SOMMAIRE REMERCIEMENTS La réalisation de ce projet n’aurait pu se faire sans l’aide précieuse de nombreuses personnes qui nous ont soutenus tout au long de … . C’est pourquoi, à l’aube de la présentation de notre travail, souhaiterions-nous leur adresser notre pleine reconnaissance pour tous les sacrifices consentis. Nous remercions en premier lieu, Monsieur Nicolas Guillet, maître de conférences de droit public à l’université du Havre qui, étant notre tuteur, nous a accompagnés tout le long de cette période par son suivi régulier, ses conseils pertinents quant à l’organisation et l’avancement de notre travail mais aussi pour sa disponibilité pour répondre aux problèmes que nous avons rencontrés. Nous voulons exprimer nos sincères remerciements à Monsieur Marc Hedrich, doyen des juges d’instruction du Havre et secrétaire de l’association des amis de Jules Durand pour les entrevues qu’il a bien voulu nous accordé. Ses conseils avisés sur l’organisation de la journée, et ses propositions quant à la recherche d’intervenants, nous ont été fort utiles et ont assuré notre progression. Nous aimerions également remercier notre responsable de master 2 Mme Joana GUILLAUME, professeur de droit privé à l’université du Havre. Enfin, nous adressons nos remerciements à tous les théoriciens et praticiens contactés qui ont bien voulu prendre part au
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SOMMAIRE
REMERCIEMENTS
La réalisation de ce projet n’aurait pu se faire sans l’aide
précieuse de nombreuses personnes qui nous ont soutenus tout au
long de … . C’est pourquoi, à l’aube de la présentation de
notre travail, souhaiterions-nous leur adresser notre pleine
reconnaissance pour tous les sacrifices consentis.
Nous remercions en premier lieu, Monsieur Nicolas Guillet,
maître de conférences de droit public à l’université du Havre
qui, étant notre tuteur, nous a accompagnés tout le long de
cette période par son suivi régulier, ses conseils pertinents
quant à l’organisation et l’avancement de notre travail mais
aussi pour sa disponibilité pour répondre aux problèmes que
nous avons rencontrés.
Nous voulons exprimer nos sincères remerciements à Monsieur
Marc Hedrich, doyen des juges d’instruction du Havre et
secrétaire de l’association des amis de Jules Durand pour les
entrevues qu’il a bien voulu nous accordé. Ses conseils avisés
sur l’organisation de la journée, et ses propositions quant à
la recherche d’intervenants, nous ont été fort utiles et ont
assuré notre progression.
Nous aimerions également remercier notre responsable de master
2 Mme Joana GUILLAUME, professeur de droit privé à l’université
du Havre.
Enfin, nous adressons nos remerciements à tous les théoriciens
et praticiens contactés qui ont bien voulu prendre part au
projet en acceptant d’intervenir sur les différents thèmes de
la journée.
Le présent rapport de projet tutoré rend compte de
l’organisation d’une journée d’étude sur l’affaire Jules
Durand, mettant en avant l’évolution des droits de l’Homme
d’hier à aujourd’hui.
INTRODUCTION
Dans le cadre de la formation du Master 2
professionnel option Carrières judiciaires de l’université du
Havre, la validation du diplôme de fin d’études passe par la
réalisation d’un projet tutoré qui doit se faire avant la fin
du second semestre. Plusieurs propositions étant alors faites
en début d’année académique par des encadrants aux étudiants,
il leur est laissé une période plus ou moins long afin de leur
permettre de faire un choix mûrement
réfléchi. Ces projets synthétisent le fruit d’une collaboration
entre un groupe d’étudiants et le tuteur. Ils ont pour but
d’évaluer notre capacité d’adaptation face aux impératifs profe
ssionnels en nous faisant découvrir par exemple cequ’estle
travailde groupe ou encorel’implicationd’autruisur notre
travail. Ce projet colle parfaitement avec les enjeux
professionnels auxquels nous prépare le Master.
Parmi les propositions faites, nous avons choisi Le projet,
présenté par M. Nicolas Guillet, car celui- ci semblait le
mieux correspondre à nos attentes.
