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De la Reconstruction au renouveau esthétique : Rêves et réalités
des Ateliers d’art sacré (1919-1947)
HISTARA (EPHE, PSL) 29-30 novembre 2019 INHA
Catherine Ambroselli de Bayser, diplômée de l’Institut
Catholique de Paris, a commencé en 1995 un travail d’archiviste sur
le peintre George Desvallières, son grand-père maternel.
Responsable du Catalogue Raisonné, elle constitue Le fonds George
Desvallières, déposé en 2008 au musée d’Orsay. Elle édite George
Desvallières et le Salon d’Automne (2003), George Desvallières et
La Grande Guerre et Correspondance 1914-1918, George Desvallières,
une famille d’artistes pendant la guerre (2013). Elle participe aux
publications, expositions pour les musées nationaux, les édifices
religieux et privés (mise en ligne du site
www.georgedesvallieres.com en 2010 avec Priscilla Hornus,
arrière-petite-fille du peintre). En 2015, elle dirige avec
Priscilla Hornus e-documentaliste et Thomas Lequeu doctorant en
histoire de l’art George Desvallières : catalogue raisonné de
l'œuvre complet (nominé au prix SNA Livre d'Art 2016, couronné le16
novembre 2016 par l’Académie des Beaux-Arts), A l’origine et
conseiller technique de l’exposition George Desvallières, la
peinture corps et âme, au Petit Palais de Paris, en mars-juillet
2016, elle y assure la conférence George Desvallières et la Grande
Guerre et plusieurs visites (cf. you tube). Depuis 2016, elle
réactualise le travail de recherche et contribue aux expositions.
Le site internet poursuit la publication des actualités. Anne
Henriette Auffret, doctorante en histoire et histoire de l’art sous
la direction de Bertrand Tillier (Université Paris 1) et Pierre
Sérié (Université Clermont Auvergne), travaille sur la peinture
décorative aux Expositions universelles et internationales de Paris
entre 1878 et 1937. A ce titre, elle a organisé une journée d’étude
le 24 mai 2019 intitulée Face au mur. La décoration murale en
France de la fin du XIXe siècle aux années 1930. Une suite est
programmée sous la forme d’ateliers en 2020 et 2021, pour aboutir à
un colloque en 2022. Son intérêt pour les grands décors s’est
manifesté dès son Master 2 sous la direction de Pierre Wat, durant
lequel elle a étudié un peintre décorateur, Auguste Gorguet. Ses
recherches sur cet artiste ont en partie été publiées dans le
catalogue d’exposition Les tentures du Parlement de Bretagne (musée
des beaux-arts de Rennes, Snoek éditions, 2016) et dans les actes
du colloque en marge de l’exposition J’aime les panoramas
(Marseille, Mucem, à paraître). Sa collaboration avec le musée des
beaux-arts de Rennes se poursuit également à travers la préparation
d'un ouvrage monographique consacré au peintre décorateur Félix
Jobbé-Duval (à paraître en 2019).
