NUMÉRO SPÉCIAL : NUMÉRO SPÉCIAL : UN AUTRE UN AUTRE REGARD SUR LA REGARD SUR LA CRISE ACTUELLE CRISE ACTUELLE Vivre sa Nature Au Nom du Corps
NUMÉRO SPÉCIAL :NUMÉRO SPÉCIAL :
UN AUTREUN AUTREREGARD SUR LAREGARD SUR LACRISE ACTUELLECRISE ACTUELLE
Vivre sa NatureAu Nom du Corps
Sommaire
4
12
1830
24
ARTICLE
ARTICLE
ARTICLE
ARTICLE
ARTICLE
P 4."Et si la crise n'était au fond quel'expression de l'amour"Par Caroline GAUTHIER
P 12. "Vivre avec l'univers est la clé"par Caroline GAUTHIER
P 18. "Le voyage"par Caroline GAUTHIER
P 30. "Brèves pour un autre regard sur lacrise"Par Caroline GAUTHIER
P 24. "Le voyage du héros"Par Caroline GAUTHIER
ARTICLE
P 36. "Soyons des coeurs brisés ouverts"Par Caroline GAUTHIER
"ET SI LA CRISE N’ÉTAIT AU FONDQUE L’EXPRESSION DE L’AMOUR ? "
Par Caroline GAUTHIER
Auteur du Roman Initiatique à Succès "Au Nom du Corps"
NUMÉRO SPÉCIAL
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NUMÉRO SPÉCIAL
en notre faveur.
Par exemple, derrière le mot
dépression, on voit que se profile déjà
le fait de lâcher la pression, de dégager
le poids que l’on s’est mis sur le dos.
Et, si on va plus loin, on peut imaginer
même que le processus de la crise ou
même de la dépression, va au final
laisser jaillir quelque chose au fond de
nous qui était endormi, qui était enfoui
ou oublié.
Et si, finalement, la crise n’était que le
seul moyen pour réveiller une chose
essentielle de nous-même qui était
tapie au creux de nos ventres et de nos
cœurs… ?
Et si la dépression n’était que le seul
moyen que le corps ait trouvé pour
parler de son mécontentement ?
Et si j’allais même plus loin ?!
Et si la crise n’arrivait finalement que
parce qu’il n’y avait pas d’autres choix
que de casser des armures que l’on
aurait érigées autour de notre vivant, ou
de notre essence ?
Dans le Roman «Au Nom du Corps»,
qui connaît un vif succès (et que
certains qui lisent ces mots ont déjà
lu), Charline, l’héroïne du livre, vit une
immense crise existentielle, financière
et amoureuse.
Aujourd’hui, il semble qu’il n’y ait pas
que Charline qui vive ce genre de
crise.
La crise est même mondiale…
Peut-être même que, vous aussi,
vous êtes en train de vivre une telle
crise…
N’est-ce pas ?
Le fait de vivre une crise n’aurait-il
pas un sens bien plus profond que ce
que l’on pense de prime abord ?
On range souvent la crise, comme
quelque chose de mauvais.
On veut surtout éviter de la vivre.
On parle de crises de la quarantaine,
de dépressions, de burn-out, de
catastrophes financières ou pire
encore…
J’ai envie moi, de donner de la crise
une autre lecture, bien plus positive
que ces termes qui laissent penser
que ce qui est à l’œuvre ne joue pas
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Et les émotions négatives qui sont là,
ne sont uniquement là que pour nous
remettre en lien avec nos besoins
profonds que l’on avait oubliés.
Nos colères nous mettent en lien avec
nos identités bafouées.
Nos tristesses nous reconnectent avec
nos besoins de partage.
Nos peurs nous reconnectent avec nos
besoins de préparation ou de protection
vitale…. Etc…
Le phénomène de crise, ce n’est au
final que de la vie, de la vie qui cherche
ENFIN un passage…
Et la crise, c’est le seul moyen que la
vie ou que la nature ait pour trouver ce
passage dans nos barricades bien trop
solides !
Je m’explique…
Nous sommes censés vivre sur terre en
accord avec notre nature et notre vérité
intérieure.
Nous sommes censés nous connecter à
notre propre graine.
Nous sommes censés la ressentir, la
cultiver. C’est de notre responsabilité.
Et si la crise n’arrivait que pour nous
dire : « Et Oh !!! T’es à côté de la
plaque mon gars ! ou ma fille ! »
Ce serait en fait comme l’effet
cocotte-minute !
Les crises laisseraient jaillir ce qui a
été comprimé trop longtemps…
Aujourd’hui nous sommes amenés à
dompter le dragon qui n’est rien
d’autre que l’ensemble de nos
dragons intérieurs que nous avons
laissés là tapis...
Et nous, on est super forts pour
comprimer, n’est-ce pas ?
