Les pertes, les deuils et le chagrin. [email protected] WWW.centre - aide---psychotherapie.ca 1 Georges L. Beauchamp B.A.Psy; B.A.Soc. M.S.s. Directeur Centre de Relation d’Aide Psychosociale et Spirituelle Travailleur social & Psychothérapeute 96B St-Onge Gatineau Québec J8Y 5V2 819.770.0549
Les pertes, les deuils et le chagrin. Georges L. Beauchamp B.A.Psy; B.A.Soc. M.S.s. Directeur Centre de Relation d’Aide Psychosociale et Spirituelle Travailleur social & Psychothérapeute 96B St-Onge Gatineau Québec J8Y 5V2 819.770.0549. Programmation du jour. - PowerPoint PPT Presentation
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Directeur Centre de Relation d’Aide Psychosociale et
Spirituelle
Travailleur social & Psychothérapeute96B St-Onge Gatineau Québec J8Y 5V2
819.770.0549
Programmation du jour
Mes attentes ? J’arrive comment ? Dans quel état? Définitions du deuil, des pertes, du chagrin. Exercice : prendre conscience de ses 5 pertes et de ses
deuils «Ma fleur à cinq pétales». Les auteurs Ross, Monbourquette, Régnier, Walsh, Worden. Les étapes du deuil à partir des différents auteurs Le modèle de Grant et l’intelligence émotionnelle de Daniel
Goleman Se prendre en main Exercices pratiques (les deux objets) pour accueillir son
Ma perception de la «perte», dépend de nombreux facteurs propres à un individu:
1) Mes besoins fondamentaux,2) Ma perception de l’évènement,3) Ma capacité à maîtriser la situation,4) Mes valeurs,5) Mes attentes,6) Ma culture,7) Mon bagage héréditaire,8) Ma vie spirituelle,9) Ma capacité d’adaptation,10)Mon réseau social de soutien et familial11)Ma sensibilité au changement 12)Mon cheminement personnel et mon intégration.
Définition : le deuil et la perte = un stress d’adaptation important et un ajustement non négligeable dans ma vie par la suite.
Définition : une douleur - vient du mot : lat. Dolus, de colère, souffrir, Affliction, tristesse que l’on éprouve suite à la mort d’un être cher.
Perte : il existe différentes pertes par exemple: perte d’un travail, un divorce/séparation etc.
Un état d’alerte et d’alarme qui affecte toute la personne entière le bio-psycho-social et spirituel;
Un processus d’adaptation qui dépasse parfois la compréhension de l’individu
La perte est perçu comme une menace à l’intégrité; Un fardeau à porter qui cause à long terme des maladies
physiologiques et des troubles pathologique et psychologiques;
Un mal d’être et de vivre; Ne pas être bien dans tout son être; Un état «figé» dans une des étapes; Sur l’échelle du stress on retrouve la cote de 100%.
Tous les humains vont vivre une perte ou un deuil à un moment donné dans leur vie, – relié à un décès ou à une perte quelconque.
Définitions pratiques:
Exemples de pertes : d’un être cher, d’un emploi, d’un partenaire, d’un animal, d’un rêve, d’un projet longuement caressé, etc.
Chagrin: ce qu’on ressent lorsque l’on perd un être cher, un… Période de deuil: l’expérience que l’on vit durant l’adaptation à la perte d’un être cher,
d’un… Certains auteurs explicite que le processus du deuil est variable dans ce sens: qu’il peut prendre toute une vie. Mais il existe une distinction à faire entre un deuil sain vs un deuil malsain et/ou pathologique.
Deuil: le manque, le vide que produit la «perte» à laquelle on essaie de s’ajuster et de s’adapter.
Première étape : à l’aide du modèle de la fleur, inscrivez vos cinq pertes les plus significatives c’est-à-dire: les deuils actuellement vécu dans votre vie.
Dans un deuxième temps, indiquez dans chacun des pétales de la fleur, le nom de la personne, de l’évènement qui vous est arrivé et indiquez votre degré de deuil sur une échelle de 0 à 10. (0 = j’ai fait mon deuil et j’ai passé à d’autres choses, tandis que 10 représente ceci : je suis dans ma souffrance et mon chagrin extrême).
