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(REVEIL)
Pré-‐en-‐bulle, pré-‐en-‐slam
Réveil, pièce à trois personnages, un homme, une femme, et l’Oiseau, le témoin, le regard, le double de la femme, l’Oiseau ; qui raconte leur histoire, une histoire atemporelle, qui n’est pas inscrite dans le temps mais qui lutte avec le temps. C’est une histoire de l’attente, une histoire latente où l’amour fait résonner ses sens, ses contresens, ses contre-‐tout. Il y a cet homme, il y a cette femme, il y a l’oiseau. Il y a des « oui…mais non » et des non-‐dits, il ya ton nom. Il y a des espoirs, du désespoir, des interdits ; de la magie Il y a de l’envie, de la conscience, du pouvoir, des idioties. Elle est belle, il se rappelle, elle l’appelle. Répondeur. Il la rappelle, elle le rejoint et l’interpelle ?!... Le même refrain Dans un tic tac abrutissant, elle l’observe et le regarde Dans sa cage, l’amour les garde. Et ce réveil qui sonne. Sans fin. Parce que. On vit comme on peu son histoire.
Ewa Kraska
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Texte de Ewa Kraska
Pièce de théâtre en 9 scènes + 5 mois.
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Table des matières
I-‐ECRITURE ET CONCEPTION DE LA MISE EN SCENE PAR EWA KRASKA
• PRESENTATION
• L’ECRITURE
• VISION GLOBALE DE LA PIECE
II-‐L’EQUIPE ARTISTIQUE
III-‐ COMMUNICATION : ARTICLES DE PRESSE
• JOURNAL DE L’UNION
• L’HEBDO DU VENDREDI
IV-‐QUELQUES PHOTOS DU SPECTACLE
V-‐ LA PRODUCTION
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I-‐ ECRITURE ET CONCEPTION DE LA MISE EN SCENE
• PRESENTATION
Réveil, pièce à trois personnages, un homme, qui n’a pas vraiment d’âge, une femme, qui n’a pas
vraiment d’âge et l’oiseau, le témoin, le regard, le double de la femme, le double de l’homme, l’oiseau ; qui raconte leur histoire, une histoire atemporelle, qui n’est pas inscrite dans le temps mais qui lutte avec le temps. C’est une histoire de l’attente, une histoire latente qui commence on ne sait quand, et qui n’a pas de fin.
Cette histoire née d’une rencontre insolite, un jour comme ça, alors qu’on ne s’y attendait pas. Ce jour. On n’en parle pas dans la pièce. Il est ancré dans l’esprit de l’homme et de la femme, et né de l’imagination de chacun. C’est un jour qui déclenche tous les autres, et qui met l’amour à toutes les épreuves, se déclinant sous toutes ses couleurs, à tous ses niveaux, dans tous ses extrêmes.
De cette rencontre, naissent des sentiments inconnus jusqu’alors, de la raison, on passe à la folie, puis du contrôle de soi, à la perte absolue. Rien de bien extraordinaire au bout du compte, juste une histoire d’amour qui fait résonner ses sens, ses contresens, ses contre-‐tout.
De l’amour exclusif, sans partage parce que tout est déjà donné à l’autre.
De l’amour bulle.
Des bulles. De vie. Des vies multiples. Des âges qui s’entremêlent au fil des mois, au gré
des humeurs, des instants interdits qui frustrent et blessent. De l’amour qui illumine quand il est vainqueur. De l’amour qui frappe quand il est jaloux. De l’amour qui tue quand il est absent.
Mais l’amour combat avec des valeurs. Et il ne gagne pas à tous les coups.
Cette histoire, « Réveil », ne blâme ni l’homme, ni la femme, ni l’amour.
Cette histoire « Réveil », rend compte de l’âme qui est vivante parce qu’elle aime, parce qu’elle souffre, parce qu’elle saigne.
