Conception des liaisons mécaniques – MAJ 06/10/2009 5 Chapitre 2 Arbres de transmission 1 - Identification Les arbres sont des organes de liaison de géométrie globalement de révolution, qui participent à des fonctions techniques de transmission de puissance et de guidage en rotation autour d’un axe propre x1. Notant M 1 le couple et ϖ 1 la pulsation, on distingue - les arbres moteurs : M 1 . ϖ 1 < 0 - les arbres récepteurs : M 1 . ϖ 1 > 0 - les axes : M 1 = 0 Arbres et axes dans un moteur à combustion interne
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Conception des liaisons mécaniques – MAJ 06/10/2009 5
Chapitre 2
Arbres de transmission
1 - Identification
Les arbres sont des organes de liaison de géométrie
globalement de révolution, qui participent à des
fonctions techniques de transmission de puissance
et de guidage en rotation autour d’un axe propre x1.
Notant M1 le couple et ω1 la pulsation, on distingue
- les arbres moteurs : M1. ω1 < 0
- les arbres récepteurs : M1. ω1 > 0
- les axes : M1 = 0
Arbres et axes dans un moteur à combustion interne
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2 - Critères
Critère Niveau
Rigidité
Composantes ou normes limites des
déplacements généralisés (Majorants)
ω
lim lim,i iu
ωlim lim
; u
Fiabilité
Sollicitations statiques ∂t σ(x,t) = 0
Contrainte limite (Majorant)
Sollicitations dynamiques
Contrainte limite (Majorant)
Durée de vie sous σσσσ (Minorant)
( )
lim lim
limmin
; L
Sf
σσ=
σ
Stabilité
Élastique : Effort critique (Mode 1)
Vibratoire: Fréquences de résonance
et nœuds de vibration (Harmoniques
importants)
1;
1;
crit
exc j nj
k mk
φ = =
ΩX
Exemple : broche de tour
Conception des liaisons mécaniques – MAJ 06/10/2009 7
3 - Modèles géométriques
1D : prédétermination
1D + Corrections : vérification « manuelle »
3D : vérification et optimisation par la MEF
Exemple : pignon arbré conique
4 - Modèle Poutre
Le domaine D est un milieu continu curviligne orienté
d’abscisse x1∈]0, l] de section S = S(x1) et de
moments centraux principaux I22(x1) et I33(x1).
R0 (x, y, z) : Galiléen de référence
(x1 , x2 , x3) : Base locale au point courant
Problème est mixte simple avec les conditions
- Déplacements généralisés ui sur ∂Ωu
- Efforts généralisés Fi sur ∂Ωf (forces de volume
éventuellement)
HPP et comportement LEHI
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Exemple : arbre manivelle d’un moteur thermique
5 - Efforts intérieurs TintM
Partition en D- et D+ supplémentaires dans D
Le torseur des efforts intérieurs est défini dans la base locale liée à l’arbre
TTTTintM ≡≡≡≡ TTTTD+ →→→→ D- M = TTTText →→→→ D+ M = – TTTText →→→→ D- M
TTTTintM ≡ R|M M
2 31 2 3
2 31 2 3t f f
N T T
M M M
= + += + +
R
M
x x x
x x x
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6 - Changement de base
En général, pour les arbres
local
d
dt
≠
F0
- Mouvement relatif des efforts
- Instationnarité du chargement
Si R0 est utilisé comme base de projection, on revient
au local par l’isométrie
0 0 0
3 3 3 3
( , )int int( , , ) ( , , )1 2 3
:T Tθ
× → ×ℑ
xx y z x x x
ℝ ℝ ℝ ℝ
֏
Le cas le plus fréquent x1 est invariant (∀t, x1 = x)
1 0 0
0 cos sin
0 sin cos
P t t
t t
ω ωω ω
= −
Soit :
1
int int( , , ) ( , , )1 2 3
T P T•−= x x x x y z
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7 - Contraintes et déplacements
On considère une poutre de faible courbure et on
néglige l’effort tranchant.
7.1 Déplacements
On cherche en général les déplacements en un nombre
fini de points. On pose ξk = ξi ≡ ω1 ω2 ω3 u1 u2 u3 le
vecteur des déplacements généralisés en un point Pk
chargé avec φ = φi ≡ F1 F2 F 3 M1 M2 M3
Les théorèmes de l’énergie sont indiqués, (avec
charges fictives si nécessaire)
1) On exprime le potentiel élastique :
( ) ( ) ( )( )2 2
2 3 22
122 33
12 1
2
f fM M MtNdx
E S I I Jν
Ω
= + + + +∫hhhh
2) Pour obtenir ξi, on dérive par rapport à la force
généralisée conjuguée φi imposée en Pk
( )ik i
Pk
Pξφ∂=
∂hhhh
(Th. de Castigliano)
Rappels :
i) hhhh défini par morceaux (attributs et C. L.)
