ADMINISTRATION si RÉDACTION g, Rue Requelaine TOOttOUSE z-lezP.rezert .4.10,R)TIWTITPTT .8...TT. trie", 4 5 fr. to 0.2o h. Cétones 9 tr. 18 16h. seuviEmE ANSES. N. 4750 81111;810111iliellfS! Alleinagne ! Nous serions agne ! Après de rep s après deux ans timr'i'op sacrée, dont nous P ce re les dupes, cette ca- ne, inepte, empoisonnée, ,re par s'étaler, en toutes "rnde 'Libre Parole qui caricaturait, geolne, II: discussion de la loi de suris coiffé d'un casque Are Action Fra,nçaise s, deâ feuilles de droite qui cen- t le plus, par leurs provocao- arainelles, à armer le bras linoni que ces adressantes ee *pille reviennent à ces murs , 7,,me, d'avant le guee . ,,,peere quelqu'un qui les ge- reerait-on assassiner ? witeginèra peut-être pas les mai, essaiera, au moins de idéés ! On ne tuera par on erchere à tuer le so- 7401. eluetil Les socialistes se défendront! NI: Éine resistera igen et Blanc aient empoigné es oreilles et congrûment botté Pun ealonudateurs, cela ,constitue rimer et salutaire avertissement I Il/ plat dame Hennis, dit Piédenaus, portera dorénavant le nom encore «reteinte symbolique de pied_ âge o en a été réduit à de piteuses ss tee eela ne veut pas dire que la rr Detre d'athées rolalo-papistes rie républicains encapucinés qui, de I.Artitta réançaise e à la « Libre Pa- ne tarit pas de mensonges contre Reelqua et le sociolisme, va en et la ! El Innuit, sous le couvert d'un pu- e de façade et d'un hypocrite Ment à Punion nationale, un plulâé goletion bien déterminé, et elle, dele Méthodiquement b sa réalisa- tet tileisance de cette propagande, lielede la complicité de la censure là do den. qui nous est imposé à d/teilles, est si évidente, que le ne s'en alarme pour la /M'oubli- Allillgré une excessive t, longani- és dont son article contient 11/14Ian Hertaudel, dons E ri Humant. Lekeime enYin sa coirviction qu'il el Ruis tarder, répondre à la propa- 18, de droite par une contre-prapa- lee républicaine et socialiste . Lé. sa.n que toute une Campagne et.éde (nets est préparée, que r Zbler MS see i:lie,',JneulZalu.'t dis» I.. Libre Parole o et 'M. Drnais sont par- t'et éléments qui partiel pent I cette Ngie. On n'a pas oublié les lettres que :Mnons publiées, i/ y a quelques mole, ars s, de- 5Ol5 00 qui n'arup'ostimroalCipTlisreohpaskiirtep'inui'd JU,sIktle ses articles quotidiens, 'da. ce écrit, une .ule ligne qui ne soit une .e,Pehde contre le socialisme et Me .tes. M. Boat/nier a repris it « Efraisa. tbs la suite des venimeuses discos- rtZe.liFrilistilla autrefois contre Taures 22. fuit natureLlernent chorus i',Zb concert. Mais son cas est plus eu- i'epre. Ses articles sont réimprimés Most EuTag...sle, distribués un peu Jusque sur le front, d'où nous les ber;stleyseuc:masades indignés. J'en ai Itee qu'il dat imprime à l'imprimerie "%qui est l'imprimerie de la porte encore que la distribue II' tel.Zm tracts ae fait, 5, rue Bayard et « CEuvre tes Tracts s'' et Metree peur être l'adresse des As- Pabs mémoire te- ir4"e aht, ocntre les nets-me agents p nts 7I- kts'e es r nrm. Ces i uses noua coandent 4/.e.. u 10 silenr.r le plus mépri- on M sait, et beaucoup de nous l'ont amicalement re- na Jusqu'ici négligé ces ate . voulu jusqu'il ses ext.- sses la longanimité Mais uni voulu rester Ms ad- usent pas, puisque même il a au fond de leurs poteau- ertê d'action et dero a éverons le gant. P ',N'IDns si la censure prétendra 5m 5nrrpo0 ebriPuéeiue r Zuonntordver-T République à ceu . 'x - tiL2Bettitatent la défense nationale àdig7tne DM' lems excès et 1.r leur eh] essor les consciences. rt"s quand n'elIunÎon'n sacre Vlsur"° 510 ction mgr couvrir son 1/4 %I. nie prupauoudu sournoise quand no. signaleront plue .7se, st, fol' es qu'on leur inflige du M ch t rg. r1éMent a. blessures qu'ils enO.. 41% hels.,111N,, eausiudel I Voila qui s'appelle 4 . 