REVUE DE PRESSE 2011 Olmix SA Le Lintan ZA du Haut du Bois 56580 Bréhan France Téléphone: +33 (0)297 38 81 03 Télécopie: +33 (0)297 38 86 58 Email: [email protected] Website: www.olmix.com Société Anomyne au capital de 428 396, 20 € - RCS Vannes B 402 120 034 Siret: 402 120 034 00010 - Code NAF: 241 E - N° TVA Intracommunautaire: FR 20 402 120 034
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REVUE DE PRESSE
2011
Olmix SA Le Lintan ZA du Haut du Bois 56580 Bréhan France
Hervé Balusson, PDG d'Olmix (à gauche), a présenté son dossier à Bernard Le Menn, sous-préfet de Pontivy. Dans les tonneaux : des algues vertes congelées.
La société, basée à Bréhan (Morbihan), va lancer un programme, en lien avec Oséo, pour traiter des ulves fraîches qui seront utilisées dans la nutrition animale et végétale.
Olmix fabrique, depuis 1995, des additifs pour l'alimentation animale et l'hygiène des élevages, mais aussi la plasturgie, la cosmétique, le ciment, etc. Ceci à base d'argile de Montmorillon dans la Vienne, d'oligo-éléments et... d'algues. « Attention, des algues vertes, rouges, brunes », souligne Hervé Balusson, président-fondateur de l'entreprise.
La société a ainsi créé l'Amadéite, nouveau matériau breveté au niveau mondial. Quinze ans après son lancement, elle emploie « 250 personnes », réalise « 54 millions de chiffre d'affaires » et est implantée dans « soixante pays ».
À Plestin-les-Grèves
Olmix veut maintenant créer une filière à partir des algues vertes « fraîches, non pas fermentées », précise le PDG. Une nouvelle machine a été créée pour récolter ces algues à Plestin-les-Grèves (Côtes-d'Armor). Elle est constituée d'un plateau, d'un tapis roulant et d'un appareil à ensiler les endives ! Des essais avaient déjà été réalisés, à Plestin, en 2008. Mais les algues étaient mélangées à du sable, ce n'était pas concluant. Désormais, elles seront récoltées dans l'eau.
Débarrassées de l'eau de mer, les algues sont ensuite congelées, raffinées puis traitées en séparant les sucres, les jus et la matière verte. Parmi les débouchés : un produit appelé Ecofish, qui sera utilisé « dans la nutrition du poisson en aquaculture ». Il a déjà été « testé au Vietnam » et « des usines vont se monter en Corée, en Chine, au Canada », affirme M. Balusson.
Le projet va démarrer le 2 janvier. Il est soutenu par Oséo, la banque de l'innovation, dans son programme « Innovation stratégique industrielle ». Il est réalisé en lien avec plusieurs partenaires : l'Inra, l'Ifremer, l'Université de Bretagne occidentale, l'Université de Bretagne Sud, le Technopôle de Brest.
Soutien scientifique
Olmix compte raffiner « 600 à 800 tonnes d'algues sèches par semaine ». Pour cela, une ligne sera mise en commun avec une autre entreprise de Bréhan, PRP, qui produit des fertilisants pour les sols. Hervé Balusson annonce un investissement de « 25 millions d'euros, dont 17 millions pour Olmix ». Il prévoit la création « d'une centaine d'emplois ».
Paul Anselin, ancien maire de Ploërmel et nouveau conseiller d'Olmix, commente : « Cela ne veut pas dire abandonner la fertilisation maîtrisée ni la politique des bassins versants. » Une façon de couper l'herbe sous le pied de ceux qui verraient là un blanc-seing donné à la filière porcine bretonne.
« Il faut inverser la vapeur par rapport à tout ce qui a été dit concernant les algues vertes. Si on les prend dans l'eau et si on les raffine dans la journée, il n'y a aucun problème », insiste Hervé Balusson. « C'est plus intelligent que le ramassage et l'enfouissement, » ajoute Olivier Le Guernic, consultant financier.
Claude LEMERCIER.
Brest
1 décembre 2011 Quotidien
Technopôle. De retour de Rimouski au Québec
Une quinzaine de coopérations économiques et scientifiques entre Bretagne et Québec avancent grâce au projet Océan, cofinancé par les deux pays. Une délégation de Brest était à Rimouski fin octobre.
