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Ot7t78-65A
ON
SS
I
MOTE D'MINISTERE DE L'ÉDUCATiON NATIONALE, DE LA RECHERCHE ET DE
LA TECHNOLOGIE
Les c!asses du second degré des étabüssements pub!ics et
privés
sous tuteüe du ministère de ['Éducation nationaie
accueiüent un peu plus de 5 5500 000 élèves en France
métropolitaine. Cet effectif est en baisse pour ia quatrième
année consécutive (-19 300 élèves, soit - 0,3 %).
Pourtant, ['évolution démographique n'est pas globalement
défavorable
au second degré. Eiie a certes entraîné ies pertes d'effectifs
du
premier cycle (-1 ,2% ), mais son infiuence est au contraire
positive sur ies
seconds cycles. Le second cycle professionnel reflète cette
influence avec une croissance de 1,5 % .Cependant
ia diminution de i'orientation vers ies filières générales
et
technoiogiques et ies meilleurs taux de réussite
au baccaiauréat iimitent ia hausse des effectifs
du second cycie générai et technoiogique à 0,4 %. En France
métropoiitaine,
seuies sept académies gagnent des effectifs. Les ciasses du
second degré dans ies DOM
enregistrent quant à eiies une hausse de 1,3 % avec un
effectif
de 210 000 éièves.
MTD F DIRECTION DE LA PROGRAMMATION ET DU DEVELOPPEMENT
Les éièves du second degré dans !es étabüssements
pubücs et privés à !a rentrée 1997
DANS LE PREMiER CYCLE :BAiSSE DUE À LA DÉMOGRAPHIE...
Avec une diminution de 1,2 %, le premier cycle subit l'effet de
la baisse démographique liée au départ, après la troisième, de la
génération de 1982, plus nombreuse que les suivantes. La diminution
touche, cette année, la classe de troisième qui perd 3,2 % de ses
effectifs. Elle affecte également la classe de quatrième d'aide et
de soutien dont les élèves ont sensiblement le même âge que ceux de
troisième générale et qui connaît une perte relative de même
importance.
... ET EFFETS DE LA RÉNOVATION DES COLLÈGES DANS LA RÉPARTITION
ENTRE LES CLASSES
On constate, à la rentrée 1997, une augmentation de deux points
du taux de redoublement en sixième (12,1 contre 10,1 %), alors que
ce taux était stable depuis trois ans. Cette évolution trouve sans
doute son origine dans le nouveau découpage en trois cycles : cycle
d 'adaptation (sixième), cycle central (cinquième-quatrième), cycle
d'orientation (troisième). Cette rénovation, commencée en 1996, est
étendue en 1997 à la classe de cinquième.
GRAPHIQUE 1 - Évoiution des effectifs du second degré par
cycieFrance métropolitaine - Public + Privé
3 500 000
3 000 000
2 500 000
2 000 000
1 500 000
-
TABLEAU < - Ëvofution des effectifs dans ies étabiissements
du second degré sous tuteUe du MEN de 1995-96 à 1997-98France
métropolitaine - Public et privé
Constat1995-96
(1)Constat1996-97
(2)Variationabsolue(2)-(1)
Variation relative (en %) 2-1/1
Part du privé (en %)
Constat1997-98
(3)Variationabsolue(3)-(2)
Variation relative (en %) 3-2/2
Part du privé (en %)
Sixième 816 390 820 926 4 536 0,6 20,0 840 598 19 672 2,4
20,1Cinquième 834 798 817 734 -17 064 -2,0 19,9 793 216 -24 518
-3,0 20,2Quatrième générale 729 518 703 465 - 26 053 -3,6 21,0 710
887 7 422 1,1 20,7
dont4*"e d'a/de et de sout/en 22 974 22 970 56 0,2 79,5 22272
-757 -2,2 77,6Troisième générale 705 980 707 710 1 730 0,2 20,9 685
208 - 22 502 -3,2 21,1Total 6ème à 3ème générales 3 086 686 3 049
835 - 36 851 -1,2 20,4 3 029 909 -19 926 -0,7 20,5
4ème technologique de collège 36 869 38 590 1 721 4,7 18,5 25192
