L’ANALYSE FINANCIERE 1 République Algérienne Démocratique et Populaire ORDRE NATIONAL DES EXPERTS COMPTABLES, COMMISSAIRES AUX COMPTES ET DES COMPTABLES AGREES Conseil régional centre L’ANALYSE FINANCIERE janvier 2010 Maitre de stage : L’expert comptable, Commissaire aux comptes : Mr. HAMLI OMAR Elaboré par : Mr. GRAZEM ABDELGHAFOUR Expert comptable stagiaire
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L’ANALYSE FINANCIERE
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République Algérienne Démocratique et Populaire
ORDRE NATIONAL DES EXPERTS COMPTABLES, COMMISSAIRES AUX COMPTES ET DES COMPTABLES AGREES
Conseil régional centre
L’ANALYSE FINANCIERE
janvier 2010
Maitre de stage : L’expert comptable,
Commissaire aux comptes :
Mr. HAMLI OMAR
Elaboré par :
Mr. GRAZEM ABDELGHAFOUR Expert comptable stagiaire
L’ANALYSE FINANCIERE
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Plan du rapport
Introduction
Chapitre I : Définition de l’analyse financière et contrôle du système d’information
1. Définition de l’analyse financière. 2. Contrôle du système d’information comptable de l’entreprise.
Fiabilité des données d’entrée. Fiabilité du système de traitement comptable.
Chapitre II : Etude des documents financiers
1. Analyse du bilan L’actif. Le passif.
2. Tableau des comptes de résultats TCR. 3. Le passage d’un bilan comptable à un bilan financier.
Ajustement fin des éléments de l’actif. Ajustement fin des éléments du passif.
Chapitre III : Les paramètres de l’équilibre financier
1. Fonds de roulement. 2. Besoin en fonds de roulement. 3. Trésorerie.
Chapitre IV : L’analyse par les ratios
1. Ratios de structure financière. 2. Ratio de rentabilité. 3. Ratios de financement. 4. Ratios de gestion.
Conclusion Bibliographie
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Introduction
Il n'est pas rare d'entendre un chef d'entreprise se prévaloir d'un talent naturel
et intuitif à gérer ses affaires, refusant, a priori, toute analyse (théorique) sous le
prétexte que son entreprise réalise des bénéfices élevés. Ce raisonnement, qui
comporte sa part de vérité, ne nous paraît pas suffisant. Rien n'interdit, en effet, de
penser qu'une entreprise réalisant des profits élevés n'aurait pu améliorer
sensiblement ses performances si elle avait été gérée d'une façon plus théorique.
Par voie de conséquence, l'analyse peut alors assister à la formation et à l'évolution
des équilibres fondamentaux sur lesquels repose la situation financière (fonds de
roulement, besoin en fonds de roulement, trésorerie, …etc.)
Dans ce rapport, nous nous proposons d'exposer des outils de travail de l'analyse de
l’équilibre financière dans l’entreprise.
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Chapitre I : Définition de l’analyse fin et contrôle du système d’information.
1. Définition de l’analyse financière.
On distingue plusieurs définitions selon différents auteurs :
Selon Michel LEVESSEUR l'analyse financière est « l'établissement d'un
diagnostic complet de la politique financière suivi par l'entreprise au cours
des dernières années ».
D'après Pierre CONSO : l'analyse financière est « la recherche de l'équilibre
financier dans l'entreprise et la mesure de la rentabilité des capitaux
investis ».
D'après Josette PEURARD : elle est « l'ensemble des méthodes permettant
d'évoluer la situation ».
Selon R.LAVAUD : « L'analyse financière est un ensemble de techniques
d'oscillation qui doivent permettre au praticien de faire un diagnostic sur la
santé d'une entreprise pour avancer un pronostic sur son évolution, voire
proposer des remèdes au cas ou cela apparaîtrait nécessaire ».
En dépit de cette diversité des définitions de l'analyse financière, l'objectif est
toujours d’évaluer la solvabilité de l’entreprise et de prendre des décisions.
Donc ; L'analyse financière consiste à étudier une entreprise sur le plan financier
en s'appuyant sur des documents comptables et sur des informations
économiques et financières relatives à l'entreprise ou à son marché. Une fois
effectuée, elle permet de porter un jugement d'ensemble sur la santé financière
d'une société, la gestion et la rentabilité, et ses perspectives de développement.
2. Contrôle du système d’information comptable de l’entreprise.
Les interprétations auxquelles se livre l'analyste financier pour dégager le profil
financier de l'entreprise sont étroitement subordonnées au degré de fiabilité de
l'information comptable qu'il manipule. La fiabilité de l'information réfère aux
qualités de l'information, à savoir :
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L'exactitude qui permet de s'assurer de la justesse mathématique des
opérations arithmétiques portant sur des grandeurs comptables.
