GÉNÉALOGIE RAIL N° 85 « Sous la verrière de Dijon-ville avant 1913 » - Col. Serge DÉCHET Directeur de publication Henri DROPSY Responsable du Bulletin Nelly OLIVEAU NOS ANCÊTRES ……. CERCLE GENEALOGIQUE DES CHEMINOTS …….. ET NOUS ISSN 0986-9964 PU 7 € 3ème trimestre 2006 Dépôt légal septembre 2006
12
Embed
ISSN 0986-9964 GÉNÉALOGIE RAIL N° 85genealogie.cheminots.free.fr/generail/bu85/generail85s.pdf · Dépôt légal septembre 2006. Généalogie-Rail n* 85 Supplément page 2 LA REVUES
This document is posted to help you gain knowledge. Please leave a comment to let me know what you think about it! Share it to your friends and learn new things together.
Transcript
GÉNÉALOGIE RAIL N° 85
« Sous la verrière de Dijon-ville avant 1913 » - Col. Serge DÉCHET
Directeur de publication
Henri DROPSY
Responsable du Bulletin
Nelly OLIVEAU
NOS ANCÊTRES …….
CERCLE GENEALOGIQUE DES CHEMINOTS
…….. ET NOUS
ISSN 0986-9964
PU 7 € 3ème trimestre 2006
Dépôt légal septembre 2006
Généalogie-Rail n* 85
Supplément page 2
LA REVUES DES REVUES(Bulletins reçus des autres Cercles)
1 - D'ONTES SES ? cercle Généalogique Historiqueet Héraldique de la Marche et du LimousinN° 113 - Mai 2006
Bénévent-l’Abbaye – Quartiers (Sauzeau ; Goin) –
L’armorial Mervache – Bagnes et Bagnards, gardiens et
gardés – Les registres de l’émigration –
2 - CERCLE GÉNÉALOGIQUE DU LANGUEDOC.N° 111 – 2
ème trimestre 2006
Quand nos ancêtres brouillaient les pistes – 12 assiettes à
dessert – Les patronymes étudiés – Origine et descen-
dance des migrants gabalitains venus s’installer à Gra-
bels (Hérault)sous l’ancien Régime – le protestantisme
dans les plaines et coteaux du département de l’Hérault
entre 1650 et 1789,à Canet,St Pargoire, Montpeyroux et
St Guilhem – Claude Bert et Claude Berre –
3 - GÉNÉALOGIE 62. Association Généalogique duPas de CalaisN° 90 – 2
ème trimestre 2006
Généalogies de Ricouart ; Lempereur ; Gamot–Herma-
ry ; Cailliez-Fontaine ; Parisis-Warnault ; Barrière ; Ma-
L'Union des cercles généalogiques d’entreprisesPropose :
Les Archives départementales deSeine-et-Marne à Dammarie-Lès-Lys
Vendredi 15 septembre 2006 (20 personnes maximum)
Les personnes qui le souhaitent pourront rester pour leurs recherches l’après-midi.
Attention la carte d’inscription aux AD 77 est payante : 2 ∈∈∈∈
Les autres pourront visiter le site de l’Abbaye du Lys (ruines) et ses jardins.
Rendez-vous à 10 h
Archives départementales de Seine-et-Marne
Conférence : « Les sages femmes »
par Mr Pierre Lecomte
Samedi 7 octobre 2006 à 14 h 30Salle U.A.I.C.F.
Siège du Comité d'Établissement des Directions Transverses
1 rue de Saint-Petersbourg
75008 Paris – Métro Europe, Rome, St Lazare
Musée des transports urbains(25 personnes maximum)
Jeudi 19 octobre 2006Rendez-vous à 14 h 15
Ancienne usine des constructions aéronautiques, cet endroit est le site de préfiguration dufutur musée des transports urbains (anciennement à St-Mandé) qui détient une collectionexceptionnelle de matériels, outillages et objets illustrant plus de 100 ans d'histoire des
transports, constituée depuis 1957 par l'Association pour le Musée des Transports Urbains,Interurbains et Ruraux (AMTUIR).
Actuellement visite guidée pour groupes seulement : Coût de la visite 5∈/personne.
Généalogie-Rail n* 85
Supplément page 7
QUESTIONS / REPONSES DU 3ème TRIMESTRE 2006
Associations inscrites à ce jour dans l’Union
A - Cercle généalogique des Cheminots
A2 - Association Artistique des cheminots de Tou-
louse - section généalogie
B - Cercle généalogique du Personnel de la R.A.T.P.
E - Cercle généalogie - Association Artistique de la
Banque de France
H - Club sportif et Artistique Défense Arcueil - sec-
tion histoire et généalogie
I - Club généalogique I.B.M. France.