ii) Si le point n’est pas chargé dans la direction
considérée on le charge par une composante fictive φφφφ * qu’on annule après dérivation de *hhhh .
iii) Le principe de superposition est applicable
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Exemple : moment d’inertie I, module E, 2 3? ?C B
u ω
Le point C étant chargé, le résultat est immédiat
( )2 22 3
2 221 1 1 1
0 0
1 12
4 22 48
l l
CF F Fl
u x dx x dxF F EI EI EI
∂ ∂= = = =∂ ∂ ∫ ∫hhhh
Pour 3B
ω on introduit en B le moment fictif M*
( )
( )
( )*
2
*3
1 1
3 * 11 1
3
0
2
2 * 11 1 1 1 1
02 0
2
*0 :
2 22
*:
2 2 2
12 2
48
fA
B f
B
M
ll
l
M
M
l
l F MF M x M xYll
xF M l FY x l M l x Ml l
xF Fx dx x l x M dx
EI l l l
Fl FlEI
Mω
=
=
< ≤ = − +=− +
=− − < ≤ = − − +
= − + − − +
−
∂=∂
+
=
∫ ∫
*
**
*
hhhh
( )
2 2
23
12 16
16B
FlEI EI
Fl
EIω
= −
=−
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7.2 Contraintes
Pour le problème de Saint – Venant
11 1 1 12 1 2 13 1 32 2σ σ σ= ⊗ + ⊗ + ⊗σ x x x x x x
Normale : 2 3
11 3 222 33
f fM MNx x
S I Iσ = + −
De torsion :
On cherche ψ la fonction des contraintes, fonction
seulement de la géométrie du contour et respectant
2 dans
0 sur lecontour delasectiond S
ψψ
∆ = − Ω= ∂
On note J le module rigidité en torsion
( )3 2 2 32
S S
J x dx x dxdsψ ψ∂
= −+∫ ∫
( )1
12 3 13 2
:Mt
JMt Mt
J J
ψ
σ ψ σ ψ
∧
= ∂ = − ∂
grad x=τ
Pour un section circulaire simplement connexe de
diamètre D = 2R :
( ) ( ) ( )2 2 2 2 22 3
1 1
2 2r R x x R rψ ψ= = − − = −
( )2 ; 0 sur Sψ ψ∆ =− = ∂
4
32
DJ
π=
( ) ( )14
32Mtr r r
Dθ θ θσ
π= =e e=τ τ
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8 - Concentration de contrainte
La frontière des arbres n’étant pas partout C2, le
voisinage des singularités est le lieu d’un fort gradient de contrainte.
Dans ce voisinage les contraintes dépassent les
valeurs nominales de la solution de St – Venant
( )( )
,2 3
1
1
ijx x
ij nom
Max
x
σ
σ>
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Corrections
Facteur de concentration de contrainte
K = fonction (géométrie, type d’effort (N, Mf, Mt),
mode (statique ou dynamique))
Kti : sollicitation statique, effort i (Ktt , Ktf, Kto)
Kfi : sollicitation dynamique, effort i (Kft , Kff, Kfo)
Déduit de Kti pour un acier de résistance Rm à l’état
de référence
Remarque :
Interpolation linéaire pour les valeurs intermédiaires
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9 - Validation du critère fiabilité
9.1 Sollicitations statiques
On adopte la contrainte de Von–Mises
( ) ( )
( )
2
22 2 211
1 1
1; principales
2
3 3
i j i jVM
N f
i j
θ θ
σ σ σ σ σ
σ σ σ σ σ
= − ≠
= + = + +
En introduisant la correction par les Kti
( ) ( ) ( )2 2
1( ) max max 3tt N tf f toeqf K K K θσ σ σ σ
≡ = + +σx x
0,2%
( ) e
RS S
f= ≥
σ
Se ≡facteur de sécurité par rapport à la limite conventionnelle d’élasticité
Remarque : Pour σf il est commode d’opérer par
( ) ( )2 2
2 32 32 3 f ff f
vf
f
v vM M M M M Mf f
Mw
Ivσ
= + ≡ = +
=
fM x x v
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9.2 Sollicitations dynamiques
Le développement de σσσσ en série de fourrier à l’ordre 1
donne un terme stationnaire et un terme fluctuant
( ) ( ) ( ) ( )
( ) ( )
( ) ( ) ( )
0
12 2 2
0 0
, sin
1
2cos sin
ij ijm a
T
ijm
T T
ij ij ija
σ t σ σ ωtij
σ σ ,t dtijT
σ σ ,t ωtdt σ ,t ωtdtT
ϕ= + +
=
= +
∫
∫ ∫
x
x
x x
Nota : Souvent, les sollicitations sont sinusoïdales.
