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Jean-Croquette 6eZ Dictée ennuyeuse de Monsieur FROELHY Dans la rue, sur le chemin du marché, Parvana se sentait (imparfait de l’indicatif) toute légère, sans tchador. Le soleil lui caressait (imparfait de l’indicatif) le visage, et une brise légère venue (participe passé qui s’accorde avec « une brise légère », féminin singulier) de la montagne flottait (imparfait, troisième personne du singulier) dans les airs, apportant avec elle une agréable fraîcheur (sans « e » !). Le sac de son (sans « t » car c’est un déterminant possessif. Ce n’est pas le verbe « être » !) père, dont elle avait enroulé (participe passé, car il s’agit du plus-que-parfait : « avait enroulé ») la bandoulière autour de sa (déterminant possessif) poitrine, ballotait sur ses (déterminant possessif) jambes. Elle l’avait rempli de crayons et de tout le matériel (c’est un nom masculin. A ne pas confondre avec l’adjectif qui, lui, pourrait s’accorder avec un nom féminin) d’écriture, et elle y avait mis aussi quelques objets qu’elle voulait essayer (infinitif) de vendre. Parmi eux, son joli shalwar kamiz. Et, sous son bras, elle avait glissé (deux « s ») la couverture sur laquelle (au féminin, car cela reprend « couverture ») elle s’assoirait. Elle choisit (passé simple, 3 ème personne du singulier) le même endroit que celui où (avec un
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coursdefrancaismonsieurfroelhy.files.wordpress.com…  · Web view2020. 5. 19. · dans les airs, apportant avec elle une agréable . fraîcheur (sans « e » !). Le sac de . son

Sep 20, 2020

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Page 1: coursdefrancaismonsieurfroelhy.files.wordpress.com…  · Web view2020. 5. 19. · dans les airs, apportant avec elle une agréable . fraîcheur (sans « e » !). Le sac de . son

Jean-Croquette 6eZDictée ennuyeuse de Monsieur FROELHY

Dans la rue, sur le chemin du marché, Parvana se sentait (imparfait de l’indicatif) toute légère, sans tchador. Le soleil lui caressait (imparfait de l’indicatif) le visage, et une brise légère venue (participe passé qui s’accorde avec « une brise légère », féminin singulier) de la montagne flottait (imparfait, troisième personne du singulier) dans les airs, apportant avec elle une agréable fraîcheur (sans « e » !).

Le sac de son (sans « t » car c’est un déterminant possessif. Ce n’est pas le verbe « être » !) père, dont elle avait enroulé (participe passé, car il s’agit du plus-que-parfait : « avait enroulé ») la bandoulière autour de sa (déterminant possessif) poitrine, ballotait sur ses (déterminant possessif) jambes. Elle l’avait rempli de crayons et de tout le matériel (c’est un nom masculin. A ne pas confondre avec l’adjectif qui, lui, pourrait s’accorder avec un nom féminin) d’écriture, et elle y avait mis aussi quelques objets qu’elle voulait essayer (infinitif) de vendre. Parmi eux, son joli shalwar kamiz. Et, sous son bras, elle avait glissé (deux « s ») la couverture sur laquelle (au féminin, car cela reprend « couverture ») elle s’assoirait.

Elle choisit (passé simple, 3ème personne du singulier) le même endroit que celui où (avec un accent, car c’est le lieu !) ils s’installaient (3ème personne du pluriel), son père et elle. Non loin de là se (c’est le verbe pronominal « se trouver », ici conjugué à l’imparfait) trouvait un mur avec une maison bâtie juste de l’autre côté (cela s’écrit ainsi !). On n’en voyait (« on » est un pronom singulier !) pas grand-chose : le mur en cachait (c’est de l’imparfait !) la plus grande partie. Il y avait bien une fenêtre (cela s’écrit ainsi !), tout en haut, mais le carreau avait été peint en noir, conformément aux ordres des talibans.