http://www.georgedesvallieres.com
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Céline Aulnette : Assistante qualifiée du patrimoine à la
Conservation des antiquités et objets d’Art, Conseil général de
Seine-et-Marne (2006-2013), nommée en 2009 conservatrice déléguée
des antiquités et objets d’art de Seine-et- Marne. Nomination en
tant que Conservatrice des antiquités et objets d’art de
Seine-et-Marne. Depuis 2014 : Chargée de développement du
patrimoine à la Direction des affaires culturelles du Département
de Seine-et-Marne. Activités : mise en place du Festival
départemental du patrimoine Emmenez-moi, Seine-et-Marne du 22 juin
au 14 juillet 2019. Mise en place du Festival départemental du
patrimoine Emmenez-moi, Seine-et-Marne juillet 2018 - Exposition
photographique « 10 œuvres en quête d’auteur » organisée dans le
cadre du Festival d’Histoire de l’art de Fontainebleau en juin
2012. - Billat M. (ss la dir), Objets d’art…Quelle histoire ! 15
années d’études et de restauration en Seine-et-Marne (1995-2010),
Lyon : Lieux dits, 2010, notices p. 44-45 ; 50-52 :74-77 ; 80-81 ;
110-113 ; 114-115, 142-143 ; 160-163 ; 174-177 ; 178-181 et têtes
de chapitre p. 126-129 ; 172-173 -« Machine à imprimer 26 couleurs
», in Icones et idoles regard sur l’objet Monument historique,
Arles : Actes sud, 2008, p.374-375 -Brochures des Monuments font le
printemps : Eglise Saint-Vincent de Moussy-le-Neuf, 2011 ; Eglise
Saint-Thibault de Chevru, 2009 ; Eglise Notre-Dame de
Soignolles-en-Brie, 2009 ; Eglise Sainte-Anne de Baby, 2008 ;
Eglise Saint-Quentin de Passy-sur-Seine, 2008 Fiches pédagogiques «
Le vitrail technique et iconographie » et « Conservation et
restauration » in dossier pédagogique Les Eglises rurales de
Seine-et-Marne, Conseil général de Seine-et-Marne, 2009
Isabelle Baguelin, chargée de la protection au titre des
monuments historiques et correspondante pour le label Architecture
contemporaine remarquable à la DRAC Bretagne, est diplômée de
l’École du Louvre et de l'Université Paris-IV Sorbonne. Ses
recherches portent sur l'histoire du vitrail aux XIXe et XXe
siècles. Elle a notamment publié : « Les vitraux en dalle de verre
en Bretagne : les églises de la région lorientaise », dans Actes de
la journée d’études Vitraux en pâte de verre. Vitraux en dalle de
verre, Musée du verre de Conches-sur-Ouche (27), 15 novembre 2014
ainsi que « La Céramique, la redécouverte d’un vitrail de
l’Exposition universelle de 1878 au musée des Monuments français »,
dans Histoire de l’Art, n° 56, avril 2005. Elle est intervenue sur
« Une œuvre d'art total au service du culte », cours public de
l’École de Chaillot, dans le cycle Construire pour le Culte au XXe
siècle, le 17 janvier 2019, à la Cité de l’architecture et du
patrimoine, Palais du Trocadéro, Paris.
Nicolas Bru est depuis 2019 conservateur des Monuments
historiques auprès de la DRAC Occitanie (Montpellier), après avoir
été pendant plus de 15 ans responsable du service patrimoine du
Département du Lot. Dans ce cadre, il avait coordonné la
conservation-restauration d’un chemin de croix peint par Charles
Plessard en 1936 dans l’église du Bourg (Lot), dont l’étude a été
reprise en 2018 pour la publication d’un article dans la revue
Monumental. La rencontre en 2018 avec les descendants de l’artiste
a donné lieu à un projet actuellement en cours de catalogue et
étude de son œuvre, tant ses réalisations de peintures murales et
vitraux en France et à l’étranger (Belgique, Suisse, Maroc,
Etats-Unis…) que les dessins ou tableaux, carnets de croquis,
maquettes et esquisses.
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Pauline Carminati est restauratrice de sculptures. Parallèlement
à son activité professionnelle, elle prépare une thèse à l’École
pratique des hautes études sur la sculpture religieuse d’édition
aux XIXe et XXe siècles en France, sous la direction d’Isabelle
Saint-Martin. Elle a publié plusieurs articles dans le cadre de
cette recherche, parmi lesquels « L’industrie au service de la
Vierge. Lourdes et la statuaire de série » dans la Revue d’histoire
de l’Église de France ; « Documents pour l’histoire d’une
entreprise parisienne de sculpture religieuse : la maison Raffl,
1796-1956 » dans les Documents d’histoire parisienne ; et « Du
colportage au musée du Louvre. Les mouleurs italiens en France au
tournant du XIXe siècle » dans la revue Diasporas Émilie Chedeville
est ATER en histoire de l’art moderne à l’université Paris 1
Panthéon-Sorbonne, après y avoir été doctorante contractuelle.
