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Le client consulte sa tablette. À tout moment, elle retranscrit
la consommation d’électricité de la maison. Au global mais aussi
dans le détail, appareil par appareil. Grâce au numérique, le
client sait, si pour faire des économies, il doit baisser le
chauffage ou retarder le lan-cement de son lave-linge. De toute
façon, le lave-linge com-municant se déclenchera auto-matiquement à
réception du si-gnal “heures creuses“, lorsque l’électricité sera
la moins chère. Le chauffage, premier poste de dépense énergétique
de la mai-son, est désormais connecté et relié à la station météo
qui permet de suivre la présence dans le logement, réglant au
plus juste le confort et les pé-riodes de chauffe. Le ballon
d’eau chaude, lui, est relié à des panneaux photovoltaïques et
surtout il permet de stocker l’énergie pour s’adapter parfai-tement
aux besoins des clients.
Tout piloter avec son smartphone Dans le garage, un véhicule
électrique se recharge, quand le prix de l’électricité est le plus
avantageux. Plus révolution-naire encore, le véhicule pos-sède une
batterie qui stocke l’énergie. Il peut donc participer à
l’alimentation électrique de la maison. Le sèche-linge est en
quelque sorte alimenté par une voiture électrique pendant les
heures de pointe. Enfin, sans quitter son canapé, son bu-reau ou
son lieu de vacances, le client peut tout suivre sur son
smartphone. Tout suivre et tout
piloter : son chauffage, son éclairage, le détail de sa facture
et les conseils d’économie et de confort que lui propose EDF.
“Le virage numériqueCette maison de demain, c’est celle que
dessinent les équipes du commerce, de la R&D et
des systèmes d’informations de l’entreprise. Une maison qui
pourra bientôt exister grâce à l’arrivée des compteurs
com-municants et à tous les objets connectés de la maison, de plus
en plus nombreux. Sylvie Jéhanno, directrice clients par-ticuliers
et directrice du pro-gramme SMART, programme préparant l’arrivée
des comp-teurs communicants, le confirme : “EDF a pris le virage
numérique et déjà 33 % des interactions avec nos clients se font
sur internet. Grâce à ce vi-rage qui est pour nous une
op-portunité, nous allons moder-niser la relation avec nos clients
et la simplifier avec de nou-veaux services pour les écono-mies
d’énergie et le confort.“ Franck Lacroix, directeur-cher-cheur à
EDF Lab Clamart pense même que “la maison connec-tée sera capable
d’anticiper, d’adapter son fonctionnement à nos pratiques. Elle
prendra les manettes mais à notre ser-vice.“ Au cœur de ce nouveau
monde, les données sur cha-cun qui “circulent“ sur le web.
L’utilisation de ces “big-data“,
doit à la fois être porteuse de services innovants et
protec-trice des droits fondamentaux. EDF s’y est déjà engagé pour
poursuivre une relation de confiance avec ses clients.
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En supplément2 pages spéciales“CHALLENGE“ DU NUCLÉAIRE
Vendredi 27 mars 2015 - N°162
L HEBDO
Le service devrait être prochainement disponible sur
smartphones.
Une partie des équipes “Smart Lab“, ce mercredi 25 mars à La
Défense.
Plus d’infos sur
Avec les compteurs communicants et les objets connectés, le
monde de l’énergie entre dans l’ère numérique. À La Défense, Tour
PB6, le “Smart Lab“ rassemble plusieurs métiers du groupe EDF
autour d’idées innovantes. Leur mission est d’inventer des services
pour tous les clients et de “dessiner“ la maison de demain.
Ils font la maison de demain
Un service pour être acteur de sa consommation Ce jeudi 26 mars
à Paris, EDF a lancé un nouveau service baptisé e-quilibre. Ce
tableau de bord digital permet au client particulier de suivre, via
internet, sa consommation d’électricité par poste, chauffage,
éclairage, électroménager… Il peut également se comparer à un foyer
similaire. À partir de ces données, des conseils d’économies
d’énergie lui sont proposés. Le service e-quilibre a été conçu par
plusieurs équipes d’EDF, de la direction commerce, de la R&D et
des systèmes d’informations. Il est produit par la filiale Edélia.
