7/23/2019 Massifs VDH 1 http://slidepdf.com/reader/full/massifs-vdh-1 1/74 0. Introduction 0. aspect "calculs" (l’aspect technologie sera développé au cours d'exécution - sols) 1. 3 parties : 1. action des terres sur un ouvrage de soutènement : poussée - butée 2. massifs "soutenus" : ouvrages de soutènement et de blindage . massifs "non soutenus": stabilité des talus! plus économi"ue (figure p.1) classi#ication des ouvrages de soutènement selon le mode de reprise de la poussée : 1 mur massi# en ma$onnerie ou béton mur en terre armée ouvrage cellulaire ouvrages de soutènement mode de reprise de la poussée poids de l'ouvrage encastrement mur en é"uerre en béton paroi moulée mur emboué rideau de palplanches (métal)
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2 é"uilibres 3externes3 : é"uilibre de rotation et de translation (vertical et hori4ontal) é"uilibres 3internes3 : calcul organi"ue! dimensionnement propre de l'élément!
en#oncement nécessaire dans le sol%56 : moments et e##orts%5/ : #issuration du béton
dé#ormation du sol
+. exemple :
pas d'eau et sol homogène
avec pp! la pression passive (butée des terres)pa! la pression active (poussée des terres)
7a * Ι pa
7p * Ι pp
8l #aut s'assurer "ue la longueur de #iche est su##isante. é"uilibre externe
8l #audra aussi choisir le bon pro#il de palplanches. déterminer le diagramme des moments (é"uilibre interne). 9 partir du moment
maximum! on peut déduire le pro#il minimum :
max σ
≥ maxM
v
I
déterminer l'e##ort tranchant ;max
déterminer la #lèche : (surtout pour les palplanches "ui sont très dé#ormables)
22.Ea"uot présentera une théorie plus proche du comportementréel du sol.
1.2.2. $éorie de %an&ine :
In considère un massi# semi-in#ini! de pente (i ≠ @) constante! de sol homogène etisotrope.6n morceau de sol est isolé a#in d'> déterminer les e##orts en présence.
Gar s>métrie! %1 * %2 ces 2 e##orts s'é"uilibrent puis"u'ils sont de sens opposé.
Gour avoir l'é"uilibre! il #aut donc "ue * H! c&d "ue le poids du massi# soitintégralement repris par la #acette du #ond.
avec ! le poids du volume des terres
H! la contrainte résultante des ρi
* γ . 4 . OE . cos i
#$%
$
#
ii ⋅ρ=ρ= ∫
ρi n'a>ant pas de raison de varier puis"ue la pro#ondeur 4 est constante.
avec ρi! la contrainte exercée par le sol en WSX U mYZ
i! l'inclinaison du terrain "ui représente aussi l'angle "ue #ait ρi avec la normale
Gour trouver un état d'é"uilibre! il #aut "ue i C ϕ. %n e##et! pour un sol pulvérulent! on
ne peut pas donner! ph>si"uement! au talus une pente i M ϕ (cercle de ohr
dépassant les droites intrinsè"ues).5es di##érents cercles se coupent tAs en un mme point. %n e##et! "ue le sol soitsoumis & une détente (acti#) ou & une compression (passi#)! la hauteur de sol au-dessus reste la mme.
%n tra$ant les parallèles aux #acettes passant par le point 9! on peut déterminer laposition du pBle G sur le cercle de ohr.Eonnaissant le pBle sur le cercle de rupture active! on peut trouver l'orientation des#acettes de rupture active en Aoignant le pBle aux 2 points de tangence.In peut #aire de mme pour le cercle de rupture passive.
%n situation active! le cercle de ohr s'agrandit vers la gauche! ce "ui nous donneun nouveau pBle et donc des nouvelles #acettes correspondant aux #acettes derupture active. =e mme! en situation passive! le cercle de ohr s'agrandit vers ladroite.
2.Gour la poussée active :
( )( )
( )δ−γ δ+γ
=ρρ
sin
sin
av
i propriété des contraintes conAuguées
avec δ! l'inclinaison de ρ par rapport & la normale & la #acette
ρ représente la contrainte pour un point plus bas dans le massi#.
/uite & la cohésion! les droites intrinsè"ues et la droite d’inclinaison i ne sont plusconcourantes & l’origine. In obtient des courbes de rupture et non plus des
droites vu "u'il n'> a plus homothétie entre les 2. 5es di##érentes #acettes de rupturepour les 2 cercles ne sont pas parallèles.