4 sommes de ceux qui ont Fpti Humanité » sa trop lors- semblait de Viner- Maries que plus satis- kpi, t-Tteg,7 el' nies accents &suidés central de notre parti. A eS longtemps l'audace de 5,I444,tert toujours nos adversei- Pllse noua faon' te 1 l rotins mur et nous leur per- mettrions de mener la France aux pires a..,entures ! Out, relevons le gant , Faisons leur rentrer leurs calomnies dans la gorge ! S'ils avaient compté sur nos divisions, Irs réacteurs de tout poil nous retrouve- ront pour leur résister, étroitement unis et prêts à la réplique ! Marcel LIBER?. En pas,ant La joyeuse aveoture Il y a quelques jours, un de nos confrères conta b ses lecteurs fidûles la belle histoire d'un valeureux soldat nommé Georgm Chatelaln. Cet homme mutilé de guerre, était le sympa- thique 011501 àe Mme Sarah Bernhardt. Aine force détails le jourind le plus répandu narra dams quelles tlagrques centile., à Pisses de quel glorieux combat, Chatoiers reçut la rua- leneoatmese bitssure qui rendit nécessaire l'am- putation de ses membres inférients. Puis, 11 vanta -I-us qualités de eceur de la grande tmedienne qui s'intéressa au sort d'un twave petit ploupiou mn, en défendant son pays prés de Chdloos, cet au mois de tuin 1915 lis dom Januses broyées pax une marmite. Le récit Malt artmirafte et lien reit pour Plaire aux lecteur. du quotidien en question. Le plus reboisas de l'histoire s'est en zisa faux comme O jeton. On vient, en effet, de dé- eouvdr que le nommé Chatelain n'est qu'un eym- patenque mecs, L,umforme que portait es pseudo-braye /es décorations épinglées eir sa poitrine, sont fantai- sistes atitan1 quo sa participation aux batailles de cette guerre. Chatelain était déjà cul de-jatte le 2 sens 1914. Maté l'absence des iambes ehsa cet homme Mem Maine pas Pabsen. d'estirlt, Le fait qu`11.1,ence O exploiter la stupidité des journallstu et le be- soin de réclame asine grande artiste sur son clin le prouve peemptoirement, datelain eat cul-de-jatte. Si tout simptemem sans s'attribuer des décorations militaires, n s'en Malt allé solliciter Pa'de d'une comédienne et d'un Journal, voua pouvez Cas dur spioc l'aurait partout écorner en vitesse. ne .nvient donc pas de as monts.. troll sévère pole le pauvre mutilé. Le crime qu'il a cOtrunis est béhin. Si la Mese humaine était moins grmde, les gens que Chatelain parvint a duper auraient d'abOrd cherché à savoir si nom me qui leur demandait moletasse était digne d'intérêt. Bleu au contraire j.rnaliste et tragédie/me ont marché, sv. ent;ain Mut en éprouvant le be- soin de faire savoir o tout le monde de quel hé- ros ils s'occupaient Avec tout leur battage lis ne sont parvenus qu'à prouver qu'ils étaieni do poires, e des bel- les. A rEteanner Un 'ide inamical La Suède vient de répondre par une fm de non-recevoir à la note de l'Entente, que nous avons pubisén dans un de nos derniers nunalsos. Le GouVernenent du roi, est-il Mt, éprou- ve quelque difficulté a se tendre commte du but poursuivi par cette démarche et con- teste formellement qu'il y alt une différence nototre dans l'attitude adoptée vis-a-vis de Son Ou de l'autre des catnps belligérants. Can le gouvernement du roi qui le dit. Os, les putssancee de trade...e sont fon- dées à. en juger autrement Pintesdetion tous navires étranges de la passe de Ko- grand. est le dernier terme, posé par la Ileuede, dune série de dispositiom alleman- des qui visaient 15 fermer les routes navales entre la mer Baltique et la mer du Nord. La réponse de Stockholm dit que « les Mem/es mis par d'autsm pui.ances à la navigation par les voies ordinaires condui- sant de la mes Si Nord à la mer Baltique ne dépendent pas de la Suède s. C'est la vérité luth. ; eaml, 46,65 une ville, un accident où des