K - Section généalogie Air France CE CDR Lignes
Q - section généalogie du CE BNP Paribas
R - Section Généalogie du CE AIR LIQUIDE
S - Club Généalogique Groupe IBM, CARA Paris
Nord, Caractivité-Généalogie
U - Club généalogique CIPCR DijonW - Section Généalogique de la Cité de l’Air, ASCAIRX - Section Généalogie - Centre Commissariat à l’Energie Ato-miqueY - Cercle de généalogie et d'histoire du Crédit Lyon-
nais
AC - Section Généalogique du CE - MDBA
AE - Section Généalogique, Loisirs et Culture, CE de
RENAULT Le Mans
AF - Section généalogique et histoire du CE SNEC-
MA-VILLAROCHE - commission temps libre
AG - Cercle généalogique de l'Assurance Maladie du
Val d'Oise
AJ - Club de généalogie des activités loisirs du CE du
Centre hélio-marin de Vallauris
AN - Section Généalogique du CASC de Saint-Ouen
AO - Section généalogique de la CMCAS des services
centraux EDF-GDF (Paris)
AP - Section Généalogique du C.E. EADS
AR - Section généamicaliste du Centre hospitalier
interdépartemental de Clermont(60)
AT - Section Histoire et Généalogie CEA. DIF
AU - UAICF Dijon
AV – ASCAN
LES QUESTIONS-REPONSES en direct sur http://www.ucge.free.fr
Signes conventionnels utilisés lors de la rédaction des Questions-Réponses.
Naissance ° Douteux ? Fils f
Baptême b Environ ca Fille fa
Mariage X Père P Recherche rech
contrat de mariage CM Mère M Renseignement rens
Divorce )( Parrain pa Ascendant (ce) Asc.
Décès + Marraine ma Descendant (ce) desc.
Inhumation (+) Témoin t Tout, Tous, Toutes t., ts, ttes
Pour poser vos questions (un seul patronyme ou les 2 patronymes pour un couple par question.) écri-vez de la manière la plus concise possible en précisant lieux et dates. Employez les signes conven-tionnels ci-dessus, indiquer le ou les patronymes, ainsi que le numéro du département ou la région(entre parenthèse). Pour les réponses, indiquer le N° et le titre de la question ainsi que votre nom etprénom.
Envoyez-le tout au responsable des Q/R de votre association.
Prochaines Questions/Réponses le 15 novembre 2006
Généalogie-Rail n* 85
Supplément page 8
QUESTIONS PATRONYMES
Q/Q/06/224 - AUGER - SAUNYER (37)Antoine AUGER ° Cussay 08/09/1696 fs. de Jean et MarieSAUNYER demeurant au lieu-dit "La Bondonnière" (clair suracte). "La Bondonnière" (tarière conique de tonnelier) a-t-ellevraiment existé ou était-ce déjà "La Bosnière" (demeure desAUGER aux 18° et 19° siècles), mal orthographié ou le mot a-t-il évolué ?
Jean THIBAULT Adh Q
Q/A/06/225 - BITSCH (68)Rech desc. de BITSCH François Joseph ° 01/03/1875 àBurnhaupt le Bas (68).
Georg SCHMETZ A.999Cheminot généalogiste allemand
Q/Q/06/226 - DESFORGE - GUYARD (21)
Rech. + 15/02/1760/ Anne DESFORGE épouse (19/11/1754
Savigny-les-Beaune) de Claude GUYARD.
Jean THIBAULT Adh Q
Q/A/06/227 - ESMERY [60]Résidant en Espagne, rech. date et le lieu de + de mon ar-rière grand-père Pierre Joseph ESMERY, ° 19/10/1856 àNéry [60], employé de chemin de fer à Glaignes en 1884,1907 et 1909, X avec Louise Amélie FORTIER, (+) tous lesdeux à Glaignes [60]. Il aurait eu la jambe coupée, peut-être àla suite d'un accident de chemin de fer. Louise Amélie FO-RIER +le 10/09/1931 à Crépy-en-Valois.
Evelyne ESMERY-FERNANDEZ A 999
Q/Q/06/228 - GUYARD - GRIVOT (21)
Rech. éventuel 3° x de Claude GUYARD (° 1719 ca ) qui
épousa à Savigny-les-Beaune Anne CHEVARDIN (30/11 ou
10/1752) et Anne DESFORGE (19/11/1754 ) et + Savigny 19
prairial An VIII (07/06/1800).
Jean THIBAULT Adh Q
Q/E/06/229 - GUYOT (49)Recherche à Baracé ou environs ° ca 1701 et + LouiseGUYOT x Catherin BUISNEAU le 23/10/1725 à Baracé (49)Ses parents Pierre x Marie OLLIVIER 15/07/1692 Baracé (49)
Anne Marie Tiratay E 44
Q/E/06/230 - JUHEL (75)Recherche ° et ascendance av. 1696 de Pierre JUHEL fils deJean de la paroisse de St Jacques St Philippe du Roule àParis (75). Il est nommé Honnête Homme à son x FrançoiseCORNUEL 13/06/1719 à Avoise (72).
Anne Marie Tiratay E 44
Q/A/06/231 - KAUFMANN X SPINDLER (67)Est-ce que le couple Jean KAUFMANN et Anne SPINDLERs’est marié le 26/11/1693 ou le 26/11/1696 à Ammerschwihr(67)
Q/A/06/233 - KAUFMANN X ZUSCHMITT (67)Est-ce que le couple Jean Caspar KAUFMANN et BarbaraZUSCHMITT s’est marié le 16/07/1739 ou le 16/02/1739 àAmmerschwihr (67) ?