Dans un troisième temps indiquez votre émotion-sentiment : tristesse, chagrin, colère, déception, etc. en utilisant la même échelle 0 à 10.
Deuil et généralités
La perte et le deuil sont différents et ce, selon les cultures les pays et les rites.
Les cultures possèdent leurs propres critères en ce qui a trait à l’expression du deuil, de son processus: qui, quand, où, comment, combien de temps et pour qui.
Notion du droit légitime au deuil – généralement familial et social: À titre d’exemple : les salons funéraires, le drapeau en berne.
Les critères et les valeurs associées aux pertes et au processus du deuil ne correspondent pas nécessairement à notre type d’attachement : Tsunamie, les évènements entourant le 11 septembre, etc.
Relation non reconnue – par exemple: séparation et divorce, non-parent(famille reconstituée), partenaire homosexuel.
Autres pertes souvent non reconnues – perte périnatale, avortement, animaux de compagnie, famille d’accueil. Exemple d’un deuil pathologique relié à l’avortement, perte des embryons, et /ou une mort-née
La personne n’est pas reconnue socialement comme endeuillée – ça fait partie des risques, soit qu’elle est très jeune ou trop vieille, qu’elle est déficiente intellectuellement.
Paradoxe – la nature même du deuil est en quelque sorte inavoué du public - dans ce sens, je peux être privé du droit à vivre mon deuil publiquement avec le support et la compassion, la sympathie et l’empathie de celui-ci.
La personne cesse d’avoir conscience de soi – la maladie d’Alzheimer, ne sais pas qui elle est ou tout simplement, ne sais qu’elle « est ».
Trouble identitaire exemple dans le changement de sexe et les opérations – faire le deuil de sa perte d’identité - amputation - La personne vit toujours mais sa personnalité sociale est visiblement différente.
Perte social – la personne vit toujours mais est socialement décédée – i.e. coma, traumatisme cérébral crânien sévère ou maladie mentale importante.
Besoin de s’adapter et de s’ajuster à sa nouvelle réalité bio-psycho-social et spirituelle
Vie avec sa « nouvelle réalité »; besoin de reconnaître ses pertes sous toutes ses angles.
Monbourquette utilisera les étapes présentées par différents auteurs pour
amener la notion suivante - un deuil n’est pas seulement reliées à perte
d’un être cher, mais également après une séparation et un divorce. Essentiellement, les mêmes étapes s’appliquent. Le choc Le déni L’expression des émotions La réalisation des tâches rattachées au deuil La découverte d’un sens relié à la perte L’échange des pardons L’héritage Célébration de la fin du deuil et de la nouvelle vie
Monbourquette fait une distinction entre un deuil, une perte significative et la gravité de la perte.
Plus la perte est grande et grave pour l’endeuillé plus le processus peut s’avérer plus intense en émotion et en croyance.
Selon l’auteur, c’est en prenant conscience de son degré d’attachement et de son investissement dans cet attachement avec cette personne, cette situation, cette activité, cet animal, cet idéal, un bien ou un objet quelconque
Qu’est-ce que la personne, l’animal et/ou l’objet perdu représentait pour moi ?
Suite : Monbourquette, Jean 2003
Réflexion – apprendre à s’accueillir dans sa réalité bio-psy social et spirituel.
1)Le choc et la dure réalité: allégorie des trois tortues;
Le choc a comme fonction d’insensibiliser ton organisme pour te permettre de mobiliser tes ressources;
Les ondes du choc- allégorie des tremblements de terre successifs après le tremblement;
2) Le déni , il s’agit d’une négation qui s’installe en nous; comme voulant me protéger de la réalité exemple: ça, ce peut pas! C’est pas possible; Il doit exister un remède, une solution; Les médecins se sont trompés, etc.