9.2.1 Sollicitations types
La résistance sous sollicitations variables dépend de la
conjugaison entre valeur moyenne et amplitude
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9.2.2 Contraintes équivalentes
Le critère de Von – Mises est appliqué
Contrainte équivalente moyenne (stationnaire)
( ) ( )2 23tt Nm tf fm to meqm
K K Kσ σ σ τ= + +
Contrainte équivalente alternée (fluctuation)
( ) ( )2 23ft Na ff fa fo aeqa
K K Kσ σ σ τ= + +
Contrainte alternée de calcul
La sensibilité de eqa
σ aux effets de rugosité et
d’échelle est prise en compte par les facteurs Ks et Ke
eqaac
s eK K
σσ =×
9.2.3 Limite d’endurance σσσσD(Ni)
C’est l’amplitude de contrainte qui provoque la ruine
par fatigue au bout du nombre du nombre de cycles spécifié Ni, obtenue par l’essai S–N de Wöhler.
Pour les alliages ferreux on désigne par limite de fatigue σD (σD(N)) la limite asymptotique pour N=107.
Conception des liaisons mécaniques – MAJ 06/10/2009 18
σD(Ni) est une variable aléatoire et on pose p% la
probabilité de survie.
Corrélations σσσσD(Rm ; p%)
( ) ( )( ) ( )
3
50
3
90
0,58 1,1.10
0,56 1,4.10
D mmp %
D mmp %
σ N R R
σ N R R
−
=−
=
= − ×
= − × ( )2.daN mm−
σσσσD(Ni) pour Ni spécifié
( ) ( )log 3
40 9
0 9
i
DiD m
m
N
σ Nσ N , R
, R
−
=
9.2.4 Facteur de sécurité
On adopte le diagramme de Haigh σa=g(σm ; p)
Pour le point de fonctionnement A(σm, σac), on cherche
le point d’intersection de la droite OA avec le polygone
CDE. La fonction f est dans ce cas vectorielle
Conception des liaisons mécaniques – MAJ 06/10/2009 19
( )0,52 2( ) max eqm af σ σ ≡ +
σ
x
( )B
dac
OB yS S
f σ= = ≥
σ
Le diagramme de Haigh étant défini par morceaux, le
point B intercepté est situé soit sur CD soit DE.
Exemple : 1
, D
ac Deqm
eqm m
σSi B CD S
σ σσ
σ R
∈ = +
Conception des liaisons mécaniques – MAJ 06/10/2009 20
9.2.5 Durée de vie à probabilité fixée
Si le niveau du critère fiabilité est exprimé par une
durée de vie (nombre de cycles ou durée de service) on
détermine le nombre de cycles effectif :
- On postule une expression du facteur de sécurité
(position du point intercepté sur le diagramme (A1 ou
A2)) et on en déduit la valeur ( )iDσ N pour Sd =1
- On calcule αlim et on vérifie que pour la valeur
( )iDσ N trouvée l’expression de Sd est bonne
- On résout ( ) ( )( ), ,i m D iDσ N f R σ N N= pour obtenir Ni
10 - Validation du critère rigidité
On majore conjointement des composantes et/ou des normes des déplacements et/ou des rotations.
Les règles sont énoncées en exprimant les conditions
fonctionnelles cinématiques spécifiques au mécanisme
étudié. Souvent, les quantités vérifiées concernent le
plan équatorial (x2, x3) et la direction axiale (x1).
Conception des liaisons mécaniques – MAJ 06/10/2009 21
( )
( )
0,52 2
12 3
0,52 2
12 3
: :
: :
ea
u iu i
ii
ea
ii
ii
f P f Q
Q uP u u
f P f Q
QP
ω ω
ωω ω
+⊂Ω→ ⊂Ω→
+
+⊂Ω→ ⊂Ω→
+
ℝ ℝ
֏֏
ℝ ℝ
֏֏
On valide un ensemble de conditions conjointes.
Exemple : Engrènement d’un étage conique
On suppose que l’arbre de sortie, la couronne ainsi
que le pignon sont infiniment rigides et on se limite
au déplacement relatif des sommets (points bloqués)
des cônes primitifs.
( ) ( ) ( ) ( ) ( )2 3 3 21 1 2 3S O u u d u dΟ ω ω= + ∧ = + + + −u u OS x x xωωωω
( ) ( )0,5
2 2
2 3 3 2 lim
1 lim
( )
( )
e eSu
a aSu
f u d u d u
f u u
ω ω ≤
≤
= + + −
=
Les rotations relatives sont tout aussi importantes.
Conception des liaisons mécaniques – MAJ 06/10/2009 22
11 - Vibrations de torsion
On cherche à éviter les instabilités (résonance) et à
localiser les nœuds (endommagement par fatigue).