Issue d’une double formation en histoire et en histoire de l’art,
diplômée d’un master de Columbia University, elle prépare, sous la
direction d’Étienne Jollet, une thèse sur l’illusion dans les
décors religieux parisiens des XVIIe et XVIIIe siècles et enseigne
l’histoire de l’art à Paris 1. Pour le musée départemental Maurice
Denis de Saint-Germain-en-Laye, elle a travaillé sur la donation du
fonds d’atelier d’Henri de Maistre. François Lenell, conservateur
des bibliothèques. A soutenu une thèse sur Henri de Maistre et les
Ateliers d’art sacré, sous la direction de Bernard Dorival, en 1993
et a publié « Un essai de renouveau de l'art d'Eglise dans
l'entre-deux-guerres en France : les Ateliers d'Art Sacré
(1919-1947) » dans Le Livre et l'Art, études offertes en hommage à
Pierre Lelièvre. Paris : Somogy ; Villeurbanne, Enssib, 2000, p.
383-392. Françoise LE GOAZIOU Professeure agrégée, enseignante en
classes préparatoires aux grandes écoles (Prépa HEC, histoire
contemporaine), licenciée en théologie, conférencière en histoire
de Bretagne (histoire contemporaine, artistique et religieuse),
doctorante en histoire Bretagne. Publications : Quand Jeanne
Malivel gravait l’histoire de la Bretagne Héros de Bretagne Ed.
A.S.I.A. Paris, 2017 Quand Jeanne Malivel gravait l’histoire de la
Bretagne Révoltes et batailles Ed. A.S.I.A. Paris, 2018 Une si
belle âme. L’œuvre religieuse de Jeanne Malivel. Journée d’études
sur Jeanne Malivel. Quimper, 2018, Jeanne Malivel ou la renaissance
de l’art breton Centre d’Histoire de Bretagne
http://centredhistoiredebretagne.com/jeanne-malivel-1895-1926-ou-la-renaissance-de-lart-breton/
Thomas Lequeu partage ses recherches entre l’histoire du cinéma et
celle de la peinture dans la première moitié du XX° siècle. Il a
rejoint l’équipe du catalogue raisonné de George Desvallières dès
2011 et œuvre depuis à la redécouverte du peintre aux côtés de
Catherine Ambroselli de Bayser. Il a ainsi pris part à plusieurs
projets de publications et d’expositions. Doctorant à l’École du
Louvre, il consacre sa thèse aux représentations de la peur au
cinéma. Il a, en outre, participé à l’organisation et aux
sélections de nombreux festivals de cinéma, parmi lesquels Cinéma
du réel au Centre Pompidou ou le Fidé. Il contribue depuis 2018 à
la revue Critikat où il publie critiques et articles de fond et
pour laquelle il organise un ciné-club mensuel.
http://centredhistoiredebretagne.com/jeanne-malivel-1895-1926-ou-la-renaissance-de-lart-breton/http://centredhistoiredebretagne.com/jeanne-malivel-1895-1926-ou-la-renaissance-de-lart-breton/
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Camille Noverraz est historienne de l’art, diplômée de
l’Université de Lausanne en 2014 avec une spécialisation en
Histoire de l’art régional. Elle réalise son mémoire de maîtrise
sur l’artiste Marcel Poncet (1894-1953), à la suite de l’inventaire
du fonds de l’artiste entre 2012 et 2013. Collaboratrice
scientifique au Vitrocentre Romont de 2015 à 2018, elle travaille
en tant qu’archiviste auxiliaire à la Protection des Biens
culturels de l’Etat de Vaud de 2014 à 2017. Elle mène actuellement
une thèse de doctorat à l’Université de Lausanne sur le Groupe de
Saint-Luc dirigée par le prof. Dave Lüthi et collabore à un projet
FNS sur l’artiste Gino Severini dirigé par Mme Francesca Piqué de
la SUPSI (Scuola universitaria professionale della Svizzera
italiana), ainsi qu’à un projet intercantonal avec le Vitrocentre
Romont sur les arts du verre dans le Groupe de Saint-Luc. Elle est
également chargée de recherche à l’Institut des humanités médicales
à Lausanne.