travaux imndamnent un trottod et toute la chaussée d'une rue, nul da le droit d'accuser le propriétaire du seul trottoir par où les passants sont réduits à circuler. Mais Su Suède, précisément coupe un tronçon de ee trottoir, qui est ira la bande étroite de ses eaux territorial.. Et dés lors la barrieee allemande des mines est pratiquement Com- plétée par une barrière suédoise dcr emb consignées. Le gOuvernement da Stockholm no. seMble hardi d'affirmer, M-desaus, « la sincérité et Pimpartialité de sa neutratité, abondamment démontrée pendant toute la durée de la présente guerre o L'obstruction voulue de la passe de Ko- rat/d, derta los circonstances précises que none rOuons dIesibees, est un manquement grave à la neutralité. La Suède aurait déli- bérément résolu de préparer ta l'Allemaème le champ dame action navale privilgiée dans la Baltique, qu'elle n'eut point agi autos ment. G, D, L'attendu attendu l'an I Ces messieurs du Sénat conserva- teur viéennent dc recevoir sur leurs rugitse les faces une jolie nusaine. C'est le juge de Paix du Ifie arrondissement tb. Paris non Juge; il y en a encore qui vient de la leur infliger. Dans une question de /oyer, ce magistrat plein d'équité n'a pas craint de flétrir M. Vautour par cet attendu musai équitable que peu respectueux de la sacra- sainte religion superstition serait pl. juste du contrat de location. Voici le poulot 'qui fera faire la lippe à nos Oéroiftes d'éros Cletriscrits, qui ne se mon- trant Dan coneerits, il s'en faut, dans l'art de pressurer Me ,locataires et de préparer la guerre civile. Attendu au surplus que D... paratt Jouir .d'une fortune bien assise, ce qui pouvait lui permettre, sans de sérieux embarras pour lui, de s'offrir la douce satisfaction d'user de ménagements vis- a-vis d'une femme aux prises avec les difficultés de la vie, et atteinte dans ses p/ us vives affections. s La leçon du bon juge sera-t-elle entendu Nue députes sauront-ils répare/ les gelen antipatriotiques du Sénat conservateur, con- tés, atuur de ses privilèges ? D. Roue Soulalisle 811 Mail font Lo guet Vaienne. Sixte_Quen n, Brizo n ' coupe 00010e de ne pas intervenir après 1000 ., claratieri go uvernementale et renvoie 0505 5e, . maines la suite a donner Ils décision du Cm- esoseudos ,x30,,,dounnmeasti, n., Auriol. Gorrcspondaner. Ordres du jour de la Fedé- Le neer4taire Dubert Rotons. Prarés,e.1 de .,an,s Jeudi 14 acsanefc 18 Septembre --III heures 779° jour an ta nuerre. Au nord de la Somme, noue avons en- levé une tran u cliee à l'est de Clos-y et re- poussé les contre-atta,ques d erennemi sur . pond. Au sud de la Somme, l'ennemi a lancé plusieurs contre-attaques au cours de la nuit sur nos tranchées à l'est de Berny et au sud de Deniecourt Dans cette dernière région, les Alle- mands n'ont pas fait moins de trois ten- tatives énergiques. Toutes les attaquer ont Olé repoussées avec de fortes pertes pour l'ennemi. A l'est de Berny, nous avons réalisé de ,nouveanot progrès, ainsi qu'aux lisiè- res est de Demecourt qui est comp/ete- ment encerclé. Le chiffre des prisonniers actuelle- ment dénombré atteint 1,200. Dix mi- trailleuses sont restées entre nos mains D'après les renseignements fournis par tee prisonnierS, les pertes subies pendant les combats d'hier autour de llerny pur la 10e division d'Ersatz et de 120e régiment de réserve allemande ont été énorfnes. Deux bataillons du 38e (11e division) ont été presque entière- ment détruits par notre artillerie. Aucun événement à signaler sur te reste du front. tombe près de Dm eecourt. Dans la même journée, le lieutenant lleurtaux a descendu son septième avion Nos escadrilles ont effectué divers lombardements. Douze obus jetés sur /a gare de Dantil- lois et trentre-trois obus lancés sur Mil- le.