Au moins, en crise : on pleure, on
hurle et on trépigne !
Au moins, en dépression, on ne se
force pas à faire des choses que l’on
ne veut pas faire !
Et finalement ce qui aurait été
comprimé trop longtemps, qu’est-ce
que c’est au final ?
C’est la vie, Bordel !
C’est le vivant, c’est notre pépite et
notre unique !
C’est notre graine profonde !
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C’est cela que je nomme
l’amour de soi ; ou être en
lien avec sa force et sa
flamme intérieure.
Si nous nous connectons
à elle, nous dégageons
une forme particulière
d’énergie…
Si nous la cultivons et la
faisons fleurir, quand
nous l’offrons aux autres,
elle est chargée de
nutriments et nourrit le
monde…
Parce que cette graine,
cette flamme, cet élan
vivant, c’est notre nature
et que c’est même LA
NATURE, cette dernière
reprend toujours ses
droits à un moment donné
ou à un autre, si nous
l’oublions…
Si nous sommes en lien
avec notre graine ou notre
pépite, en général, tout
sonne juste…
Si nous sommes loin
d’elle, tout ne devient plus
que lutte et bagarre…
Quand nous sommes
déconnectés de notre
graine, un processus
s’active pour détruire ce
que nous avons construit
autour d’elle.
Ces constructions nous
avaient empêchés de la
sentir et de nous y relier.
Ces constructions nous
avaient enfermés et
rigidifiés.
Des barricades s’étaient
érigées autour de notre
élan vibrant.
Et NOUS AVONS LAISSÉ
FAIRE CE PROCESSUS.
Ce qui existe sur Terre
n’est que le reflet de ce
que nous sommes...
Et c’est donc, je crois
dans ces cas précis
d’évènements
malheureux, l’amour lui-
même qui cherche à
s’incarner plus
intensément, même s’il
prend la forme d’une
destruction, d’une crise,
d’une séparation, d’une
faillite ou même d’une
maladie…
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En fait, le processus de transformation
et de rencontre avec la force créative
de l’univers suit une dynamique qui lui
est propre.
La première force à l’œuvre est la force
de la destruction, du démantèlement et
de la crise…
On a tendance à vouloir écarter cette
force-là, en la jugeant comme négative,
ou comme étant l’œuvre du malin, alors
qu’elle est une des plus grandes forces
qui gouvernent le monde !
L’obscurité révélée sert la lumière, car
nous ne voyons plus qu’elle...
Quand les feuilles tombent au
printemps, quand elles se désagrègent
pour former des nutriments pour les
sols ;
Quand le soleil se couche pour laisser
place à la lune ;
Quand l’hiver arrive ou que la nuit
tombe;
Croyez-vous que cela soit l’œuvre du
diable ?
Dans la nature, ce processus de mort
est magnifique, car il n’y a pas de
résistance ou de lutte face à ce qui EST
et à ce qui DOIT ÊTRE…
En fait, à un moment où un autre tout
conspire pour que nous puissions
nous mettre en lien avec notre pépite,
notre nature, notre force créative.
C’est presque un passage obligé…
Parce que la vie avance toujours vers
le meilleur de nous, parce que l’amour
cherche toujours à nous conduire vers
un niveau de conscience plus élevé.
Même quand rien ne tourne rond, tout
joue en notre faveur…
C’est le sens même de la crise !
Mais à ce moment précis, un choix
nous est demandé.
— Prendre le statut de victime et
accuser le monde entier de ce qui
nous arrive…
Chercher un coupable et le faire
disparaître pour que cette crise
s’arrête…
Prendre des anxiolytiques pour éviter
de sentir notre force de vie qui
cherche un moyen de s’exprimer…
— Ou, comprendre ce qui est à
l’œuvre…
Prendre la responsabilité de ce qui
est en train de se passer pour enfin
se transformer de l’intérieur…
NUMÉRO SPÉCIAL
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NUMÉRO SPÉCIAL
dans le refus
de la naissance du Big Bang lui-même,
dans le refus
de Dieu et de sa création…
On ne trouve pas la paix,
dans le refus
des bruits de la vie…
On ne trouve pas la lumière
en tournant le dos à l’ombre…
On ne trouve pas la sagesse
en se moquant de la folie…
On ne trouve pas la joie
en refusant nos pleurs…
On ne trouve pas la vie
en fuyant la mort…
Reconnaître la vie
pour ce qu’elle est enfin,
nous conduira enfin
vers notre destin…»
CAROLINE GAUTHIER
« Ne luttons pas contre la vie,
même si elle a pris
la forme d’une mort et
d’une descente apparente…
Imaginez un cœur qui,
après sa phase d’expansion,
refuse de se contracter…
Imaginez le jour qui refuse
que la nuit arrive…
Imaginez l’été qui s’étire
et refuse l’hiver…
Imaginez l’expir qui refuse l’inspir…
Imaginez que l’on refuse de dormir
après des jours de veille…
Imaginez qu’après l’action,
il n’y ait pas de phase de repos…
Imaginez qu’après le soleil,
on ne voit pas la lune ou la nuit…
Refuser une polarité sous prétexte
qu’elle est plus obscure,
plus froide, plus endormie,
plus contractée, plus lente,
plus secrète, plus solitaire, plus vide,
nous place dans le refus
du mouvement cosmique
de l’univers entier,
dans le refus du mouvement
des planètes,
dans le refus
des mouvements des vagues
et des marées dans l’océan,
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"VIVRE AVEC L'UNIVERS EST LA CLÉ"
Par Caroline GAUTHIER
Auteur du Roman Initiatique à Succès "Au Nom du Corps"
NUMÉRO SPÉCIAL
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NUMÉRO SPÉCIAL
Pourtant en haut lieu, cette réalité est
connue et même utilisée.