Le présent rapport rendra ainsi compte de l’organisation d’une
journée d’étude sur l’affaire Jules Durand, mettant en avant
l’évolution des droits de l’Homme d’hier à aujourd’hui.
Il semble tout à fait logique de commencer par présenter le
projet en revenant sur son contexte, sa description, ses
objectifs et intérêt dans une première partie (I).Ensuite il
conviendrait d’ exposer le travail accompli. Ce qui
reviendrait à décrire les moyens mis en œuvre de même que la
démarche adoptée pour mener le projet à son terme et enfin les
difficultés rencontrées (II). La dernière partie(III) de ce
rapport sera réservée au déroulement de la journée.
A. Contexte
Un siècle pourtant écoulé, l’affaire Jules Durand suscite
toujours autant d’intérêts. Cela est attesté par la
multiplicité d’écrits, d’émissions, de colloques centrés sur
cette affaire. On a même assisté à la création d’une
association des amis de Jules Durand. Cette affaire n’a pas
échappé aux étudiants de l’université du Havre qui ont bien
voulu organiser une journée d’études y faisant référence.
Toute cette agitation autour de l’affaire cache la crainte que
cette dernière tombe dans l’oubli. La raison en est que jusqu’à
présent, personne n’arrive à s’expliquer cette terrible erreur
qu’a commise la justice à cette époque : la condamnation à mort
d’un innocent. C’est d’ailleurs la plus grosse erreur
judiciaire qui ait pu prendre forme au 20 eme siècle, lui
valant d’être qualifiée de << l’affaire Dreyfus de la classe
ouvrière >> en référence à cette célèbre affaire relative à une
erreur judiciaire qui a été commise le siècle précédent. C’est
dans ce cadre que se situe notre réflexion.
L’affaire Jules Durand remonte au début du 20 eme siècle. Né le
6 Septembre 1880, Jules Durand qui a très tôt intégrer le
monde du travail s’intéresse rapidement à la lutte des classes.
Il devient ainsi secrétaire du syndicat corporatiste des
charbonniers du Havre. En 1910, alors qu’une grève est lancée
par ce syndicat contre « l’extension du machinisme, contre la
vie chère, pour une hausse des salaires et le paiement des
heures supplémentaires », un ouvrier non gréviste est assassiné
au cours d’une rixe par des grévistes. Jules Durand est alors
accusé sur la base de faux témoignages d’avoir fait voté, et
commandité le meurtre .Il est par la suite inculpé, en même
temps que sept autres syndicalistes, sous le chef
de :<<incitation et complicité de meurtre>>.
Transféré devant la cour d’assises de Rouen, Jules Durand est
victime d’une machination patronale et de la justice des
classes. Il est alors le seul à se voir condamner à la peine
capitale dans cette affaire .Sa condamnation à mort a été à
l’origine de nombreuses protestations qui ont engendré des
perturbations de très grande ampleur au Havre, puis partout en
France et même au-delà des frontières nationales. En effet, des
mouvements sont nés aux Etats-Unis et en Angleterre pour
apporter leur soutien à Jules Durand. La ligue des droits de
l’Homme a elle-même lancé un mouvement contre cette injustice à
l’ égard du syndicaliste.
Face à tous ces mouvements, le président de la république
Armand Fallières décide de commuer sa peine de mort en sept
ans de réclusion criminelle. Néanmoins, en dépit de cette grâce
partielle, les mouvements n’ont cessé de réitérer leur
protestation.
En raison de la dégradation de son état de santé psychique,
Jules Durand est libéré le 15 février 1991 pour se faire
interner à l’asile psychiatrique au Havre.
C’est finalement le 9 août 1912, suite à un pourvoi en révision
déposé par son avocat René Coty persuadé qu’il obtiendrait
gain de cause dans cette affaire , qu’un arrêt de la cour de
cassation à l’issue d’une contre-enquête établissant la
machination des cadres de la compagnie générale
transatlantique et les faux témoignages ,casse l’arrêt de la
cour d’assises qui avait condamné le syndicaliste. Seulement,
l’état psychique diminué de Jules Durand rendait impossible la
tenue d’un nouveau procès devant la cour d’appel.