-Carbonnel et Horgny, à lute fade de 800 mètres, ont causé d'impor- tants dégts. Sur le Iront Britannique La situation générale demeure sans ctmrigernent. Au sud de lUncre, flOt19 avons conso- lidé nos positions du nord de Marti, lunch. A l'est de Cous-cette, une attaque se- condaire dirigée, /a nuit dernière, con- tre certains élérnents de tranchées en- nemies a donné d'excellents résultats. Nous avons pu réaliser sur ce point une avanee très apprécigable. A l'ouest do la ferme du Meuquet, les Allemands, à la suite d'un bombarde- ment intense, ont pénétré dons une de nos tranchées, d'où notre contre-attaque IPS a immédiatement rejetés avec pertes. Au sud de Tieprval noue nous sommes ertiparês d'un nouve/ élément de systè- me de défense ennemi. L'artillerie allemande a violemment bombardé avec intermittence différents points de notre ligne as Oflurs de la nuit. Sur le reste du front, aucun événe- ment notable signaler. Sur le front du Cations. Une forte attaque des Voies dans la direction dlEs.li a été repoussée. Sur le Iront Italien 11e oommuniqué du général Cadorna signale. une grande ectivité dans la val- lée de Buena et' dons la zone ,du Sur le Garso, après un combat d'une extramo violence des deux côtés, l'in- fanterie julienne a-attaqué et prs d'as- saut d'autees retrachemonts ennemis, raUm de Seine-et-Oise relatif aux pensions et a la préparation militaire. r,Itenvoyés sux commis- sions.) Rapport de la 19e sorties (remoyé â la commission -êoonemique). Le secrétaire donne connaissance o'une let- tre de ts Pédnation des métaux. Le groupe man- date Rognon pour suivre l'affaire. ... Hubert Bouger rappelle la décision prise par le Conseil national en ce oui coneerne les buts de guerre, La discussion s'engage afin de savoir si le groupe pmfltera de la déclaration du prési- dent du musait pou demander que les condi- Silos de la paix des allies soit. Munie lise les gau- ' vennemente, Après discussion â laquelM pren- emmerde. SUR TOUS LES FRONTS Les troupes anglo-françaises de nouveaux ,progrès Le village de Deniécourt encerclé Ce que disglil lesi;ounnignés =1.Stliees°[110ilflitéStle'VrngtardidrU8P19j°- o.iers. Sur le front roumain Sur le front nord et nord-ouest, conti- nuant leur avance, nos troupes ont oc- cupé, à la suite de luttes, Homorod, Cohalin (Kochalom) et Fagras. Nous axons fait prisonniers 10 offi- ciers et 900 soldats et avons pris du ma- tériel de guerre. Dans la vallé du Striu, les combats violents continuent. La colline Bran (sud de Barul-Mare) qui a passé de mains en mains à plusieurs reprises res- te finalement en notre possession. Nous avons fait 76 prisonniers. ,Sur le front sud, duel d'artillerie le long du Danube. Nos batteries ont coulé, à l'embouchure du Dom, deux chalands chargés de munitions. En DObroudja, engagements avec les détachements avancés de rennemi Des avions ennemis ont jeté des bombes sur Gonstantea, tuant deux habitants et en blessant quatre. La bataille de la Somme L'Offensive franco -anglaise L'importance du succès britannique Londres, 18 septembre. Des rapports ph. complets de l'attaque CCM- menses hier matin, eu arrivent .démontrer juequ'ici pour résultat ln plus un- L'adjudant Tarascon a abattu son ois- quième avion ennemi. L'appareil est ralre je: b kprij'eaonnnnile're' drers lu '' at..;eint4«,)% tandis que anc.cano. de campagne s.lernent sont officiellement mentionnés conime ayant étê cap- turé. Il es certain que Penneini en a perdu beau_ coup plue. Os meme temps il est remarqué que le feu de l'artillerie allemande pendant ces deux jours appareit comme ayant eu moins d'activité que dans plusieurs batailles précédentes dans la val- lée de la Somme particulièrement, du fait de Murs engins lourds. La perte de tetrains élavés pour l'observation et la maîtrise coMplète l'air par