Résumé Réalisation Bilan Approche théorique et expérimentale des principes fondamentaux de la supraconductivité Soutenance orale du Travail de Maturité Julián Cancino Maître accompagnant : Pierre Bach, Collège Rousseau, Genève Juré : Dr Ivan Maggio-Aprile, Université de Genève. 17 mars 2006 Julián Cancino ATEPFS
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Approche théorique et expérimentale des principes ...n.ethz.ch/~cancinoj/download/TM_P_Soutenance.pdfJuré : Dr Ivan Maggio-Aprile, Université de Genève. 17 mars 2006 Julián Cancino
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RésuméRéalisation
Bilan
Approche théorique et expérimentale desprincipes fondamentaux de la
supraconductivitéSoutenance orale du Travail de Maturité
Julián Cancino
Maître accompagnant : Pierre Bach, Collège Rousseau, GenèveJuré : Dr Ivan Maggio-Aprile, Université de Genève.
Découverte"En 1911, H. Kammerlingh Onnes découvre le phénomène étonnantde la supraconductivité (SC) 1." Cette phrase, véritable leitmotivdes introductions de livres sur la SC, paraît bien froide au jourd’aujourd’hui.
Découverte"En 1911, H. Kammerlingh Onnes découvre le phénomène étonnantde la supraconductivité (SC) 1." Cette phrase, véritable leitmotivdes introductions de livres sur la SC, paraît bien froide au jourd’aujourd’hui.
À la suite de cette découverte, on étudie de façon très systématiquede nombreux composés et on voit la SC apparaître dans :
I Des éléments purs : 9.2 K, Nb.I Des alliages métalliques : 23.3 K, Nb3Ge.I Des composés à ions magnétiques : 14.7 K, PbMo6S8.I Des composés à fermions lourds : 0.87 K, UBe13.I Des composés organiques : 1.2 K, (TMTSF)2PF6.
À la suite de cette découverte, on étudie de façon très systématiquede nombreux composés et on voit la SC apparaître dans :
I Des éléments purs : 9.2 K, Nb.I Des alliages métalliques : 23.3 K, Nb3Ge.I Des composés à ions magnétiques : 14.7 K, PbMo6S8.I Des composés à fermions lourds : 0.87 K, UBe13.I Des composés organiques : 1.2 K, (TMTSF)2PF6.
La propriété la plus connue des SC est celle qu’évoque leur nom :sa capacité à transporter un courant sans opposer de résistance etdonc sans dissipation d’énergie sous forme de chaleur.
Dans une boucle SC, un courant permanent pourrait persisterthéoriquement plus de 100’000 ans !
Cette propriété offre des perspectives intéressantes dans le domainedu transport de courant sans pertes.
Il serait trop réducteur de définir la SC par cette seule propriétécomme on va le voir.
La propriété la plus connue des SC est celle qu’évoque leur nom :sa capacité à transporter un courant sans opposer de résistance etdonc sans dissipation d’énergie sous forme de chaleur.
Dans une boucle SC, un courant permanent pourrait persisterthéoriquement plus de 100’000 ans !
Cette propriété offre des perspectives intéressantes dans le domainedu transport de courant sans pertes.
Il serait trop réducteur de définir la SC par cette seule propriétécomme on va le voir.
La propriété la plus connue des SC est celle qu’évoque leur nom :sa capacité à transporter un courant sans opposer de résistance etdonc sans dissipation d’énergie sous forme de chaleur.
Dans une boucle SC, un courant permanent pourrait persisterthéoriquement plus de 100’000 ans !
Cette propriété offre des perspectives intéressantes dans le domainedu transport de courant sans pertes.
Il serait trop réducteur de définir la SC par cette seule propriétécomme on va le voir.
La propriété la plus connue des SC est celle qu’évoque leur nom :sa capacité à transporter un courant sans opposer de résistance etdonc sans dissipation d’énergie sous forme de chaleur.
Dans une boucle SC, un courant permanent pourrait persisterthéoriquement plus de 100’000 ans !
Cette propriété offre des perspectives intéressantes dans le domainedu transport de courant sans pertes.
Il serait trop réducteur de définir la SC par cette seule propriétécomme on va le voir.