Il a fallu attendre qu’une loi en 1917 soit votée pour
permettre à la cour de cassation de statuer au fond sans renvoi
devant la cour d’appel en cas de démence, pour que celle-ci
reconnaissent définitivement l’innocence du syndicaliste en
1918.
Malheureusement, terrassé par l’injustice de sa condamnation,
il meurt fou à l’asile à Rouen en 1926 sans savoir que la cour
de cassation l’avait finalement innocenté.
B-Description du projet
Notre projet tutoré a consisté en l’organisation d’une journée
d’étude ayant pour support l’affaire Jules Durand au sein de
l’Université du Havre. Cette affaire nous offrait un cadre
parfait pour l’analyse de l’évolution des droits de l’Homme
depuis l’époque de Jules Durand jusqu’à aujourd’hui. Au cœur
de cette affaire en effet, ressortent différentes
problématiques juridiques qui méritaient d’être mises en avant
dans le cadre de notre projet : les droits collectifs des
travailleurs, la procédure pénale, et les droits de la défense
au sein d’une telle procédure.
L’idée était donc de partir de l’affaire Durand, pour aborder
ces questions, et orienter en ce sens la journée d’étude que
nous allions organiser d’où le thème choisi: l’affaire Jules
Durand et les droit de l’homme : d’hier à aujourd’hui.
Un tel projet n’avait jamais été mis en œuvre auparavant à
l’université. Certes, les 13 et 14 novembre 2013 avait eu lieu
une conférence débat et une journée d’études sur l’affaire JD ;
cependant, celle-ci n’avait pas été organisé par des étudiants.
Elles avaient plutôt été à l’initiative de l’association des
amis de Jules Durand. Par ailleurs elles étaient plus axées sur
l’affaire en elle-même, son aspect historique. En ce sens,
notre projet était innovateur et se distinguait dans la mesure
où il ne s’agissait pas de relater l’affaire Jules Durand,
débattre sur ses points sensibles, et reprendre toutes les
questions qui se sont posé jusqu’à ce jour dans le monde des
travailleurs, en milieu judiciaire ou encore dans le domaine de
la littérature, mais juste de l’exploiter en tant que support
pour traiter de problèmes Juridiques.
Pour la réalisation de ce projet, nous avons été guidés par
notre Professeur M. Nicolas Guillet avec qui nous échangions
au cours de ces dernier mois pendant toute la période de
préparation par des correspondances et par courriels. Il nous
est également arrivé de tenir des réunions à la salle du PRSH à
l’université du Havre afin de prendre des décisions concernant
l’organisation ; et de s’assurer que tous étions au même niveau
d’information s’agissant de l’état d’avancement des préparatifs
de la journée.
A cette occasion, nous avons surtout débattu de questions
relatives au thème qui devaient faire l’objet d’analyse, aux
différentes interventions et au financement de la journée
d’étude.
C-Attentes et motivations (personnelles)
Notre choix s’est porté sur ce projet tutoré en particulier
pour diverses raisons.
En effet, nous savions dès le départ que l’organisation d’une
journée d’étude requérait toute l’implication des acteurs en
ce sens qu’un travail énorme devait être fourni pour arriver à
nos fins .Il s’en est suivi qu’ en participant à la
réalisation d’un tel projet, nous aurions eu l’opportunité
d’avoir un aperçu des réalités du milieu professionnel. Ce qui
nous aurait permis sans aucun doute de développer certaines
qualités comme le sens des responsabilités, la prise
d’initiative, le travail en groupe. C’est l’une des raisons qui
nous a poussés à rejoindre les participants à ce projet.
Par ailleurs, très sensible aux problématiques abordés au
cours de ce projet à savoir les questions relatives au droit de
l’Homme, en raison de l’importance du sujet dans nos sociétés
actuelles.