La sincérité : les informations véhiculées par les supports comptables doivent
traduire fidèlement la réalité économique et financière de l'entreprise.
Le caractère vérifiable ou probant de l'information : tout fait ou événement
significatif de la vie de l'entreprise enregistré en comptabilité doit avoir un
support justificatif, document ou autre élément, qui prouve son authenticité.
Le caractère récent de l'information : toute information est dotée d'une
durée de vie économique. Le dépréssement de l'information par
vieillissement l'exclut du circuit de la prise de décision. Cette caractéristique
de l'information prend toute sa signification dans des structures d'entreprises
marquées par une évolution rapide des événements économiques et
financiers.
Ceci dit le teste de fiabilité du système d'information doit être effectué au niveau
de ses trois composantes essentielles :
Au niveau des données d'entrée.
Au niveau du modèle comptable de traitement de l'information.
Au niveau des données de sorties, c'est à dire au niveau de production
des états financiers synthétiques issus de processus de traitement
comptable.
A) Fiabilité des données d'entrée :
Le système d'information comptable est un réservoir privilégié d'informations
concernant les conditions de fonctionnement et de développement de
l'entreprise. Tout événement ou fait significatif qui affecte directement ou
indirectement la vie de l'entreprise est enregistré selon des règles comptables
précises dans le système d'information comptable (achat, vente, virement de
fonds, parements des salaires…).
Le contrôle de fiabilité des données d'entrée consiste à tester la qualité de la
saisie de l'information en s'assurant :
Que toute opération comptable est supportée par une pièce justificative
exempte de toute irrégularité.
Que la saisie de l'information comptable est en stricte conformité avec les
règles ou normes comptables couramment admises (en conformité avec les
règles de comptabilisation édictées par le plan comptable national).
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B) Fiabilité du système de traitement comptable :
Le contrôle de fiabilité du modèle de traitement comptable consiste à s'assurer
si les différentes phases chronologiques du processus de traitement comptable ne
contiennent pas des biais de fonctionnement susceptibles de dénaturer la qualité
de l'information comptable. Sur le plan analytique, le processus de traitement
comptable1 peut être décomposé en quatre phases chronologiques
intimement liées :
Phases de journalisation des écritures.
Phases de transcription des écritures du journal au grand livre.
Phase d'établissement des balances périodiques.
Phase d'écriture de régularisation.
1 Dans mon troisième rapport de stage intitulé" la tenue de la comptabilité", j'ai traité les différents systèmes comptables, et
les différentes étapes pour le traitement des données (input) qui arrivent à la fonction comptabilité, soit de l'intérieur de l'entreprise, soit de l'extérieur.
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Chapitre II : Etude des documents financiers.
La matière première de base de l'analyse financière est constituée par l'ensemble
des états financiers synthétiques, qui sont en l'occurrence :
Le bilan.
Le tableau des comptes de résultats.
Les états synthétiques complémentaires qui fournissent des informations
spécialisées concernant la vie financière de l'entreprise (tableau
d'amortissements, état des créances et dettes, état des provisions, …etc.).
L'ensemble de ces états auquel il faut joindre des statistiques diverses qui
permettent de saisir les conditions de l'exploitation de l'entreprise, constituent
des outils dont se sert l'analyste financier pour se forger un jugement
d'appréciation sur le profil financier de l'entreprise.
La justesse et la finesse de l'analyse sont étroitement subordonnées à l'aptitude
de l'analyste à pouvoir saisir intellectuellement et avec précision le contenu
informationnel de ces états.
1. L’analyse du bilan.
Le bilan concentre une masse d'information à l'état brut susceptible d'être
classées en rebiques significatives au plan financier.
Le bilan est un document de synthèse qui traduit la situation patrimoniale de
l'entreprise à un moment donné. Il apparaît comme un inventaire à une date
donnée ;
Des biens possédés par l'entreprise : Actif.
Des capitaux mis à sa disposition : Passif.
Le passif et l'actif du bilan représentent respectivement :
L'ensemble des ressources financières de l'entreprise (capital, dettes).
Les emplois qui ont été faits de ces ressources.
A chaque emploi correspond nécessairement une ressource. Il en résulte que le
total de l'actif est nécessairement égal au total du passif.
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On dit fréquemment que le bilan est une photographie de la situation
patrimoniale d'une entreprise à une date déterminée ; ainsi donc le bilan pour une
entreprise est un état à une date donnée de ses éléments actifs et de ses éléments
passifs.
Le résultat est porté au bilan pour équilibrer l'actif et le passif. Si le résultat est au
passif, il représente un bénéfice puisqu'il accroît les ressources de l’entreprise. S’il
est à l'actif, il représente une perte, puisqu'il constitue une utilisation des capitaux
mis à la disposition de l'entreprise.
a) L'actif du bilan : est composé d'un certain nombre de postes; qui sont classés
selon un ordre de liquidité croissante, certains de ces postes on pour vocation
de rester durablement dans l'entreprise, d'autres au contraire ont pour
vocation de rentrer dans le cycle d'exploitation.
La classe 2 ; comprend l'ensemble des biens et valeurs durables acquis ou crées
par l'entreprise non pas pour être vendus ou transformés, mais pour servir
d'instruments de travail.
La classe 3 ; constitue les éléments d'exploitation, ils sont destinés à la vente.
La classe 4 ; représente les droits de l'entreprise sur les tiers.
b) b) Le passif : est composé d'un certain nombre de postes indiquant l'ensemble
des dettes de l'entreprise, c'est à dire l'origine des capitaux dont elle dispose.
Les postes du passif sont classés selon un critère d'exigibilité croissante. Ils
sont regroupés dans deux classes :
Classe 1 ; fonds propres représentant les ressources de l'entreprise ; Capitaux
des propriétaires.
Classe 5 ; les dettes représentent les obligations de l'entreprise vis-à-vis des
tiers.
La différence entre le total de l'actif et le total du passif exigible envers les tiers,
représente l'actif net ou situation nette de l'entreprise ; c'est ce qui théoriquement
reviendrait au propriétaire ou aux associés en cas de liquidation, après règlement
intégral des créanciers.
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La situation nette exprime en quelque sorte la "richesse" de l'entreprise :
Si la situation nette, à la clôture d'un exercice est supérieure à la situation
nette au début de l'exercice, l'entreprise s'est enrichie ; elle a réalisé un
bénéfice.
A l'inverse, si la situation nette à la clôture d'un exercice est inférieure à la
situation nette au début de l'exercice, l'entreprise s'est appauvrie, elle a
subi une perte.
Généralement, on peut commencer une étude de bilan, par celle de l'actif net
comptable (situation nette), on peut le calculer de cette manière :
Enfin le bilan normalisé servira de point de départ pour passer aux procédés
d'épurations financières des comptes. Ces opérations de filtrage des comptes
permettent ainsi de disposer des informations comptables prêtes à subir le
traitement d'analyse financière proprement dit.
2. Tableau des comptes de résultats TCR.
Le TCR est le document qui mesure l'activité de l'entreprise pour une période
donnée. Dans sa structure, il regroupe toutes les charges, produits et résultats de
la période ou l'exercice.
Les résultats sont déterminés par leur stade de réalisation, on trouve :
La marge brute (ou commerciale).
Valeur ajoutée.
Résultat d'exploitation.
Résultat hors d'exploitation.
résultat brut de l'exercice.
résultat net de l'exercice.
Actif net = Fonds propres _ Actif fictif.
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Il est indispensable d'analyser le résultat d'exploitation traduit au bilan.
L'exploitation se traduit par un bilan dans la mesure ou le montant des ventes
de l'exercice est supérieur au montant des frais correspondant à ces ventes. D'une
manière générale, il y a bénéfice si les produits d'un exercice sont supérieurs aux
charges.
Pour l'analyste le TCR est très utile dans la mesure où il fait ressortir clairement
un élément important quant à l'appréciation de l'efficacité de
l'entreprise ; la Valeur ajoutée.
3. Le passage d’un bilan comptable à un bilan financier.
Le bilan comptable ne répond pas aux besoins d'une bonne analyse financière
d'une entreprise. Afin de mener bien l'analyse financière d'une entreprise, il est
nécessaire d'apporter des modifications à l'intérieur des masses du bilan comptable,
après répartition du bénéfice et de corriger éventuellement les valeurs de l'actif.
Les critères de reclassement du bilan sont la stabilité des ressources ou des
emplois ainsi que leur position par rapport au cycle d'exploitation.
A) Ajustement fin des éléments de l’actif.
L'ajustement obéit au principe de la liquidité croissante, on y trouve les
éléments suivants :
L'actif immobilisé :
L'actif immobilisé net (après déduction des amortissements et provisions pour
dépréciation) comprend :
Les immobilisations : qui englobent l'ensemble des investissements, en
exception des frais préliminaires étant que c'est un poste fictif, ces derniers
ne doivent en aucun cas apparaître dans l'actif du bilan financier, leur
déduction est impérative.
Autres immobilisations : cette rubrique reprend des postes immobilisés ; des
créances et des stocks (stock de sécurité2) qui restent dans l'entreprise plus
d'une année.
2 C'est le stock minimum qui assure le cycle normal de l'exploitation il représente un caractère d'une véritable immobilisation à
ce titre, il doit donc être rattaché à l'actif immobilisé.
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L'actif circulant :
L'actif circulant correspond au cycle de production ou d'exploitation de
l’entreprise, Il comprend :
Valeurs d'exploitations : sont des biens acquis ou fabriqués par l'entreprise.
Ils ne sont conservés par l'entreprise que pendant la période qui s'écoule
entre le moment de leurs achats et celui de vente en l'état ou après
transformation.
Ces valeurs sont portées avec une déduction des provisions pour dépréciation.
Valeurs réalisables : sont des créances susceptibles d'être transformés à
court terme en liquidité (une déduction faite des provisions pour
dépréciation).
Valeurs disponibles : sont des fonds dont l'entreprise a la disposition ou des
valeurs susceptibles d'être transformées immédiatement en argent liquide.
B) Ajustement fin des éléments du passif.
Les éléments du passif sont classés selon leur degré d'exigibilité.
Une exigibilité croissante ; capitaux propres, dettes à long terme et dettes à court
terme.
Capitaux permanents :
capitaux propres
Ils représentent le passif non exigible, ce sont des capitaux apportés à
l'entreprise par le propriétaire ou par les associés, sous forme d'apports en espèces
ou apports en nature.
Dans une entreprise individuelle, le capital est l'apport initial de l'entrepreneur,
ce dernier est responsable sur tous ses biens, son montant ne résulte pas d'un
contrat, mais d'un fait sans signification juridique, si par la suite l'entrepreneur
effectue d'autres apports, ceux-ci seront inscrits au compte "capital" s'ils sont
définitifs ou au compte "courant de l'exploitant" s'ils sont temporaires.
Dans une société, ce poste représente l'apport des associés en vertu du
contrat de société. Le capital ne peut être modifié qu'en vertu d'une décision
collective des associés.
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Il y a un traitement particulier parmi la classe 1, concernant le compte 19
« Provision pour risque et charges » dans la mesure où elles sont sincères et couvrent
des risques certains, elles doivent être considérées comme de l'exigible, à long
terme ou à court terme (dettes à court terme), selon échéance.
Dettes à long terme :
Les dettes à long terme sont les dettes dont l'échéance est plus d'un an, cette
définition englobe donc, deux genres de crédit que l'on distingue au point de vue
économique, en crédit à long terme et crédit à moyen terme, généralement le crédit
à moyen terme est d'une durée de cinq ans au maximum. Contrairement au crédit à
long terme qui est pour plus de cinq ans.
Dettes à court terme :
Les dettes à court terme constituent le passif exigible à une échéance inférieur
à un an.
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Chapitre III : Les paramètres de l’équilibre financier.
1. Fonds de roulement.
Le respect strict de la règle de l’équilibre minimum (les capitaux permanents
doivent nécessairement financer l'actif immobilisé, et les dettes à court terme
doivent financer l'actif circulant) ne suffit pas à garantir la liquidité de l'entreprise.
En effet, il est nécessaire que les capitaux permanents soient supérieurs à
l'actif immobilisé, et par conséquent, que l'actif circulant soit supérieur aux dettes à
court terme. , d'une autre manière c'est le fonds de roulement.
Avec le fonds de roulement, nous abordons un des outils essentiels utilisé par
l'analyste pour apprécier la situation financière d'une entreprise.
Le fonds de roulement, dont l'entreprise peut disposer d'une façon
structurelle, est l'excédent des ressources permanentes sur les valeurs
immobilisées. Il se calcul à l'aide des postes du haut de bilan ou par les postes du
bas de bilan.
Donc, le fonds de roulement représente la part des capitaux permanents,
affectés au financement du cycle d’exploitation. Il définit en conséquence,
l’aptitude de l’entreprise à financer son cycle d’exploitation par des capitaux
stables. On peut ainsi le considérer comme une marge de sécurité.
Cette définition donne, outre la façon de calculer le fonds de roulement, un
objet à l'excédent ainsi dégagé ; celui de financer les besoins liés au cycle
d'exploitation.
Elle représente l'avantage de serrer la réalité au plus prés, car elle souligne un
fait important, à savoir que, dés la création d’une entreprise, il y a un fonds de
roulement, qui ne cesse par la suite de se manifester, positivement ou
négativement.
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Schématiquement, le fonds de roulement se présente ainsi ;
Par le haut du bilan :
FR= capitaux permanents –
actifs immobilisés
Capitaux permanents
Fonds propres.
Dettes à long terme
Actifs immobilisés
FR
Actifs circulants
Valeurs d’exploitation.
Valeurs réalisables.
Disponibilités.
Dettes à court terme
FR
FR= Actifs circulants –
Dettes à court terme
Par le bas du bilan :
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Il existe de déférentes formes du fonds de roulement, on trouve quatre