Ce n’est pas pour rien que les rites
maçonniques sont entrepris depuis la
nuit des temps, que des guildes
secrètes existent et que seuls quelques
initiés ont accès à cette connaissance.
Mais ils s’en servent pour mieux
comprimer et surtout empêcher que le
plus grand nombre accède à cette
vérité et à cette source.
Aujourd’hui la science dogmatique a
remplacé cette connaissance suprême.
Elle est l’arbitre ultime de la vérité, de
sorte que la vision majestueuse et
magnifique d’un univers divin est
rejetée en bloc.
L’univers est devenu une gigantesque
collection de « choses » mortes et
vides.
Notre intelligence, nos pensées et nos
émotions - sans parler de la riche
diversité d’espèces sur cette planète -
sont considérées comme le fruit du
hasard et apparues fortuitement dans
un vide dénué de conscience et de
lien…
Ce vide entre les choses est insensible
et froid.
Et si, enfin, on commençait à révéler
la vérité au monde. Plutôt que de
nous raconter des sornettes.
Depuis des décennies, on nous fait
croire que l’univers serait fait de
matières mortes et inertes plutôt que
de nous enseigner que l’univers est
vivant et conscient.
Ce fait a des conséquences
catastrophiques sur notre monde et
sur la compréhension de ce qu’est un
être humain.
Ne pas savoir qu’il existe une super
intelligence, un champ d’énergie qui
tisse des liens entre toutes les choses
nous coupe de cette connexion
majestueuse.
Cette non-connaissance de cette
vérité nous coupe du lien que nous
avons tous avec l’immensité, et nous
coupe du sens même de la vie.
On nous maintient dans l’ignorance
complète de cette réalité plus vaste
que nous-même. Celui qui se risque à
en parler est aussitôt raillé, catalogué,
brulé sur le bucher.
Cela demande beaucoup de courage
à celui qui s’y risque.
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Il n'y a pas de vide entre nous mais bel
et bien une intelligence magique.
La science que l’on nous enseigne
oublie cette vérité.
Nous sommes nous-même devenus
des cancers pour la Terre.
On nous fait croire à la division et à la
séparation.
Dans une telle conception, nous
n’avons aucune raison de vivre, rien à
espérer après notre mort, ni même de
raison d’avoir une éthique…
La seule chose à faire c’est une course
effrénée à l’argent, au pouvoir et aux
privilèges…
Ce savoir exempt de vie nous pousse à
une solitude profonde, même si nous
sommes entourés.
Car nous avons perdu le véritable lien à
cette conscience qui unit toutes les
choses et tous les êtres, et qui coulent
dans nos veines.
La magie a disparu…
Nous n’avons ni pouvoir mystique, ni
aptitude spéciale.
Nous sommes aujourd'hui au
paroxysme de cette façon de voir.
Nous y avons été enfermés sciemment.
L’éducation y contribue.
Toute chose est séparée.
Et la seule chose qui compte c’est
son soi individuel ou éventuellement
sa famille proche.
Voilà comment le monde alors
fonctionne : c’est comme si dans le
corps, chaque cellule travaillait que
pour elle-même, en oubliant qu’elle
fait partie d’un corps global…
Comme si la cellule du foie n’avait
pas conscience qu’elle était reliée au
pancréas… et que cette cellule du
foie voulait toute la nourriture pour
elle-même au détriment des autres
cellules.
C’est ce qui s’appelle un cancer…
Pourtant chaque cellule est reliée par
cette conscience, cette intelligence
qui fait battre le cœur et qui crée une
homéostasie, un équilibre sain.
Chaque cellule « sait » ce qu’elle doit
faire grâce à ce champ de force.
Et c’est pareil pour nous humain...
Nous sommes une cellule du corps
global de la terre et nous sommes
reliés à chaque être vivant sur cette
planète par un champ de force.
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Et toute personne qui sort
de ce rang est raillée.