L'histoire de la coopération entre Brest et Rimouski a débuté lors de la mission de prospection de la Jeanne‐d'Arc en 2010. Fin octobre, une délégation brestoise s'est rendue, de nouveau, à Rimouski. Au fil des rencontres, trois domaines ont été sélectionnés pour leur intérêt scientifique et économique. On y trouve la gestion de l'environnement, via des observatoires pour gérer les ressources naturelles; le transport, avec l'utilisation des connaissances scientifiques sur les courants, par exemple, pour promouvoir des techniques de navigation moins gourmandes en énergie; et, enfin, le domaine des biotechnologies marines, plus particulièrement de la filière algues, grâce à l'Institut universitaire européen de la mer (IUEM) de l'UBO et à la société morbihannaise Olmix, spécialisée dans la chimie verte. Cette entreprise basée à Bréhan recherche des solutions naturelles pour la nutrition et la santé animale et végétale. Elle vient de recevoir le prix de la PME en Chine, décerné par la CCI française en Chine.
Capitale des sciences marines «Rimouski est la capitale québécoise, voire canadienne, des sciences et technologies marines. Nous y avons passé trois jours et un jour à Québec pour faire le point sur la quinzaine de projets de coopérations initiés», précise Michel Morvan, directeur du Technopôle. Prochaine rencontre quand les Québécois viendront découvrir les Tonnerres de Brest 2012. À titre d'exemple, l'IUEM s'investit dans des études sur les algues marines, dont les biomasses sont très importantes au Québec. Les algues du Saint‐Laurent «Nous allons apporter notre expérience des algues, appliquée aux macro‐algues du Saint‐Laurent pour étudier leur valorisation économique, avec le CRBM (Centre de recherche sur les biotechnologies marines), un organisme canadien unique né d'un partenariat public‐privé», dit Éric Deslandes, de l'IUEM. Le programme de recherche a été baptisé Nutral'ag. Là aussi, des échanges avec des étudiants en master vont être développés. «L'Ensta propose un master 2 en hydrographie; des étudiants de l'Institut maritime du Québec, futurs officiers de marine marchande, pourraient être intéressés par cette formation. Actuellement, faute de spécialisation en ingénierie sur place, les étudiants vont aux USA, en Grande‐Bretagne ou à Terre‐Neuve», dit Christian Jochum, de l'Ensta (École nationale supérieure de techniques avancées) Bretagne qui travaille aussi sur des coopérations en robotique sous‐marine, hydrographie, acoustique sous‐marine ou énergie éolienne avec des homologues québécois. Enfin la plateforme de gestion des risques développée par le Sdis (service départemental d'incendie et de secours) du Finistère a aussi beaucoup intéressé la police et les sapeurs‐pompiers de Rimouski.
http://www.boursier.com
1 décembre 2011
http://www.lemoci.com
1 décembre 2011
Chine : Olmix remporte le Prix d’excellence de la PME de la CCIFC
La société française Olmix, spécialiste des solutions naturelles pour la nutrition et la santé animale et végétale, vient de recevoir le prix de la PME en Chine décerné par la Chambre de commerce et d’industrie française en Chine (CCIFC), avec le soutien d'Oséo. Ce prix récompense la stratégie et le succès commercial de la PME sur un marché à fort potentiel, qui représente 50% de la production mondiale de porcs, 67% de l’aquaculture et qui est le 2ème producteur de volailles au monde.
Créée en 2007, la filiale commerciale Olmix Chine réalise un chiffre d’affaires de 1,3 million d’euros. La société commercialise sur le marché chinois des alternatives naturelles aux antibiotiques issues des algues et destinées à l’élevage, en s’appuyant sur un réseau de 29 distributeurs agréés lui permettant de couvrir tout le territoire. A partir des algues, matières premières naturelles, le département R&D a mis au point des solutions naturelles pouvant se substituer aux additifs de synthèse, notamment dans le monde agricole. En collaboration avec le Technopôle Brest Iroise et la Mairie de Quindao (Chine), Olmix est également porteur d’un projet de développement d’une filière algues sur le territoire chinois. Ce projet s’inscrit dans le cadre du plan d’ « Economie Bleue » lancé par la République populaire de Chine en 2007 pour la valorisation des ressources maritimes. Cette valorisation des algues doit en particulier permettre de remplacer les protéines issues des produits de la pêche industrielle, nécessaires à la production de poissons d’élevage, par des protéines alguales, pour alimenter le marché chinois, 1er consommateur de poissons d’aquaculture, précise le communiqué de l’entreprise.
Olmix est présent dans 60 pays, emploie 250 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires de 53 millions d’euros, dont 80 % à l’exportation. L’entreprise dispose de quinze filiales et huit sites de production à travers le monde avec une forte présence en Asie.
