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.^•ХУ!.*^* У.;!ГДУ.ГТ1. ' . '.T 'ПИШИ TS'^'Aniiée — N° 39 ABONNEMENTS Trois Mois. Six Mois. . Un AN. . 3 fr. 5.50 10 fr. IXSERTî.ONS Annonces, la ligne. 0.80 Réclames 1.20 Faits locaux 1.50 LICHO SAUMUROIS Journal Politique et Littéraire D'Intérêt Local, d'Annonces Judiciaires éh d'Avis Divers E-^ FONDÉ EN t84t PARAISSANT L.E MERCREDI & L E SAMEDI RÉPACTJON & ADMINISTRATION : Щ D^ MARCHÉ-NOIR Samedi 15 Mai 1920 LE NUMÉRO 10 С mes Les Abonnements sont payables d'a- vance et l'acceptation de trois nu- mérostengâge pour une.année. La quittance est présentée à l'abonné sans dérangement pour lui. Adresse télégraphique : ÉCHO SAUMUR. ШГеС1811Г ! À . GIROUÀRD Téléphone 1-95 i 11 y a cinq cents ans, le 30 Mai 1431, par un matin sombreet bru- meux qu'enveloppe un brouillard -épais, une foule anxieuse el agitée se presse pour assister au martyre de celle qui a sauvé la France. Qn lit sur les visages la consterr nation etl'effroi : car la conscience a des draits imprescriptibles,-elle dicte à ce peuple qu'il va commet lie un crime et une lâcheté. Et la douce Vierge de Lorraine expire sur son bûcher, les bour- reaux s'enfuient épouvantés en j<etant le cri dey,érité..«Nous avons brûlé une Sainte. » Cinq siècles ont passé et demain la Martyre du Vieux-Marché sera élevée sur les autels. Une voix va de nouveau résonner, mais ce sera cette fois celle du Pontife suprê- me pour proclamer notre héroïne « Sainte Jeanne d!Arc. » Quel jour mémorable et comme il va sanctionner la voix de tous Itispeuples qui, repoussant toute réhabilitation comme superflue, publie les vertùs .de rhérpïne de la France;. Pu.i,si|.ujé^ à .l'Jieure actuelle les événements aenousle permeltent pas^ nous espérons que le Gouver- exaucera le vœu populaire en dé- clarant natiomle, la fête de Celle dont le nom est universellement honoré et respecté. Tous lespartispeuven t réclamer Jeanne d'Arc, .comme le dit Mau- rice Barrés : « Etes-vous catholique? C'est une martyre et une sainte, que l'Église vient de mettre sur les autels. Etes-vous royaliste ? C'est l'héroïne qui a fait consacrer le fils de Saint Louis,par le Sacre- ment gi^Uican 'de Rpi-ms. Rfuetez-. vous lesttEnatoirel ? J аш aïs persoe - Пеле fuît aussi réaliste que cette mystitïue ; elle est pratique, gron- deuse et goguenarde, comme le soldat de toutes nos épopées; elle a les lèvres toutes fleuries de ces adagesrustiquesquisontlasagesse denos paysans ; elle incarne le bon sens français. Pour les républi- cains, c'est l'enfant du peuple qui dépasse en magnanimité toutes les grandeurs établies. » Enfin les socialistes ne peuvent oublier qu'elle disait: « Les pauvres gens venaient à moi volontiers, parce queje neleurfaisais pas dedéplai- sir J'ai été envoyée pour la conso- lation des pauvres et des malheu- reux. » Non s augurons bien de cette fête du patriotisme puisque la France sera officiellement représentée aux splendides cérémonies de la canonisation et que de nombreux parlementai res et pèlerins se pres- seront à Rome pour acclamer et reeannaître dans la petite bergère de Domrémy la Sainte Patronne de la Patrie. En retour, la Vierge Lorraine ne méconnaîtra point ce beau geste de la France et elle continuera de nous protéger. Comme aux temps de Jeanne, l'horizon est sombre etladiscorde règne; il y a grande pitié sur la terre de France. Après les affres de la guerre ou encore une fois elle a sauvé le cœur de ri'otre cher pays,-elle nous aidera à nous ral- lier tous et à relever nos ruines, elle se souviendra de Reims où elle fut à l'honneur, elle nous donnera la véritable paix après l'iuBvilable fléau, elle bataillera encore pour nous ,contre l'ennemi du dehors et de l'intérieur et nous donnera la Victoire. A. GIROUARD. La Libération de la Classe 1918 /» Us 28, 29 et 50 mai 1920, les rmUlaires incorporés les 16, n et 18 avril 19il, •¡чу échelon. 2" Les 12, 15 et и juin 1920, les militai/res incorporés les Г', 2 et 5 mai 1917, échelon. li'éloge du tinibre^ppst« La crise de la monnaie est conj.urée 1 Ne soyez plus inquiets, si, ayant acheté un obpt de quarante oentimea, vous n'ayez A ufiEcir en paiaeHœQt qn'iine cou- pure dBi.ciitqiEaBCs.-Le Bsafflsiâr^DDSifctaa ! la -inoi)tnaiie...avéc leaoume 1 Est qûeHe maanaie commode. Nifiéce.d'argent qui pournaifiiQt 'vousinduire au .jeu de ia spé- culation, ni pièces de bronze qui sont lourdes et malsmnes, ni ipièces de nickel, malaisées à différencier, ni petits billets crasseux, répugnants i Non ! le caissier vous rendra tout un lot ¡multicolfflce de jolies figurines à l'effigie de la Semeuse, il vous rendra des tjmbi^-postes. Le timbre-poste est la monnaie du présent et, probablement de l'avenir. Le timbl-e-poste a toutes les qualités : il est léger et ne tient pas de plaoe, Ce n'est pas à lui qu'on reprochera d'être rond et de roulertrop facilement-: gommé on ne s'en sépare pas facilement, il inci- te à l'économie. En matière, de monnaie, tout n'est que convention. Uneconvention générale et spontanée a érigé le timJbre-pos'te en monnaie. Nous ne doutons pas que le gouvernement lui donne bientôt sa ra- tification. Et ne craignons pas que cette mon- naie seraréfie commeles autras et qu'une nouvelle crise surgisse. Nous avons des timbres sur la planclie et sur la pierre des litho^aphes otfiicels. Cent millions au .minimum de ces utiles figurines sor- tent chaque mois des presses: la Mon- naie, malgré d'indéniables progrès, ne saurait prétendre à de tels tirages. Le timbre—poste a donc résolu pro- visoirement, la crise de la monnaie, il l'aurarésolue définitement quand ilfera prime et que les accapareurs et les ma- niaques offiriront leur or, leur argent et leur nickel pour se le procurer. Jacques DEIÎSAUX. IHFORHATIOHS La G - c è v e d e s Cbeniiiiote Les services de la Compagnie d'Orléan s nousadresselacommunicatioTi suivante: L'Union des syndicats P.O. répand le %ract dont ci-joint copie. Il y a lieù de fàire connaître à notre personnel et au putblîc la vérité sur la sitiisilion actuelle. L'opposition entre les faits et les gè- nèralitéa vagues et sciemment erronées du tract ci-j oint doit permettre à tous de reconnaître où est la vérité. De nombreuses rentrées sont signalées dans itous'les coins delà France. Le tra- fic reprend partout, ainsi qu'en témoi- gnent les chiffres suivants : Kilomètres faits le 7-5-20 par les ma- chines des différents arrondissements : Vtiyageurs Marchandises 1er arrondissement 10.123 18.671 2e id. 5.121 5.537 3e id. 7.756 11.914 4e id. 8.182 17.539 id. 4.885 5.843 Total, 34.326 56.888 Ce qui représente, dans l'ensemble, une proportion de ¡32 % du parcours voya- geurs et 78, 3'.^o dit parcours maçchan- disés,par rapport àla situation d'avant grève. A noter que le arrondissement (Orléans) a fait un parcours marchan- dises supérieur delO %au parcours mo- yen d'avant grève et que le 5® arrondis- sement (Nantes) a fait 80 % du parcours moveh ^ormâL Le tract ci-j oint renouvelle le men- songe déjà pfèiîédemment lancé et qui consiste à soutenir que la grève a été le résultat du vote unanime du Congrès National. Les chiffres qui vous ont été indiqués vous permettent de redresser cette erreur. Au' Congrès National, la motion extré- miste a été votée par: 167.037 voix, contre 147.282, et 13.593 abstentions. D'autre part, les décisions du comité doivent, pour être valables, réunir au moins les 5/6 des délégués statuaire- ment nommés. Or, la grève actuelle a ètè votée par 28 voix conire 24, * Ainsi que s'en rendent compte les nombreux agents demeurés à leur poste et la plus grande partie du personnel en grève (que-les menaces des militants re- tiennent seules loin de leur travail), le mouvement actuel, révolutionnaire, dé- clanché brutalement par les extrémistes nouvellement élus ne donnera à la clssse ouvrière aucun avantage qu'elle lie pos- sède déjà ou que les Pouvoirs Publics n'avaient déjà décidé de leur concéder. 1°. — L e ministre dès travaux pubhcs fait, depuis le mois de février, étudier un nouveau régime des chemins de fer, qui doit être soumis au Parlement à la fin du présent mois. 2°. — Les libertés syndicales ont été et seront toujours respectées par la Ce dans les conditions prescrites par la loi. 3°. — La journée de 8 heures est ap- pliquée surle réseau et la Ce n'autorise personne a douter de la bonne foi avec laquelle elle respecte les engagements qu'elle a pris à cet égard. 4°. — Les nouvelles échelles de trai- tements établies sur la base de 3800 frs. viennent d'êtr£ réglées par la commis- sion d'arbitrage au ministère des tra- vaux publics. La grève seule a arrêté leur application qui sera faite rétroactive- ment après la reprise du travail, 5°. — Le statut du personnel établi par la même commission, va être mis en application incessammeut et il sera pro- cédé sous peu, aux élections prévues pour la représentation du personnel. * » » Nous avons demandé à un haut fonctionnaire delaCompagnie d'Orléans ce qu'il pensait de la situation actuelle. Voici ce qu'il nous a répondu : Le public se rend compte que la grè- ve des chemins de fer ordonnée par la C.G.T. n'a pas eu pour effet d'entraver le ravitaillement ni d'arrêter la vie éco- mique du pays, les grèves successives ordonnées per les dirigeants de la C, G. T. pour appuyer le mouvement de grève sur les chemins de fer n'ont pas donné plus de résultats. Néanmoins la situation actuelle n'est pas sans causer de sérieux dommages au pays. Il est temps de revenir à une situationdestransportsnon pas normale "car malheureusement une grève comme celle-ci fera sentir son action malfaisante pendant plusieurs mois, mais à une si- tuation régulière. Les compagnies ont montré délibé- rément la plus grande patience à l'égard des agents qui ont rompu le contrat do travail qui les unissait aux r-seaux. Certains leur reproche même tme lon- ganimité excessive. Fortes de l'appui de l'opinion publique qui vient de s'expri- mer, notamment dans les Conseils Gé- néraux, par une protestation unanime contre les entreprises révolutionnaires, fortes des encouragements qu'elles re- çoivent des agents demeurés fidèles à leur poste et qui demandent à être proté- gés elles sont résolues à ne pas prolonge r plus longtempsune situation qui trouble la vie économique du pays, à donner à leur personnel en service la sécurité du travail, en éliminant défiriitivement de leurs cadres les éléments malfaisants qui s'y étaient introduit s depuis pl usieurs mois à la faveur d'une action révolu- tionnaire préparée de longue main. Indépendamment des révocations prononcées pour débauchage, sabotages, violences, ainsi que des révocations pro- noncées contre les grévistes qui avaient été Tobjet de mesures disciplinaires à l'occasion des grèves précédentes, les compagnies ont mis les grévistes par voie d'affichage, puis par lettres indi- viduelles, en demeura de reprendre le travail. Un certain nombre d'entre eux ont répondu à leur appel. Vis à vis de ceux qui s'obstinent, les compagnies considèrent que les liens juridiques qui les unissaient à eux sont rompus, et, d'ores et déjà, elles ont commencé à notifier leur radiation des cadres à plu- sieurs centaines d'entre eux, sans pré- judice des mesures particulières que certains réseaux ont été amenés à pren- dre, telles que la fermeture de ses grands ateliers par la Compagnie d'Orléans ? Les agents rayés dés cadres seront remplacés par de nouveaux agents choisis parmi les très nombreux candi- dats qui sollicitent un emploi sur les réseaux. Il va sans dire que les révocations et radiations des cadres prononcées par les réseaux sont et demeureront défini- tives. BULLETIN FINANCIER Paris, 12 mai 1920. La nouvelle détentè des changes et les nombreux ordres de ventes de pro- vince provoquent des réactions dan.s tous les compartiments Après, une ou- verture très faible, le marché se ressaisit en clôture. Londres nous envoie des cours en reprise. Nos Rentes françaises sont fermes aiix environs des cours d'hier. Etablissements de Crédit soutenus. B№que de Paris 1.755, Union 1.590, Bftnquc Ottomane 854. Valeurs de navigation irrégulières, Suez 7.85o, Messageries 590, Transa- tlantique 585, affréteurs Réunis 1310 Inprise de la Thomson à 1.13~o,
4

