Embarquez avec le plus jeune skipper pour les 20 ans de la Mini Transat, Augustin Doumic

Sommaire ■ Un projet 100% Normand/Mon CV nautique p1■ Une drôle d’idée ! p2■ L’édition 2015 p3■ Les retombées médiatiques de l’édition 2013 p4■ Présentation du prototype mini 6.50 p5■ Mon bateau pour la Transat, le proto n°606 p6■ Sans A, l’association partenaire p8■ Le bateau, le budget p12■ Différents moyens d’acheter une partie du bateau p13■ Mes objectifs p14■ Devenez sponsors p15■ Contacts p16

MINI TRANSAT 2015

Augustin Doumic

DEVENEZ SPONSOR DU PLUS JEUNE SKIPPER

DE L’HISTOIRE DE LA COURSE

■ Un projet 100% Normand 1

En plus d’être le plus jeune skipper au départ

de la Mini Transat, la seconde particularité de

mon projet est d’être entièrement Normand.

En effet cette région dont je suis originaire

me tient spécialement à cœur. C’est au club

de Dives- sur-mer que j’ai appris à naviguer et

que j’ai fait mes premières armes en régates.

C’est pourquoi mon bateau aura pour base

le Port Guillaume de Dives où je lui ai déjà

réservé une place. Pour m’entraîner, je souhaite

également rester en Normandie, région où les

Minis 6.50 sont encore trop rares.

2009 : Premières régates en voile légère Navigations en croisière

2011 : Achat d’un Equipe et saison de régates sur ce bateau Débuts en Laser 4.7

2012 : Grand chelem sur la saison de régates en Equipe 4 victoires en Laser Régates en IRC

2013 : Sélection en équipe de France 5o5 Espoir et saison de régates sur ce bateau, dont le National espoir 5o5 5 victoires en Laser Titre de « meilleur nouvel espoir » reçu lors de la soirée des coureurs au Salon Nautique

2014 : Validation du stage de survie ISAF pour la course au large et du PS Mer. Saison de régates en 5o5, dont les championnats de France et le National espoir

2014 : Préparateur de Class40 pour la Route du Rhum 2014

3 victoires en saison de régates de LaserDepuis 2012, je participe aussi à des régates en IRC et en quillard de sport monotype, comme le J80 et le First Class 8. J’y occupe les postes de barreur ou d’équipier d’avant.

Enfin, depuis cette année, je suis aide-moniteur de voile dans mon club, le PNED (Pôle Nautique de l’Estuaire de la Dives) de Dives-sur-Mer.

■ La Mini Transat Il faut bien admettre que c’est une drôle d’idée !

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Traverser l’Atlantique en solitaire à bord d’un voilier de 6,50 mètres...

Pourtant, depuis 36 ans, plus de 850 marins l’ont fait. Amateurs ou professionnels, inconnus ou futures stars, ces femmes et ces hommes ont tous fait un véritable choix de vie : participer à la traversée océanique la plus solitaire qui soit. Une course certes, une aventure et un voyage surtout.

Lorsque l’eau douce, la nourriture et les voiles sont à bord, il ne reste guère plus de deux mètres cube pour trouver abri. Autant s’accommoder du ciel comme toiture. L’histoire de chacun d’entre eux commence bien avant la sortie de la baie de Douarnenez. Il a d’abord fallu trouver un bateau ou le construire, l’apprivoiser, le façonner pour qu’il devienne le prolongement de son rêve. Viennent ensuite les premières courses : éprouver sa rapidité de manoeuvre, ses choix stratégiques et son habilité à jouer avec les éléments.

Si la flamme reste vive, il ne reste plus qu’à aller chercher un avant-goût de solitude en se mesurant au parcours de qualification que tous les marins qui s’élanceront sur l’Atlantique doivent effectuer : 1 000 milles sans escale en Méditerranée ou en Atlantique.

Les méandres de la route qui mènera à Pointe-à-Pitre sont maintenant derrière eux. Un océan de silence s’ouvre devant leurs étraves. Après le départ de la deuxième étape, à Puerto Caléro sur l’archipel des Canaries, les marins plongent dans une solitude totale, sans contact avec la terre durant près de trois semaines. Toute la magie de la Mini Transat est là, dans l’aboutissement de cette quête. Seul au monde, avec le ciel, la mer et leur surf de six mètres cinquante sous les pieds.