L’offre a déjà été testée auprès de 20 000 clients. L’objectif est
d’atteindre 500 000 clients d’ici la fin de l’année et plusieurs
millions dès 2016.
LE VÉHICULE POSSÈDE UNE BATTERIE QUI STOCKE L’ÉNERGIE. IL PEUT
DONC PARTICIPER À L’ALIMENTATION ÉLECTRIQUE DE LA MAISON.
https://intranet.edf.fr/web/vivre-edf/lire-detail/-/asset_publisher/AO6j/content/a-quoi-ressemblera-l-habitat-connecte-de-demain?ns_campaign=hebdo_162ns_mchannel=pdf&ns_source=vivre_edf&ns_linkname=pageune
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L HEBDOL HEBDO
90 % des apprentis diplômés
Jeudi 19 mars, aux Mureaux, le directeur des ressources humaines
du groupe EDF, Marianne Laigneau et le président du directoire
d’ERDF, Philippe Monloubou, ont remis leur dîplome aux apprentis du
CFA des métiers de l’énergie. Sur 91 élèves, 90 % ont décroché leur
examen. 60 % des apprentis qui ont effectué leur formation dans des
métiers techniques ont décroché un emploi au sein du Groupe.
“Tous les salariés associés à Cap 2030“
Vendredi 27 mars 2015 - Page 2
Infos sur
Vérification de la stabilité du barrage de Saint-Étienne de
Cantalès, dans le Cantal.
Jean-Bernard Lévy ce jeudi 26 mars, au challenge du parc en
exploitation à Saint-Denis.
Marianne Laigneau et Philippe Monloubou avec les diplômés.
800 millions d’euros dans la sûreté hydraulique
Des résultats sûreté de bon niveau pour 2014, 800 millions
d’euros d’investissements depuis 2007 dans ce domaine et aucun
accident grave de personnes ou de dégâts matériels majeurs depuis
2008. C’est ce qu’on peut retenir du rapport annuel de l’inspecteur
de la sûreté hydraulique d’EDF, publié ce mercredi 25 mars. Patrice
Batoufflet recommande de développer l’analyse des retours
d’expérience, et de maintenir la cadence d’avancement du programme
de rénovation du patrimoine. ©
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Le rapport sur
Nous devons passer de la stratégie à un projet social,
commercial et in-dustriel fédérateur et partager une vision avec
les 160 000 sala-riés du Groupe afin de nous mo-biliser, tous, pour
un EDF élec-tricien responsable, champion de la croissance bas
carbone“. Ce jeudi 26 mars, à l’issue d’un comité stratégique du
conseil d’administration et d’un CCE, le président d’EDF,
Jean-Bernard Lévy a présenté, en conférence téléphonique, aux
dirigeants du Top 200 du Groupe, les premières réflexions de “Cap
2030“. Il a demandé que “tous les salariés y soient associés car il
nous faudra construire et porter un projet d’entreprise fort et
mobilisateur“. Les orien-tations seront affinées et tra-duites en
plans d’actions avec
les métiers et filiales du Groupe, jusqu’à l’été. En avril-mai,
les salariés seront amenés à s’ex-primer dans une enquête in-terne.
Dès l’automne, les mana-gers présenteront le projet Cap 2030 à
leurs équipes. Trois axes stratégiques sont aujourd’hui identifiés
: la proximité avec les clients et les territoires, l’objec-tif bas
carbone avec le nucléaire et les énergies renouvelables et le
développement, en France, dans les pays cibles européens et en
priorité dans les pays en croissance. “Cap 2030 est un projet
ambitieux qui nous don-nera l’agilité et les moyens de relever les
défis du secteur de l’énergie“ a rappelé Jean-Ber-nard Levy, en
réaffirmant que “le groupe EDF s’inscrit dans la durée comme un
acteur du ser-vice public“.