LICHO SAUMUROIS - Château de Saumurarchives.ville-saumur.fr/_depot_amsaumur/_depot_arko/fonds/echo_saumur... · .^•ХУ!.*^* У.;!ГДУ.ГТ1.' '.T 'ПИШ. И TS'^'Aniiée —

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. •ХУ!.* * У.;!ГДУ.ГТ1.'. '.T 'ПИШИ

TS'^'Aniiée — N° 39

ABONNEMENTS

Trois Mois. Six Mois. . Un AN. .

3 fr. 5 .50

1 0 fr.

IXSERTî.ONS

Annonces, la ligne. 0.80 Réclames — 1 .20 Faits locaux — 1 .50

LICHO SAUMUROIS Journal Politique et Littéraire

D'Intérêt Local, d'Annonces Judiciaires éh d'Avis Divers E-^ F O N D É E N t 8 4 t —

P A R A I S S A N T L.E M E R C R E D I & L E S A M E D I

RÉPACTJON & A D M I N I S T R A T I O N : Щ D ^ M A R C H É - N O I R

Samedi 15 Mai 1920

LE NUMÉRO

1 0 С m e s

Les Abonnements sont payables d 'a-vance et l ' acceptat ion de t rois nu-méros t engâge pour une .année .

La quit tance est p résen tée à l ' abonné sans dé rangement pour lui.

Adresse télégraphique : ÉCHO SAUMUR. ШГеС1811Г ! À . G I R O U À R D Téléphone 1-95

i 11 y a cinq cents ans, le 30 Mai

1431, par un matin sombreet bru-meux qu'enveloppe un brouillard

-épais, une foule anxieuse el agitée se presse pour assister au martyre de celle qui a sauvé la France.

Qn lit sur les visages la consterr nation etl'effroi : car la conscience a des draits imprescriptibles,-elle dicte à ce peuple qu'il va c o m m e t lie un crime et une lâcheté.

