NUDEA Mai/Juin 2011 NUDEA fashion celebraTion peTiT aperçu du 2 e salon du dressing eThnque jeu de couleurs... la mode esT pop avec KireTTe hoT summer en lingerie ou en mailloT , rondes ou minces, faiTes Tourner des TêTes ceT éTé... l’adieu à une reine... hommage à The oprah Winfrey shoW eT à sa créaTrice donnez-moi, donnez-moi, donnezmoi... des bagues, encore des bagues
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N U D E AMai/Juin 2011
N U D E A
fashioncelebraTion
peTiT aperçu du 2e salon du dressing eThnque
jeude couleurs...
la mode esT pop
avec KireTTe
hoT summeren lingerie ou en mailloT,
rondes ou minces,faiTes Tourner
des TêTes ceT éTé...
l’adieuà une reine...hommage à
The oprah Winfrey shoW
eT à sa créaTrice
donnez-moi,donnez-moi,donnezmoi...des bagues,encore des bagues
Avec l’arrivée de l’Eté, quelle est la plus grosse obsession des femmes ?C’est à quoi elles vont ressembler à la plage en maillots de bain.Mesdames, cessez vous manger le cerveau, comme disent nos amis british.Que vous soyez grande ou petite, en rondeurs ou mince, tous les types debeautés existent en ce bas-monde.NuDEA a donc décidé de célébrer la Femme, la vraie; celle que l’on croisetous les jours; celle qui ne fait pas forcément du 36...NuDEA célèbre la Mode pour les vraies femmes de ce monde.Mais NuDEA veut aussi rendre hommage à une grande dame de la télévi-sion, Miss Oprah Winfrey. Son émission, The Oprah Winfrey Show, a faitses adieux au petit écran. Mais ce n’est qu’une page qui se tournepour la reine du PAF.Alors, on sèche nos larmes et on retrouve le sourire avec toujours plusde Mode et de Culture Afro avec NuDEA.
S.E et D.O
Mannequin: Diane
Maquillage: Marion Prévost
robe: Cartel De la MoDe
PhotograPhe: Marion Prévost
SOM
MAIRE
NU. MODE
2e édition du salon du Dressing ethnique p.8la grâce du Cygne p.14
Colorful Kirette p.21Folles de tissus p.24
steaming hot p.28Du Fil à la lingerie p.38
look de star: amber riley (glee) p.48
NU. CULTURE
la Fin d’un règne p.52une histoire d’afrique p.54Welcome in my ChurCh p. 58aFriKa FilM Festival p.60Mugshot: ndidi o p. 62
qui a réussi à s’imposer,que la créatrice elle-mêmeappelle "World Fashion".
Il s’agit d’un mélangede matériaux occidentaux et Africains,d‘une ligne d’accessoires, sacs et bijoux
dans des matières authentiquescomme le Bogolan et le Ndop,
et qui lui confèrentl’âme de son Afrique natale.
NU. Mode
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NU. Mode
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STEAMINGHOT
Mannequin: Daphnée et asna
Maquillage: Marion prévost
Maillots: J’oz
photographe: sYl20lieu: neroli haMMaM (grenoble)
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NU. Mode
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NU. Mode
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NU. Mode
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NU. Mode
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PHILINGERIE conçoit et distribue une gamme très complète de lingerie féminine :soutien-gorge, string, culotte, nuisette, boxer, tanga, maillots de bain etc.
Philippe Rohfritsch, son créateur, a jalousement veillé à élaborer ses vêtementsà bases de tissus choisis, traditionnels et de qualité.
Les sous-vêtements PHILINGERIE sont vendus à l'occasion de réunions entre amies ousur les sites internet de la marque
Diffusée pour la première fois sur lachaîne nationale le 08 septembre 1986,The Oprah Winfrey Show est resté nu-méro un et figure toujours parmi lesmeilleures réussites télévisuelles duXXème siècle. Il détient le record delongévité pour une émission téléviséeaux Etats-Unis.
