.

Le 11 décembre — Beau temps. N'avons pas mangé de la journée.

Le 12 décembre. — Beau temps, avons coupé du bois. Pas mangé de la journée. Nous nous encoura­geons entre nous.

Le 13 décembre. — Beau temps. Avons pris un lièvre. Un bouillon le midi. Le soir, chapelet.

Le 14 décembre. — Légère chute de neige. Pas mangé de la journée. Chapelet le soir.

Le 15 décembre. — Temps neigeux. Pas mangé encore aujourd’hui. Ce soir, avons mangé de l'écorce de bouleau. Chapelet avant le cou­cher.

Le 16 décembre. — Fait beau, avons coupé du bois durant tout l'après-midi. Faisons’ de la tisane d épinette rouge. Le soir, chapelet.

Le 17 décembre. — Temps cou­vert toute la journée. Prenons un lièvre. N'avions pas mangé depuis quatre jours. Chapelet le soir.

Le 18 décembre — Temps neigeux. Pas mangé encore aujourd’hui. Avons bu tisane d'épinette. Disons chape­let le soir.

Le 19 décembre — Gros froid. Vais à. la chasse avec Me Guénet. Tue utf écureuil. Reviens le soir bien fatigué. Chapelet avant le coucher.

Le 20 décembre — Très beau temps. Faisons bouillon avec l’écureuil. C’est tout ce que mangeons ce jour-là. Chapelet.

Le 21 décembre — Très beau. Un avion passe au-dessus de nous. Lueur d'espoir. Chacun s'encourage. On croit que c’est M. Houde. Rien à manger ce jour-là. Chapelet.

Le 22 décembre — Temps couvert. Grosse neige dans l'après-midi. On entend bruit avion, mais celui-ci ne vient pas à la rivière. Rien à man­ger. Chapelet.

Le 23 décembre. — Gros vent. Faisons feu sur la rivière. Rien à manger de la journée. Buvons ti­sane. Chapelet.

Le 24 décembre. — Neige. Pas sor­tis de al journée. Sommes à veille de Noël et aucun secours. Rien à manger. Buvons encore de la tisane. Chapelet.

Le 25 décembre. — Très beau. Aujourd’hui, Noël. Récitons le cha­pelet à toutes les heures. C’est le jour de Noël le plus ttrste de ma vie. Ce soir, nous disons le rosaire et nous couchons à 8 h. 30. N’avons rien mangé de la Journée. Seule­ment tisane.

Le 26 décembre. — Temps couvert. Récitons trois chapelets dans la journée. Cet après-midi, avons bû­ché du bois. Rien à manger, tisane. Chapelet.

Le 27 décembre. — Temps cou­vert. Lisons pour passer le temps.

Des détails inédits sur les recherches pour le sauvetage

Le 29 décembre. — Gros vent, n'avons pas sorti de la journée. Commençons à faiblir. Le soir, ré­citons le rosaire. Rien à manger. Tlsano seulement. Plusieurs d'entre ! nous sont découragés.

Le 30 décembre. — Très beau temps. Cet après-midi, à trois heu­res/ avion passe au-dessus de nous. A quatre heures, quatre sauvages ar­rivent; ils nous cherchaient. Us étaient partis de Rupert House. Us nous laissent des provisions et vont retrouver M. Houde à Rupert Hou­se. Le soir, mangeons bouillon fait avec farine et graisse, ainsi que du poivre et du sel,

Le 31 décembre. — Beau temps. Dernier mois de l'année 1937. Nous sommes tous encouragés et joyeux. Avons de quoi manger grâce à ces quatre sauvages venus hier. Ce soir, disons le rosaire.

Le 1er janvier. — Jour de l'an très beau et joyeux. Ce matin nous nous sommes souhaité bonne et heureuse année. Cet après-midi, un avion du gouvernement monte avec M. Houde et M. Baptiste Gaudreau. Us atterrissent sur ‘ la rivière avec provisions et de quoi fumer. Tant que nous en voulons. N’avons pas dormi de la nuit. Nous étions trop contents d'avoir été secourus. Avons dit rosaire vers minuit.

Le 2 janvier. — Temps neigeux. Monte avec Edouard Cyr au bout de la lignp chercher deux sacs de voyage. Revenons tard au campe­ment. Pendant la journée sept hommes sont descendus en avion à Moosonee.

Le soir, avons visite de deux avia­teurs qui. viennent prendre des po­ses photographiques.

Le 3 janvier. — Très beau temps. Trois avions montent chercher le reste des hommes. Nous transpor­tant à Nooeonee en quarante mi­nutes. Sommes reçus par le Père Oblat, Ce soir, avons écouter nou­velles à la radio. Encore faibles, mais joyeux. Allons rendre visite à Bemier qui est à l'hôtel. Il prend du mieux. Il s'était levé durant la journée.

Le 4 janvier. — Beau temps. Al­lons en avion de Noosonee à Ma- kamik. Faisons le trajet en deux heures. Prenons train spécial pour ne pas être dérangés. Avons soupé sur le train. Avons lits pour cou­cher vers neuf heures et demie. Cha­pelet avant le coucher.

Le 5 janvier. — Arrivons à Qué­bec à 8 h. 50. Reçus par M. Dutil. et M. Côté, surintendant des ar­pentages, M. Clément Lachevrotière et un grand nombre de parents et d'amis. Nous sommes conduits au Mountain Hill par M. Dutil. Reçus avec Joie.

(Copyright. Le “Soleil". 1938)

M. Georges Côté, chef du service provincial des arpen­tages, nous communique aujourd’hui des détails très intéressants sur les recherches grâce auxquelles on a pu sauver les 12 arpenteurs perdus dans le nord.

AVENTURES SANS PRECEDENT

(De noire édition de 5 heures)M. Georges Côté, chef du Service

provincial des arpentages, nous a donné aujourd’hui des détails iné'

la terrible expérience que ces hom­mes ont subi, il les a encouragés et stimulés par son propre courage, les incitant à réagir contre la torpeur de l’inanition et à continuer la lutte

dits sur les recherches qui ont ame- ; p0llr ia vie. C’est à lui que l’on doitné le sauvetage de l'équipe d’arpen tage arrivée ce matin à Québec, après avoir été perdue pendant un mois et demi dans les solitudes de la vallée de la Baie James. Depuis Noël, les recherches se poursui­vaient dans le secret, afin de ne pas alerter les familles des membres de l’équipe.

M. Côté a reçu un beau témoigna­ge de reconnaissance de la part des rescapés, à leur arrivée à la gare du Palais. C'est lui qui a constam­ment dirigé les recherches de son bureau de Québec, dans les circons­tance qu'il nous expliqua au cours de l’entrevue qu’il .nous a accordée. Malgré sa modestie. 11 est facile de comprendre l’importance du rôle qu'il a joué dans le sauvetage.

—■“Aussitôt que le département des Terres et Forêts a été informé du danger que courait l'expédition, rien n'a été épargné pour leur ve­nir en aide. J'ai été chargé de diri­ger les recherches de Québec. Je connaissais parfaitement les lieux et toute la région de Moosonee, ain­si que les habitudes des équipes d'arpentage. Je communiquai cons­tamment avec les chercheurs par télégramme afin de leur donner des renseignements propres à les gui­der.”

“Comment se fait-il que les re­

attribuer le mérite, s’il n’y eut pas de perte de vie. C'est le héros qu’il faut admirer dans le sauvetage.

“M. Rodolphe Houde. des Trois- Rivières, qui avait obtenu du minis­tère l'exécution du travail d’arpenta­ge dans la région de Moosonee a largement contribué au sauvetage. Depuis le 21 décembre, il a fait le possible et l'impossible pour secou­rir l'équipe. L’arpenteur J.-R. Gou- dreau, que M. Duplessis a dépêché sur les lieux, a également puissam­ment contribué aux recherches. Il faut aussi faire mention de M. R.-

POIRIER AUX CULTIVATEURS(De notre édition de 5 heures)

"Le crédit agricole ne sera com­plètement efficace que si l'argent mis en circulation dans nos cam­pagnes y est retenu, placé en lieu sûr et mis à profit en autant que possible pour des fins agricoles”. C'est ce que déclarait mercredi M. le notaire Eugène Poirier, président de l'Office du crédit agricole, dans une mise en garde aux cultivateurs contre les spéculations dangereuses. "L'Office du Crédit agricole, dit-il,

_______ a été créé pour diminuer les char-N. Duncan, du poste de la Cie àe la ges fixes des cultivateurs et leur Baie d’Hudson à Rupert House, qui permettre de régler leur dettes en a envoyé quatre indiens vers les ar- souffrance. Il importe, pour que le penteurs perdus. En un mot, tous et but de la loi du crédit agricole soit chacun ont donné le meilleur d’eux- pleinement atteint, que les sommes mêmes pour sauver les, 15 hommes d’argent versées aux créanciers des qui viennent d'échapper à une mort emprunteurs n'aillent pas s’enfouir horrible.” : dans des entreprises risquées, sou-

—“Est-ce que vous avez déjà assis- vent; plus ou moins étrangères au té au cours de votre carrière d’arpen- progrès de l'agriculture en général teur à une aventure semblable? N’y et chacun de nos cultivateurs en aura-t-il personne à blâmer dans ce . particulier.cas-ci, alors que 1 équipe na pu lé- M Poirier dit que c’est dans le do-pérer la “cache" où ils devaient trou ver des vivres?”

—“U est arrivé souvent que des ex­péditions d’arpentage se sont per­dues en forêt, mais je n'ai pas d'exemple à la mémoire. Vous savez,

I ajoute en guise de conclusion M. Cô- ! té. c’est là un des hasards du beau

maine agricole qu'il serait sage de di­riger les placements de rargent que le Crédit agricole a fait circuler. “Il existe, dit-il, dans toutes les régions

LES PENSIONS( De notre édition de 5 heures)

L'hon. Cyrille-F. Delàge. Surin­tendant de l’Instruction publique et président de la Commission admi nistrative du Fonds de Pension des fonctionnaires de l’Enseignement primaire, ayant reçu du trésorier de cette province le montant du semes­tre dû sur leur pension à ceux à qui elle a été accordée le leur fait par­venir aujourd’hui. Le nombre des pensionnaires est de 1,209 et le mon­tant qui leur sera payé s’élève à $175,900.00.

- Le vote féminin(De noire édition de 5 heures)

Montréal, 5 (P.C.) — Au nom­bre de ses demandes à la Légis­lature pour la prochaine ses­sion, le Conseil des Métiers et du travail du Canada inclut le droit de suffrage pour les fem­mes. C'est ce qu’annonce M. Gustave Francq.

(De notre édition de 5 heures)Rome, 5. iA.P.) — A l'issue d’une

conférence entre ie comte Ciano et l'ambassadeur d'Angleterre on ap­prend que l’Italie et la Grande-Bre tagne ont convenu de ne pas s'atta­quer l’une l'autre dans les radios qu’elles adressent au inonde arabede la province, des Caisses populaires ou des bureaux de banque qui assu­rent à l’argent un Intérêt sûr. Il faut faire en sorte que les argents dont la classe agricole dispose vien­nent en aide à la population rurale elle-même.”

“Cette initiative du crédit agrico le, dit M. Poirier, depuis si longtemps réclamée, sera beaucoup moins bien­faisante si l'argent mis en circulation dans nos campagnes n’y est pas re tenu, plaçé en lieu sûr, et mis à pro­fit en autant que passible pour des fins agricoles."

TRAVAUX POUR $10,000,000(De notre édition de 5 heures)

Montréal, 5. (P. C.) — Les directeurs du chemin de fer du Ca­nadien Pacifique ont annoncé aujourd'hui un programme de $10,000.- 000 de construction de wagons de fret. On a demandé des soumissions pour 2,000 “box cars” d'acier de 40 tonnes. La compagnie construit plusieurs autres wagons pour divers usages, et demande des soumis­sions pour 10 locomotives du type Hudson. D’autres construction* seront également en cours plus tard.

Georges Dagenais aurait tué Benoît, d’après son coaccusé

Maurice Guibord et Georges Dagenais, âgés de 22 et de 18 ans, sont tenus criminellement responsables de la mort de M. J.-Sylvio Benoît, marchand de tabac assassiné dans son magasin, à Montréal, le matin du 22 décembre.

L’ENQUETE DU CORONER

(De notre édition de S heures)

Montreal, b. iD. N. C.) — Mau­rice Guibord 22 ans et Georges Da­genais, 18 ans, tous deux récidivistes et l’un d’eux actuellement sous libé­ration conditionnelle du bagne, ont. ce matin, été tenus criminellement responsables de la mort de M. J.- Sylvio Benoit, marchand de tabac en gras, assassiné dans son magasin le matin du 22 décembre dernier. L’enquête du coroner sur les cir­constances entourant la mort de Be­noit était tenue ce matin et le jury décida de tenir les deux détenus responsables de la mort du mar­chand.

Une accusation de meurtre a été deux jeunes gens qui ont immédiate­ment comparu devant le juge sous une accusation de meurtre. Us su­biront leur enquête préliminaire mardi prochain.

Au cours de l'enquête le principal témoin entendu fut Paul-Emile Be­noît, le fils de la victime, qui était présent lors du meurtre.

Le garçon raconta comment l'un

vous saviez que Benoit était blessé mortellement, puisqu’il tomba?”

“Non, Je n’en étals pas certain, car je croyais qu'il était tombé sans connaissance sous le coup de l’émo­tion''.

Le coroner : “Mais vous ne croyiez pas qu'il avait pu être at­teint par la balle puisque vous aviez vu le feu au canon du revolver de Dagenais ?”

—“Je n’en étais pas certain. Dans une affaire comme ça, les victimes se jettent parfois par terre pour éviter d’être tuées.”

Guibord continua :"Dagenais me dit alors : “Pousse-

toi”. Mais il n'avait pas besoin d'insister, je me préparais déjà à fuir. Nous sautâmes dans l’auto, descendîmes vers la rue des Com­missaires, et par quelques rues dont je ne me souviens plus, nous attei gnimes l’endroit où l’auto fut aban­donnée immédiatement. (C’était en face du numéro 300 de la rue du Séminaire). De là nous nous rendi-

des deux hommes était entré dans mes jusqu’au tramways et nous re- le magasin alors que son père avait ! tournâmes au logis de Dagenais, à ouvert la porte. L'inconnu corn- 1212 Béni.

“En entrant dans sa chambre je remis mon arme à Dagenais. Celui- ci en retira les quatre balles qui restaient, s'en servi pour remplir les douilles vides de son propre re­volver et me remis l'arme afin que. je m'en débarrasse.

“Je refusai de la prendre, car je commençais à en avoir assez.

"Là-dessus je reprochai à Dage­nais d'avoir fait ça. Tu nous a mis dans un beau pétrin, pourquoi que t’as tiré dessus?

“Dagenais répondit : “Ah je sais pas. Mais j'aime autant ça de mê­me. parce qu’il aurait pu me re­connaître. étant, donné que j'ai déjà travailé pour lui il y a une dizaine d'années”.'

“Nous sommes sortis et nous nous sommes séparés”.

“Dagenais m’avait donné deux "tickets" de char pour que je re­vienne le voir durant la soirée, afin de voir comment seraient les nou­velles sur les journaux”.

om été entreprises si métier d'arpenteur..cherches tard?

—“C'est bien simple, l’équipe ne devait pas revenir à la civilisation avant la fin de décembre. D’un au­tre côté, au début de l’hiver, toute communication avec ces régions est impossible: les glaces ne sont pas encore suffisamment solides pour permettre l’atterissage des avions. Mais les recherches étaient com­mencées que le public l’ignorait, afin de ne pas alerter les familles ”.

—‘Y aura-t-i'. une enquête à ce sujet?

—"Je ne crois pas. Mais pour le moment nous ne devons coasidérer que la joie du sauvetage et féliciter ceux qui sont de véritables héros.”

M. Côté nous parle alors avec émo­tion de la conduite du chef de l'é­quipe, le lt-col. Roméo Guenet : — “Son état m'a paru beaucoup plus grave que celui de ses compagnons,” dit-il, “cependant, il a tenu à rame­ner jusqu'à Québec ceux dont il avait la charge. Pendant toute la durée de

POMPIER BLESSE(De notre édition de ô heures)

Le pompier Emile Frenette de la station No 1 a été victime d'un ac­cident, mercredi après-midi lors­qu’un couvercle d'un extincteur ! chimique, qu'il était a remplir, à sauté et lui a causé des blessures à la figure. Le pompier Frenette a été transporté à l’hôpital de l'En- fant-Jésus par l'ambulance Arthur Cloutier.

Le bill de Québec pareil à celui de Tan dernier

(De notre édition de 5 heures) Bassorah, Irak, 5. (C.P.-IIa-

vasl — Maryse Hilsz, célèbre aviatrice française disparue de­puis dimanche en volant de Sai­gon à Paris, a été retrouvée hier en Iran (Perse), à 45 milles de Djask. Elle était saine et sauve et son avion sans avaries.

Une entente au sujet de la production du papier

AU DEJEUNER DU CLUB KIWANIS

'?*♦;** M4

in/

L installation des nouveaux offieirrs du Cluh Kiwanis de Quétjee eut lieu ce midi, au déjeuner hebdomadaire du Club, a la salle Jacques-Cartier du Château Frontenac. On remarque, à la table d'honneur, de gauche à droite : M. Gérald Martineau. Mlle Marthe Lapointe, artiste de la ra­dio, MM. Maurice de Goumois. président sortant de charge Ross Mae Leod, le nouveau président, E.-C. Woodley, Gordon Ross et Raoul Fortier.

(Photo du “Boletr’j (De notre édition de i heures)

M. Hepburn eat en conféren­ce avec dea repréaentanta de la' Canadian Newaprint Asaociation, au aujet de la production du papier à journal.(De notre édition de i heures)

Toronto, 5. (C.P > — M. Hepburn est entré en conférence aujourd’hui avec les représentants de la Cana­dian Newsprint Ass'n. et l'on a ap­pris à Queen's Park que les gouverne­ments de Québec, et de Toronto al­laient s'entendre avec les papeteries pour contrôler la production du po- pier-journal.

"Le marasme qui se fait sentir dans les affaires aux Etats-Unis a une répercussion regrettable sur l'In­dustrie papetière, et nous envisa­geons certaines mesures pour contrô­ler la production”, a déclaré M. Hep­burn avant d'entrer en conférence.