Championne à plus d’un titre L’athlète handisport Elodie Lorandi
défiera les va-lides aux Championnats de France de natation, du 31
mars au 5 avril à Limoges. Elle est membre du Team EDF et licenciée
à Antibes. À 25 ans, elle a déjà remporté une médaille d’argent aux
Jeux pa-ralympiques de Pékin puis l’or, l’argent et le bronze à
Londres en 2012. Elle est aussi championne du monde à Durban en
Afrique du Sud. Coralie Balmy, autre athlète du team EDF, participe
aussi aux Championnats de France.
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https://intranet.edf.fr/web/eclairons-le-sport/lire-detail/-/asset_publisher/AO6j/content/natation-championnats-de-france-de-natation-a-limoges?ns_campaign=hebdo_162&ns_mchannel=pdf&ns_source=vivre_edf&ns_linkname=page2_lorandihttps://intranet.edf.fr/web/hydraulique/lire-detail/-/asset_publisher/AO6j/content/sortie-du-rapport-2014-de-l-inspecteur-surete-hydraulique?ns_campaign=hebdo_162&ns_mchannel=pdf&ns_source=vivre_edf&ns_linkname=page2_rapport
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L HEBDOL HEBDOVendredi 27 mars 2015 - Page 3
• Le combustible de l’unité de production n°1 de la centrale
nucléaire de Cattenom, en Lorraine, a été déchargé en 36 heures.
Vingt deux personnes se sont mobilisées. Le déchargement de la
tranche 2 et celui de la tranche 4 avait duré respectivement 49 et
78 heures l’an dernier.
• À Amilly, dans le Loiret, EDF a inauguré un atelier de
réparation de 2 800m2 pour les groupes électrogènes de secours pour
les centrales nucléaires.
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Flamanville 3 a ses GV Le quatrième et dernier générateur de
vapeur de l’EPR de Flamanville, l’un des principaux composants de
son cir-cuit principal, a été installé ce mardi 24 mars. En douze
jours, les trois der-niers générateurs sont passés, chacun à leur
tour, du hangar dans lequel ils avaient été stockés au bâtiment
réac-teur qui les accueille, en passant par des manœuvres délicates
d’achemi-
nement et d’ascension jusqu’à vingt mètres de haut. Ces
opérations ont été réalisées notamment avec les équipes d’Areva.
Les générateurs de vapeur de Flamanville pèsent chacun 530 tonnes
pour 24 mètres de haut et 6 mètres de diamètre. Près de 80 tonnes
d’eau circuleront en continu dans leurs tuyaux.
Mardi 24 mars, les quatre générateurs de vapeur sont installés
dans le bâtiment réacteur de l’EPR.
France/Brésil fait le bonheur de Gravelines Seize enfants du
club de football de Gravelines, dans le Nord, étaient ce jeudi 26
mars les invités d’EDF au Stade de France. Ils ont supporté les
bleus battus logiquement trois buts à un par le Brésil. Vingt
salariés de la plus grande centrale nucléaire française étaient
aussi dans les tribunes. Ils avaient gagné leur place à un jeu
concours de la communauté “Gravelines“ sur Online.
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Le changement d’heure, de moins en moins utile ?
Le passage à l’heure d’été aura lieu dans la nuit du samedi 28
au dimanche 29 mars. Le changement d’heure a été instauré en France
à la suite du choc pétrolier alors que l’électricité était produite
surtout à partir du fuel. Aujourd’hui, il s’agit de limiter les
dépenses d’éclairage artificiel. Le changement d’heure permettrait
d’économiser en éclairage 440 GWh par an, soit l’équivalent de la
consommation annuelle d’environ 800 000 ménages (source Ademe). Ce
gain diminue chaque année car les lampes sont de moins en moins
énergivores.
Tout savoir sur
L’eau a pallié les impacts de l’éclipse
L’éclipse solaire du 20 mars a eu un léger impact sur le réseau
électrique français. Le ciel étant couvert, la pro-duction
photovoltaïque a seulement été réduite de quelques centaines de
mégawatt. En revanche, la baisse de rayonnement a entraîné une
sollici-tation accrue du chauffage, générant une hausse de la
consommation. Au final, aux alentours de 11h, ce sont environ 1 500
MW de production électrique supplémentaire qu’EDF a dû programmer,
grâce notamment à l’hydraulique. Le Groupe avait anticipé jusque 4
000 MW supplémentaires en cas de fort ensoleillement.
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QUEL JOUR LES PLATEAUX CLIENTÈLE REÇOIVENT-ILS LE PLUS D’APPELS
?