L’oiseau est le médiateur. C’est un oiseau de nuit. Il parle quand ils ne peuvent plus. Il parle quand la femme et l’homme sont dépassés. Il parle quand la femme et l’homme ne peuvent pas se voir, rattrapés par des contraintes que l’un va mettre sur le plan d’une fatalité, et que l’autre considérera comme une peur. Peu importe la raison véritable. L’oiseau n’est pas là pour rétablir la vérité. Il est
juste là. Comme ça. Posé sur sa branche. Il regarde. Sans juger. Juste. Il regarde. Et dévoile les messages de l’un envoyés à l’autre, de l’une envoyés à l’homme.
Il ouvre la pièce par un prologue, apparaissant comme le double de la femme, le double maléfique ? Celui qui plonge dans son moi intérieur, celui qu’on ne veut pas voir, celui qu’on ne regarde pas parce que c’est plus facile comme ça.
Il parle au nom de la femme qui dit ce qu’elle ne peut pas faire.
Il parle au nom des manques de chacun.
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Il parle au nom de la passion qui ne passe pas.
Il raconte. Ce qu’on ne peut pas voir. Ce qui est vrai dans les mots, ce qui se dit sur papier mais qui se fait autrement dans les actes.
« Réveil » ? Ce n’est pas une histoire triste. Il n’y a pas de condamnations.
Il n’y a pas de victime, ni de coupable.
L’homme et la femme ne sont pas tristes. Ils vivent comme ils peuvent leur histoire.
Parce que. On vit comme on peut son histoire. Avec des moments tristes. Avec des
instants explosifs.
Mais si ces instants sont si difficiles c’est parce qu’ils combattent avec le possible. Si ces instants sont difficiles ; c’est parce que la relation vaut le coup d’être vécue. Avec tous ses instants. Justement.
Nous sommes dans la réalité et dans son envers. Nous sommes dans une réalité théâtralisée.
Nous sommes dans le théâtre et le conte, parce que l’oiseau est toujours là pendant la pièce. Et qu’il est un personnage à part entière. Parce qu’il fait partie de l’homme et de la femme. Même s’ils ne le voient pas.
L’oiseau est là.
Parce qu’il fait partie de chacun de nous.
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• L’ECRITURE
« Réveil », c’est une pièce qui mêle le réel au rêve, ou au non-‐dit.
C’est une pièce sur la relation d’un homme et d’une femme qui savent parfaitement se comprendre. Seulement. Il y a un travail à faire sur chacun. L’homme ne sait pas parler. La femme ne sait pas se contenir. Il ment. Parce qu’il ne sait pas dire autrement. Elle crie. Parce qu’elle ne sait pas faire autrement.
Un amour véritable, d’une vérité transcendante, les lie intérieurement.
Mais les mots relèvent du non-‐dit, du caché, du « temporisé ».
L’homme part quand il a peur. La femme court quand elle a mal.
Très souvent, nous sommes dans le sous-‐texte. Parfois les dialogues relèvent même de l’absurde, et de plus en plus en fin de pièce, non pas pour signifier une incompréhension entre les deux personnages, mais pour enfreindre à une contrainte qui prend le dessus. Et qui fait mal.
Quand l’un dit « vous allez devoir partir », c’est pour lui demander de rester. Quand l’autre dit « j’adore le pain », c’est pour lui dire qu’il l’aime.
C’est une écriture qui découle d’un rythme, comme obsessionnel. On pourrait slamer certains passages.
La musique est très présente, au cœur des mots, de la syntaxe. Des mots ponctués. Qui sortent
comme ils frappent. Les monologues sont importants. Parce qu’ils marquent la solitude de chacun.
Ils sont parfois repris par l’oiseau qui prend le flambeau quand ils ne peuvent plus parler. Alors la femme se met à courir. Et l’homme à fuir.
Pour revenir.
Les dialogues sont brefs, et racontent la banalité parce qu’elle est facile à mettre en mots.
La passion, elle, passe par autre chose. L’attache, aussi.
C’est surtout le corps qui s’exprime. Ils courent pour se rejoindre. La femme est très tonique. L’homme, plus introverti. Mais il est aussi capable de crier dans un silence frappant qui fait encore plus de bruit.