Enfin, ayant l’intention de passer l’examen du CRFPA, nous
avons tout de suite su que cette expérience serait très
enrichissante d’un point de vue intellectuel et nous serait
utile pour la préparation de nos épreuves de procédure pénale
et liberté fondamentales.
D.Objectifs
Si nous avions l’intention d’apporter notre part contributive
aux recherches et études destinées à la réhabilitation de la
mémoire du syndicaliste martyre, notre acharnement tout au long
des précédents mois pour la préparation de ce projet était
également guidé par d’autres buts.
En effet, nous voulions, eût égard à la qualité des
interventions , à la pertinence des sujets que cette journée
soit pour tous l’occasion d’acquérir un maximum de connaissance
et d’ enrichir ses acquis.D’ailleurs la sélection des
intervenants s’est faite en fonction de cet objectif .Nous
voulions à la fois des théoriciens et des praticiens
spécialistes de chacun des thèmes, afin de pouvoir mettre en
relation les différents avis de ces intervenants et ainsi
permettre à chacun de se forger sa propre opinion.
Nous pensions enfin à dénoncer les failles afin de prévoir
des solutions pour l’avenir.
E.Intérets(pour tous)
L’erreur judiciaire reste un risque auquel les justiciables
sont à tout moment exposé. Il existe certes des mesures mises
en place afin de les éviter ; et même souvent destiné à
réparer l’erreur. Mais le risque demeure en ce sens que les
juges ne prononçant leur verdict qu’en fonction de preuves qui
sont soumise à leur appréciation, il est indéniable que comme
dans l’affaire Jules Durand, des éléments de preuves, mal
exploité puisse corroborer une version des fait qui ne
s’apparenterait pas à la réalité, et faire accuser à tort une
personne innocente .La question revêt donc toute son
importance….
A cela il faut ajouter l’actualité des débats relatifs aux
questions des droits de l’Homme.
II.la préparation du projet
La réalisation du projet a nécessité la mise en œuvre d’un
certain nombre de moyens qu’il convient d’exposer ici. Il
s’agira tout d’ abord de présenter les moyens humains(A),
puis les moyens financiers(B) avant d’envisager les moyens
matériels (C).Il faudra également traiter de la démarche
adoptée tout au long de la préparation du projet (D). Enfin il
faudra parler des difficultés.
A. Les moyens humains
Il s’agit ici de traiter des acteurs du projet (1) et de la
répartition des tâches.
1. Les acteurs du projet.
La journée d’étude a été organisée par un groupe
d’étudiants(a) sous la direction d’un tuteur (b).
a. Les étudiants, acteurs du projet
Au départ, notre groupe était constitué de cinq étudiants tous
issus du master 2 carrières judiciaire de l’université du
Havre .Il s’agit de :
-Nadia-Inès GOHOUROU, auteur du présent rapport
-Antoine FEVRIER
-Josiane AMAN
-Bayoronon OUAYOU
-NAWAL
Cependant, à partir de la fin du mois de décembre, nous avons
dû continuer notre travail sans Mlle NAWAL qui a eu à quitter
le Master. Cette première difficulté ne nous a pas découragés
dans la poursuite de notre projet. Mais au contraire nous a
poussés à mieux nous organiser.
b). Le tuteur
Notre tuteur, pendant toute cette préparation a été Monsieur
Nicolas GUILLET, Maitre de conférences de droit public à
l’université du Havre. C’est lui qui a eu l’initiative de ce
projet auquel nous avons tous adhéré.
2) La répartition des taches
S’agissant de la répartition des taches il faut dire qu’elle
n’était pas véritablement tranchée.
Le seul point sur lequel nous étions entendus dès le départ
était la répartition des thèmes entre nous afin de pouvoir
préparer un exposé introductif mettant en rapport l’affaire
Jules Durand et le thème qui devait être abordé par chacun des
intervenants.
Tout au long de la préparation du projet, nous avons improvisé
sur ce point, et nous soumettions toutes nos idées et
initiatives à l’approbation de tous et surtout de notre tuteur.