Charles Vlnlng et J.-L. Ralston, C.R. représentant les compagnies ont rencontré MM. Hepbum et Hee- nan. Us avaient déjà rencontré M.Duplessis auparavant.

Le projet de loi municipal comprendra toutes sortes de clauses telles que la

, taxe sur les ouvriers étran­gers et l’électricité.(De notre édition de 5 heures)

Le bill de Québec de l’année 1938 ressemblera beaucoup à celui que la Législature a étudié dans le cou­rant de l’hiver dernier et nous ap­prenons de source assez sérieuse que le projet de loi municipal compren­dra de nouveau des clauses comme celle de l'électricité, de la taxe sur les ouvriers étrangers, etc.

On sait que le trésorier Barry a commencé la rédaction de ce do­cument important et qu’il est à pré­parer avec le vérificateur et l’avocat en chef de la cité des clauses ayant rapport à la gestion financière de la ville. Il reste cependant une fou­le d'autres clauses que les échevins voudront étudier mais on se deman­de à l'hôtel de ville comment on s'y prendra çette année pour abattre tout le travail que demande la pré­paration du bill de Québec.

L'an dernier, le maire et les éche- vias ont passé de langues heures a ce travail mais cette année il faut compter avec les élections dont la préparation est toujours un travail de longue haleine et qui absorbe beaucoup du temps que le maire et les échevins consacrent ordinaire­ment aux affaires civiques.

Il se peut que le bill de Québec ne soit pas étudié par la Législature avant les élections municipales si, comme l’an dernier, la cité arrive vers le milieu de la session au par­lement avec son projet de loi. On prête cependant à nos autorités mu­nicipales l'Intention de procéder plus rapidement cette année en ne pré­sentant qu'un projet de loi de moin­

dre longueur que l'an dernier.

mença à acheter diverses marchan­dises et un autre inconnu, identifié immédiatement portée contre les par le témoin comme étant Dage­nais, entra alors, tenant un revol­ver à la main.

M. Benoit s'empara dime boite de cigares et la lança dans la direc­tion du bandit qui fit feu à bout portant, le tuant instantanément.

Les deux bandits prirent alors la fuite. Ce ne fut que vendredi der­nier, le 31 décembre, que la police parvenait à les retrouver, l’un rue Iberville à Montréal et l’autre à Saint-Félix de Valois où il était de­puis la date du meurtre.

D'après les détectives qui ont ren­du témoignage à l’enquête, ce matin, les deux accusés ont fait des aveux complets. Plusieurs policiers témoi­gnèrent, ce matin, racontant les dé­marches faites afin de retrouver les coupables présumés.

Le Dr Rosario Fontaine, médecin- légiste de la province, fit le rapport de l’autopsie pratiquée sur le corps de la victime.

Guibord a rendu témoignage, di­sant :

“J’ai 24 ans et je demeure à 3461 Iberville. J'y suis né et j'ai tou­jours demeuré au même endroit.

“Je suis allé, le 22 (recembre der­nier, au magasin de M. Benoit. 420 Place Jacques - Cartier. J’étais en compagnie de Georges Dagenais, que j'était allé prendre à 7 heures du matin au 1212 de la rue Berri.

“Je suis allé chercher Dagenais dans une automobile Chevrolet 1937, que nous avions volée la veille au soir, à l’angle des rues Parthenais et Sainte-Catherine, auprès de l’édifice de la Dominion Oil Cloth. (C’est dans cette usine que fut tué le gar­dien de nuit Raoul Verdon).

"Nous avions eu soin, immédiate­ment après le vol de l’auto, de voler deux plaques de permis qui étaient sur une automobile stationnant sur un terrain vacant à l'angle des rues Larivière et Delorimier. Nous avions volé les plaques dans le but de dé­pister la surveillance de la radio- police.

“En partant de chez Dagenais, ce dernier m'a remis un “mackinaw” jaune, qui devait servir à me dé­guiser, avec une paire de lunettes que j’eus soin de mettre pour entrer dans le magasin.

“Dagenais me remit ensuite un re­volver chargé de quatre balles”.

A une question du coroner Prince, qui lui demanda d'où provenaient les deux revolvers, Guibord, avec un sang froid et un aplomb qui ont fait frissonner les spectateurs, ré­pliqua :

"C'est moi qui les avais remis à Dagenais après les avoir volés dans une banque, dans laquelle je m'é­tais introduit pour pénétrer dans un magasin où j’avais l'intention de commetre un \ ol. J'avais aperçu les deux revolvers dans des tiroirs de la banque et, me rappelant que Dage­nais m'agit demandé de lui pro­curer une arme pour sa protection personnelle, j'en profitai pour met­tre les deux revolvers dans mes po­ches”.

Le coroner insista : “Mais vous ne dérobiez pas les revolvers sim­plement pour rendre service à Da­genais ?”

—"Non, mais je désirais en gar­der un avec mol pour la “parure”.

Continuant son témoignage, Gui­bord dit : “Nous nous rendîmes di­rectement chez Benoit, suivant la direction que me donnait Dagenais, après m'aVoir dit qu’il connaissait l'endroit et qu’il y avait là beau­coup d'argent. Lorsque nous som­mes arrivés Place Jacques-Cartier, le magasin Benoit n’était pas ou­vert.

“Je conduisais moi-même et Je plaçai l'auto de biais, le nez vers le fleuve. Dès que la porte fut ou­verte pour les affaires rie la jour-

UN EVEQUE FRAPPE PAR

UN NIPPON(De notre édition de 5 heures)

Hankéou, 5.— (C.P.-HavHas). — On apprend qu’une escadre de bom­bardiers chinois a opéré aujourd'hui un raid de surprise contre Wouhou, ville occupée par les Japonais, 50 milles en amont de Nankin, où ils ont détruit 6 avions japonais et en­dommagé l’aéroport de la ville, en faisant pleuvoir sur eux 76 bom­bes. C'est le second raid en deux jours mené contre Wouhou par l'aviation chinoise revigorée.

Hangtchéou, 1er (par courrier a Shanghaï), 5.—(A.P.)—Après 9 jours de pillage, de désordre et de terreur, cette capitale du Tchékiang jouit enfin, dans une certaine mesure, de l'ordre et de la paix, la police ja­ponaise dominant maintenant la si­tuation dans la ville, dont la cap­ture par les Nippons remonte au 24 décembre dernier. Il appert que des Chinois et des soldats Japonais ont également pris part au pillage, ces derniers pénétrant souvent dans les maisons habitées par les étrangers, en dépit des drapeaux arborés et des affiches de l'autorité militaire nipponne interdisant l’entrée de ces demeures.

Aucun étranger n'a été mis à mal, mats on cite de nombreux incidents révoltants, l’un entre autres dans lequel un soldat nippon frappa au visage un évêque catholique fran­çais. Des soldats étaient entrés dans un camp catholique pour réfugiés et exigeaient qu’on leur livrât les fem mes. C’est alors que l'évêque, ayant voulu leur tenir tête, fut frappé par un soldat.

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“Le premier coup, apparemment, n'eut aucun effet, mais le second dut porter, puisque Benoit dhancela et s’écrasa sur le plancher.

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Benhier-en-bas, iD.N.C.) — Le 30 décembre ont eu lieu les funérail­les de M. Louis Mercier, âgé de 85 ans, décédé après une courte mala­die. Les citoyens de Berthler se rendirent en grand nombre à l'é­glise rendre un dernier tribut d'hommage à, ce vénérable octogé­naire.

La levée du corps fut faite par M le curé Barabé. M. l'abbé Arthur Douville,' supérieur de l'Ecole Apos­tolique. chanta le service, assisté comme diacre et sous-diacre de MM. les abbés Turbide Grégoire et Louis Belleau. du collège de Lévis.

La dépouille mortelle était portée par MM. Edmond Blais, Eleucie Offman. Adolphe Boucher. Joseph Buteau, Alphonse Mercier, Ulric Bi­lodeau. Portait la croix, M. Ernest. Offman. Conduisait le corbillard. M Joseph Mercier.

Le cortège funèbre était sous la direction de M. Thomas Blais.

Le deuil était conduit par son fils, Adalbert: ses deux filles. Mme Auguste Laflamme l'Alice) et Mlle Hectorine: sa bru. Mme Adalbert Meicier; son beau-frère, M. F.-X Ouellette, de Québec: ses petits en­fants. Mlles Bernie-Aimée, Rose- Marie Mercier. Marie-Jeanne. Ju­liette, Marie-Laure. Marie-Anna. Paul, Orner. Armand et Conrad La- flamme; ses neveux, Donat Mercier. Jean Mercier. Oiric Bilodeau; ses nièces, Mlles Alice et Juliette Bilo­deau.

Le défunt laisse en outre pour pleurer sa perte deux soeurs. Mine F.-X. Ouellette (Rosalie), et Mlle Eulalie Mercier, de Québec.

La famille a reçu de nombreuses offrandes de messes, bouquets spi­rituels ei marques de sympathies.

A la famille en deuil nous offrons nos sincères condoléances.

BERLIN (N.-H.)la fétr de NoH

La messe de minuit b été célébrée phi Monseigneur Melançon. assisté du Ré», Pere Halde e» du Rév, Perr Lauzicr. comme diacre et sous-dlacre. Il y eut du beau chant. Le choeur était dirigé par le Rév Père Dagenals et l'orgue était tou­che par M. le professeur J - A. Comtois. L'église était revêtue de ses plus beaux ornements de fêtes et était remplie à pleine capacité

—Dimanche, le 26 décembre, à l'église Ste-Anne, il y eut heure sainte préchéo par le Rév. Père Massicotte. Et comme c’était la dernière de l'année, il y eut ser­mon de circonstance. Il y eut chant par un groupe de garçonnets et fillettes con­duits par les RR. Soeurs de la Présenta­tion.

Le professeur NIMBUSrw—m——

Pourquoi ne pas échanger votre char pour un modèle plus récent. Les pe­tites annonces du "SOLEIL" vous fa­ciliteront ce moyen.

V

par DAIX

f f 2 m 1 I-------- M,j .

19)7, Open Mun4i F«««urr$ Syndicale, Inc

Page 22: O^T XT¥¥ - BAnQ

22 LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 JANVIER 1938

' Emissions choisiesVENDREDI, 7 JANVIER 1938

.1 h. 30 p.m.—CHRC—La Gaieté Parisien- n»—Un orchestre bien balancé avec Jean Casino, le chanteur parlsletu •j—un tout p'tit peu .Raoul Moretti ' a—Que feriez-vous . . . Raoul Moretti3— Quand une femme vous veut du bien

Eugène Gavel4— Le banc des amants . . .Fr. Grothé

■%—Martin Pescadon—PasquitaPrancisco Pracanico

♦ • *' 8 h. p.m.—WEAK—Lucille Manners, se-‘‘prano, avec un orchestre sous la direc- -tion de Rosario Bourdon. Le programme • comprendra les pièces suivantes : t/Air des bijoux de Faust . . .Gounod"Kiss Me Again..............................:?e5îert

aAnfy Arcady (Strikland) et avec M. Sim­mons, Tell Me That You Love Me Tonight

Bîxio* * •

H h. 3» p. m.—CBF et CRCK—Radio—F4-mina. — Pour la saynète que présentera Pémina à l'auditoire de Radio-Canada, le •vendredi. 7. à huit heures du soir, 11 sera question de la -visite, dans une école ména-

. gère, d un inspecteur général.Au programme, le Trio Lyrique et ja

Chronique de l'actualité féminine par Ma­dame Pierre Casgrain,0*0

9 h. p.m.—CHRC—Le piano classique — 'Récital par une artiste de Québec, qui in­terprétera les pièces suivantes :1—Bourrée en si mineur (Bach)J_Le forgefon harmonieux (Handel)3—Spring Dawn (Mason)• * •

9 h. 30—CKCV—Rêverie. . mélodie... Fantaisie... La REVERIE est une MELO-

r*DIE qui souvent devient une FANTAISIE. Ces trois réunies charment tous les ama-

r leurs de belle musique. REVERIE-MELO- ’blE-FANTAIBIE satisfont les goûts de tous '.parce que réunissant les paraphrases du sens musical, elles se trouvent le complé­ment du dilettante.

★ * ♦9 h. 30 p.m.—CHRC—Récital de chant-

Paul Fecteau. baryton, se fera entendre, .dans un récital de chant comprenant les pièces suivantes :1—Quand l’amour meurt (Crémieux)z —La maison grise (Messager)

3— Que je t’oublie (Chrétien)4— Plaisir d’amour (Martini)5— Le ■ flibustier iGeorgei

* * *9 h. 30 p.m.—CBF et CRCK—“Bonjour,

Paris, Bonsoir. !” — Lucienne Delvâî, José Delaquernère. Jeanne Maubourg. Henri Le- tondal et André Treich ont préparé le programme suivant :Paris..................................Théo. Mackeben

L'orchestreLa chanson du souvenir, Franz von Vecaty

Mlle Lucienne DelvaL contralto Ma rivière et son moulin . .Louis Malkine

Mlle Lucienne Delval, contraltoLa cubana ......................... ..... . .Marafiotl

L’orchestreSans pitié............................... Emile Deltour

José Delaquerrière, ténorDeux copains....................................Sylviana

L’orchestreLa chemise de l'archlduphesse.. Misrakl

Jeanne Maubourg, chanteuse Désir ardent . ... Ralph Benatzky

L’orchestreRestes mon camarade . . Paul Segnitz

Lucienne Delval, contralto La grève de l’orenestre . .Henry Rimmel

• • «10 b. p. m.—CBF et CRCK—Radio-Théâ­

tre. — • Transigeons”, c’est le titre d’une comédie que joueront les artistes de Radio- Canada sous la direction de M. Auguste Corcy, Cette comédie due à la plume de Gabriel d'Hervilliez a été créée récem­ment au Grand Guignol, à Paris, où elle obtint un vif succès.

La scène se déroule dans le bureau de Parados, agent d’affaires à qui Alfred Mo- rlsat, caissier infidèle, vient demander ai­de pour échapper à la prison.

Les autres personnages sont Mosca. se­crétaire de Farados et Forestier, patron de Morissat.

Les interprètes de cet acte seront MM. Corcy. Treich.. Roberval et Préville.

* * *10 h. 45 p.m.—CBFet CRCK — Causerie

sur nos ressources naturelles— L’honora­ble M. T. A. Crerar, ministre des mines et des ressources naturelles, donnera qua­tre » causeries à. Radio-Canada, au cours de Janvier. Le ministre parlera de l'or dans sa première causerie radiophonique.

Longueurs d’ondesPour tucUiter à dos lecteurs

U recherche des principaux postes sur les cadrans de leurs appareils, nous donnons ci- après la longueur d’ondes des postes les mieux connus; nous les divisons en trois sections: Radio-Canada, postes cana­diens, postes américains.

Radio-Canada :Poate» Ville Kil

CBF Montréal 910CBM Montréal 1050CRCK Québec 9 950CRCO Ottawa 880CRCS Chicoutimi 1120CBL Toronto 840CRCW Windsor 600

Postes canadiens:CKAC Montréal 730CFCF Montréal 600CHLN TTols-Rlviérea 1420CHRC Québec 580CKCV Québec 1310CHLT Sherbrooke 1210CHNC New-Carlisle 960CKCW Moncton 1370CKCH Hull 1210CJBR Rimouski 1030

Postes américains:WEAF New-York 660WJZ New-York 700WABC New-York 860WGY Schenectady 780WGN Chicago 720WTIC Hartford 1040WLW Cincinnati 700WOR Newark. N.-J. 710KDKA Pittsburgh 980WBZ Boston 890WJR Détroit 750WGR New-York 550WTAM Cleveland 1070

Samedi, 8 janvier, 19382 h. p.m. — CBF et CRCK — Opéra

Metropolitan de New-York : "Le Trou- wère". opéra en quatre actes, de Verdi, que chantera les artistes du Metropolitan Opéra de New-York est un relais de la National Broadcasting Company. Le comte de Luna et le trouvère Manrique dont la naissance est enveloppée de mystère et qui fut élevé par. une bohémienne Azucena, sont des ennemis mortels : ils aiment la belle Léonore. Azucena pousse Manrique à la vengeance. Leonore croy

„ ant que Manrique a été tué dans un duel avec le comte de Luna songe à en­trer au cloître. Manrique qui est sauf apparaît et sauve Léonore des dangers ,d'un enlèvement. Us vont se marier, mais Manrique est traîné au supplice par ordre du comte. Léonore s’empoisonne. Au moment où succombe Manrique, Azu­cena révèle au comte que celui qu’il a condamné au supplice et qui a été en­levé enfant par des bohémiens est son propre frère. Cet opéra contient des pa-

.ges admirables ; plusieurs de ses airs sont devenus très populaires. La mu-

' sique qui enveloppe ce mélodrame a quel- ..que chose de pathétique et de romanes­que. de grandiose et peut-être de mièvre à la fois. Zinka Milanov qui tiendra le

'rôle de Léonore a fait début au Metro­politan la semaine dernière. C’est la pre­mière fois samedi qu’elle chantera à la radio. Milanov, qui est yougoslave, a fait ses études de chant à l’Académie Royale de Zagreb puis chanta pour la première fois à l'opéra de cette ville en

*1928 Le directeur du Metropolitan. M. "Edward Johnson, l’entendit chanter a Salzbourg, l’été dernier, et aussitôt offrit de l'engager à condition de pouvoir rem­plir les trois principaux rôles des opéras de Verdi. Elle est arrivée à New-York au cours de décembre. Oiovrtnui Marti- nelli. ténor, tiendra le rôle de Manrique, Bruna Castagna et Richard Bonelli, ceux d’Azucena et du comte de Luna. Gen-

.’■naro Papl sera au pupitre de chef d’or­chestre. s ^ f

■Î h. 30 — CKCV — Parmi nos souve­nirs A ce programme René Mathieu fera entendre nos plus belles chansons. Notre diseuse Claire Duhamel, sait plaire à nos auditeurs par ses contes variés. Le raconteur Gilles Duhamel, prendra part a cette émission radiophonique. M. Orner Létourneau dirigera l'émission.

g h. 15 p.m. — CKCV — Humour A Sérieux *Le roi boit1’ Coutumesde France et moeurs de chez nous. Fidè­le au programme qu’elle s’est tracée la chroniqueuse de C.K.C.V. au cours de l'émission, Humour & Sérieux, offrira ce soir ùn sujet pouvant intéresser tout le monde, les coutumes qui sc rattachent à la fête des Rois.