C’est une pièce en neuf scènes qui dévoile l’amour et toutes ses déclinaisons. De la séduction, on passe à la déraison, puis à la séduction, de nouveau, puis à la passion, puis à la trahison, pour retrouver la déstabilisation, la passion encore, puis le discernement, et enfin l’harassement. C’est un schéma qui tourne sans fin, parce que même dans la fatigue extrême, une pointe d’énergie dard la bulle qui n’éclate jamais.
Indépendamment de ces neuf scènes, cinq mois. Courts mais intense. Le processus est le même mais avec plus de lucidité. C’est le début d’un nouveau début. Un début qui rejoint le reste mais qui ouvre aussi à autre chose de concret. Le concret. C’est ce qui change. Même si autour de ce concret, l’incertitude persiste.
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* VISION GLOBALE DE LA PIECE
Quatre espaces en un même lieu. Nous sommes dans un café. Puis à l’intérieur d’une voiture, et
d’une chambre. Le tout, relié par le canal. Ce canal c’est le seul espace extérieur qui rattache tous les autres et les met sur un même niveau, comme un couloir qui relie chaque intérieur. C’est comme si l’homme et la femme étaient dans un appartement mais réaménagé par ces éléments qui en constituent une pièce, et d’après les instants du possible.
Ces espaces sont symbolisés par des bulles « flash », comme des microcosmes, où le couple évolue à deux sans éprouver le besoin de regarder vers l’extérieur, ni vers le passé, ni vers l’avenir. C’est justement ce qui peut faire éclater ces bulles. Transparentes comme la relation, pure.
Mais CASSANTES, quand la femme attend l’homme et que l’homme attend un signe extérieur pour comprendre.
Les bulles symbolisent aussi la lumière, l’irréel, le cristal, le précieux, ce que sont l’homme pour la
femme, la femme pour l’homme. Quand l’un des deux disparaît, l’obscurité se dévoile, la rue vide s’ouvre, et la femme court. Quand l’un des deux disparaît, c’est l’Oiseau qui prend voix pour dire ce qu’ils ne peuvent plus, dépassés par le manque. Il vient comme un élément répétitif, comme un rituel, quatre fois. Dans ces moments où la femme et l’homme ne sont pas ensemble, séparés par les frustrations, les colères et les révoltes de l’impossible.C’est le moment où l’homme part et revient.
C’est le moment où le rêve n’est plus possible, et le fantasme, insupportable. Le moment où la femme ne peut plus ; parler, bouger, rire, pleurer.
Le temps s’écoule, les jours se comptent, les heures défilent pour combler le rien.
De l’autre côté de ces bulles, une frontière. Le canal. Diagonale qui sépare le rêve et le réel, l’illusion et la désillusion, l’instant et le reste ; le monde de l’homme et de la femme réunis et celui de l’Oiseau.
Au bout de ce canal, un banc. C’est le banc des retrouvailles. C’est un banc ancré. Solide, comme leur amour. Mais qui marque aussi l’abandonné quand ils n’y sont pas. Et près de ce banc, une balançoire, suspendue à une branche d’arbre. C’est là que se tient l’Oiseau.
Les lumières aussi ont leur importance ; elles jouent un rôle comme un personnage, colorant les états intérieurs de l’homme et de la femme. Les intérieurs microcosmes sont plus ou moins lumineux, dans des ambiances chaudes ; le banc sobre se reflète dans le canal en miroir avec la balançoire. Le canal reste blanc. Glacial.
Et au milieu de tout cela, des émotions qui éclatent, de la musique qui introduit, se répète et conclut.
Et un réveil.
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II L’EQUIPE ARTISTIQUE ET TECHNIQUE DE REVEIL
EWA KRASKA, Auteure, Metteure en scène de Réveil, Comédienne dans le rôle de l’Oiseau.
