27 février 2004 Collège de France Discussion Discussion sur sur les oscillations les oscillations cosmiques cosmiques , les , les nombres nombres sans dimension et les sans dimension et les périodicités périodicités en en microphysique microphysique et et cosmologie cosmologie (I) LES FAITS (I) LES FAITS par par Ch. Bizouard (astronome à l’Observatoire de Paris) J.S. Dubuisson (ingénieur opticien, consultant, Paris) Arthur Gohin (Dr. en physique chimie) V. Kotov (astronome à Observatoire Astrophysique de Crimée) F. Sanchez (Université d’Orsay)
This document is posted to help you gain knowledge. Please leave a comment to let me know what you think about it! Share it to your friends and learn new things together.
Transcript
27 février 2004 Collège de France
Discussion Discussion sursur les oscillations les oscillations cosmiquescosmiques, les , les nombresnombres sans dimension et les sans dimension et les périodicitéspériodicités en en
microphysiquemicrophysique et et cosmologiecosmologie
(I) LES FAITS(I) LES FAITSparpar
Ch. Bizouard (astronome à l’Observatoire de Paris)J.S. Dubuisson (ingénieur opticien, consultant, Paris)
Arthur Gohin (Dr. en physique chimie)V. Kotov (astronome à Observatoire Astrophysique de Crimée)
F. Sanchez (Université d’Orsay)
27 février 2004 Collège de France
Les Les phénomènesphénomènes cosmologiquescosmologiques globauxglobaux
2 phénomènes cosmologiques globaux :
– Décalage spectral vers le “rouge” des galaxies :
∆λ / λ = d / Ru
avec Ru=Rayon d’Univers ~ 1.3(2) 1026 m
– Rayonnement “cosmologique” de type corps noir :
T = 2,725(1) K
un “atout caché”? les oscillations cosmiques universelles
27 février 2004 Collège de France
•1974 : oscillations périodiques de la surface du soleil(2km, vitesse 1m/s), en 160,01 min, découverte par deuxgroupes indépendants : SevernySeverny, , KotovKotov, , TsappTsapp [1][1](Observatoire Astrophysique de Crimée, KrAO) et Brookes Brookes et al.et al. [2][2] ((UniversitéUniversité de Birmingham) de Birmingham)
•1979-1983 : confirmation par deux autres équipes [3[3--6]6]
•KrAO 1974--1982 P0 = 160.0101 ± 0.0016 min [7][7]Stanford 1977--1980 P0 = 160.0095 ±0.0010 min [6][6]
PULSATIONS INFRASONS DE LA PULSATIONS INFRASONS DE LA SURFACE DU SOLEILSURFACE DU SOLEIL
mesuréesmesurées par par effeteffet DopplerDoppler
27 février 2004 Collège de France
27 février 2004 Collège de France
CaractéristiquesCaractéristiques
Parfaitement périodique et régulière : aucunerupture de phase sur plus de trente annéesd’observations
Périodes où l’oscillation s’estompe au profit de son lobe en 159.956 minutes (modulation en 400 jours).
Mode de vibration mal identifié
Mécanisme incompris (ondes de gravité ? )
27 février 2004 Collège de France
DéclanchementDéclanchement des des éruptionséruptions solairessolaires
Dans le déclanchement de 19 000 éruptions solaires (1947-1980) périodicité en P0 = 160.0102 ± 0.0002 min
(4σ/proba.= 0.01%) [8].
Périodicité de 160-min dans les éruptions de rayons X détectées par le satellite GOES [9].
Moments initiaux de 90 000 éruptions solaires 1975-1990 [10]
-1975—1982:P0 = 160.0104 ± 0.0005 min (3.5σ / pr=0.05 %);
-1983—1990 : plus de périodicité.
27 février 2004 Collège de France
LUMINOSITELUMINOSITE
Le satellite SOHO a montré probablement la présence de la période 160-min et/ou 80-min dansla luminosité du soleil [11, 11bis]
Périodes de pulsation des étoiles Delta Scuti : la période la plus commensurable est 162±4 min (3.8σ/proba.=0.02 %) [12].
Etoiles variables RR Lyrae : 161,4 ±1,6 min
27 février 2004 Collège de France
CONNECTION COSMIQUE ?CONNECTION COSMIQUE ?
C tu = 2,878 1012 m : demi-grand axe d’Uranus à 0,1% près.
La longueur la plus commensurable des 10 rayons orbitaux dusystème solaire (9 planètes + la ceinture d’astéroide) est(160.4 ± 1.5 min) x vitesse lumière (4σ, probabilité 0,01 %) [17].
Les plus gros corps du système solaire (6 planètes et les principaux astéroïdes) tendent à tourner avec des périodes qui apparaissent statistiquement comme des multiples entiers de 160 min (probabilité 0,01 %). [17-19]
160 min est la période la plus commensurable - dans un sensstatistique - pour les périodes orbitales de 5200 étoilesbinaires [17,20,21] (3,5 σ / pr=0.05 %)
27 février 2004 Collège de France
27 février 2004 Collège de France
Périodicité trouvée dans la luminosité d’unevingtaine de Noyau Actifs de Galaxie/quasars (1.5σ à4σ) : PG=160.0104 ± 0.0005 min [14-16]
NGC 1275,NGC 3516, NGC 4051, NGC 4151, NGC 5506, NGC 5548, NGC 6814, NGC 7314, NGC 7469,
Phase constante sur plus de 30 années de données, signal cohérent emplissant tout l’univers ?