Rendez-vous dans le n°163 de Vivre EDF l’Hebdo le 3 avril
https://intranet.edf.fr/web/cnen/lire-detail/-/asset_publisher/AO6j/content/flamanville-3-introduction-du-2-gv?
ns_campaign=hebdo_162ns_mchannel=pdf&ns_source=vivre_edf&ns_linkname=page
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L HEBDOL HEBDO
Nous écrire :[email protected]
Merci à Yann Bouvier, Sylvie Brevalle, Mathieu Cheret, Claire
Delebarre, Laurence Dicko, Géraldine Gallo, Jean-François Gomez,
Sophie Guichard, Vanessa Jean, Bernard Langlet, Xavier Layrac,
Alison Marquilly, Amandine Martin, Donia Mila, Laurence Poussel,
Cécile Quentel, Pierre-Franck Thomé-Jassaud, Véronique Ubério et
Emmanuel Vaille.
Vendredi 27 mars 2015 - Page 4
Journal édité par la direction de la communication du groupe
EDFDirecteur de la publication : Julien VilleretDirecteur de la
rédaction : Jean-Baptiste BaldiRédactrice en chef : Virginie
Laugerotte
Secrétaire de rédaction : Fabienne MiermontDirecteur artistique
: Olivier Laburthe
LA PHOTO DE LA SEMAINE
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Déjà 17 éditions pour le “Challenge“ du nucléaire Jeudi 26 mars,
1 200 salariés du nucléaire d’EDF étaient aux Docks de Saint-Denis
pour le 17e challenge du parc en exploitation. 67 innovations du
monde entier ont été présentées par les équipes pour améliorer la
performance et la sécurité des centrales. Ce rendez-vous est aussi
celui de la convivialité avec des stands toujours plus originaux,
comme ici sur celui du Blayais.
Plus de photos sur
https://intranet.edf.fr/web/nucleaire/lire-detail/-/asset_publisher/AO6j/content/-live-tweet-vivez-en-direct-le-challenge-du-parc-en-exploitation-2015-?ns_campaign=hebdo_162&ns_mchannel=pdf&ns_source=vivre_edf&ns_linkname=page4
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Mesurer l’étanchéité sans fil
Jean-Paul Missud et Pierre Grossetête de l’antenne Lyonnaise de
la direction technique générale, ont développé un système pour
mesurer l’étanchéité des enceintes nucléaires sans fil.
“Auparavant, cette mesure se faisait de manière filaire.
Aujourd’hui, nous posons des capteurs à des endroits stratégiques
qui permettent de récupérer numériquement et rapidement les
données.“ Après trois ans d’expérimentation, cette innovation a été
testée en 2014 dans le cadre des visites décennales de certaines
unités de production de Penly, Golfech, Tricastin et du Blayais.
“Cette nouvelle technique nous permet de diviser par cinq le temps
nécessaire pour effectuer ces mesures et économiser jusque 400 000
euros par exercice.“
“La transition numérique, c’est plus de mobilité, d’efficacité,
de rapidité et de simplification. Elle est indispensable pour
répondre aux orientations de l’entreprise.“ Philippe Sasseigne, ce
jeudi 26 mars à Saint-Denis. Le directeur du parc nucléaire en
exploitation a par ailleurs souligné que “40 % des équipes ont
moins de six ans d’ancienneté et que les jeunes sont moteurs pour
tous les projets numériques. Toutes ces innovations viennent du
terrain. À nous de les mettre en musique.“
Vendredi 27 mars 2015 - Supplément
L HEBDO
LA PHRASE
“Ce qui est enthousiasmant c’est de voir toute cette matière
grise au service de l’innovation et le nombre de projets
numériques.“ Réaction de Jean-Bernard Lévy, ce jeudi 26 mars après
sa première visite du Challenge du parc en exploitation. Un
“Challenge“, 17e du nom, qui a pour objectif d’identifier les
innovations et les pratiques contribuant à l’amélioration des
performances dans différents domaines tels que la sûreté, la
disponibilité des outils de production ou encore l’environnement.
Cette année, aux Docks de Saint-Denis, toutes les centrales
nucléaires d’EDF en France et à l’international étaient
représentées ainsi que de nombreux métiers. Sur les 67 innovations,
11 de plus que l’an dernier, proposées par les équipes de
production et d’ingénierie, plusieurs avaient en commun le
numérique.
La transition numérique en marche
Supplément“CHALLENGE“ DU NUCLÉAIRE
Entrainement numérique
À la centrale de Cruas, en Ardèche, les équipes peuvent
désormais se former au chargement et au décharge-ment du
combustible à partir d’une tablette numérique. 157 séquences sont
proposées pour adopter les bons gestes et les bonnes attitudes pour
réaliser ce geste technique. Inventé par Lorent Lopez et son
équipe, cette application est utilisée dès cette année pour former
une trentaine de salariés.
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L HEBDOL HEBDO
L’Hackaton ou l’autre façon d’innoverMercredi 18 et jeudi 19
mars, EDF a organisé un Hackaton. Pendant deux jours, quatre
équipes avec des experts métiers, des informaticiens et des
développeurs ont réfléchi à la conception de quatre applications
mobiles. À l’issue de ces 48 heures, chacune des équipes a proposé
une maquette interactive de son application. Les développements ont
été lancés dès la semaine suivante. D’ici quelque mois,
l’application “MoViT“ verra le jour : un bureau mobile conçu
pour faciliter les visites de terrain des managers ou encore
AutoPédia, un compagnon d’apprentissage pour les jeunes
automaticiens.
Les chantiers sur tablette
Vendredi 27 mars 2015 - Page 2
Éléonore Monod-Broca et Thierry Lambert, pilote du projet.
Christophe Jourdain et Franck Kolb.
Le numérique pour “vendre“ EDF
Tout EDF : les chiffres-clés, les vidéos, les présentations sont
accessibles depuis un écran tactile. Développée pour présenter
l’expertise de l’entreprise, notamment dans le domaine nucléaire, à
des clients dans le monde entier, cette innovation conçue par la
délégation activités internationales sera bientôt accessible depuis
une tablette. Elle contient toutes les phases pour designer,
construire, exploiter et même déconstruire une centrale
nucléaire.
“Le réflexe numérique“ “Il n’y a qu’à voir l’affluence des
jeunes recrues dès que nous présentons des objets numériques pour
se rendre compte que c’est pour eux particulièrement attractif“
Responsable de la communication nucléaire de la R&D, Jérôme
Langlais présentait au “Challenge“ un outil qui permet de se
repérer de façon virtuelle, au centimètre près, dans le
bâtiment réacteur d’une centrale. Un outil “plus clair que des
schémas ou des cours magistraux pour s’approprier rapidement les
lieux. Avec des visuels panoramiques et en 3D, les nouveaux
arrivants gagnent en temps et en performance lorsqu’ils se rendent
sur le terrain pour une intervention. Avec le renouvellement des
générations, il est essentiel d’adapter nos outils à ce qui est
devenu, pour les jeunes, un réflexe numérique.“
À Cap Ampère, à Saint-Denis, au sein de la direction appui
industrielle à la production, Christophe Jourdain et Franck Kolb
font partie de l’équipe qui a inventé “Rezo“, une application pour
éva-luer les chantiers. Utilisable depuis une tablette, elle permet
de collec-ter un ensemble de données et de prendre des photos. Ces
informa-tions sont ensuite connectées à un
serveur et exploitées par les chargés d’affaires. “Non seulement
cette ap-plication évite les saisies manuelles mais elle permet
aussi le partage des informations en temps quasi réel“, explique
Christophe Jourdain. Cette application permettra aussi d’éva-luer
des chantiers en zone contrôlée. Destinée à plus de 300 personnes
partout en France “Rezo“ sera dis-ponible le 5 avril prochain.
SUPPLÉMENT
Jérôme Langlais, responsable communication de la R&D
nucléaire.
LE SAVIEZ-VOUS ?