Rech. + Henri (ou Paul Henry) MAULLE (° probablement
Loches 13/08/1810) Châtillon (ou env.) où était coiffeur en
1867 et + son épouse Angèle AUDAS .
Jean THIBAULT Adh Q
Q/Q/06/235 - MOREAU - BESSONNEAU (49)
Rech. parents de René MOREAU (° ? + ?) marié à Moricette
BESSONNEAU (Lieu ? Date ?) qui eurent un fils François à
Bécon-les-Granits (49).
Jean THIBAULT Adh Q
Q/A/06/236 - MULLER [67]Est-ce que Jean Adam MULLER est né le 28/12/1865 ou le21/02/1684 à Turckeim [67] ? De même, sa fille Anne MaieMULLER, est-elle née le 02/07/1711 ou le 14/07/1715 tou-jours à Turckheim ?
Rech. ts détails ° Marin PUTHOD 1692695 ca Marignieu (01)
fs. de Benoit PUTHOD et de ??? (Jacqueline GUILLERMIN
ou Françoise GENET ?).
Jean THIBAULT Adh Q
Q/E/06/238 - Le QUESNE - MOISY (14)Rech. °, x, + Le QUESNE Bernardin fils de Jacques et MarieDENIS; il x Catherine MOISY av. 1769 Leur fille Madeleine °1769 St Clément (14) + 18/01/1819 Fontenay sur Vey (14) xFrançois GERVAIS de Fontenay sur Vey (14).
Anne Marie TIRATAY Adh E 44
Q/E/06/239 - SARDOU – ARDISSON (06)
Rech. Ts rens. sur le couple SARDOU Pierre François
(°~1776 + 1843 Le Cannet (06) – ARDISSON Jeanne Marie
(°~1780).Jocelyne NICHELE Adh E 183
Q/E/06/240 - SARDOU Victorien LéandreRech tous rens concernant les descendants de VictorienSARDOU et SOULIÉ Marie Anne : au moins 3 enfants :- Jean Eudoxe Victorien - Pierre Antoine Augustin - Gene-viève Marie Evelina
Jocelyne NICHELE Adh E 183
QUESTIONS DIVERSES
Q/A/06/241 - C.N.R.V.Mon arrière-grand-père était cheminot à Chartres. Né le09/11/1859 à Saint-Germain-de-la-Coudre (61) et +le30/06/1929 à Lucé (28), banlieue de Chartres. J'ai fait des
recherches sur sa carrière à Béziers, qui se sont révéléesnégatives. Je possède une copie d'une carte d'identité, où ilest noté : Retraité C.N.R.V. au taux annuel de 90 Francs, de
Généalogie-Rail n* 85
Supplément page 9
1925. (pension N° 1858964). Pourriez-vous me dire si vousconnaissez la signification de ce sigle ?
Claude GUÉE Adh A 999
Q/Q/06/242 - Copie d’un bulletinEst-il possible de recevoir copie d'un article; en l'occurencede "A Steffisburg, canton de Berne, vers 1700 ....crise de lacitoyenneté, naissance du mouvement Amish, migrationsvers l'Alsace et l'Amérique" dans le bulletin N° 152 (4° trim.2005 ) du Cercle Généalogique d'Alsace ?Merci d'avance.
Jean THIBAULT (Adh Q)
Q/Q/06/243 - Exécutions capitalesComment étaient exécutés les condamnés de droit communà Angers en 1797 (par exemple : Pierre COSSON °28/03/1761 La Pouëze, condamné à mort le 22 fructidor An 4et exécuté à la Maison d'Arrêt d'Angers le 12 nivose An 5, soit01/01/1797).Peut-on trouver compte-rendu détaillé du procès de ce COS-SON ?
Jean THIBAULT (Adh Q)
Q/Y/06/244 - Fondation Généalogique et Héraldique
Quelqu’un connaît-il la « Fondation Généalogique et Héraldi-que de Roissy » ?
Monique BOUSSEMARD Adh Y
Q/Y/06/245 - PassyA quoi correspond l'adresse : quai n°4 à Passy cité surinventaire après décès en 1832 (rappel : rattaché à Paris en1860)
Isabelle Winkopp Adh Y
Q/A/06/246 - Transports de population déplacée en 1917(59)Ma grand’mère et ses 6 enfants habitaient en 1917 à RON-CHIN [Nord] zone occupée par les Allemands. Ceux-ci ontorganisé avec la Croix-Rouge suisse des transports pourpermettre à certaines familles de rejoindre la France. Levoyage s’effectuait par train en passant par le Luxembourg,l’Allemagne, la ville frontière de Schaffhausen, la Suisse,Évian et Paris. Je suis à la recherche d’informations sur cestransports. Les AD de Lille ne disposent d’aucun renseigne-ment à ce sujet. Pourriez-vous, m’indiquer le cheminementpour joindre éventuellement une association ou une personnequi pourrait me fournir des informations.
Bernard DESCHAMP Adh. A.999
ENTRAIDEQ/A/06/247 - Besançon (25) – Chambéry (73)Recherche contacts avec adhérents sur la Franche-Comté etsur la Savoie. J’habite Chambéry.