Et la douce Vierge de Lorraine expire sur son bûcher, les bour-reaux s'enfuient épouvantés en j<etant le cri dey,érité..«Nous avons brûlé une Sainte. »

Cinq siècles ont passé et demain la Martyre du Vieux-Marché sera élevée sur les autels. Une voix va de nouveau résonner, mais ce sera cette fois celle du Pontife suprê-me pour proclamer notre héroïne « Sainte Jeanne d!Arc. »

Quel jour mémorable et comme il va sanctionner la voix de tous Itispeuples qui, repoussant toute réhabilitation comme superflue, publie les vertùs .de rhérpïne de la France;.

Pu.i,si|.ujé^ à .l'Jieure actuelle les événements aenous le permeltent pas^ nous espérons que le Gouver-exaucera le vœu populaire en dé-clarant natiomle, la fête de Celle dont le nom est universellement honoré et respecté.

Tous lespartispeuven t réclamer Jeanne d'Arc, .comme le dit Mau-rice Barrés :

« Etes-vous catholique? C'est une martyre et une sainte, que l'Église vient de mettre sur les autels. Etes-vous royaliste ? C'est l 'héroïne qui a fait consacrer le fils de Saint Louis,par le Sacre-ment gi^Uican 'de Rpi-ms. Rfuetez-. vous lesttEnatoirel ? J аш aïs persoe -Пеле fuît aussi réaliste que cette mystitïue ; elle est pratique, gron-deuse et goguenarde, comme le soldat de toutes nos épopées; elle a les lèvres toutes fleuries de ces adagesrustiquesquisontlasagesse denos paysans ; elle incarne le bon sens français. Pour les républi-

cains, c'est l 'enfant du peuple qui dépasse en magnanimité toutes les grandeurs établies. » Enfin les socialistes ne peuvent oublier qu'elle disait: « Les pauvres gens venaient à moi volontiers, parce queje neleurfaisais pas dedéplai-sir J'ai été envoyée pour la conso-lation des pauvres et des malheu-reux. »

Non s augurons bien de cette fête du patriotisme puisque la France sera officiellement représentée aux splendides cérémonies de la canonisation et que de nombreux parlementai res et pèlerins se pres-seront à Rome pour acclamer et reeannaître dans la petite bergère de Domrémy la Sainte Patronne de la Patrie.

En retour, la Vierge Lorraine ne méconnaîtra point ce beau geste de la France et elle continuera de nous protéger.

Comme aux temps de Jeanne, l'horizon est sombre etladiscorde règne; il y a grande pitié sur la terre de France. Après les affres de la guerre ou encore une fois elle a sauvé le cœur de ri'otre cher pays,-elle nous aidera à nous ral-lier tous et à relever nos ruines, elle se souviendra de Reims où elle fut à l 'honneur, elle nous donnera la véritable paix après l'iuBvilable fléau, elle bataillera encore pour nous ,contre l 'ennemi du dehors et de l 'intérieur et nous donnera la Victoire.

A. GIROUARD.

La Libération de la Classe 1918

/» Us 28, 29 et 50 mai 1920, les rmUlaires incorporés les 16, n et 18 avril 19il, •¡чу échelon.

2" Les 12, 15 et и juin 1920, les militai/res incorporés les Г', 2 et 5 mai 1917, échelon.

l i 'éloge du tinibre^ppst«

L a crise de la monnaie est conj.urée 1 Ne soyez plus inquiets, si, ayant acheté un o b p t de quarante oentimea, vous n'ayez A ufiEcir en paiaeHœQt qn'iine cou-pure dBi.ciitqiEaBCs.-Le Bsafflsiâr^DDSifctaa ! la -inoi)tnaiie...avéc leaoume 1 Est qûeHe maanaie commode. Nifiéce.d'argent qui

pournaifiiQt 'vousinduire au .jeu de ia spé-culation, ni pièces de bronze qui sont lourdes et malsmnes, ni ipièces de nickel, malaisées à différencier, ni petits billets crasseux, répugnants i Non ! le caissier vous rendra tout un lot ¡multicolfflce de

jolies figurines à l'effigie de la Semeuse, il vous rendra des tjmbi^-postes.

Le timbre-poste est la monnaie du présent et, probablement de l'avenir. Le timbl-e-poste a toutes les qualités : il est léger et ne tient pas de plaoe, Ce n'est pas à lui qu'on reprochera d'être rond et de roulertrop facilement-: gommé on ne s'en sépare pas facilement, il inci-te à l'économie.

En matière, de monnaie, tout n'est que convention. Uneconvention générale et spontanée a érigé le timJbre-pos'te en monnaie. Nous ne doutons pas que le gouvernement lui donne bientôt sa ra-tification.

Et ne craignons pas que cette mon-naie seraréfie commeles autras et qu'une nouvelle crise surgisse. Nous avons des timbres sur la planclie et sur la pierre des litho^aphes otfiicels. Cent millions au .minimum de ces utiles figurines sor-tent chaque mois des presses: la Mon-naie, malgré d'indéniables progrès, ne saurait prétendre à de tels tirages.

Le timbre—poste a donc résolu pro-visoirement, la crise de la monnaie, il l'aurarésolue définitement quand ilfera prime et que les accapareurs et les ma-niaques offiriront leur or, leur argent et leur nickel pour se le procurer.

Jacques D E I Î S A U X .

IHFORHATIOHS

L a G - c è v e d e s C b e n i i i i o t e

Les services de la Compagnie d'Orléan s nousadresselacommunicatioTi suivante:

L'Union des syndicats P.O. répand le %ract dont ci-joint copie.

Il y a lieù de fàire connaître à notre personnel et au putblîc la vérité sur la sitiisilion actuelle.

L'opposition entre les faits et les gè-nèralitéa vagues et sciemment erronées du tract ci-j oint doit permettre à tous de reconnaître où est la vérité.

De nombreuses rentrées sont signalées dans itous'les coins delà France. Le tra-fic reprend partout, ainsi qu'en témoi-gnent les chiffres suivants :

Kilomètres faits le 7-5-20 par les ma-chines des différents arrondissements :

Vtiyageurs Marchandises 1er arrondissement 1 0 . 1 2 3 18 .67 1 2e id. 5 . 1 2 1 5 .537 3e id. • 7.756 1 1 . 9 1 4 4e id. 8 . 1 8 2 1 7 . 539 5« id. 4.885 5 .843

Total, 34.326 56.888

Ce qui représente, dans l'ensemble, une proportion de ¡32 % du parcours voya-geurs et 78, 3'. o dit parcours maçchan-disés,par rapport à la situation d'avant grève.

A noter que le arrondissement (Orléans) a fait un parcours marchan-dises supérieur delO %au parcours mo-yen d'avant grève et que le 5® arrondis-sement (Nantes) a fait 80 % du parcours moveh ^ormâL

Le tract ci-j oint renouvelle le men-songe déjà pfèiîédemment lancé et qui consiste à soutenir que la grève a été le résultat du vote unanime du Congrès National.

Les chiffres qui vous ont été indiqués vous permettent de redresser cette erreur. Au' Congrès National, la motion extré-miste a été votée par: 167.037 voix, contre 147.282, et 1 3 . 5 9 3 abstentions.