Le déni et l’espoir de guérirLes approches positivistes et le déni. Vivre une journée à la fois. Aucune réalité n’est en fait aussi terrible que sa propre crainte, sa propre angoisse, sa propre anxiété, sa propre panique.Cette étape nous prépare à nous donner du temps pour assimiler ce
qui vientd’arriver. Ce n’est pas le temps de prendre des décisions importantes dans ma
L’ultime liberté est de choisir son attitude devant sa souffrance
3) Choisir son attitude – faire des choix pour mieux vivre.
Exercice à prescrire : Faire la liste des moyens pour réduire vos frustrations; les nommer et identifier la plus difficile à vivre pour vous et par la suite se donner les pistes de solutions possibles.
Accueillir la possibilité de consulter quelqu’un en psychothérapie.
Accueillir ses sentiments de colère, de culpabilité et d’injustice, etc.4) Vivre sa colère et sa culpabilitéPourquoi moi? Pourquoi pas l’autre? Qu’est-ce que j’ai fait au bon
Dieu pour mériter ça?POURQUOI ? POURQUOI ? POURQUOI ? On cherche un coupable, une source de culpabilitéFaire la distinction entre une culpabilité saine vs malsaineExercice : Accueillir sa colère, son ressentiment, sa culpabilité, son obsession, etc. la nommer, (crier sa peine, l’assumer) l’accueillir, la visiter, et la canaliser, écrire une lettre à soi à l’autre découvrir sa souffrance l’apprivoiser, la digérer. Apprendre à gérer sa colère, sa culpabilité, ses erreurs et ses échecs. Se pardonner d’être humain.
Mettre de l’ordre dans mes affairesPlanifier ses dernières volontésApprivoiser la mortFaire la relecture de sa vieExercice : La ligne de sa vie. 10 -20 -30- 40-
– Freud (1917) , les gens qui ont perdu un être cher doivent passer à travers l’épreuve en se détachant émotionnellement du défunt.
- Lindemann fait suite à Freud en (1944) avec la notion qu’une saine résolution du processus au deuil – c’est pratiquement de confronter la réalité de la perte et de couper tous les liens avec le défunt – ainsi permettant l’établissement de nouvelles relations interpersonnelles plus saines.
Le deuil selon Walsh et McGoldrick; Living beyond Loss (1991)
Walsh Froma et McGoldrick Monica (1991) ces auteurs abordent la notion du
Deuil dans la famille, c’est-à-dire les aspects relationnels du deuil familial et
des impacts sur soi et sur les membres de sa famille.
Partage des sentiments de la tristesse ,de la souffrance et du chagrin
Participation de la famille dans les rituels du deuil
Exprimer ses émotions et des sentiments
Communication ouverte
Les auteurs se base sur le modèle systémique de Virginia Satir : Pour retrouver l’harmonie familiale dans sa section: Systèmes ouverts vs systèmes fermés. Le but est de maintenir l’équilibre fonctionnel de lafamille comme système ouvert, souple et flexible pour mieux s’ajuster et s’adapter à la perte familiale.
De plus en plus, notre société industrialisée et informatisée tente de banaliser en quelque sorte les anciens rituels en général et leur importance.
La conséquence : on ne s’arrête plus pour se donner un moment et une invitation pour faire son rituel pour laisser aller et/ou faire la paix avec la personne, l’animal ou l’objet de sa perte.
Autrefois les rites religieux étaient partout et le commun des mortels se soumettait à ce genre de rituel symbolique.
Reprendre l’importance de sa symbolique comme rituel est en soi un chemin qui mène à la guérison psycho-spirituelle.
Régnier, Roger auteur de La perte d’un être cher (1991)
Tout au long de sa vie, l’être humain est aux prises avec ce dilemme à répétition : s’attacher et se détacher.
Apprendre à nous adapter dès la période de la fécondation fait partie de notre nature humaine. D’intra-utérine, à la naissance, à la petite enfance, à l’enfance, à l’adolescence, à l’âge adulte, à la vieillesse et à la mort.
Le processus du deuil selon Régnier est construit en 3 phases : la perte, la désorganisation et l’intégration et la reconstruction/récupération.
