L’engagement dans un agenda 21 scolaire · •Un plan d’action concerté, cohérent et évolutif, adapté aux différents niveaux et exigences scolaires. ... la politique nationale

RDV 21 – Khénifra03/11/2007

Le développement participatif dans un collège rural

L’engagement dans un agenda 21 scolaire



•Comment dépasser la simple sensibilisation à l’environnement ?

•Comment porter sens de l’impératif éducatif à une démarche globale ?

•Comment s’approprier les emboitements d’échelle ?

•Comment dépasser la vulgarisation simpliste, s’engager dans l’éducation àla complexité ?

•Comment fédérer toute une communauté éducative et un territoire sur une démarche novatrice et expérimentale ?

•Comment aborder avec joie, sérénité et humilité les défis du XXIème siècle ?



•Une réflexion de fond sur la place de l’individu dans le projet

•Un cadre scolaire défini pour une démarche de projet

•Des orientations institutionnelles, une volonté hiérarchique

•Un partenariat socioprofessionnel ancré sur la réciprocité

•Inventer et expérimenter des scénarios pédagogiques nouveaux


Responsabilité - Participation

Evaluation

Solidaritétemps-espaces



•Problématiser du global au local pour s’engager du général au particulier

•Dépasser les portes la salle de classe, devenir citoyen du monde

•Accepter les flottements nécessaires à l’appropriation et aux réajustements

•Eduquer au développement durable : interface des intentions

•Faire se rencontrer les exigences pédagogiques et une démarche participative initiatique à la gouvernance



Un projet résolument ancré sur des approches participat ives

« Bien vivre ensemble et modifier notre consommation po ur mieux gérer nos ressources »



•Une phase de consultation menée par les élèves

•Des espaces de parole « sans tabou » à tous les niveaux

•Un groupe de pilotage nourri par la gouvernance

•Un plan d’action concerté, cohérent et évolutif, adapté aux différents niveaux et exigences scolaires



Des actions qui nourrissent le projet, fédèrent les partenaires et émancipent les jeunes

•Le compost qui jardine les esprit

•La fête du compost et de l’humus

•Les jardins solidaires

•Le havre de biodiversité

•Le verger intergénérationnel



« J’ai compris que j’ai mon avenir entre mes mains. Je ne sauverai pas la planète seule mais si des jeunes partout dans le

monde font des choses comme nous, la planète et les gens vivront mieux »Célia, 14 ans

Education à l’environnement, au territoire et au développement durable

Parc naturel régional des Volcans d’Auvergne

Rendez-Vous 21, Séminaire Kénifra, Nov 2007

Les principes de l’éducation au territoire dans les PARCS

� Les Parcs sont des outils, à l’origine, pour :• la protection et la gestion de milieux naturels• L’aménagement du territoire, le développement

économique, social et culturel

� en partenariat avec les acteurs du territoire,

� et sans avoir de valeur règlementaire (comme les Parcs Nationaux), sauf la loi Paysages et l’opposabilité de la charte aux tiers

AUSSI,

� Les Parcs Naturels régionaux ont dûdès leur création en 1967 :

• Développer des missions d’information et d’éducation du public, des actions partenariales…

� En 94, la mission information et éducation a été réaffirmée (loi de 93 et décret d’application de Sept.94)

� Depuis 2001, positionnement des PARCS sur le développement durable

Un texte d’orientation, adopté par le conseil

d’administration de la Fédération des PARCS

� Une éducation globale pour un public large :– Les jeunes, pour les rendre acteurs de leur

territoire

– Les adultes (habitant, visiteur, élu…), pour que chacun se sente responsable de l’avenir du territoire

Quelques actions Quelques actions dd’é’éducation ducation

du Parc Naturel Rdu Parc Naturel Réégional des gional des Volcans dVolcans d’’AuvergneAuvergne

Les enjeux thématiques et l’éducation

1. la richesse et la biodiversité du patrimoine naturel2. l’évolution des paysages et le cadre de vie3. les ressources du territoire

� sensibiliser les jeunes du territoire à ces domaines par :- des projets fédérateurs, des opérations d’envergure,