Anne Rocher, préparer une Biographie de Maurice Rocher, ainsi
que l’édition du journal de Maurice Rocher, Journal 1936-1995, et a
déjà publié « Le peintre Maurice Rocher (1918-1995) et le vitrail
», Le Point Riche, juin 2013, n°11.
Isabelle Saint-Martin est directrice d’études à l’Ecole pratique
des Hautes Etudes (EPHE, PSL), ses travaux portent sur les
relations entre le christianisme et les arts visuels pour la
période contemporaine. Parmi ses publications en lien avec le
colloque : Art chrétien/art sacré. Regards du catholicisme sur
l’art (France, XIXe-XXe siècle), PUR, 2014 ; ainsi que « Des "
Notes sur la peinture religieuse" (1896) à "L’Esthétique de Beuron"
(1905) : théories de Denis sur l’art sacré autour de 1900 », dans
les actes du colloque « Maurice Denis à Saint-Germain-en-Laye et au
Vésinet. L’éclosion d’une vocation artistique (1885-1905) », dir.
F. Stahl, Les Amis du vieux Saint-Germain, n° 51, 2014, p. 103-122
; « Desvallières, peintre religieux. Une figure paradoxale », dans
George Desvallières. La peinture corps et âme, cat expo Petit
Palais, dir. I Collet et C. Ambroselli de Bayser, p. 167 -173 ; «
‘Aux grands hommes, les grandes choses’, L’Art sacré de Couturier
et Régamey à Cocagnac et Capellades », dans N. Bériou, A. Vauchez
et M. Zink (dir.), Les Dominicains en France (XIIIe-XXe siècle),
Académie des Inscriptions et Belles-Lettres/ Cerf, 2017, p. 79-107.
Fabienne Stahl est attachée de conservation au musée départemental
Maurice Denis à Saint-Germain-en-Laye où elle est chargée de la
valorisation et du rayonnement des collections. Parallèlement, elle
collabore à la préparation du Catalogue raisonné de l’œuvre de
Maurice Denis. Après un DEA sur L’Art sacré dans l’Alsace du XXe
siècle. L’exemple de Robert Gall (dir. Christine Peltre, Université
Marc Bloch, Strasbourg, 1997), elle a soutenu en 2009 à
l’Université de Clermont-Ferrand une thèse sur Les décorations
religieuses de Maurice Denis entre les deux guerres, sous la
direction du professeur Jean-Paul Bouillon. Aux commandes des
archives denisiennes, elle a mis au jour de nombreux fonds inédits
relatifs aux Ateliers d’art sacré, sur lesquels elle a déjà publié
: - « Maurice Denis et la fondation des Ateliers d'Art sacré à
Paris », Musique, art et religion dans l’entre-deux-guerres, actes
du colloque de l’université de Montréal (Canada), Lyon, 2009, p.
325-334 ; - « Vitraux et décors de l’église de Domèvre-sur-Vezouze.
Un chantier exemplaire des Ateliers d’art sacré en
Meurthe-et-Moselle », Le Point riche [bulletin de l’association des
Amis de Louis Mazetier], n° 14, 2016.
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- Articles dans le catalogue de l’exposition Saint-Michel de
Picpus, décor remarquable de l’entre-deux-guerres, catalogue de
l’exposition au Musée de Bernay, 19 juillet-30 décembre 2008. - «
Les réalisations des Ateliers d’art sacré en Lorraine », actes du
colloque sur La Reconstruction en Lorraine, DRAC Grand-Est et
Archives modernes de l’architecture lorraine, Nancy, à paraître
septembre 2019. Adèle Taillefait prépare actuellement les concours
de conservateur des musées à l’École du Louvre. Dans le cadre de
son mémoire de Master 1, elle a mené des recherches sur « Maurice
Denis et la sculpture » sous la codirection de Messieurs Jérémie
Cerman et Thierry Laugée à l’Université Paris IV-Sorbonne et avec
l’aide de Fabienne Stahl et de Claire Denis. Elle a obtenu l’an
dernier son Master 2 avec un mémoire sur l’œuvre du sculpteur
Maurice Charpentier-Mio (1881-1976) dirigé par Thierry Laugée.