Cela, afin de mieux tirer profit de ce projet. Ainsi en
résumé :
Concernant la recherche d’intervenant :
Mlle GOHOUROU Mlle AMAN ET MLLE OUAYOU ont pris contact avec
Maitre VIGIER, avocat pénaliste au barreau de Rouen, qu’elles
ont dans son cabinet à Rouen, pour lui proposer de faire partie
des intervenants.
Mlle Nawal quant à elle s’est chargée de prendre contact avec
Mme Isabel …
M. Antoine Février quant à lui…
Pour ce qui est de la promotion de la journée d’étude
La confection des affiches, flyers et programmes a été réalisé
par Mlle OUAYOU Mlle GOHOUROU et Mlle Aman bien entendu en
prenant en compte les critiques de M. Février Antoine et de
notre tuteur
La distribution des flyers, affiches et programmes, la
promotion dans les différents amphithéâtres ont été réalisées
par Mlle Gohourou Nadia et Monsieur Antoine Février
Les préparatifs pour les différentes pauses café:
Élaboration de budget : Priam Ouayou Sur la base d’un budget
qui avait été établi par, nous avons tous porté un regard
critique sur ce budget avant de le soumettre à notre tuteur.
Concernant l’organisation du déjeuner
M. Antoine février s’est occupé d’obtenir un devis du Crous
Mlle GOHOUROU Nadia quant à elle s’est attelée à… devis du
restaurant libanais situé en face de l’université
Les préparatifs pour les différentes pauses café:
Priam Ouayou, sur la base d’un budget qui avait été établi par
certains de nos amis du master à l’occasion de leur projet
tutoré a élaboré, nous avons tous porté un regard critique sur
ce budget avant de le soumettre à notre tuteur.
Mlle GOHOUROU Mlle Aman et Mlle Ouayou se sont occupées de
prendre les devis des pâtisseries et petits fours et de passer
les commandes la veille de la journée d’étude.
Recherche de subventions :
Nous avons par le biais de notre professeur adressé des
demandes de subventions à plusieurs organismes.
Réservation des locaux
M. Antoine février a écrit au responsable du service planning
pour la réservation de l’amphithéâtre 2
Réservation du matériel
Mlle Gohourou Nadia et M Antoine se sont chargés de prendre
contact avec le service de de l’audiovisuel afin d’obtenir des
informations sur la démarche à suivre pour pouvoir disposer des
micros et …. De l’université
B .Les moyens financiers
L’organisation de la journée d’étude a occasionné un certain
nombre de dépenses(2) que nous n’aurions pu couvrir si nous
n’avions pas obtenu de financement de la part de certains
organismes (1).
1) les organismes
Le PRSH :
LE CIRTAI
L’Université du HAVRE
L’association des amis de JULES DURAND
Lexfeim
2) La destination des fonds
Nous avions élaboré un budget prévisionnel pour la réalisation
de notre projet. Ce budget prenait en compte plusieurs
dépenses qu’il convient d’énumérer :
- l’achat des billets de trains aller retours des
intervenants qui ne résidaient pas au Havre : Monsieur
Hugues Vigier résidait à Rouen tandis que ….. venaient
de paris
- le déjeuner : nous avions prévu de convier tous les
intervenants et quelques personnes participant à la
journée d’étude à un déjeuner avant la reprise des
travaux l’après-midi.
- les impressions : pour les
- la pause-café, nous avions prévu pour l’accueil des
participants en début de matinée, une pause petit
déjeuner, également nous envisagions de faire des pauses
café pendant le déroulement de la journée.
C.Les moyens matériels
L’Université du Havre a mis à notre disposition des locaux
et du matériel de
Nous avons bénéficié de l’autorisation de faire usage de
l’amphi 2 pour …, et la salle Jean Monnet pour offrir un
buffet à nos convives lors des différentes pauses
Aussi, avons-nous eu la possibilité d’emprunter les micros
et …
Enfin le service,…. (Mme Zemiac) nous a permis d’utiliser le
percolateur, nous a donné du café, du sucre ……. (À revoir)
D.La démarche
Avant d’entamer ce projet, nous avons constitué un groupe
d’étudiants. Puis au cours d’entrevues avec notre tuteur ou
nous avions défini les grandes lignes du projet. Celui-ci
nous a par la suite donné des moyens de se documenter sur
l’affaire au cœur de notre travail en nous faisant
parvenir un résumé de l’ affaire , des code d’instruction
criminel et du code pénal de 1809, et en nous invitant à
participer aux journées d’études sur l’affaire Jules Durand
des 13 et 14 novembre.
