Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination
Sylvie Simon est crivain et journaliste. Elle a crit de nombreux
ouvrages et combat les ides reues en explorant divers domaines de
la science, et consacre la plus grande partie de son activit
militer contre la dsinformation en matire de sant et dcologie,
sujets de brlante actualit. Elle a dj publi plusieurs essais sur
des scandales (sang contamin, vaches folles, amiante, hormones de
croissance, vaccins, etc), gnrs par la corruption de certains
milieux et dexperts dits scientifiques. Il y a deux histoires :
lhistoire officielle, menteuse puis lhistoire secrte o sont les
vritables causes des vnements, lhistoire honteuse Erreur,
approximations, mensonges dlibrs, vrits partielles ou partiales,
prdominance dune seule pense : peu de domaines aujourdhui chappent
ces phnomnes Paradoxalement, la surinformation y contribue. Alors
quon aurait pu esprer que la dmultiplication de linformation
saccompagnerait dune pluralit de points de vue, nous voyons au
contraire prolifrer cette pense unique quil est de bon ton de
dnoncer sans pour autant quon lui propose de remde (Olivier Clerc)
Lobjectif de la collection nest pas de remplacer une pense unique
par une autre : elle doit permettre au contraire daller jusquau
bout de la rflexion sur un sujet o existent des informations
divergentes, parfois mme opposes.
PDF created with pdfFactory Pro trial version
www.pdffactory.com
Les ouvrages de la collection possdent une bibliographie qui
aidera se documenter et se forger par soi-mme sa propre opinion.
Mensonges sur les vaccins
Il existe trois sortes de mensonges : les mensonges, les sacrs
mensonges, et les statistiques Mark Twain
Mark Twain Les vaccins ne sont pas des mdicaments et sont
destins des tres en bonne sant dans le but de prvenir une maladie
hypothtique. Aussi, il serait normal que tout candidat aux vaccins
reoive une information honnte, prcise et complte, sur les risques
de la maladie dont il veut se protger, mais aussi sur les risques
quil court en se faisant vacciner. Or non seulement linformation,
quand elle existe est tronque et falsifie, mais souvent elle est
parfaitement mensongre. Mais comme lavait recommand Joseph
Goebbels, ministre de la propagande nazie, qui connaissait bien la
question : Rptez un mensonge mille fois, il restera un mensonge ;
rptez dix mille fois, il deviendra une vrit Cest exactement ce qui
se passe dans ce domaine, o des mensonges dix milles fois rpts sont
devenus des dogmes qui dclenchent des crises d'hystrie ds lors quon
ose les remettre en cause. Lhistoire de la vaccination est jalonne
de falsifications, de dissimulations et de mensonges. Sylvie Simon
a opt pour les dix plus gros flagrants, chacun ayant engendr des
dizaines de plus petits mensonges. Le mensonge est rarement issu
par gnration spontane dune volont dtermine lavance par quelque
Machiavel. Cest bien plus souvent un glissement lent et fatal vers
une erreur perue, mais inavoue, lorgueil se mlant ici la cupidit
Thierry Fenoy (avocat au barreau de Chlons-sur-Sane).