L’hypothèse de C. J. Gorter subit très vite une défaite notoire.
En effet, L. V. Shubnikov montre en 1936 que certains alliagesmétalliques présentent une conductivité infinie, mais ne rejettentpas totalement le champ magnétique au dessus d’un certain seuil.Autrement dit,
L’hypothèse de C. J. Gorter subit très vite une défaite notoire.
En effet, L. V. Shubnikov montre en 1936 que certains alliagesmétalliques présentent une conductivité infinie, mais ne rejettentpas totalement le champ magnétique au dessus d’un certain seuil.Autrement dit,
L’hypothèse de C. J. Gorter subit très vite une défaite notoire.
En effet, L. V. Shubnikov montre en 1936 que certains alliagesmétalliques présentent une conductivité infinie, mais ne rejettentpas totalement le champ magnétique au dessus d’un certain seuil.Autrement dit,
L’hypothèse de C. J. Gorter subit très vite une défaite notoire.
En effet, L. V. Shubnikov montre en 1936 que certains alliagesmétalliques présentent une conductivité infinie, mais ne rejettentpas totalement le champ magnétique au dessus d’un certain seuil.Autrement dit,
Une première approche phénoménologique du phénomène de la SCpermet de mettre en évidence l’évolution des diverses grandeursthermodynamiques avec la température.
Sur la diapositive suivante, on peut voir :
I L’énergie libre F(T ),I L’entropie S(T ),I L’énergie interne U(T ),I La chaleur spécifique C(T ).
Si un champ magnétique Ba est appliqué, Tc varie selon :
Une première approche phénoménologique du phénomène de la SCpermet de mettre en évidence l’évolution des diverses grandeursthermodynamiques avec la température.
Sur la diapositive suivante, on peut voir :
I L’énergie libre F(T ),I L’entropie S(T ),I L’énergie interne U(T ),I La chaleur spécifique C(T ).
Si un champ magnétique Ba est appliqué, Tc varie selon :
Une première approche phénoménologique du phénomène de la SCpermet de mettre en évidence l’évolution des diverses grandeursthermodynamiques avec la température.
Sur la diapositive suivante, on peut voir :I L’énergie libre F(T ),
I L’entropie S(T ),I L’énergie interne U(T ),I La chaleur spécifique C(T ).
Si un champ magnétique Ba est appliqué, Tc varie selon :
Une première approche phénoménologique du phénomène de la SCpermet de mettre en évidence l’évolution des diverses grandeursthermodynamiques avec la température.
Sur la diapositive suivante, on peut voir :I L’énergie libre F(T ),I L’entropie S(T ),
I L’énergie interne U(T ),I La chaleur spécifique C(T ).
Si un champ magnétique Ba est appliqué, Tc varie selon :
Une première approche phénoménologique du phénomène de la SCpermet de mettre en évidence l’évolution des diverses grandeursthermodynamiques avec la température.
Sur la diapositive suivante, on peut voir :I L’énergie libre F(T ),I L’entropie S(T ),I L’énergie interne U(T ),
I La chaleur spécifique C(T ).
Si un champ magnétique Ba est appliqué, Tc varie selon :
Une première approche phénoménologique du phénomène de la SCpermet de mettre en évidence l’évolution des diverses grandeursthermodynamiques avec la température.
Sur la diapositive suivante, on peut voir :I L’énergie libre F(T ),I L’entropie S(T ),I L’énergie interne U(T ),I La chaleur spécifique C(T ).
Si un champ magnétique Ba est appliqué, Tc varie selon :
Une première approche phénoménologique du phénomène de la SCpermet de mettre en évidence l’évolution des diverses grandeursthermodynamiques avec la température.
Sur la diapositive suivante, on peut voir :I L’énergie libre F(T ),I L’entropie S(T ),I L’énergie interne U(T ),I La chaleur spécifique C(T ).
Si un champ magnétique Ba est appliqué, Tc varie selon :
En résolvant la seconde équation LL avec comme conditions auxlimites x = 0⇒ B = Ba et x →∞⇒ B = 0, on obtient lavariation du champ magnétique à l’intérieur du SC :
B(x) = Ba e−x/λ
Dépendance en températureLe modèle GC prévoit la variation de la densité de superélectronsavec la température. Comme λ dépend de cette grandeur :
λ(t) = λ(0)√1−t4
On voit bien que t → 1⇒ λ→∞. Autrement dit, le champpénètre dans tout le matériau et la SC est détruite.