-13 398 -34,7 23,84ème technologique de LP 41122 37 840 -3 282 -8,0
30,2 33 734 -4106 -10,9 30,8Total 4ème technologique 77 991 76 430
-1 561 -2,0 24,3 58 926 -17 504 -22,9 27,8
3ème technologique de collège 32 453 35 716 3 263 10,1 18,9 37
612 1 896 5,3 19,03ème technologique de LP 42 955 39 695 -3 260
-7,6 30,0 36 970 - 2 725 -6,9 31,6Total 3ème technologique 75 408
75 411 3 0,0 24,7 74 582 -829 -1,1 25,2
3ème insertion 13 683 14 421 738 5,4 13,0 15 635 1 214 8,4
13,3
CPA+CLIPA (+CPPN en 95) de collège 7 089 6 865 -224 -3,2 5,0 6
884 19 0,3 5,4CPA+CLIPA (+CPPN en 95) de LP 735 517 -218 -29,7 47,0
421 -96 -18,6 46,8Total CPA+CLIPA (+CPPN en 95) 7 824 7 382 -442
-5,6 7,9 7 305 -77 -1,0 7,81. Tota! premier cyc!e 3 261 592 3 223
479 -38113 -1,2 20,5 3186 357 - 37122 -1,2 20,7CAP en1 an 3 635 3
913 278 7,6 58,4 4136 223 5,7 57,9
1ère année CAP2 21 236 23115 1 879 8,8 24,8 24 850 1 735 7,5
26,92ème année CAP2 18 351 20 054 1 703 9,3 24,5 21 413 1 359 6,8
26,7Total CAP en 2 ans 39 587 43169 3 582 9,0 24,7 46 263 3 094 7,2
26,8
Total CAP en 3 ans 25 082 21 610 -3 472 -13,8 23,3 19 266 -2 344
-10,8 23,5
BEP en 1 an 611 868 257 42,1 27,8 1 078 210 24,2 21,7
2nde professionnelle 234 461 238 823 4 362 1,9 21,0 239 582 759
0,3 20,9Terminale BEP 224 042 223 461 -581 -0,3 20,2 228 122 4 661
2,1 20,6Total BEP en 2 ans 458 503 462 284 3 781 0,8 20,6 467 704 5
420 1,2 20,7
Mentions complémentaires (y compris niveau IV) 4 704 5 803 1 099
23,4 17,4 6 095 292 5,0 18,0
Bacpro/BMAen1 an 593 683 90 15,2 8,2 690 7 1,0 7,2
Première professionnelle 81 780 84 067 2 287 2,8 23,3 85 950 1
883 2,2 23,1Term. pro/BMA 73 282 74 326 1 044 1,4 23,3 76 044 1 718
2,3 22,7Total Bac pro / BMAen 2 ans 155062 158393 3 331 2,1 23,3
161 994 3 601 2,3 22,9
Bac pro/BMA en 3 ans 775 1 171 0,0 1 197 26 2,2 0,02. Tota!
second cycle professionnel 688 552 697 894 9 342 1,4 21,7 708 423
10 529 1,5 21,8Seconde générale et technologique 513171 517 662 4
491 0,9 20,6 514 350 -3312 -0,6 20,1Première générale et
technologique 464 039 470 817 6 778 1,5 22,0 477 722 6 905 1,5
21,8
dontgenera/e 204275 206277 7 996 0,6 22,7 204 550 - 7 727 -0,6
22,6tecdno/og/que 759 664 764 546 4 992 2,7 20,7 772 772 9 626 5,2
20,5
Terminale générale et technologique 504 905 495 653 -9 252 -1,8
21,5 497 883 2 230 0,4 21,4dontgénéra/e 222 075 220 929 -7 796 -2,7
22,4 227 927 -2 992 -0,9 22,2
tecdno/og/que 766990 764 924 -2 066 - 7,2 79,9 770 046 5222 2,2
79,93. Tota! second cycle généra! et techno. 1482115 1484132 2 017
0,1 21,4 1 489 955 5 823 0,4 21,1Tota! 1 + 2 + 3 5 432 259 5 405
505 - 26 754 -0,5 20,9 5 384 735 - 20 770 -0,4 21,0EREA 12 073 12
070 -3 0,0 0,0 11 947 -123 -1,0 0,0SES/SEGPA 107095 105460 -1 635
-1,5 3,1 106732 1 272 1,2 3,2Préparations diverses 2 399 2 788 389
16,2 70,7 2 859 71 2,5 66,5Formations compl. post-niveau IV et V 2
093 2 263 170 8,1 62,7 2 469 206 9,1 69,5Tota! second degré 5 555
919 5 528 086 - 27 833 -0,5 20,6 5 508 742 -19 344 -0,3
20,6COLLÈGES 3176 780 3145 427 - 31 353 -1,0 20,3 3115 232 -30195
-1,0 20,4LP 773 364 775 946 2 582 0,3 22,5 779 548 3 602 0,5
22,7LYCÉES 1 482115 1 484132 2 017 0,1 21,4 1 489 955 5 823 0,4
21,1
NOTE D'INFORMATION 98-0 Page 2
-
Les taux de redoublement dans les autres classes générales ont
également accusé des variations plus prononcées que les années
antérieures : celui de cinquième en particulier a perdu plus d 'un
point, anticipant en cela les effets attendus de la réforme dans
cette classe.