D'autre part, les décisions du comité doivent, pour être valables, réunir au moins les 5/6 des délégués statuaire-ment nommés. Or, la grève actuelle a ètè votée par 28 voix conire 24,

• *

Ainsi que s'en rendent compte les nombreux agents demeurés à leur poste et la plus grande partie du personnel en grève (que-les menaces des militants re-tiennent seules loin de leur travail), le mouvement actuel, révolutionnaire, dé-clanché brutalement par les extrémistes nouvellement élus ne donnera à la clssse ouvrière aucun avantage qu'elle lie pos-sède déjà ou que les Pouvoirs Publics n'avaient déjà décidé de leur concéder.

1°. — L e ministre dès travaux pubhcs fait, depuis le mois de février, étudier un nouveau régime des chemins de fer, qui doit être soumis au Parlement à la fin du présent mois.

2°. — Les libertés syndicales ont été et seront toujours respectées par la Ce dans les conditions prescrites par la loi.

3°. — L a journée de 8 heures est ap-pliquée surle réseau et la Ce n'autorise personne a douter de la bonne foi avec laquelle elle respecte les engagements qu'elle a pris à cet égard.

4°. — Les nouvelles échelles de trai-tements établies sur la base de 3800 frs. viennent d'êtr£ réglées par la commis-sion d'arbitrage au ministère des tra-vaux publics. La grève seule a arrêté leur application qui sera faite rétroactive-ment après la reprise du travail,

5°. — Le statut du personnel établi par la même commission, va être mis en application incessammeut et il sera pro-cédé sous peu, aux élections prévues pour la représentation du personnel.

* » »

Nous avons demandé à un haut

fonctionnaire delaCompagnie d'Orléans

ce qu'il pensait de la situation actuelle.

Voici ce qu'il nous a répondu :

Le public se rend compte que la grè-ve des chemins de fer ordonnée par la C.G.T. n'a pas eu pour effet d'entraver le ravitaillement ni d'arrêter la vie éco-mique du pays, les grèves successives ordonnées per les dirigeants de la C, G. T. pour appuyer le mouvement de grève sur les chemins de fer n'ont pas donné plus de résultats.

Néanmoins la situation actuelle n'est pas sans causer de sérieux dommages au pays. Il est temps de revenir à une situationdestransportsnon pas normale "car malheureusement une grève comme celle-ci fera sentir son action malfaisante

pendant plusieurs mois, mais à une si-tuation régulière.

Les compagnies ont montré délibé-rément la plus grande patience à l'égard des agents qui ont rompu le contrat do travail qui les unissait aux r-seaux. Certains leur reproche même tme lon-ganimité excessive. Fortes de l'appui de l'opinion publique qui vient de s'expri-mer, notamment dans les Conseils Gé-néraux, par une protestation unanime contre les entreprises révolutionnaires, fortes des encouragements qu'elles re-çoivent des agents demeurés fidèles à leur poste et qui demandent à être proté-gés elles sont résolues à ne pas prolonge r plus longtempsune situation qui trouble la vie économique du pays, à donner à leur personnel en service la sécurité du travail, en éliminant défiriitivement de leurs cadres les éléments malfaisants qui s'y étaient introduit s depuis pl usieurs mois à la faveur d'une action révolu-tionnaire préparée de longue main.

Indépendamment des révocations prononcées pour débauchage, sabotages, violences, ainsi que des révocations pro-noncées contre les grévistes qui avaient été Tobjet de mesures disciplinaires à l'occasion des grèves précédentes, les compagnies ont mis les grévistes par voie d'affichage, puis par lettres indi-viduelles, en demeura de reprendre le travail. Un certain nombre d'entre eux ont répondu à leur appel. Vis à vis de ceux qui s'obstinent, les compagnies considèrent que les liens juridiques qui les unissaient à eux sont rompus, et, d'ores et déjà, elles ont commencé à notifier leur radiation des cadres à plu-sieurs centaines d'entre eux, sans pré-judice des mesures particulières que certains réseaux ont été amenés à pren-dre, telles que la fermeture de ses grands ateliers par la Compagnie d'Orléans ?

Les agents rayés dés cadres seront remplacés par de nouveaux agents choisis parmi les très nombreux candi-dats qui sollicitent un emploi sur les réseaux.

Il va sans dire que les révocations et radiations des cadres prononcées par les réseaux sont et demeureront défini-tives.

B U L L E T I N F I N A N C I E R

Paris, 12 mai 1920.

La nouvelle détentè des changes et les nombreux ordres de ventes de pro-vince provoquent des réactions dan.s tous les compartiments Après, une ou-verture très faible, le marché se ressaisit en clôture. Londres nous envoie des cours en reprise.

Nos Rentes françaises sont fermes aiix environs des cours d'hier.

Etablissements de Crédit soutenus. B№que de Paris 1.755, Union 1.590, Bftnquc Ottomane 854.

Valeurs de navigation irrégulières, Suez 7.85o, Messageries 590, Transa-tlantique 585, affréteurs Réunis 1 3 1 0 Inprise de la Thomson à 1.13~o,

Page 2: LICHO SAUMUROIS - Château de Saumurarchives.ville-saumur.fr/_depot_amsaumur/_depot_arko/fonds/echo_saumur... · .^•ХУ!.*^* У.;!ГДУ.ГТ1.' '.T 'ПИШ. И TS'^'Aniiée —

-f.. -, »i.

Cuprifères lourdes,"Rio 2.035, Mouté-catini 182, Tanganyika 141 ,50.

Industrielles russes faibles, Maphto 700, Lianosoff 665, North Caucascan 1 1 2 , Bakou 4.395.

Les pétrohféres sont do nouveau réa-lisées, Mexican Eagle 570, Royal Dutch 55.200, Shell617, Omnium des pétroles 2.700. L a de Beers réactionne violam-ment à 1.300 pour reprendre à 1 .335 .

Mines d'or plus résistantes, Rand ¡\lines 162, Goldfields 92. |

En valeurs diverses, l'Alsacienne de t produits chimiques est soutenue à 497, I Bandama 215, Phosphates du M'/aita 1.040. Sucreries d'Egypte mieux à 1.050 Kulmann 1635, Ciments de Scstao 167.

ClONiQDELO ET RÉGIONALE

FÊTE DE JEANNE D'ARC

Voici le programme de la fête reli-gieuse à l'église Saint Pierre :

Le matin, à 1 1 h 1 4, Messe solen-nelle. A Jeanne d'Arc, chœur. Rnhinslan, mélodie, violon et orgue. iVière(Danela),

violon et orgue. Panis \ «geZicus(Franck) chant et orgue.

Allocution par M. le chanoine Cros-nier, vice recteur des Facultés catho-liques d'Angers.

Le soir, à 17 h. 1 2 : A VEtendard, cantate. Panégyrique de sainte Jeanne d'Arc,

par M. le chanoine Crosnier.

Salut solennel, par la chorale du

Cercle catholique de Sa:int Pierre.

Panis 1 ngelicus (Casciolini) A re Maria

(Gounod). Christus Vincit.

Nous sommes certains que nos con-citoyens, toujours unanimes dans le patriotique devoir, ne manqueront pas de s'associer à la manifestation en pa-voisant et en décorant leurs demeures.

VILLE DE SAUMUR

Concours d Athlétisme du 16 Mai

3me Liste de Prix lîaron de Grandmaison, Député de

Miiine-et-Loire, 100 francs. Ville (lè Saumur, 100 fr. M. le G<''neral Thareau, une médaille

d'argent et 2 médailles de bronze. Fédération Gymnastique et Sportive

des Patronages de France, 4 médailles dargent.