Toute étude qui prouverait
la supercherie est
écartée, enfouie.
On gave les enfants de
courbes et de graphiques
pour les déconnecter de
la source qui est pourtant
ressentie dans les
premières années de leur
vie.
Mais les choses sont
heureusement en train de
basculer…
C’est pour cela que la
contrainte est accentuée.
C’est le dernier
soubresaut de l’ancien
monde avant la naissance
du nouveau.
Ce n’est pas un hasard si
le vaccin veut toucher
notre ADN, car c’est
grâce à lui que l’on se
connecte à la source et à
la lumière… des études
de scientifiques poussées
existent sur le sujet…
Mais bien sûr personne
n’en parle.
Toucher à cet ADN, c’est
nous empêcher de sentir
cette source, cette
puissance et cette magie.
Le nouveau monde
heureusement est en
chemin…
Ce nouveau monde va
nous enseigner que notre
destinée sur terre est
guidée par une
intelligence invisible, un
champ d’énergie (et non
pas que du vide) vivant à
partir duquel l’univers est
construit, à partir duquel
nous sommes tous
reliés…
Une fois cette vision
inscrite et surtout
ressentie en nous, tout va
changer…
Une fois les études
divulguées ; toutes les
technologies construites à
partir de là changeront
drastiquement notre façon
de vivre sur Terre.
NUMÉRO SPÉCIAL
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Nous vivrons l'Aire de l'Energie libre.
Ce champ de conscience qui existe
entre toutes les choses et qui existe
aussi au cœur de nos corps est la
réalité que nous allons découvrir…
Et plus rien ne sera comme avant...
CAROLINE GAUTHIERCAROLINE GAUTHIER
NUMÉRO SPÉCIAL
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" LE VOYAGE "
Par Caroline GAUTHIER
Auteur du Roman Initiatique à Succès "Au Nom du Corps"
NUMÉRO SPÉCIAL
- Numéro Spécial - Page 18 -
NUMÉRO SPÉCIAL
Même si j’entrevois la lumière du phare
au loin, je ne nie pas les vaques qui
parfois menacent de me renverser ou
de m’engloutir.
C’est la seule façon pour moi d’arriver à
les surfer…
L’optimisme est vraiment ma nature
mais nous ne pouvons pas régler les
problèmes si nous cachons la gravité
de ce qu’il se passe aujourd’hui.
Et je vois trop de gens qui ne se
concentrent que sur le cap, et oublient
la réalité de la tempête... et qui font
comme si cette dernière était sans
importance.
A force de faire cela, c’est le bateau du
monde qui risque de couler.
Pour moi, c’est uniquement en nous
confrontant à la réalité de l’ombre que
nous pourrons la changer...
Car mettre du papier rose sur la
«merde» ne changera rien.
Ce qui ne veut pas dire que nous ne
pouvons pas mettre le cap dès
aujourd’hui sur un futur radieux.
Les deux en même temps c’est
nécessaire.
Pour entreprendre un voyage, il faut
avoir la vision de la destination pour
s’y préparer.
Dans ces temps troublés, nous
oublions que cette vision du futur est
essentielle…
Car ne pas avoir de cap, c’est être
balloté par les flots… et Dieu sait que
ces flots aujourd'hui sont plutôt
tempétueux.
Trop de gens actuellement se
concentrent sur les vagues, et
oublient le phare et la lumière.
Optimiste de nature, je vois des vraies
raisons d’espérer…
Nous amorçons un vrai changement,
et je suis sûre vers un futur radieux.
Mais, en même temps, je ne me fais
aucune illusion sur l’énorme tâche
que nous avons devant nous pour
opérer ce grand changement et non
pas « le grand reset ».
S’il est essentiel de regarder le cap,
comme dans chaque voyage, il y a
besoin de préparer chacun de nos
pas, mais aussi et surtout ne pas nier
que nous sommes dans une vraie
tempête.
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Nous sommes rentrés dans l’aire du
verseau…
Pour aller, avec moins de heurts, vers
cette nouvelle ère inéluctable, il faut
déjà balayer nos propres poussières,
nos intérieurs (nos propres ombres);
mais aussi voir l’ombre qui structure
nos sociétés depuis trop longtemps.
Cette ombre qui nous pousse à
travailler pour des valeurs qui mènent à
la perte de notre humanité.
(Technologie sans conscience,
pesticides, souffrances animales,
énergies fossiles, pauvreté
grandissante, etc...)
Allons-nous continuer à faire ce qu’on a
toujours fait ?
Ou va-t-on prendre le risque d’être le
changement que nous voulons voir
dans ce monde… ?
Allons-nous continuer à ne pas regarder
en face les problèmes que pose notre
société pour se donner l’illusion d’une
vie confortable ?
Allons-nous continuer à fuir ce qu’il se
passe, et accepter l’innommable ?