Ces variations ont eu des répercussions sensibles sur les
effectifs de sixième et de cinquième : en particulier le cumul des
effets de la hausse du taux de redoublement en sixième et de la
baisse de celui de cinquième conduit à une réduction de 3 % du
nombre d'élèves scolarisés en cinquième.
La chute de 23 % de l'effectif de quatrième technologique est
liée à la nouvelle organisation de la classe de quatrième.
L' ORIENTATIONEN F!N DE TROISIÈME
Le taux de passage de troisième générale en seconde générale et
technologique continue de fléchir et se situe désormais un peu en
dessous de 60 % z). Depuis le pic à près de 65 % atteint en 1991,
ce taux a cédé désormais la moitié du terrain gagné depuis le
milieu des années 80 où il se situait aux alentours de 55 %. La
baisse ralentit cependant puisqu'elle n'est que de 0,4 point cette
année alors qu'elle a été, en moyenne, d 'un point au cours des
quatre années précédentes.
Au contraire de l'année dernière, cette baisse s'accompagne
d'une hausse du taux de passage vers la seconde professionnelle
ou la première année de CAP en deux ans qui repasse au-dessus de
22 %. Au total, le second cycle, dans son ensemble, accueille la
même proportion d'élèves de troisième générale que l'année
précédente (82 %).
Le nombre d'élèves qui ne poursuivent pas leur scolarité dans un
établissement du second degré sous tutelle du ministère de
l'Éducation nationale après la troisième générale continue pourtant
à augmenter : ils sont, cette année, 7,9 % contre 7,5% l'an passé
et 3,4 % en 1991. La plupart d'entre eux se dirigent vers
l'apprentissage ou l'enseignement agricole.
FAIBLE HAUSSE DU SECOND CYCLE GÉNÉRAL ET TECHNOLOGIQUE
L'influence de la démographie, positive pour la troisième année
consécutive, n'est guère perceptible dans le second cycle général
et technologique, dont les effectifs n 'augm entent que de 0,4 %.
Leur croissance aurait atteint 1,4 % si la scolarisation dans ce
cycle n 'avait poursuivi la baisse amorcée en 1994.
Comme les années précédentes, deux raisons essentielles en sont
à l'origine : d 'un côté la baisse du taux de passage de troisième
générale en seconde générale et technologique et de l'autre une
nouvelle hausse du taux de réussite aux baccalauréats généraux et
technologiques dans leur ensemble.
Les séries générales accueillent deux tiers des élèves du cycle
terminal (première-terminale) et les séries technologiques un
tiers. La part des séries technologiques augmente légèrement depuis
trois ans et plus particulièrement celle des séries du secteur
tertiaire (STT et SMS).
CROISSANCE RÉGULIÈRE DUSECOND CYCLE PROFESSIONNEL
L'effet de la démographie est par contre plus sensible dans le
second cycle professionnel. Il explique la hausse globale de 1,5 %
de ses effectifs, très voisine de celle de l'année dernière (1,4
%).
Ce sont principalement les préparations aux BEP et aux CAP en
deux ans qui profitent de cet effet, avec des taux de croissance
respectifs de 7,2 % et de 1,2 % J^ .^). Le nombre d'élèves
supplémentaires accueillis dans les CAP en deux ans dépasse
désormais les diminutions constatées au niveau des CAP en trois
ans.