11.1 Modélisation
On se place dans le cadre des solides rigides et d’un
système libre conservatif.
a) On identifie les inerties et les raideurs insérées
dans la ligne d’arbre et on paramètre strictement le
système discrétisé par le vecteur q = q1,…,qi,…,qn.
b) On exprime l’énergie potentielle élastique U et
l’énergie cinétique C du système discret.
c) Si la ligne d’arbre comporte des branches qui
tournent avec des vitesses différentes, on définit un
nouveau on paramétrage q* en ramenant toutes les
inerties et raideurs sur un même axe. Pour cela on
définit une transformation TTTT qui conserve C et U
* * * *; ; ;
n n
q q C q q C q q U q U q
→
= =
ℝ ℝ
ɺ ɺ֏
T :
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d) On écrit le Lagrangien avec le paramétrage réduit
et on pose les équations du mouvement
( ) ( ) ( )* *
, ,
0 1;i i
L C U
d L Li n
dt q q
= −
∂ ∂− + = =∂ ∂
ɺ ɺ
ɺ
* * * * *q q q q q
e) On linéarise et on pose [M] (masse) et [K] (rigidité)
f) On résout l’équation caractéristique
[ ] [ ] [ ]( )1 2det 0M K ω− − =1
On détermine les modes propres associés aux racines
[ ] [ ] [ ]( ) 1 2: k kkω− − =X 1 X 0M K
11.2 Validation
a) Résonance
( ), , 1 10%ex exk j k j
ω ω δ δ∀ ∀Ω −Ω ≠ ± ∼
b) Localisation des nœuds
Pour tous les modes on vérifie si la position des
nœuds est acceptable (fatigue des arbres).
Conception des liaisons mécaniques – MAJ 06/10/2009 24
Exemple : Commande par poulie et courroie 1
2
di
d=
a) Modèle
11
dxdu N
ES= :
21
14c
c c cc
Sdk E k n E
l l
π= ≈
b) Energies cinétique et potentielle
( )2
2 1 22 2 21 1 21 1 2 2
2 22 2c
d dC I I I U k kα α α α α α α = + + = − + −
ɺ ɺ ɺ
c) Réduction sur l’arbre d’entrée
Soit β la nouvelle coordonnée de la poulie de sortie
qu’on remplace par un disque de moment d’inertie J.
2 2 2
2 2 2I J J i Iα β= ⇒ =ɺɺ
2 2 21 2 1 2 1 1
1 2 122 2 2 2 4
c c e c
d d d d d dk k k k
dα α α β ⇒
− = − =
Conception des liaisons mécaniques – MAJ 06/10/2009 25
d) Lagrangien et équations du mouvement
( ) ( )( )
( ) ( )( )
2 22 2 21 11 1
1
1 1 1 1
1
2
0
0
0
e
e
e
L I I J k k
I k
I k k
J k
α α β α α α β
α α α
α α α α ββ β α
−
= + + − + −
− − − =
− + − − − =− − − =
ɺɺ ɺ
ɺɺ
ɺɺ
ɺɺ
Système linéaire
e) Matrice de masse et de rigidité
( )
( )
( )
1 1 1
0 0 0 0
0 0 0
0 0 0 0
e e
e e
I k k
I k k k k
J k k
α αα αβ β
− + − + − =
−
ɺɺ
ɺɺ
ɺɺ
M K
f) Equation caractéristique et racines
2
2 22 2 2 2 2
1 1 1 1 1 1
2
0
0
e e e
e e
k k
I Ikk k kk k k k k e
I I I I I J I J II J
k k
J J
ω
ω ω ω ω ω
ω
− −
− − − = − − − − − −
− −
1
2
12,3
1 1 1
0
14
2
e e e ee
k k k k k k I I Jk kkk
I J I I J I II J
ω
ω
=
+ + + + = + + ± + + −
Les racines comptent une pulsation nulle qui exprime
l’existence d’un mode rigide (mouvement d’ensemble).
Pour les harmoniques d’excitation importants, on
vérifie la coïncidence avec les pulsations d’excitation
( )2, , 1 10% 2;3ex ex
j i jiω ω δ δ∀Ω −Ω ≠ ± =∼
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Les modes de vibration sont donnés par les solutions non banales de
[ ] [ ] [ ]( ) 1 2 2;3i i iω− − = =1 X 0M K
11 12 1
21 22 23 2
32 33 3
11 1 12 2
21 1 22 2 23 3
32 2 33 3
0
0
0
0
0
i
i i
i
i i
i i i
i i
a a x
a a a x
a a x
a x a x
a x a x a x
a x a x
+
+ +
= ≠
= = + =
0 X 0
1
112
12
11 323
12 33
1i
i
i
x
ax
a
a ax
a a
=
= −
=
3 cas possibles :
Il est avantageux d’avoir le nœud localisé sur la
courroie (Cas 3) pour éviter la rupture de l’arbre par