Cours de Français Lycée Martin V Dimitri Vanhée 5C Mr Fiasse
Cours de Français Lycée Martin V
Dimitri Vanhée 5C
Mr Fiasse
Anthologie sur les animaux
Dans cette anthologie, composée de dix textes, sur la
thématique des animaux. En effet ce thème a, comme j’ai
pu le constater en effectuant plusieurs recherches, inspiré de
nombreux poètes et écrivains.
Comment j’ai choisi ce thème ? Tous simplement en
feuilletant quelques ouvrages de poèmes, en effectuant des
recherches sur internet et lorsqu’on m’a parlé de cette
anthologie au début de l’année je ne sais pas pourquoi j’ai
pensé aux fables de La Fontaine. Et le thème qui me
revenait le plus souvent et qui m’inspirait était celui sur les
animaux.
J’ai bien dû lire des dizaines de textes sur le sujet et ici dans
l’anthologie sont regroupés les textes qui m’ont le plus
marqués. J’aime particulièrement les textes où les auteurs
utilisent les animaux pour personnifier l’être humain c’est
pour cela que j’aime particulièrement les fables de La
Fontaine
Et lorsque les auteurs personnifient l’être humain ou des
sentiments propre à l’homme, cela crée un lien être l’homme
et l’animal. J’aimerai que ceux qui liront ce recueil se sentent
plus proche des animaux et de la nature, j’aimerai crée un
lien entre eux et les animaux afin que l’on se rende compte
qu’ils ne sont pas aussi différent et que nous.
Les animaux sont très présents dans la poésie et ont inspirés
beaucoup d’auteurs. Et je me suis rendu compte en rédigeant
cette anthologie que les textes parlant d’animaux de près et
même d’un peu plus loin, sont ceux qui m’interpellent le
plus et que je trouve plus intéressant.
Depuis que je suis tout petit j’aime les animaux et ils m’ont
toujours fasciné, je me demande parfois ce qu’ils pensent et
j’aime bien également les observer pour analyser leur
comportement.
Cette anthologie comportera majoritairement des textes de
Jean de La Fontaine et de Victor Hugo, car ce sont deux
auteurs que j’ai beaucoup lu étant plus jeune.
Cette anthologie a suscité plusieurs questions sur le sujet, par
exemple la place des animaux dans la société. Ou encore la
vision qu’avaient les hommes des animaux mais encore plus
intéressant, comment les animaux voient les hommes ?
Dans la poésie c’est souvent l’homme qui est personnifié en
animal mais je n’ai pas trouvé de textes exprimant le
contraire. Même si cela aurai vraiment été intéressant à
analyser.
Maintenant nous allons passer à la présentation du premier
texte.
La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf
Une Grenouille vit un Bœuf Qui lui sembla de belle taille.
Elle, qui n’était pas grosse en tout comme un œuf, Envieuse, s’étend, et s’enfle, et se travaille,
Pour égaler l’animal en grosseur, Disant : « Regardez bien, ma sœur ;
Est-ce assez ? Dites-moi ; n’y suis-je point encore ? - Nenni. – M’y voici donc ? – Point du tout. – M’y voilà ?
- Vous n’en approchez point. « La chétive pécore S’enfla si bien qu’elle creva.
Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages : Tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs,
Tout petit prince a des ambassadeurs, Tout marquis veut avoir des pages.
Jean de La Fontaine
L’hirondelle au printemps cherche les vieilles tours. L'hirondelle au printemps cherche les vieilles tours, Débris où n'est plus l'homme, où la vie est toujours ; La fauvette en avril cherche, ô ma bien-aimée, La forêt sombre et fraîche et l'épaisse ramée, La mousse, et, dans les nœuds des branches, les doux toits Qu'en se superposant font les feuilles des bois. Ainsi fait l'oiseau. Nous, nous cherchons, dans la ville, Le coin désert, l'abri solitaire et tranquille, Le seuil qui n'a pas d'yeux obliques et méchants, La rue où les volets sont fermés ; dans les champs, Nous cherchons le sentier du pâtre et du poète ; Dans les bois, la clairière inconnue et muette Où le silence éteint les bruits lointains et sourds. L'oiseau cache son nid, nous cachons nos amours.
Victor Hugo
La Coccinelle
Elle me dit: «Quelque chose Me tourmente.» Et j'aperçus Son cou de neige, et dessus, Un petit insecte rose. J'aurais dû, mais, sage ou fou, A seize ans, on est farouche, Voir le baiser sur sa bouche Plus que l'insecte à son cou. On eût dit un coquillage; Dos rose et taché de noir. Les fauvettes pour nous voir Se penchaient dans le feuillage. Sa bouche fraîche était là; Je me courbai sur la belle, Et je pris la coccinelle; Mais le baiser s'envola. «Fils, apprends comme on me nomme», Dit l'insecte du ciel bleu, «Les bêtes sont au bon Dieu; Mais la bêtise est à l'homme.»