Par ailleurs, le prix de la catégorie "Entrepreneur" (entrepreneur individuel français ayant créé son entreprise en Chine avec succès) a été décerné à la société NDA– New Design Associates. Ce cabinet d’architecture et de design "se distingue par ses projets d’urbanisme, d’architecture et de développement de fronts de mers en Chine et à l'international" précise la CCIFC. Le jury a examiné les dossiers en fonction de critères précis regroupés sous quatre types d’indicateurs : l’approche du marché chinois, les résultats de l’activité, l’impact sur l’extérieur, et les perspectives de développement.
Le prix de la PME Française en Chine a été annonce à Pékin. Journal du Peuple, Pékin le 29 Novembre (Journaliste Mme Li Yan) Le Prix 2011 de la PME Française en Chine a été solennellement annoncé lors du gala annuel de la Chambre de commerce et de l’industrie de France en Chine, ce samedi 26 Novembre. Engagé dans le développement d’alternatives naturelles c’est la société Olmix China Co., Ltd. qui a remporté cette année « le Prix d’Excellence » de la PME française en Chine. Le titre « d’Entrepreneur de l'Année" a été attribué à la société Nouveau Design Associates. Le prix de la PME Française en Chine créé en 2006, il a pour but de promouvoir les exportations françaises vers la Chine et ainsi d’encourager le développement des PME françaises en Chine. Le prix de la PME récompense ainsi la réussite de leur implantation en apportant une reconnaissance à leur réussite sur le territoire Chinois. Le Prix de l’Entrepreneur quant à lui souligne le courage et la persévérance dont ils ont pu faire preuve ainsi que le professionnalisme. Le prix d’«Excellence» étant réservé aux entreprises implantées en Chine continentale depuis 2 à 5 ans, sous la forme de bureaux de représentation, WOFE ou joint‐ventures. Le prix de l’Entrepreneur reste ouvert à tous les entrepreneurs français ayant établis un business avec succès en Chine. Ce prix est parrainé par la Chambre de Commerce et de l’Industrie Française en Chine, le groupe Total, Air France, OSEO, Ernst & Young, ainsi que par le ministère français des Affaires étrangères. Les membres du jury étaient composés des membres de la CCI, des partenaires ainsi que le vainqueur 2010 du Prix de la PME. Leurs audits se sont effectués selon 4 critères principaux: la compréhension du marché chinois, les résultats d'exploitation, l'influence étrangère ainsi que les perspectives de développement. Le groupe Olmix créé en 1995 en France, a toujours été engagé dans le développement d’alternatives naturelles pour la nutrition animale et végétale, et est devenu un expert de l’industrie verte. Issue des ressources naturelles notamment des algues, l’équipe R&D d’Olmix a développé une série d'alternatives aux additifs synthétiques et chimiques avec des solutions naturelles, en particulier dans le secteur agricole et validé par le marché. La filiale Olmix China Co., Ltd a été créée en 2007, elle connait un franc succès en Chine et une croissance continue. La société NDA est implantée en Asie depuis plus de 10 ans. En Chine, les activités ont débutées avec la construction de l’Exhibition Center de Dalian. Cette construction servira ensuite de vitrine a Mr Delarue pour se développer a l’internationale. Aujourd'hui, NDA connait un fort développement avec 60% de part de marché dans l'industrie du design pour front de mer et porte des projets tels que la construction du Yacht Club a Xiamen. En marge de la cérémonie, les représentants du comite de Direction du Commerce international Chinois, et la Chambre de commerce et de l’industrie française en Chine ont signé une lettre d'intention visant à renforcer les échanges d'entreprises françaises en Chine et leurs développements. Le Gala annuel de la CCIFC rassemble les grandes entreprises à Pékin, Shanghai ou Guangzhou selon les années. Il rassemble également les leaders de l'industrie française en Chine, de l'économie française, et leurs partenaires chinois, ainsi que des hauts représentants du gouvernement français. Cette soirée présidée par Madame Bermann, ambassadeur de France en Chine, a réuni plus de 500 personnes dont des représentants diplomatiques du milieu culturel et des arts, ainsi que des affaires.