Monique TOURON Adh. A.649
Q/E/06/248 - Seine Port (77)Recherche généalogiste muni d’un appareil photo numériquequi pourrait photographier la plaque fixée sur la grille d’unemaison (sise sur la place) à Seine Port (77), où aurait habitéVictorien SARDOU.
Jocelyne NICHELE Adh E 183
RÉPONSESRép à la Q/A/05/41 - Famille BAFFET/VISSEAULT 53Le couple BAFFET / VISSEAULT a eu au moins un autreenfant né le 7 avril 1883 à CHEMAZE. Cet enfant portait leprénom de Romain. Il est mort pour la France en 1914......J’ai de nombreux contacts BAFFET en France en plus deceux de mon arbre CORREZIEN.Je reste à la disposition de ces généalogistes pour échangerd'autres renseignements sur leur généalogie et la mienne s'ilsle veulent bien.
Denis BAFFET 21 Rue Jean Verspieren 87000 LIMOGES
Rép à la Q/A/06/165 - RÉGULATEURVers la fin du XIXème siècle, la vitesse et la régularité horairedeviennent déterminantes dans toutes les activités économi-ques. D’où le besoin de créer des montres réservées à desusages spécifiques. Les modèles de montres dites de métierque l’on appelle couramment « régulateurs de chemin defer » sont en fait de grosses montres de gousset générale-ment en acier, décorées d’un train au centre du cadran. Ellessont inspirées des modèles utilisés par les chefs de gare auxÉtats-Unis. Mais il faut savoir qu’aucune de ces montres n’aété utilisée ainsi en France. Les régulateurs de chemins defer que les collectionneurs et amateurs s’arrachent parfois àprix d’or sont des montres du début du XXème siècle, propo-sées à l’époque par les colporteurs, et décorées au choix dedirigeables, d’avions, de locomotives, …Nous avons trouvé des publicités pour des régulateurs dansle journal bimestriel d’informations destiné au personnel descompagnies d’Orléans et du Midi : le P.O=Midi Illustré enjanvier 1934 et en 1938 dans le bulletin de la coopérativeUNION du P.L.M.Vous trouverez ci-joint une publicité parue dans le PO=MidiIllustré en 1934Mes remerciement à Clémentine Pomeau-Peyre d’Antiquités-Brocante.
Henri DROPSY Adh. A.81
Rep à la Q/Y/06/166 - Entravestissement
Dans le Dictionnaire encyclopédique Quillet :
¨ Entravestissement : En droit ancien, bénéfice de survieentre époux.
Dans l’ Encyclopédie ou Dictionnaire Raisonné des Sciences,des Arts et des Métiers de Diderot et d’Alembert, nous trou-vons :
¨ Entravestissement de sang, (Jurisprudence) ou ravestisse-ment de sang, dans les coutumes de Cambray, Béthune,Arras et Bapaume, est la succession qui a lieu au profit dusurvivant des conjoints.
¨ Entravestissement par lettres, est la succession qui a lieu envertu d'une sentence du juge. Il en est fait mention dans lacoutume particulière de Calloeuë-sous-Artois.
Henri DROPSY Adh A 81
Rép à la Q/B/06/220 - RAQUETIERE (51)D’après un « Dictionnaire Classique Universel » de 1880environ Raquetier = fabricant de raquettes.
Pierre MICHEL Adh E 216
Rép à Q/A/06/223 - NÜRENBERG (D : Basse-Saxe)Nous avons trouvé dans les index des registres des mariages(Heiratsregister) d'Altenesch(http://www.lemwerder.de/index3.htm), le mariage en date du07.11.1780 à Altenesch de Johann Hinrich NÜREMBERG deSudwalde (voir http://schwafoerden.de, onglet Stadtpläne puisStadtplan, à 7 km au nord de Schwaförden]) avec GreteKASSEBOHMS de Sannau (lieu d'Altenesch).L'experte pour les recherches sur Altenesch est Mme Mi-chaela CARL, Deichshauser Strasse 6, D-27809 LEMWER-DER-ALTENNESCH. Elle n'a pu trouver, pour le moment,l'acte de naissance de Claus NÜREMBERG.