5’angle δ entre l’hori4ontale et ρβ varie avec la pro#ondeur. il est di##icile de trouver
%a.Ee cas est complexe et très rarement rencontré puis"ue! pour des murs de
soutènement! on utilise des remblais drainant (c * @)! ce "ui permet de diminuer lespressions d’eau.Gour ces raisons! nous nous limiterons au cas d’un sol cohérent dans le"uel onen#once une palplanche.
rm". :
Gour le remblais! il est pré#érable d'utiliser des sols pulvérulents :
un angle de #rottement ϕ élevé est plus intéressant "u'une cohésion élevée
a#in d'obtenir un coe##icient Pa #aible et un Pp élevé. sols plus perméables! ce "ui permet de diminuer la pression d'eau en évitant
une accumulation d'eau occasionnée par la remontée de la nappe phréati"ueemprisonnée par une couche imperméable.
5e résultat a plus "ue doublé! ce "ui montre "u'il #aut tenir compte de la présenced'eau (surpression interstitielle) dans le sol.
Gour éviter cette surpression due & l'eau! on pourrait utiliser un remblaissu##isamment perméable (sol grossier) et prévoir une évacuation de l'eau (drains)! ce"ui permet le dimensionnement d'un mur de soutènement plus petit.
/i de l'autre cBté du mur!i > a une piscine ou cuve! la pression d'eau va s'é"uilibrer!ce "ui correspond & une situation plus #avorable.
8l #audra tout de mme prendre en compte le ris"ue "ue la cuve soit vide! mais le
coe##icient de sécurité est plus #aible "ue si la cuve était vide en permanence.
1. comparaison palplanche - mur de soutènement :
2?
%a * 1! . U 2 * 2! SX U m
β * @
c ≠ @ car on garde le sol en place
la butée et la poussée sont prises encompte
u ≠ @
δ * @ car une palplanche est
relativement lisse
palplanche
β ≠ @
c * @ pulvérulent puis"u'on remblaie
avec un matériau "ue l'onsouhaite
la butée est négligée! mais la pousséeest prise en compteu * @ puis"u'on élimine la pression
5a charge K est exprimée en mètre courant puis"u’elle peut tre répartie dans lesens perpendiculaire. en WSX U mZ
9vant le point d’application de la charge ponctuelle! les point restent les mmes sur la courbe de Eulmann. 5a charge ponctuelle K n’est prise en compte "ue lors"ue lepoint E est & droite de la charge. 8l #aut alors prendre en plus de la charge K. la courbe de Eulmann se retrouve décalée! la charge K a>ant provo"uée une
discontinuité suivant la sur#ace de glissement passant par son point d’application.5a charge ponctuelle peut ou non avoir une in#luence sur l’extremum selon "ue la
tangente coupe ou non la nouvelle courbe de Eulmann.
/i la distance a est imposée! & partir de "uelle valeur de la charge K! la poussée va-t-elle tre augmentée V
Gar l’intersection entre la tangente & la courbe initiale et la courbe décalée! on tracela parallèle & la droite d’orientation! ce "ui nous donne la valeur limite de la chargeponctuelle Klim au-del& de la"uelle la poussée %a des terres sur l’écran augmentera.
/i la charge K est imposée! & partir de "uelle valeur de la distance a! la poussée % a
sera-t-elle augmentée V
9près avoir tracé la courbe de Eulman! on connaDt %a. %n aplli"uant la charge K! onpeut tracer la courba décalée! ce "ui nous permet de trouver la nouvelle sur#ace deglissement dont l’intersection avec %a reporté nous donne amax.
rm". : 5a charge n’est pas réellement ponctuelle. 8l #audrait dé#inir sa largeur d’in#luence.
1. paroi etUou terre-plein non rectiligne : (figures p.25)
figure a : terre-plein non rectiligneon détermine le point O’ par l’intersection entre la droite O 1O2 prolongée et laparallèle & la droite 9O1 passant par O. on ne considère non plus la paroi
9O! mais la paroi #ictive 9O’.
figure b : paroi non rectiligneon détermine le point O’ par l’intersection entre la droite OO1 et la parallèle &la droite 9O passant par 91. on ne considère non plus la paroi 9O! mais la
paroi #ictive 9O’.
figure c : paroi et terre-plein non rectilignecombinaison des 2 cas 9O 9O ^
1<. couches de nature di##érente :
5e problème est décomposé en 2. In s’intéresse d’abord & la 1ère couche %a!1.