http://www.ccifc.org
29 novembre 2011
OLMIX et NDA lauréats des Prix PME 2011
Le 26 novembre 2011, la CCIFC a remis les Prix PME 2011 lors de son gala annuel à Pékin. La CCIFC
récompense les efforts des PME et entrepreneurs français implantés en Chine
Le 26 novembre 2011, la CCIFC a remis les Prix PME 2011 lors de son gala annuel à Pékin. Le Prix PME Chine est un concours organisé par la Chambre de Commerce et d’Industrie Française en Chine (CCIFC) avec le soutien du Groupe Total, d’Air France, et d’Oséo, en partenariat avec Ernst & Young et en collaboration la section Chine du Comité National des Conseillers du Commerce Extérieur de la France. Ce concours vise à encourager le développement des PME françaises en Chine, et récompense l’audace, le professionnalisme et la persévérance d’une PME et d’un entrepreneur individuel ayant démarré avec succès des activités durables en Chine. Le prix PME Chine a été initié dans le cadre du programme Cap Export en 2006. Pour rappels, le Prix Excellence et le Prix Entrepreneur 2010 ont été respectivement attribués aux PME Bysoft China et Virtuos. Cette année, pour sa sixième édition, le prix PME a été décerné à la société OLMIX pour la catégorie Excellence (PME françaises ayant établi une structure locale (bureau de représentation, WFOE, JV, etc. en Chine continentale depuis 2 à 5 ans). OLMIX propose des alternatives naturelles aux antibiotiques et facteurs de croissance, utilisés dans la nutrition animale et offre aux acteurs de la chaîne de production une réponse naturelle et performante, qui est à jour avec les tendances les plus récentes en matière de règlementation et respect des écosystèmes.
Le prix de la catégorie Entrepreneur (entrepreneur individuel français ayant créé son entreprise en Chine avec succès) a été décerné à la société NDA – New Design Associates . NDA est un cabinet d’architecture et de design qui se distingue par ses projets d’urbanisme, d’architecture et de développement de fronts de mers en Chine et à l'international.
http://www.ccifc.org
29 novembre 2011
Cette année, 14 entreprises ont participé au concours. 8 pour le Prix Excellence avec les entreprises : IREC, Naço, Olmix, Perolo, Redex, STTS, Tell Me More et Terao. Et 6 pour le Prix Entrepreneur avec les entreprises Boez Design, IG Soltherm, NDA, Ouh la la, QP Software et Tangroulou. Le jury était composé de la présidente de la CCIFC, 6 membres du Bureau de la CCIFC,1 représentant d’Air France, 1 représentant de TOTAL, 1 représentant d’Oséo, 1 représentant d’Ernst&Young, 1 représentant des CCE en Chine et des lauréats de l’année 2010. Le jury a examiné les dossiers en fonction de critères précis regroupés sous quatre types d’indicateurs : l’approche du marché chinois, les résultats de l’activité, l’impact sur l’extérieur, et les perspectives de développement. Le Gala, manifestation de prestige, réunit chaque année plus de 500 invités des communautés d’affaires française et chinoise. Les lauréats des prix Excellence et Entrepreneur se sont vus attribuer de nombreuses récompenses prestigieuses grâce à la participation et au soutien de Total, Air France
et Oséo.
P 22
29 novembre 2011
P 22
29 novembre 2011
http://www.lesechos.fr/
29 novembre 2011 Quotidien
Olmix se mondialise
Le spécialiste de la chimie verte vient d'ouvrir une filiale en Turquie et achète une usine au Vietnam. Il souhaite par la suite se renforcer en Amérique du Nord.
Fabricant d'additifs naturels pour l'alimentation animale, le groupe Olmix basé à Bréhan (Morbihan) réalise 80 % de ses activités hors de France. Il vend ses productions dans une soixantaine de pays à partir de ses huit usines réparties dans l'Hexagone et en Europe. Il vient de créer sa douzième filiale à Istanbul en Turquie pour couvrir les besoins en additifs naturels destinés au bien-être des animaux. Ils sont aussi utilisés comme alternative aux antibiotiques.
Le réseau international du fabricant, qui utilise comme matières premières les algues, l'argile et les huiles essentielles, va être complété avec le rachat en cours de la société vietnamienne Viphavet qui intervient dans les différents métiers d'Olmix. « De plus, explique Olivier Biannic, le directeur du marketing, nous envisageons un renforcement de nos positions en Amérique du Nord avec l'ouverture probable d'une filiale ».
Activités en croissance
Le fabricant, qui emploie désormais 250 personnes, peut d'autant mieux accélérer sa mondialisation que ses activités sont en croissance. Il a réalisé un chiffre d'affaires de 53,4 millions d'euros au cours de son exercice 2010-2011 (clôturé en juin) en hausse de 5 % pour un résultat net de 2,34 millions d'euros contre 1,82 million d'euros un an plus tôt. Parallèlement, son endettement a diminué, passant de 16,35 à 13 millions d'euros. Hervé Balusson, le créateur d'Olmix, reste le principal actionnaire du groupe dont 35 % des actions sont cotées sur le marché libre d'Alternext.