nos mervegleuti aviateurs, s'opposant aux reconnaissancos aériensm de l'ennemi., citai- an 0455 Ined- S.,sb ebesed asoansort elo Dam l'emploi de ses semons à long. portée, La supériorité des Alliés en artillerie Bâle, 18 septembre. Le craieue milliaire d la Gasette de 0051nefo,1 écrit Les Français et les Anglais ont sur la Som- me une supériorité écrasante . aeiilerie et mt naMtions; leur infanterie ml plus nombreuse que la nôtre, de sorte que deus les attaques, nm soldat5 plues en première ligne sont dans un véritable enfer, » N. ennemis ayant O leur disposition /a pro- duction des fabriqum de munitions de guerre du Monde enbier, on peut prévoir que la bataille On- paglc sur le front de Picardie durera longtemps encore. u Nos armées doivent ainsi défendre non seu- lement tout le front occidental, mais aussi la plue grande partie du [Ton', rumb et venir en aide à nos alliés dans les -Carpe.. en Transy-lva.nie dans la Dobroudja et en munit& N'être pas vainc. en assuMent le poids de paon lIn r.ponsabilifes constitue un véritable suce. ,que IKK3 armées n Mort d'un champion cycliste Emile .Maitrot, raereien champion du Joede cy- cliste, a été tu.e â Pememi, da. la Somme, oes joure derniers. La mort de lvfaitrot qui était universellement connu et unaMmenient estimé, va plonger dans l'affliction tout le monde des sports. Les Allemands envoient du renfort Londres, 18 septembre. Le eorrespondant du Tomes au front brasant- quit écrit que d'Importants renforts allemmds ont récemment 010 amenés d'Vpr-es au front de la -Somme Un prisonnier allemand appartenant au 219e régiment lui a déclaré qu'Ils avalent quitté le secteur d'Y'pres dans la 5515 05 14 au 15 sen- te/eh...Il fut fait prisonnier sa front de la Som- me le 16 septembres, matin, D'autres Prison- niers ,disent que trois divlsions ont été amenées du Nord en toute hâte cmi temps demiem dans de grands camions autonmbiles. La Vie chère 001fibieli allolig-sous payer LE VIN au cars de cet hiver? , Pourtant an prévoit nue la récolte sera bonne VegétatIon lusurtante ; grappes saines, grains gros, gras, Piteux, fermes, maquant sous la dent, rarement, le raisin fesi pré- sente en aussl belles conditions que cette année. Voilà le tableau agrable qu'un nous trace du vignoble oranais. A :Philippeville, le t'Ignoble a souffert par suite de grands imendies qm ont détruit 500 hectares de forêts et causé des dégâts à une narre des vignes. On a enregistré, à la date du 21 août, une vente de 80199 hectos à 22 francs rheeto et 50 fûts (300 hectos à 23 Prases au décuva.. En somme la saltation du vignoble dtAl- gérie 0511001 favorable. Les vendangeu bat- tent leur plein 01 01 la pénurie de vaisselle vinaire et les difficultés de transpOrt ne jetaient pas /eue ombre sur ce tableau en- ehanteur, le pinard, nectar des dieux des poilus serait cet hiver 510 portée de, petites bourses. Dans le Midi En diame, dans le MI., la situation aali. sérieuse d y a un mots, maie les pluies rit- sentes ont grandement amélioré la récolte el la quantité aura sensiblement gagné à yes bienfaisantes et tardives ondées. Le « grillé e a cause d'imépasables dommages, mals, quoi qu'il en soit, la note générale reste bonne. On est â peu pros d'accord, dans tous pays vignobles de Fran. et d'Algérie, pour déclarer qu'il ne reste rien de la récolté 1015. n'y a de stock nulle part, eest dom la to colle de Mit seule, qui devra pourvoir tous nos besoi.. Certes, il est asses malaisé de chdfser ces betoins dans une période comme celle que nous traversons. La guerre a modifié bim, des choses et tel poilu qui buvait autrefea da raire ou de la biere, boit aujourd'hui du vin. Par nuntro b r kilo ,è qui mail ss place masquée avant la guerre Sus la bd,.l ds travailleur rurale, de l'ouvrier 05 00 tem plliyé, est