Le Petit Journal, une médaille argent. .tournai L'Auto, une breloque argent. Syndicat des Commerçants de Siuimur,

encrier bronze. M. Merle, une épingle de cravate et

(•> verres ù licjutjur argent. Nouvelles Galeries, un bronze. Restaurant Molière, 20 fr. Anonyme, 5 fr. Anonyme, 6 l'r. M. TUoreau,-20 fr. ' M. Marquis, un plateau onyx el bronze. M. Cloqucmin, une coupe porcelaine de

sèvres. j\L Achille Girard, un cachepot. M. GoubarcI,Directeur de/.o Petite. Loire,

un buste en terre cuite. I .e Gomiti' de la Jeanne-d'Arc, un lironze. M. Dézé, un agenila et papier à lettres. .Mlles Lecnit, un fume-cigarette eu

écume. .M. Pain, nu flacon extrait odeur. M. Tessier, 2 bouteilles vins fins. (.'.afé des Arts, 2 bouteilles Champagne. M. et Mme Vendrody, uu buste" en

toi're culte et 10 l'nincs. M. Baibereau, une statuette bronze. M. Pelcerf, cuillers et assielte é'ain. M. Léon Boutin, un panier de C h a m -

pagne. . . Le Président du Comité d'organisation

adresse de nouveau à tous les donateujs quixint répondu à son appel avec tant d'empressement et de générosité, ses remerciements les plus reconnaissants et prient d'excuser ' les omissions involon-taires qui auraient pu se glisser dans ces longues listes.

Eliminatoires Les Eliminatoires, réunion privée, com-

menceront à 8 heures très précises afin de permettre la distribution des.numéros, le classement des Socié'és, de donner à chaque équipe l'horaire qui devra être suivi de la façon la plus stncle ainsi que les instrucrioris et explications néces" saires, les concurients prenant part aux épreuves devront être- présents- sur le Stade, dès Tlieures.

Seuls, Messieurs les Officiers de l'Ecole de Cavalerie et leur famille, les porteurs de cartes d'invitation, Messieurs les Diri-geants et Membres des Sociétés de Gym-nastique auront accès dans la carrière d'Iéna.

A onze heures et quart, une Messe en musique à laquelle des places spéciales seront réservées aux jeunes gens des Socié-tés catholiques, sera célébrée en l'Eglise Saint-Pierre.

Fête Publ ique La fête publique, comprenant les épreu-

ves individuelles pour les concurrents ayant réalisé les meilleures performances dansles éliminatoires de lamatinée,le3 fi-nales des courses, les courses de relai, les attractions diverses, combats à la baïon-nette, équilibres, boxe-, démonstration ae lancers du disque, de la grenade, du jave-let, etc, commencera à 2 heures très pré-cises.

Elle sera immédiatement suivie de la Distribution des prix aux vainqueurs, sur le stade môme.

La Musiqne Municipale, sous l'habile Direction de Monsieur Messageot, appor-tera son concours et contribuera à l'éclat de la Fête.

L'entrée du Concours est entièrement gratuite.

Un programme très détaillé, contenant la nomenclature des diverses Sociétés, les noms el numéros des concurrents,la cou-leur des maillots èstabsolument'ndispen-sable pour suivre les épreuves, sera mis en vente pour le prix très modique de 0 fr. 50. 11 sera en même temps un souve-nir de cette Fete.

L'entrée des cartes se fera par la grille d'honneur;

L'entrée du public par la rue d'Alsace. Les Sociétés auront accès au Stade, par

la grille du corps de garde. Messieurs les Membres du Comité de la

Jeanne d'Arc prient toutes les personnes qui se sont mises à leur disposition avec tant de bienveillance pour l'organisation de ce concours et qu'ils ont su leurrendre si facile, d'agréer l'expression de leur gra-titude.

Ils adressent en particulier à la Muni-cipalité de Saumur, à M. le général Thu-reau ainsi qu'à MM. les Ofiieiers efSous-Officiers membres du Comité, leurs plus vifs remerciements.

CARNET DE NAISSANCE

Nous apprenons avec plaisir que la jeune femme de notre compatriote, M. Jules Ragain, président de l'Union des Com-battants (section de Saint-Lambert), vient de mettre heureusement au monde une fille qui reçut les prénoms de Marie-Thérèse.

A ROME

Parmi les personnages officiels du département qui accompagnent à Rome M. Hanotaux, le "représentant du gou-vernement de la Répilbhqne aux fêtes de béatification de Jeanne d' Arc, figure M. de Grandmaison, député.

CONCOURS POUR 20 EMPLOIS DE VERIFICATEUR-ADJOINT DES POIDS

ET MESURES.

AVIS Un Concours pour 20 emplois de vérifi-

cateur-adjoint des Poids et Mesures sera ouvert le 8 novembre 1920.

Le programme du concours et le texte des conditions d'admissibilité sont dépo-sés à la Préfecture (2® Division) où les intéressés pourront en prendre connais-sance.

A titre transitoire, la limite d'âge ma-ximum de 29 ans est élevée, pour les mo-bilisés d'une durée égale à celle de leurs services militaires. La limite minimum de 22 ans est abaissée, pendant une durée de T) ans, à 21 ans.

Les demandes d'admission au concours seront reçues au Ministère du Commerce et de l'Industrie (.Direction du Personnel de rivKpansion commerciale et du Crédit), rue de Grenelle, n° 1920 au plus tard.

MM. les Maires sont priés de vouloir bien donner la plus grande publicité au présent avis.

Les Courses de Verrie Les Courses de Verrie ont retrouvé

tout leur éclat d'antan. Malgré une

petite pluie, une nombreuse assistance

s'y était rendue. M. le Général com-

mandant l'École de Cavalerie, le colonel

Meyer, M. le sous-préfet et M. le maire

de Saumur honoraient cette première

réunion.

Les cinq épreuves ont été disputées

par de nombreux partants.

Deux chutes sans gravité.

Ci-après les résultats de la journée :

Prix du Château de BeauHeu(Steeple-Chase), 475 fr. offerts par MM. Gratien et Meyer. Neuf engagés, sept partants. 1er Poirier, monté par M. d'ideville, une tête. 2e Desman, monté par M. Joffrineau. 3e Daneff, monté par M. Salmont. 4e L a Gaillardière , montée par M. Taton.

Pari mutuel, gagnant 1 4 fr., placés 8 fr. et 1 0 fr .

le ' Prix de la Société sportive d'en-couragement, cross-country mihtaire (l' e catégorie ofTiciers) 1000 fr. offerts par la Société sportive d'encourage-ment. Quatorze engagés, sept partants. Ire Lutine, montée par M. Mussy, une encolure. 2e Lyon I I , monté par M. d'Amel. 3e Marseillaise I I , montée par M. de Viriéu. 4e- Gaillarde I I , montée par M. Sotir.

Pari mutuel, gagnant 93 fr. 50, placés 32,50 et 25 fr .

Prix deLamothe• Chandenier (steeple-chase mihtaire 2® série). Sept engagés, quatre partants. Ire L a Douze, montée par M. da Lastours , deux longueurs. 2e Romilly, monté par M. Fustier. 3e Nestor V I I 1/2 sang , monté par M. Bellut. 4e Reine Péhssier, montée par M. Marion. Elianette et Indiana tombées.

Par i mutuel, gagnant 25,50, placés 13,50 et 14,50.

2 e Prix de la Société sportive d'Encouragement, cross - country de cavaleie. 1000 fr. offerts par la Société sportive d'Encouragement. Six engagés cinq partants. 1er Innocent I I I , monté par M. Schmeltz, 2 longueurs et demie, 2e L a Brise I I 1/2 sang, montée par M. Richano, 3e Perette V I 1/2 sang, montée par M. Decourt. Naïade VI dérobée, Mirella tombée.

Pari mutuel , gagnant 22 fr., placés 9,50, 9 fr.

