Jean-Croquette 6eZ Dictée ennuyeuse de Monsieur FROELHY Dans la rue, sur le chemin du marché, Parvana se sentait (imparfait de l’indicatif) toute légère, sans tchador. Le soleil lui caressait (imparfait de l’indicatif) le visage, et une brise légère venue (participe passé qui s’accorde avec « une brise légère », féminin singulier) de la montagne flottait (imparfait, troisième personne du singulier) dans les airs, apportant avec elle une agréable fraîcheur (sans « e » !). Le sac de son (sans « t » car c’est un déterminant possessif. Ce n’est pas le verbe « être » !) père, dont elle avait enroulé (participe passé, car il s’agit du plus-que-parfait : « avait enroulé ») la bandoulière autour de sa (déterminant possessif) poitrine, ballotait sur ses (déterminant possessif) jambes. Elle l’avait rempli de crayons et de tout le matériel (c’est un nom masculin. A ne pas confondre avec l’adjectif qui, lui, pourrait s’accorder avec un nom féminin) d’écriture, et elle y avait mis aussi quelques objets qu’elle voulait essayer (infinitif) de vendre. Parmi eux, son joli shalwar kamiz. Et, sous son bras, elle avait glissé (deux « s ») la couverture sur laquelle (au féminin, car cela reprend « couverture ») elle s’assoirait. Elle choisit (passé simple, 3 ème personne du singulier) le même endroit que celui où (avec un