Généalogie-Rail n* 85
Supplément page 10
Pour les CASSEBOHM (1750-1784 à Altenesch) et CASSE-BOOM (à partir de 1787 à Altenesch) prendre contact avecM. Horst KLOSTERMANN, Am Rüten 80, D-28357 BREMEN.On trouve des NÜRNBERG de 1687 à 1694 à Sudwalde.(Sächsisches Staatsarchiv Leipzig AMF-Archiv,Schongauerstrasse 1, D-04329 LEIPZIG)
George SCHMETZ Adh. GFW-BSWRép à la Q/A/06/225 - BITSCH (68)
2 BITSCH Léonard, Laboureur° 08/02/1741 Burnhaupt le BasX 05/07/1763 Burnhaupt le Bas
3 BISANTZ Catherine°ca 1736
4 BITSCH LéonardX 19/02/1732 Burnhaupt le Bas
5 SESTER Catherine , de Schweighouse près Thann(68)
6 BISANTZ Joannes° 05/12/1703 Burnhaupt le BasX 13/06/1733 Burnhaupt le Bas
7 RUDLER Elisabeth(peut-être Marie Elisabeth °26/05/1712 Burnhaupt leBas)
8 BITSCH Joannes10 SESTER Jacob12 BISANTZ Pierre13 HINDERER Barbara
° ca 1672+ 14/12/1737 Burnhaupt le Bas
14 RUDLER Melchior, Agriculteur° 1660 Burnhaupt le BasX 13/01/1698 Burnhaupt le Bas
15 KIRSCHER Catherine° 05/11/1676 Burnhaupt le Bas+ 28/08/1742 Burnhaupt le Bas
+ 1696 Burnhaupt le Bas (sans jour ni mois)31 SEITTER Verena
+ 18/04/1696 Burnhaupt le Bas
Pierre TEXIER A 26
Rép à la Q/A/06/241 - C.N.R.V.Je remercie Stéphane MOUSSIEGT pour son cours de pré-paration à l'épreuve d'histoire de l'agrégation de scienceséconomiques et sociales dispensé à l'École Normale Supé-rieure Lettres et Sciences Humaines."Dès 1850 l'État crée une Caisse Nationale des Retraitespour la Vieillesse (CNRV) contrôlée par la Caisse desdépôts. Le système attire tout d'abord une catégorie derentiers qui profitent de taux d'intérêts attractifs et utilisentcette procédure comme un placement. Jusqu'aux années1890 la CNRV garde un rôle marginal, puis elle se voit confierles fonds de retraite des mineurs ce qui, avec la baisse destaux d'intérêts modifie le profil des cotisants en renforçant lenombre des ouvriers. Mais les dépôts volontaires prévus dansl'esprit de la loi de 1850 restent très rares.La loi du 29 juin 1894 permet la constitution de retraites,avec cotisations salariales et patronales obligatoires. Lescaisses peuvent être à gestion patronale, mutualiste ou en-core syndicale. L'Etat n'interfère nullement dans cette organi-sation, si ce n'est sous la forme d'une garantie des fonds. Laloi de finances du 31 mars 1903 affecte de larges subventionsannuelles pour majorer les pensions. Par ailleurs, à la fin desannées 1880, des faillites successives dans les secteursmétallurgiques et bancaires mettent en évidence l'absence degaranties sérieuses de l'épargne ouvrière dans les caissespatronales.En 1898 une enquête publiée par l'Office du Travail révèleseuls un peu plus de 4 % des travailleurs potentiellementconcernés sont affiliés à une caisse de retraite. Quant àleur gestion, la direction de l'entreprise en assure le plussouvent le contrôle total en dépit de la loi de 1895. L'enquêtesouligne l'accroissement au fil des années des charges finan-cières liées aux caisses patronales de retraite. Ainsi la très
grande industrie apparaît la seule capable d'établir une politi-que sociale d'envergure, d'en assurer les dépensez et doncde prendre en charge la vieillesse ouvrière. Les entreprisesont de plus en plus de mal à supporter le poids d'un engage-ment qui peut parfois constituer un danger financier. Parailleurs les patrons souhaitent souvent réorienter leur politi-que sociale vers des secteurs moins onéreux pour moraliseret contrôler leur main d'œuvre à savoir le loisir, l'habitat et lafamille.Les caisses syndicales sont très rares; 79 sont recenséesen 1912. Parmi elles certaines ont acquis un rôle essentiel,comme la caisse du syndicat des Omnibus et Transports deLyon. Certains secteurs bénéficient avant les autres de mé-canismes de retraite plus élaborés. Dans le monde rural lescaisses se développent et, même si leur nombre reste limité,elles fusionnent en une Union centrale des caisses mutuel-les agricoles en 1905. Par ailleurs existe depuis 1894 une loiqui permet la constitution de caisses de retraite au profit desmineurs, suite à la forte pression syndicale. Une revalorisa-tion sensible des pensions est même prévue par la loi definances de 1903. Des textes de 1890, 1902 et 1909 assurentun statut particulier aux personnels des chemins de feravec notamment une retraite à 50 ans pour les chauffeurs etmécaniciens.Le mouvement mutualiste développe en son sein desréflexions qui conduisent à la constitution de caisses deretraites mais leur développement reste limité, puisque lesprestations ne touchent à la fin du XIXè siècle que 1 à 2 % dela population. En outre les pensions ne dépasse pas 5 % dusalaire annuel alors même qu'elles nécessitent une cotisationde près de 10 % du salaire.En 1905 paraît une loi qui permet à tout Français âgé de plusde 70 ans, atteint d'une infirmité ou d'une maladie incurable etpar conséquent mis dans l'impossibilité de