Olmix (Bréhan, 56, CA 2010‐11 de 53,41M€) vient d’ouvrir sa 12è implantation internationale en Turquie (80M d’habitants), sous la forme d’une filiale commerciale (3 personnes). Elle vendra ses gammes d’ingrédients naturels pour l’alimentation animale, ses produits pour l’amélioration du bien‐être et de l’hygiène des élevages, et ses produits alternatifs aux antibiotiques facteurs de croissance.
www.olmix.com
http://www.ecobretagne.com/
18 novembre 2011 Site web
Marchés - Olmix ouvre une filiale en Turquie Le spécialiste des ingrédients naturels pour l'alimentation animale vient d'inaugurer cette 12ème filiale dans la ville d'Istanbul, en Turquie. L'entreprise Olmix dont le siège social et la principale usine sont situés à Bréhan, dans le département du Morbihan, vient donc d'ouvrir une nouvelle implantation internationale en Turquie, sous la forme d'une filiale commerciale. Le groupe breton va y vendre ses gammes d'ingrédients naturels pour l'alimentation animale. La Turquie est un marché de presque 80 millions d'habitants qui intéresse nécessairement l'industriel breton. Il va y proposer ses produits pour l'amélioration du bien-être et de l'hygiène des élevages, mais aussi ceux comme alternative aux antibiotiques facteurs de croissance. L'équipe turque d'Olmix démarre avec trois personnes : un responsable régional des ventes, un vétérinaire pour la partie technique et un responsable administratif. Olmix vient de présenter ses activités 2010-2011, son chiffre d'affaires de 53,41 millions d'euros est en hausse de 5%. Son résultat net est de 2,34 millions d'euros. Le groupe continue de se désendetter, et va donc intensifier ses travaux de R&D.
Olmix know how in raw material sourcing, especially algae, a bio‐marine renewable resource, will help us to solve important health animal matters. Olmix, pioneer for 15 years in natural solutions aims to become THE expert in green chemistry. Later on, CEO of Olmix cut symbolically the ribbon and welcome all the guests. For the memory of the opening ceremony, Olmix has offered some gifts to the guests, the presents were algae based. One of the most important person who joined the gala dinner was the President of the WPSA who is also the President of the 18th ESPN Symposium, Prof. Dr. Ruveyde AKBAY. She gave a speech during the ceremony to introduce Olmix to the sector. She mentioned “I hope that my presence here for the opening will bring good fortune to the futur development of this private sector company” These words were very appreciated by Olmix board who thanks her for beeing there for this major event in the company’s life.
OLMIX exports to more than 60 countries, works export is oriented to be closed to the customers and 80% of turnover coming from exportation.
During the gala dinner, guests have enjoyed being together with the combination of music and entertainment.
Créer une filière de valorisation des ulves, de la récolte à la commercialisation de produits innovants, pour les secteurs de la nutrition et de la santé animale et végétale, tel est l'objectif du projet Ulvans. Porté par la société Olmix, à Bréhan
(56), en partenariat avec la Sica de Saint-Pol-de-Léon (29) ou encore le groupe PRP technologies, ce projet associe également l'UBS, l'Université de Haute Alsace
et le Laboratoire de biotechnologie et Chimie marines (LBCM) de Lorient.
La prolifération des algues vertes dans certaines baies de Bretagne est due à la conjugaison de trois facteurs : des conditions météorologiques particulières (forte température, ensoleillement important), l’absence de courants, et la présence de rejets excessifs de nitrates agricoles.
Depuis 2009, les « marées vertes » font l’objet d’un « plan algues vertes ». Dans un premier temps, il consiste à ramasser les algues pour les composter ou les épandre dans les champs. Dans un deuxième temps, il consiste à limiter le flux de nitrates de 30 % au moins d’ici à 2015.
En attendant de traiter le problème à sa source, plusieurs solutions techniques pour « valoriser » les algues vertes dites de prolifération ont été proposées, avec plus ou moins de succès.
Temporaires ou à plus long terme, plus ou moins avancées, elles tentent de valoriser tout ou partie des algues vertes de la famille des ulves (Ulva rotundata, Ulva armoricana) à des fins énergétiques, chimiques (fabrication de matériaux), nutritionnelles (animale) ou cosmétologiques.
Mis en oeuvre depuis 2009, le compostage est pratiqué dans les Côtes-d’Armor et le Finistère. « En 2009, c’était 80 % du ramassage qui passait en épandage et 20 % en compost », rappelle Jean-François Sassi, responsable du laboratoire R&D au Centre d’étude et de valorisation des algues (Ceva) de Pleubian (Côtes d’Armor).
Compostage Aujourd’hui, la proportion d’algues qui est compostée a augmenté avec l’ouverture, en juillet dernier, du centre de traitement de Launay-Lantic (Côtes d’Armor) qui peut traiter 20 000 tonnes en cinq mois. Le compostage permet une utilisation des algues plus étalée dans le temps que l’épandage.
En effet, ce dernier exige une certaine rapidité (la décomposition commence dans les 48 heures suivant le ramassage), de grandes surfaces de terre (la quantité d’algues épandues est limitée à 20-30 tonnes par hectare) situées sur des bassins versants non « sur-nitratés », et enfin le respect d’une rotation des parcelles sur 3-4 ans afin de ne pas trop saliniser ou trop acidifier la terre.
En revanche, le compostage nécessite un apport d’éléments fibreux (paille, déchets verts riches en ligno-cellulose). Une part de la matière organique produite sert d’ « engrais vert » aux producteurs de légumes de la Bretagne Nord. Quant au surplus de matière organique, la Bretagne cherche à l’exporter vers les régions déficitaires limitrophes.
Alors que l’épandage, qui ne peut qu’être une solution exceptionnelle, coûte environ 12 € le m3, le compostage n’est pas économiquement viable tout en étant relativement peu coûteux (25 à 30 € le m3).
Biogaz et électricité La méthanisation des algues vertes de façon à faire du biogaz et éventuellement de l’électricité est théoriquement possible. Toutefois, elle se heurte à un problème de taille : la forte teneur des algues vertes en soufre (jusqu’à 5 % du poids sec de l’algue, soit dix fois plus qu’un déchet vert ordinaire) et son faible taux de carbone.
De plus si on valorise les produits carbonés pour en faire du biogaz, on ne s’est pas pour autant débarrassé de l’azote en excès. En revanche, la méthanisation réalisée en mélangeant algues et lisier d’élevage fonctionne à peu près correctement…en Allemagne. Quant à utiliser les algues vertes comme matière première pour fabriquer du bioéthanol, cela reste encore du domaine de la recherche. Et, pour l’instant, ne semble intéresser que les Danois.
C’est probablement dans le domaine des matériaux que la valorisation des algues vertes est le plus en avance. Grâce à une collaboration entre le Ceva et l’IUT de Saint-Brieuc, un papier-carton à base d’algues a été mis au point. Avec un grand groupe industriel, les ingénieurs ont appliqué le procédé dit de « cellulose moulée », le même avec lequel on fabrique des boîtes d’oeufs, pour donner naissance à des godets, des pots, pour l’horticulture.
Une idée particulièrement judicieuse puisque la matière même du godet relargue dans le terreau des éléments minéraux dont se nourrit le jeune plant. Le rendement est moyen : 10 000 tonnes d’algues fraîches donnent 1000 tonnes de papier-carton par an. Reste à régler la question d’un approvisionnement régulier en algues vertes.
Alimentation animale Côté nutrition animale, là aussi les algues vertes ont trouvé des applications intéressantes. En collaboration avec le Ceva et le laboratoire des matérieux à porosité contrôlée (CNRS-Université de Mulhouse), les ingénieurs de la société Olmix de Bréhan (Morbihan) ont confectionné un micromatériau entrant dans l’alimentation des animaux d’élevage. Constitué d’un mélange d’argile extrêmement fine et de sucres (des polysaccharides) extraits des algues vertes, ce produit appelé Amadéite et faisant l’objet d’un brevet, agit pour piéger les toxines bactériennes. L’entreprise a aussi créé un complément alimentaire pour l’élevage des poissons herbivores (panga, tilapia), une aquaculture particulièrement développée en Asie. Cet aliment, qui n’est pas suffisant pour faire grossir l’animal, exerce en revanche un effet stimulant du système immunitaire et améliore la résistance aux maladies. « Conscient que nos produits sont actuellement fabriqués avec des algues vertes de prolifération, susceptibles de disparaître quand on aura résolu le problème des rejets nitratés, nous nous rabattrons alors sur d’autres espèces d’algues ou bien des algues cultivées en bassin », explique Sébastien Balusson, directeur adjoint des affaires industrielles d’Olmix.