Et aller droit dans le mur dans le futur
parce que pas réveillés assez tôt ?
Je vois le cap, je garde le cap, et je
surfe les vagues parce que je les
regarde. Sinon comme le Titanic, je
risque de me prendre un iceberg en
pleine face à force de jouer du violon
dans le salon vip.
Moi je ne supporte plus
personnellement aujourd’hui la fuite
de cette vraie réalité à laquelle nous
faisons face.
Et nier l’ombre en voulant ne se
concentrer que sur la lumière du
phare, c’est lui donner encore plus de
puissance.
Aujourd’hui, tout le monde est du
voyage…
A titre individuel, on est amené à
choisir comment nous souhaitons
l’entreprendre.
Je ne peux pas dire quelle sera
exactement la destination future du
monde... à quoi ressemblera l’île où
se situe ce phare lumineux ; mais je
peux imaginer qu’une fois que nous
aurons nettoyé les poussières qui
s’accumulent depuis des générations,
nous allons transiter vers une
fabuleuse époque.
C’est écrit dans les astres...
NUMÉRO SPÉCIAL
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NUMÉRO SPÉCIAL
A mon avis, il faut déjà arrêter de
mettre toutes les poussières sous le
tapis, d’emballer les ombres dans du
papier rose pour qu’elles ne sentent
pas trop mauvais, en se laissant croire
qu’elles n’existent pas.
Et, en même temps, mettre le cap sur
le changement merveilleux qui nous
attend.
Ces 2 batailles doivent se mener en
même temps…
Car mettre le cap sur le positif et la
lumière en oubliant l’ombre, c’est
méconnaitre la force de cette
dernière.
CAROLINE GAUTHIERCAROLINE GAUTHIER
- Numéro Spécial - Page 21 -
"LE VOYAGE DU HÉROS"
Par Caroline GAUTHIER
Auteur du Roman Initiatique à Succès "Au Nom du Corps"
NUMÉRO SPÉCIAL
- Numéro Spécial - Page 24 -
NUMÉRO SPÉCIAL
Cette princesse, c’est notre féminin,
notre terre, notre sensibilité, notre
créativité, notre cœur et l’amour avec
un grand A.
Mais personne ne l'entend depuis trop
longtemps... même si elle hurle dans
son donjon.
D'où ce nouveau voyage initiatique
planétaire...
Car la nature reprend toujours ses
droits et les forces à l'œuvre sont
toujours là, même si, nous, on dort
profondément.
Ce voyage initiatique, le monde est en
train de l’emprunter, grâce à cette crise
immense.
C’est le voyage de l’alchimiste pour
faire son alchimie intérieure et l’alchimie
du monde.
Pour éveiller les endormis, éclairer et
transformer les ombres du monde.
Certains ont entamé ce voyage, il y a
des années, en vivant une crise
immense pour embrasser leur ombre et
en ressortir transformés.
Ils ont fait ce voyage de la nuit obscure
de l’âme pour renaître.
Le monde d'aujourd'hui est embarqué
dans le voyage du héros de force.
Celui que l’on voit partout dans les
films.
Ce même voyage de l’Archétype dont
parle Campbell ou Jung.
Ce voyage, il est révélé dans tous les
contes.
Il a un début, un milieu et une fin...
Il a des conflits, des batailles et des
résolutions...
Et ce voyage mondial a démarré en
Mars 2019.
Que nous révèle-t-il ?
Que le prince doit enfin traverser la
forêt obscure remplie d'ogres et de
dragons pour aller délivrer la
princesse endormie, plutôt que de
créer des business et amasser des
millions en détruisant la planète ou de
fuir face à la réalité du monde.
Car oui, la princesse dort depuis bien
trop longtemps dans notre monde.
Même pire, elle est muselée, piétinée,
abusée.
Mais tout le monde continue à bosser
comme si de rien était, ou à se planter
devant la télé pour se divertir.
- Numéro Spécial - Page 25 -
On musèle même ceux qui la
dénoncent, les classant dans les
hérétiques.
Nous avons laissé les animaux se faire
massacrer, les corruptions se faire, les
millions s’entasser dans quelques
firmes.
Nous avons parqué dans des camps
ceux qui nous dérangent.
Nous avons fermé les yeux et laissé la
belle dormir au fond du château.
Et cette dernière finit par hurler au fond
de son abîme.
Elle crie en silence depuis bien trop
longtemps.
Voilà pourquoi l’ombre avance…
Alors nous n’avons plus d’autres choix
que de devenir lumineux et de lui faire
face pour ne pas sombrer.
Le monde aujourd’hui est en train de
vivre ce passage de la rencontre de
l’ombre pour la transformer en lumière.
L'ombre est tellement visible qu'elle ne
peut plus se cacher.