Dans cette partie, il s’agira d’exposer les différentes
étapes que nous avons dû franchir pour parvenir à la
réalisation du projet.
i) la délimitation thématique.
Apres s’être documentés sur l’affaire Jules Durand, nous
avons au cours d’une réunion défini les différents thèmes
qui devraient être traités au cours de la journée. L’affaire
Jules Durand mettait en exergue le droit syndical et le
droit pénal. C’est ce qui a orienté le choix des thèmes.
ii-La recherche d’intervenants
Elle s’est faite en fonction des thèmes qui avaient été
retenus. Au cours d’une entrevue avec notre tuteur, celui-ci
nous a fait des suggestions.
Certains d’entre nous lui ont également proposé de contacter
des professeurs qu’ils avaient pu côtoyer au cours de leur
cursus universitaire. Pour chacun des sujets à traiter, nous
avons choisi de contacter un spécialiste en la matière.
Pour les sujets qui étaient plutôt théoriques, notre choix
s’est porté sur des enseignants. Concernant ceux qui étaient
présentés plutôt sous un angle pratique, nous avons préféré…
des praticiens.
Un autre critère de choix résultait de l’appartenance de
l’intervenant à l’association des amis de jules Durand. Aussi
étions-nous sûrs que le sujet pourrait l’intéresser. Mais il
faut tout de même faire la remarque que si bon nombre
d’intervenants faisait partie de cette association, ce n’était
pas le cas pour certains d’ entre eux.
Nous avons contacté par courriel et téléphone la plupart des
intervenants. Nous avons rencontré certains au cours des
journées d’études des 13 et 14 novembre 2013 sur l’affaire
Jules Durand, et d’autre sur leurs lieux de travail.
v) Détermination du budget
Tout d’abord, nous avons procédé à l’élaboration d’un budget
prévisionnel. Nous nous sommes inspirés d’un modèle de budget
qui avait été déjà établi pour l’organisation d’une journée
d’étude sur la diversité religieuse et que notre tuteur nous
avait fait parvenir.
Nous lui avons par la suite soumis notre travail sur ce point
afin qu’il y apporte des corrections.
Le budget sera annexé
ii)La recherche de fonds (ici je dis juste qu’on a
contacté ….)
Le budget ci-dessus déterminé a permis de connaitre le <<cout
moyen >> du projet. Ainsi nous avons pu adresser, des demandes
de subventions à divers organismes en l’occurrence :
…
i) La délimitation du cadre temporel et l’élaboration du
programme
Si à l’origine nous avons beaucoup hésité sur le fait de savoir
si nous devrions organiser une journée d’étude ou une demi-
journée d’étude, c’est bien parce que nous étions dans
l’incertitude quant à l’acceptation des différents intervenants
présélectionnés de participer à la journée d’une part ; mais
également quant à l’obtention de la totalité des fonds qu’il
était nécessaire de réunir pour mener ce projet .
Il avait donc été prévu que dans l’hypothèse où toutes ces
conditions n ‘auraient pu être réunies, il fallait abandonner
l’idée d’organisation d’une journée d’étude pour adopter celle
d’une demi-journée d’étude. Cette dernière se déroulerait dans
l’après-midi ; et il faut dire que nous préférerions qu’elle
soit axée sur le droit pénal.
Finalement….Ce qui nous a permis d’établir un programme
définitif, en s’appuyant bien entendu sur le programme
provisoire qui avait déjà été élaboré et qui structurait la
journée en deux parties :
La matinée réservée aux droits collectifs des travailleurs
L’après-midi réservée à la procédure judiciaire et droit de
la défense.