travailler et desubvenir à ses besoins, de percevoir une indemnité.Au tournant du siècle l'État, outre le système destiné àses fonctionnaires et qui relève de la loi de 1853, déve-loppe pour les retraites des mécanismes de prévoyance(CNRV) et d'assistance (loi de 1905). La loi de 1910 surles retraites ouvrières et paysannes s'inscrit elle dansune perspective assurancielle. Cette loi ne vise pas àeffacer les procédures déjà en places : les caisses mutualis-tes, patronales et syndicales peuvent recevoir un agrémentles autorisant à collecter les cotisations.La loi s'inspire de nombreuses propositions, en particuliercelle du député Paul Guieysse comportant le caractère obli-gatoire et adoptée en 1906. La législation finalement retenueaprès plusieurs années de débats s'adresse à deux typesd'ayant droit : les assurés obligatoires qui possèdent moinsde 3 000 F de salaire annuel, d'autre part, les assurés facul-tatifs percevant un revenu entre 3 000 et 5 000 F. Les pre-miers doivent détenir la condition de salarié, la loi reste doncinapplicable aux entrepreneurs. Les travailleurs exclus malgréleur qualité de salarié, sont tous ceux qui profitent déjà d'unsystème professionnel de retraite comme les fonctionnaires,cheminots, mineurs ou militaires et ceux dont la rémunérationexcède 5 000 F. Le bénéfice de la loi ne s'étend pas auxouvrier et ouvrières à domicile travaillant à la pièce ou pour lecompte d'un fabricant. La loi est établie sur le principe del'assurance, elle implique la contribution de l'assujetti etrepose sur le triple versement obligatoire du bénéficiaire,du patron et de l'État. Contrairement à la loi allemande, lepremier risque pris en charge est bien la vieillesse et nonl'invalidité. L'âge de la retraite, d'abord fixé à 65 ans estabaissé en 1912 à 60 ans avec 30 versements annuels. Toutassuré peut s'il le désire demander la liquidation dès 55 ans,mais avec une retraite plus faible.La couverture potentielle de cette loi est estimée par lesautorités à 18 millions de salariés, mais fin 1912 sept millionsd'adhérents au système sont recensés. Certains parlent alorsd'échec, d'autant que des jurisprudences viennent leverl'obligation de cotiser pour un salarié qui ne le souhaite pas.Les difficultés d'application viennent notamment que ladéfinition administrative du "salariat" n'est pas en adéquationavec les représentations sociales dominantes : la notion resteencore floue dans bien des corps de métier. Ensuite épargnerdurant sa vie professionnelle de l'argent pour ses vieux joursest un réflexe de rentier, encore fort peu répandu dans le
Généalogie-Rail n* 85
Supplément page 11
monde ouvrier. Par ailleurs la compréhension difficile de la loin'est pas améliorée par la complexité des procédures : tim-bres de différentes couleurs selon le statut professionnel, etc.Une des difficultés dans l'exécution de la loi sur les retraitesouvrières et paysannes peut être attribuée aux "déficiences"rencontrées par l'administration française pour l'appliquercorrectement et efficacement. Le personnel minimum estaffecté à la mise en œuvre des dispositions prévues par la loi.Mais il faut noter que l'évaluation de 18 millions d'ayant droitpotentiels repose sur des fondements fragiles. Ainsi desestimations plus précises soulignent que à la veille de lapremière guerre mondiale un individu sur quatre de plusde 60 ans et un sur deux potentiellement affiliable a per-çu une pension. Les travailleurs étrangers et les femmesbénéficient très peu des dispositifs.
Cependant, en dépit des réticences, il s'agit d'une véritableréussite dans l'acceptation du principe général et la participa-tion des plus âgés. En 1914, le million de retraités de la loide 1910 joue un rôle d'acculturation important en vulga-risant ce nouveau statut social de "retraité". Cependantles pensions sont très faibles, ne dépassant pas la moitié dessubsides de l'assistance et sont dix fois moins élevées queles retraites de fonctionnaires."
Henri DROPSY Adh A 81
Rép à la Q/A/06/246 - Transports de population déplacéeen 1917 (59)Je vous suggère de vous tourner vers les Archives du ComitéInternational de la Croix Rouge (C.I.C.R.) à Genève ouhttp://www.icrc.org/Web/fre/sitefre0.nsf/htmlall/archives?OpenDocument
AVIS DE RECHERCHE
Rectification : Dans notre avis de recherches du 2ème tri-mestre 2006 (généalogie Rail n°84), une coquille s’est glis-sée. Il fallait lire que nous recherchions le prêt ou la copie dunuméro 43 (et non 42) du « P.O=Midi Illustré » de Janvier1936 afin de terminer le travail effectué par Pierre REVEL surles dépouillements nominatifs de ce journal bimestriel
d’informations destiné au personnel des compagnies dechemins de fer d’Orléans et du Midi.Nous recherchons également le n° 54 de novembre 1937.Mais a-t-il été sorti et diffusé avant l’arrivée du premiernuméro de « Notre Métier » sorti le 15 mai 1938 ?