10 h. p m. — CBF et CRCK — Con-i cert de la Symphonie de la N.B.C, —1 i L’orchestre symphonique de la N. B. C.! jouera des oeuvres de Mozart, de Bee-| thoven, de Saint-Saëns et de Debussy,i Toscanini a fait certains changements au programme qu'il avait d'abord choisi.

| C’est ainsi qu'il devait faire exécuter: l'Ouverture de la Cenerentola (Cendril- ! Ion), de Rossini ; il a préféré pour cei concert l'Ouverture de la Flûte Enchan­

tée, de Mozart, que les habitués du con­cert et les radiophiles connaissent gé­néralement. La Symphonie Pastorale en fa majeur, opus 68, de Beethoven rem­place une oeuvre de Schumann. C’est la sixième des neuf symphonies de Beetho­ven. La partition publiée en 1827 porte les mentions suivantes ‘Symphonie pastorale en souvenir de la vie à la cam­pagne. plutôt expression de la sensation que de la peinture allegro ma nontroppo. éveil d'impressions joyeuses à l’ar­rivée à la campagne ; Andante con moto, scène au bord du ruisseau ; joyeuse ré­union des paysans ; allegro, orage, tem­pête ; allegretto, chant des bergers. Sen­timents de joie cl de reconnaissance après la tempête.’’ Sur son cahier d’es­quisses, Beethoven a ainsi exprimé sa pensée : “On a laissé à l’auditeur le soin de trouver la situation ; toute pein­ture perd dès que, dans la musique ins­trumentale, elle est poussée trop loin. Le tout est une impression plutôt qu'une série de tableaux en musique’’. On voit que Beethoven se défend d écrire de la musique imitative. C’est dans l’esprit des déclarations du compositeur qu’il faut écouter l’oeuvre. Les deux autres pièces annoncées, sont la Danse Macabre, de Saint-Saëns et la Mer. trois poèmes sym­phoniques de Debussy I, De l’aube à midi sur la mer. II, Jeux de va­gues. III, Dialogues de la mer et du vent. Les titres donnés par le compo­siteur k cette oeuvre expliquent le sens des trois images. En 1903, Debussy écri­vait à André Messager que s’il compo­sait cette oeuvre, c’est à cause de sa passion pour la mer il avait rêvé d’être marin. La Danse Macabre est l’un des quatre poèmes symphoniques que Saint-Saëns a composés. Quelques vers de Jean Lahor ont suggéré au maître l’idée de cette Danse ;

Zig et zig et zlg, la Mort en cadence Frappant une tombe avec son talon,La mort, a minuit, Joue un air de danse, Ziz et zig et zig sur son violon.

5.005.155.30 5.466.156.166.316.45 6.507.017.157.327.458.008.308.45 9.009.159.309.45

10.0010.45 11.02 11.15 11.3011.45 12.00

On entend claquer les os des danseurs.

Mais psitt ! tout-à-coup on quitte la [ronde

On se pousse, on fuit : le coq a chanté. I Le poste CBF ne commencera à diffu­ser ce concert qu’à dix heures et demie.

8.018.158.32

10.3010.45 11.0011.1511.3012.1612.3112.45

1.151.30 2.01 3.014.305.005.155.306.166.306.45 6.50 7.157.328.008.308.45 9.009.30

10.0010.3010.45 11.02 11.1511.3011.45 12.00

p.mp.mp.mp.mp.m.p.mp.mp.mp.mp.mp.mp.mp.m.p.mp.mp.m,p.m.p.m.p.mp.mp.mp.mp.m,p.mp.mp.mp.m

a.ma.m,a.m,

a.ma.m.a.m.a.m,a.mp.m,p.m,p.m.p.m.p.m,p.mp.mp.mp.mp.mp.mp.mp.mp.mp.mp.mp.mp.mp.m,p.mp.mp.mp.mp.m,p.mp.m.p.m,p.m,p.mp.m,

CHRCQUEBEC

vendredi, 7 Janvier 183#

.—Avis de décès -Musique Française -Chansons Anglaises -Le programme du Foyer

u—Pronostics de la température .—Programme de chant .—Musique de danse

i.—Miettes musicales Causerie sportive La chanson de Paris

-Le Curé de Village -La Gaiété Parisienne -Le Soir à la Veillée -Théâtre “Le Petit Guignol’ -Nana Douvilliers, Vocallste

.—A être anoncé

.—Le Piano Classique .—Le Xylophone Magique .—Paul Fecteau — Vocallste —L'Orgue du Rêve —Canada 1938

.—Récital de Violon

.-r-Le reporter

.-r-Choeur nègre

.—Orchestre de danse

.—Le Classique a la Moderne —O Canada, fin des émissions

Samedi, 8 janvier 1938

—Salut Québec I —La Prière du matin à 10 h. 30 a.m.—Le Club du

Coucou—Extraits d'opérettes—Au Bal Musette—Pot-Pourri Musical—Musique de Concert—Le Piano Moderne

.—La chanson de Paris

.—Les Gais Lurons,—Musique du diner,—La chanson canadienne.—Les demandes spéciales.—Les demandes spéciales.—Les demandes spéciales.—L’heure Tavannes.—Le thé dansant.—Programme varié.—Cocktail musical.—Récital Concert.—Musique d'orchestre.—Miettes musicales.—Causerie sportive.-Amusons-nous.—Orchestre de concert,—L’Abécédaire radiophonique.—Le Cow-Boy Solitaire.—Les Guitaristes Oahu—Les Joyeux Copains.—La Parade Québécoise.—Au Foyer—Roland Dion

.—Pianologue,—Le reporter—Musique de concert.—Quatuor vocal.—Musique de danse—O Canada, fin des émissions.

CKAC

9.30 a m.—Richard Maxwell9.45 a.m.—Fiddler’s Fancy

10.00 a.m.—La parade des mélodies 10.15 a.m.—Revue du samedi10.45 a.m.—Le commerce de l’Est11.00 a.m.—Conservatoire de musique de

Cincinnati12.00 midi—Captivators12.30 p.m.—Causerie agricole12.45 p.m.—George Hall et orchestre1.00 p m.—Cours de Bourse1.15 p.m.—John Sturgis, baryton1.30 p.m.—Le monde féminin2.00 p.m,—Madison Ensemble2.15 p.m.—Ann Leaf à l'orgue2.45 p.m.—Merrymakers3.15 p.m.—Valses4.15 p.m.—Dictators4.45 p.m.—Forfr Clubmen5 OC p.m.—Les événements sociaux5 15 p.m.—Dancepators5.30 p.m.—Console Moods6 30 p.m.—Syncopation Piece7 00 p.m.—Musique de danse7.30 p.m.—Recital de piano7.45 p.m.—Critique Littéraire8 00 p.m.—L’Abécédaire radiophonique8.30 p.m.—Les Chevaliers du Folklore8.45 p.m.—Esquisse théâtrale9.00 p.m.—Gala musical et humoristique

à la salle paroissiale10.00 p.m.—Léo Lesieur, organiste10.30 p.m.—Len Howard et orchestre10.45 p.m.—Patti Chapin, chanteuse11.00 p.m.—Sport !11.10 p.m.—Frankie Masters et orch.11.30 p.m—Benny Goodman et orch.12.00 a.m.—Sammy Kaye et orch.12.30 a.m.—Te d Fiorito et orch.

CFCF

LES VEDETTES

1*2

ECOUTEZLE REPORTER

— DO —

“SOLEIL”— A — '

CKCV

Tous les jours(dimanche excepté)

— A —

1 h. et 10 h. 30 p. m.

5.155.305.45 6.006.156.306.457.007.157.307.458.008.308.45 9.00 9.109.45

10.00 11.00 11.1511.30 12.0012.30

5.005.305.456.00 6.156.307.007.307.458.008.30 9.00

10.30 11.00 11.1511.30 12.0012.30

CKCV ICBF CRCK5.035.30 5.45 6.00 6.05

; 6.15 ' 6.45

7.007.15

- 7.30 ’ 7.45 . 8.00

8.15 8 309.30

.10-0010.30 10.40 10.45 11.00 11.1511.30

. 7.457.55 8.008.158.308.459.159.309.55

10.0010.30

• 10.45 11.0311.1511.30 11.45 11.50 12.0012.1512.30 12 45

. 1.031.151.30

v 1.452.002.15

’ 2 30, 3.00 , 3.30

4 004.154.304.45

' 5.035.305.45 6.00 6 056.156.457.007.157.308.008.158.30 8 45 9.009.30

10.30 10.40

• 10.45 , 11.00

11.30 11 45

QUEBEC

Vendredi. 7 Janvier 1938

p.m.—Le thé de 5 heuresp.m.—Musique entraînantep.m.—Paris qui chantep.m.—Nouvelles CKCVp.m.—La Mélodiep.m.—Musique du souperp.m.—Au pays du Jazzp.m.—Envoi musicalp.m.—Horloge musicalp.m.—Phil Robitaillep.m.—Succès du Jourp.m.—Pianologuep.m.—L’Almanachp.m.—Club de la Gaîtép.m.—Rêverie, Mélodie... Fantaisiep.m.—Orchestre de dansep.m.—Nouvelles du “Soleil”p.m.—Les sportsp.m.—Cadence et Romancep.m.—Canadian Press Newsp.m.—Concertp.m.—Fermeture

Samedi, 8 janvier 1938

a.m.—Ouverturea.m.—Nouvellesa.m.—Bonjour Québeca.m.—Le réveila.m.—Heures du déjeunera.m.—Cocktail Matinala.m.—Parade du matina.m.—Au bal musettea.m.—La miche de paina.m.—Club d’Economiea.m.—Originalitésa.m.—Nos chanteurs canadien»a.m.—Diversitésa.m.—Récital de violoncellea.m.—En cuisinanta.m.—Dégustationa.m.—Grands chanteursmidi—Midi musicalp.m.—En dînantp.m.—Histoire.» musicalesp.m.—Voyage idéalp.m.—Nouvelles du “Soleil”p.m.—Fantaisiep.m.—Cadence et romancep.m.—Grands succèsp.m.—Le tziganep.m,—Heure exquisep.m.—L’Arc en Cielp m.—Le Dilettantep.m.—Bon après-midi Mesdamesp.m.—Le relaisp.m.—Musiquep.m.—Heure exquisep.m.—Danses canadiennesp.m.—Le thé de 5 heuresp.m.—Musique entraînantep.m.—Le burlesquep.m.—Nouvelles CKCVp.m.—La mélodiep.m.—Succès du jour 'p.m.—Chansonnette anglaisep.m.—Avec Schubertp.m.—Avant le théâtrep.m.—Parmi nos souvenirsp.m.—Phil. Robitaillep.m.—L’Almanachp.m.—Mme A. S&vardp.m.—Grands succèsp.m.—Choix du connaisseurp.m.—La salle de balp.m.—Nouvelles du “Soleil”p.m.—Les sportsp.m.—Cadence et romancep.m.—Concertp.m.—Canadian Press News p.m.— Fermeture.

RADIO-CANADA

Vendredi, 7 janvier 1938

5.005.15

p.m.—Le disque pour tous p.m.—Chronique parlée sur les pro­

grammes de la soirée p.m.—Le disque pour tous p.m.—Les chansons d’Yvonne Mou­

rant5.45 p.m.—Cotes de la Bourse de Montréal6.00 p.m.—Les beaux disques6.30 p.m.—“Golden Journeys’’, sous la di­

rection de Roland Todd p.m.-L’orchestre de Luigi Romanelll p.m.—Chansonnettes françaises p.m.—Radio-journal pm.—Mlle Cécile Préfontaine, pia­

niste7.45 p.m.—Chronique sportive, par Roland

Beaudry8.00 p.m.—Les refrains en vogue, sous ta

direction de Giuseppe Agostini.p.m.—Fémina. sous la direction de

Madame Pierre Casgrain P-ni.—“Waltz Time’’, avec Frank

Munn, ténorp.m.—“Bonjour, Paris, bonsoir !” p m.—Radio-Théâtre, sous la direc­

tion d'Auguste cerev10.30 p.m.—Récital d’orgue. Relais de Qué­

becp.m.—Radio-journal p.m.—L’orchestre d’Ozzie Williams p.m.—L’orchestre de Freddie Martin a.ra.—L’orchestre de Chick Webb a.m.—L’orchestre d’Happy Felton

5.205.30

7.00 7.15 7.30 7 35

8,30 :

9.00

9.J0 10.00

11.0011.1511.30 12.0012.30

Samedi. 8 Janvier 1938

12.00 midi—“The Boy and Girl Friend” 12.15 p m.—Ernest Coulton, baryton 12.30 p.m —L’orchestre de Rex Battle

1.00 p.m.—L’orchestre de Don Bestor1.30 p.m.—Club MatinéefLe samedi, le poste CRCK commence

ses émissions à 2 h.)2.00 p.m.—L'opéra “H Trovatore”, de

Verdi, diffusé du Metropolitan Opera House

5 00 p.m.—Le disque pour tous et la chronique parlée sur les pro­grammes de la soirée

5.30 p.m.—Sair Lee. chanteuse5 45 p.m.—Cotes de la Bourse de Mont­

réal6.00 p.m.- Les beaux disques6.30 p.m.—A l'ombre de la Tour7.00 p.m.—Hommage de l’Allemagne au

Canada7.30 p.m.—Juliette Drouin, harpiste

Lucien Gagnier. flûtiste 7.45 p m.—Chronique bibliographique.

M Maurice Hébert8.00 p.m.—Quand la brise vagabonde,

* avec le Trio Lyrique. un choeur et un orchestre sous la direction d’Allan Mclver

( 8.30 p.m.-Let's All Go to the Music - Hall

j '9.00 p in.—Radioreportage de la joute de hockey Boston Bruina v« Les Canadiens

p.m.—L'orchestre symphonique de la National Broadcasting Compa­ny sous la direction de Tos­canini

p.m. - Radio-Journal p.m —L'orchestre de Joe DcCourcey a.m —L’orchestre d Eddie Rogers am.—Paul Whiteman et son

chegfcre.

5.00 5.205.30

5.458.15 6.356.457.007.157.307.458.00

8.30 9.00

10.0010.30 11.00 11.1011.30 12.0012.30

MONTREALVendredi, 7 janvier 1938

p.m.—Les événements sociaux, p.m.—Pianologuep.m.—Arthur Romano et son saxo­

phonep.m.—Le programme du foyer p.m.—L’Heure Récréative p.m.—Four Stars p.m.—Mélodies françaises p.m.—Trio Markowsky p.m.—Le Curé de Village p.m.—Rimettes et chansonnettes p.m.—Le soir à 1s veillée p.m.—Gratien Gélinas et. le Carrou­

sel de la Gaieté p.m. —Radio-Encyclopédie p.m.—Hollywood Hotel p.m.—Sportsp.m.—Cavaliers de La Salle p.m—Sportsp.m.—Glen Gray et Orch. p.m.—Leighton Noble et, Orch. a.m —Richard Himber et Orch. a.m.—Ted Fiorito et Orch.

Samedi, 8 Janvier 1938

7.45 a.m.—Melodies rythmées8.00 a.m.—Aubade8.30 a.m.—Chansons françaises9.00 a m.—Ray Block, pianiste 9.15 a.m.—Eton Boys

8.019.009.159.309.45

10.0110.30 11.00 11.1011.30 12.0012.30

1.001.301.31 2.013.004.004.30

4.456.006.157.007.157.317.458.008.158.30 9.009.159.309.45

10.0010.1510.4510.46

8.018.309.009.159.309.45

10.0110.30 11.00 11.1011.3012.0012.30

1.001.151.30

2.013.004.004.304.456.00 6 157.007.307.317.458.00 fl.15 9.00 9.30

10.1510.30 10.46

MONTREAL

Vendredi, 7 Janvier 1938

p.m.—Musiquep.m.—Barnacle Billp.m.—Dramep.m.—Boursep.m.—Musiquep.m.—Musiquep.m.—Musiquep.m.—Oncle Troyp.m.—Gene, Jack et Dixiep.m.—Moon Over Africap.m.—Sportsp.m.—Black Horse Tavernp.m.—Flûte et Harpep.m.—Studiop.m.—Backstagep.m.—Causeriep.m.—Studio.p.m.—Canada 1938p.m.—Sportsp.m.—Panchitop.m.—Dramea.m.—Wm Scottia.m.—Fletcher Henderson

Samedi, 8 janvier 1987

p.m.—Rakov et son orchestrep.m.—The Plaismenp.m.—Little Players of the Airp.m.—Boursep.m.—Musiquep.m.—Sportsp.m.—Orguep.m.—Ricardo et ses Caballeros, NBC p.m.—Sportsp.m.—Harry Lewis, NBC p.m.—Spelling Bee p.m.—Hockey p.m.—Lloyd Huntley p.m—Sportsp.m.—Balkin Success Stories p.m.—Freddie Martin a.m.-Eddy Rogers a.m.—Paul Whiteman

CHLTSHERBROOKE

VENDREDI. 7 JANVIER 1938

a.m.—Réveille - Matin musical, a.m.—Nouvelles. — Température, a.m.—To-day's Almanac. W. B. 8. a.m.—Lucienne Boyer, a.m.—Saviez-vous que ? a.m.—Poèmes symphoniques, a.m. Heure d'Asbestos. a.m.—Vocabulaire, a.m.—Cocktail du matin, a.m.—Heure d'East-Angûs. p.m.—Variétés, p.m.—L’Heure ensoleillée, p.m.—What s New. p.m.—Température, p.m.—Heure de la valse, p.m.—Pour vous Mesdames, p.m.—Grand opéra, p.m.—Thé dansant, p.m.—Evénements sociaux — Som­

maire des émissions, p.m.—Variétés, p.m.—Hits & Encores, p.m.—Heure du Crépuscuie. p.m.—Variétés, p.m.—Le curé de Village, p.m.—Fred Poole at the piano, p.m.—Sport Cast, p.m.—Man on the Street, p.m.—Rhythm & Romance, p.m.- Novelties Auction Night, p.m.—Joe Settano et Len Mclver. p.m.—Dansons un peu. p.m.—Gypsie Natachd. p.m.—Fédération des Canadiennes -

françaises catholiques, p.m.—Au coin du foyer, p.m.—Nouvelles.p.m.—Heure Financial Bureau, p.m.—Gems of melody.