%nsuite! & la 2e couche %a!2.
Gour le calcul de %a!2! on prendra en compte le poids de la 1ère couche.
In a émis des h>pothèses simpli#icatrices puis"u’on a tracé les parallèles & lasur#ace de glissement correspondant & θ et & ϕ.
5’angle θ est calculé sans prendre en compte la charge ponctuelle K.
cas particulier : si on tra$ait la parallèle & la sur#ace de glissement la plusdé#avorable! on serait la 4one d’in#luence s’étendrait en dehors du mur. on s’arrte
au coin in#érieur du mur.
1N. sol cohérent (poussée) :
c ≠ @
%a!K
K
x
xU
θ ϕ
2 . %a!K
U (x U cos β)
%a!K
K
x xU
θ ϕ
2 . %a!K
U (x U cos β) limite in#érieure de la 4one d’in#luence
limite supérieure de la 4one d’in#luence
sur#ace de glissement la plusdé#avorable! c&dcorrespondante au %
8l apparaDt toute une 4one dans la"uelle le sol est en traction. dans cette 4one! i
n’> a pas de poussée des terres sur l’écran.
=’après HanSine! l’épaisseur de cette couche de traction est de 2 . c U (γ . Pa).
Eomme il > a cohérence du sol (c ≠ @)! il > a aussi adhérence (a ≠ @) entre le sol et
l’écran. 5a cohésion s’oppose au déplacement de la paroi.
_! le poids des terres! est connu en orientation et en intensité.
_ * #(θ)
9! la résultante des contraintes d’adhérence! est connu en orientation et en intensité.Ga! la poussée! est connu en orientation.E! la résultante des contraintes de cohésion! est connu en orientation et en intensité.
Hϕ! la résultante des contraintes de #rottement! est connu en orientation.
via le pol>gone des #orces! les intensités inconnues peuvent tre déterminées :
9 partir de _ "ui est totalement connu! on trace 9 "ui est invariable et totalement
connu. In trace E "ui est totalement connu. In connaDt la direction de G a et de Hϕ .5’intersection des 2 directions dans le pol>gone des #orces permet de déterminer leur intensité respective.
In construit plusieurs pol>gones de #orces pour di##érentes sur#aces de glissements
en #aisant varier l’angle θ.
%n Aoignant les points dé#inis par les di##érents Ga! on peut tracer la courbe deEulmann. %n tra$ant une parallèle & _ et tangente & la courbe ! on peut déterminer Ga!max (* %a)./eule l’adhérence 9 reste inchangée pour les di##érents pol>gones.
<.la butée des terres a un e##et #avorable puis"u’elle s’opposeau basculement et au déplacement de l’écran! en o##rant uncertain e##et résistant.
Eependant! on négligera l’e##et de la butée puis"ue :
- sa hauteur est #aible- c’est un e##ort résistant. en le supprimant! on se met du cBté de la
sécurité.
-les terres présentes devant le mur pourraient tre enlevéesoccasionnellement pendant la réalisation de travaux par exemple! ce"ui supprimerait l’e##et de la butée.
- la butée nécessite des déplacements importants. Ir! le mur est rigide.8l ris"ue alors de ne pas tre su##isant pour ne pas exploiter la butée.
?.t>pes de murs :
- massi# : en ma$onnerie pleine puis"u’il ne peut pas > avoir de la
traction dans la ma$onnerie.
- évidé : utilisation de contre#orts soumis & compressionsolution plus économi"ue puis"u’il > a moins de matériau
- en é"uerre :
5es éventuels contre#orts permettent de soulager les e##orts dans lasemelle.
- & caissons évidés : remplis avec de la terre par après
- stabilité interne : il > a lieu de #aire une distinction entre les murs massi#s(bri"ue! pierre! béton)! "ui ne résiste pas en traction! et lesmurs en é"uerre (béton armé).
1.si le sol est #ort compressible : il n’> a pas de pression & l’arrière du mur! mais une#orte pression & l’avant du mur. tassement
distribution des pressions pour un sol normal :
In travaillera alors avec une pression uni#orme. les tassements sont partout
identi"ues sous la #ondation. 5e mur ne bascule plus! mais se tasse verticalement.