remplacé maintenant par la carafe d'eau clame. Je laisse aux statisticiens h soin de dire si, de ce fait, la com,pensation s'est établie. De même, en ce qui concerne le rendement général da la récolte, les avis sont tellement partagés qu'il seralt téméraire d'avaneer un chiffre ferme. Les uns parlent de 56 millions d'hectolitres. Les autres riment 45 Ceux qui broient da nom ou de l'or éinettent le chiffre de 30 millions. La vérité est au centra affirment senten- cieusement certains esprits forts. Admet- Lons-le et enregistrons une production vini- cole de 40 millions d'hectolitres pour la France ct Pialgérie réunies. Cornme notre consommation annuelle est en moyenne de 35 millions d'hecto/dr.; nons pouvons être tranquilles en ce qui concerne la quantité. Nous avons vu tout-b-Pheure que pour la qualité nous pouvons aussi nous montrer rassurés. tin engin infernal Londres, 15 septembre. Le correspondant de Pagence Reuter sur le front britannique écru/ O la 04005 lb o De nouveaux engins formidables ont fait leur apparition. Aussi, 1ls prisonniers qui avaient combattu S Verdun et sur le front russe sont-ils d'accord poux déclarer que la lutte eux lé Somme est inirnaginable, et cependant ce qUe sous leur 005n000 n'mt qu'un commencement. Pour vous montrer l'efficacité deS nouveaux autos blindées appelées dreadnought terrestre» voici un incident » 'Une raffinerie était trmsformee en nid de mitrailleuses, L'auto s'avança, grondant jesqu' l'entrée, et fit sauter la tarte ,barricedeetrusner- sant les sa.de sahm, et se trouva au miliem des mitrailleurs. Quelquea minutes plus tard, tout était 50000 ions, et notre infanterie .prenalt peu 5050,05 de la raffinerie sans être inquiétée. Pen- dant ce temps Pasto, lourdement, se remettait en marche pour -continuer plus loM son carnage, n MARDI 19 SEPTEMBRE 1916 Amis nEntottiugs TTITTÜTT, Gausses4 ut*ammonpe5sa00oc5L, tomarmartexenr. t55e,0a.1.715 bassame-rembelà, 11. .ram, sante, TI., TATTAk- T.C.Tene sibm Et le prix? Si, en 1915, La récolte était inférieure de beaucoup 0 eelle de 1916, on devrait, en bonne logigoe, payer le vin mOiu0 stmr en 1916 qu'en 1015. Or, c'est tout le contraire qui se produit. Jr:. septembre Mo, les vins valaient de 7 à 10 Man00 l'hectolitre; en 1915, à la même date. on les payait de 38 à 40 franco Au- jourd'hui, les «nes varient Ores 056 francs. Qui nous expliquera ce phénomène Pour corser encore des prix qui. avec les Irais de transport, sont déjh tres élevés, voici que les compagnies de vagons-réser- voire majorent leurs tarifs da0.0 des propor- tions rom/Ombles De 0 80 de l'hecto en 1914, elles ont Inleê à 1 10. 80 en 1915 et elles exigent audourd'hui de 4 à 5 francs. Peut- 011,, s.r...1110 ett. taxé de malignité, dire qu'elles Toujours la spéculation 1' or sa revenir au in, que nous devrions avoir à lias prix, i/ Mat nous attendre à le papêy,0,0bf itoirotme s51 0o,111 e tolwinor...e:oeuiris,a.eLa est cause de tout le mal. Don vi. qui out été achetés sur souche 30 francs l'hecto valent deqlà à leuru ache - Mots ttit « bénéfice r de 20 francs, soit les deux tiers de la somme engagée. Et comme l'appétit vient en noangeant, les détenteurs ci,, i0tif,s.1,Bee71 svilnos, polo gagner davantage Et puis le mal est oontagieux. Tout le mon- de veut s'enrichir. Des femmes, des « amas zones o, comme on dit da. lus milieux com- merciaux où 100 Joue, vont à la bourse des vins comme on allait aux mer.s. Eues loimnt et elles gagnent. Des notaires, dos fi- nanciers, des avocats, doc entrepreneurs se sont mués en négociants en vins. Ils ashetent des caves entières, même à des prix élevés, el un peu plus tard. quand le nmsché sera dégarni, ils epporattront avec murs st.lsm et doubleront, tripleront lears capitaux. C'est la aimera! Eh ami ! c'est la guerre. C'est, le