NAG/quasars présentant l’oscillation en 160.010 min (de 2 à 4 σ)
27 février 2004 Collège de France
Noyau de la Galaxie NGC 4151
Spectre de la luminosité
Kotov et Lyutiy(1987) [13]
27 février 2004 Collège de France
Oscillation en 160,01 min
dans la lumière du Quasar
3C 273
Kotov et Lyutiy(1987) [13]
Données USA
Données URSS
27 février 2004 Collège de France
27 février 2004 Collège de France
160,01 min 160,01 min n’estn’est pas un pas un artéfactartéfact ……On constate que 9600,6(1)s ≅ 9600,000(4)s = jour solaire/9.Effet local ? lié à la rotation de la Terre?
1) Effet sur toute la Terre (pôle sud, USA, Crimée)
2) Différence significative : 0,6 ± 0,1 s
3) Phénomène géophysique ? Pourquoi observe-t-on la 9ème
harmonique plutôt que la 2ème ou la 3ème? Pourquoi des amplitudes dfférentes pour le soleil et les quasars?
4) Quel rapport avec les éruptions solaires ?
5) Pas la même phase d’un quasar à l’autre (cause externeau système solaire)
27 février 2004 Collège de France
1) Par analyse dimensionnelle portant sur G, ħ et tu =9600,624 s, on trouve la longueur d’onde de Balmerà 0,5% près
(G ħ tu3)1/5 = 362,14 nm
λBalmer = 16 π (137.036)2 ħ /me c = 364,057 nm
Coincidence numérique MICROPHYSIQUE-MACROPHYSIQUE, d’autant plus intriguante quec’est une longueur d’onde fondamentale
Pour αs = 0,11856 palier de 17 solutions atteint à partir de I.R.=1,4 10–5
pour G = 6,67534 10-11 kg-1m3s-2
Exemple : (t’u/P)2 = 2π(pHy)1/2 /αs
27 février 2004 Collège de France
27 février 2004 Collège de France
ConclusionConclusion
La pulsation en 9600,6(1) s est réelle, ce n’est pas un artéfact de la rotation terrestre.
Ubiquité du phénomène :3EME LOI COSMOLOGIQUE ?
Pureté et Précision
Corrélations extraordinaires avec les constantes fondamentales de la physique
IL FAUDRAIT mesurer systématiquement la luminosité des quasars/NAG pour confirmer (ou infirmer) la découverte de Kotov et Lyutiy
L’hypothèse de la cosmologie holographique
27 février 2004 Collège de France
27 février 2004 Collège de France
1. Brookes J.R. et al.: 1976. Nat. V. 259. P. 92.2. Severny A.B. et al.: 1976. Nat. V. 259. P. 87.3. Scherrer P.H. et al.: 1979. Nat. V. 277. P. 635.4. Grec G. et al.: 1980. Nat. V. 288. P. 541.5. Scherrer P.H. et al.: 1980. ApJ. V. 237. P. L97.6. Scherrer P.H., Wilcox J.M.: 1983. Sol. Phys. V. 82. P. 37.7. Kotov V.A. et al.: 1997. Sol. Phys. V. 176. P. 45.8. Kotov V.A., Tsap T.T.: 1990. Sol. Phys. V. 128. P. 269.9. Bai T.: 2003. Sol. Phys. V. 215. P. 327.10. Kotov V.A., Scherrer P.H.: 1992. Unpublished.11. Finsterle W., Frohlich C.: 1998. World Radiation Center. Annual Rep. 1997. Davos: PMOD/WRC. P. 9.11bis. Kotov V.A. et al. , Kinematica I fiz. Nebes. Tel. V. 16 P.49
RéférencesRéférences
27 février 2004 Collège de France
12. Kotov S.V, Kotov V.A., 1997, Astron. Nachr. 318, 121-128 13. Kotov V.A., Lyuty V.M.: 1987. Izv. Krym. Astrofiz. Obs. V. 77. P. 148. (Traduction anglaise dans Bull. Crimean Astrophys. Obs.)14. Kotov V.A., Lyuty V.M.: 1990. CRAS. V. 310. Ser. II. P. 743.15. Kotov V.A. et al.: 1994. Astron. Nachr. V. 315. P. 333.16. Kotov V.A. et al.: 1997. ApJ. V. 488. P. 195.17. Kotov V.A.: 1985. Sol. Phys. V. 100. P. 101.18. Gough D.: 1983. Phys. Bull. V. 34. P. 502.19. Kotov V.A.: 2003. In preparation.20. Kotov S.V. et al.: 1997. CRAS. V. 324. Ser. II b. P. 659.21. Kotov V.A., Kotov S.V.: 1997. A&A. V. 322. P. 177.
27 février 2004 Collège de France
LA DOUBLE CORRELATION DES GRANDS NOMBRES
(EDDINGTON, DIRAC, DICKE, CARTER …)
ħc/Gmemp ≈ √(MU/me) ≈ RU/2 p
Rapport de force Quantique (ħc/r2)
/Gravitationnel
(Gmemp/ r2)
dans l’atome d’hydrogène = 3,11 x 1041
Racine du Nombre
équivalent d’ électrons
dans l’univers
=3,1 x 1041
Rapport du demi-rayon d’Univers
à la longueur d’onde du
proton
=3.1 x 1041
Microphysique Cosmologie
Double accord prévu par Sanchez (1997). Confirmé en 2000.
λ
27 février 2004 Collège de France
Estimation de la probabilité d’avoir p solutions satisfaisant
(M1)i1(M2)i2 … (Mn)in = 1 à δ près
avec M1 ,M2 , …, Mn : n variables aléatoires choisies dans l’intervalle [1,∆] et i1 i2 … in entiers ne pouvant varier que