Le temps des révélations est là. Celui
de l'Apocalypse... qui veut dire
"révélation de ce qui est caché".
Ce voyage est périlleux, je vous
l'assure. C'est celui du héros...
Car oui, ce voyage demande de tailler
son carbone pour trouver son
diamant.
Certains ont passé cette initiation de
l'alchimiste avec succès…
D’autres ont préféré lui tourner le dos
ou fuir et faire l’autruche pour ne pas
avoir à regarder l’obscurité en face.
Car traverser peut être douloureux…
Alors la protection semblait être le
meilleur chemin et regarder l'obscurité
demandait trop de courage.
Car il faut être prêt à perdre
beaucoup. Tout ce qui n'est pas vrai,
authentique.
Nombreux heureusement, sont
devenus des alchimistes de la vie et
ont pu enfin sentir cette lumière grâce
à cette VOIE...
Mais la masse critique n’était pas
encore pas assez grande…
D’où cette immense crise que nous
traversons.
Car oui, nous tous, nous avons laissé
l’ombre gagner du terrain, à ne pas
vouloir la regarder en face et la laisser
œuvrer.
Alors elle œuvre depuis des siècles
en toute impunité...
Elle est même encouragée.
NUMÉRO SPÉCIAL
- Numéro Spécial - Page 26 -
Et tout le monde va devoir
emprunter ce passage
pour renaitre.
Ce chemin est LE
CHEMIN… c’est l’initiation
que nous devons tous
traverser pour la
rencontre avec notre
SOI…
Beaucoup joue le jeu du
Petit « Je »...
Beaucoup préfèrent rester
sur le petit échiquier du
monde.
Beaucoup ne veulent pas
voir et préfèrent tourner le
dos à ce chemin et
gardent l’illusion qu’ils ont
encore le choix.
Mais plus personne
n'aura le choix.
Car c'est l'univers qui
pousse.
Tel est son évolution. Il
est temps de passer au
GRAND ECHIQUIER…
de comprendre comment
fonctionne le monde et sa
magie... de sentir les
grandes lois de l'univers
qui nous traversent... et
de sortir de cette matrice
illusoire dans laquelle trop
de gens dorment encore.
Ces secrets ne seront
plus gardés pour
quelques initiés triés sur
les volets.
Ils sont donnés au monde
Plus personne ne pourra
fuir ce voyage...
C’est le chemin le moins
fréquenté depuis la nuit
des temps.
Mais c’est fini…
C’est aujourd'hui le grand
PASSAGE…
Et beaucoup vont enfin y
mettre le pied contraint et
forcé.
Vous aurez beau rester
tous les soirs devant la
télé, la force de l'univers
viendra vous chercher
dans chaque recoin et
dans chaque chaumière.
Car il est tout simplement
l'heure.
Ce chemin demande du
courage…
Mais c’est le plus
magique au monde.
NUMÉRO SPÉCIAL
- Numéro Spécial - Page 27 -
C’est celui de l’alchimiste.
Le monde avale la pilule rouge et
nous ne pouvons plus fuir.
C’est une grande nouvelle…
CAROLINE GAUTHIER
NUMÉRO SPÉCIAL
- Numéro Spécial - Page 28 -
"BRÈVES POURUN AUTRE REGARD SUR LA CRISE"
Par Caroline GAUTHIER
Auteur du Roman Initiatique à Succès "Au Nom du Corps"
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- Numéro Spécial - Page 30 -
NUMÉRO SPÉCIAL
Brève 1Brève 1 ::
QUE FAIRE ?QUE FAIRE ?
Ceux qui ont vécu des synchronicités
le savent bien.
La synchronicité est d'avantage qu'une
heureuse coïncidence.
C'est un effet résultant de
l'interconnectivité de l'univers.
C'est la preuve que tout ce qui existe
dans sa plus petite partie, fait partie
intégrante d'un tout unifié et
interconnecté.
Comme sur les photos ci-dessous :
on voit que chaque unité est
connectée aux autres et à l'ensemble.
(comme nous humains, comme
chaque cellule de notre corps, et
comme chaque planète)
De plus en plus de personnes
s'éveillent à cette magie de l'univers
qui nous fait sentir si puissant et, en
même temps, si petit face à l'infini.
Une fois que l'on expérimente cela
dans ses tripes, on s'émancipe, on
ressent la sécurité, la foi et l'amour.
On est à juste sa place, comme la fleur
qui pousse et qui émet son parfum au
monde.
Croyez-vous que la place que l'univers
veut pour nous est le métro boulot
dodo ?
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Continuons à travailler sur cette
fabuleuse vérité que nous sommes tous
une partie connectée au grand tout.
Ce tout nous guidera alors vers notre
juste place grâce à la magie de l'univers
et à ses lois...
Et rien ne pourra aller contre cela.
Croyez-vous que ce soit cela que la
vie qui circule dans nos cellules veut
pour nous ?