Les préparations aux baccalauréats doivent leur croissance à une
nouvelle hausse du taux de passage de terminale BEP (et de deuxième
année de CAP en deux ans) en première professionnelle. Ce taux est
désormais de 33,1 % contre 32,5 % l'année dernière. Cette
progression s'est faite au détriment du taux de passage en première
d 'adaptation (15,3 %) qui s'oriente de nouveau à la baisse - une
baisse qui reste limitée à un point en quatre ans. Au total, la
proportion d'élèves de BEP et de CAP en deux ans qui poursuivent
leurs études s'établit à 48,4 %, une valeur très légèrement
supérieure à celle de l'année dernière.
LENTE ÉVOLUTION DANS LARÉPARTITION ENTRE SECTEURPUBLIC ET
SECTEUR PRIVÉ
La part du secteur privé dans l'ensemble du second degré est
proche de 21 % depuis le début des années 80. Entre 1985 et 1995,
cette part est passée de 21,4 % à 20,9 %. Cette légère tendance à
la baisse a été in terrompue lors des rentrées 1996 et 1997
Cette évolution récente est plus sensible dans le premier cycle,
où la part du secteur privé croît depuis 1995. Cette progression a
démarré en sixième à la rentrée 94 et s'est
NOTE D'!NFORMAT!ON 98-0 Page 3
-
TABLEAU U - Effectifs du second degré par secteurs, évoiution
entre 1996 et 1997France métropolitaine
Etablissements publics Etablissements privésConstat Constat
Évolution entre 96 et 97 Constat Constat Evolution entre 96 et
971996-97 1997-98 Effectifs % 1996-97 1997-98 Effectifs %
Sixième 657 018 671 965 14 947 2,3 163908 168633 4 725
2,9Cinquième 655155 632 605 - 22 550 -3,4 162579 160 611 -1 968
-1,2Quatrième générale 555 808 563 681 7 873 1,4 147657 147206 -451
-0,3
dont4*"e d'a/de et de soutien 73 725 73509 -476 -2,2 4245 5 904
-347 -3,0Troisième générale 559 548 540 468 -19 080 -3,4 148162 144
740 -3 422 -2,34ème technologique 57 877 42 549 -15 328 -26,5 18
553 16 377 -2176 -11,73ème technologique 56 747 55 757 -990 -1,7 18
664 18 825 161 0,93ème insertion 12 544 13 561 1 017 8,1 1 877 2
074 197 10,5CPA-CLIPA 6 796 6 735 -61 -0,9 586 570 -16 -2,71. Total
premier cycle 2 561 493 2 527 321 -34172 -1,3 661 986 659 036 -2
950 -0,4CAP en 1 an 1 627 1 743 116 7,1 2 286 2 393 107 4,7CAP en 2
ans 32 521 33 852 1 331 4,1 10 648 12 411 1 763 16,6CAP en 3 ans 16
573 14 743 -1 830 -11,0 5 037 4 523 -514 -10,2
BEP en 1 an 627 844 217 34,6 241 234 -7 -2,9BEP en 2 ans 367 094
370 793 3 699 1,0 95190 96 911 1 721 1,8
Mentions complémentaires (y compris niveau IV) 4 796 4 997 201
4,2 1 007 1 098 91 9,0
Bacpro/BMAen1 an 627 640 13 2,1 56 50 -6 -10,7Bacpro/BM Aen2ans
121 513 124835 3 322 2,7 36 880 37159 279 0,8Bacpro/BM Aen3ans 1171
1197 26 2,2 - - - -2. Total second cycle professionnel 546 549 553
644 7 095 1,3 151345 154 779 3 434 2,3Seconde générale et
technologique 410 962 410 962 - 0,0 106 700 103388 -3312
-3,1Première générale et technologique 367166 373 366 6 200 1,7
103651 104356 705 0,7Terminale générale et technologique 388 982
391 228 2 246 0,6 106671 106655 -16 0,03. Total second cycle
général et techno. 1167110 1 175 556 8 446 0,7 317 022 314 399 -2
623 -0,8Total 1 + 2 + 3 4 275152 4 256 521 -18 631 -0,4 1 130 353 1
128 214 -2139 -0,2EREA 12 070 11 947 -123 -1,0 - - - -SES/SEGPA 102
200 103306 1 106 1,1 3 260 3 426 166 5,1Préparations diverses 817
958 141 17,3 1 971 1 901 -70 -3,6Formations compl. post-niveau IV
et V 844 754 -90 -10,7 1 419 1 715 296 20,9Total second degré 4 391
083 4 373 486 -17 597 -0,4 1137 003 1 135 256 -1747 -0,2
GRAPHIQUE 3 - Évolution des effectifs du second cycle
professionnel selon la formationFrance métropolitaine - Public +
Privé
500 000
propagée dans les classes suivantes pour atteindre cette année
la troisième.
