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Entomologie BIO ESPACE Dr. Anne DARRIES
29

Entomologie

Jan 03, 2016

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BIO ESPACE. Entomologie. Dr. Anne DARRIES. BIO ESPACE. Elevage de Xenopsylla cunicularis Améliorations 2006 Expérimentations terrain. BIO ESPACE. Cycle biologique de Xenopsylla cunicularis. BIO ESPACE. Adultes de X. cunicularis. 3-4 mm de long Connue dans le Sud-ouest de la France - PowerPoint PPT Presentation
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Page 1: Entomologie

Entomologie

BIO ESPACE

Dr. Anne DARRIES

Page 2: Entomologie

BIO ESPACE

•Elevage de Xenopsylla cunicularis•Améliorations 2006•Expérimentations terrain

Page 3: Entomologie

Cycle biologique de

Xenopsylla cunicularis

BIO ESPACE

Page 4: Entomologie

Adultes de X. cunicularisBIO ESPACE

Femelle

Mâle

• 3-4 mm de long

• Connue dans le Sud-ouest de la France

• Puce de terrier : cycle de développement dans le sol des garennes - sur le lapin que pour se nourrir)

• Exigences écologiques poussées concernant le climat et la nature du sol

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Femelle gestante de X. cunicularis

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Larve de 3ème stadeBIO ESPACE

• 1 à 4 mm de long

• se nourrit des débris organiques trouvés dans le sol des terriers (détritiphage)

• stade fragile (humidité)

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Cocon

Stade le plus résistant (passage de l'hiver)

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Nymphe

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Elevagede

Xenopsylla cunicularis

BIO ESPACE

Page 9: Entomologie

BIO ESPACE

départ500 puces / semaine / lapin

Page 10: Entomologie

BIO ESPACE

* Recréer les conditions optimales de développementexistant sur le terrain* supprimer les facteurs de mortalité

Mise au point d'un élevage performant

Passe par l'étude :* de la biologie et du comportement de l'espèce* des aspects techniques

L’objectif final étant d’obtenir des puces adultes de bonne qualité physiologique, pour une utilisation

optimale sur le terrain

Page 11: Entomologie

BIO ESPACE

Paramètres biologiques étudiés

* les effets de la température et de l'humidité sur• la ponte• la durée de développement• la longévité des adultes

* le substrat et sa granulométrie* l'alimentation larvaire (daphnies + levure)* la densité larvaire

Page 12: Entomologie

Paramètres techniques étudiés

* Les éclosoirs

* Les cages

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Page 13: Entomologie

Les éclosoirs

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* Utilisent le comportement photophobe (fuite vis-à-vis de la lumière) et fouisseur des adultes

* Récupération rapide qui préserve la qualité physiologique des insectes

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Les cagesBIO ESPACE

en 1997

Dimensions aux normes européennesAdaptée au comportement du lapinRéduit au maximum la perte en œufs et en adultes :* le lapin stationne au dessus du tiroir. Il est éduqué à faire ses besoins au fond de la cage* un jeu de 5 tiroirs supprime la manipulation du sable

Page 15: Entomologie

Grâce à :

* une gestion pointue du climat* la maîtrise des conditions de développement, * une hygiène poussée dans l'animalerie (visant à limiter la prolifération d'acariens )

BIO ESPACE

…nous arrivons aujourd'hui à

Page 16: Entomologie

25-30 000 puces / lapin / semaine

BIO ESPACE

Page 17: Entomologie

Amélioration globale du rendement

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départ500 puces

200625-30 000 puces

(x 50-60)

Page 18: Entomologie

Etudes 2006

Précisions sur l’alimentation larvaire

* Quantité à apporter

* Accès des larves à la nourriture (épaisseur du substrat)

économies en matières premières (sable et aliment pour les larves)

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Page 19: Entomologie

Utilisation des puces sur

le terrain

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Page 20: Entomologie

Question

Les puces lâchées en-dehors de leur aire de répartition peuvent-elles

s'installer et risquer de concurrencer les espèces

autochtones ?

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Page 21: Entomologie

Ce que l'on sait

Données écologiques

* SO de la France

* espèce de terrier

* étroite spécificité écologique- substrat sableux (granulométrie légère)

- climat (chaud et pluvieux)

* naturellement peu abondante dans son aire de répartition

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Page 22: Entomologie

L'installation de Xenopsylla cunicularis à l'extérieur de son aire de répartition est

très improbable

Mais il faut le prouver expérimentalement

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Principe général

• Lâcher des puces vierges de tout vaccin à l'intérieur de parcs expérimentaux peuplés en lapins

• Laisser faire la nature

• voir si l'on retrouve une population de puces l'année suivante dans les parcs

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Sites expérimentaux

• Loire-Atlantique et Nord

• Hérault – Gard – Bouches du Rhône

• + 1 parc témoin dans le Tarn

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Sites choisis pour leur représentativitéclimatique et édaphique

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Les parcs

• 300 à 500 m2, grillagés

• base bordée d'un film plastique

• Filet anti-rapaces

• 10 lapins / parc

• 3 garennes / parc + agrainoir + source d'eau

• une garenne = palettes + 2 galeries en parpaings

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Lâcher de puces

• 3 lâchers par parc (printemps)

• entrées des garennes

• 10 puces / lapin (dose préconisée pour la vaccination)

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Contrôles

Paramètres observés :

- quantité de puces adultes (sur lapins et dans les galeries)

- quantité de larves dans le sol des galeries

- relevés climatiques (extérieur-intérieur des garennes)

Année du lâcher (juillet-août 2007) : échantillonnage dans 2 galeries et 3 lapins / parc

Eté 2008 : peignage de tous les lapins et récupération de l'intégralité de la couche superficielle du sol des garennes

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Page 28: Entomologie

RDV en 2008 pour les résultats…

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Page 29: Entomologie

Merci et à bientôt !

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