Ensuite, tout n’est qu’histoire de glisses sans fin et d’alizés, de brises et de couchers de soleil incandescents, de rencontres avec des dauphins ou des nuées de poissons volants. De plénitude totale et de désespoirs absolus aussi...

Au ponton à Pointe-à-Pitre, ces garçons et ces filles au teint buriné, un premier cocktail dans la main, auront tous dans les yeux une petite flamme qu’on ne retrouve que chez ceux qui sont allés au bout de leur rêve et de leur passion.

La Classe Mini est fière de les aider à le réaliser.

Olivier Avram, Président de la Classe Mini

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■ L’édition 2015 de la Mini Transat3

En 2015, La Mini Transat repart de Douarnenez, le port cornouaillais qu’elle avait quitté après l’édition de 1991.

Depuis 1999, la Mini Transat avait quitté les rives de la Cornouaille pour d’autres horizons. Le retour de l’épreuve en Bretagne marque en quelque sorte un retour aux origines, proches des fondamentaux qu’avait imaginés Bob Salmon, le créateur de l’épreuve.

Au départ de Douarnenez la traversée du golfe de Gascogne va demander un sens marin évident, quand on connaît la difficulté qu’il peut y avoir à négocier la pointe de l’Espagne, une escale aux Canaries, à Lanzarote, une des îles de l’archipel les plus préservées, puis une traversée express dans les alizés où les qualités de glisse risquent de remettre au goût du jour les carènes planantes, pour une arrivée toute en couleurs à Pointe à Pitre, capitale de la Guadeloupe.

En 2015, la vingtième édition de la mini transat s’élancera de Douarnenez, à destination des Antilles. Pendant cette course hors normes, les solitaires devront affronter le froid, la fatigue, l’humidité permanente et l’inconfort d’un petit bolide de 6,50 mètres.

Séries/vs/PrototypesDepuis 1995, la Mini Transat s’est divisée en deux classements. Le premier se court comme à l’origine sur des prototypes. Le second se court sur des bateaux produits en série par les chantiers habilités par la Classe Mini.

Prototypes : laboratoire d’idées et bouts de ficellePour beaucoup, les prototypes sont l’essence même de la Mini Transat. C’est ici que l’on a vu naître quelques-uns des projets les plus insensés, mais aussi des idées qui ont fait date et ont contribué à modifier en profondeur l’approche de la course au large et parfois de la plaisance en général. Architectes novateurs, procédés high-tech ont bien souvent cohabité avec construction au fond d’un garage et litres d’huile de coude.

Vous aussi, que vous soyez passionné de voile depuis toujours ou que vous n’ayez jamais entendu parler de la course au large, participez à ce défi hors normes !

Partagez avec le plus jeune skipper au départ les valeurs de votre entreprise : l’aventure, le dépassement de soi et le sens du défi !

Rendez-vous compte !

La Mini Transat 2013,

c’était avant tout :

Le jour du départ :

■ 25 heures de retombées télévisions

■ 17 heures de retombées radio

■ un des plus grands événements de voile océanique

■ un hors-série complet dans le Figaro Nautisme et dans l’Equipe

■ la Une dans l’Equipe, Ouest-France et le Télégramme

■ plus de 3 millions de pages vues sur internet

■ plus de 60 médias présents

■ environ 40 000 personnes à Douarnenez

■ l’ouverture du journal TV

■ Retombées médiatiques de l’édition 20134

■ Le prototype mini 6.505

■ A la pointe de la technologieFaire la liste de toutes les innovations qui ont été testées à l’occasion de la Mini-Transat tiendrait d’un inventaire à la Prévert. Citons malgré tout l’utilisation des ballasts pour augmenter le couple de redressement, la quille basculante, les spis asymétriques montés sur un bout dehors, les mâts ailes ou bien encore les grand-voiles à corne. Plus récemment encore, l’étrave ronde du prototype de David Raison, vainqueur de la Mini Transat 2011, préfigure des tendances exprimées, quoique moins radicalement, sur les dernières unités du Vendée Globe. Toutes ces innovations sont aussi possibles grâce à la petite taille des Minis. Expérimenter une voie nouvelle sur un voilier de 6,50m présente moins de risques que sur un monocoque de plus de 18m.