Prix de Saumur (Steeple-Chase mixte). 1500 francs offerts par la Ville de Saumur. Trois engagés trois partants. 1er Maroc V I I I à M. W a l l o n , deux longueurs, 2e Quadrature, à M. A. Ber-gès, Pléin-Air arrêté.

Pari mutuel, gagnant 1 1 fr .

Fêtes et Assemblées

L'Assemblée annuelle de St-Hilaire-

St-Florent se tiendra demain dimanche

1 5 mai, au bourg de cette commune-

La Ligue Françalte Journée Nationale des Mères

de Familles nombreuses. Dès lundi nous avons tenu à fau^e

savoir quel avait été le succès de la journée, grâce à la coopération de toutes les bonnes volontés et à [ la générosité habituelle de la population saumuroise..

Tout le monde a compris qu'il y avait là non seulement ime bonne œuvre à faire, mais, aussi un grand devoir pa-triotique à remplir.

Aussi les appuis ne nous ont-ils pas fait défaut et avons-nous plaisir à les rappeler.

M. le Sous-Préfet et M. le Maire, ainsi que M. le général Thureau, nous ont accordé leur patronage, Messieurs les Curés et M. le Pasteur ont bien voulu recommander notre œuvre. Notre presse locale, toujours si dévouée aux intérêts de la petite et de la grande patrie , s 'y est vivemeut intéressée. Mesdames les Directrices et Messieurs les Directeurs de nos maisons d'éduca-tion se sont attachés à nous rendre l'organisation plus facile et plus efficace Enfin nos dévouées et charmantes quê-teuses , sous l 'active et intelligente impulsion de Mme et de M. Labeille, ont dignement couronné le travail préparatoire en obtenant les résultats les plus satisfaisants.

Ce sont Mlles Suzanne Renou et Jeanne Machet, de l'école primaire de la rue du Prêche.

Lucienne Giraud et Marcelle Gandar, de l'école primaire de la rue Cendrière.

Madeleine Lecomte et Renée Tran-chet, de l'école primaire des Ponts.

Simone Robert et Hélène Valetaud, Marcelle Ravaud et Marthe Grégoire, Marie Lavolée et Simone Lieutaud, Hélène Ravaud et Renée Rauch, Lu-cienne Ravaud et Alice Grégoire, Dutasta, Gamin et Coutaut , Yvonne Covary et Marthe Valetaud, Jeanne Grégoire et Georgette David, Odette Muret, François et Lucienne Dauzon, anciennes élèves et élèves du collège de Jeunes filles.

Bouteloup et P e t i t , Baudriller et ; Goulet, du Cours D acier.

Paule Pelou, do l'Institution Saint-( André.

Une collecté fructueuse a également été faite près des pensionnaires du Cours Dacier, de l'Institution St-Louis,

. des collèges des Garçons et des Jeunes Filles.

A l 'École de Cavalario, les jeunes Claude Bihermand et Raymond Labeille,

\ 8 ans et 7 ans, ont été fort bien ac-f cueillis. Dans l'après-midi, ils ont con-

tinué leur collecte en ville, accompagnés d'une petite quêteuse de 4 ans, Jeanne Labeille.

On se fera facilement une idée du ^ succès des quêteuses et des éloges I qu'elles méritent quand nous aurons j dit que le produit de leur collecte a

dépassé 1300 francs. Le Comité Saumurois de la Ligue

française est heureux d'adresser à tous ses remerciements les plus sincères en

j son nom et au nom des promoteurs de I la journée nationale qui verront ainsi

leurs intentions si louables pleinement réalisées.

Il ne s'agit pas seulement en effet d'honorer les grandes familles, d'offrir des récompenses aux plus nombreuses et plus méritantes, de réserver l'hon-neur de la maternité qui est la force des peuples, d'obtenir du Pariement les lois nécessaires au développement de la race, il s'agit encore de montrer au monde que la France est décidée à vaincre dans la lutte pour la vie, par ses enfants comme elle a vaincu sur les champs de bataille. .

Un tel but mérite le concours de

ous les bons Français. Bientôt aura lieu la deuxième partie

de la fête et le Comité de la Ligue française ne manquera pas de tenir la population Saumuroise au conrant dos dispositions qui auront été jirisos à ce sujet dans la France entière.

En attendant et pour compléter les résultats si excellents de dimanche dernier le Comité se propose, avec l'autorisation des Autorités et sur la demande même des quêteuses d'offrir dimanche prochain au public les der-niers insignes ainsi que quelques fleurs. Nous sommes assurés d'avance que les Saumurois feront à nos aimables bouquetières le même accueil bienveil-lant et généreux.

Pour le Comité ; Le président

A . AGOULON. «

* •

Les familles ayant au moins HUIT

E N F A N T S , les morts pour la PATRIE

comptant comme s'ils étaient vivants,

sont priés de se faire connaître le plus

tôt possible à la M A I R I E .

A V I S L a Compagnie d'Orléans invite une

dernière fois les agents grévistes à reprendre le travail immédiatement.

Avis est donné que les radiations de cadres et congédiements prononcés seront définitivement maintenus ; il en sera de même de ceux qui pourront encore intervenir.

Quant aux autres mesures discipli-naires qui seront prononcées contre tous les agents grévistes, elles seront d'autant plus graves que la durée de l'absence aura été plus longue.

Paris, le 1 3 mai 1920.

Le Directeur de la Compagnie,

A. MANGE.

Eco e de Vit icuhrô de Sai et du D é p a i t e i n t de Maine-eMoire Samedi dernier, un nombreux audi-

toire remplissait à 2 heures la salle de la jolie construction Louis X I V où se doniïent les cours de l'École de Viti-culture de Saumur.

Aux auditeurs de la. première réunion s'en étaient joints quelques autres ve-nus pour entendre la magistrale leçon de M. E . Vinet, sur les maladies cryp-togamiques cl^ la Vigne et les traite-ments à leur opposer.

M. le Maire avait bien voulu donner une nouvelle preuve de sa bienveillance envers l 'École en assistant à cette belle séance.

E n un langage très précis et très clair. M. Vuiet a fait im exposé rapide mais suffisant de la nature, de l'évolu-tion des deux principales maladies cryptogamiques, qui cette année sans doute, comme les. précédentes, mena-ceront la santé du vignoble saumurois.

Après son excellent exposé, M. Le-page a repris son cours pratique de greffage et constaté avec plaisir la réelle habileté à laquelle sont déjà arrivés la plupart de ses jeunes et zélés auditeurs.

Il se forme ainsi une pépinière de greffeurs qui donne les plus belles espé-rances pour l'entretien, la reconstitution et l 'avenir du vignoble saumurois.

Samedi, 15 Mai, à 2 heures. — 1. « Les V ns du Sauniurois et leur vinification » par M. L. Moreau, Directeur de la Station cèno-

_ logique de Maine et Loire. 2. — Cours pratique de greffage, par M.

Lepage.

Tous les viticulteurs professionnels du Saumurois çt toutes les personnes, hommes et dames, qui s'intéressent aux choses de la Viticulture, sont invités à assister à ces Le' çons et Cours pratiques.

Page 3: LICHO SAUMUROIS - Château de Saumurarchives.ville-saumur.fr/_depot_amsaumur/_depot_arko/fonds/echo_saumur... · .^•ХУ!.*^* У.;!ГДУ.ГТ1.' '.T 'ПИШ. И TS'^'Aniiée —

L'entrée y est gratiiile. -Cliacun est prié d'apporter un instrunnent

liés coupant, serpelle ou couteau à giefTer Les bois nécessaires à l'opéralion du gref-

lage seion' f o u r n i s par l'Ecole de Viticulture

D^ P. MAISONNEUVE. Directeur de l'Ecole de Viticulture.

l.uhonJancc des matières mus oblige à rmetlrc au prochain numéro noire irèx intéressant ¡euilklnn.

