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Institut de l’Illettrisme de l’Université de La Réunion
(acronyme ILLETT)
Dire, Lire, Calculer en Grande Section de maternelle
créolophone à La Réunion : logiques, spatialité, numération
Programme de recherche et dispositif
pour la prévention de l’illettrisme
Pr. Staudacher-‐Valliamee, Gillette, L.C.F,
ILLETT Adriana Folgoat, doctorante,
L.C.F, ILLETT Jasmine Dijoux,
doctorante, L.C.F, ILLETT Emmnuel
Bénard, doctorant I.R.E.M. Réunion,
LLETT
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SOMMAIRE
L’Institut de l’Illettrisme et ses
partenaires institutionnels
Objectifs généraux du programme
(2011-‐2014) Actions mises en œuvre
pour la réalisation des objectifs
Modalités opérationnelles possibles
du dispositif
Estimation du nombre de bénéficiaires
Conditions d’extension ultérieure et
cadre de budgétisation
La constitution de l’équipe autour
du programme
Pilotage et coordination
Tableau 1 : Cartographie des
écoles pour le test diagnostic
1
Tableau 2 : Circonscriptions et
classes pour le test diagnostic
1
Tableau 3 5 Axes thématiques
ILLETT pour le Plan Académique
de Formation. Campus Sud. UR
Tableau 4 : Calendrier du
dispositif 2012-‐2013
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PROGRAMME DE RECHERCHE ET DISPOSITIF
POUR LA PREVENTION DE
L’ILLETTRISME
Dire, Lire, Calculer en Grande
Section de maternelle créolophone
à La Réunion : logiques,
spatialité, numération.
L’Institut de l’Illettrisme et ses
partenaires institutionnels
Ce programme mobilise les retombées
de la recherche et les
partenariats établis depuis l’Institut
de l’illettrisme avec la signature
du Plan d’Actions de Prévention
et de Lutte Contre l’Illettrisme
2011-‐2015 par Mohamed Rochdi,
Président de l’Université de La
Réunion. Le projet global d’un
dispositif de prévention a vu
le jour en novembre 2011 à
l’initiative conjointe de Gillette
Staudacher-‐Valliamee, alors chargée de
projet Illettrisme à l’université et
de Monsieur Denis Ouin, Inspecteur
de l’Education nationale et référent
Illettrisme pour l’Académie dans le
Plan A.P.L.C.I 2011-‐2015. Bernard
ZIER alors Inspecteur d’Académie et
Adjoint au Recteur de l’Académie
de La Réunion y a apporté
son soutien institutionnel. Les
conseils avisés de Madame Joëlle
Marimoutou, Inspectrice de l’Education
Nationale à qui cette publication
de l’Illett souhaite rendre un
hommage posthume, ont orienté en
mars-‐avril 2011 le choix des
classes pour un premier
échantillonnage de cette expérimentation
pédagogique.
Objectifs généraux du programme
(2011-‐2014)
Dans le cadre de la
prévention de l’Illettrisme, L’Institut
de l’illettrisme a ouvert un
programme expérimental et transversal
en orientant ses recherches et
les actions s’y rattachant vers
plusieurs champs disciplinaires
(linguistique comparée français/créole,
mathématiques, arts plastiques, théâtre,
statistiques) investigués dans une
perspective didactique. Les analyses
n’y sont pas purement quantitatives,
mais croisent différents axes de
recherche placés au service même
de l’acquisition des fondamentaux du
socle commun auxquels nos travaux
peuvent contribuer. À
cet effet, les productions langagières
des élèves de Grande Section
en école maternelle créolophone
sont privilégiées avec le choix
d’une prévention précoce dans un
dispositif ciblé sur une collecte
et une étude fine du Dire
en français chez le jeune
élève. On sait que
les élèves créolophones réunionnais
sont inégaux face à l’usage du
français parlé au quotidien. Or,
« Le langage oral est le
pivot des apprentissages de
l’école maternelle. L’enfant s’exprime et
se fait comprendre par le
langage ». (Nouveaux programmes de
l’école primaire). Aussi,
l’acquisition des compétences complexes
et lourdes nécessaires à la
lecture en français LV2 dicte
des stratégies transversales de
familiarisation progressive avec la
pratique du langage oral
(français/créole), prolégomènes à la
construction de la mémoire
visuelle active dans les gestes
du Lire, Ecrire et calculer.
Ces choix théoriques nécessitent
l’observation et la compréhension des
logiques véhiculées par les formes
orales, spatiales, gestuelles du
langage, de la mémoire orale et
visuelle chez le jeune élève.