ALICE MAY, Comédienne dans le rôle de la femme
LAURENT LE DOYEN, Comédien dans le rôle de l’homme
ARTHUR OUDIN, Régisseur son et lumières
LESLIE MARQUEZ, Mise en slam rôle de l’Oiseau
AURE-‐ANNE DE FRILEUZE, Chorégraphe travail corporel rôle de la femme
HERVE LE GOFF, Chorégraphe claquettes rôle de l’Oiseau
SOPHIE JEANDOT, Costumière de l’Oiseau
TOMA BLETNER, Graphiste
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PORTRAIT DES ARTISTES
EWA KRASKA, née le 02/09/1986, auteure, metteure en scène et comédienne.
De formation littéraire, Ewa poursuit des études de lettres à Lille au Lycée Faidherbe en Hypokhâgne, Khâgne, spécialité théâtre. Suite à ces deux années de classes préparatoires, elle termine sa licence et son Master à Paris à la Sorbonne-‐Nouvelle, tout en suivant des
cours de théâtre à l’Ecole Acting Studio International sous la direction de Robert Cordier. Ces années la confrontent aux méthodes de l’Actors Studio, techniques de Meisner, Stanislavski, et elle danse les claquettes au Cirque d’Hiver avec Hervé Legoff.
En 2009, elle écrit et monte son premier spectacle, « En attendant le Nobel », qui relate les dernières années de l’écrivain polonais Witold Gombrowicz et de son épouse, Rita, de 1964 à 1969, sur la Riviera. Cette pièce a été jouée à Vence, à Reims, à Paris et vient d’être primée (prix de la mise en scène et interprétation) au Festival International de Radom en Pologne. 2011 fait place à sa seconde création « Réveil ». C’est une pièce sur la passion et ses déclinaisons, sur la confrontation du rêve à la réalité, à travers un homme, une femme, racontée par l’Oiseau. Une pièce qui mêle le théâtre et le Conte, une pièce sonore qui laisse sortir les mots comme ils frappent. De la musique dans les mots, du slam dans les langages, des claquettes dans les corps, des microcosmes colorés, un canal glacial ; un réveil qui sonne. Jouée à Reims, elle est en tournée
toute cette année. Egalement, Ewa Kraska travaille sur son nouveau spectacle « La diagonale du Fou, Rencontre avec Philidor », en résidence à la Chartreuse en septembre 2013, elle est invitée en 2014 à la prochaine édition du Festival de Radom. Parallèlement, depuis l’obtention de son doctorat en 2012, Ewa écrit des articles pour Alternatives théâtrales, et enseigne la dramaturgie à Paris 3, Sorbonne-‐Nouvelle.
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ALICE MAY, comédienne, Directrice artistique du Collectif PLATOK. Après un diplôme de psychologie clinique à Paris 7, et une formation d’art dramatique dirigée par A. Veilhan, Alice May choisit la voie de l’art en tant que comédienne. En 2009, elle fonde le collectif PLATOK, puis son laboratoire de recherche autour de textes contemporains qui interrogent le monde.
Elle commence par jouer au Théâtre du Nord Ouest dans un Molière, puis présente des lectures de textes avec C. Baqué. Elle tourne ensuite dans l’adaptation de « La Vie secrète des jeunes » de Riad Sattouf pour Canal + et joue « On Air » avec le Collectif PLATOK. Parallèlement, elle continue de se former : en 2008 aux « Laboratoire du corps danse/théâtre » avec A. Del Perugia ; en 2009, elle expérimente le clown et l’écriture de Beckett avec la Cie Théâtre. Elle rencontre en 2011, le metteur en scène Jacques Vincey lors d’un atelier de formation au CDN des Pays de la Loire et est actuellement en formation à l’Ecole du Jeu « Apprendre par le corps » dirigée par D. Eliett.
Elle dirige également avec le collectif PLATOK un cycle de lecture « Quand lire c’est faire » en partenariat avec le Nouveau Théâtre d’Angers, CDN des Pays de la Loire. Elle met également en scène « Je m’appelle Rachel Corrie », deuxième création du collectif.
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LAURENT LE DOYEN, comédien dans le rôle de l’homme. Laurent Le Doyen a commencé le théâtre au cours Tania Balachova avec Vera Gregh puis à l’Ecole des Amandiers de Nanterre avec Pierre Roman et Patrice Chéreau.