Victor Hugo
Le Chat
Viens, mon beau chat, sur mon cœur amoureux ; Retiens les griffes de ta patte, Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux, Mêlés de métal et d'agate.
Lorsque mes doigts caressent à loisir Ta tête et ton dos élastique, Et que ma main s'enivre du plaisir De palper ton corps électrique,
Je vois ma femme en esprit. Son regard, Comme le tien, aimable bête, Profond et froid, coupe et fend comme un dard,
Et, des pieds jusques à la tête, Un air subtil, un dangereux parfum, Nagent autour de son corps brun.
Charles Baudelaire
Extrait de Moby Dick
« Regardons cette prodigieuse mâchoire inférieure. Vous voyez alors ses rangées de dents. On dirait une terrible herse. Mais elle est bien plus saisissante à voir à une certaine profondeur dans la mer, lorsqu’une baleine malade flottant là, cette mâchoire de quinze pieds de long formant un angle droit avec le corps. Dans cette position, elle n’est pas morte ; elle n’est qu’en faiblesse, pas dans son assiette, hypocondriaque et si indolente que les charnières de cette mâchoire se trouvent relâchées, la montrant dans cette curieuse attitude, comme si elle était en train de reprocher le mal qu’elle a à toute la tribu des baleines. »
Herman Melville
Stewball Il s'appelait Stewball. C'était un cheval blanc. Il était mon idole Et moi, j'avais dix ans. Notre pauvre père, Pour acheter ce pur sang, Avait mis dans l'affaire Jusqu'à son dernier franc. Il avait dans la tête D'en faire un grand champion Pour liquider nos dettes Et payer la maison Et croyait à sa chance. Il engagea Stewball Par un beau dimanche Au grand prix de St-Paul. "Je sais, dit mon père,
Que Stewball va gagner." Mais, après la rivière, Stewball est tombé. Quand le vétérinaire, D'un seul coup, l'acheva, J'ai vu pleurer mon père Pour la première fois. Il s'appelait Stewball. C'était un cheval blanc. Il était mon idole Et moi, j'avais dix ans
Hugues Aufray
Le Corbeau et le Renard Maître Corbeau, sur un arbre perché, Tenait en son bec un fromage. Maître Renard, par l'odeur alléché, Lui tint à peu près ce langage : "Hé ! Bonjour, Monsieur du Corbeau. Que vous êtes joli ! Que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois." A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ; Et pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le Renard s'en saisit, et dit : "Mon bon Monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l'écoute : Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute. " Le Corbeau, honteux et confus, Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.
Jean de La Fontaine
Le Hibou Et je vis au-dessus de ma tête un point noir. Et ce point noir semblait une mouche dans l'ombre. Et rien n'avait de borne et rien n'avait de nombre ; Et tout se confondait avec tout ; l'aquilon Et la nuit ne faisaient qu'un même tourbillon. Quelques formes sans nom, larves exténuées Ou souffles noirs, passaient dans les sourdes nuées ; Et tout le reste était immobile et voilé. Alors, montant, montant, montant, je m'envolai Vers ce point qui semblait reculer dans la brume, Car c'est la loi de l'être en qui l'esprit s'allume D'aller vers ce qui fuit et vers ce qui se tait. Or ce que j'avais pris pour une mouche était Un hibou, triste, froid, morne, et de sa prunelle Il tombait moins de jour que de nuit de son aile
Victor Hugo
L’Albatros Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.
Charles Baudelaire
On ne sait jamais quoi penser de lui, on ne sait pas si on le connaît bien, on ne sait pas ce qu’il pense. Cet être est un mystère, une énigme dont seul Dieu a la clef. Dans ses petits yeux sournois on distingue une intelligence peu commune. A travers son regard, il nous nargue. C’est un être sans pitié qui n’agit que dans son propre intérêt. Il use de ses charmes pour obtenir de toi ce qu’il désire. Tu ne veux pas l’admettre mais il a fait de toi son humble serviteur. Si tu es dans sa vie c’est uniquement pour le servir. Il faudra t’y faire. C’est comme ça. Tu tombes dans tous ses pièges : les yeux doux, le ronronnement, les petits câlins… C’est une créature étonnante, discrète, adorable et pourtant lorsqu’il s’installe dans ta maison, il s’arrange pour faire de ses occupants ses esclaves dévoués. S’il a décidé de vous aimer, il n’y a pas grand-chose que vous puissiez faire contre ça. C’est un ami pour la vie. Il partage vos heures de travail, de solitude, de mélancolie préférant à votre profit la compagnie des siens. S’il gouvernait sur le monde, les chiens seraient tenus de s’incliner sur son passage, les robinets distribueraient du lait, les êtres humains seraient disponible à tout moment pour le servir, les souris existeraient en plusieurs parfums et la pluie serait supprimée par décret.