Les principaux objectifs tiennent
dans la maîtrise de l’expression
langagière en français intégrant,
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pour sa complémentarité, la
problématique circonscrite pour chaque
action : Objectif 1
: Développer l’expression linguistique
et langagière de la spatialité
en soutien à l’initiation
au langage mathématique fondamental. En
maternelle, ce champ implique
l’acquisition d’un vocabulaire lié
à la localisation, au mouvement
et au déplacement. L’usage des
unités lexicales et grammaticales
(noms, verbes, prépositions, adverbes,
adjectifs) découpant les réalités et
abstractions spatiales s’inscrit, à
La Réunion, dans un système
spatial qui ne coïncide pas
point par point avec celui du
français scolaire.
Objectif 2 : Cerner le
lexique en cartographiant les
compétences acquises en Grande
Section dans le
domaine de l’appropriation et de
la compréhension précise du
vocabulaire et de la syntaxe de
la langue française avec pour
priorité l’observation de la
phrase-‐énoncé.
Objectif 3 : Cibler le
passage de l’oral à l’écrit.
Prendre en compte les particularités
phonologiques
et prosodiques de la langue
orale des élèves ainsi que
sa dimension intra-‐culturelle dans
l’apprentissage et l’acquisition de
la lecture-‐écriture.
Objectif 4 : Identifier,
recueillir, analyser l’expression française
dans les productions liées à
la
(re)formulation des catégories syntaxiques
de la définitude (défini/indéfini),
du nombre (pluriel/singulier), du
genre grammatical (masculin/féminin), de
la quantité, du volume.
Objectif 5 : Sensibiliser à
la problématique de l’illettrisme
très peu connue, montrer qu’un
travail de
terrain peut s’appuyer sur des
connaissances fondamentales et appliquées
se méfiant des approximations.
Objectif 6 : Cartographier les
compétences acquises en Grande
Section dans le domaine du
développement des pensées logiques, de
la découverte de la spatialité
et du nombre. Objectif 7
: Construire un référentiel
d’observables à mettre en place
dès la maternelle pour
détecter des comportements susceptibles
de conduire à de situations
d’illettrisme et contribuer à leur
re-‐médiation. Impliquer les enseignants
et responsables (Professeurs des
Ecoles, Conseillers Pédagogiques) dans
l’élaboration d’outils de médiation
et de re-‐médiation.
Objectif 8 : Étudier des
expressions logiques et résoudre des
problèmes simples par anticipation du
résultat en argumentant sur les
modes procéduraux. Objectif
9 : Etudier l’expression de
la spatialité par l’utilisation du
vocabulaire approprié lors
d’activités de repérage dans le
micro-‐espace, le méso-‐espace et le
macro-‐espace. Objectif 10 :
Mettre en place des pré-‐requis
fondamentaux à l’aide de
pratiques plasticiennes et
théâtralisées afin de permettre la
mémorisation de l’apprentissage du
tracé qui conduit à l’écriture,
à la géométrie, la mémorisation
des énoncés autonomes et liés
conduisant à la lecture-‐compréhension
de mots, de phrases et de
la numération chez les élèves
du cycle maternel.
Objectif 11 : Maintenir
dans le dispositif global une
veille statistique pour donner du
sens à
l’échantillonnage représentatif et
permettre ainsi une extension à
l’ensemble des Grandes Sections de
l’Académie.
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Actions mises en œuvre pour la
realisation des objectifs
Action 1: Prendre en considération
la fréquence de certains types
de productions que la langue
créole peut entretenir dans les
phrases-‐énoncés chez l’élève. Développer
et favoriser l’acquisition des
constructions syntaxiques minimales
s’organisant autour de la phrase
verbale avec une attention
particulière à l’expression de
l’espace et du temps.
Action 2 : Par anticipation,
tenir compte du glissement de
certains sons dans l’association
graphème-‐phonème. Action 3
: Travailler les usages pertinents
de la communication orale :
articulation, mise en voix,
lecture à voix haute, gestion du
corps dans l’espace. Action
4 : Progresser vers la
maîtrise de la langue française
: susciter les interactions,
fixer le
lexique, provoquer les compréhensions
orales et écrites, développer
l’entrée dans l’écrit avec la
lecture – écriture.
Action 5 : Fixer l’entrée
progressive dans l’écrit, dans la
maîtrise de l’espace feuille et
du
scripteur: dessin, graphisme-‐écriture avec
une attention particulière au
vocabulaire de l’action et de
la spatialité.
Action 6 : Soumettre aux
enseignants un test diagnostic qu’on
pourrait faire passer en début
et
en fin d’expérimentation afin d’évaluer
sur quels points le dispositif
a fait ses preuves ou pas.
Action 7 : Mettre à la
disposition des équipes pédagogiques
des outils linguistiques comparatifs
précis et adaptés ainsi que
des exercices de re-‐médiation en
proposant une progressivité des
apprentissages à évaluer en Grande
Section.