En résolvant la seconde équation LL avec comme conditions auxlimites x = 0⇒ B = Ba et x →∞⇒ B = 0, on obtient lavariation du champ magnétique à l’intérieur du SC :
B(x) = Ba e−x/λ
Dépendance en températureLe modèle GC prévoit la variation de la densité de superélectronsavec la température. Comme λ dépend de cette grandeur :
λ(t) = λ(0)√1−t4
On voit bien que t → 1⇒ λ→∞. Autrement dit, le champpénètre dans tout le matériau et la SC est détruite.
En résolvant la seconde équation LL avec comme conditions auxlimites x = 0⇒ B = Ba et x →∞⇒ B = 0, on obtient lavariation du champ magnétique à l’intérieur du SC :
B(x) = Ba e−x/λ
Dépendance en températureLe modèle GC prévoit la variation de la densité de superélectronsavec la température. Comme λ dépend de cette grandeur :
λ(t) = λ(0)√1−t4
On voit bien que t → 1⇒ λ→∞. Autrement dit, le champpénètre dans tout le matériau et la SC est détruite.
En résolvant la seconde équation LL avec comme conditions auxlimites x = 0⇒ B = Ba et x →∞⇒ B = 0, on obtient lavariation du champ magnétique à l’intérieur du SC :
B(x) = Ba e−x/λ
Dépendance en températureLe modèle GC prévoit la variation de la densité de superélectronsavec la température. Comme λ dépend de cette grandeur :
λ(t) = λ(0)√1−t4
On voit bien que t → 1⇒ λ→∞. Autrement dit, le champpénètre dans tout le matériau et la SC est détruite.
En développant de nombreux interfaces N-SC un SC de type-Iabaisse son énergie car σns < 0 !
VortexUne façon simple d’augmenter les interfaces est de laisser le champentrer dans le matériau sous forme de tubes de flux, les vortex. Cesderniers s’arrangent en un réseau régulier. Dans le cœur du vortex,le paramètre d’ordre est réduit à zéro, le gap se referme.
Imagerie par STMLe microscope à effet tunnel permet de sonder localement ladensité d’états. On peut alors localiser les vortex.
En développant de nombreux interfaces N-SC un SC de type-Iabaisse son énergie car σns < 0 !
VortexUne façon simple d’augmenter les interfaces est de laisser le champentrer dans le matériau sous forme de tubes de flux, les vortex. Cesderniers s’arrangent en un réseau régulier. Dans le cœur du vortex,le paramètre d’ordre est réduit à zéro, le gap se referme.
Imagerie par STMLe microscope à effet tunnel permet de sonder localement ladensité d’états. On peut alors localiser les vortex.
En développant de nombreux interfaces N-SC un SC de type-Iabaisse son énergie car σns < 0 !
VortexUne façon simple d’augmenter les interfaces est de laisser le champentrer dans le matériau sous forme de tubes de flux, les vortex. Cesderniers s’arrangent en un réseau régulier. Dans le cœur du vortex,le paramètre d’ordre est réduit à zéro, le gap se referme.
Imagerie par STMLe microscope à effet tunnel permet de sonder localement ladensité d’états. On peut alors localiser les vortex.
Quantification du fluxLe flux dans un SC ne peut prendre comme valeur que desmultiples du quantum de flux :
Φ = nΦ0 avec Φ0 = hqs
= h2qe
D’une part, ceci montre qu’on a affaire à un phénomène quantique.
D’autre part, le dénominateur 2qe a interrogé les chercheurs àl’époque. À la parution de la théorie BCS, le facteur pritlogiquement son sens : il annonçait les paires de Cooper qui ontune charge électrique deux fois plus grande que celle de l’électron.
Quantification du fluxLe flux dans un SC ne peut prendre comme valeur que desmultiples du quantum de flux :
Φ = nΦ0 avec Φ0 = hqs
= h2qe
D’une part, ceci montre qu’on a affaire à un phénomène quantique.