S’agissant du choix de la date de la journée, il a été fait en
tenant compte de différents paramètres.
Puisque l’ensemble des projets tutorés du master devait être
réalisé au second semestre de l’année académique, notre
objectif premier était de convenir d’une date qui ne
coïnciderait pas avec celle des autres projets afin de
permettre la participation effective de l’ensemble des
étudiants de la formation.
Aussi souhaitions-nous que cette journée se déroule avant la
période de révision pour les derniers partiels qui devaient
avoir lieu pour notre master, dans la dernière semaine du mois
de mars.
La date choisie devait enfin nous permettre d’avoir le temps
nécessaire pour la préparation du projet.
C’est à la suite de toutes ses considérations que nous avons
opté pour la date du jeudi 13 Mars 2014.
ii) La réservation des locaux et moyens sonores
Pour accueillir les participants et permettre le déroulement de
la journée d’étude, nous avions besoins de locaux .A cet effet,
le responsable du service de planning M. Karmich a été
contacté. C’est ainsi que nous avons pu obtenir l’autorisation
d’utiliser l’amphi 2 dans le cadre de la journée. La salle Jean
Monnet de la faculté des affaires internationales a également
été mise à notre disposition pour nous permettre d’organiser
les buffets qui devaient se tenir à l’ occasion de chacune des
pauses, lors de la journée.
Pour ce qui est du matériel audio et sonore…Nous nous sommes
adressés au service audiovisuel afin de les obtenir. Il a fallu
tout d’abord faire une demande écrite précisant avec exactitude
le matériel que nous désirions emprunter ainsi que la quantité
au doyen de la faculté des affaires internationales avant que
notre demande soit prise en compte par le responsable du
service ci-dessus désigné.
Au total, ont été mis à notre disposition…..
vi) la promotion de la journée
Pour la promotion de la journée d’étude afin d’inciter à sa
participation, nous avons tout d’abord eu l’idée de
confectionner des affiches flyers et programmes donnant des
détails sur le lieu, la date et le moment de la journée
(annexe)
Les affiches ainsi qu’une partie des flyers et programmes ont
été mis dans des lieux où nous estimions que les personnes les
fréquentant seraient intéressées par la journée d’étude : Il
s’agit de l’université du Havre notamment les départements
d’histoire, de droit, le restaurant universitaire, la
bibliothèque universitaire ; la maison de l’université et la
salle des professeurs de la maison des syndicats du Havre, la
bibliothèque de la ville du havre.
Les autres flyers ont été distribués devant l’université du
Havre et dans les amphis, devant la gare du Havre, et devant
la bibliothèque de la ville. Quant aux autres programmes, une
partie a été donnée aux étudiants ; et une autre a été conservé
car destinée à être distribuée le jour de la journée aux
participants.
Ensuite nous avons remis des exemplaires à M. Marc Hedrich qui
s’ est chargé de les mettre sur le site de l’association des
amis de Jules Durand et d’ y faire la promotion de la journée
d’études.
Egalement, certains professeurs nous ont accordé quelque
minutes sur leurs horaires de cours afin que nous puissions
passer dans les amphis parler du contexte, des objectif enjeux
et intérêts de la journée d’étude aux autres étudiants de droit
afin de les inciter à venir y participer , ainsi que du
programme.
Enfin, (vérifier si on n’a pas dit dans les journaux)
vii. l’organisation du déjeuner et des pauses café
Pour ce qui est du déjeuner, nous avions pris en compte le
nombre d’intervenants, le nombre d’étudiants, notre tuteur et
notre responsable de master. Nous avons également prévu une
marge dans l’hypothèse ou d’autres personnes participeraient au
déjeuner. Ce qui nous a amené à établir des devis prenant en
compte au total 20 personnes.
Puisque la pause-déjeuner était courte, nous avions sélectionné
des restaurants à proximité de l’université : le restaurant
universitaire, et le restaurant libanais « Caza de wael » pour
ne pas avoir du retard sur le programme de l’après-midi.
Nous avons finalement opté pour le premier car au vu des
devis, il était le plus économique.