Etat'Civiî de Saumur

N A I S S A N C E S

Le 1 2 mai. — Marcel Lihoreau, à

l'hôpital. Le 1 4 . — Robert Avri l , à l 'hôpital.

P U B L I C A T I O N S D E M A R I A G E S

Louis Subilleau, secrétaire à l 'École de

Cavalerie, rue de la Maremaillette, 1 5 ,

et Lœtitia Bertin, rue Bail lé, 1 5 , tous

deux à Saumur.

Alphonse Mée, camionneur à Saûmur,

et Madeleine Ory, sans profession à St-

Lambert-dos-Levées.

Joseph Ahx , garde des eaux et forêts

à Saumur, et Berthe La lys . cuisinière à

l'iumeiec (Morbihan) .

MauriceTessier,horticulteuràSaumur

40, route de Varrains, et Marie Toussaint

couturière à Asnières, 97, avenue de la

Marne.

Ange Besnard, employé de cheihin de

fer à Vezins (Ile-et-Vilaine) et Ltuise

Monestier, couturière, rue Pascal , 10 .

Paul Le Gai, vétérinaire aide-maj or de

classe à Lcrient, et Emiiié Richard,

sans profession à Saumur, rue du Petit-

Pré.

D É C È S

Le 1 2 . — Marie-Louise Goislard, veuve

Laporte, 94 ans, sans profession, riie

Jules-Ferry, 14 .

Le 1 3 . — Augustine-Rose Aubineau,

veuve Lair , 8 1 ans, sans profession, à

l'hospice.

Faits de la Région LÎOXNE CAPTURE

Après de nombrcuHos recherches et pérégrinations, la Justice vient de mettre en lieu sûr un nommé Antier, véritable escroc de marque dont les agissements furent assez nombreux dans le Saumurois.

Antier avait été du reste récemment condamné ici, pour escroquerie au pré-judice d'une dame Tizon, rue Molière.

C'est à Beaupréau quele trop fameux Antier fut arrêté par un inspecteur de la brigade mobile.

L'escroc est réclamé par plusieurs Parquets ; à Saumur, il répondra d'es-croqueries au préjudice des Maisons de Vins Mousseux de St-Florent, d'où, il avait réussi à faire expédier des mar-chandises sur divers points. Il prenait livraison en gare et revendait aussitôt.

VOR. DE RÉCOLTES

Enquête sur la plainte du Docteur

Mangardupue, de Thouarcé, dont la

propriété a été visitée par des m a r a u -

deurs qui firent main-basse sur des ar-

tichauts et diverts autres légumes.

LNTEMPÉRANGE

Contravention à Chauveau, domesti-

que à la Plaine, pour ivresse manifeste

sur la voie publique de Vihiers.

POLICE DES CAFES

Contravention aussi à M. Gaschet,

aubergiste à Vihiers, dans l 'étabhsse-

duquel le contrevenant ci-dessus avait

pris sa « cuite » .

EXPOSITION de Hijovx de Mariage

BilOüterie G. Q u a n t i t é d e B a g u e s

d e F i a n ç a i l l e s .

48 , rue St-Jean, 4 8 (TEL Ъ 15) S A X J l V t U R

Class^meat des Chevaux et des Voitures en 1 9 2 0

L e maire de Saumur informe les

propriétaires,qu'ils doivent faire d 'ur-

gence, la déclaration au bureau.Militaire

de la Mairie de Saumur de tous leurs

chevaux ( classés, réformés ou non ) et

de toutes leurs voitures attelées servant

au transport ; qu'ils doivent se confor-

mer aux instructions deasfiiches con-.

cernant le classement en 1920.

L a commission de classement n" 26

procédera pour Saumur Ville, sur la

place du Champ de Foire le vendredi

14 mai 1920, à 7 et 1 4 heures.

Interdiction de la vente des Bib .rons à tuba

L e Maire a l'honneur de rappeler les prescriptions des articles 1 « et 3 de la loi du 6 aotit 1 9 1 0 :

Article premier. — L a vente, la mise

en vente, l'exposition et l 'importation

des biberons à tube, sont interdits.

Article 3 . — Toute infraction aux

dispositions de la présente loi est punie

d'une amende de 25 à 100 francs, et en

cas de récidive, d'un emprisonnement

dehuit joursàun mois.L'article 463 du

Code pénal est apphcable. Dans tous

les cas, les Tribunaux pourront pronon-

cer la confiscation des biberons à tube

saisis en contravention.

Caisse d'épargné de Saumur Séances des 6 S et 9 Mai 1920

Sous la présidence de MM. Barbereau, Florlss^on et de Lavaldle.

Versements de 70 déposints, 9 nouveaux. 5 i , 0 6 9 f r .

Remboursements : 31, 305 fr. LA CAISSE PAIE 3 . 7 5 POUR CENT.

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mensuelle internationole, Paris Londres

N e w - Y o r k , 4, avenue de l'Opéra ,

'.Paris I. Directeur Rédacteur en chef,

Ebed van der Vlugt. Secrétaire général,

Gustave-Louis Tautain.

Abonnements : Franco; uu an 30 fr .

six mois 16 fr. 50. Etranger , un an

40 fr., six mois 19 fr. Le numéro 3 fr. * *

L a R E V U E D E L ' A N J O U , fondée

en 1 8 5 2 , publication angevine par

excellence, pubhe : Angers et l 'Anjou

pendant la guerre ; des épisodes et

récits de guerre ; des 1 ravaux histori-

ques, littéraires et scientifique» ; des

chroniques artistiques, historiques, ht-

téraires.

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L e s S P E C T A C L E S

Thf'âtre de Saumur

Mercredi 19 Mai, la charmante opé-rette de Louis Varney, les MOUSQUE-T A I R E S A U C O U V E N T , sera donnée avec le concours des principaux artistes de théâtre de la Gaité-Lyrique, Melles Bouland, Bar ly , Lecomte, Homberg, Ferahx , M^ie Féraud, S toraBuye l , Tai-ller, et le baryton Duclos dont la voix passe pour être une des plus belles du moment-

Orchestre composé des solistes des concerts populaires d'Angers et choeurs sous la direction de M. Schuyer.

Cinéina G-umont Kiille C a r n u l . <|<inl Car i iot

Samedi i.') Mai Dimanche m )lai soii'écs à 's h 30

C A U M OiN T - A CT U A L1 ri-:S.

En Cihcie Adonna, (panorama)

Un spectacle qui sera goûté :

L E T A L f ô M A N Drame en cinq parties de la célèbre

P ar amon t - Pic tu r es.

B A R R A B A S 7«' épisode. — Les Ailes de Satan,

Cet épisode sera remarquable par les prouesses d'un aviateur.

L a molaire enragée, (dessins animés).

P R O C H A I N E M E N T Reprise des Matinées.

SALLE des FETES DU MAR' H t ' a i \ E ß T Place Saint- Pierre

CINÉMA SAUMUROIS Sa nedi 15 Mai, d 8 h. I ß

Dimanche iO, à S h. ¡¡<2 el à S h. 1/2

TRAVAIL 5-Epoque: LA J U S T I C E

Le FILSleTa NÜIT £/V CEUX PARTIES

I h E p i s o d e : L e P l o n g e o n de la M o r t

L U I . . , . , dans I n s t i t u t d e B e a u t é , comique

P a t i n é - R e v u e L e « M i m o s a P i i d i c a » . - Le petit t racteur icMercury»

Mervei l leux c o l o r i s : T o u t le long du Vén'éon Les Sonneurs de la Giralda

La Vie sur les A é r o d r o m e s . — L e Cindma ra lent i . Et Deux Minutes de . fou r ire.