Pierre REVEL Adh. A.58 et Henri DROPSY Adh. A.81
Section généamicaliste du Centre hospitalier interdépartemental de Clermont (60)
Q/AR/06/68 - FLORET-GOUBET (80)
Rech X av 1843 Warloy Baillon (80) de Ferdinand FLORET (03/1/1808 Warloy Baillon, y + 3/1/1863) et Augustine MadeleineGOUBET (0 14/2/1808 Warloy Baillon, y + ap 1864)
Q/AR/06/69 - FONTAINE-BRUNEL (80)
Rech X région Briquemesnil (80) Louis FONTAINE dit CAL-LANT (0 21/6/1704 Briquemesnil, y + 30/1/1776, fs de Pierre ditCAILLANT et Françoise LAVOINE) avec (Marie) FrançoiseBRUNEL (0 ca 1700, + 22/1/1760 Briquemesnil)
Q/AR/06/70 - FOURDRINIER (80)
Rech 0 ca 1715 et asc de Cécile FOURDRINIER 0 Airaines(80) X 13/2/1741 Airaines avec Pierre MACQUET
Q/AR/06/72 - FRANCE (FRANTZ) (54/55)
Rech ts rens, 0, + de Jean Baptiste FRANCE (fs de Jean Bap-tiste et de Reine EVRARD (0 ca 1811 peut être Blainville sul’eau (54) ?) X 27/11/1833 Vaulouleurs (55) avec Anne PRE-VOT
Q/AR/06/76 - GAMARD (80)
Rech ts rens 0 + et asc de Marie Madeleine GAMARD (0 ca1775 Amiens (80)) et X de ses parents Jean Baptiste et MarieElisabeth GRENIER (pas à Amiens)
Q/AR/06/77 - GAMBIER-BRANDICOURT (80)
Rech ts rens et asc sur St Vast en chaussée (80) du coupleJean Baptiste GAMBIER X ca 1760 avec Marie ThérèseBRANDICOURT
Q/AR/06/78 - GAMBIER-DUCROTOY (80)
Rech + ap 1852 St Vast en chaussée (80) de Alexandre Casi-mir GAMBIER et de son épouse Alexandrine Appolinne DU-CROTOY
Q/AR/06/79 - GEFFROY-CHOQUET (80)
Rech ts rens 0 ca 1770, X av 1811 et + de pierre Nicolas GEF-FROY (propriétaire et juge de paix) X avec Marie Anne CHO-
QUET (fa de Marie Françoise et de père inconnu, 02/11/1773 à Léalvillers (80), y + 4/9/1840)
Q/AR/06/80 - GERARD (55)
Rech ts rens, 0, + et asc de Françoise Félicité GERARD(fa de Claude et Elisabeth COLOMBE, 0 ca 1800) X13/3/1823 Montigny les Vaulouleurs (55) avec EtienneCOCHENER
Q/AR/06/81 - GERARD-RICHARD (54/55)
Rech 0, + du couple et asc Claude ou François GERARD(0 ap 3/1696 à Champongny (55), Vandeléville (54), Co-lombey les belles (54) ?, + av 11/1778 ?) X 11/9/1736 àMoutrot (54) avec Marguerite RICHARD d’Uruffe ou Mou-trot (54) (fa de Jean et Claudette GIRAUDELLE
Q/AR/06/82 -
Rech sur Dreuil Hamel (80) Louis GILLET (0 ? +14/11/1740 Dreuil Hamel) y X 17/8/1709 avec FrançoiseMICHAUD (0 ?, + ac 1740)
Q/AR/06/83 - GORIN (62)
Rech + ap 1831 Boulogne sur mer (62) ? Alexis GORIN ditQUIOCOLIN (0 19/8/1769 St Sauflieu (80), prof : ferraillier)
Q/AR/06/84 - GORIN-BUQUET (80)
Reh + av 12/1885 Grattepanche (80) ? de Marie-Josph,Cyprien GORIN ? et + ap 12/1885 Ailly sur Noye (80) ? deson épouse Florentine Anastasie BUQUET
Q/AR/06/85 - GORIN-CARON (80)
Rech à St Sauflieu (80) 0 de Nicolas GORIN (fs de Fran-çois ou Pierre ?) et 0 de Jeanne CARON (fa de Louis ?), yX 24/11/1705, et leur + St Sauflieu ap 1734 pour lui et av1734 pour elle
Q/AR/06/86 - GORIN-LEBRUN (80)
Rech X et ts rens et asc sur l’épouse du couple AugusteAlexandre GORIN (0 19/4/1842 Grattepanche (80), +3/12/1885 Ailly sur Noye (80)) X ca 1865 apparemment
Généalogie-Rail n* 85
Supplément page 12
pas à Ailly sur Noye avec Laure Gratia LEBRUN (0 ca 1845 ?,+ ap 1885 ?)