The Oprah Winfrey Show est une émis-sion principalement destinée auxfemmes, avec des sujets plutôt variés etaxés sur la culture populaire.Après 25 saisons, 2011 marquera la findu talk-show.Chacune des diffusions se trouvaitriche en émotions et marquées par desinterviews remarquables avec des invi-tés allant du gotha d‘Hollywood augotha de Bollywood au couple présiden-tiel américain Michelle et BarackObama.
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The Oprah Winfrey Show a ouvert la voie àbeaucoup d‘émissions de talk-show quoti-diens telles que Ellen présenté par Ellen De-Generes ou Tyra de l‘ancien top model TyraBanks. Elle sera toujours la reine des émis-sions quotidiennes.
Oprah Winfrey met donc fin à son show,mais pas à sa carrière. Depuis le 1er janvier2010, la productrice et présentatrice a lancésa propre chaine de télévision, OWN (OprahWinfrey Network), en partenariat avec Dis-covery.
Parmi les nombreux programmes disponi-bles sur la chaîne figure une série documen-taire intitulée "Oprah presents : masterclass" qui racontera les vies de personnalitésissues de milieux tels que la politique, la té-lévision, le cinéma, et la musique.
Cependant, la chaine n’a pas encore trouvéson public…Bien qu’à la tête d'un véritableempire médiatique, Oprah ne connait pasencore un succès retentissant. La chaîne faitbien loin des 8 millions de téléspectateurs deson talk-show.Mais c’est une toute jeune chaîne, alors lais-sons faire le temps…
NU. Culture
LES HISTOIRES DU MBONGUIPRÉSENTENT
Un film d'Edouard CARRION
TATIANA ROJO
LAURENTINE MILEBO "LA TANTE"
CLAUDE ALEXANDRE ECLAR
Et Marius YELOLO, Djaka SOUARE, Sylvie BAYONNE,
http://filmlarivale.canalblog.com
Gra
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ism
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ww
.bra
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et —
Ph
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ssel
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MIN
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NU. Culture
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LES HISTOIRES DU MBONGUIPRÉSENTENT
Un film d'Edouard CARRION
TATIANA ROJO
LAURENTINE MILEBO "LA TANTE"
CLAUDE ALEXANDRE ECLAR
Et Marius YELOLO, Djaka SOUARE, Sylvie BAYONNE,
http://filmlarivale.canalblog.com
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NU. Culture
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Edouard CARRION a très rapidement pris conscience del’importance de raconter des histoires où chacun pouvait sereconnaître avec sincérité. Il partage avec nous son parcourset sa notion du vivre ensemble, mais aussi ce qui l‘a poussévers la production de films africains en Afrique.Edouard CARRION est né en France de parents espagnols. Ilpasse les premières années de sa vie dans un quartier popu-laire et finira par animer des ateliers vidéo auprès de jeunesdes quartiers de la région parisienne.Il rencontre la comédienne Laurentine MILEBO lors d’unprojet sur lequel il travaille. Et c’est le coup de foudre profes-sionnel. Elle lui raconte alors un début d’histoire qui le séduitimmédiatement. Et le scénario de LA RIVALE est né.
Ce film parle de polygamie, d’infidélité, et des rapportshommes-femmes en Afrique. On pourrait se demander si enabordant ce thème, CARRION ne participe pas au renforce-ment des clichés sur l’Afrique. Ce n’es pas le but de ce film.
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une
histoire
d’afrique
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Dans LA RIVALE, il s’agit ici d’explorer les rapports entreles Africains qui vivent en France à « l’occidentale » etles parents restés au pays. « En France, l’héritage de 1789fait que nous pouvons prendre notre destin en main etnous opposer à nos parents. En Afrique, s’opposer auxparents est très mal perçu car la famille est plus pré-sente. Je ne porte pas de jugement de valeur entre l’unou l’autre système mais je constate que les Africains deFrance sont confrontés tous les jours au dilemme entreces deux influences. C’était important de montrer cescontradictions, faire comprendre à un public blanc ceque peuvent vivre les Africains et comprendre nos diffé-rences… »
L’universalité de l’histoire a touché un public de tous leshorizons. Comme le comédien qui interprète Maurice,Claude Alexandre ECLAR, est Guadeloupéen, le film aété présenté aux Antilles et le public a été extrêmementréceptif. Ce fut de même lors des projections en métro-pole, où le public finissait par oublier la couleur de peaudes personnages pour complètement vivre l’histoire.