É C L A I R - J O U R N A L . [Actualités).

Principaux morceaux qui seront exé-cutés par l'Orchestre Géo Leblanc, à la Matinée du Dimanche i6 Mai,à 3h. 1/2, au CINÉMA SAUMUROIS :

G rande marche triomphale.—Grande marche royale— Les Saltimbanques.— Mme. Butterf ly fantaisie 4 parties.— Floraison, air de ballet.— Les succès actuels de Paris : My Love, Sur un air américain. Dansez-vous le Fox-trot?, Enigme, la valse à la mode, etc. etc.

Etudes de: l» M« Raoul BAUCHARD, Docteur en droit, avoué à Saumur, rue du Marché-Noir, n» 12, succes-seur de M* V. LE RAY ;

2» M« COURAULT, Notaire, place de la Bilange, à Saumur.

K a r L ' c a a i l o n

A U X E N C H È R E S P U B L I Q U E S ,

EN QUATOI.ZE LOTS

D ' U N E M A I S O i N \î Pièces de Terre e l un Bols

Sis communes de VHk.hernùr de, Varennes sur Lo\re des Ho icrs cl de Gennes

L'ADJUDICAIION aura Heu le Sa-medi Pi Juin 1920, à 2 heures de l'après-midi, en l'étude et pa r l e ministère de M<= Courault, notaire à Saumur, commis à cet effet.

On fait savoir à tous ceux qu'il ap-partiendra qu'aux requêtes, poursuites tt dilii^tnces de :

1» M. Louis - François Ragneau , coitTeur, demeurant à Savigny-sur-Orge (Seine-et-Oise) ;

2" Mme Marguerite Vibrotte, jour-nalière à la Plainc-St-Denis, avenue du Président-Wilson, n» 65, veuve de <le M. Henri-Auguste Ragneau,

Demandeurs comparant et concluant par M® Bauchard, leur avoué consti-tué,

D'une part. Contre : M. Louis Besnard, vétéri-

naire, de . eurant à Gennes, pris tn qualité de subrogé-tuteur du mineur l^oger-Henri-Albert Ragneau, fils de

Heiih-Auguste Rrtfiiieau, décédé, inort pour la France, le 6 mars 1018,

et de Mme Marguerite Vibrotte, veuve dudit Henri Ragneau, fonction à la-quelle il a été nommé après délibéra-tion du cons il de famille dudit mi-neur, tenu sous la présidence de M. le juge de paix deSt-Dt nis, le 26 février 1919.

Défendeur comparant et concluant par M® Boisseau, son avoué constitué,

D'autre part. En présence ou lui dûment appelé

de M. Charles Vibrotte, voyageur de commerce , demeurant à Paris , 157, rue du Faubourg-St-Denis, pris en qualité de subrogé-tuteur ad hoc du mineur Roger Ragneau sus-nommé, fonction à laquelle il a été nommé, suivant délibèiation du conseil de fa-mille dudit mineur, tenu sous lu pré-sidence de M le juge de pai.x de St-Denis, le 26 février 1919,

Il iera procédé, le samedi douze juin mil neuf cent vingt, à quatorze heures, en l'étude et par le mmislèie de M® Courault, notaire à Saumur, à ces fins commis, à l'adjudication aux enchères publitjues, des immeubles ci-après désignés :

C o m m u n e d e V i l l e b e r n i e r Premier Lot.

Une MAISON , située au bourg de Villebernier, comprenant: au rez de-chaussée, une cuisine donnant sur la route, deux chambres derrière et sur le côté. Grenier au-dessus . Le tout carrelé.

Une cave voûtée en dessous Uu cellier carrelé, auquel on accède par une rampe dépendant de la maison.

Une boulangerie. Water-closets. Poulailler et cabanes à l apins . . Jardin clos derrière.

Le tout joignant au levant M. Té-nier (mur mitoyen entre), au midi la route et au couchant M- Vogondy, li-gurânt au cadastre sous les numéros 1323 ^t 132:{p de la section B pour une ccnteuance de 3 a res 81 centiares.

Miseá prix 3,500 fiv.

Deuxième Lot. 44 ares de '1E[\RE, aux Aulnaies,

en deux parcelles, séparées par un chemin d'exploitation, la première de 33 ares environ joignant au nord un chemin d'exploiiation, au levant M. Poucin, au midi un chemin et au cou-chant M. Harrault; la deuxième de 11 ares environ, joignant au nord M. Hermé,au levant M.Beneston,au midi un chemin d'exploitation et au cou-chant MM. Fus lier et Guillon.

Mise à prix 1,600 fr. Troisième Lot.

16 ares 50 centiares de TERRE, situés à la Prée-de-Monsoreau, joignant au nord le chemin de Villebernier. au levant M EpagnHul,au midi M. Rous-seau et au couchant M. Revôche. Ca-dastrés n" 91 section B, I our 16 ares.

Mise à Prix 300 fr. Quatrième Lot.

11 ares de TERRE,aux Cl.iyes, joi-gnant au nord M. Delalande, au levant M. Mary, au midi M. Poucin et au couchant M. Vogondy. Cadastrés n» 458P section В pour 13 ares.

Mise à Prix 450 fr . Cinquième Lot.

75 ares 31 centiares de TERRE, au Champ-Râleau, joignant au nord M Magaud, fermier, au midi la ligne du chemin de fer des Américains, au le-vant un chemin et au couchant M. Tranchant. Cadastrés nos 183 à 188 de la section В pour une contfnànce de 74 ares.

Mise à Prix. 1.300 fr. Sixième Lot.

52 ares de TERRE, au Champ-Chauveau, joignant au levant et au couchant M. Courtillère ou représen-tants, au midi la hgnc du chemin de fer et au nord M. Bouvet. Cadastrés n" 237 et 292P section В pour 52 ares 10-centiares.

Mise à prix 900 fr.

Septième Lot. 1 heclare 26 ares 95 centiares de

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12 ares 45 centiares de TERRE, au même lieu ou les Aulnaies, joignant au levant Mme Ricliard el au midi le lot ci-dessus. Cadastrés sous le n° 8U3 de la Section IJ pour 12 ares 60 cen-tiares.

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61 ares 10 centiares environ de TERRE, au Pré-aux-Moines, figurant au plan cadastral sous le n° 341 de la section H pour une contenance de 64 ares 99 centiares, joignant au nord Mme Delaporte, au midi le chemin latéral au chemin de fer de la ligne de

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16 ares 50 centiares de TERRE, à la Grande-Prairie, cadastrés fcous les nos 595p et 596p de la sectioii F pour une contenance de 22 ares 25 cen-tiares, joignant au levant Mme Bes-nard el au couchant M. Cyprien Bes-nard.

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B. — Tours, Villandry , Azay-le-Rideau , Chinon, Ussé, Langeais, Cinq-Mars, Luynes, Tours. Prix par place : 35 fr. Départ à 9 h. Retour vers 18 h. 30.

G. — Tours, Chenonceaux (par la vallée du Cher), Amboise (par la pagode de Ghan-teloup). Tours. Prix par place : 25 fr. Départ à 1 3 h. Retour vers 18 h. 30.

D, — Tours, Villandry, Azay-le-Rideau, ^Langeais, Cinq-Mars, Luynes, Tours. Prix

par place : 20 fr. Départ à 1 3 h. Retour veis 18 h. 30.

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