D’autre part, le dénominateur 2qe a interrogé les chercheurs àl’époque. À la parution de la théorie BCS, le facteur pritlogiquement son sens : il annonçait les paires de Cooper qui ontune charge électrique deux fois plus grande que celle de l’électron.
Quantification du fluxLe flux dans un SC ne peut prendre comme valeur que desmultiples du quantum de flux :
Φ = nΦ0 avec Φ0 = hqs
= h2qe
D’une part, ceci montre qu’on a affaire à un phénomène quantique.
D’autre part, le dénominateur 2qe a interrogé les chercheurs àl’époque. À la parution de la théorie BCS, le facteur pritlogiquement son sens : il annonçait les paires de Cooper qui ontune charge électrique deux fois plus grande que celle de l’électron.
Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer 8
Paires de CooperOn fait l’hypothèse que les phonons (vibrations du réseau) sont lesvecteurs d’une interaction attractive entre les électrons. Il se formeainsi des paires d’électrons, dites "de Cooper", ayant un spin entieret se comportant comme des bosons.
8J. Bardeen, L. N. Cooper and J. R. Schrieffer, Phys. Rev. 108, 1175 (1957).
Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer 8
Paires de CooperOn fait l’hypothèse que les phonons (vibrations du réseau) sont lesvecteurs d’une interaction attractive entre les électrons. Il se formeainsi des paires d’électrons, dites "de Cooper", ayant un spin entieret se comportant comme des bosons.
8J. Bardeen, L. N. Cooper and J. R. Schrieffer, Phys. Rev. 108, 1175 (1957).
Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer
Gap ∆Il existe une différence d’énergie entre ce nouvel état fondamentalet les premières excitations, les quasiparticules, qui correspondent àla brisure d’une paire de Cooper.
Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer
Gap ∆Il existe une différence d’énergie entre ce nouvel état fondamentalet les premières excitations, les quasiparticules, qui correspondent àla brisure d’une paire de Cooper.
Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer
Densité d’états et effet tunnelLe microscope à effet tunnel (STM) permet de mesurer la densitéd’états localement. Il s’agit d’un moyen performant pour étudier,par exemple, le réseau de vortex. En effet, comme les vortex sontdes zones N, la densité d’états n’est pas la même que pour leszones SC.
Rapport de BCSLa théorie prévoit aussi la valeur du rapport entre les énergies dugap et celle liée à la température critique :
Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer
Densité d’états et effet tunnelLe microscope à effet tunnel (STM) permet de mesurer la densitéd’états localement. Il s’agit d’un moyen performant pour étudier,par exemple, le réseau de vortex. En effet, comme les vortex sontdes zones N, la densité d’états n’est pas la même que pour leszones SC.
Rapport de BCSLa théorie prévoit aussi la valeur du rapport entre les énergies dugap et celle liée à la température critique :
Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer
Densité d’états et effet tunnelLe microscope à effet tunnel (STM) permet de mesurer la densitéd’états localement. Il s’agit d’un moyen performant pour étudier,par exemple, le réseau de vortex. En effet, comme les vortex sontdes zones N, la densité d’états n’est pas la même que pour leszones SC.
Rapport de BCSLa théorie prévoit aussi la valeur du rapport entre les énergies dugap et celle liée à la température critique :
Théorie microscopique de Bardeen, Cooper et Schrieffer
Densité d’états et effet tunnelLe microscope à effet tunnel (STM) permet de mesurer la densitéd’états localement. Il s’agit d’un moyen performant pour étudier,par exemple, le réseau de vortex. En effet, comme les vortex sontdes zones N, la densité d’états n’est pas la même que pour leszones SC.
Rapport de BCSLa théorie prévoit aussi la valeur du rapport entre les énergies dugap et celle liée à la température critique :
I Spectres reproductibles sur1820 Å : ∆ ≈ 62 meV ,
I 2∆kBTc
= 16.8.
Julián Cancino ATEPFS
RésuméRéalisation
Bilan
Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004
Réalisation
Julián Cancino ATEPFS
RésuméRéalisation
Bilan
Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004
Extra-muros 2003
Le choix du sujet de mon TM remonte à la fin de mon premierstage dans le groupe du Prof. Ø. Fischer. Durant celui-ci, j’ai apprisles bases de ce que sont la SC et le STM 9 : je ne connaissaisabsolument rien à ces deux sujets en arrivant.