A la fin de l’écriture du scénario, CARRION avait l’intui-tion que son film se ferait sans aide et que la réalisationdu projet serait compromise. Malgré le manque demoyens, il s’embarque dans une production avec des pe-tits moyens et heureusement. La vie du film, qui a étéprojeté dans neuf festivals et qui a rencontré le succèspartout où il a été projeté, peut le conforter dans sonidée qu’il a eu raison.
On attend désormais avec impatience le prochain projetde ce réalisateur de talent qui s’est donné pour missionde redorer l’image des Noirs à travers des œuvres pleinesd’humanisme.
En attendant, ça vous dit de voir ou revoir LA RIVALE ?
Faites un tour sur: http://filmlarivale.canalblog.com
NU. Culture
SORTIE DANS LES SALLES LE 6 JUILLET
NU. Culture
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welcome in my
cHURcH...
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CHURCH est la première série chré-tienne française.Produite par Kris Kapab Productions,c'est une aventure folle dans les cou-lisses d'une église, pour la faire connai-tre de manière plus ludique ethumoristique.
CHURCH, c’est l’histoire de DanielBonvoisin, fils de pasteur, qui a pourmission de changer la vie de l'église.Pour ce faire, il décide d'écrire unesérie...Il raconte toutes les joies, lespeines, les tromperies...bref, tout ceque renferme une église vue de l'inté-rieur.
A l’origine de ce projet, on retrouveShad Mc, entouré d’une équipe pleinede talent qui a envie de partager sa foi.
Ces derniers-temps, les religions ontjoui d’une très mauvaise image. Eneffet, en Europe, les médias ont unemanière bien particulière d’en parler etde les montrer. Or celles-ci donnent uncertain équilibre dans le vie de beau-coup de gens.
C’est pour cela que des séries commeLA MOSQUEE DANS LA PRAIRIE**ont du succès. C’est une façon plus cha-leureuse et amusante d’aborder les re-ligions. Alors, pourquoi pas une sériefrancophone qui parlerait de croyancesans crier au prosélytisme ?C’est désormais le cas.
Plus d’infos sur http://www.churchlaserie.com
**ndlr: série anglo-canadienne
B I E N T ô T D I S P O N I B L E E N Dv D
AFRIKA FILM
FESTIVAL
NU. Culture
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Trop peu de films africains sont montrés dans nos
salles. C’est pourquoi l'Afrika Film Festival existe.
Cette organisation à but non-lucratif souhaite
bâtir un circuit qui offre une garantie financière
aux distributeurs avec qui elle coopère.
Leur but est de leurs garantir le lancement d’un
film africain sans grand risque financier.
L’organisation d’un festival est donc un moyen
parmi d’autres de parvenir à leur but.
Notre société a acquis une couleur, mais la percée
de talents artistiques de couleur ne se fait que de
manière lente et pénible, ce qui est anormal.
Bien que cette plainte résonne sur tout le continent,
il est déplorable de constater que les résultats sur
ce terrain sont plus lamentables ici que dans les pays
voisins. L’impasse est souvent due à une combinai-
son infernale de l’invisible et de l’introuvable:
les acteurs constatent qu’ils sont, aux yeux des réa-
lisateurs, producteurs, directeurs de théâtre, bu-
reaux de casting etc., invisibles alors que ces
derniers ont le sentiment que les acteurs sont in-
trouvables. Ils opèrent dans des circuits parallèles,
qui ne se croisent pas.D’après ce que nous avons pu
remarquer, la pression à laquelle les acteurs sont
soumis est de caractère binaire: premièrement, ils
doivent rompre un bon nombre de barrières afin de
réclamer, à l’égard de leur entourage, le droit de sui-
vre leur voie créative; une fois cette liberté conquise,
ils s’aperçoivent que les rôles proposés les replon-
gent dans les clichés qu’ils ont rejetés. Peut-être a-