Concernant la pause-café, nous avons fait établir des bons de
commande auprès de … ce qui nous a permis de passer la commande
des petit fours boissons, pâtisseries, verre plastiques.
E. les difficultés
Nous avons été confrontés à un certain nombre de difficulté
lors de la réalisation de ce projet :
Il faut tout d’abord mentionner la perte d’un membre du groupe
à la fin du premier semestre qui s’est ressenti au départ sur
notre travail.
En outre la recherche d’intervenants n’a pas été facile. Nous
n’arrivions pas à trouver des personnes disponibles pour
traiter certains sujets comme par exemple le juge
d’instruction. Il a fallu que M. Heydrich que nous avions au
départ sélectionné pour le thème de la cour d’assises en
raison de sa très grande expérience en la matière, se propose
et nous donne des contacts de personnes qui seraient
intéressées pour le thème de la cour d’assises.
En suite les… autour du financement au moment nous avions
besoin d’effectuer les dépenses. Nous avions eu la confirmation
de notre tuteur, d’avoir obtenu de la part des partenaires que
nous avions contacté, un peu plus que la somme que ce que nous
espérions. De plus avec les réductions des dépenses liés à
certains facteurs comme le refus de certains intervenants de
notre proposition de prendre en charge leur frais de
transport , le choix du restaurant universitaire pour le
déjeuner , nous étions certains de ne rencontrer aucune
difficulté pour les autres dépenses . Seulement lorsque nous
voulions passer les commandes pour la préparation des pauses
café, il nous a été dit que nous ne disposions pas d’assez de
fonds. Il a fallu que notre tuteur intervienne pour que nous
puissions disposer des ressources financières.
Nous avons été enfin face à l’impossibilité de pouvoir répondre
aux attentes de certains intervenants. Notamment l’un d’entre
eux nous demandait de lui fournir un ordinateur pour sa
présentation PowerPoint. L’université ne pouvant nous prêter
ce matériel, c’est encore notre tuteur qui a débloqué la
situation en mettant à notre disposition son ordinateur
personnel.
III.Le Déroulement de la journée
CONCLUSION :
Nous avons finalement conduit notre projet jusqu’à son
terme .Nous pouvons donc en tirer plusieurs critiques qui nous
permettront de dresser un bilan en faisant ressortir les
points positifs et négatifs à retenir.
Nous estimons que la réalisation du projet nécessitait bien
plus de temps qu’il nous a été accordé ; d’autant plus que, la
plus grande partie du travail notamment la recherche de
subventions et d’intervenants devait impérativement être
effectuée durant le premier semestre si nous voulions nous
donner des chances d’atteindre notre objectif. Or ce semestre
se caractérise par un emploi du temps très chargé avec un
volume horaires de cours obligatoires conséquent. Ce qui n’a
pas manqué de nous mettre encore plus de pression.
Cette expérience nous aura toutefois permis d’acquérir des
méthodes ainsi que des réflexes essentiels dans la vie
professionnelle : le travail en équipe, la communication
établie entre nous ont été des moyens très efficaces en ce
sens.
Elle aura également été le lieu d’enrichir nos connaissances.
Grace l’aspect tutoré de ce projet, M. Nicolas Guillet nous a
également aidés à ne pas perdre de vue l’objectif fixé en nous
rappelant les tâches à accomplir, les délais impartis
relativement courts ; et également en prenant les rênes en main
et nous remettant sur le bon chemin lorsque nous rencontrions
des difficultés et que nous nous hasardions à emprunter la
mauvaise voie.
Notre projet tutoré aura donc été très enrichissant tant du
point de vue organisationnel, intellectuel et humain et cet
apprentissage nous aura été bénéfique, car nous aura fait
prendre conscience de notre manque d’expérience. L’expérience
acquise nous permettra donc d’être plus efficace pour les
responsabilités qui nous serons confiés, d’abord lors du stage
qui devra être effectué à la fin de cette année académique,
puis dans notre vie professionnelle future.
Le fait que nous ayons reçu les encouragements des participants
nous amène à dresser un bilan positif de ce projet.