Qui est-ce ?
C’est mon Chat
Dimitri Vanhée
Biographie Jean de La Fontaine
Jean de La fontaine est né à Château-
Thierry, dans la campagne Picarde. Il est né
le 8 juillet 1621. Jean de La Fontaine a
grandi en se passionnant pour la lecture
des œuvres antique.
Il a étudié le droit à Paris et obtiendra son
diplôme en 1649. Et à coter de ses études,
il fréquente un salon de passionnés de
littérature et c’est là qu’il va composer ces
premiers vers.
Jean de La fontaine a marqué l’histoire grâce à ses fables. Il a vécu sa vie grâce
à la vente de ses recueilles.
Il épouse sa femme Marie Héricart en 1647, qui lui donne un fils, Charles en
1653.
Ces œuvres étaient très appréciées par la cours de Louis XIV
Il publie sa première œuvre en 1654, c’est une comédie qu’il nomma
« L’Eunuque ».
Et en 1668 il publie son premier recueil de Fables qui remportent un énorme
succès. Il y met en scène des animaux pour critiquer les hommes et dénoncer
les grands problèmes de son époque.
Il décède le 13 avril 1695.
Biographie Victor Hugo
Victor Hugo, est né le 26 février 1802 à
Besançon est un écrivain, poètes, homme
politique, académicien, intellectuel…
Il est considéré comme l’un des plus grand
écrivain romantique Français. Sa vie et son
œuvre on fait de lui un personnage
emblématique.
Victor Hugo en tant que poètes, il est à la fois
poète lyriques avec plusieurs recueils qu’il a
écrit mais également poètes dit engagé
contre Napoléon III.
En tant que Romancier, Victor Hugo a eu un énorme succès populaires avec «
Notre Dame de Paris (1831) ou encore avec « Les Misérables » (1862).
Victor Hugo a également écrit des discours politiques notamment sur la peine
de mort, l’école ou encore l’Europe… Ses multiples prises de position le
mèneront à l’exil pendant vingt ans.
Il décède le 22 mai 1885. Il est honoré par des funérailles nationales.
Biographie Hugues Aufray
Hugues Aufray est né le 18 août 1929 à
Neuilly-sur-Seine, dans la banlieue
parisienne.
Ses parents, Henry AUFFRAY et Amielle
de CAUBIOS D’ANDIRAN ont trois autres
enfants. Deux frères aînés, Jean-Paul et
Francesco, une soeur cadette Pascale,
qui, sous le pseudonyme d’AUDRET, fera
une carrière au cinéma.
Pendant la seconde guerre mondiale, il vit dans un collège Dominicain de
Sorèze pour fuir l’occupation allemande.
Après la guerre ses parents se séparent et il part vivre à Madrid avec son père
et il y passe son baccalauréat. Et ensuite monte à Paris avec l’intention d’entrée
à l’Ecole des Beaux-Arts.
En 1948 il fait face à de gros problèmes financiers et dois renoncer son rêve de
rentrer dans l’Ecole des Beaux-Arts. Pour survivre il chante dans la rue.
En 1951 il épouse Hélène Faure et auront deux filles, Marie et Charlotte.
Entre 1952 et 1958 il chante dans des cabarets et commence à se faire
connaître du grand public.
En 1959 il enregistre son premier disque.
De 1959 à aujourd’hui il enregistra grands nombres d’albums et chanta avec les
plus grandes stars de la musique.
Biographie Charles Baudelaire
Charles Baudelaire est né à Paris le 9 avril
1821.
A l’âge de six ans son père décède et sa mère
se remarie un an plus tard avec un militaire.
Baudelaire restera toute sa vie opposé à cette
union avec ce militaire aux valeurs et aux
inspirations totalement différentes des
siennes.
Il entre au lycée Louis le Grand à Paris.
Baudelaire se fait remarquer par son caractère rebelle. Il commence à
fréquenter le Quartier latin. En 1839, il est renvoyé de Louis le Grand mais
obtient néanmoins son baccalauréat. Il choisit délibérément une vie de
bohème.
Il commence ses débuts en littérature en 1847, en traduisant des textes anglais
de l’écrivain Edgar Poe pour les faire découvrir au français.
En 1857, baudelaire publie son œuvre majeur, les fleurs du mal. Ce recueil de
poèmes est condamné « pour outrage à la morale publique et aux bonnes
mœurs ». Il doit payer de lourdes amendes. Mais en 1861 une seconde édition
est publiée mais six des poèmes y étant inclus sont supprimés.