Le Dr I. Maggio-Aprile s’est occupé de m’expliquer la plus grandepartie des sujets. Les autres membres du groupe répondaientégalement volontiers à mes questions. Ce stage m’a permis de mesensibiliser au climat de la recherche.
9J. Cancino, Quand le supraconducteur découvre l’humain, Collège Rousseau, Genève, 2003, 46 pp.
Julián Cancino ATEPFS
RésuméRéalisation
Bilan
Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004
Extra-muros 2003
Le choix du sujet de mon TM remonte à la fin de mon premierstage dans le groupe du Prof. Ø. Fischer. Durant celui-ci, j’ai apprisles bases de ce que sont la SC et le STM 9 : je ne connaissaisabsolument rien à ces deux sujets en arrivant.
Le Dr I. Maggio-Aprile s’est occupé de m’expliquer la plus grandepartie des sujets. Les autres membres du groupe répondaientégalement volontiers à mes questions. Ce stage m’a permis de mesensibiliser au climat de la recherche.
9J. Cancino, Quand le supraconducteur découvre l’humain, Collège Rousseau, Genève, 2003, 46 pp.
Julián Cancino ATEPFS
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Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004
Extra-muros 2004
Ayant choisi mon sujet de TM, j’ai eu la chance d’avoir la possibilitéde réintégrer le groupe durant un second stage de trois mois.
Cette fois-ci, le TM était l’occupation dominante (lecture, calculs,rédaction). Tous les membres du groupe, et plus particulièrementCédric Dubois, m’ont accordé un temps non négligeable enexplications.
Actuellement, le groupe rédige un article scientifique pour Reviewof Modern Physics au sujet des recherches sur les SC à haut-Tc parSTM. J’ai eu l’occasion d’apporter ma modeste contribution enrecherchant et traitant des données qui serviront pour cet article.
Julián Cancino ATEPFS
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Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004
Extra-muros 2004
Ayant choisi mon sujet de TM, j’ai eu la chance d’avoir la possibilitéde réintégrer le groupe durant un second stage de trois mois.
Cette fois-ci, le TM était l’occupation dominante (lecture, calculs,rédaction). Tous les membres du groupe, et plus particulièrementCédric Dubois, m’ont accordé un temps non négligeable enexplications.
Actuellement, le groupe rédige un article scientifique pour Reviewof Modern Physics au sujet des recherches sur les SC à haut-Tc parSTM. J’ai eu l’occasion d’apporter ma modeste contribution enrecherchant et traitant des données qui serviront pour cet article.
Julián Cancino ATEPFS
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Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004
Extra-muros 2004
Ayant choisi mon sujet de TM, j’ai eu la chance d’avoir la possibilitéde réintégrer le groupe durant un second stage de trois mois.
Cette fois-ci, le TM était l’occupation dominante (lecture, calculs,rédaction). Tous les membres du groupe, et plus particulièrementCédric Dubois, m’ont accordé un temps non négligeable enexplications.
Actuellement, le groupe rédige un article scientifique pour Reviewof Modern Physics au sujet des recherches sur les SC à haut-Tc parSTM. J’ai eu l’occasion d’apporter ma modeste contribution enrecherchant et traitant des données qui serviront pour cet article.
Julián Cancino ATEPFS
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Extra-muros 2004
RevueLa figure qui va suivre contient les données récoltées au sujet duBi2Sr2CaCu2O8+δ .La courbe verte représente ce qu’on s’attend à voir dans un SCd-wave.Les points montrent ce qui est mesuré dans ce composé.La droite rouge est une régression linéaire des points montrant latendance des mesures.Certains théoriciens aimeraient bien que la droite intercepte laparabole au sommet pour qu’apparaisse un point critique quantique.La recherche dans la littérature semble ne pas appuyer cetteaffirmation.
Julián Cancino ATEPFS
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Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004
Extra-muros 2004
Julián Cancino ATEPFS
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Bilan
Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004
MaNEP Saas-Fee Summer School 2004
Finalement, grâce à la proposition du Dr Alfred Manuel, j’aiparticipé à la première école d’été de MaNEP à Saas-Fee.
Cette dernière a été une sorte de grande révision pour la rédactionde la fin de mon TM, mais elle m’a également permis d’être aucourant des dernières avancées en sur les SC : un nouveau composéSC à 1.5 K, le Sr2RuO4, y a été présenté.
J’ai pu y rencontrer et écouter des gens spécialistes dans ledomaine de la SC venus du monde entier.
Julián Cancino ATEPFS
RésuméRéalisation
Bilan
Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004
MaNEP Saas-Fee Summer School 2004
Finalement, grâce à la proposition du Dr Alfred Manuel, j’aiparticipé à la première école d’été de MaNEP à Saas-Fee.
Cette dernière a été une sorte de grande révision pour la rédactionde la fin de mon TM, mais elle m’a également permis d’être aucourant des dernières avancées en sur les SC : un nouveau composéSC à 1.5 K, le Sr2RuO4, y a été présenté.
J’ai pu y rencontrer et écouter des gens spécialistes dans ledomaine de la SC venus du monde entier.
Julián Cancino ATEPFS
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Bilan
Extra-muros 2003Extra-muros 2004MaNEP Saas-Fee Summer School 2004
MaNEP Saas-Fee Summer School 2004
Finalement, grâce à la proposition du Dr Alfred Manuel, j’aiparticipé à la première école d’été de MaNEP à Saas-Fee.
Cette dernière a été une sorte de grande révision pour la rédactionde la fin de mon TM, mais elle m’a également permis d’être aucourant des dernières avancées en sur les SC : un nouveau composéSC à 1.5 K, le Sr2RuO4, y a été présenté.
J’ai pu y rencontrer et écouter des gens spécialistes dans ledomaine de la SC venus du monde entier.
Julián Cancino ATEPFS
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Bilan
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Julián Cancino ATEPFS
RésuméRéalisation
Bilan
Bilan du travail
ConnaissancesCette recherche m’a permis d’apprendre et d’approfondirénormément mes connaissances en physique des SC.
MéthodologieLa rédaction du TM, les recherches expérimentales ainsi que dansla littérature spécialisée m’ont appris les bases de la méthodescientifique. J’ai aussi utilisé la méthode cartésienne en particulierpour les sources sur Internet qui sont peu fiables à ce que j’ai puconstater.
Julián Cancino ATEPFS
RésuméRéalisation
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Bilan du travail
ConnaissancesCette recherche m’a permis d’apprendre et d’approfondirénormément mes connaissances en physique des SC.
MéthodologieLa rédaction du TM, les recherches expérimentales ainsi que dansla littérature spécialisée m’ont appris les bases de la méthodescientifique. J’ai aussi utilisé la méthode cartésienne en particulierpour les sources sur Internet qui sont peu fiables à ce que j’ai puconstater.
Julián Cancino ATEPFS
RésuméRéalisation
Bilan
Bilan du Travail
RencontresPar ce travail, je suis entré en contact avec des gens passionnés etpassionnants qui m’ont aidé et envers lesquels je suis énormémentreconnaissant.
AvenirJ’ai été sélectionné pour le concours national La science appelle lesjeunes qui aura lieu du 22 au 24 avril 2005 à Lucerne. De plus, jecompte participer au Prix des matériaux de l’EPF de Lausanne.
Julián Cancino ATEPFS
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Bilan
Bilan du Travail
RencontresPar ce travail, je suis entré en contact avec des gens passionnés etpassionnants qui m’ont aidé et envers lesquels je suis énormémentreconnaissant.
AvenirJ’ai été sélectionné pour le concours national La science appelle lesjeunes qui aura lieu du 22 au 24 avril 2005 à Lucerne. De plus, jecompte participer au Prix des matériaux de l’EPF de Lausanne.
Julián Cancino ATEPFS
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Bilan
"Fais-le, ou ne le fais pas, mais il n’y a pas d’essai !"Yoda, in Star Wars.
Merci !
Julián Cancino ATEPFS
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"Fais-le, ou ne le fais pas, mais il n’y a pas d’essai !"Yoda, in Star Wars.