1) Deuil = Perte
2) Perte = Désorganisaton et l’intégration
3) La désorganisation/intégration = Reconstruction/Récupé[email protected] WWW.centre -aide---psychotherapie.ca
Les 03 phases: 1) Le choc, l’évitement et la négation
2) La désorganisation, colère, agitation, larmes, peine, sanglots, idéalisation , dépression, soulagement et libération. 3) La réinsertion-retour à l’équilibre affectif, la réinsertion sociale et l’identité nouvelle, décider de revivre de nouveau
3) Revivre sa relation avec le défuntSe remémorer sa relation d’une façon réaliste : les
qualités et les défautsLes hauts et les bas avec la personne disparue, divorcée, Le positif et le négatif.Réexpérimenter les sentiments associés à cette relationAccueillir les souvenirs douloureux avec les souvenirs
confortablesDénouer peu à peu les liensLaisser partir
Rando, T (1985-1986) L’auteur amène la perspective suivante : on peut
demeurer émotionnellement lié au défunt même lorsque la relation change, c.-à-d. avoir de bons souvenirs.
La relation qu’ entretient le survivant avec la personne décédée est unique en soi, c.-à-d. ressentir sa présence, le lien à travers certains objets qu’appartenait le défunt.
Le deuil peut s’avérer un élément catalyseur important. Le deuil peut faciliter l’apparition d’outils d’adaptation et de la croissance personnelle chez le survivant – par exemple - une transformation psychospirituelle – le survivant arrive peu à peu à donner un sens à la mort, à l’épreuve, à la perte, au chagrin ressenti.
Sensations physiques: Nœud dans l’estomac Serrement dans la gorge ou la poitrine Sensibilité accrue au bruit Souffle court Perte de force musculaire Manque d’énergie ou fatigue Bouche sèche Être malade plus souvent dû au stress occasionné par le deuil
1. Phase de chocLe psyché est en choc, torpeur, dénégation, incrédulité. Besoin de savoir. Réaction intellectuelle sans émotion.
2. Phase désorganisationChagrin intense. “Tristesse et colère”Panique, colère, culpabilité, dépression, désespoir, soulagementPréoccupation avec le défunt Peur de devenir fou
3. Phase de réorganisationDébut de la rentrée sociale et émotionnelleCulpabilité (trahison du défunt)
1 Reconnaître sa perte. Reconnaître et comprendre la mort et les effets sur soi.
2 Réaction reconnaître sa réaction à la séparation et au détachement. Vivre sa douleur – exprimer ses réactions émotives, ses sentiments suite à sa perte. Accueillir ses pleurs et les pertes secondaires s’y rattachant.
3 Remémorer et revivre la relation avec le défunt dans son imaginaire. Réviser et se rappeler les mémoires positives et négatives, et ce, de façon réaliste.
4 Renoncer aux vieilles chaînes malsaines ainsi que vos anciens projets anticipés avec cette personne.
5 Rajuster sa vie en relation à ses propres perceptions et ses propres rêves, sans pour autant oublier ceux du disparu. Réviser ses projets personnels. Développer une nouvelle relation avec le défunt. Adopter une nouvelle appartenance identitaire, de rôle avec le monde. Se créer une nouvelle identité.
6 Réinvestir dans de nouvelles relations. Trouver de nouveaux centres d’intérêt et créer de nouveaux liens d’attachement.
Un deuil compliqué est aussi appelé deuil spécial. Méconnu du grand public. Le deuil est présent dès qu’il y a compromis, altération, ou échec d’une ou de plusieurs phases du deuil. Relativiser le temps écoulé depuis le décès. La personne endeuillée peut se sentir «coincer » dans
une des phases de deuil pendant plusieurs années. Exemple
de la reine Victoria. La souffrance est causée par la perte et souvent par les Pertes refoulées.Le deuil peut être absent, retardé ou refoulé.
Expériences pouvant mener à un deuil compliqué/pathologique.
Décès suite à une longue et ou courte maladie; SEP; SLA; tumeur cérébrale, etc.