Modalités opérationnelles possibles du
dispositif
Le dispositif s’adresse particulièrement,
parmi les élèves de l’école
maternelle, à ceux des classes
de Grande Section pour lesquels
les résultats actuels indiquent
déjà la nécessité d’une action
de prévention de l’illettrisme.
Classe charnière entre le cycle
1 et le cycle 2, ce
niveau scolaire présente des
degrés possibles d’évaluation dans
l’acquisition des compétences du
socle commun au niveau du
palier 1. Un premier
échantillonnage retient, dans chaque
école pressentie deux classes de
même niveau au sein d’une même
école de manière à constituer
un groupe témoin ainsi qu’un
groupe expérimental. Estimation du
nombre de bénéficiaires potentiels
Juin 2012 : passation du
test-‐diagnostic dans 14 classes (282
élèves). Octobre-‐-‐novembre 2012 :
passation du test d’évaluation dans
16 classes. 2013 : extension
à un échantillonnage plus important.
2014 : extension à l’ensemble
des GS si les résultats
sont avérés, l’Académie regroupant en
effet quelque 13618 élèves pour
ce niveau, estimation attendant
toutefois sa validation officielle.
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Conditions d’extension ultérieure et
cadre de budgétisation
Des conditions préalables sont émises
à l’extension du périmètre
d’expérimentation sur le territoire
considéré : il importera d’établir
un équilibre satisfaisant entre le
temps de l’expérimentation et celui
de l’évaluation globale (interne/externe
et pluripartite). Avant de
conclure à des résultats positifs,
l’évaluation devra déterminer des
cohortes minimales de suivi au
sein et au–delà du programme
en comparant par exemple les
résultats avant et après le
test-‐diagnostic. Une comparaison similaire
est souhaitable au cycle suivant
en école élémentaire. La
budgétisation du dispositif sera
fixée dans le cadre d’une
Convention dédiée entre L’Institut
de L’illettrisme de l’Université de
la Réunion et l ‘Académie de
la Réunion avec la mise à
disposition d’un personnel M.E.N.
(Jasmine Dijoux) ainsi que
l’implication des enseignants chercheurs
dans la formation sous-‐jacente.
La constitution de l’équipe autour
du programme
Un noyau d’enseignants chercheurs,
de docteurs et de doctorants se
constitue autour de trois
Professeurs d’Université engagés dans
l’expertise et le suivi scientifiques
: G. Staudacher-‐Valliamee. Dominique
Tournès. Nicolas Moreau pour
l’encadrement de thèses et de
Master 2 délimitant le programme
scientifique sous-‐jacent.
• 4 doctorants : (Adriana Folgoat)
dont 1 MAD (Jasmine Dijoux),
un professeur certifié du
secondaire en poste (Francky Lauret),
1 professeur des écoles (Emmanuel
Bénard),
• 2 professeurs certifiés et chercheurs
associés sur programme : 1
Docteur en Sciences de l’art
et arts plastiques (Didier Soret)
et 1 Docteur en Histoire
et Linguistique (Sully Santa
Govindin).
• Les inspecteurs de l’Education
nationale dont la liste nous
sera communiquée ultérieurement assurent
le suivi institutionnel,
administratif et didactique.
• Le choix de responsables de
réseaux de circonscription pour la
liaison entre Rectorat et
Communes du Département fait
l’objet de discussions partenariales
ouvertes. On se demandera à quelle
phase du dispositif s’établit
le dialogue avec un représentant
de chaque Mairie.
Pilotage et coordination
Responsable scientifique du programme :
G. Staudacher-‐Valliamee (ILLETT)
Responsable de la coordination pour
l’Académie : IEN (AC) Suivi
concret du dispositif : G.
Staudacher-‐Valliamee, Denis Ouin, Jasmine
Dijoux, Adriana Folgoat, Emmanuel
Bénard, Francky Lauret, Didier Soret,
les I.E.N, les C.P.C et P.E
impliqués dans les classes
elles-‐mêmes . Membres du comité
de pilotage : G.
Staudacher-‐Valliamee (ILLETT), Denis Ouin
(AC), -‐ Dominique Tournès,
Institut de Recherche pour
l’Enseignement des Mathématiques de La
Réunion, -‐ Nicolas Moreau pour
le C.E.M.O.I (Faculté de Droit
de l’université de La Réunion).
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Tableau 1 : CARTOGRAPHIE DES
ECOLES DANS LES CIRCONSCRIPTIONS
Source : www.ecoles-‐stemarie.ac-‐reunion.fr
SAINT-‐DENIS 2 : École maternelle
les Tamarins / École maternelle
Michel Debré
SAINT-‐PAUL 2 : École maternelle
de La Saline Les Hauts /
École primaire de l’Éperon
TAMPON 2 : École primaire Piton
Hyacinthe / Groupe scolaire du
23ème Km
TAMPON 2 : École primaire Piton
Hyacinthe / Groupe scolaire du 23ème Km
SAINT-‐PIERRE 2 : École maternelle
Françoise Dolto
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Circonscriptions et classes pour le
Test Diagnostic 1 à La Réunion
SAINT-‐PAUL 2 :
1) École maternelle de La Saline
Les Hauts • Classe 1 : 24
élèves • Classe 2 : 23 élèves
2) École primaire de l’Éperon • Classe
3 : 22 élèves • Classe 4
: 20 élèves
TAMPON 2 :
1) École primaire Piton Hyacinthe •
Classe 5 : 21 élèves • Classe 6
: 12 élèves
2) Groupe scolaire du 23ème Km •
Classe 7 : 20 élèves • Classe 8
: 24 élèves
SAINT-‐DENIS 2 :
1) École maternelle les Tamarins •
Classe 9 : 22 élèves • Classe
10 : 17 élèves
2) École maternelle Michel Debré •
Classe 11 : 20 élèves • Classe
12 : 25 élèves
SAINT-‐PIERRE 2 :
1) École maternelle Françoise Dolto •
Classe 13 : 15 élèves • Classe
14 : 17 élèves
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NOMBRE TOTAL D’ÉLÈVES : 282.
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5 Axes thématiques ILLETT pour le
Plan Académique de Formation. Campus
Sud. UR
HORAIRES Lundi 26 mars 2012 Mardi 27 mars 2012
8h30-11h30
-Accueil, ouverture
D. Ouin, IEN St Paul 2
-Charte partenariale : collaboration Institut
de l’illettrisme UR et Rectorat
D. Ouin, IEN St Paul 2 Pr. G. Staudacher-Valliamee,
ILLETT.UR
Equipes de circonscription St Paul 2, St Pierre 2, Tampon 2, St
Denis 2
-Prévention de l’illettrisme : .Recueil des représentations
.Définition, situation, point sur la recherche
-Projet « Dire, lire, calculer en grande section de maternelle
créolophone à La Réunion : logique, spatialité, numération » :
.Présentation du dispositif Pr. G. Staudacher-Valliamee,
ILLETT.UR
.Présentation du test diagnostic E. Benard, J. Dijoux, A.
Folgoat, F.
Lauret, D. Soret, ILLETT.UR
Axe 3 « Lecture et compréhension du lexique »
Axes 4 et 5 : « Langage et productions théâtrales » et «
productions plastiques et productions linguistiques »
- Apports théoriques
- Mutualisation de pratiques
J. Dijoux, F. Lauret, D. Soret, ILLETT.UR Equipes de
circonscription
13h – 16h
Axe 1 « Langage, langues et structuration spatiale »
Axe 2 « Logique, numération et géométrie » :
- Apports théoriques
- Mutualisation de pratiques
E. Benard, A. Folgoat, ILLETT.UR Equipes de circonscription
-Formalisation des travaux de groupes
-Restitution des travaux de groupes
-Bilan et perspectives
-Clôture du stage
D. Ouin, IEN St Paul 2 Pr. G. Staudacher-Valliamee,
ILLETT.UR
E. Benard, J. Dijoux, A. Folgoat, F. Lauret, D. Soret,
ILLETT.UR
Equipes de circonscription
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Calendrier du dispositif GS
(2011-‐2012)
dates modalités public contenu 6
février 2012 réunion Equipe
ILLETT et
équipes de circonscription
Présentation du projet. Elaboration des
premières modalités de mise en
œuvre.
Mercredi 28 février réunion Equipe
ILLETT et équipes de
circonscription
Présentation du protocole d’évaluation
des acquis des élèves. Elaboration
du contenu de formation des
26 et 27 mars
Lundi 26 et mardi 27 mars à
l’ILLETT sur le Campus du
Tampon
Formation continue des enseignants de
GS
Enseignants de GS Equipe ILLETT
et équipes de circonscription
Contenus de formation : présentation
du dispositif : objectifs,
contenus, déroulement.
De avril à mai Passation des
protocoles par les élèves
Enseignants de GS Equipe ILLETT
Passation des épreuves dans les
classes de GS
Jeudi 27 septembre et vendredi
28 septembre 2012 sur le Campus
du Tampon
Formation continue des enseignants de
GS
Enseignants de GS Equipe ILLETT
et équipes de circonscription
Objectif des enseignants : Produire
des outils, identifier des gestes
professionnels au regard de la
restitution des chercheurs et des
observations des enseignants.
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Université de La Réunion Institut
de l’Illettrisme
Septembre 2012 En partenariat avec