Cosmétique En cosmétologie également, les algues vertes ont une certaine utilité. Dans leur paroi, ellles renferment des sucres solubles appelés ulvanes qui représentent 8 à 29 % de la matière sèche. Or ces ulvanes ont des propriétés texturantes (pour faire des gélifiants et des épaississants) et chimiques particulières du fait de la présence de groupes d’atomes rares.
En petite quantité, elles peuvent donc être utilisées comme principe actif, tandis qu’en grande quantité elle servira d’agent texturant. Mais ces ingrédients n’ayant pas encore été complètement analysés, ils ne sont pas encore autorisés par la législation.
Bien évidemment, toutes les applications faites à partir des algues vertes de prolifération émanent des travaux et recherche des chercheurs et ingénieurs. Il n’est pas dit qu’elles trouveront toutes un débouché. Il n’est pas dit non plus qu’elles seront acceptées par les consommateurs.
Mais il est tout de même étonnant de constater que les algues vertes sont bien plus connues pour leurs nuisances que pour leurs bienfaits potentiels.
DENIS SERGENT
Quotidien électronique N° 2336 du 21 juillet 2011
21 juillet 2011 Quotidien
Un chiffre d'affaires annuel de 53,1 millions d'euros pour Olmix
Le Quotidien de La Lettre Economique a fait paraître avant-hier le chiffre d'affaires semestriel d'Olmix, voici maintenant le chiffre d'affaires annuel pour l'exercice clos le 30 juin dernier. Le spécialiste des sels organiques, de l'argile,... des produits destinés à l'alimentation animale a réalisé 53,1 millions d'euros de total de ventes, la croissance est de 4,7%. Le groupe, installé à Bréhan dans le Morbihan, vend ses gammes en France et à l'international.
Chimie : Olmix réalise un chiffre d'affaires annuel estimé de 53,1 M€ 56 - Olmix annonce avoir réalisé, au 30 juin 2011, un chiffre d'affaires annuel estimé de 53,1 M€, en hausse de 4,7 M€ par rapport à l'exercice 2009-2010. Ce niveau reste légèrement en dessous des objectifs prévus par le fabricant d'additifs pour la nutrition animale, basé à Bréhan. Aujourd'hui, la gamme Eco-concept représente 30% de ce chiffre d'affaires total. Cette gamme, conçue comme une alternative naturelle aux solutions chimiques, est en croissance de 13,5%. En Asie, cette ligne de produits réalise une croissance de 37% contre 15% en Europe. Conforme à l'anticipation du groupe, l'activité sels inorganiques a vu son chiffre d'affaires se stabiliser à 37,2 M€. Les résultats définitifs de l'exercice 2010/2011 seront communiqués courant octobre 2011. Le groupe emploie 200 salariés et réalise 80% de son activité à l'export.
Maureen Le Mao
20 juillet 2011 Quotidien
Quotidien électronique N° 2334 du 19 juillet 2011
19 juillet 2011 Quotidien
Finances - Olmix se porte de mieux en mieux Ce fabricant d'additifs naturels pour l'alimentation animale continue d'augmenter son chiffre d'affaires et ses résultats. Il est basé à Bréhan dans le département du Morbihan. Le groupe Olmix annonce un chiffre d'affaires de 24,4 millions d'euros pour son premier semestre de l'exercice 2010-2011 contre 23,8 millions d'euros pour la même période de l'année précédente. Son résultat net ressort à 1,24 million d'euros contre 250 000 euros pour le précédent exercice. Le groupe Olmix (Bréhan, 56) qui vend ses additifs naturels en France et à l'international, s'est aussi diversifié dans la chimie verte. Il y a engagé des moyens importants en R&D au cours des années écoulées pour arriver à la mise au point de l'AMADEITE, un bio matériau à base d'extraits d'algues vertes et d'argile pour des applications diverses dans l'industrie automobile mais également dans la plasturgie et dans la nutrition.
Technologie p6
6 juillet 2011 Quotidien
Gros plan sur… p50
Juin 2011 Mensuel
Aviculture Vietnamienne p26
Mai 2011 Mensuel
p34
Avril 2011 Mensuel
Entreprises p16
Mars 2011 Mensuel
Quotidien électronique N° 2244 du 070311 et N°2248 du 110311
7 et 11 mars 2011 Quotidien
7 mars 2011
Finances - Olmix présente un chiffre d'affaires en hausse de 4% au cours du semestre écoulé Le fabricant d'additifs pour l'alimentation animale (Bréhan, 56) présente un chiffre d'affaires de 24 millions d'euros pour la période comprise entre juillet et décembre 2010.