Mort soudaine, inattendue (surtout de façon traumatique ou violente telle qu’un suicide)
Décès qui aurait pu être évité ( absence de prévention). Pauvre habileté sociale à exprimer son deuil Mort et tabou social : (sida, drogue, suicide) Mort non reconnue (avortement, fausse-couche, pertes des
embryons; etc.) Absence de rituels funéraires. Pertes multiples , idéalisation du rêve et de l’espoir - ce que
l’autre représentait pour le survivant. Facteurs sociaux : absence de soutien social, etc.
Mort soudaine et rapidePerte d’embryons, suicide, accident, crise cardiaque, accident
vasculaire cérébrale etc.
Absence de préparation (n’avait pas anticipé le décès) Choc, négation, non-réalité, sentiments de culpabilité ou
de responsabilité, à démystifier en psychothérapie Distorsions cognitives et pensées irrationnelles « si j’avais su…, j’aurais du…; cela aurait pu être évité! » Sentiment d’impuissance, impression d’une perte de
contrôle Re-questionnement de son sentiment de sécurité et de
N’a pas eu la chance de dire adieu – deuil non résolu; Manque de temps pour composer avec le décès imminent; Désir de retourner en arrière – pour dire au revoir, pour lui
dire qu’on l’aime, demander pardon ou pardonner, etc. Au niveau thérapeutique, les survivants cherchent à
comprendre et se posent des questions. Néanmoins, on reconnaît le besoin de raconter l’événement et l’approche du récit en psychothérapie peut s’avérer un outil intéressant et souvent donne un sens au décès et à sa souffrance.
Accepter l’absence de solution et parfois d’explication reliée à la tragédie, à l’épreuve.
Accueillir l’absurdité de l’épreuve - peut-être, il n’existe pas de raison logique et/ou scientifique à cet évènement douloureux.
Comprendre le mystère de la fragilité humaine et de la vie en générale c’est de saisir notre humanité qui sommeil en chacun de nous.
En pratique – Aider l’endeuillé lors de pertes (décès ou autre)
La résilience (Boris Cyrulnik, auteur «Un merveilleux malheur ») À chaque chapitre de notre histoire, nous avons à résoudre les
problèmes de notre âge. Une maille à l’endroit pour notre passé et notre vie intime, une maille à l’envers pour notre culture et nos proches, c’est ainsi que nous tricotons nos existences.
Un grand nombre de personnes possède la capacité à rebondir après un traumatisme et ainsi reprendre le cours de leur vie.
Chaque individu possède en lui même des capacités considérables de se comprendre, de changer d’idée , de se questionner sur ses attitudes et ses comportements.
Il peut puiser dans ses ressources, pourvu que le climat psychothérapeutique relationnel puisse être aidant et facilitant.
Choisir deux objets qui représente une partie «A» non terminée en soi du processus de deuil vs un autre objet «B » qui symbolise la partie que je veux terminer et guérir en soi ou la partie terminée du deuil que je veux faire.
À tour de rôle, chacun dépose son objet sur la table et à tour de rôle et ce, en silence et dans un climat d’écoute chacun des participants est invités à donner son explication, sa clarification sur sa symbolique.
On recommence le tout pour la symbolique de l’objet « B » de la fin.
Monbourquette, Jean; Aimer, perdre et grandir, Éditions Novalis; 1994.
Monbourquette, Jean; La mort ça s’attrappe; Éditions Novalis, 2008.
Monbourquette, Jean; Le temps précieux de la fin, Éditions Novalis, 2003
Hétu, Jean-Luc; Vivre un deuil; Éditions Méridien, 1997. Morin Edgar; L’homme et la mort; Éditions du Seuil; 1976. Régnier, Roger; La perte d’un être cher; Éditions Quebecor, 1991. Régnier, Roger et Saint-Pierre Line; Quand le deuil survient ;80
questions et réponses; Éditions Sciences et culture; 2000. Worden, J. William; Grief Counseling and Grief Therapy; Springer
Publishing Com. New York, 1982. Kübler -Ross, Elisabeth; On Death and Dying; Prentice Hall; 1969.