Vu le nombre croissant d'éveils à ce
qui "est" et aux "lois du vivant", il
fallait bien casser le processus
d'émancipation en cours.
Car une fois cette connexion faite,
nous ne sommes plus manipulables,
ni corvéables...
On "sent" ce qui est essentiel... et
l'essence des choses.
D'où les masques, la distanciation
physique, le couvre-feu, le
confinement...
Tout le système depuis des
décennies va à l'encontre des lois du
vivant... et le système accélère la
pression face à l'éveil massif du
monde.
Et rien ne peut aller contre les lois du
vivant et de l'univers.
Bien au contraire.
Cette tentative d'étouffement accélère
la connexion aux lois universelles.
Personnellement les synchronicités
n'ont jamais été aussi fortes chez moi
ces derniers temps.
NUMÉRO SPÉCIAL
- Numéro Spécial - Page 32 -
Brève 2Brève 2 :
Une partie du monde
souffre de déni.
Mécanisme de protection
psychologique bien
connu.
Le désir de vouloir se
sentir toujours bien
conduit souvent au déni et
à l’évitement de la réalité.
On se protège pour ne
pas souffrir en regardant
en face ce qui se passe
réellement.
On fuit le réel.
Sachez que cette
protection ne peut pas
durer éternellement.
A un moment donné ce
qui sent mauvais remonte
toujours à la surface.
Plus tôt c’est,
Mieux c’est.
Nettoyons nos marrais
internes.
CAROLINE GAUTHIER
NUMÉRO SPÉCIAL
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"SOYONS DES COEURS BRISÉS OUVERTS"
Par Caroline GAUTHIER
Auteur du Roman Initiatique à Succès "Au Nom du Corps"
NUMÉRO SPÉCIAL
- Numéro Spécial - Page 36 -
NUMÉRO SPÉCIAL
Qu'est-ce ce qu’ils veulent en nous
couvrant le visage, en nous séparant,
en nous divisant (Masque/Anti-
masque), (Vaccin/Anti Vaccin), (Blanc/
Noir), (Catholique/Musulman) ?
Car, oui, diviser, c’est se fermer à
l’ouverture, et à la nature même de
l’univers où tout est relié par des
filaments de lumières invisibles.
Ces filaments qui relient tout, comme le
son du violon que l’on ne voit pas mais
qui nous transperce le cœur et l’âme.
Si on ne sent plus, on est mort,
inhumain et on se coupe de cette
magie.
Alors ne plus sentir pour se protéger, ce
n’est pas la solution.
Crier, fuir, ou attaquer non plus, car
cela nous coupe de notre vivant et de
notre puissance intérieure.
On devient « Hors de nous »...
Et c’est ce qui est recherché.
« Être hors de nous », c’est ne plus être
touché... C’est se fermer.
Et être fermé, c’est faire mourir notre
cœur à petit feu. Pourtant le cœur est
notre plus grande puissance...
Et ils veulent le fermer...
Même si tout est fait pour fermer nos
cœurs, notre défi est de le maintenir
ouvert.
L’ouverture est la clé.
Car l'ouverture nous permet de nous
échapper de l'enfer qui nous ment.
Ouvrir la cage de nos protections.
Ces protections et gardiens que l’on
utilise depuis toujours pour éviter
d’être touchés au corps et au cœur :
l’attaque, la fuite ou le repli face à
l’impensable.
Mais les protections nous enferment...
elles sont à l'inverse de la vie.
Arrêtez donc, cher gouvernement, de
vouloir nous protéger...
Car vous nous faites mourir.
Notre défi à nous ?
Faire sauter les verrous que l’on se
met pour se protéger de
«l’Absurdistan» dans lequel nous
sommes tombés.
Parce que rester ouvert, ne pas se
fermer, c'est sentir...
Et à l’inverse ne plus sentir, c’est
mourir.
C’est ce qu’ils veulent ?
Nous fermer le cœur et les sens ?
- Numéro Spécial - Page 37 -
On peut donc hurler comme des loups.
Coller sa face contre la terre de cette
douleur qui transperce le cœur fermé
depuis trop longtemps.
Mais le magique s'invite toujours si on
laisse faire.
Si on cesse de protéger...
Si on ne cherche pas à s'accrocher aux
parois.
Alors SVP ! Laissez la mort faire partie
de la vie... C’est le plus grand cadeau
que Dieu nous ait fait... !
Il n’y a pas de sécurité dans la nature,
où tout est une aventure.
La sécurité, elle nous endort.
Elle nous fait mourir à notre nature.
Notre nature, c’est l’ouverture, et non
pas la fermeture.
C’est un cœur qui bat : Contraction et
expansion, Vie et Mort.
Stop à la protection, à la précaution !
Ne vouloir que de la vie, c’est la faire
mourir.