Samedi, H janvier 19:48a.m.—Orguea.m. -Réveille-matin musicala.m —Nouvellesa.m.—To day’s almanaca m. Tino Rossiam.—Saviez-vous que.a.m.—Grand opéraa m.—Heure de Danvilleam.—Vocabulairea m.—Cocktail du matina.m.—Heure de Richmondp.m.—Variétésp.m.- Heure ensoleilléep.m.—What’s newp.m.—Heure de Méganticp.m.- Température

Heure de la valse p.m.—Pour vous mesdames p.m.—Taxi Bleu p.m.—Thé dansant p.m.—Evénements sociaux p m.—Bob «fc Bobbette p.m.—Hits & Encores p.m.—Heure du crépuscule p.m.—Variétés p m^ Heure Tavannes p.m.- Mirth parade p.m.—M. P. Robidoux p.m.—Rhythm & Romance p.m.—Variétésp.m.- Dans le bon vieux tempsp.m.—Orchestrep.m.—Nouvellesp.m. —Orchestrep.m.—Gems of Melody

OLGA BACIANOVA, une russe, est une actrice brillante au cinéma et sur la scène. Elle n’a fait ses débuts à la radio que tout ré­cemment et d'ijà elle y remporte de grands succès. Arrivée aux Etats-Unis çri 1929, elle prit part à de nombreuses tournées de trou­pes d’opéra. Ses principliux sue- cès à l’écran sont “The Wolf of Wall Street” avec George Ban­croft et “Street of Sin” avec l’ac­teur allemand Emll Jannings. Mlle Baclanova se fait entendre au poste WOR.

CJBRRIMOUSKI

Vendredi, 7 janvier 1938

5.00 p.m.—L'heure du thé 5.45 p.m.—Interlude6.00 p.m.—Phil Savage à l’orgue CJBR 6.30 p.m.—La Sieste7.00 p.m.—L'ensemble Bon vieux temps 7.15 p.m.—le Curé de Village

(Les autres émissions sont relayées dq Radio-Canada,'.

Samedi. 8 janvier 1938

a.m.—Ouverture, musique d'orguereligieuse, “Prière du matin” et commentaires sur la fête du Jour par un professeur du Séminaire, Rimouski

a.m.—Marchesa,m.—Bonjour, Bas St-Laurent a.m—Les plus beaux tangos

8.459.009.30

11.0010.30

11.0011.30 12.0012.30

1.001.30 2.002.303.003.305.005.306.00

6 306.45

(Les

p.m.—>yos préférés a.ig?NBWnme dans l’Bon Vieux

tempsa.m.—Musical C.J.B.R'. a.m.—L’heure des valses midi—Musique du diner p.m.—Musique Tzigane p.m.—Les plus beaux disques p.m.—Café concert p.m.—Fragments d'opéra p.m.—Méli Mélo p.m.—Quelques originalités p.m.—Les Cosaques du Don p.m.—L’heure du thé p.m.—Rapsodles Hongroises p.m.—Récital, Fernando St-Georges,

violoniste, au piano Phil. Savage

p.m.—La Sieste p.m.—Au Bal Musette autres émissions sont relayées de

Radio-Canada).

POSTESAMERICAINS

VENDREDI, 7 JANVIER 1938

5.00 p.m.—WABC—Elsie Hltz et NickDawson.WJZ—Nellie Revell.

5.15 p.m.—WEAF—Calotea Dale, chansons. WJZ—Don Winslow.WMAQ—L’heure du thé.

5.30 p.m.—WJZ Kakov et son orchestre WABC—Dorothy Gordon. WHAM—Bob Hemings.

6.00 p.m.—WABC—Margaret Dawn, sop.WJZ—Marek Weber.WGY—Orch. Geo. Hall.

6.18 p.m.—WEAF—Rhythmaires.WHAS—Jack Armstrong. WTIC—Revelers.

6 30 p.m.—WEAF—Louise Florea. chan­sons.WJZ—Orgue et quatuor. WHAM—Sports.

6.45 p.m.—WJZ—Lowell Thomas.WABC—Betty Grable & John PayneWEAF—Orch. Sammy Watkins. WGR—Jack Smith.WJR—Mélodie et rythme.

7.00 p.m.—WEAF—Amos et Andy.WABC—Poésies et mélodies. WJZ—Mary Small, chansons. WBZ—Variétés vocales.

7.15 p.m.—WABC—Sports.WGN—Cavaliers de la Salle. WLW—Orch. Martin Mine.

7.30 p.m.—WJZ -Lum et Abner.WABC—Musique du diner. KDKA—Orch. Vic Arden.

7.48 p.m.-WLW—Arthur Godfrey.WABC—Boake Carter.WGY—Orch. Vic Arden.WMAQ—Orch. Eddie Varzos.

8.00 p.m.—WEAF—Lucille Mauneos, so­prano.WJZ—Grand Central Station.

8.30 p.m.—WABC—Orch. Paul WhitemanWOR—Dale Carnegie.

9.00 p.m —WEAF—Frank Mijren.WABC- Frances Langford. WGN—Orch. Kay Kyser.

9.30 p m.—WJZ—Tommy Dorsey.WGN—Orch. Ennio Bologninl. WLW—Opérette.

10.00 p.m.—WABC—Kitty Carlisle.WJ7 -Bureau Madison SquareGarden.

-WOR—Orch. symphonique Bamberger.WEAF—Dorothy Thompson.

WJZ Rakov et son orchestre WOR—Orch. Sammy Kayes

5.30 p m.—WABC — Récital d’orgue6.00 p.m.—WABC — Choeur Columbia

WJZ — Marek Weber et orches­tre

WTIC — Len Salvo, organiste WGY — Orch. Geo. Hall WOR — Oncle Don

6.15 p.m.—WTIC — El Chico, revue espa­gnole

WGN—Harold Turner, pianiste6.30 p.m—WABC -Orch. Ben Feld

WEAF — Sports WJZ — Alma Kitchen — con­

tralto6.45 p.m.—WJZ — Variétés

WGN — Red Grange7.00 p.m.—WABC — Musique de danse

WEAF — Kindergarten WGY — Mélodies modernes WLW ... Musique de danse

7.15 p.m WGN Orch. Lawrence Welk7.30 p.m —WABC — Fanfare. Edward

D’Anna, directeur WHAM — Ricardo et ses cabel-

lerosWGN — Trio de concert WOR Orch. Johnny Messner

7 45 p.m.—WEAF — Jean Sablon WTIC — Sports

8.00 p.m.—WEAF — Robert-A. RipleyWJZ Musique de danse WBZ — Orch. Harry Lewis

8.15 p.m.—WLW — Orch. Roger Pryor8.30 p.m.—WABC — Orch. Russ Morgan

WEAF — Wendy Barrie WOR — Revue Olga Baclanova WGN — Orch Shep Field

9.00 p.m.—WJZ — Lulu Belle & ScottyWEAF — Orch. Al Roth WMAQ — Orch. Jimmy Dorsey

9.30 p.m. WBBM — Mary Eastman, so­prano

WOR — Orch. Symphonique d’Indianapolls

WTAM — Orch. Sammy Watkins 10.30 p.m.—WJZ — Orch. symphonique

NBC — Arturo Toscanini, di­recteur

WABC — Orch Léo Reisman 10.45 p.m -WABC — Patti Chapin, chan­

teuse.

ONDES COURTESVendredi. 7 janvier 1938

' Boston--6.00 p.m.—Nouvelles et causerie, i ! W1XAL. 25.4 m., 11.79 meg.

Berlin—69.15 p.m.—Sketch radiophonique ! ! DJD. 25.4 m.. 11.77 meg.

Paris—6.15 p.m.—Concert relayé de Ra- ; dio-Paris. TPA4. 25.6 m, 11.72 meg.

Londres—6.20 p.m.—Causerie sur les principaux édifices de Londres. GSD, 25.5 j m.. 11.75 meg.; GSC, 31.3 m., 9 58 meg.;

! GSB. 31.5 m., 9.51 meg.

Rome—7.35 p.m.—Amy Bernardy, récital. | 2RO. 31.1 m., 9.63 meg.

i Berlin—8.30 p.m.—Causerie sur l'art al­lemand à l’étranger. DJD, 25.4 m., 11.77

; meg.Boston—9.00 p.m.—Causerie. W1XAL.

19.6 m.. 15.25 meg.Caracas—9.15 p.m.—Musique populaire.

| YV5RC, 51.7 m., 5.8 meg.! Londres—10.45 p.m.—Une pièce. GSD.I 25.5 m.. 11.75 meg.; GSC. 31.3 m.. 9.58 i meg.; GSB.. 31% m., 9.51 meg.!j Pittsburgh—11.30 p.m—Club radiuphoni- I que. W89XK. 48.8 m., 6.14 meg.I Tokio—12.45 a.m.—Causerie. JZJ. 25.4 m., i 11.80 meg.

Sydney. Australie, —1.15 a.m.—Causerie.! VK2ME, 31.28 m., 9.59 meg.

mT$

HORIZONTALEMENT

1— Préfixe qui indique réunion. — Genre de mollusque appelé aussi bigorneau. ! — Pron. pers.

2— Chemin dans les villes. — Entaille | faite en long dans un morceau de bois, j — Pie des Pyrénées.

3— Librement, immédiatement — Parapet, une fortification. — Indique répétition ou duplication.

4— Boisson Japonaise. — Pâtisserie qui renferme de la viande ou du poisson.

5—Unité monétaire Bulgare. — Partie épaisse qui se sépare dans les liqueurs fermentées. x

6—Bois noir dur et pesant. — Roi de Pologne.

7.—.....................8— Courbe engendrée par une pointe située

sur circonférence. — Ville d’Espagne.9— Synonyme de rôti. — Saison.

10— Fig. — Imagination sans fondement. — Fait tort.

11— Lettre grecque. - Ville du Japon. — Douzième lettre grecque.

12— Fleuve d'Allemagne. — Charpente de l’homme. — Temps de verbe. — Ville de Belgique.

13— Paresseux. —- Fils d’Isaac et de Re­becca. Père de Jason. Termi­naison.

VERTICALEMENT

1....Fig. choquante trop libre. Article. —Adverbe de lieu. — L’une des Cyclades.

2— Adv. — Note.3— Dont l’humeur ne varie pas. — Sorte

de Crépon.

4— Naturaliste allemand de <1779-18511 — Ville d’Italie près d'Alexandria.

5— Terminaison. — Sorte de germe ger- mandrée. — Enlève. — Ossement.

6— Bruit du fer. — Tenta quelque chose avec hardiesse.

7— Axe d’une bauche à feu.8— Chiffre un <en anglais». — Article.9— Etat physiologique des animaux.

10— Colère. — Commune de l’Ain.11— Négation. — Enveloppe de lettre —

Geler des eaux. — Filles dTnachos.12— Lieu où les lièvres se retirent. — Re­

présentation du “Christ-enfant”.13— Pron. pers. — 3-1416.14— Un des cantons suisses. — Adv. de,

négation. — Sans vêtement. Qui marque la preuve, la raison de la pro­position avancée.

1 io 1\ itnaan□on a

Solution du dernier problème

Obsèques deM. B. Rodrigue

Robertsonville, (D.N.C.t — Il y a quel­que temps, Dieu r 4 -eiait à lui M. Ber-

SAMEDI, 8 JANVIER. 1938

TOKIO — 4.45 p.m. — Emission nationa­le. JZK, 19.7 m.. 16 16 meg. ; JZJ. 25.4 m., 11.80 meg.

BUDAPEST. HONGRIE — 6 00 p. m. — Chansons de folklore. HAT4, 32.8 m., 9.12 meg.

LONDRES — 6.20 p.m. — Variétés. GSD, 25.5 m.. 11.75 meg. ; GSC. 31.3 m.. 9 58

[meg. ; GSB. 31.5 m.. 9.51 meg.

MOSCOU — 7.00 p m. — Emission pour les radiophiles de> langue anglaise. RAN,31 m.. 9.6 meg.

ROME — 7.35 p. m. — Musique de cham­bre. 2RO. 31.1 m., 9.63 meg.

LONDRES — 8.10 p. m. — Causerie spor­tive — OêîD. 25.5 m. 11.75 meg. ; GSC, 31.3 m.. 9.58 meg. ; GSB, 31.5 m.. 9.51 meg.

CARACAS — 8.30 p. m. — Los Conti nentales. YV5RC, 51.7 m., 5.8 meg.

LONDRES — 10.00 p. m. — Danses an­glaises. GSD. 25.5 m., 11.75 meg. ; GSC, 31.3 m.. 9.58 meg. ; GSB. 31.5 m.. 9.51 meg.

PARIS — 11.45 p. m. — Concert de mu­sique enregistrée. TPA4. 25.6 m.. 11.72 meg.

TOKIO — 12.45 a. m. — Emission na­tionale. JZJ. 25.4 m . 11.80 meg.

SYDNEY. AUSTRALIE — 4.30 a m. — (matin» — Carillon de Sydney VK2ME. 31.28 m.. 9.59 meg

Agonie de l’asthmesoulagée en trois minutes

10.30 p.m

10.45 p.m

SAMEDI, 8 JANVIER, 1938

5.00 p.m.—WABC trie

Causerie sur l’indus-

En 3 minutes la nouvelle prescription I Azmo-Tabs commence à circuler dans le I sang et à soulager l'étouffement le siffle­ment l'éternuement de l’asthme et de la bronchite. Bientôt vous respire? à l’aise et vous dormez comme un bébé. Envoyez simplement votre nom, une* carte postale suffira, pour recevoir gratuitement $1.00 d’Azmo-Tabs sans frais ni obligation. Di- tcs-le seulement aux autres si cette pres­cription met fin à votre asthme. Knox Co.. 6027 Knox Bldg., Fort Erie N. Ont.

nard Rodrigue, r V en première noce de feu Agnès Veili et en seconde noce de feu Elise Bois- clerc, décédé à l’âge de 88 ans et 4 mois, après une longue maladie soufferte avec une résignation et un courage vraiment édifiants.

La mort fut cal­me comme l’avait été sa vie.

C'était, un hom­me avantageuse­ment connu dans toute la paroisse de Robertsonville et de St-Victor de .Tring, où il de- ,meura 67 ans. M Rodrigue fut un des f *premiers colons de * é #St-Victor. ------

M Rodrigue estdécédé à Robertsonville, chez son gendre, M. Augustin Mercier, où il demeurait de­puis 7 mois.

Ses funérailles eurent lieu en l’église de St-Victor de Tring, au milieu d'un grand concours de parents et d’amis qui ont tenu à s’associer à la famille dans son doull.

Il laisse pour pleurer sa perte, 4 filles: Mme Augustin Mercier, née Marie-Anne, de Robertsonville. Mme Eloi Grondin, née Alexandrine, de East Broughton; Mme Thomas Maheux. née Valéda, de Se- Frédérlc ; Madame Linière Nadeau, née Exonia, de Tring Jet; 3 garçons : Joseph et Zéphirin Rodrigue, de St-Vic­tor. M. Bruno Rodrigue, de Tring Jet; 25 petits-enfants et 9 arrière-petits-enfants, la Rév. Soeur Madeleine de Jésus, des Soeurs de la Charité, de Québec, fille.de M. et Mme Eloi Grondin, d’East Brough­ton, et le Rév. Frère Wilfrid Maheux. des Ecoles Chrétiennes, enseignant à Ste-Ma- rie. fils de M. et Mme Thomas Maheux, de St-Frédéric; ses gendres: M. AugustinMercier, de Robertsonville, M. Thomas Maheux. de St-Frédéric. M. Linière Na­deau, de Tring Jet, M. Eloi Grondin, de East-Broughton; ses belles-filles, Mme Joseph et Séraphin Rodrigue, de St-Vic­tor. Mme Bruno Rodrigue, de Tring Jet; une soeur Mme Vve Joseph Grondin, née Lucie Rodrigue, de St-Victor; ses frères: M. Mathias Rodrigue, de Beauceville, M. Elzéar Rodrigue, de Stantead; sa belle- soeur, Mme Mathias Rodrigue, de Beauce- vllle.

La levée du corps fut faite par M. le chanoine Denis Garon. curé de St-Vlctor et M l'abbé Joseph Champagne chanta le service. Présent au choeur, le chanoine D. Bernier, du Séminaire du Sacrê-Coeur.

Pendant le service, la chorale chanta la messe de Requiem. O Salutaris”, par M. Emile Fecteau; “De Profundis’ . par M. Gédéon Poulin. Mlle Simonne Veil- leux touchait l’orgue.

Portait la croix. M. Joseph Veilleux;

J portaient le cercueil, MM. David Mathieu, Ernest Paré, Joseph Mathieu, Joseph Gil-

I ben, Adélard Fecteau, Joseph Bertrand.Dans l’assistance, on remarquait M. et

Mme Augustin Mercier, de Robertsonville. Mme Eloi Grondin, de East-Broughton. M. et Mme Thomas Maheux, de St- Fré­déric, M. et Mme Linière Nadeau, de Tring Jet., M. et Mme Joseph Rodrigue, M. et Mme Séraphin Rodrigue, de St- Victor. M. et Mme Bruno Rodrigue, de Tring Jet.. Mme veuve Joseph Grondin, de St-Vlctor, M. et Mme Mathias Rodri­gue. de Beauceville. M. et Mme Gédéon Rodrigue, de St-Victor. M. et Mme Da­vid Mathieu, de St-Jules, M. et Mme Phi­lippe Veilleux, M. Jean Mathieu, M. et Mme Ernest Paré. M. et Mme Arthur Veilleux, M. et Mme Joseph Veilleux, de

| St-Victor. M. et Mme Napoléon Poulin. M i et Mme Boucher, de St-Victor et bien ! d’autres dont les noms nous échappent.! Après la cérémonie funèbre, le cortège j se reforma pour se rendre au cimetière 1 de la paroisse de St-Victor où a eu lieu ! l’inhumation. Nos sympathies à la fs- ! mille.