Danièle Véron-Denise a été conservateur du Patrimoine au Musée des
Arts Africains et Océaniens (section Maghreb) de 1968 à 1982, puis
au château de Fontainebleau, de 1982 à 2007 (en charge des
collections textiles, puis des peintures). En parallèle avec ses
fonctions muséales, elle s'est intéressée à l'histoire de la
broderie et a publié divers articles et ouvrages sur le sujet.
Notamment : De fleurs en aiguille. L’art de la broderie chez les
Visitandines, Cat.exp., Somogy/Musée de la Visitation,
Paris-Moulins, 2009 ; « Heurs et malheurs des présents de Louis
XIII au Saint-Sépulcre de Jérusalem », in cat. exp. Trésor du
Saint-Sépulcre, château de Versailles et Maison de Chateaubriand,
Silvana ed., 2013, p. 275-281 (en coll. avec M. Bimbenet-Privat) ;
Broderies d'artistes, Intimité et créativité dans les arts textiles
de la fin du XIXe au milieu du XXe siècle. Cité internationale de
la tapisserie d'Aubusson, Silvana, 2018 ; « La tenture brodée du
Palais du Tau à Reims (XVIIe siècle) et l'abbaye du Val-de-Grâce à
Paris », Bulletin de la Société de l'Histoire de l'Art français,
2014 [2019]. Claire Vignes-Dumas est historienne de l’art,
médiéviste de formation et fresquiste. Elle a été chargée de la
protection au titre des monuments historiques à la DRAC d’Ile de
France et à ce titre a instruit les dossiers d’œuvres majeures
telles que Saint-Louis de Vincennes, Notre-Dame des Missions à
Epinay-sur-Seine et Saint-Michel de Picpus. Elle s’est
particulièrement intéressée au renouveau de la fresque au début du
XXe siècle sous l’impulsion de Paul Baudouin ; elle a contribué à
la reconnaissance de la richesse du patrimoine religieux de cette
période, en publiant avec Marie Monfort et Jeannie Mayer le Guide
des peintures murales des Hauts-de-Seine (1910-1960), aux éditions
Somogy en 2008. Chargée d’une étude sur le patrimoine religieux du
XXe siècle en Ile France, en vue de l’attribution du Label
Patrimoine du XXe siècle, publiée en 2013 chez Beaux-Arts éditions,
sous le titre Les édifices religieux du XXe siècle en Ile de
France, 1905-2000, elle a également contribué à l’ouvrage dirigé
par Isabelle Renaud-Chamska, Paris et ses églises de la belle
époque à nos jours, éditions Picard, 2017, en rédigeant « Le décor
dans les églises parisiennes de la première moitié du XXe
siècle
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Thierry Zimmer, égyptologue de formation, a soutenu une thèse
sur Les nécropoles de la rive orientale du Nil en 1983, découvrant
à cette occasion le récit de voyage de Ludovic Lepic, La Dernière
Égypte, publié cent ans plus tôt. Après un séjour de sept années
dans ce pays, travaillant successivement comme archéologue,
professeur de français puis directeur de projet tourisme, il rentre
en France fin 1990. Il passe le concours de conservateur du
patrimoine en 1991 (promotion Vasari de l’Institut national du
patrimoine) et présente, en 1996, une nouvelle thèse sur
Ludovic-Napoléon Lepic (1839-1889). Biographie et catalogue
raisonné sous la direction du professeur Bruno Foucart. De 1992 à
nos jours, il travaille au sein de différentes Conservations
régionales des Monuments historiques, publiant de nombreux articles
et ouvrages sur le Limousin, où il a exercé, et la peinture du XIXe
siècle. Thierry Zimmer est aujourd’hui conservateur général du
patrimoine, spécialité Monuments historiques, chargé des
départements de Seine-et-Marne et de Seine-Saint-Denis à la
Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France.