2.1.2. !urs de soutènements massifs :
a) stabilité externe :
22. critère de non décollement : (figures p.36)
ma$onnerie! béton matériau #ragile bonne résistance & la compression
F traction
2.mur rectangulaire :
%a est connu par HanSine! Eoulomb et se décompose suivant une composante
verticale (%a)v et une composante hori4ontale (%a)h.
In réalise l'é"uilibre autour du point 9! "ui correspond & la limite du no>au central.
/ouvent! (%a)v est négligée! ce "ui permet de se mettre du cBté de la sécuritépuis"ue (%a)v a un e##et stabilisant! mme s'il diminue légèrement le pouvoir portant.
énéralement la butée %p est aussi négligée.
5e critère de non décollement revient & chercher une largeur minimum Omin de telle
sorte "u'il n'> ait pas de traction dans le bas du massi#.
Gour "u'il > ait compression dans toute la section! il #aut se trouver dans le tierscentral. 5e cas limite avant décollement sera l'obtention d'un diagrammetriangulaire des contraintes sous le mur. =ans ce cas! il > aura é"uilibre desmoments autour du point 9 situé & la limite du tiers central.
base inclinée : de telle sorte "ue la résultante soit perpendiculaire & la base de la#ondation pas de problème de glissement de la #ondation! mais il
#aut s'assurer "ue le sol ne glisse pas (remplacer ψ par ϕ).
ancrage vertical : s'oppose par cisaillement au glissement.
lestage : augmente le numérateur peut devenir dé#avorable pour le pouvoir portant.
2+. critère de non glissement d'ensemble : (figures p.37)
In envisage di##érentes sur#aces de glissement et on retient la plus dé#avorable! c&dcelle "ui conduit au coe##icient de sécurité le plus #aible.Eette condition est souvent moins dé#avorable "ue le glissement local.
2. pouvoir portant du sol : (figures p.38)
/i la charge verticale est trop importante! il > a un ris"ue "u'une sur#ace de rupturese développe. la charge verticale devient dé#avorable. E'est le seul critère pour
le"uel la charge verticale est dé#avorable.
5'augmentation de O ne change rien au niveau du critère de non glissement local.
%n cas d'excentricité de la charge! on utilise pour les calculs une largeur #ictive :
O' * O [ 2.e
In utilise les #ormules du cours de #ondation. "ult * O' . "u
avec "u! le pouvoir portant du sol
b) stabilité interne : (figures p.38)
c) divers : (figures p.39)
2.1.. !urs de soutènement en é+uerre :
Ee sont des murs en béton armé.5a #lexion est privilégiée par rapport & l'e##ort normal.5e principale avantage des murs en é"uerre est "u'une "uantité moindre de matériauest nécessaire! mais cela nécessite plus de déblais et de remblais.
• possibilité d'étancéité pour travaux dans les rivières
• travaux pro#isoires (0récupération) :
enceintes travaux de #ondation (en rivière! en mer! sous X.G.! )
travaux définitifs (durabilité F)murs de "uai! piles et culées de pont! pieds de berges! soutènement!écluses! enceintes de protection contre a##ouillements (maintien de talus!empche la corrosion des #ondations).
• avantages : pas d'étan$ons! pas d'étrésillons! pas de terrassement (T mursclassi"ues)
• inconvénients :battage vibrations (F site urbain)
HanSine est le plus sécuritaire puis"u'il sous-estime la
butée et surestime la poussée.Ea"uot-Périsel est le plus proche de la réalité.Eoulomb surestime la butée.
- in#luence de δ sur la butée
- in#luence de la pression d'eau : (figures p.64 et 65)
- in#luence #avorable de la cohésion : (figures p.65)
• %E.< - coe##icients :
actions sol
permanentes variables
cas dé#avorables #avorables dé#avorables tg ϕ' c' cu "u
9 1!@@ @!N+ 1!+@ 1!1 1! 1!2 1!
O 1!+ 1!@@ 1!+@ 1!@ 1!@ 1!@ 1!@
E 1!@@ 1!@@ 1!@ 1!2+ 1! 1! 1!
cas 9 : poussée d'9rchimèdecas O : résistance des éléments de structure (véri#ication interne)cas E : talus! dimensionnement des éléments de structure (véri#ication externe)
2.2.. %ideau non ancré en t8te :
6ne palplanche ne peut pas tre ancrée si sa hauteur ne dépasse pas +m.