- des supports et outils pédagogiques dans un cadre scolaire

Échanges scolaires VILLE-CAMPAGNEde 2005 à 2008

Projets scolaires du territoireet agglomérations voisines

Une démarche :– Découverte de l’environnement local– Communication aux autres classes et choix des

correspondants– Projet-approfondissement d’un thème (Paysage rural,

paysage urbain, fragilité des milieux naturels, les déplacements au quotidien, les divertissements)

– Rencontre, découverte d’un autre milieu (la ville et la campagne)

– Restitution des visites aux correspondants

Le CPIE Clermont- Dômes , l’Inspection académique 63 et Clermont-Communauté sont partenaires du Parc pour cette action

Outils pédagogiques

Jouer à PARC en jeu,c’est :

� Se mettre dans la peau de divers personnages :

– un garde - nature– une architecte conseil– un agriculteur - éleveur– un artisan - chef d’entreprise– une habitante

� Réaliser des actionssur le territoire du PARC

Le plateau de jeu

- Le territoire du Parc naturel régional des volcans d’Auvergne

- Chaîne des Puys- Monts Dore- Cézalier- Artense- Cantal

- Zone protégée (ligne blanche)- Zone non protégée

- un jeu de l’oie

- des cartes - aléas-chance- challenge

- des cartes papillons

Réalisation d’une action

D’autres objectifs d’éducation dans la charte 2000-2010

Enjeu 4 : Développer et valoriser les produits et activités spécifiques

- Qualifier et diversifier les prestations pédagogiques sur le territoire

- Marquage des prestations éducatives

MARQUAGE

� Objectifs :– Reconnaître par la marque PARC les

prestations éducatives en lien avec la philosophie PARC

– Communiquer sur ces prestations– Mettre en place et animer un réseau des

prestataires• Formations, création de nouvelles

prestations…

Enjeu 5 : Améliorer la qualité de la vie sur le territoire

Favoriser la dynamisation des loisirs et de la culture

– en lien avec les centres de loisirs d’enfants et de jeunes

MERCI

1

NOVEMBRE 2007

ROYAUME DU MAROC

MINISTERE DE L’HABITAT, DE L’URBANISME ET DE L’AMENAGEMENT DE L’ESPACE

SECRETARIAT D’ETAT AU DEVELOPPEMENT TERRITORIAL

STRATEGIESTRATEGIE DD’’AMENAGEMENT ET DE AMENAGEMENT ET DE DEVELOPPEMENT DURABLE DEVELOPPEMENT DURABLE

DU MOYEN ATLASDU MOYEN ATLAS

Direction de lDirection de l’’AmAméénagement du Territoirenagement du Territoire

03 Novembre 2007

2

NOVEMBRE 2007

� Le DLe Déébat National sur lbat National sur l’’AmAméénagement du Territoirenagement du Territoire

��La charte Nationale de lLa charte Nationale de l’’AmAméénagement du Territoirenagement du Territoire

��Le SchLe Schééma National dma National d’’AmAméénagement du Territoirenagement du Territoire

Conception Fondée sur le triptyque

Conception Fondée sur le triptyque

Aperçu sur la nouvelle politiquede l’Aménagement du Territoire

3

NOVEMBRE 2007

1. L’axe littoral2. L’axe maghrébin3. L’axe intérieur

4

NOVEMBRE 2007

L’établissement d’une Stratégie d’Aménagement et de Développement du Massifdu Moyen Atlas, qui a pour objectifs, la réflexion sur les outils et principes

servant de prise de décision

� Le rôle majeur des espaces montagneux dans la structuration du territoire national ;� La réduction du phénomène de dégradation des ressources naturelles du Massif ;� L’implication collective des acteurs locaux et la société civile pour la promotion des milieux fragiles ;� La zone du Massif est un territoire qui mérite un intérêt particulier, compte tenu de la richesse de son potentiel hydrique à l’échelle nationale

� Le rôle majeur des espaces montagneux dans la structuration du territoire national ;� La réduction du phénomène de dégradation des ressources naturelles du Massif ;� L’implication collective des acteurs locaux et la société civile pour la promotion des milieux fragiles ;� La zone du Massif est un territoire qui mérite un intérêt particulier, compte tenu de la richesse de son potentiel hydrique à l’échelle nationale