Etant submergé de dettes, il part en Belgique en espérant se refaire, mais il est
vite déçu de sa nouvelle expérience. Il retourne à Paris en 1866 à cause de
grave problèmes de santé et s’éteint un an plus tard à 46 ans.
Biographie Herman Melville
Herman Melville est Américains et est
né à New-York le premier août 1819.
Il est issu d’une famille aisée, son père
décède en 1832 le laissant dans une
situation financière pas très stable. Il
exerce alors de nombreux métiers afin
de gagner sa vie.
A l’âge de 23 ans il s’engage dans
l’équipage d’une baleinière. Sa vie
comme ses œuvres sont marquées par
l’océan.
En 1846 il raconte ses aventures maritimes dans Taipï et dans Omoo en 1847.
Ces deux ouvrages lui valent un grand succès mais le public le voit d’avantage
comme un aventurier que comme un écrivain.
Ses autres prochains ouvrages passèrent presque inaperçu et il décide d’arrêter
d’écrire des livres et ne se consacre plus qu’à la poésie malgré l’énorme succès
inattendue de son livre Moby Dick.
Il reprend la plume pour écrire un dernier livre en 1888.
Et il meurt le 28 septembre 1891.
Moby Dick
Le roman débute avec un personnage nommé Ismaël, attirer par la mer et le
large, qui décide de partir à la chasse à la baleine. Il embarque sur le Pequod,
un bateau mystérieux (un baleinier) d’un capitaine nommé Achab, amputé
d'une jambe, qui emmènera Ismaël autour du monde a la poursuite du cachalot
blanc. Ismaël participe à la lutte des marins contre le monstre des océans.
Achab est brusque, farouche, appuyé sur une jambe d'ivoire, il n'a qu'une idée :
retrouver et tué de ses mains Moby Dick, l'immense baleine blanche qui l'a
autrefois handicapé et défiguré. Sur toutes les mers du globe, la poursuite est
semée d'embûches : tempêtes, noyades et accidents. Une lutte implacable
s'engage entre l'homme et la bête et l'obsession d'Achab le poussera à sacrifier
son navire et son équipage dans sa quête furieuse, mystique et désespérée.
Et des thèmes principaux du livre est la vengeance qui est représentée par la
lutte entre Achab et le cachalot blanc représente une lutte entre le bien et le
mal, sauf que dans ce cas si Achab voit le cachalot comme le mal et le cachalot
voit également Achab comme le mal.
Cependant dans le livre on comprend que le mal n’est pas dans la baleine qui
quant à elle ne fait que se défendre des attaques du capitaine Achab.
Un autre thème qui du livre est le voyage. (Qui je l’ai appris par après est un
thème classique de la littérature américaine). Ici, Ismaêl qui fuis la société par
se lancer dans un voyage dans un grand espace qu’est l’océan.
Mais de mon avis personnel sur le livre, Moby Dick est un livre particulièrement
long et où il y a vraiment très peu d’action. Il y énormément de description, par
exemple des chapitre entier son consacrer à expliquer l’anatomie d’une baleine
ou encore l’étymologie du mot « baleine ». Donc bien que au début se soit
intéressant cela devient assez vite lassant à mon gout.
De mon point de vue si j’ai terminé le livre c’est uniquement parce que en
discutant avec quelques amis littéraires ils m’ont dit que c’était un des livre à
lire dans sa vie et également que celui-ci était pour l’école.
En quoi les textes de Victor Hugo appartiennent au courant
romantique ?
Lorsqu’on lit ses textes on ressent qu’il a puisé dans son expérience personnel.
On y trouve également un certain individualisme, une sorte d’exaltation du
MOI. On y retrouve également des thèmes comme la solitude et la nature.
La nature est très présente de la vision romantique de Victor Hugo et les
animaux faisant parti de la nature, on peut dire que les poèmes sur les animaux
sont des poèmes romantiques.
Une dernière caractéristique que l’on peut ressentir en lisant ses textes, c’est
une sensation de liberté et de légèreté.
En quoi les textes de Charles Baudelaire appartiennent au courant
symbolique ?
En lisant ses textes on retrouve certaines valeurs du symbolisme tel que le rêve
le fantastique.
On ressent une impression comme si Baudelaire cherchait l’idéal dans une
sorte de réalité parallèle.
Bibliographie :
Baudelaire, les Fleurs du Mal, Le Livre de poche
Victor Hugo, le hibou, recueil : Dieu,
http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/victor_hugo/le_h
ibou.html
Victor Hugo, les contemplations,
http://damienbe.chez.com/contemp2.htm
Jean de La Fontaine, http://www.la-fontaine-ch-thierry.net/fables.htm
Herman Melville(trad. Lucien Jacques, Joan Smith et Jean Giono), Moby
Dick,Gallimard, 1941