In se dé#init une échelle des longueurs u l * m U cmune échelle des #orces u7 * SX U cm
• tracer la #orce G & l'échelle sur le dessin (2)
• relier les 2 extrémités de la #orce G au pBle I (pris au hasard) par leur ra>onrécipro"ue
• tracer sur le dessin (1) la parallèle & L & partir du point 9• tracer & partir de l'intersection entre L et la ligne d'action de G une parallèle & LL• tracer une verticale en O• tracer la droite ; reliant 9 & l'intersection entre la verticale et la droite LL• tracer sur le dessin (2) la parallèle & ;! "ui coupera G en 2 parties représentant H 9
le triangle tracé sur le dessin (1) correspond au diagramme des moments & une
certaine échelle.
échelle des moments : u * ul . u7 . ∆ ↔ SXmUcm * mUcm . SXUcm . cm
In peut éventuellement redresser le diagramme des moments pour "u'il soitparallèle & la poutre.
- méthode de ohr [ détermination de la dé#ormée :
Eette méthode permet de déterminer la #lèche.
ohr : 35a #lèche due & une charge ponctuelle sur une poutre bi-appu>ée est égale
au moment #icti# M de cette poutre si elle est chargée #ictivement par8%
:
⋅− .3
5a théorie de ohr n'est valable "ue pour une poutre sur 2 appuis. 8l #audra doncl'adapter pour les palplanches puis"ue celles-ci sont encastrées & leur base.
échelle de moments : u * ul . u7 . ∆
↔ SXm U cm * m U cm . SX U cm . cm
échelle des moments #icti#s : uM * usur#ace . u . ul . %8
↔ (SXmY U cm) U %8 * (cmY U cm . SXm U cm . m U cm) U %8
↔ (SXm] U cm) U %8 * (SXmY U cm . m U cm . cm) U %8
5e diagramme des moments obtenus précédemment est discrétisé! ce "ui permet dedéduire! par sur#a$age! les moments #icti#s (1! 2! ) en SXmY (verticalement : m
hori4ontalement : SXm). %nsuite! les #orces #ictives sont dessinées & l'échelle! ce "uipermet de tracer le ra>on reliant celles-ci au pBle choisi arbitrairement. Gour cha"uesection! on #ait la somme de moments stati"ues dus aux e##orts #icti#s ce "ui permetde déterminer un point de la dé#ormée (tracer la parallèle au 1 er ra>on Aus"u'& la ligned'action du 1er e##ort #icti# et ainsi de suite).
- application aux palplanches : (figures p.66, 67 et 68)
• construction du diagramme des pressions des terres• discrétisation du diagramme et sur#a$age. obtention d'une #orce sur un axe
hori4ontal appli"uée au centre de gravité de cha"ue sur#ace.• détermination de la direction des ra>ons polaires au mo>en du pol>gone
#uniculaire des #orces tracées & l'échelle.F le ra>on polaire initial doit tre vertical F
• tracer les parallèles aux di##érents ra>ons polaires en commen$ant par le sommet.• changer de ra>on cha"ue #ois "ue l'on rencontre la ligne d'action d'une #orce.
• on peut ainsi trouver : ∑∑ −= gauche&droitededroite&gauchedeEO 77H
c,hσ⋅
=∆ EOH@!+J avec σh!c * γ ' . (Pp [ Pa) . J@
• la longueur de la palplanche est obtenue en s'arrtant lors"ue le moments'annule sur le diagramme.
• la dé#ormée est déterminée & partir du diagramme des moments pour le"uel onrecherche le moment stati"ue. 5e procédé est le mme "ue pour la déterminationdu diagramme des moments.
rm". : pour tracer le pol>gone #uniculaire des #orces négatives! on inverse le pBle etles #orces! ce "ui permet de continuer & tracer les #orces de droites & gauchessans devoir revenir sur le dessin déA& tracé.
2.2.+. %ideau ancré en t8te :
5'utilisation d'un ancrage permet de soulager la palplanche en lui donnant un appuidans sa partie supérieure lors"ue la hauteur devient trop grande. Eette techni"uepermet d'éviter d'avoir un pro#il de palplanche trop important ou une longueur de#iche trop grande.
rupture ne se produit plus en tte! mais dans lebas de la palplanche! la butée étant trop #aible.