Le groupe basé à Bréhan (56) dispose de trois familles de produits avec les sulfates de fer et les sulfates de cuivre, les produits écologiques d'hygiène et de nutrition animale. Avec 24 millions d'euros de chiffre d'affaires dégagés au cours du second semestre de 2010, le groupe composé de 160 collaborateurs présente une activité en hausse de 4%, ses ventes en Asie ont notamment augmenté de près de 50%.
La situation globale de l'entreprise s'améliore, elle a subi deux exercices déficitaires et a renoué avec les profits l'an dernier, une tendance qui devrait se poursuivre en 2010-2011. Le groupe est contrôlé par Hervé Balusson et est également sur le marché libre d'Euronext. L'action est actuellement de 6,50 euros, elle est cependant très loin des 32 euros de son introduction il y a 6 ans. OLMIX
11 mars 2011
Finances - Olmix de nouveau en croissance Le fabricant d'additifs pour l'alimentation animale a réalisé 24 millions d'euros de chiffre d'affaires au cours du second semestre de 2010. Basé à Bréhan (56), le groupe Olmix qui fabrique des additifs alimentaires pour la nutrition animale, présente une activité en hausse de 4% au cours du second semestre de l'année 2010. Ses ventes ont notamment bénéficié d'un développement important en Asie avec une progression de près de 50%. Olmix emploie 160 salariés répartis sur ses différents sites, le groupe est inscrit au marché libre d'Euronext. Son action est actuellement côtée 6,50 euros, il y a 6 ans, au moment de son introduction, sa valeur était de 13 euros et non pas de 32,3 euros comme indiqué en début de semaine dans le Quotidien de La Lettre Economique de Bretagne.
Pratiques Article p.36
Février - Mars 2011
Bi-mensuel
OLMIX, BREHAN (56). Interview with Olivier BIANNIC in charge of marketing and
communication
Company specialized in animal feed and animal health (€52 million turnover and 200 employees
over 7 sites worldwide).
Global trade view: 80% of
sales abroad
Agrilink Trade Show in Manilla (the Philippines) in
October 2010
Olmix global market share is very impressive, how do you explain it?
I think it is due to our CEO’s view Mr Hervé Balusson. He began doing business from sourcing,
that is to say that he did not hesitate in looking for raw materials from remote Kazakhstan and
Uzbekistan.
During international shows he is always looking for getting positive points. In 2003, we received
the “Award Pork Expo” at the World Pork Expo trade show in the United States and it even
allowed us to develop the Mistral, one of our flagship products in this country. He got positive
assets from all around the world and thus proved that we were able to work in an international
environment. At present, we export 1/3 of our products in Europe, 1/3 in Northern and Southern
America and 1/3 in Asia with a distribution network in China, India, Japan and Korea.
As far as you are concerned, what are THE trade shows that you MUST attend?
We work with CCI International for EuroTier fair. We always attend the VIV Asia in Bangkok and
the World Pork Expo in the United States. We also work together with Ubifrance and Bretagne
International. We cannot do without trade shows as they allow us to watch the market. Moreover,
the fact that international press speaks about us attracts new customers…
At the recent Vietstock show held in Ho Chi Minh City, Vietnam, Olmix received the Best New Product Award for MFeed, Olmix’ natural alternative to antibiotic growth promoters. “Incorporation of AGPs into feed rations is still allowed in Vietnam” commented Trinh Quang Thanh, Olmix’ Asia Pacific Manager. “However, this is now frowned upon because of the danger of resistance to antibiotics building up. The trend in pig feeding is towards the use of natural growth promoters and
with this in mind Olmix successfully launched MFeed in early 2010. MFeed is a natural alternative to antibiotic growth promoters. It’s a combination of Amadeite, Montmorillonite, diamataceous earths plus seaweed and yeast extracts and essential oils”.
Marie Gallissot, Head of Olmix’ Asia Pacific Technical Team continued the story “By regulating the gut microflora and boosting enzymatic activity MFeed helps decrease digestive disorders and diarrhoea in pigs thus increasing the absorption of nutrients.Moreover, MFeed stimulates immune activity and helps to improve digestive tract quality. Trials show improvements in DLWG and FCR along with fewer gut problems”.
Olmix used the show, which has moved from Hanoi, to introduce new additions to the Olmix team, namely two personnel from Vietnam, two from Cambodia and one from France.