Moi, je veux m’ouvrir à toutes les
expériences que la vie m’offre sans me
couper de mes sensations, de ma
vulnérabilité, de mes chagrins, de mes
cris.
Veulent-ils nous robotiser ?
Nous augmenter ?
Nous modifier ?
Nous rendre immortel ?
Moi, je veux juste vivre.
Et vivre, c’est mourir, aimer, souffrir,
danser dans le mouvement de la vie,
avec ses hauts et ses bas, ses joies
et ses souffrances.
Je veux même vivre les pertes, car
perdre, c’est être transpercé par la
foudre du ciel et l'éclair du tonnerre
qui me déchirent mon territoire
intérieur.
Mes plus grandes ouvertures, je les ai
connues dans les « chutes», dans les
«petites morts».
C'est cela l'ouverture, le passage de
quelque chose qui semble extérieur à
soi-même et qui nous écartèle pour
se transformer même parfois en une
douce chaleur, une chaleur qui
écartèle nos cuirasses, une chaleur
insupportable car jamais ressentie,
une chaleur qui peut faire pleurer.
L'ouverture, c’est sentir une
nouveauté venue de quelque part qui
va nous percer en profondeur, pour
écarter les barreaux de nos prisons.
NUMÉRO SPÉCIAL
- Numéro Spécial - Page 38 -
L’ouverture se tient
toujours là, dans la fente
de notre cœur, comme au
cœur d'une blessure si
sublime et douloureuse
qu'elle exalte la vie.
Cette ouverture déchire,
ébranle, fait trembler.
Elle écartèle et elle
agrandit encore et encore
pour sentir et être le
réceptacle du plus grand
que soi.
Se couper de cette
expérience, c'est devenir
ROBOT !
Je ne veux pas me
couper de mes chagrins,
de mes blessures, de mes
souffrances, de mes
morts...
Je ne veux pas d'un père
qui me protège !
J'ai déjà celui des cieux
qui me fait grandir grâce
aux expériences du
vivant, aux sensations
que je visite chaque
journée dans mes instants
de présence au creux de
mon corps et de mon âme
!!!
Les sens sont le lien entre
le dedans et le dehors...
L’œil voit la beauté ; la
sensation sent un corps
qui frémit contre soi ; le
goût nous pénètre de ses
saveurs ; l’ouïe nous
transperce par le chant
d’un oiseau.
Et alors le sublime
s’invite.
Et le sublime s’invite aussi
dans la perte et dans la
chute...
Être ouvert, c’est honorer
la vie, comme une
circulation.
Soyons touchés par tout
ce qui nous touche
encore et encore et qui
nous ouvre toujours plus.
L’ouverture est le
sensible.
Elle est la cible de ce qui
nous blesse et nous
entaille.
NUMÉRO SPÉCIAL
- Numéro Spécial - Page 39 -
Ils ont cherché à barricader la sensation
depuis des décennies...
Ils nous bourrent le crâne de courbes et
de graphiques depuis petits sur les
bancs de l’école.
Ils nous empêchent de sentir le miracle
de l’énergie qui circule en nous et
partout.
Alors, sentons, acceptons de sentir ce
que la vie et les épreuves provoquent
en nous.
Ainsi on connaitra l'extase, la
douloureuse jouissance d'être en vie,
d'être vivant.
Lorsque le cœur s'ouvre sous la
poussée de l’amour, on peut avoir mal.
On peut avoir peur.
On peut hurler à quatre pattes, le nez
au sol.
Mais notre poitrine, elle, elle se dilate.
Car c'est sa nature...
Peut-être que l'on se sent trop
minuscule pour contenir la splendeur de
cette ouverture et en même temps, on
jouit cette plénitude d'être, la vie
vivante.
Soyons des cœurs brisés ouverts
CAROLINE GAUTHIER
Ne pas tenter de recoudre la plaie,
d'en joindre les deux bords, ni de
cicatriser.
Car sinon le cœur devient cœur
imperméable à l'amour.
Ne laissons pas la fermeture opérer.
C’est ce qui est recherché.
Il y a une seule chose qui est vraie :
L'amour incise, l'amour déchire, pour
que ça communique entre le dedans
et le dehors.
En voulant fuir cela, on fuit l'amour.
Ils le savent, alors ils compriment le
sensible : L’Art, la sensation, le lien...
Alors ils sécurisent, séparent,
enferment, musèlent, pour éviter que
l’ouverture au sensible et à la
puissance s’exprime.
Le vivant est étouffé...
Mais il est toujours là, si ON LE
LAISSE ÊTRE.
Car la vie ouvre toujours son
passage. Elle pousse en nos chairs
profondes et intimes. Elle apparaît,
que nous le voulions ou non, en
cherchant tous les interstices, les
trous, les fissures de nos corps
compressés et emmurés.
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