/i la longueur de #iche est prolongée et devienttout Auste su##isante! les #lèches auront diminuées!mais il restera tAs un #aible déplacement en piedde palplanche. appui libre en pied de palplanche
/i la longueur de #iche est encore augmentée! ilcommence & apparaDtre de la contre-butée. encastrement partiel en pied de palplanche
/i la longueur de #iche est encore plusaugmentée! la contre-butée prend del'importance. encastrement en pied de palplanche
%n %urope! nous prendrons cette h>pothèse! ce "ui permet de diminuer lescoe##icients de sécurité puis"ue les #lèches sont plus petites.5a situation devient donc h>perstati"ue puis"ue la palplanche possède un appui etun encastrement.5e point = correspond au point pour le"uel le les pressions et le moment s'annulent.
5e problème comporte donc inconnues : H7! J et HEO
h>pothèse de Olum : p= * @ = * @
Olum a mis en évidence le #ait "ue le diagramme des moments s'annulaitprati"uement l& o\ les pressions s'annulent (poussée é"uilibrée par la butée).Eette h>pothèse permet de passer d'un problème h>perstati"ue & un problèmeisostati"ue en coupant la palplanche en 2 parties de part et d'autre du point =.
%n =! on peut introduire un appui au"uel correspond une réaction H= puis"ue! aupoint d! le moment est nul et "ue cela ne change donc rien. Hd * ;= l'e##ort tranchant au point =
5e 1er tron$on s'apparente donc & une poutre sur 2 appuis.Gour le 2e tron$on! on connaDt la réaction H= puis"u'il s'agit "e la mme réaction "uecelle calculée dans le 1er tron$on. In ne connaDt pas J@ et HEO "ue l'on cherchera
a) dimensionnement du rideau d'ancrage secondaire : (figures p.76, 77 et 78)
5e dimensionnement s'e##ectue par voie graphostati"ue.5a palplanche est placée sur l'axe vertical du graphi"ue.5a surcharge " est placée du cBté de la poussée ce "ui correspond au cBté le plusdé#avorable.il existe 2 principes de dimensionnement :• chercher 5min! c&d la distance minimale entre les 2 rideaux pour éviter "ue le
rideau d'ancrage n'augmente la poussée des terres sur le rideau principal.
• dimensionner la hauteur h & partir de l'e##ort connu : H 9 . s avec s! un coe##icientde sécurité.
1.1. Gression des terres sur un écran.......................................................................
1.1.1. Garamètres du sol : c! ϕ! a! ψ ..................................................................... 1.1.2. Eercle de ohr :..........................................................................................+1.1.. Gressions neutre - active - passive : (figure p.4)..........................................N1.1.. Gressions sur un ouvrage de soutènement :............................................12
1.2. Jhéorie de HanSine..........................................................................................11.2.1. >pothèses de rupture :............................................................................11.2.2. Jhéorie de HanSine :.................................................................................11.2.. /ol pulvérulent : (figures p.10 et 11)............................................................ 1+1.2.. /ol pulvérulent - paroi obli"ue :................................................................211.2.+. /ols cohérents : (figures p.14, 15 et 16)...................................................... 21.2.. Eriti"ues :..................................................................................................21.2.<. Hemar"ues :..............................................................................................2<
1.3. Jhéorie de Eoulomb.........................................................................................2N1..1. énéralité :................................................................................................2N1..2. éthode anal>ti"ue : (figures p.17, 18 et 19)...............................................2N1... éthode graphi"ue (courbe de Eulmann) : (figures p.20, 21 et 22)............@1... =ivers :......................................................................................................1
1..2. Jhéorie de Ea"uot [ Perisel : (figures p.26, 27, 28, 29, 30 et 31).................N1... Jhéorie de Orinch [ ansen : (figures p.32)...............................................@
2. Iuvrages de soutènement et de blindage...........................................................12.1. urs de soutènement.......................................................................................1
2.1.1. énéralités : (figures p.33, 34 et 35)............................................................12.1.2. urs de soutènements massi#s :..............................................................2.1.. urs de soutènement en é"uerre :...........................................................N2.1.. urs de soutènement [ variantes :[email protected].+. urs de soutènement [ terre armée :.......................................................+1
2.2. Hideaux et parois..............................................................................................+22.2.1. énéralités :..............................................................................................+22.2.2. Ealculs & e##ectuer :...................................................................................++2.2.. =étermination des pressions des terres sur le rideau :............................++
2.2.. Hideau non ancré en tte :........................................................................+<2.2.+. Hideau ancré en tte :...............................................................................2.2.. Héalisation des ancrages :........................................................................?2.2.<. Ghénomène de Henard : (figures p.80 et 81).............................................. <2