Le SNAT et la CNAT, reconnaissent les espaces montagneux, comme priorité nationale qui nécessitent une intervention urgente

Le SNAT et la CNAT, reconnaissent les espaces montagneux, comme priorité nationale qui nécessitent une intervention urgente

Le développement de la montagne au cœur dela politique nationale d’aménagement du territoire

5

NOVEMBRE 2007

Objectifs de l’étude

� Insérer les zones de montagne dans une dynamique de développement

� Constituer un cadre pertinent pour :

�Gérer les divers modes d’intervention des acteurs�Mettre en cohérence les logiques et actions sectorielles�Mettre à la disposition des acteurs des idées de projets pour le développement durable

Deux directions d’actions complémentaires

� Faciliter la mise en œuvre d’actions locales concrètes� Préparer des changements législatifs et réglementaires

6

NOVEMBRE 2007

Aire de l’étude

Le massif sLe massif s’é’étend sur une partie du territoire de 4 rtend sur une partie du territoire de 4 réégions et 7 provinces, 114 communesgions et 7 provinces, 114 communesSuperficie : 34 000 Km2Superficie : 34 000 Km2

7

NOVEMBRE 2007

Evolution démographique

Pop : 1 667 000 hab soit 5,6 % pop nat

Taux d’accroissement 13% (94-04), densité moyenne 39 hab/km2

8

NOVEMBRE 2007

potentiel hydrique important au niveau national « Château d’eau»

Principal fournisseur d’eau du pays et un des pôles de la production d’hydroélectricité

Atouts et potentialités

9

NOVEMBRE 2007

Des zones d’intérêt écologique reconnues au niveau national


10

NOVEMBRE 2007

24% forêts avec les plus belles forêts de cèdre du bassin méditerranéen (133 000 ha) et 600.000 ha de chênaie


11

NOVEMBRE 2007

�Le Moyen Atlas est l’une des grandes régions touristiques du Maroc�Possibilité de créer des revenus et des emplois compatibles avec les activités traditionnelles et la conservation du milieu


12

NOVEMBRE 2007

�Progrès de l’infrastructure et de l’équipement locaux (PAGER, PERG, PNCRR, etc.)�Le M-A est le massif montagneux le plus accessible du Maroc


13

NOVEMBRE 2007

�56% terres de parcours


14

NOVEMBRE 2007

�Les systèmes de production sont archaïques �Reposent sur l’alternance de céréales et de jachères (plus de 80% de la SAU) avec de faibles rendements (3 à 15 q/Ha)

Contraintes, handicaps et faiblesses

�SAU limitée à 20 % de la surface du massif

�Surface irrigable inférieure à 2,5 %

�Faible productivité de l’agriculture traditionnelle

�Sureffectifs et sous emplois larvé

�Faible valeur des produits

�Difficultés de commercialisation

15

NOVEMBRE 2007

Forêts

�Surpâturage�Surexploitation du bois de feu�Abattage illicite de bois de cèdre�Faible valorisation des produits �devenu une ressource pastorale en cours de dégradation

Elevage

Cheptel trop nombreux pour les seuls parcoursRéduction et privatisation des terres collectivesSurpâturageDégradation des parcours et report de la charge sur les forêts


16

NOVEMBRE 2007

Les villes sont seulement des centres de serviceà la population et non des pôles de croissance


��RRééseau urbain trseau urbain trèès s

compartimentcompartimentéé

��Zones dZones d’’influence trop influence trop

petites pour favoriser des petites pour favoriser des

activitactivitéés non agricoless non agricoles

��Dynamisme des activitDynamisme des activitéés s

non agricoles est trnon agricoles est trèès s

rrééduitduit

��Infrastructures et Infrastructures et

ééquipements urbains sont quipements urbains sont

en mauvais en mauvais éétattat

17

NOVEMBRE 2007

Les activités non agricoles sont très réduites dans les provinces du Moyen- Atlas

0

20

40

60

80

100

Industrie

BTP

Commerce

ServicesMaroc

Total M- Atlas

En chiffres absolus, pour les 5 provinces entièrement dans le massif, les chiffres ne dépassent pas :

�15.000 emplois dans l’industrie�23.000 emplois dans le commerce�15.000 emplois dans les services�pour plus de 1.300.000 habitants.