Q/AR/06/87 - GOUBET-DARRAS (80)
Rech ts rens 0, X av 1779, + et asc à Warloy Baillon (80) ? ducouple Jean GOUBET X Françoise DARRAS
Q/AR/06/88 - GOUYERS (GUEYERS) –CHARLES (B)
Rech ts rens 0, X, + et asc du couple Jacobus GOUYERS (+début 1804 à Etterbeeh (B) ou Mechelen (B) ?)X ? avec Barba-ra CHARLES (0 ca 1759 Bruxelles (B) ?, + 22/4/1823 Mechelen(B), elle a épousé enX2 (où et quand) Joannes Baptista JOR-DENES)
Q/AR/06/89 - GRILLY (GRILLET) (80)
Rech 0 et + sur Feuquières (80) de Marie Anne Rose GRILLY(0 ca 1762, fa de Jean et Marie Anne DHYER, + ap 1829 Feu-quières ?, X 25/7/1789 Feuquières
Q/AR/06/90 - GRILLY-DHYER (80)
Rech ts rens 0, X, + et asc du couple à Feuquières (80) ? JeanGRILLY (GRILLET) (+ ap 1789) X ca 1760 avec Marie AnneDHYER (+ av 1789)
Q/AR/06/91 - HAILLIEZ (HALLIET)-SOUDAN (B)
Rech du couple Nicolas Joseph HAILLIEZ (0 ca 1722 St Sauver(B) ou Frasnes les Buissenal (B) ?, + av 1786) et (Marie) AnneJosephe SOUDAN (0 ca 1732 St sauver (B) ou Frasnes lesBuissenal (B), + av 1786) X 16/2/1762 St Sauver (B)
Q/AR/06/92 - HARMAND (88)
Rech 0, X et asc de Marguerite HARMAND (0 ca 1705, + ca1731 Harmanville (88)) X ca 1731 avec Nicolas FAUCONNIER
Q/AR/06/93 - HERBET(80)
Rech 0 en 1777 à Warloy Baillon (80) ? et + de AntoinetteFélicité dite Lionnette HERBET (fa de Jean Baptiste et MarieAnne BIENAIME) X 4 frim An 5 Warloy Baillon avec FerdinandDUFOURMANTELLE
Q/AR/06/94 - HERBET-BIENAIME (80)
Rech à Warloy Baillon ou Baizieux (80) + de jean BaptisteHERBET( X de ses parents av 1757 Adrien HERBET etMarie Jeanne CARTON) X 13/9/1776 Warloy Baillon avecMarie Anne BIENAIME (0 ca 1758, + av 1795, X de sesparents Jean François BIENAIME X Marie Jeanne LE-FEBVRE ?)
Q/AR/06/95 - HETRU-BOULLENGER (BLANGY) (80)
Rech X François HETRU (0 4/5/1708 Dreuil Hamel, y +10/8/1768) et Marie Françoise BOULLENGER ( ou MarieAnne BLANGY)
Q/AR/06/96 - HORVILLE (ORVILLE) (80)
Rech + ap 1896 sur Feuquières (80) de Marie Anne Hen-riette Sidonie HORVILLE veuve de Jean Charles SINO-QUET
Q/AR/06/97 - HORVILLE-DELATTRE (80)
Rech ts rens, 0, X, + et asc du couple François (Aléxis)HORVILLE (tisserand à Martinville (Martainneville) (80)prob y + ca 1756) et de Marie Jeanne DELATTRE 5+ av1789) 4 efts 0 à Martainneville entre 1757 et 1763
Q/AR/06/98 - HOUBRON-JUMEL (80)
Rech sur Flesselles (80) paroisse de Grislieux-OllincourtEustache HOUBRON dit GAMIN (0 ca 1670, fs de Fran-çois et Françoise PAYEN dite LA ROUSSE) X 18/1/1697Flesselles avec Jeanne JUMEL (0 ?, + ?, fa de François etFrançoise DEBAUVAIS
Q/AR/06/102 - KEUPPENS (KOPPENS) (B)
Rech + av 1791 à Holsbeek ou Wezemaal (B) et ascpaternelle de Adrien KEUPPENS (0 11/10/1742 Weze-maal (B)) X 12/2/1771 Holsbeek (B) avec Barbe CRAB
Q/AR/06 /103- LAFLEUR-DURAND (80)
Rech 0 et asc du couple Pierre LAFLEUR et Marie Anne(Elizabeth, Angélique ?)DURAND sur Dreuil Hamel (80) ouMétigny (80) ? X 20/5/1758 Dreuil Hamel, + Pierre LA-FLEUR 5/7/1800 Dreuil Hamel, + Marie Anne DURAND30/8/1804 Dreuil Hamel
ATTENTION ARNAQUE
RÉPONSE : Y/06/244 - Fondation Généa-logie et Héraldique
En juin, un adhérent a reçu une lettre de la `Fon-
dation Généalogie et Héraldique´ avec une boite
postale à Roissy.
Ils lui offrent La Chronique de ma famille avec le
registre généalogique, Armoiries de ma famille et
une livre sur la science de l´Héraldique, tout pour
seulement € 39,95.
Cette fondation à une adresse à Rotterdam aux
Pays-Bas, mais le Registre de Commerce
24387557 appartient à une fondation néerlandaise
`Stichting Naamgenoten´ établie à Leidschendam
sur l´adresse de Willem Lambertus Johannes
Pince van de Aa.
Monsieur Pince est bien connu pour cette arnaque
aux Pays-Bas, Allemagne et La Belgique.
En 1997 il est condamné en Pays-Bas à une
amende de 25.000 florins et en 2004 il est con-
damné à huit mois ferme en Belgique pour cette
escroquerie.
Ceux qui envoient une chèque vont recevoir une
liste avec porteurs de même nom familial sans
aucune explication des relations et une armoirie
quelconque, qui n´a rien à faire avec leur famille.