Le proto mini est un véritable 60 pied IMOCA du Vendée Globe à échelle réduite !

Devenez sponsor de cette fabuleuse machine de course et embarquez vos invités sur ce bolide pour une sortie sous adrénaline pure !

Caractéristiques principales :Longeur de coupe : 6,50mLongeur à la flottaison : 6,50mLargeur maximum : 3,00mTirant d’eau : 2,00mDéplacement lège : 750kgLest : 300kgBallasts : 2 x110 LSurface au près : 47m2

Spi : 70 / 90m2

Le proto 606 a été dessiné par le célèbre architecte naval Pierre Delion et mis à l’eau en 2006. C’est un bateau de toute dernière génération, avec une coque en carbone très plate, très volumineuse et extrêmement puissante. Le dessin de la carène, longuement testé en bassin, est original et moderne avec un bouchain vif qui court sur toute la longueur du bateau. Celui-ci rigidifie la structure, donne de l’appui et de la puissance au près et accélère le moment de planning à partir du travers. La coque, les appendices et le gréement sont entièrement réalisés en

sandwich carbone infusé sous vide, pour une légèreté et une raideur augmentées. Enfin, comme tous les voiliers de course récents, le 606 est doté d’une quille basculante et de ballasts qui lui confèrent une puissance monstrueuse dans la brise. En conclusion, on peut dire que le 606 est un mini très rapide à toutes les allures, spécialement aux allures portantes grâce à sa grande légèreté. Avec le retour d’un parcours au portant vers les Antilles en 2015, c’est donc un des bons bateaux pour jouer dans les dix premiers du classement prototype.

■ Présentation

■ Le bateau que je souhaite acquérir, le proto n°606

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Sans A, rendre visible les invisibles !

Voici le proto 606 aux couleurs de l’association Sans A qui vient en aide aux Sans Abris.

rendre visible les invisibles !

rendre visible les invisibles !

Sans A est un projet développé et initié par des jeunes citoyens, issus de milieux sociaux différents, de confessions politiques et religieuses différentes. Ils sont tous animés par des valeurs communes, à savoir le partage, la tolérance, et l’empathie. Sans A s’inscrit dans la lutte contre l’exclusion et plus précisément les préjugés entourant les personnes vivant dans la précarité les ayants amenée dans la rue.

« Sans A ».Un Sans A (abri), (attention), (affection), (amitié), (argent), (avenir), (amour). Aujourd’hui de nombreux termes pour nommer les personnes vivant dans une grande précarité ne correspondent plus, ou sont péjoratifs. Nous avons souhaité trouver une nouvelle dénomination plus large et plus précise permettant d’englober toutes les personnes étant dans cette situation.

Une société individualisteLa rue est un endroit semblant bruyant, particulièrement dans les grandes de villes de France, telles que Rouen, Lyon, Marseille, Rennes, et Paris. Pourtant, si l’on soustrait le bruit des pas, des voitures, le monde est silencieux. Chacun est dans sa « bulle », et les interactions sont de plus en plus rares, les premiers qui en pâtissent sont les Sans A, la solitude les dévore, les transforme, et la violence de la rue finit par les détruire.

Un combat contre les préjugés et pour une intégration socialeL’objectif principal de Sans A, est de combattre les préjugés et les stéréotypes en incarnant les paroles de la rue, afin de les mettre en valeur, de manière à sensibiliser les citoyens. Nous souhaitons également créer un lien durable avec les associations agissant contre l’exclusion et en faveur des Sans A, pour de mener des actions communes et d’interpeller les institutions et la société.

Nos ActionsPour mener à bien nos objectifs, nous prenons régulièrement les témoignages de Sans A, sur différentes thématiques, telles que la famille, le logement, la santé, le quotidien, la mendicité et d’autres, afin de les diffuser. Cette action est le cœur de Sans A. Nous souhaitons également organiser diverses actions, toujours en leur faveur, et pour la cause que nous défendons.