18

NOVEMBRE 2007

Préserver les ressources d’intérêt national

�Sauvegarde de la fonction du « château d’eau » par la protection du couvert végétal et des bassins versants et la réduction de la surexploitation des nappes phréatiques

�Maintien, restauration et mise en valeur de la forêt et du couvert végétal

�Préservation du potentiel écologique et la biodiversité (Parcs naturels, SIBE, Paysages …)

�Limitation drastique des activités économiques polluantes

Les niveaux de l’aménagement

19

NOVEMBRE 2007

Optimiser la mise en valeur des ressources dOptimiser la mise en valeur des ressources d’’intintéérêt rrêt réégionalgionaldans ldans l’’intintéérêt durable de la populationrêt durable de la population

�Valorisation agricole

�Optimisation de l’élevage

�Développement des activités touristiques

�Développement d’activités industrielles satellites du bipôle Fès Meknès dans les villes proches

�Améliorer les services à l a population

Les niveaux de l’aménagement

20

NOVEMBRE 2007

Les infrastructuresLes infrastructuresLes amLes améénagements envisagnagements envisagééss

��KhemissetKhemisset--OulmOulmèèss--AguelmousAguelmous--KhKhéénifranifra��KhenifraKhenifra--MideltMidelt��MeknMeknèèss--AzrouAzrou--MideltMidelt--ErrachidiaErrachidia��FFèèss--SefrouSefrou--BoulemaneBoulemane--MissourMissour

��TahlaTahla--RibateRibate el el KheirKheir--TalzemtTalzemt--BerkineBerkine--MissourMissour��TazaTaza--MaghraouaMaghraoua--TalzemtTalzemt--BerkineBerkine--MissourMissour��AguelmemeAguelmeme AzigzaAzigza--AzrouAzrou

21

NOVEMBRE 2007

Les Centres urbains et services publicsLes Centres urbains et services publics

AmAmééliorer la centralitliorer la centralitéé des villesdes villes

��CrCrééer des infrastructures de transport qui renforcent leurs fonctioer des infrastructures de transport qui renforcent leurs fonctionsns

��AmAmééliorer les services publicsliorer les services publics

��Implanter des Implanter des «« ééquipements marchandsquipements marchands »» pour valoriser les productions pour valoriser les productions

rréégionales (abattoirs, marchgionales (abattoirs, marchéés, s, etcetc))

��AmAmééliorer les services liorer les services administratifs administratifs

��Implanter des Implanter des ééquipements quipements collectifscollectifs

��Subventionner les infrastructures Subventionner les infrastructures de base (voirie, de base (voirie, ééclairage, eau clairage, eau potable, assainissement, dpotable, assainissement, dééchets)chets)

��Mettre en Mettre en œœuvre des programmes uvre des programmes de rde rééhabilitation de lhabilitation de l’’habitat et habitat et dd’’embellissement des villesembellissement des villes

22

NOVEMBRE 2007

Le Tourisme

fondée sur deux produits : l’écotourisme et le tourisme rural

23

NOVEMBRE 2007

La Forêt

�Réduction des parcours en forêt et des prélèvements de bois de feu

�lutte contre les prélèvement et défrichements illicites

24

NOVEMBRE 2007

L’Agriculture

25

NOVEMBRE 2007

schschééma des ma des ééquipements et services vise quipements et services vise àà attattéénuer le sous nuer le sous ééquipement des zones ruralesquipement des zones rurales

Equipements et servicesEquipements et services

26

NOVEMBRE 2007

Le schLe schééma dma d’’amaméénagementnagement

27

NOVEMBRE 2007

les conditions de mise en les conditions de mise en œœuvreuvre

Trois conditions principales

�La mobilisation des acteurs locaux dans des structures efficaces de coordination (Associations intercommunales de développement…)