Au théâtre, il a joué Michima, Patrick Gratien-‐Marin, Luigi Lunari, Alain Clarey, Rostand, Shakespeare, Maupassant, et Guitry ; après des débuts remarqués à la télévision dans le rôle principal de la série « Le Gerfaut » réalisé par Marion Sarraut à la fin des années quatre-‐vingt, il a travaillé régulièrement pour la télévision et le cinéma en France comme à l’étranger avec Eric Rohmer, Sandrine Rinaldi, Gérard Marx, Claudio Tonetti ou Alain Nahum.
Il a également mis en scène Tchékov, Labiche, Feydeau, Goldoni, Shakespeare, et plus récemment, Durringer. Il a écrit, produit et réalisé trois court-‐métrages, « L’Epreuve du Mal », « Faut que ça mousse ! » et « Grain de sable ».
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LESLIE MARQUEZ, débute le solfège et le claver à l’âge de huit ans et se découvre vite une passion pour l’écriture. Puis elle se forme à la danse moderne, au chant et participe aux diverses activités culturelles du collège et du lycée. Animée par un grand intérêt pour les arts, elle se forme aux arts du spectacle à l’Université où elle étudie danse contemporaine, théâtre, cinéma, tout en travaillant sur des projets en parallèle.
Elle découvre le slam en 2006 et se lance dans l’arène en 2009 dans l’équipe de Slam Tribu. Elle anime des ateliers d’écriture auprès des jeunes et écume les scènes pendant deux années. Elle devient médaille de bronze par équipe à la Coupe de la Ligue Slam de France ainsi que Lauréate du concours des 10 mots 2011-‐ Ministère de la Culture et de la Communication, DRAC Champagne Ardenne.
C’est en travaillant auprès du personnage de l’Oiseau que Leslie collabore au projet « Réveil ». Une pièce empreinte du langage du slam qui se mêle à l’univers du Conte et du théâtre.
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HERVE LEGOFF, danseur de claquettes, a tourné en tant que danseur soliste avec l’American Tap Dance Orchestra aux Etats-‐Unis, aux Bermudes et à New-‐York. Avec sa pianiste Frédérique Trunk, il a crée « Dansez sur moi » et « Je sais des tas d’histoires d’amour » spectacles de chansons et claquettes qu’ils ont joués à New York, Paris et Montréal. Avec la metteure en scène Lucie Tiberghien il codirige la compagnie de claquettes-‐théâtre-‐danse, charnière pour laquelle il a écrit et chorégraphié deux spectacles, « Putian d’soleil » présenté à New York en février 97 et « Bonsoir Mon Prince » présenté à New York en février 98 ; il tourne depuis 2007 avec sa création The Quiet Room qui a été présenté à New York en avril 2004. Hervé Legoff tourne également en Europe, en tant que danseur de claquettes et de boléadoras et travaille régulièrement en tant que danseur et chorégraphe pour le théâtre.
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III -‐ COMMUNICATION : ARTICLES DE PRESSE
(Réveil), par Fabrice Littamé, Critique de l’Union
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(Réveil), par Amandine Lefèvre, journaliste de l’Hebdo du vendredi
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IV-‐ QUELQUES PHOTOS DU SPECTACLE
Réveil de la femme
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L’Oiseau perché
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Une bulle ; Danse des corps à l’unisson
L’homme
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Danse des doubles ; Femme/Oiseau
L’homme et la femme
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V-‐ LA PRODUCTION
(Réveil), une pièce produite par Itek, subventionnée et accueillie par la Ville de Reims et la DRAC Champagne-‐Ardenne.
Création en résidence à Reims, Salle Jean-‐Pierre Miquel, 2011
Jouée à Reims en octobre 2011
Tournée 2013-‐2014 en préparation (Festival de Lviv en Ukraine, TNT de Nantes)
ITEK
7, rue Vauthier le Noir 51100 REIMS Contact : [email protected] Tél : 06.07.10.88.42
Véronique Allard, présidente de l’Association