La presse qui a peur de la parole du Pape

L Osservatore Romano” publie la noie suivante d'allure officieuse :

Certains Journaux italiens, dans leur chronique du Consistoire secret d'hier, ont voilé ou supprimé entièrement les paroles par lesquelles le Souverain Pontife, dans son allocution après avoir déploré ce qui se fait amplement et cruellement en Rus­sie, faisait allusion avec une tristesse non moins grande à ce que l’on prépare en Allemagne pour le plus grand danger de la vie chrétienne.

Tout en tenant compte des préoccupa­tions politiques qui peuvent avoir inspiré cette conduite, celle-ci nous semble inop­portune car. dans le cas présent, elle em­pêche le public de connaître entièrement l’auguste pensée du Pape et précisément à l'égard de ces événements qui attristent tellement le coeur du Saint-Père. Cette re­marque est d'autant plus claire d’ailleurs que d’autres journaux, également italiens, ont rapporté les paroles souveraines.

(LA CROIX)

AMQÜIStatistiques

Il y eu dans l'année 1937, en la paroisse d’Amqui, 93 baptêmes, 25 mariages, 46 sépultures, dont 24 de grandes personnes.Marguillier :

M. le Dr J.-N. Pérusse a été nom­mé marguillier en remplacement de M. J.-O. Bérubé sortant de charge. Nos félicitations. Dans le banc ce trouvent M. J.-Bte Gagné, cultiva­teur à la charge, M. Arsène Laplan- te et Dr J.-N. Pérusse.

ANNIE ROONEY la petite orpheline No 68 par Brandon WALSH

et.

par

10.30

11.30 11.45 12.00 12 30 or-

AbAev sPOUR L’INDIGESTION

R1VIERE-A-PIERREMARGUILLIER

A une assemblée des francs-tenanciers tenue dimanche le 26 décembre, après la grand’messe M. Franclu Nolet. père, a été élu marguillier pour remplacer M. eta- nlaias Per-on. sortant de charge. Le banc d oeuvre est préaenteftient occupé par MM Jos. Duval, Phlléas Godln et le nouvel élu

mentionné ci-haut.

Coat incroyable la manière dont t'y prend flotte petite pour soigner les fleurs! On dirait qu’elle a une ronnaissanR* Innée de

l’horticulture.Mieux encore, elle «si née avec

l’amour des fleurs. Elle parle des fleurs et des plantes comme si elle

étaient des êtres hu­mains.

Tu es un splendide me decin pour les fleurs, ehérie. mais pour le mo ment, H faut venir

dîner.

Que je suis sotte! J’aime

tint le» fleur* que J’en oubliais

de manger.

Voyer ce petit gardenia. H beaucoup mieux, aujourd’hui Il était triste, mais il recomman ce a se sentir heureux. Bientôt, Il ra se mettre à grandir et à embel­

lir, comme tous les autres gar dénias.m

i#5

l9i7^JCir>|Peiitùie« Syndiote. Iftf. World right»No »»?>

Je vous en supplie. Mrs. Mranv. yp ne me battez pas! Je laverai en­core le plancher, je le laverai

Je vous en prie, ne me battez pas

Ce n’est rien. Je rêvais que .l’étais a l'orphelinat de Mrs. Meany et qu'elle voulait me battre. Tu m’as

sans doute entendue crierEt quand je pense combien chanceuse Je suis que ce n'ait été qu’un rêve, et que Je soi» à une place où Mrs. Meany ne peut me trouver, Je me sens heureuse et je

me rendors.

Ne t Inquietr pas, Zero. Quand Je reve de Mrs, Meany. J’ai toujours une peur affreuse, mais quand je m'éveille et que .|e vol* de la lumière, Je suis rassurée. Je eomprenris

que j'ai rêvé.

L

xnsiiiiSii

Page 23: O^T XT¥¥ - BAnQ

LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 JANVIER 1938 23

DECESParents et amis sont priés d’y assister sans autre invitation

BERMKR — A Loretteville, le 5 Janvier 1936, à r&ge de 34 ans 6 mois, est décédé M. Roger Bernier, fils de feu Louis Ber- nier et de dame Maria Falardeau.

Les funérailles auront lieu samedi, à i heures, en l’église de Loretteville et de là au cimetière de la paroisse.57110 -1>

MERCURE — A Neuville, le 5 janvier1938, à l’&ge de 35 ans, est décédée Ma­rie-Jeanne Mercure, fille de M. Napoléon Mercure, agent d'assurance et de feu Es­telle Noreau.

Les funérailles auront lieu samedi, a 9 heures.

Départ de la maison mortuaire, chez son père, à 8 heures 45. pour l’église de Neu­ville et de là au cimetière de la paroisse.57111 5jan-2fs-b

TRCDEL — A Québec, le 5 janvier 1938,à l’âge de 76 ans. est décédé M. Eugène rrudel. époux de feu dame Zoé Robitaille.

Les funérailles auront lieu samedi, le 8 janvier, à 9 heures.

Départ de la maison mortuaire No 20 rue Burton, à 8 heures 45. pour l'église St- Jean Baptiste et de là au cimetière Belmont. 57169. -b

REMERCIEMENTCOURTEAU — M. et Mme J.-Arthur

Courteau, désirent remercier bien sincère­ment tous les parents et amis qui ont bien voulu leur témoigner des marques de sympathies, à l’occasion de la mort de leur fils, Robert:, soit par offrandes de messes, bouquets spirituels, tributs floraux, visites ou assistance aux funérailles. A tous un cordial merci.57117 -b

PARENT — M. Ptlycarpe Parent, remer­cie bien sincèrement tous les parents et amis qui lui ont témoigné des marques de sympathie à l'occasion de la mort de sa tante. Mlle Marie-Henriette Parent, soit par offrandes de messes, bouquets spirituels, visite ou assistance aux funérailles. A tous un cordial merci.57173 -b

SAUVETAGEDe Montauban-les-Mines, noti.v parvient la nouvelle d'un accident

qui a failli causer la mort d'un brave citoyen. M. Hildevert Perron se rendait à un chantier et tenta de traverser sur la glace du lac Perrault mais la glace céda sous son poids et le malheureux, qui était à environ 40 pieds du bord, se vit entraîner au fond de l'eau II réussit cependant à s’accrocher à un bloc de glace et appela à son secours. Des hommes qui travaillaient près de l'endroit. M. Armand et Albert Perron, fils de M. Hildevert Perron et M. Lionel Pleau accoururent et réussirent sr sauver le malheureux.

pratique, cette clause aurait pour m r reffet de priver les journaux d'une W.*ij. i/OuQ rCVlfilll 3UX quantité de nouvelles qu’ils reçoi- .vent confidentiellement de sources htalç-llniÇ qu’ils ne peuvent dévoiler. Um3

(Suite de la 1ère page) nents approuvèrent son refus d'as sister à des conférences nazies, où la démocratie était tournée en ridi­cule et violemment prise à partie.

Il dit :"Avec les préparatifs de guerre en

cours et l'élévation des barrages douaniers à une hauteur inconnue jusque-là dans l'histoire moderne, un autre mode de gouvernement a vu le jour de Rome à Tokio. Sur cette vaste étendue de la planète, la liberté religieuse n’existe plus, et les universités ne jouissent plus de leur autonomie. Dans un seul pays (le fils de l’ambassadeur a dit qu'il vou­lait désigner l’Allemagne) on a des­titué d'emblée 1,600 professeurs de l'enseignement supérieur ou secon­daire. La Fondation Rockefeller a

Ville à l’amendeJérusalem, 7. — (P.C.-Havas) —

Les habitants et les marchands d'Hébron, ville située près de Jéru­salem, se sont mis en grève hier pour protester contre une amende collective de 2,750 livres ($13,750) que les autorités ont imposée à la ville sous prétexte que ses habitants aidaient les terroristes.

Presque toutes les boutiques ont fermé leurs portes pendant que les habitants de la ville refusaient de payer leur part de l’amende. Des troupes et des automobiles blindées furent dépêchées samedi dans la ré­gion d'Hébron pour y faire régner l’ordre.

Les journaux(Suite de la 1ère page)

les,motifs suivants:“(a) Le véritable sujet de la loi

est la censure de la presse qui n’est pas au nombre des sujets énumérés dans l’article 92 de l’Acte de l'Amé­rique Britannique du Nord et consé­quemment tombe sous le pouvoir du gouvernement du Dominion “de fai­re des lois pour la paix, l’ordre et le bon gouvernement du Canada en relation avec toutes les questions non comprises dans les sujets que cette loi assigne exclusivement aux provinces” ou, dans l'alternative, tombe sous l’exception trouvée dans l’alinéa 10 (a) de l’article 92 comme une entreprise outrepassant les li­mites de la province.

“(b) Si la loi est vraiment ce

“L’obligation de publier des décla­rations que les journaux ne désirent pas publier et qu'ils peuvent croire fausses et la suppression des nou­velles que les journaux désirent pu­blier équivalent à la censure de la presse", dit le factum.

“On va sans doute prétendre que le bill peut être accepté comme une législation relative à la propriété et aux droits civils dans la province ou comme une question de nature purement locale ou privée dans la province.

“Il est soutenu que la publication fies journaux au Canada est une entreprise d'intérêt et d'importance nationale et qu'elle ne peut être considérée comme tombant dans ces catégories simplement parce que chaque journal a son bureau de pu­blication dans une province en par­ticulier. Les considérations sui­vantes viennent à l’appui de cette assertion :

“(1) Il y a au-delà de 100 quoti­diens et plus de 1,200 hebdomadaires au Canada et ces journaux contrô­lent dans une grande mesure la por­tée et le caractère des nouvelles étrangères entrant au Canada et iis réunissent et disséminent sans te­nir compte des frontières provincia­les virtuellement toutes les nouvel­les domestiques qui concernent la population du Canada.

“Leur interprétation des événe­ments courants et leur discussion éditoriale des questions publiques exercent une puissante Influence sur l’opinion publique canadienne. Pla­cer la presse d'information du Ca­nada sous tout contrôle autre quei Dalhousie, 7. <D. N. C.) — Placide celui du Parlement du Canada, ce, R,0y, âgé de soixante-huit ans et em- serait sérieusement porter atteinte : ployé comme gardien de nuit pour à l’unité nationale. j la Cie Internationale d’ici, depuis“(2) L'importance nationale de la! plusieurs années, succomba à une

presse d'information au Canada a | syncope de cœur, vers trois heuresce matin. Le défunt laisse quatre filles dont Mme Emile Fournier, d'Oliversiding, Mme Geo. Foster, de Dalhousie, May et Evelyne, de Dalhousie ; deux fils, Harold et

LES ASPECTS

DU CHOMAGE______ I

Plusieurs leaders syndicalis­tes américains sont convo­qués à Washington pour exprimer leur opinion sur le resserrement des affai­res.

LE COMMERCE

LE CONCOURS INTERSCOLAIRE DE SKI

Washington, 7, (A. P,). — Les;leaders syndicalistes américains ont été convoqués aujourd’hui de- ! vant la commission sénatoriale qui enquête de l’effet du resserrement, des affaires sur le chômage. William ; Green, président de la Fédération américaine ’ du travail, et Homer | Martin, représentant les Travail- j leurs unis de Ijautomobiie. affiliés | au C. I. O., ont tous exprimé leurs vues sur ce sujet aujourd’hui. Ro— bert E. Wood, président de Sears, Roebuck &’ Co„ un autre témoin, a été invité à dire comment la pré­sente crise affectait le commerce de détail.

n„„ , Washington. 7. — (P.A.) Williamverse plus de $500.000 pour soulager Kmidsen, président de la General la de tresse de ces malheureux Intel-; Motors Corporation, témoignant lectuels prives de leur gagne-pain. ^jer cievant ia commission sénato-

Au sujet des mesures prises con- rjaje cjU chômage, a déclaré que sui- t'.re jS.cel tani’S pays C Eu" ! vant lui la régression économique ac-lope, M. Dodd dit : j tuelle ne durerait pas longtemps et

Il est hors de doute que les He- sa compte se préparait en breux ont partons ete des profiteurs.1 conséquence mais quelle autre race ne compte qpas de profiteurs dans son sein?Quiconque sait ce qui s’est passé de 1914 à 1918 ne peut oublier que les Juifs se sont battus bravement, de l’un ou l’autre coté de la barricade, et que des Juifs riches ont donné des

Les skieurs du collège des Jésuites ont remporté les honneurs du concours interscolaire de ski, dont l’emblème est la coupe “Seiberling”, pour la deuxième fois consécutive, hier après-midi, t'ne douzai­ne d'équipes ont participé à cette épreuve annuelle. Nos lecteurs reconnaîtront, dans la photo repro­duite ici. MM. Laurent Robert, Maurice Pouliot. St-Charles Côté et Albert Laliberté. ainsi que deux des concurrents, René Boily (28) et Guy Renaud 131). (Photo du “Soleli")

RAPPORT DE DOMINION BRIDGE

Dominion Bridge a gagné $1.28 par action

l’an dernier.Montréal, 7. (P.C.) — tes profits

nets de Dominion Bridge Company Limited durant l'année finissant le

; 31 octobre 1937 furent de $680,661 i en augmentation de $569,049 sur ceux de Tannée précédente. Les pro­fits nets après la dépréciation, l’im­pôt sur le revenu et les autres taxes

j furent de $1,28 par action sur une ‘ capitalisation de 513,961 actions. La compagnie avait gagné 18 sous par action l’année précédente. Les pro­fits d'exploitation se sont chiffrés par $1,074 793, au Ueu de $297,019

I Tan dernier, ce qui représente une i augmentation de $787,774.

Après le prélèvement du dividende ‘de $1.20 par action, soit $616,741, U est resté un surplus de $43,920. Ce­la a porté le surplus total A $2,158,-

; 941. L'année précédente, la compa- I gnie avait subi un déficit de $525,129 après les dividendes. Les dlsponlbi-

; lités courantes s'élèvent à $9,562,274 1 et les exigibilités Immédiates à $1,- 961,967, laissant un fonds de roule

i ment de $7,601,307.

millions de dollars pour venir aide aux Allemands en proie à misère de 1918 à 1920“

Mais, a-t-il dit en réponse auxi questions répétées du président dei la commission, M. Byrnes (d.. Ca­roline méridional), la compagnie n’a pas pu se servir de son surplusde $450,000,000 pour garder ses em-j _____ployés au travail et éviter d’en Arnold Bernstein, qui était

CONDAMNATION D’UN JUIF A

LA DETENTION

Hommage à Perley

Feu Placide Roy

mettre 30,000 à pieds comme elle Ta fait récemment.

Car, a-t-il ajouté, dans une pé­riode comme celle que nous traver­sons, 11 est “préférable” d’écouler les stocks accumulés en diminuant la production que de céder sous la pression d une demande diminuée et de baisser les prix.

été reconnue par le Parlement du Dominion qui, en 1917 et pendant les six années qui suivirent, fit un octroi de $50.000 à la Presse Cana­dienne pour défrayer le coût de lalocation du service télégraphique, jjaiph, aussi de cette ville ; un seul

Feu Mme A. CôtéTrois-Rivières, 7. (D. N. C.)—Mme

Arthur Côté, née Mathilda Labrecque, est décédée à Tâgc de 59 ans. Outre son époux, elle laisse quatre fils : Adélard. Armand, Paul et Fernand

déjà en prison en Allema' gne depuis 11 mois, se voit condamner à 30 autres mois de détention.

LE CHANGE

pour cent sur leurs réserves et leurs profits indivisés.

L’autre bill ne fait aucune allu-Peu de personnes déplorent plus sion aux banques, mais vise à for-

la mort de Sir George Perley, dont les funérailles ont lieu aujourd’hui, que M. R.-S. White député de Mont- Royal. Tous deux avaient plus de 80 ans, Sir George était le beau frère de M. White, et pendant de longues années ils ont partagé le mê­me bureau aux Communes. M. Whi­te fut élu pour la première fois en 1888, et Sir George en 1904. En 1913. Sir George épousait la soeur de M. White. M. White a eu 81 ans en mai dernier, et Sir George avait eu 80 ans en septembre.

Hambourg. 7. (A.P.) — Arnold1Bernstein, Juif à la tête des lignes ; de navigation Red Star et Arnold Bernstein qui était en prison depuis; 11 mois, a été condamné aujourd'hui à 30 mois de détention et à un mil­lion de marks ($400,000) d'amende, pour avoir enfraint les rigoureux rè­glements de Berlin sur le change.

Bernstein fut accusé d’avoir à

Blessé en skiAlors que Roy Esliger, âgé de sept

ans, fils de M. et Mme Eddy Esil- ger, était à faire du ski, hier après- midi, il tomba, se blessa à une Jam­be et reçut plusieurs contusions.

d'un océan à Tautre. frère lui survjt M Thomas Roy de deux filles, Mlles Anna et Imelda ; New-York un compte secret de $80,-“Cet octroi fut nécessaire Pour I Montréal. Le défunt était bien con- un frère, Léon Labrecque; deux 000 à $100,000 qu'il omit de déclarer

faire face au coût du comblement | nu et avajj. un grand nombre d’amis soeurs, Mme Charles Labrecque, de à la Reichsbank le 1er juin 1933. IlI Begard, Sask . et Mme Fred Ouimet, allégua que cet argent était affectéde Lévis. : à son entreprise de navigation, sur

de trois vides depuis longtemps im­productifs,’dans lesquels il n’y avait que peu ou pas de journaux pour contribuer des nouvelles ou des re­venus, savoir les distances entre, Montréal et Saint-Jean, Ottawa et Winnipeg, Calgary et Vancouver.

“Cet octroi tut discontinué en 1924 avec l’approbation des direc­teurs de la Presse Canadienne, et le coût tout entier du service de nouvelles est maintenant réparti entre les membres de l’organisa­tion.

“(3) Le système coopératif sous

Bébé blesséUn

qu’indique son nom, c’est-à-dire une j Rquel fonctionne la Presse Cana- loi ayant pour objet d'assurer la pu- J'~ ‘ ‘blication d’une information et de nouvelles exactes, son sujet est le droit criminel, le Parlement du Do­minion, par l’article 136 du code criminel, ayant fait une offense de publier volontairement et sciemment toute fausse nouvelle pouvant occa­sionner ou de nature à occasionner tout dommage ou toute injustice a un organisme public quelconque. La loi albertaine actuellement sous considération semble être une ten tative d’enchérir sur cette clause du code criminel.

“(c) La loi fait partie d’un corps de législation plus vaste qui a pour but avoué d’introduire dans la pro­vince d’Alberta un nouveau sys­tème politique et économique por­tant le nom de Crédit Social, sys tème qui repose sur la soi-disante monétisation du crédit provincial, ce qui entraine nécessairement la création et l'émission de monnaie ou de papier-monnaie par la pro, vince.

“(d) La législation projetée tente d'ériger le lieutenant-gouverneur en conseil en un tribunal autorisé à décider si un journal est coupable ou non de toute contravention à l’u­ne quelconque des clauses de la loi.

“(e) La législation projetée dé­truirait le status et les pouvoirs des sociétés sous son contrôle qui fu­rent incorporées par charte fédéra­le.”

La clause du bill ayant pour objet d'obliger les journaux à publier des mises au point correctives ou am plificatives en rapport avec toute nouvelle et tout article relatifs à la politique du gouvernement, dit le factum, peut servir et son but est de servir à forcer les journaux à publier de la propagande en faveur de la politique du Crédit Social,

La clause ayant pour objet de for­cer les journaux à dévoiler les noms des rédacteurs et leurs sources d’in­formation n'est pas limitée aux non velles et aux articles relatifs â la politique du gouvernement. En

dienne est nécessairement basé sur la supposition que tout le domaine national sera couvert par le servi-1 ce qu’elle maintient.

“Les nouvelles transmises de cha­que district au Canada doivent être mises à la disposition de chaque autre district où un journal de la Presse Canadienne est publié, et toute intérruption de, ou obstruc­tion à ce service affecte considéra­blement chaque journal quotidien au Canada.

“(4) Le domaine d’activité de la presse d’information au Canada est essentiellement celui d'une agence de communication avec les services couvrant chaque province du Canada et s'étendant dans tout le Dominion. Dans sa sphère, elle fournit un service interprovincial d’une importance égale aux send­ees du télégraphe et du téléphone.

“Admises ces considérations et les autres qui s’y rattachent, il faut concéder que l’entreprise des journaux du Canada est une en­treprise qui s'étend au delà des 11

Trois-Rivières, 7. (D.N.C.) bébé de cinq mois, Paule Bellemare, fille de M. et Mme Irénée Bellemare, de St-Paulin, s’est infligé une frac­ture du crâne en tombant à bas de son carrosse quand son petit frère de deux ans le poussa à bas de l'es­calier du second étage. L’enfant a été transporté d'urgence à l’hôpital. Son état quoique grave n’inspire pas de craintes pour le moment.

Evaluation foncièreTrois-Rivières, 7. (D.N.C.) -r- Le

conseil municipal du Cap-de-la-Ma- deleine a porté de $1.50 à $1.60 par cent piastres d’évaluation municipale les taux de la taxe foncière pour 1938. Cette augmentation est impo­sée par les exigences accrues de l’As­sistance Publique. L’évaluation mu­nicipale imposable au Cap-de-laMa- deleine est de $5.554.267. Le budget adopté pour 1938 comporte $130.367.- 66 de dépenses, dont $89.000 sera cou­vert par le produit de la taxe fon­cière.

Mlle Gisèle Béliveau, fille de M. Armand Béliveau, est décédée après une brève maladie. Outre ses pa­rents. elle laisse cinq frères: Paul- Emile, Jacques, Gilles, François et Yvon; quatre soeurs. Pierrette. Co­lette, Lucille et Jeannine.

laquelle les Américains possédaient déjà une hypothèque de $5 millions, et il ajouta qu'en Juin 1933 son agent new-yorkais avait un “lien” de $96,- 000 contre ses lignes.

L'armateur juif subit son procès au chef de trahison et d'infractions

Mme L.-P. Aumais, née Bernadet- au* *°*s. change. Le ministère te Cloutier, est décédée à l’âge de )™bllc retclamait P°u" lu! 5„ansde 41 ans. Outre son époux, elle laisse | ^ ™en„amenTd®.„deJ„4:5?„03 fils: Roland, Roger, Claude, ses pa- ; marks ($1,800,000). L'un de ses as- rents, M!“è?Mme‘ AÏfTeFcïoürier, ' '“.Bertbold Gumpel. a été con- Trois-Rivières; ses frères. Emile a 30 lm01'^,dp pr'son ^ tCloutier, de Bienville. Wilfrid et dlI“',0,d0... «J amende, AlbertEmery Cloutier, de Chicago, Louis-

Aux Etats-UnisWashington, 7. (P.A.) — Les ef­

forts rie l'administration pour dimi­nuer de Ja somme de $114,806,780

. ..____ . . les crédits demandés par les orga-ubife” 0 mporte IacluelIe Pro' | nismes indépendants du gouverne-

' ment ont rencontré de l’oppositionvinceExpliquant le caractère corréla­

tif de la publication des journaux dans le Dominion, le factum cite des passages de la charte fédérale de la Presse Canadienne et ajoute:

“La Presse Canadienne obtient ses nouvelles, qui sont distribuées parmi ses membres, de trois sour­ces: (a) les nouvelles réunies de tous ses membres; (b) les nouvelles réunies par les différents bureaux de la Presse Canadienne au Cana­da, à Londres et à New-York, et (c) les nouvelles achetées ouéchan

liter en Chambre. Plusieurs mil­lions ont. déjà quand même été re­tranchés. La commission judiciai­re de la Chambre, en l'absence de son président, M. Summers, (d., Te­xas), Ta recommandé à M. Roose­velt pour succéder comme juge de la Cour Suprême au juge Suther­land. Un véritable débat a eu lieu hier à la radio entre le sous-secré taire d'Etat à la garde des Sceaux le général Robert-H. Jackson, et Wendell-L. Willkie, président de la

Philippe Cloutier, de Toledo. Ohio, Adrien Cloutier, de Trois-Rivières; ses soeurs. Mme Alfred Girardeau, de Montréal, Mme Stevens, Tellier, Mme Adrien Landry et Mlle Madeleine Cloutier, de Trois-Rivières.

Incendie à CausapscalCausapscal. (D.N.C.) — Vers qua­

tre heures hier matin un incendie qui s’est déclaré dans le magasin de Mme Adrien Lajoie a détruit les ré­sidences de MM. John Poitras et J.- M. Morrissette.

Madame Lajoie venait de partir sur “Texpress” pour Trois-Plstoles où elle réside lorsque le leu fut dé­couvert. Alertés par le sifflet d'un train qui se trouvait à la gare, les voisins accoururent sur le théâtre de l’incendie et parvinrent à sauver une partie du mobilier ainsi que le restaurant de M. Morissette. Les pertes s'élèvent cependant à plu­sieurs milliers de dollars.

Par suite de cet incendie, le vil­lage de Causapscal a été privé d’é­lectricité et de l’usage du télépho­ne car chez M. Morissette tenait le central. Personne heureusement n'a été blessé.

Wolff à 15 mois et à 50.000 marks Heinz Grunfeld à 2 mois. Mais ce dernier est censé avoir purgé sa peine. Robert. Gottschalk et Eudolf Meyer sont acquittés tous deux.

Les lignes Bernstein sont mainte nant dirigées par Marins Boeger, ancien directeur de la ligne Ham­bourg-Amérique, en vertu d’un ac­cord entre l’autorité allemande et les créanciers étrangers,

Le pont de glace

gées avec la Presse Associée de&m°nweaUll and Southern Uti- New-York, l’Agence Havas de Paris ! 9°rpp™tloi?’ Ie Premier atta­

quant la haute finance et le second affirmant que la majorité des grands comme de.s petits industriels étaient honnêtes.

Demontigny&PonlotNe demandez p«u

simplement

L EAU DE IAVELLEExigezL’EAU

MERVEILLEUSEur« plu *«ar

'•tn arfmt.

et Reuter’s Limited, de Londres.“En plus de fournil- des nouvelles

à ses membres, la Presse Canadien­ne, par l’entremise de son bureau central à Toronto, fournit, à ses propres frais, des bulletins de nou­velles quotidiennes à Radio-Canada qui sont diffusés par un réseau na­tional de postes de T. S. F.

“On verra par cette brève expli­cation que "la loi d’une informa­tion et de nouvelles exactes” ou toute autre législation semblable adoptée par une législature, provin­ciale affecte très vitalement la Presse Canadienne”.

Tous les Journaux quotidiens de TAlberta, poursuit le factum, sont membres de la Presse Canadienne et de l’Association des journaux quo­tidiens du Canada et la majorité des journaux hebdomadaires sont membres de l'Association des jour­naux hebdomadaires du Canada.

“Une courte explication des buts et de l’étendue des activités de ces trois associations semble désirable ajoute-t-il,

“L'Association des Journaux quo­tidiens du Canada et l’Association des journaux hebdomadaires du Ca­nada ont pour but de sauvegarder les intérêts de leurs membres en plus de réunir et de disséminer les nouvelles, ceci étant la fonction de la Presse Canadienne.”

La Presse Canadienne, explique le factum, fut incorporée sous la loi fédérale des sociétés avec la raison sociale de “Canadian Press Limited” en 1910, Plus tard la chartre fut amendée par une loi du Parlement fédéral et le nom devint “The Ca­nadian Press" ou “La Presse Cana­dienne".

Cette loi spécifiait que la société ne devait pas avoir pour but de réaliser des gains et que les sur­plus ne devaient pas être distribués La production d'huile brute do- aux membres, mais consacrés à ae- mestlque a diminué la semaine der- croitre et améliorer les activités de1 mère de 49.112 barils par jour au la société. ’ total de 3,447,006 barils,

Remaniements

L'Ange-Gardien. — La situation reste à peu près la même au sujet du pont de glace qui doit réunir les deux rives, de la côte de Beaupré à llle d'Orléans. Il n'y a pas de chemin ouvert à la circulation sur le fleuve. L’entrepreneur de TAnge- Gardien a balisé le chemin jusqu'au milieu du fleuve mais le tracé n’at­teint pas Tautre rive.

Il appert toutefois que les citoyens de St-Pierre prendront les mesures nécessaires pour entretenir un che­min qui partirait du Petit Pré pour aller aboutir à la gare du Quebec Power, à Textrémité-est de TAnge- Gardien.

Une séance du conseil de TAnge- Gardieij aura lieu lundi et Ton nous informe que le maire ou un délégué du conseil municipal de St-Pierre

i sera invité à cette assemblée.

Préparatifs à un combat très violent

(Suite de la 1ère page >

décidés à faire un suprême effort pour interdire aux Nippons l'appro­che de ce chemin de fer. artère ju­gulaire du pays.

De Woukou, au-dessus de Nankin, arrive la nouvelle que les vaisseaux de guerre nippons et des transports se préparent à remonter le Yangtze jusqu'à Anklng. 150 milles au sud- ouest de Nankin.

A SHANGHAIDans Shanghaï les Japonais con­

tinuent à perquisitionner à domicile dans le quartier chinois de Nantao, où ils s’efforcent d’étouffer le foyer de terrorisme allumé par les patrio­tes chinois. Bien que cette nouvelle ne soit pas officiellement confirmée, le bruit court que les bombes terro­ristes, dans ce quartier où grouil­lent les réfugiés, auraient tué pius de 20 personnes, y compris plusieurs soldats nippons.

Le nord de la Chine est relative­ment tranquille, malgré la présen­ce, admise par le commandant nip­pon, de bandes chinoises qui tien­nent la campagne dans cette partie de la Chine. (Aucune de ces bandes, assure-t-on ne compte plus de 500 hommes.)

Les autres développements com­prennent la réouverture de l’ambas­sade des Etats-Unis à Nankin, ca­pital tombée du gouvernement natio­nal chinois, et la publication d’une déclaration par le gouvernement ja­ponais, affirmant que la Chine ma-

cer les "institutions de crédit” à se procurer une licence d’une commis­sion provinciale et à se soumettre à la surveillance de directorats lo­caux à majorité nommée par le gouvernement.

Les banques prétendent que le bill de.s taxes n'est pas constitutionnel parce qu’il vise à instituer des taxes indirectes et que les provinces sont limitées à la taxation directe par l'Acte de l’Amérique du Nord. El­les affirment qu’elles auraient an­nuellement à payer la somme de $2,081,929, soit une augmentation de 2,883 p. c.

Le rôle devant être joué par les "directorats locaux", disent les ban­ques. “n’est pas clair''. Ils sur­veilleraient, dirigeraient et contrô­leraient les banques “pour les em­pêcher d'exiger de.s emprunteurs la promesse formelle de rembourser les prêts, d’exiger d'eux une sécurité collatérale et de se faire au besoin rembourser par des procédures Ju­diciaires. Il serait naturellement impossible aux “banques” de rester en Alberta.

Un violent incendie à Saint-Sauveur

(Suite de la 1ère page) ge, s'était propagé dans tout le toit et à travers les cloisons. Les pom­piers abouchèrent plusieurs lances et se répartirent en deux groupes, les uns combattant les flammés rue Arago, et les autres à l’arrière de la maison.

Une telle fumée se dégageait du brasier que les pompiers purent dif­ficilement, d’abord, monter sur le toit de la maison et pénétrer dans le logement du second étage, où les flammes faisaient rage. Le chef Beaulieu fit alors dresser une échel­le à coulisses, rue Arago, et un pom­pier perça d'abord des brèches dans le devant de la couverture, afin de permettre à la fumée de s’échapper, mais un autre pompier le suivit, mu­ni d’une puissante lance. Ce n’est qu’à partir de ce moment, en véri­té. que le travail des pompiers de­vint vraiment effectif.

Tandis qu’un pompier arrosait di­rectement sur le toit, d’autros ar­rosaient à l’intérieur de la maison afin d’empêcher les flammes de se propager au premier étage et au rez-de-chaussée. Car, bien que Tin cendle se soit déclaré au rez-de- chaussée, il n’y avait causé que de légers dégâts, les flammes ayant été attirées aussitôt dans la cheminée. Les pompiers ont été retenus sur les lieux jusqu’à midi trente. Personne, heureusement, ne fut blessé au cours des manoeuvres, à l’exception du pompier A. Lemoyne, attaché au

Outremont . . . 34 27,175.00Sherbrooke . 123 53,928.88Trois-Rivières, , . 66 32,055.82Westmount . . . 65 42,743.40

Cités et villes 10.000 - 20,000Nombre Montant

Chicoutimi . , . 32 $ 15.670.00Granby, . . . 30 18,387.31Joliette................ 25 12,140.00Lachine. . . . 47 24,634.01Lévis . ... 37 16,675.00St-Hyaclhthe. ^ . 52 52.703.09St-Jean . . . 101 54.366.17Shawinigan Falls. 73 39,595.87Sorel . . 22 10,645.00Thetford Minas . 41 18.435.00Valleyfleld . . 14 9,150.00

Villes de 5 600 - 10 000

Cap de la Madel.. Drummondville. Grand Mère . . Jonquière. . . , La Tuque . . . Longueui!. . , Lauzon .... Mas°g ..... Rlmouski . . . Rivlère-du-Loup St-Jérôme. . . St-Lambert . . St-Laurent. . . Victoriaville . ,

Nombre Montant12 $ 8,229.58

. 35 20,788.75• 38 18,550.00• 59 26.023.00. 56 23,067.18• 30 8.997.56• 5 2,812.90

84 30,763.03• 16 9.400.00. 11 3,800.00. 26 11,604.53

62 39,755.0011 8.765.00

• 74 28,206.70

,, , , , , . , “ poste No 14, qui fut blessé auxnlfeste de plus .en plus son intention ^ des ^lats do verre.Les occupants des trois logements,de faire la paix.

Montréal, 7. 'D.N.C.') — Le renia niement de la police municipale de Montréal, commencé il y a quelque temps, a été effectivement, mis en force hier alors que les autorités ont annoncé les sept premières mi ses à la retraite d’officiers ayant vingt-cinq années et plus de ses vice.

Trois lieutenants et quatre cons, tables ont été mis à leur retraite. Cinq de ces retraites prennent ef­fet immédiatement et les deux au­tres seront effectives le 1er mai pro­chain.

La semaine dernière l'inspecteur Joseph Lefebvre prenait sa retraite après avoir passé 28 ans dans la police. Plusieurs autres mises à la retraite seront mises en force la semaine prochaine.

Un total d’environ 50 à 60 agents et officiers prendront leur retraite avant que le remaniement soit ter­miné. Tous seront remplacés par de jeunes officiers.

Messe à Moscou

Vieillard attaquéSaint-Hyacinthe, 7. iD.N.C.) —

Un vieillard de 64 ans. M. Alfred Lapointe, a été assommé vers mi­nuit et demi, mercredi matin, dans la ru?, par un Jeune homme qui a été arrêté depuis. Ce dernier, du nom de A. Langer, alias Dutil, n'a pas de domicile connu. M. Lapoin­te retournait, chez lui quand, rue St-Antoine, il s'aperçut qu'un indi­vidu le suivait. L'homme, qui a une trentaine d'années, le rejoignit bientôt et entama, une conversation anodine. Mais en arrivant à TEco- le du Christ-Roi, il frappa soudain M. Lapointe à la tête, apparemment avec une bouteille. Le vieillard s'é­vanouit d’abord mais il revint à lui et s’aperçut que son compagnon fouillait ses poches. Sur les entre- faitea, deux jeunes gens. MM. Henri Hamel et Conrad Bonnet, avaient eu connaissance de l’attentat et ils alertèrent la police. Les constables Gustave Foisy, Prosper Leclerc et Oscar Bélanger furent envoyés sur les lieux et, après enquête, ils ar­rêtèrent Langer, déjà connu comme im récidiviste. On Tamena au pos­te. où l’on trouva sur lui la montre de M. Lapointe. Celui-ci reconnut son agresseur, après avoir été pan-sé par le Dr Hervé Gagnon. Le chef ____ ’ i Dalhousie, N.-B., 7. — Edgar Val-de police A. Bourgeois a confié le. Qcnevr 7 — (P.A.) M. Joseph-A - 1 dron. de Téquipe des Joueurs de prisonnier à la Sûreté provinciale et c Avenol :,ecrçtaire général de la i hockey de Dalhousie, fut gravement

Mort de madameAlcide Beaulieu

Nous apprenons avec regret la mort de Mme (Veuve) Alcide Beau- lieu, née Morency. (Agnès), décédée ce matin à Tàge de 76 ans, à la de­meure de son fils. Me Marie-Louis Beaulieu, 119 1-2, rue Cartier. Mme Beaulieu, qui était malade depuis plusieurs années, avait perdu son ma­ri en 1929.

La défunte laisse deux fils, Me Ma­rie-Louis Beaulieu, avocat, de Qué­bec, et M. Tabbé Edouard Beaulieu, du diocèse de Mont-Laurier; deux filles, Miles Alice et Albertine Beau- lieu; deux soeurs, Mlles Anna et Cé- lanire Morency. de Sainte-Marie de la Beauce; un beau-frère, M. Jean Beaulieu, de Montréal, et plusieurs autres parents, entre autres Me Q.- S. Théberge, notaire, de Sainte-Ma­rie de la Beauce, et M. Edouard La­croix, député de la Beauce aux Com­munes.

Mme Beaulieu avait demeuré jus-_ qu’en 1919 à Sainte-Marie de la

Moscou, 7. (P.A.) - Les Russes Beauce, où son mari était proprlétal-re.stés fidèles à la foi ortodoxe ont rempli hier soir les rares églises que la révolution a respectées a Moscou pour assister à la messe de Minuit suivant l’ancien calendrier orthodoxe. La cathédrale Drogo- milovsky s’est remplie malgré un froid vif. Pour la plus grande par­tie, les fidèles étaient des gens ayant atteint ou dépassé la quaran­taine et il y avait plus d’hommes que de femmes.

Avenol eJ Delbos

re de scieries et de limites à bols. Feu M. Beaulieu fut aussi Tun des fondateurs de la Cie Forestière Bourmont.

La dépouille mortelle est exposée au domicile de son fils, 119 1-2, rue Cartier. Les funérailles auront lieu à neuf heures, lundi matin, en l’é­glise de Saint-Dominique.

Le “SoleiT’ prie la famille si cruel­lement éprouvée d’agréer l’expression de ses sincères condoléances.

Deux consuls américains ont pris charge de l’ambassade, qui avait été fermée avant la chute de Nankin le 13 décembre.

Joueur blessé

tera^ccmtre luï'une aeSon^de> des‘Nations, a-t-iLété révé- , blessé, hier soir, alors qu’il Jouaitvoi avec violence. lé hier, a l’intention de conférer

| avec le ministre français des Affai­res étrangères Delbos et le premier ministre anglais Chamberlain sur les développements dans le conflit

dans TArena de Campbellton. Vai- dron fut renversé et inconscient pen­dant plusieurs heures. On le trans­porta à THÔtel-Dleu ou les médecins constatèrent qu’il avait une légère

sino-japonais. Ces entrevues auront | (raclure du crâne. Ce matin le bles- lleu dans quelques jours. 4 |sé repose tranquillement!

Dossier complet(Suite de la 1ère page)

l’Alberta à prendre connaissance du procès qui va s'engager.

La Colombie canadienne ne pren­dra pas part à la dispute cepen­dant. Elle dit simplement dans son factum quelle procureur général co­lombien n’a pas de soumission à fai­re.

LES BANQUES

Les banques, (ainsi que les jour­naux comme on le verra dans une autre colonne) soutiennent dans leur factum avec le gouvernement fédé­ral que les trois bills albertains sont inconstitutionnels. Les banques li­mitent leur argumentation à la loi relative aux banques et les Journaux à la loi les affectant.

Le bill de règlementation du cré­dit mentionne expressément dans ses considérants qu’il ne s’applique pas aux banques, mais ces dernières prétendent dans leur factum qu’il vise à établir un contrôle provincial sur les transactions de crédit qui font nécessairement partie des ope­rations bancaires et que le Parle­ment fédéral a sur ces dernières une juridiction exclusive.

Les banques admettent que le bill n'a pas pour objet Immédiat de con­trôler les transactions bancaires. Mieux, déclarent-elles, il a pour ob­jet de forcer les banques à sortir de TAlberta et à laisser le champ Ubra pour l’établissement d’un système bancaire provincial.

Le bill des taxes a pour objet d’im­poser une taxe d'un demi d'un pour cent sur le capital investi des ban­ques opérant dans l'Alberta et d’un

au nombre de douze, ont dû s’en­fuir en toute hâte et ont trouvé re­fuge chez des voisins. Deux des lo­gements étaient occupés par les fa­milles de MM. Picard et Baribeau, tandis que le troisième était occupé par la famille de M. Thomas Ma­rion, 375, rue Arago.

Le Dr Edmond Verge, médecin at­taché au service des Incendies, ain­si qu'un nombre imposant de px>]i- ciers se .soni aussi rendus sur ie Ueu de l’incendie. Une foule nombreuse de curieux est aussi accourue, mais elle a été tenue à distance par la police.

Les pompiers ont dû répondre à pas moins de douze appels pour aller combattre des feux de cheminées qui se sont déclarés, ce matin, dans les diverses parties de la ville. A chaque endroit, heureusement, les pompiers ont mis peu de temps à se rendre maîtres des flammes, mais ils ont dû agir avec célérité à cause de la tempête de vent et de neige qui fait rage depuis hier soir.

Le succès du plan Dunning dans Québec

(Suite de la 1ère page) on vient de faire mention établis­saient à 32,496 le nombre de prêts consentis et formaient le total de $12,850,379.86.

Les monUnts et ie nombre de prêts consentis dans les cités et villes de la province de Québec se distribuent de la façon suivante :

Vaste projet pour la défense des lignes côtières du Canada

(Suite de la 1ère pagei cilement se servir de notre territoire comme base d'attaque. Dans ce cas, les armées et toutes les forces de guerre des Etats-Unis devraient né­cessairement envahir le Cànada pour empêcher leur propre territoi­re d’étre envahi. Et dans ce cas, le Canada passerait par une période plus troublée et plus sanglante que la Belgique lors de la dernière guer­re, à cause des progrès des procédés de la guerre moderne. Personne à Ottawa n’est alarmiste à ce sujet Mais gouverner, c’est prévoir .

Fête canadienne-française à New-York le 29 janvier

(Suite de la 1ère pagei de trappeurs, et la plupart de ses achats étaient ensuite dirigés sur New York. A cause de l'intelligence et de l’esprit de travail de Franchè- ro, M. Astor l’invita à s’établir à New-York, où il aurait plus de chan­ces d'améliorer son sort. Franchère eut par la suite une carrière très intéressante, et fonda même une vil­le dans TOregon. Il l'appela Asto­ria, en 1 honneur de son ancien pa­tron. De retour à New-York en 1850, il fonda la Société Bt-Jean-Baptlste Après en avoir été le president pen­dant 13 ans, il mourut à St-Paul. Minnesota, dans la maison de son gendre. M. A. Prince, maire de St- Paul. Parmi ses hôtes au grand bal du 29 Janvier, la Société St-Jearr- Baptiste de New-York comptera le maire de Montréal, les directeurs et les Joueurs du club de hockey Cana­dien, les directeurs et les membres de plusieurs sociétés sportives de la province de Québec, et le reine des sports de la province. Le dimanche, 30 janvier, les visiteurs assisteront à la partie de hockey entre les Ame­ricans et les Canadiens, au Madison Square Garden., Le chant de “A- louette” sera à l’honneur, et un choeur de oent voix donnera le ton.

Cités de 40,000 et plus

Québec Montréal Verdun .

Nombre 218

, 1,57198

Montant$125,090.07810,089.5835,620.12

Hull.

Cités de 20.000 - 40,000Nombre Montant

.... 30 * 16,937.84

SESSION ONTARIENNEToronto. 7. (C. P.) — M. Hepburn a annoncé hier soir que la pre­

mière session de la nouvelle Chambre ontarienne s'ouvrirait le 23 février prochain et que l'ancienne vedette de la National Hockey Leegue, Lionel Conacher, maintenant député libéral de Toronto Bracondale, présen­terait l’adresse en réponse au discours du trône, secondé par Roméo Bé­gin. de Russell. I

Un expert en explosifs est soupçonné de crime

(Suite de la 1ère page/ l’extrémité d’une voie Inclinée de 500 pieds. L'explosion déplaça en effet le lourd véhicule, mats U ne bougea que de 6 pouces. Les grelins d’acier qui le retenaient au bord de la côte furent coupés, mats il en res­ta trois, et ce fut assez pour empê­cher une catastrophe.

Un bâtiment, au sommet de la vote ferrée, fut endommagé par l'explosion, que tout Hamilton en­tendit.

La police croit qu'une ou plusieurs personnes inconnues, profitant d'un moment où il n'y avait personne dans les environs, placèrent plu­sieurs cartouches de dynamite en­tre le wagon et la plate-forme au sommet de la pente, y attachèrent une longue fusée qu'elles allumèrent et ensuite s’enfuirent.

Cette voie ferrée, un simple tron­çon, est située sur la rue James. El­le est désaffectée depute plusieurs années après avoir servi longtemps à une maison de commerce. L’em­placement est actuellement en ven­te à cause d'arrérages de taxes de $2,400. Depuis que la vole ne servait plus, U y avait un wagon au bas de la pente et un autre en haut, o» dernier solidement retenu par de* câbles d’acier.

Les fenêtres de l’entrepôt au som­met de la pente éclatèrent sous la violence du choc. Des planches fu­rent arrachées et les habitants de l'ouest de la ville crurent à tm tremblement de terre, j

537333

Page 24: O^T XT¥¥ - BAnQ

24 LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 JANVIER 1936

Des travaux de chômage suspendus à Chicoutimi

BENEDICTION D’ORNEMENTS LITURGIQUES CHEZ LES FRANCISCAINES

DECEDE

M. EUGENE TRUDEL, entrepre­neur-camionneur, est décédé à Québec à l’âge de 76 ans. Nos sympathies.

DIMINUTION DE RECETTES

AUX C. N. R.Les Chemins fer natio­

naux enregistrent une di­minution des recettes pour la dernière semaine de 1937, comparativement à celle de 1936.M. R.-C. VAUGHAN

Montréal, 7. fSpéciale) — Les re­cettes brutes des Chemins de fer nationaux durant la dernière se­maine de l'année 1937, se sont chif­frées par $4.722,048, soit $338,576 de moins que durant la semaine cor­respondante en 1936. Durant l’an­née 1937, le Canadien National a acheté pour plus de 62 millions de dollars, a déclaré M. R.-C. Vaughan, vice-président et directeur des achats du réseau.

Ces achats, répartis entre environ 10.000 maisons canadiennes diffé- rentes, ont aidé diverses branches de l’industrie canadienne à retour­ner c, des conditions normales.

‘ En 1937, dit M. Vaughan, nous avons acheté beaucoup plus de ma- térie qu’en 1936 ; ceci à cause de l'augmentation du trafic qui exi­geait l’acheminement de plus de trains de voyageurs et de marchan­dises. Naturellement, nous avons consommé plus de charbon et une plus forte quantité de fournitures de toutes sortes. Le fonctionnement de nos usines a aussi été plus consi­dérable, exigeant un plus gros équi­pement et un plus gros matériel.

“Le total de nos achats au Cana­da s’est élevé en 1937, à environ $62,506,000. De ce montant, environ $15,140,000 ont été affectés à l’achat de nouveau matériel roulant et $11,216,000 à l’achat de combustible canadien pour nos locomotives, nos gares, etc. Le Canadien National a aussi acheté, l’an dernier, au Cana­da, quelque 315,700,000 pieds de bois dont 225,500,000 pieds représen­tant des dormants.

“Au cours de l’année écoulée, dit M. Vaughan, le matériel suivant a été livré au Canadien National : 50 voitures de première, 10 fourgons poste, 2,665 wagons à marchandises, 49 plate-formes, 15 wagons à Bal- laste, 30 wagons à sable. 300 gondo­les et 175 wagons frigorifiques. De plus, 125 autres wagons frigorifiques ont été construits dans les ateliers du Canadien National.

“Au cours de l’année, 126 voitures de voyageurs ont été climatisées’’. Ces dépenses faites par le Canadien National ont donné plusieurs mil­lions d’heures d’ouvrage aux ou­vriers canadiens et ont joué un grand rôle dans l’accélération de la marche des affaires au Canada.”

L’hon. William Tremblay, ministre du Travail, an­nonce que la construction d’une route est suspendue temporairement.

PROTÊTS

“Une forte proportion des tra­vaux de chômage qui étaient en cours à Chicoutimi ont été suspen­dus indéfiniment mercredi selon une déclaration de l’honorable William Tremblay, ministre du Travail, à la suite d'une mésentente avec les autorités fédérales».

Les travaux consistaient en la construction d’une route partant de la Rivière-du-Mou’.in pour se ren­dre au port de Chicoutimi, soit sur une distance de près d'un mille. — “Les travaux ont été commencés, déclara le ministre du Travail au représentant du “Soleil’*, après que nous ayons reçu une lettre de M. J.-E.-A. Dubuc, député de Chicouti­mi aux «Communes, qui s'engageait à faire voter par le gouvernement fédéral le montant nécessaire pour les frais de transport des maté­riaux. Or, nous avons reçu plusieurs protêts concernant la construction de cette route. La lettre du dé­puté fédéral n'est pas un titre suffi­samment clair pour autoriser la pro­vince à continuer la construction. Nous devons donc suspendre tem­porairement les travaux à Chicou­timi".

M. Tremblay ajouta que la cons­truction de cette route relève du gou­vernement fédéral de qui dépen­dent les ports nationaux et que le gouvernement provincial s’étalt montréal disposé à collaborer à sa construction pour remédier au chô­mage dans la ville de Chicoutimi.

M. Arthur Larouche, député de Chicoutmi à l’Assemblée législative, a été avisé de l’arrêt des travaux.

M. EUG. TRUDEL A SUCCOMBE A

LA MALADIENotre concitoyen bien connu et très

estimé est décédé à l’âge de 76 ans après avoir rempli une car­rière fort active.

*

m

1

Hommage du cardinal aux Rvdes Srs Franciscaines

Réunion à Ottawa

UN DOYEN

Ainsi que le ’’Soleil” l'annonçait brièvement mercredi, dans son édi­tion de 5 heures, M. Eugène Trudel, entrepreneur-camionneur, est dé­cédé le 5 décembre en son domicile, 20, rue Burton, après une longue maladie. M. Trudel, qui était un homme d’affaires bien connu et hautement estimé, était âgé de 76 ans.

M. Eugène Trudel était le fon­dateur de la maison Eug. Trudel Enrg Transport, qui compte plus de 60 années d’existence. En lui dis­parait aussi un des plus vieux ci­toyens de St-Jean-Baptiste et le doyen des anciens élèves de l'Aca­démie Commerciale de Québec. Sa disparition cause de vifs regrets, car M. Trudel était un citoyen intègre et un parfait chrétien. Il avait été mêlé à différentes activités et avait pris une part active dans différen­tes associations de bienfaisance et de charité, qui lui étaient particu­lièrement chères.

M. Trudel avait épousé dame Zoé Robltaille, qui l’a précédé dans la tombe, il y a quelques années. Il laisse dans le deuil, ses fils, M. Eu­gène Trudel, Jr, camionneur, et M Réné Trudel, de la maison Eugène Trudel Enrg. ; ses filles, la Révé­rende Mère Marie-Arnica de l'Eu­charistie, des Missionnaires de Ma­rie, actuellement à Paris ; madame veuve Georges Godin (Béatrice), madame Donat Desroches (Yvon­ne), madame Pierre Pucet (Eveli­ne), et mademoiselle Jeanne d’Arc Trudel ; ses gendres, MM. Donat Desroches et Pierre Pucet ; ses bel­les-filles, madame Eugène Trudel (Justine Béliveau), et madame Ré­né Trudel (Judith Paré). M. Tru­del laisse aussi plusieurs petits en­fants, des neveux et des nièces ain­si que des cousins,

Les funérailles de M. Trudel au­ront lieu demain matin à 9 heures, en l'église St-Jean-Baptiste.

Aux membres de la famille en deuil, le “Soleil” offre ses plus sincères condoléances.

Une conférence des sous-ministres provinciaux de ’.’Agriculture sera te­nue le 12 janvier, à Ottawa, afin d’étudier les moyens de coordonner le plus possible les efforts des mi­nistères fédéral et provinciaux de l’Agriculture. M. Albert Rioux, sous- mlnistre, y assistera. Le lendemain, à Ottawa également, le comité chargé de régler les problèmes re­latifs à l'industrie de l’érable se réunira. M. Coderre et M. Rioux sont les représentants de la provin­ce dans ce comité. Le 10 janvier. M. Bona Dussault, ministre de l’Agri­culture se rendra à collège MacDo­nald, à Ste-Anne de B»Hevue et le lendemain, il assistera a l’ouvertu­re des cours de l’école-de laiterie de St-Hyacinthe.

Société de Saint-Vincent de Paul

REUNION DU CONSEIL CENTRALDimanche, le 9 janvier, à 2 heures j

précises de l'après-midi, au Patro- | nage de la Côte d’Abraham, réunion ' mensuelle du Conseil central

A cette réunion de janvier, sui­vant une tradition confraternelle, tous les présidents des Conférences sont cordialement priés d’assister.

La visite au Palais cardinalice n'aura lieu que le dimanche 16 ianvier,

Alex. Trudel, secrétaire.

Une expérienceLe ministère provincial de l’Agri­

culture vient de tenter une expé­rience nouvelle qui assurera, si elle réussit, un débouché â (a production agr icole de la province On a expé­dié directement en Angleterre, via St-Jean, N,-B., 225 douzaines d’oeufs frais. Jusqu'ici, on n expêdiait que des oeufs d'entrepôt, ue gouverne­ment a défrayé le coût de l’embal- |lage et une fraction des frais de transport. Cet essai durera deux mois. On verra ensuite si les oeufs arrivent assez frais en Europe et s’ils y sont consommés assez rapide­ment pour poursuivre des exporta­tions de façon régulière et en quan­tité plus considérable.

UNE FETE AUX DIRECTEURS DU CLUB KIWANIS

Les officiers-élus du club Ki- wanis pour l’année 1938 ont été officiellement pré­sentés mercredi aux mem­bres du club, au Château Frontenac.

LES DISCOURSComme le “Soleil” le publiait,

mercredi, dans son édition de 5 heures, dans la légende d une vi­gnette, les officlers-élus du club Ki- wanis pour l’année 1938 ont été officiellement présentés, mercredi midi, aux membres du club, à l'issue de leur déjeuner hebdomadaire en la salie Jacques-Cartier, au Château- Prpntenac.

Le lunch terminé, M. Maurice de Goumois, président sortant de char­ge, avant de céder le fauteuil prési­dentiel au nouveau président, M. J.-R. MacLeod, remercia vivement les directeurs du club de l'entière coopération qu’ils lui ont apportée durant son terme d’office et aussi tous les Kiwaniens pour le bel es­prit dont ils ont fait preuve. Il les encouragea à continuer à manifes­ter ce bel esprit qui les anime. En terminant, il présenta à tous ses confrères ses meilleurs souhaits pour la nouvelle année. Puis il for­mula pour le club les meilleurs voeux de succès et de prospérité.

M. le Dr. J.-E. Laforest remet au président de Goumois. un magnifi­que cadeau souvenir des membres du club et M. E.-C. Woodley lui pré­senta l’insigne en or souvenir du Kiwanis international. MM. Lafo­rest et Woodley, en remettant ces souvenirs, firent de grands éloges du président dont il soulignèrent le grand dévouement dont il a fait preuve pour l’avancement du club.

M. Gerald Martineau, gouverneur du district, donna ensuite lecture des règlements du club jwis présen­ta aux membres les nouveaux offi­ciers qui ont été élus au début du mois de novembre.

M. MacLeod prit ensuite posses­sion du siège présidentiel. Il remer­cia les membres de la marque de confiance qu'ils avaient bien voulu lui témoigner en l’élisant à la pré­sidence. Il demanda ensuite aux officiers et à tous les membres leur coopération pour mener à bien les

(Suite à la page 13,1ère col.)

La bénédiction d’ornements liturgiques chez les Soeurs Franciscaines Mis­sionnaires de Marie, de la Grande-Allée, par S. Em. le Cardinal Vil­leneuve, a donné lieu hier à une solennelle manifestation. Cette cé­rémonie a écrit une page mémorable dans les annales de l'Association de l’Adoration Perpétuelle et l’Ouvroir des églises pauvres du diocèse de Québec. Dans l'illustration ci-dessus, en haut, S. Em. le Cardinal reçoit les hommages des membres de l’Association dont M. A. Denault, avocat, président, se fait l’interprète. On remarque près de Mgr l’Ar­chevêque M. l’abbé Rémillard,' chapelain des Soeurs Franciscaines Missionnaires de Marie, et le R. Père Quélo, Eudiste, curé de Saint- Coeur de Marie. L’illustration du bas donne une idée de la richesse de l’exposition d'ornements liturgiques dont S. Em. le Cardinal a présidé hier l’inauguration. L’exposition comprend quelque onze pièces va­riées, de véritables merveilles d’art et de beauté que le public peut aller admirer en la salle publique des Franciscaines de la Grande-Allée.

(Clichés du “Soleil”)

Le Dr J.-E. Bissonnette est entré en '

La Société médicale de Québec procède mercredi soir à des élections — Le Dr Bissonnette est élu sans

opposition à la présidence, pour remplacer le Dr Achille Paquet, devenu président honoraire.

Sous la présidence du Dr J.-E. Bissonnette, la Société médicale de

| Québec a tenu, mercredi soir, une réunion au grand amphithéâtre de l’Université Laval. Un grand nom­bre de membres y assistaient.

Au début de la réunion, M. le Dr C.-A. Gauthier, secrétaire de la So-

! ciété, a donné lecture du procès verbal de la dernière réunion qui fut adopté à l’unanimité. On a ensui­te discuté plusieurs questions de ré­gie interne de l’association puis des décisions ont été prises dont on n’a pas dévoilé la teneur aux journalis­tes.

A la fin de la réunion, les membres ont procédé à l’élection des nou­veaux officiers pour l’année 1938. Tous les officiers de l’ancien bureau

REVISION DES STATUTS

de direction ont été réélus par accla­mation pour un nouveau terme,

Le bureau de direction se compo­se donc comme suit : président ho­noraire ; M. le Dr Achille Paquet ; vice-président honoraire, M. le Dr Willie Verge, président ; Monsieur le docteur J.-E. Bissonnette ; 1er vice-président, M. le Dr Sylvio Ca­ron ; 2ème vice-président. M. le Dr Georges Grégoire ; secrétaire, M. le Dr C.-A. Gauthier ; trésorier, M. le Dr Paul Larochelle. Ces deux derniers ont été réélus pour un qua­trième terme consécutif.

Pour ce qui concerne l’élection des directeurs on a décidé de la re­mettre à quelques mois alors qu’au­ra lieu la revision des statuts de la Société.

ET SIROIS A WINNIPEG

Trois membres canadiens- français de la Commission Rowell, MM. Jos. Sirois, Ls St-Laurent et Adjutor Savard, reçoivent une cor­diale réception, à Winni Peg- _____

L’A. A. B. N.

Son Eminence inaugure l’ex­position annuelle de vête­ments liturgiques chez les Rvdes Soeurs franciscai­nes missionnaires de Ma­rie.

M. A. DENAULTL’inauguration de l’exposition an­

nuelle de vêtements liturgiques chez les Soeurs Franciscaines Missionnai­res de Marie par S. Em. le Cardinal Villeneuve a donné lieu, hier, à une touchante démonstration. Cette so­lennelle cérémonie a écrit une page inoubliable dans les annales de l'As­sociation de l’Adoration Perpétuelle et de l’Ouvroir des églises pauvres, sa filiale. Mgr l’Archevêque a fé­licité chaudement les membres de l’Association de l'expansion de leur oeuvre et de tout ce qu’elle repré­sente de valeur spirituelle. M. A. Denault, avocat, s’est fait l’inter­prète de l’Association dont il est président pour présenter au Primat de l'Eglise canadienne des homma­ges et des voeux.

La grande salle publique des SS. Franciscaines Missionnaires de Ma­rie présentait un aspect féerique avec les quelque onze cents pièces variées de vêtements liturgiques ar­tistiquement étalées. Ces oeuvres d'art d’une inappréciable valeur ont fait l’admiration de la foule des in­vités. Elles illustrent aussi le dé­vouement des dames coopératrices de l’Ouvroir des Eglises pauvres qu’animent la R. Mère Notre-Dame de l’Espérance, directrice, et Mlle Emérentienne Paradis, présidente.

Après la bénédiction des orne­ments, S. Em. le Cardinal et les membres du clergé firent la visite

(Suite à la page 12 1ère col.)

SURINTENDANT

m 0.

mMÈSL’inspecteur JOSEPH SAVOIE, de

U Gendarmerie Royale du Cana­da, qui vient d’être nommé surin­tendant de la police fédérale pour les régions de Québec et de Mont­réal,

L’INDUSTRIE MINIERE EN

L’ANNEE ’37L’hon. T.-A. Crerar, miniatre

des Mines et des Ressour* ces naturelles, souligne les progrès réalisés par l’in­dustrie minière durant la dernière année.

DOSSIER INCOMPLET

DécorationsDeux jeunes gens de Québec, ma­

demoiselle Marguerite Plante et M. Hector Poitras seront décorés et re­cevront des certificats de la Ligue de Sécurité de la province de Qué­bec en reconnaissance de la bra­voure dont ils ont fait preuve, le 5 juillet dernier, au Lac Sergent, en sauvant quatre jeunes filles d’une mort certaine. Les quatre jeunes filles avaient été secourues par M. Poitras et mademoiselle Plante au moment où leur embarcation avait chaviré, au milieu du lac. Une compagne, mademoiselle Chouinard, moins fortunée qu’elles, s’était ce­pendant noyée.

M. Edmond BuronM. Edmond Buron, archiviste ca­

nadien à Paris, auteur d’une tra­duction célèbre de L’“Ymago mun- di”, donnera une conférence publi­que, sous les auspices de l'ACFAS, lundi, le 10 janvier prochain, à l'amphithéâtre de la faculté de Médecine de l’Université Laval. M. Buron. qui est une grande autorité de l'histoire pré-colombienne, a in­titulé son sujet: "Les navigateurs basques au Canada avant Cartier”. M. le Dr J.-E. Perron, vice-prési­dent de l’ACFAS, présentera le conférencier. Le public est admis sans cartes et les dames sont res­pectueusement invitées.

Lors de leur passage à Winnipeg, à l’occasion de la tenue des séances de la commission Rowell, MM. Jos. Sirois, N.P., membre de la Commis­sion, Louis St-Laurent, C.R., avocat au Barreau de Québec et Adjutor Savard, le secrétaire français de la Commission, ont été les invités du “Cercle de la Pensée Française” à un dîner intime à l’hôtel Malbo- rough.

M. J.-T. Beaubien, C.R., a prési­dé. Me Sirois a été présenté par M. l’abbé Antoine D’Eschambault; M. Saint-Laurent par Son Honneur le magistrat H. Lacerte et M. Adjutor Savard, par M, A.-L. Beaubien, dé­puté de Provencher.

Me Sirois a expliqué le but de cet­te Commission Royale, dont les membres “auront des décisions à prendre qui seront de la plus grande gravité. Elle n’a pas de juridiction dans le domaine de l’administra­tion des écoles des provinces, et ne peut se prononcer que sur les ques­tions de relations financières entre les provinces et le Dominion.” Il a parlé de Son Excellence Mgr Yelle en termes très élogieux.

M. Saint-Laurent, à sa façon élé­gante, claire et précise, a parlé du statut de l’Acte de l'Amérique Bri­tannique du Nord, la “Constitution" de notre pays. “Les jugements du Conseil Privé de Sa Majesté, a-t-il dit, ont déplorablement limité les pouvoirs du Dominion dans certains domaines. IJ semble qu'il faille que notre constitution soit amendée si la Confédération canadienne doit subsister.” Les esprits dans le Qué­bec sont très inquiets à ce sujet, et nos frères do là-bas ne consenti­ront pas à un tel amendement, sans obtenir des gages absolus que leurs droits seront protégés, dans l'avenir et pour toujours. ‘‘Lorsqu’il s'agira de consentir ou de refuser de con­sentir à cet amendement, le premier

(Suite à la page 12 3e col.)

UN PLAIDOYER SPECIAL PAR

ME BERTRANDL’hon Charles - Auguste Bertrand, I 20% D’AUGMENTATION

ancien ministre, veut connaître la ____provenance du dépôt de SUI20 par l'honorable T.-A. Crerar, fourni par celui qui conteste son ministre des Mines et des Ressources élection.

On peut se faire une idée des progrès réalisés en 1937 par la glu- part des industries canadienne^ en consultant les rapports concernant la période de dix mois terminée en octobre dernier. Ces rapports ac­cusent les gains suivants sur la pé­riode correspondante de 1936 : pro­duction totale d’énergie électrique : 9 p. 100 ; fabrication des automo­biles : 30 p. 100 ; production de papier-journal : 17 p. 100 ; valeur totale des travaux de construction entrepris à forfait : 39 p. 109 et chargements de wagons : 6 p. 100. Cette amélioration se reflète aussi dans les échanges commerciaux qui révèlent que durant les douze mois terminés en octobre 1937, le Canada a importé et exporté des marchan­dises d’une valeur totale de $1,928,- 722.600, soit une augmentation de $350.428.000 sur la période corres­pondante de 1936.

L’industrie minière au Canada oc­cupe une place prépondérante dans l’économie nationale. La valeur totale de sa production annuelle, les dividendes attribués par les socié­tés minières, le nombre d’ouvriers employés par cette industrie et les sommes dépensées pour les appro­visionnements et l’outillage, y com­pris l’énergie électrique et lès frais

; de transport, ont été les plus élevés ; enregistrés jusqu’ici. L’industrie a aussi établi un nouveau record du

, point de vue de la valeur totale de ! ses exportations de cuivre, de Nic­kel, de plomb et de zinc. Les chif-

; très de la production des principaux métaux et minéraux donnés dans le tableau ci-dessous pour les dix mois terminés en octobre dernier en regard de la période correspondan­te de 1936, indiquent que la valeur totale des minéraux produits au Ca­nada en 1937 dépassera de 16 à 20

(Suite à la page 4, 6e col.)

Montréal, 7. (D.N.C.).— L’hon. C.- A. Bertrand, député de Montréal- Laurier à l'Assemblée législative, a présenté mercredi, devant le juge Fa- bre-Surveyer, un plaidoyer spécial autorisé par la loi Dülon, réclamant des détails sur la propriété du dépôt de $1,020 fourni par tout requérant d’élection. L’élection de M. Ber­trand est contestée par le Dr Zénon Lesage, candidat de l’Union nationa­le lors des élections provinciales du 17 août 1936.

La production de ce plaidoyer a soulevé de fortes objections de la part de Mtres Edouard Masson et Fernand Chaussé, avocats du Dr Le­sage. Ils ont d'abord tenté de faire retarder l’audition du plaidoyer à lundi prochain, devant l’hon. juge A. Chase-Casgrain, de la Cour Supé­rieure, alors que commencera l'ins­truction au mérite de la contestation d’élection. Mtres Alexandre Prud- homme et Bernard Bissonnette, C. R., avocats de M. Bertrand, ont pré-

i tendu de leur côté que la contesta­tion d’élection a été instituée le 3 octobre 1936, soit plus d’un mois avant l’abrogation de la loi Dillon et que, par conséquent, elle s’appli­que encore dans cette cause. De plus, d’après eux, ce n’est pas le ju­ge au mérite qui doit entendre le

| plaidoyer spécial, car ce dernier doit être décidé sommairement avant l’instruction.

Comme le dossier n’était pas com­plet, Thon, juge Fabre-Surveyer a remis l’audition du plaidoyer é ce jour.

Le congrès de la RadioOttawa, 7. (Spéciale au ‘‘Soleil”).—

La délégation canadienne au congrès international de la Radio qui se tien­dra en Egypte, quittera Ottawa de­main soir par le Canadien National pour Halifax, où elle montera à bord d’un navire à destination de Lon­dres, Angleterre, et de Port Saïd via Toulon.La délégation canadienne se compo­se de MM. Laurent Beaudry, sous- secrétaire d’Etat; W.-A. Hush, con­trôleur de la Radio; G.-C.WT. Brown, contrôleur-adjoint; J.-A. Holmes, surintendant de la Radio; le colonel P. Earnshaw, directeur du Service des Signaux, et M. le Dr Auguste Fri- gon, directeur-adjoint de C B.C.

Couverte voléeUn individu a été arrêté, mercredi

soir dernier au moment même où il venait de commettre un vol de couvertes dans une automobile, en stationnement dans le quartier St- Roch. Le maraudeur a été arrê­té par des agents de la station de police No 4 et comparaîtra, ce ma­tin pour répondre à l’accusation de vol.

LES OFFICIERS ELUS DE LA SOCIETE MEDICALE DE QUEBEC

M. René ChaloultM. René Chaloult, député de Ka-

mouraska à l’Assemblée législative, est parti pour Miami, Floride, où 11 poursuivra sa convalescence, après une grave maladie. M Chaloult est accompagné de son épouse et de ses trois fils. Il sera absent pendant quelques semaines. Le ■ ''Soleil" formule des voeux pour son prompt rétablissement.

m.

Mort étrangeBruxelles, 7.—(P.C.—Havas) Les

autorités ont ordonné hier soir de pratiquer l'autopsie sur le corps de Julius Bannat, banquier belge dont le nom a figuré dans les accusa­tions d’irrégularités financières por­tées contre l’ancien gouvernement van Zeeland par les Rexistes. Bar- mat, extradé de la Hollande la se­maine dernière, est mort hier dans l'infirmerie de la prison Forest pen­dant qu'il attendait son procès. Sa femme, un rabbin et deux méde­cins étaient à son chevet.

Prospecteurs sauvésCochrane, Ont., 7. — (PC.) Huit

prospecteurs, qui ont connu l'ennui d'être immobilisés à 5 cents milles d’ici au nord à la suite de la rup­ture de l’hélice de leur petit navire, seront ramenés à la civilisation par un avion aujourd’hui C'est l'un d’eux, Henry Norrington, de Toron­to, qui se dévoua pour ses compa­gnons, et partit à pied pour East- Main, où il est arrivé hier. Ils étaient immobilisés à Great Whale, où H y a un poste de la Compagnie de la Baie d'Hudson.

Grange incendiéeUn violent incendie a détruit de

fond en comble, hier après-midi la grange de M. E. Jobin. sur le Che­min de la Petite Rivière. M. Jobin a perdu ses animaux et toute sa ré­colte. Cet incendie, d’origine in­connue. a commencé vers les 5 heu­res, hier après-midi, et vers 7 heures tout était en cendres. Nombreux sont les citoyens qui ont pu aperce­voir les flammes de Québec, de Ste- Foy et de Loretteviile.

Un auditorium

La Société Medicale de Québec Eugène Bissonnette, nouveau président honoraire ; le Dr

a procédé, mercredi soir, au choix de ses officiers pour le prochain exercice. Cette assemblée annuelle a eu Heu à l’amphithéâtre de Médecine de l’Université, sous la présidence du Dr président de la Société. Les personnages ci-dessus, de gauehe à droite, composeront le nouveau conseil avec le Dr Bissonnette : le Dr Achille Paquet, président sortant de charge, nommé Willie Verge, vice-président honoraire ; le Dr Sylvio Caron, 1er vice-président actif ; le Dr Georges Grégoire, 2e vice-président actif ; les docteurs C.-A. Gauthier et Paul Larochelle, réélus

respectivement secrétaire et trésorier pour un quatrième terme. Tous les nouveaux titulaires ont été élus par acclamation. Après la revision de ses statuts, dans quelques mois, la Société fera l’élection de ses directeurs.J

Montréal, 7. — (P.C.) Le maire Adhémar Raynault a exprimé l'es­poir hier que le gouvernement fédé­ral contribuerait des fonds pour l’érection d'un “centre civique" au coût de $5,000,000 sur une partie de l’emplacement où les C N. R. avaient déjà projeté de construire un terminus. Le centre projeté contiendrait un auditorium géant, des salles de concert, des garages, etc.

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