Dans le second cycle professionnel, les résultats de 1997
prolongent ceux de la rentrée précédente : la progression du
sec
teur privé dans les BEP et les CAP fait plus que compenser la
baisse dans les baccalauréats professionnels.
Depuis trois ans, secteurs public et privé ont connu des
évolutions très voisines dans
le second cycle général et technologique. La part du privé y
restait très proche de 21,3 %. Cette année les évolutions
constatées dans chaque secteur divergent : les effectifs du secteur
public gagnent 0,7 % alors que ceux du secteur privé perdent 0,8 %.
Cette différence découle de la diminution régulière de la part du
privé en classe de seconde depuis 1993, qui a été masquée les
années suivantes dans les au tres classes par les effets de la
rénovation pédagogique des lycées, et notamment par une baisse du
redoublement en terminale, plus nette dans le secteur public que
dans le secteur privé.
LÉGÈRE P R O G R ESSA DEL'ENSEtGNEMENT ADAPTÉ
Avec une hausse de 1,2 %, l'évolution des SES/SEGPA (sections
d'éducation spécialisée et sections d'enseignement général et
NOTE D'INFORMATION 98-0 Page 4
-
TABLEAU Ht - Effectifs du second degré pubiic + privé par
académieConstat de rentrée 1997-98
Académies1
1er cycleVariation relative (en %)
22nd cycle professionnel
Variationrelative(en%)
32nd cycle gén. et techno.
Variation relative (en %)
Total 1 + 2 + 3
Variation relative (en %)
Part du privé (en%)
Poids des académies
(en %)
Total second degré
(y.c.SES, EREA, FC, prép.div.)
Aix-Marseille 144 215 0,0 29 789 3,5 65 590 0,4 239 594 0,5 19,7
4,3 243 923Amiens 109 837 -1,6 27 705 1,7 49 285 0,3 186 827 -0,6
15,0 3,3 192 948Besançon 64 725 -2,5 15 552 1,8 29 268 0,2 109545
-1,2 15,5 2,0 112 076Bordeaux 142 580 -1,0 32123 4,0 67 005 -0,2
241 708 -0,1 19,1 4,3 247 499Caen 81 159 -1,6 18 634 1,4 36 402 0,1
136195 -0,7 23,7 2,4 139735Clermont-Ferrand 64 618 -1,9 15124 -0,2
30 831 -1,1 110 573 -1,5 25,4 2,0 113 037Corse 13 371 -1,5 2 335
3,2 5 880 0,2 21 586 -0,5 7,1 0,4 22 045Dijon 86 069 -2,0 17 971
-0,2 39143 -1,5 143183 -1,6 12,9 2,6 147005Grenoble 157199 -0,4 30
330 2,7 75 002 1,0 262 531 0,4 21,0 4,7 267 374Lille 247 091 -1,1
75 804 0,1 116 216 1,0 439111 -0,4 24,6 7,8 451 741Limoges 31 973
-2,1 8 323 -1,1 16 433 -2,0 56 729 -1,9 11,3 1,0 57 943Lyon 157 436
-1,2 34 761 0,9 73 938 0,6 266135 -0,4 27,5 4,7 271 234Montpellier
118 030 -0,3 22 566 3,1 52 203 1,2 192 799 0,5 18,1 3,4
196560Nancy-Metz 132 611 -2,2 34 876 2,4 61 120 1,9 228 607 -0,4
15,4 4,1 234 030Nantes 180 795 -2,0 37 301 1,2 85 318 -1,1 303414
-1,4 41,3 5,4 310 217Nice 92 617 -0,2 16 952 2,8 40 939 2,5 150508
0,8 13,7 2,7 153484Orléans-Tours 131 845 -1,4 26 710 1,7 58 293 0,5
216 848 -0,5 14,5 3,9 221 749Poitiers 82 893 -1,3 17 371 1,2 37 428
-0,5 137692 -0,8 16,0 2,5 141360Reims 78 084 -2,0 18515 1,2 33 846
-1,1 130445 -1,3 15,5 2,3 134373Rennes 157 364 -1,3 34162 1,6 81
093 -0,8 272 619 -0,8 42,8 4,9 278 744Rouen 113 368 -1,5 25 019 3,4