�Un appui efficace aux structures décentralisées pour les mettre en mesure d’assumer leurs compétences et attributions (formation, encadrement et organisation et animation…)

�Un réel transfert de moyens en provenance de l’ensemble du pays (Redevance sur l’eau d’irrigation et l’eau potable, redevance sur les produits forestiers, subventions budgétaires, investissement directs de l’Etat (infrastructures, équipements collectifs, parcs nationaux), mise à disposition de prêts et de facilités financières

Création d’une « Agence du Moyen Atlas » pour coordonner les interventions sectorielles et gérer les programmes de développement

28

NOVEMBRE 2007

Les zones homogènes

�Moyen Atlas Nord Est (Taza)�Zone centrale (Sefrou-Ifrane-Aïn Leuh)

�Bassin de Khenifra (Oum er Rbia-Srou)�Haute Moulouya (Midelt-Missour)

29

NOVEMBRE 2007

� 510.000 hab avec 269.000 urbain et 241.000 rural

� Plus de 100.000 hab à khénifra contre 83.000 hab en 1994, soit un accroissement annuel de 22.4 %, et une densité moyenne de 44 hab/km²

� réceptacle de l’exode rural du haut bassin de l’Oum Er Rbia avec un taux de pauvreté assez élevé 18,18%

� ville administrative et commerciale de rayon local, avec une très forte composante agricole

Cas de Khénifra

30

NOVEMBRE 2007

Cas de Khénifra

� représente un cas singulier : c’est la ville centrale par excellence du territoire national

� Pôle émergent qui sert de point d’appui aux territoire régional, en mesure de jouer le rôle de relais de développement pour le reste du territoire national

� se trouve à la porte du grand château d’eau du Moyen Atlas et au cœur d’un vaste ensemble rural cumulant les sureffectifs et le sous-équipement

� est une ville en état de carence fonctionnelle généralisée et qui mérite un double effort, aussi bien au plan des équipements publics que de l’activitééconomique

� Doit exercer dans le futur un effet d’entraînement sur son environnement dans le domaine de l’encadrement territorial

31

NOVEMBRE 2007

Khénifra par rapport à sa taille et à son rôle régional, doit être considérablement renforcée du point de vue :

� de ses infrastructures (réseau de rues, assainissement, réhabilitation des rives de l’Oued Ou mer Rbia, enlèvement des ordures, habitat)

� de ses équipements publics (santé éducation supérieure formation professionnelle). Dans l’évolution prévisible (baisse de la population active agricole dans le massif

� Promotion des activités et des revenus non agricoles par le développement énergique de l’économie urbaine et la valorisation des produits locaux

Cas de Khénifra

Mobilisation des moyens exceptionnels et appui particulier de la part du pouvoir central

TaTaïïmatemate, la fraternit, la fraternitéé au service au service du ddu dééveloppement durableveloppement durable

LeLeïïlala ACHIBANEACHIBANE

ViceVice--PrPréésidentesidente

Séminaire Rendez-vous 21

KHENIFRA, 3 novembre 2007

I. Rapide HistoriqueI. Rapide Historique

• 2000 : impulsion d’une femme originaire de Khénifra…pour lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale, dans le quartier « Ali Bouchi » où elle est née…

• 2001 et + : d’autres femmes la rejoignent avec l’appui d’ONG (Rotary Casa Anfa)

• 2004 : création de l’association « Taïmate »(fraternité en amazigh)

II. Des actions au service de la II. Des actions au service de la solidaritsolidaritéé territorialeterritoriale

• 2002 : petite enfance avec 1000 biberons

• 2003 : – éducation avec 100

cartables garnis– Solidarité : aide aux

sinistrés des inondations

• 2004 : éducation 150 cartables garnis

• 2005 : éducation 300 cartables garnis

• 2006 : – Journée culturelle 100

enfants– 800 cartables– Table ronde : « éducation

et tolérance »• 2007 :

– Journée culturelle– Reboisement de la ville– 1er Printemps de Taïmate– Distribution de 1200

cartables– Cororganisaition de RV21– Journée de la femme

Autour de la Maison de la Culturede Taïmate (nov 2007)

• Journée culturelle pour enfants (février 2008)• Semaine de reboisement de la ville (mars 2008)• Actions Ecole de Jnane « Immas » (avril 2008)• Journée ‘nettoyage de printemps » (avril 2008)• 2ème Printemps de Taïmate (mai 2008)• Cartables garnis prévision 1200 (sept 2008)• Autres actions : creusement de puits, adduction d’eau,

planification familiale,….