■ Le bateau7

■ Budget bateau : 25 000¤

■ Budget Mini Transat (voiles et assurances) : 25 000¤

■ Achat d’un nouveau jeu de voile : 15 000¤

■ Inscriptions et assurances : 10 000¤

■ Budget communication : 5 000¤

■ Budget prévisionnel pour 2014 et 20158

■ Différents moyens d’acheter une partie du bateau

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10 m2 dans le foc : 10 000¤

20 m2 dans la grand-voile: 25 000¤

40 m2 dans le spi : 35 000¤

Pour bien commencer cette première saison en prototype mini 6.50, je compte avant tout m’entraîner beaucoup cet hiver, dès que le budget sera bouclé. Je pourrai ainsi optmiser, maîtriser et connaître mon bateau parfaitement quelques soient les conditions. La seconde étape pour moi est la qualification hors course de mille milles en solitaire, indispensable pour prendre le départ de la Mini.

Je souhaite ensuite participer au maximum de courses du championnat de France mini, en double et en solitaire. Les points d’orgues de cette saison seront le trophée Marie-Agnès Peyron, l’ArMen Race et la Transgascogne. Tous mes partenaires seront invités au départ de ces courses. Pour la Mini Transat, j’espère lever suffisamment de fonds pour acheter un jeu de voiles neuf afin de courir avec un bateau aussi compétitif que possible. Au vu de mon expérience limitée du grand large et de l’excellent niveau des ministes, je pense qu’il serait trop ambitieux pour moi de viser un podium. Cependant, à force de rigueur de travail et de beaucoup d’entraînement, j’espère pouvoir me hisser dans le top 10 du classement

des prototypes, en accomplissant une des plus belles aventures de ma vie de marin.

■ Mes objectifs au long termeAprès cette Mini Transat 2015, je souhaite continuer dans le dessin et la construction d’un nouveau prototype mini pour les quatre saisons à venir. Je compte ensuite me lancer dans le circuit Figaro pour parfaire ma formation de coureur au large et pouvoir concourir dans le plus fou et le plus beau des défis, le Vendée

Globe.Le projet que je suis heureux de vous présenter aujourd’hui est modeste dans l’échelle des grandes courses à la voile. Mais ensemble nous préparons notre avenir commun dans le monde de la voile de très haut niveau. En me soutenant vous me permettez de me lancer dans le monde de la course au large ; le circuit des Minis 6.50 est reconnu comme le meilleur tremplin pour accéder à la voile professionnel. Les plus grands skippers des vingt dernières années, Michel Desjoyaux, Bernard Stamm, Marc Guillemot et tant d’autres ont fait leurs premières armes sur la Mini Transat.

■ Mes objectifs pour 201510

■ Devenez sponsors : Les avantages à me soutenir

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En tant que Partenaire titre, vous bénéficiez d’un bateau exclusivement au nom de votre entreprise.

En tant que Partenaire associé, vous bénéficiez déjà d’un support de publicité partagé.

Quel que soit le budget, vous êtes visibles sur le bateau.

Toutes les actions de communication sont basées sur votre entreprise, vos produits, vos projets.

Ensemble, développons la communication de votre entreprise ! En me soutenant, donnez une image jeune, sportive et dynamique de votre entreprise !

Embarquez sur l’eau avec vos invités sur un prototype de course exceptionnel ! Le mini 6.50 est un 60 pieds IMOCA du Vendée Globe en miniature.

Assistez-au départ des plus grandes courses au large sur des bateaux affrétés pour vous et vos partenaires.Bénéficiez de retombées médiatiques exceptionnelles à chaque arrivée de course grâce à une éfficace couverture média (photos, vidéos).

Sur tous les grands événements, vous bénéficiez d’un attaché de presse pour faciliter les relations entre votre entreprise, les médias et le skipper et d’un Community Manager pour l’optimisation de votre visibilité sur les réseaux sociaux.

EN PARTENARIAT, TOUT EST POSSIBLE !ALORS N’HESITEZ PLUS :

SOUTENEZ AUGUSTIN DOUMIC SUR LE CIRCUIT MINI !

PARTENAIRES TECHNIQUES

Benoit DuchateletAgence Double Numériquewww.double-numerique.comcourriel : [email protected]

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Augustin Doumic