48133 2,8 186 520 0,2 15,5 3,3 190 419Strasbourg 89 911 -1,2 20 553
2,9 38130 1,3 148594 0,0 13,8 2,6 152 711Toulouse 119 811 -0,9 26
521 1,6 58 258 -0,6 204 590 -0,5 19,3 3,6 208 821
Paris 82 260 -0,9 19 431 -1,3 58 963 -1,1 160654 -1,0 32,8 2,9
163335Créteil 216 848 -0,7 46 643 1,2 96 036 1,9 359 527 0,2 12,6
6,4 367 734Versailles 289 647 -0,6 53 352 0,4 135202 0,8 478 201
-0,1 15,4 8,5 488 645
Ile-de-France 588 755 -0,7 119 426 0,4 290 201 0,8 998 382 -0,1
17,2 17,8 1 019 714Tota! France métro 3186 357 -1,2 708 423 1,5 1
489 955 0,4 5 384 735 -0,4 21,0 96,0 5 508 742Guadeloupe 29 489
-1,5 8 083 4,0 12105 2,6 49 677 0,4 10,0 0,9 51 024Guyane 12 793
5,5 2 236 10,4 2 817 12,7 17 846 7,1 8,9 0,3 18 291Martinique 26
822 0,0 7 541 2,0 11 158 2,8 45 521 1,0 7,9 0,8 47 253
Antilles-Guyane 69104 0,3 17 860 3,9 26 080 3,7 113 044 1,6 9,0
2,0 116 568La Réunion 57185 0,7 14 470 3,6 20 538 0,9 92193 1,2 5,8
1,6 94 072
Total DOM 126 289 0,5 32 330 3,8 46 618 2,4 205 237 1,4 7,6 3,6
210 640France métro + DOM 3 312 646 -1,1 740 753 1,6 1 536 573 0,5
5 589 972 -0,3 20,5 100,0 5 719 382
3029282726252423222120
GRAPHIQUE 4 - Part du secteur privé dans )es trois cycies du
second degré - France métropolitaine
Second cycle professionnel
Second cycle général et technologiqueEnsemble second degré
Premier cycle
professionnel adapté) s'écarte de celle du premier cycle. De
fait, depuis deux ans, la proportion d 'une génération à intégrer
une SES augmente très légèrement, alors que la tendance, jusque-là,
était inverse.
Les EREA (écoles régionales d'enseignement adapté), en revanche,
enregistrent une petite baisse après plusieurs années de stabilité,
voire de légère hausse.
AU NIVEAU ACADÉMIQUE,DES ÉVOLUTIONS CONTRASTÉES QU!PERDURENT
La baisse globale du second degré en France métropolitaine
recouvre des différences sensibles entre les académies
Depuis le début
NOTE D'iNFORMAHON 98-0 Page 5
-
de cette baisse en 1994, les académies qui voient leurs
effectifs augmenter ou baisser sont les mêmes d'une année à
l'autre.
Ainsi, sept académies gagnent des effectifs à la rentrée : il
s'agit de Nice, Aix-Marseille, Montpellier et Grenoble au Sud-Est,
Strasbourg, Créteil, et Rouen.
Avec la Corse, ces académies sont les seules qui, sur les quatre
dernières années, ont gagné des effectifs : de 0,1 % pour Rouen
jusqu 'à 3 % pour Nice.
À l'opposé, les pertes les plus fortes se situent, cette année,
et régulièrement depuis
quatre ans, dans les académies de Clermont-Ferrand, Limoges et
Poitiers au Centre, Nantes et Rennes à l'Ouest, Paris, Reims et
Dijon. En quatre ans, ces huit académies ont toutes perdu plus de 4
% de leurs effectifs.
Les académies d'outre-mer connaissent toutes des taux de
croissance positifs allant de 0,1 % pour la Guadeloupe à 7,1 % pour
la Guyane.
isabe!!e M aetz, DPD C1
Évolution des effectifs du second degré en 1997
0 .8%Baisse < 0.8 %
Moyenne France méfropo/