II. Des actions au service de la II. Des actions au service de la solidaritsolidaritéé territorialeterritoriale

III. Acquis et questionnements III. Acquis et questionnements pour lpour l’’aveniravenir

Nos acquis • Le dialogue territorial avec les autorités locales :

reconnaissance, partenariat, interlocuteur,…• Des actions de proximité avec la population :

accompagnement à la scolarité, solidaritéféminine, lien social, petite enfance,…

• La sensibilisation à la préservation de l’environnement et le cadre de vie

III. Acquis et questionnements III. Acquis et questionnements pour lpour l’’aveniravenir

Nos questionnements 1. Comment pérenniser des actions sectorielles et

ponctuelles en vue d’un développement durable du territoire ? (du bénévolat au professionnalisme, du local au global, équilibre économie/environnement/social)

2. Quelle approche éducative pour une meilleure appropriation de la population ? (formation, animation, échanges de bonnes pratiques entre territoires…)

3. Concrètement, quel rôle de Taïmate et de la Maison de la Culture pour des actions territoriales : écotourisme, valorisation des ressources naturelles et culturelles,… ?

Merci pour Merci pour votre attentionvotre attention

LeLeïïlala ACHIBANEACHIBANE

ViceVice--PrPréésidentesidente de de TaTaïïmatemate

1

TOURISME RURAL

VECTEUR DE DEVELOPPEMENT

LOCAL

TOURISME RURALTOURISME RURAL

VECTEUR DE DEVELOPPEMENT VECTEUR DE DEVELOPPEMENT

LOCALLOCAL

Royaume du MarocMinistère du Tourisme et de l’Artisanat

-----Délégation Régionale du Tourisme

Meknès Tafilalet-----

2

Sommaire

� Stratégie de Développement du Tourisme Rural

� Concept de Pays d’Accueil Touristique (PAT)

� Lancement du PAT KHENIFRA

3

1_STRATEGIE DE DEVELOPPEMENT DU TOURISME RURAL

CADRE CONTRACTUEL ETAT PRIVE : VISION 2010

DEVELOPPEMENT DU BALNEAIRE

REPOSITIONNEMENT DU CULTUREL

DEVELOPPEMENT DU TOURISME RURAL

4


OBJETCIFS

DEVELOPPEMENT DU MONDE RURAL

DIVERSIFICATION DE L’OFFRE TOURISTIQUE

5

�STRUCTURER ET CONSOLIDER L’ACTIVITE EXISTANTE

�STRUCTURER ET DEVELOPPER DE NOUVELLES ZONES

PAR LA MISE EN PLACE DES PAYS D’ACCUEILS TOURISTIQUES (PAT)


6

�Territoire géographique bien défini et à thématique distincte

�Infrastructures en réseau: accueil, information, hébergement et animation, Circuits touristiques

�Identité visuelle : logo reprenant la thématique

�Qualité des prestations : label de qualitéGestion locale (Association, autre, …)

CONCEPTE DU PAT

7

� Développement économique et social des populations locales

� Développement des activités génératrices de revenu

complémentaires à l’agriculture

� Développement des activités à l’abri des aléas climatiques

� Diversification de l’offre touristique régionale

DEVELOPPEMENT DU TOURISME RURAL- Objectifs stratégiques -

8

– Accroissement de l’activité professionnelle des populations locales (gîteurs, Accompagnateurs, muletiers, Agences spécialisées …)

– Monétarisation du tissu rural : nouveaux biens de consommation, soins médicaux, autres énergies combustibles…

– Stimulation de l’activité agro-pastorale traditionnelle : orientation vers d’autres filières (arboriculture, cultures potagères, aviculture, cuniculture,…)