moment le plus propice aux mauvais coups. Il y a du fanatisme dans l'air, qui fait tout accep- ter, qui fait tout supporter. Bah ! sait-on de quoi sera fait demain I Et on flayd tout, sans compter, cinquante et même cent pour 'rent plus cher qu'autre- fois. Dtilleurs, les raisons, bonnes wu mau- vaises, ne manquent pas au, commerçant pour expliquer une hausse qu'il « déplore autant, sinon plus que nous, mais dent il profite. Au front c'est le même esprit Pela pas s'en faire, disent les poilus la veille d'une attaque. Si on en revient on s'arrangera. Si on n'ne revient pas, alose pas besoin de garder des économies. 21,:t. on vide son porte-monnaie dans d sa- coche du mercanti, qui vend au prix qu'il Ca9t celte passivité de l'acheteur, c'est le manque d'énergie des pouvoirs publies qui, trop souvent, permettent aux profiteurs de la guerro. d'exercer leur coupable industrie. Il rat peut-être temps encore d'arrêter la ,hausse du vin. Mais, si on n'y prend garde Ms maintenant, le pinard vaudra vingt sous le litre en janvier. A ce moment-lb il sera trop tard pour agir. Ch, BOUTET. Sur le Front macédonien La prise d'Eksisse Salonique, 18 8,,plemb0e. Les troupm buigarm ont refait en pleine dé- route la quarantaine do kilomêtres 1150, ele Isum lignes de Monastir, lm avaient menées Susque sur le groe de notre aile gauche, le long du le. d'Os- Ils s'étaient rele.chés sur 1500 01555 courbe qui passait par Sorovitch, s'accrochait au peut village d'Elsimu, as sud-ouest do lao d'Octroya et re- Montait vers le Nord-Ouest. La bataille fut as/lassée mais bosse Après une prepa.tion indeitée dans ces contrées Ms Serbes eu ruèrent d'un farouche élan sua lei retranchements de mmpagne nativement impro- visés par l'ennemi. Lm Bulgares furent tellement interdits devant PintensIte du bombardement et la furieuse obs- tination de Passant, qu'ils M'Usinent ft peine lem artillerie, cependant commandée et servie par dm Allemmde. C'est alors que le village d'iksissu fut brillam- ment enlevé, malgré que sa .défense efit été soli- dement organisée, un poste de mitrailleuses, ires bien placé, fut enlevé 5 la baïonnette. Les Russes, marcha., sur S'Ionisa accentuèrent la déroute bulgare dam la dIrmtiori de Monastir. Os a recueilli On butin Important, Le courage des volontaires grecs Athènes, 1S septembre, Les ,premiers 560055 grecs qui ont êtê blessés en combattant pour les Alliés sont arrivés samedi Kosani. Ils font partie du tee régiment de volontaires commandés par le culonel Gravairis. On rapporte que I. Grees ont fait preuve d'on grand cou,ge lors de la mise d'Eksissu. Cavalla bombardée Badonimse, 18 sepfernbro Les positions bulgarm autour de Cavalla ont été bombardém par la flotte alliée. Sur le iront roumain Une Bataille acharnée Herne, te septembre. Le .rrespond.t particulier du Berliner Tage- blet au grmd quartier général austro-hongrois télégraPhie Par le défilé de T'oersburg, une importante armé ercurnalee a atteint la plaise du Hait, Bile O traverse cette rivière pris de Forgeem et elle attaque en . 5100005 1m principal, liem de défense austre-hongitga.. » La bataille se poursuit actuellement avec un acharnement incroyable, L'occupation de Barot Londres 18 septembre. Dans une dépêche, le serresPondant do Tines Barot, que les Roumains ont occupée hier, est un point stratégique Importmt dominant la voie ferrée de Bras. O Poldvar. Parra est le point le plus avancé en Transylvanie qu'aient at.- teint les Roumains, étant â 4,8 kilomètres de la frontière roumaine, u DANS LA DOBROUDJA Une lutte homérique Petrograd, 18 septembre. CIL tê1.6g1,Mme d'Odessa donne quelques .détails sur la première rencontre des Serbes et dm Bul- gares dans la Dobroudja °entai°, Les .Bulgares Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés