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Mise en scne Louise Dudek
de Fanchon Tortech
Avec La Perret & Vincent Marguet
Scnographie & vido Charlne Dubreton
Cration sonore Rmy Peray
avec la complicit de lAmiral B, le soutien du Moulin Louviers,
de la Scne Nationale de Dieppe, des ditions Lansman et du CRED
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La Rage se passe en 1915 ; cest une histoire dclats dobus et de
soleils percs, du temps o les garons jouaient encore la guerre, et
les filles la poupe. Ma, 19 ans, marin et dserteur, croise la route
dAnna, 16 ans, marie et dj veuve aux premires tranches pour lun
comme pour lautre, lhorizon est bouch, et pourtant Ma et Anna,
petit feu, vont se redonner lun lautre le got des vents du large
jusquau drame ? Ce nest sans doute pas une histoire damour, mais
dadolescences fleur de peau, de tatouages, de bords de falaises et
dappels dair. Une histoire dincendies. Il y a 100 ans ou si
peu.
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La Rage parle dun temps o les petits garons jouaient encore la
guerre, et les petites filles la poupe. Une histoire dangles briss,
de falaises, de feux dartifice, et de feux follets. Une histoire
dincadescences, d fleur de peaux, pour les adolescents daujourdhui,
ou d-venir.
Jai voulu un texte pour adolescents, un texte qui en ces temps
de commmorations ne clbre rien dautre que lnergie si grande
queux-mmes oublient parfois. Mais un texte aussi en pointill qui
rappelle quil y a cent ans ou si peu on navait pas le choix de
grand-chose. Il y avait pour les unes la seule solitude ou le mari,
les enfants , pour les autres la patrie la guerre, ou la prison.
Des routes quon prenait sans y penser vraiment par
confort-conformisme, ou bien des choix trs graves soupeser serr si
lenvie vous prenait dun seul pas de ct.
Les adolescents daujourdhui ont le choix en France, du moins, si
lon en croit ce que lon y dit. Choisir son orientation, notamment
lorientation la bien-nomme Mais sait-on sorienter, sen aller
lOrient est-ce quon va quelque part, vraiment, quand on attend que
lheure de cours se passe, que la nuit tombe ensuite, que lanne file
enfin ? Pour tre au bout de tout plus libre mais plus libre de quoi
? De faire ce quon a laiss faire, de cueillir le temps enfin qu on
a laiss filer ? Je voulais a, je crois, parler de leurs vertiges,
de ce temps qui stire, et de linstant surgi o lon dcide, allez
savoir pourquoi, davoir le choix. Ou bien quon ne la plus. Ce qui
revient au mme, au fond. Allez. Picorer je lespre des points
dinterrogation ronds comme les joues denfants qui fondent au temps
qui coule.
Ni juge, ni partie ni nostalgique ni critique , rendre hommage
bien sr leurs adolescences. Au changement de peau. la peau qui fait
mal en grandissant trop vite. cette enveloppe-l quon ne reconnat
plus. Quon voudrait sienne, et autre. Parler de tatouage semblait
donc juste, et beau. Avant se tatouaient ceux qui avaient voyag (
ou bien connu la guerre, la prison, la prostitution des lieux o lon
a plus quailleurs ncessit de voyager les yeux ferms et de mieux se
(re)connatre.
Note dcriture
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Et maintenant ? Quelles mers traverses, quels travaux accomplis,
quels souvenirs enfouis se racontent sur les peaux dados ? Pour
quelle reconnaissance ? Pour quelle naissance soi ? Pour la beaut
du geste, le plaisir et leffroi ? Pour le dsir du bout des doigts
toucher la peau de lautre, oser, tre touch ? Pour tout ce que de
sens recle la sensualit de lencre et de la douleur, pour leur
parler deux, eux, cri-re le tatouage L encore, des portes closes et
des cls trouver moins que Barbe Bleue ne les prfre fermes. Bref.
Parler de frontires. Relles ou fantasmes. La peau, la frontire
dedans / dehors, intime / extime ( est-ce quon pourrait dire a ? ),
ce quon est et ce quon donne voir, ce quon laisse croire. Le port,
la falaise, lintrieur des terres do lon peroit, comme il se doit,
tonner le canon et puis sonner le glas et la mer merveilleusement
vertigineusement ouverte et interdite. La frontire aussi entre
garons et filles. Ce nest pas une histoire damour, disent-ils, ce
nest pas le propos . Ou alors si, si peu. Mais parler delles plus
fortes, plus sauvages ? Mais parler deux.
Jespre des mots parls, donc, des mots-musiques pour parler de
tout a. Pour du vent lectrique dans les voiles baisses. Des bouches
closes aux paupires scelles qui par-del 100 ans bourdonneraient
cho.
4 Fanchon Tortech
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5Paru dans une version courte aux ditions Lansman, La Rage a t
laurat de lappel textes lanc conjointement en mai 2014 par la SACD,
lditeur Emile Lansman et le Thtre de Grasse, scne conventionne pour
la danse et le cirque, sur le thme Terre Eau Territoire /
1914-2014, un sicle dhistoires . Le 29 novembre 2014, Grasse, lors
du festival Ouvert la Nuit , 250 passagers embarqus ont entendu les
premiers les clats rageurs lus par Mathilda May. La Mditerrane
dautomne sembrumait au lointain. Le dbut dun voyage, on lespre, des
matelots vers dautres mers.
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La Rage parle de choix. De quels choix et quels espoirs on a
quand on est adolescent. La Rage parle de libert. Libert de ne pas
se battre, libert dtre une femme sans enfant, libert de dcouvrir,
de partir, de ne pas se conformer aux schmas. Cest une histoire qui
se passe il y a cent ans. Et pourtant, mme si le contexte nest plus
du tout le mme, la question du choix reste l. Quels choix pour
quelle vie ? Et quelle libert et espoirs ensuite ? Des questions
cruciales au moment de ladolescence.
Ce texte, aux accents de Kolts, est une matire dont les comdiens
vont semparer. Ce sont des phrases au rythme du roulis des vagues.
Des mots choisis, qui ont des parfums dtoiles : lisse, fortune,
hauban, boutte, pissure, sextan et constellations , comme le dit
Ma.
Cest une adresse directe au spectateur, que cent ans sparent des
personnages. Deux temps, deux poques se chevauchent et se font cho
; la Premire Guerre mondiale et notre temps, 1915-2015. Entre la
narration, ladresse au spectateur et les scnes joues, les
personnages vont et viennent. Entre notre poque et la leur, car
au-del des vnements, cest bien lhumanit quils questionnent,
lhumanit et la libert. Des questions bien prsentes en ce dbut de
sicle.
Le trait dunion ? La jeunesse et ses rves et ses empchements, il
y a cent ans, la guerre, et aujourdhui ? Cest une pice sur les
espoirs des jeunes gens, sur leur envie de libert. Comment mieux
sentir cette libert quen la chantant ? Il y aura donc des chants
bruts, comme lon simagine des chants de marins, un violon, des
voix. Et de la musique lectronique qui prend le relais. Tout coup,
tout bascule et pour un moment ces deux personnages font un bond de
cent ans, incarnent nos adolescences, nos adolescents du xxie
sicle.
Cest un mlange de pass et de prsent dans lequel sinvite la
technologie, la vido, qui projette sur la peau des comdiens et au
sol les cartes, les dessins, et en lair les constellations et les
voyages pas encore faits.
Note dintentionmise en scne
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Au dpart, les deux personnages sont sur scne, tout le temps, lun
dans une pnombre quand lautre prend la parole. Lui dessine, sur du
papier ou sur sa peau, nettoie ses aiguilles, pense la mer. Elle,
dans son cocon, rve, se maquille en cachette, joue du violon et
crit des chansons. Fais ce que les filles de cette poque faisaient.
Le temps stire, car pour eux, il ny a rien faire qu attendre.
Attendre la rencontre qui change tout, attendre que la guerre
finisse enfin.
Ces deux espaces, dessins par la lumire, se rencontrent,
sentrechoquent, mme, et se mlent au fur et mesure que lon avance
dans lhistoire. Ce sont des frontires artificielles qui
disparaissent. La frontire fille-garon, dedans-dehors. Des espaces
qui souvrent, silluminent, se colorent. Des accessoires qui passent
dun espace un autre, un joyeux bazar qui sinstalle et brouille les
frontires.Et les sons viendront englober le tout. Des sons
retravaills, tordus, des paysages sonores lectro-acoustiques qui
mleront le rel et le fantasm. Les sons bruts et les sons rvs.
Cette pice questionne sur ce que cest que dtre une jeune femme,
en 2015, au regard de ce que cela impliquait lpoque. Et un jeune
homme ? Le socle de cette pice, cest le passage, le changement,
louverture au monde et aux autres. Changement de sicle, changement
de pays ou de ville pour les personnages, la fin. Et surtout
changement de peau.
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Louise Dudek
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Charlne Dubreton travaillera sur les accessoires et les costumes
lis cette histoire et ces personnages, comme lon rentrerait dans
leur intimit dadolescent, par les quelques choses quils possdent,
un rouge lvres, un stylo ou un crayon. Objets grce auxquels ils
cherchent un peu de libert, grce auxquels ils rsistent
silencieusement. Cest la vido qui, certains moments, nous montrera
les corps de trs prs, films en direct. dautres moments, elle nous
montrera les tatouages, projets sur le corps des comdiens, ou, de
faon plus onirique, les rves et les voyages pas encore faits. La
vido sera envisage comme un moyen de montrer lintimit de ces
personnages, de les saisir comme nos anctres et de les envisager
comme nos contemporains. Car ce qui nous intresse, cest ce qui nous
lie ces personnages, lhumanit profonde.
Rmy Peray travaillera sur les paysages sonores de la pice, en
lctro-acoustique, partant de sons rels quil transformera, qui nous
plongeront dans une atmosphre la lisire de ces deux sicles, celui
des personnages et le ntre. Des sons proches et parfois lointains,
parfois fantomatiques et parfois bien rels. La lumire viendra
dessiner des espaces qui sagrandiront et se coloreront, au fur et
mesure que lon avance dans la pice, comme pour signifier louverture
au monde et lautre. Les espaces rectilignes, ferms, sarrondiront,
laissant envisager un horizon, un ailleurs.
Scnographie cration son & vido - lumires
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VINCENT MARGUET comdien
Vincent est form lcole Acting International dirige par Robert
Cordier Paris. Cest aussi dans cette cole quil rencontre Oleg
Liptsin, ancien lve et comdien dAnatoli Vassiliev. Celui-ci linvite
alors pour suivre le Master de Mise en scne quil dirige en Ukraine,
lUniversit Thtrale de Kiev, ceci pendant deux annes. En Ukraine,
ses rencontres l amneront jouer dans des projets interna-tionaux et
dans des laboratoires thtraux. Ainsi, il jouera dans La Cerisaie de
Tchekhov avec des universitaires de Kiev et de Tawan, dans La Femme
Serpent de Gozzi avec lAtelier 16 de Kiev et Mozart et Salieri de
Pouchkine au centre culturel de Vilnius. En tant que comdien, il
joue notamment dans La Femme dun Autre de Dostoevski au Sudden
Thtre, Le Monte-plats de Pinter au Bouffon Thtre, Cabaret daprs
Tardieu au thtre de Mnilmontant, Gouaches de Serena aux Arnes de
Nanterre, Les Visionnaires de D. De Saint Sor lin, LEvasion de Kamo
daprs Pennac... En tant que metteur en scne, il monte La
Contrebasse de Patrick Sskind ( Petit Molire du meilleur seul en
scne ) et Deux Frres de Fausto Paravidino. Actuellement, il joue
dans Le Matre Porcher daprs Andersen ( Avignon 2015 ), Les
Bienfaisants de Raphal Thet et les Ptits Mythos de Graldine
Szajman. Paralllement, il donne des cours de Thtre, que ce soit
pour enfants ( Comdie Tour Eiffel ), ou pour professionnels (
Acting International ), joue dans des collges, lyces et maisons
darrt du thtre intractif de prvention.
LA PERRET comdienne
La Perret se forme au Conservatoire du xxe arrondissement de
Paris, puis lcole du Studio dAsnires avant de rejoindre lERAC (
cole Rgionale dActeurs de Cannes ). Comme comdienne, elle travaille
notamment sous la direction de Giorgio Barberio Corsetti ( La
Famille Schroffenstein Gymnase Saint-Joseph Avignon In), Nadia
Vonderheyden ( Les Draps Festival Hiwarat, Thtre de lAquarium,
tourne internationale ), Catherine Marnas, Marcial Di Fonzo Bo,
Laurent Gutmann...
Biographies
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Au cinma, elle tourne dans Imago ( long mtrage ) sous la
direction de Cyril Teste, avec Arno dans Parade Nuptiale sous la
direction dEmma Perret, et dans la srie V.E.T.S., actuellement en
cours de dveloppement. Elle cre la compagnie Les Naines Blanches en
2014 et mettra en scne La Fin du Monde - Rcration en 2015. Attire
par la ralisation, elle crit aussi des courts mtrages, dont Sir
Magic Alexander, slectionn au Festival de Nice et en pr-production
chez HKS Productions.
LOUISE DUDEK mise en scne
Titulaire dun Master 2 dtudes anglophones mention thtre
contem-porain et dun M2 de mise en scne et dramaturgie de
luniversit de Poitiers, Louise avait auparavant suivi trois annes
de formation en danse jazz et art dramatique au conservatoire du
xxe arrondissement de Paris. Elle a suivi des stages de pratique
avec Elise Vigier, Pier Lamand, Nicolas Bigards,Roland Schn,
Jean-Yves Ruf. Au thtre du Rond-point elle a crit, mis en scne et
jou dans des formes courtes trois annes conscutives. Au cours de
ses tudes, elle a particip en tant quassistante la mise en scne et
dramaturge une mise en espace de La Centrale de Virginie Barreteau
au CDN dOrlans et au comit de lecture du CDNO. En 2011, elle est
stagiaire assistante sur les pices Jours Souterrains (mes Jacques
Vincey) au Studio Thtre de Vitry et la scne nationale dAubusson et
LEnttement (mes Elise Vigier et Marcial Di Fonzo Bo) au 104 et au
TGP. De juillet 2011 juillet 2012, elle a travaill pour Christine
Dormoy et la compagnie de thtre lyrique Le Grain, Thtre de la Voix.
Elle est dramaturge et assistante de Rebecca Chaillon pour LEstomac
dans la peau, projet laurat du CNT pour laide la cration
dramaturgies plurielles, ainsi que sur Je vais te donner une bonne
raison de crier. Avec la compagnie M42, entre 2011 et 2014, elle
est en rsidence lespace Icare ainsi quau thtre du Hublot Colombes
pour la cration de sa premire pice jeune public La fabuleuse
histoire de la jeune fille qui cherchait la mer ainsi que dune
criture de plateau jeune public Et je resterai l toute la nuit sans
faillir. Avec le thtre du Hublot, Louise crit et met en scne deux
spectacles de thtre en appartement qui seront jous une vingtaine de
fois chacun. Louise met galement en scne Le Suicid de Nicola Erdman
(2013) ainsi que Quadrille de Sacha Guitry (2014) avec une troupe
damateurs et donne des ateliers thtre dans des structures sociales
et des coles. Elle a galement travaill en tant que metteur en scne
avec lauteur Guillermo Pisani.
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FANCHON TORTECH auteure
Ne en rgion parisienne il y a 29 ans, Fanchon Tortech a depuis
beaucoup dmnag, et crois durant ses annes tudiantes la pratique et
la thorie, en flirtant plus ou moins prs avec le thtre, la musique,
la danse, le conte, les lettres modernes et la communication
politique et publique. Avec deux bacs + 5 et un vaste champ
dinconnus en poche, elle exerce son militantisme depuis 2007 aux
relations avec les publics, en scnes nationales ou festivals
internationaux, en France, au Canada, ou plus encore au sud de
lAmrique. Elle sest galement engage dans plusieurs projets
dinsertion, a travers lAtlantique la voile, et particip une petite
dizaine de crations tudiantes, amateurs ou professionnelles,
musicales ou thtrales. Membre active de lAmiral B., qui tente
dassocier textes, prtextes et territoires, elle traduit, crit,
raconte quelques histoires, et espre bien ne pas en rester l.
RMY PERAY cration son
Rmy a mont, avec Patricia Audo, sa propre compagnie, Lcrit du
son. Tailleur de sons sur mesure, manipulateur doscillateurs,
toujours la recherche du son perdu, de lchantillon invers. Pour
avoir un aperu de son travail : www.lecritduson.com
CHARLNE DUBRETON scnographie
Charlne sest forme lcole Suprieure des Beaux-Arts dAngers et la
Facult Armando Alvarez Penteado , Sao Paulo - Brsil. Pour le
spectacle vivant, elle travaille avec Laure Verdier, Margot
Simmoney, Ccilia Bengola et Franois Chaignaud. Elle travaille
galement en tant que cheffe dcoratrice ou accessoiriste pour
diffrentes publicits, courts mtrages et clips. Elle mne
paralllement un travail de recherche plastique personnel dont vous
pouvez avoir un aperu sur le site www.charlenedubreton.com
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Revues de presse
Coup de coeur du site Enlarge your Paris
La fabuleuse histoire de la jeune fille qui cherchait la mer
Mention spciale du magazine Stylist
La fabuleuse histoire de la jeune fille qui cherchait la mer
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Revues de presse
ELLE en raffole
La fabuleuse histoire de la jeune fille qui cherchait la mer
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Contacts
Agenda
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Artistique :
Louise Dudek06 45 51 69 [email protected]
Sige social :
8 rue du Fort-Chtillon 76200 Dieppe
SIRET: 527 541 767 00028
Licence dentrepreneur de spectacles n 2-1051115
Administration/production :
Amandine [email protected]
Rsidence au Moulin, Louviers, du 15 au 19 fvrier, prsentation de
travail en cours le 19 fvrier 15h.
Rsidence au studio de Dieppe Scne Nationale du 5 au 10 septembre
2016, prsentation de maquette en octobre 2016
Le texte La Rage est publi aux ditions LansmanPhotos p.2 / p.4
extraites de lexposition Tatoueurs tatous, muse du quai BranlyPhoto
p.6 Nuit toile Charlne DubretonIllustration et mise en pageAlice
Saey www.alicesaey.com
Avec le soutien de