Objectifs spécifiques

9

Objectifs spécifiques

– Revalorisation du patrimoine historique & architectural et préservation de l’environnement

– Prise de conscience des villageois aux actions pédagogiques par la scolarisation

– Fixation des populations

10

– Dégradation de l’environnement : introduction de produits et mobiliers non biodégradables : boites de conserves, sacs en plastique,…

– Déséquilibre socio-économique dans le monde rural : monopôle des acteurs de développement sur les retombés du tourisme;

– Dégradation du cadre bâti et abondant du cachet architectural local : introduction de mode et matériaux de constructions étrangers souvent par les acteurs de développement eux même

Impacts négatifs

11

� Existence d’une activité du tourisme rural même informelle

� Volonté des acteurs locaux à construire un PAT

� Implication active des populations locales

� Proximité d’une zone d’émission de touristes

PAT - Conditions de réussite -

12

DEMARCHE DE MISE EN PLACE DU PAT

� Diagnostic de l’activité : État des lieux

� Conception : délimitation et identification

� Mise en place : Réalisation de l’infrastructure

� Accompagnement de la mise en place

� Promotion et commercialisation

� Gestion

13

État d’avancement de la mise en place duP.A.T KHENIFRA

� Construction de la Maison du P.A.T

� Parcelle disponible� Fonds débloqués

� Étude architecturale en cours

14

État d’avancement de la mise en place duP.A.T KHENIFRA

Constitution d’un Comité Technique– Mission: Lancement du P.A.T

– Composition:

� Autorité et élus locaux� Ministère et Délégation Régionale du

Tourisme� Acteurs de développement Local� Administrations liées au tourisme

15

États d’avancement

• Première série de projets retenus

Caractère prioritaire(forte fréquentation risque de

dégradation…)

Démonstratifs (Locomotive d’initiatives locales)

16

Plateau d’Ajddir6. Implantation d’une statue retraçant les

événements historiques

Plateau d’Ajddir5. Développement d’une activité sportive

(équestre, athlétisme, …)

Plateau d’Ajddir

4. Réhabilitation de deux locaux et leur cession à une association locale pour les exploiter dans l’accueil et l’hébergement touristique

Aguelmam Azegza3. Développement d’une niche touristique :

pêche sportive

Aguelmam Azegza2. Aménagement d’un camping communal

Arouggou 1. Aménagement d’une plate forme (aire de repos)

Lieu Action

17

Sources Oum Rbiaa14.Mise en valeur des sources Oum Rbiaa

Lac Ouiouane13.Développement de la pêche touristique

Lac Ouiouane12.Organisation des événements sportifs

Lac Ouiouane11.Développement d’un sport nautique

Bougdjig10.Création d’un centre d’interprétation du tapis

et de la tente berbère

Lac Miâmmi9.Aménagement d’une plate forme d’observation

des oiseaux

Tiglmamine8.Développement d’une AGR (arboriculture

fruitière)

Tiglmamine7.Aménagement d’un parking

18

A identifier15.Implantation de la signalétique du PAT

A identifier 14.Création de gîtes chez l’habitant

19

PROCHAINNES ETAPES

� IMPLANTATION DES STRUCTURES D’HEBERGEMENT(Gîtes,Chambres d’Hôtes chez l’habitant,Auberges etc.)

� MONTAGE FINANCIER DES PROJETS

� IDENTIFICATION DES SOURCES DE FINANCEMENT

20

CONCLUSION

� LE PAYS D’ACCUEIL TOURISTIQUE DU MOYEN ATLAS DE KHENIFRA EST UNE OPPORTUNITE POUR UN DEVELOPPEMENT DURABLE DU MILIEU RURAL

� LE POTENTIEL EXISTE

� LA VOLONTE DES INTERVENANTS EST REELLE

�L’ADHESION D’AUTRES PARTENAIRESEST TRES SOLLICITEE

21

Merci pour votre attention

L’engagement dans un agenda 21 scolaire · •Un plan d’action concerté, cohérent et évolutif, adapté aux différents niveaux et exigences scolaires. ... la politique nationale

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