PDF created with pdfFactory Pro trial version
www.pdffactory.com
MENSONGE N 1 : Pasteur est un bienfaiteur de lHUMANITE Tous nos
problmes actuels sont linvitable rsultat de nos brillantes
solutions dhier Henry Bergman Bien que laventure de la vaccination
ait commenc la fin du XVIIIme sicle lorsque le mdecin anglais
Edward Jenner entreprit dinoculer la vaccine, maladie spcifique des
bovins, afin de protger les hommes de la variole ou petite vrole,
cest Pasteur (18221895) qui reste le pre de la vaccination et cest
avec lui qua dbut le long cortge de mensonges. Cet homme brillant,
intelligent et gros travailleur, tait un expert en communication et
se tenait au courant des travaux effectus par ses pairs. Sa
tactique a toujours t la mme : il savait reconnatre les bonnes ides
mais commenait par les critiquer ouvertement, puis il se les
appropriait sans vergogne en prtendant les avoir dcouvertes. Cest
ainsi quil est devenu un bienfaiteur de lhumanit et, surtout, un
mythe intouchable. Le dogme pasteurien est tellement ancr dans les
esprits que rien na pu encore lbranler et les Franais idoltrent
encore un imposteur. Dune part, Pasteur a maquill les rsultats
dexprience qui ne lui taient pas favorables, ensuite, il sest
appropri certains travaux dautres chercheurs, dont Antoine Bchamp
(1816-1908), lun des plus grands savants du XIXme sicle, mdecin
biologiste, naturaliste, professeur de chimie mdicale et
pharmaceutique la facult de Montpellier et professeur de chimie
biologique et de physique lUniversit de Paris, puis doyen de la
Facult libre de Lille. Bchamp a dmontr la vracit des vues de Claude
Bernard sur la valeur du terrain propre chaque individu et fut le
premier comprendre la cause microbienne des pathologies
infectieuses. Cependant, son uvre est peu prs inconnue de nos
jours, parce quelle a t systmatiquement discrdite et falsifie aux
profits des intrts personnels de Pasteur. Ds lcole, nous apprenons
que Pasteur a sauv le petit joseph Meister, mordu la main par un
chien enrag . vrai dire, il nexistait aucune certitude que le chien
fut enrag car on ne signala aucune autre morsure ; de plus, quand
bien mme il laurait t, le risque pour le jeune Meister tait infime,
car un animal rellement enrag ce qui est extrmement rare ne
transmet la maladie que dans 5 15 % des cas. Laffaire de la rage
est lexemple mme des mensonges de Pasteur qui ont t rpts et
introduits par ses admirateurs dans la mmoire collective, au point
dtre devenus des vrits pour le commun des mortels. Le vaccin de
Pasteur, base de moelle dessche, tait trs dangereux et fut bien
vitePDF created with pdfFactory Pro trial version
www.pdffactory.com
abandonn, et le jeune Meister a eu beaucoup de chance den
rchapper. Lhistoire na retenu que le succs de ce vaccin, mais a
oubli de dire quil avait multipli les dcs par la rage Entre 1869 et
1872, Pasteur a nonc trois postulats de base errons qui servent
encore aujourdhui de fondement la vaccination. Le premier estimait
que lasepsie rgne dans nos cellules : la cellule est propre, tous
les microbes sont exognes (cest--dire quils viennent de lextrieur)
et lattaquent, et ces germes ont une existence indpendante des
organismes vivants. Le second est que chaque maladie correspond un
agent spcifique, microbe ou virus, contre lequel on peut se prmunir
grce un vaccin. Enfin, limmunit sobtient par la production
danticorps en raction lintroduction dantignes contenus dans le
vaccin et ces anticorps confrent une protection. Nous savons depuis
longtemps que ces postulats sont faux, les dcouvertes en
immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes
font mine dignorer ces travaux. MENSONGE N 2: Il faut ERADIQUER LES
microbes et LES virus Il est trange que la science qui jadis
semblait inoffensive, se soit transforme en un cauchemar qui fait
trembler tout le monde. A . Einstein Nous vivons en symbiose avec
les microbes et si nous les considrons comme nos ennemis, nous
entrons dans une logique de guerre qui met en pril notre systme
immunitaire. Les bactries maintiennent notre quilibre biologique et
ne deviennent pathognes que lors que notre systme immunitaire est
perturb et ne remplit pas ses fonctions. Quant aux virus, ils se
reproduisent uniquement partir de leur matriel gntique et ne sont
que des parasites des cellules. Notre corps peut abriter de
nombreux virus sans que nous ne soyons malades. Il est donc
essentiel de comprendre que les microbes et les virus ne sont pas
des ennemis quil faut radiquer tout prix et que seul importe le
terrain que nous devons prserver de ses vritables agresseurs. A la
naissance, le systme immunitaire nest pas encore compltement labor
et, pendant les premiers mois, le nourrisson est protg par les
anticorps transmis par sa mre. Cette immunit hrite est remplace par
une immunit personnelle au fur et mesure que lenfant rencontre des
germes, microbes ou virus, particulirement grce aux maladies
infantiles.PDF created with pdfFactory Pro trial version
www.pdffactory.com
Cest pour cette raison que les vaccinations apparaissent comme
des lments perturbateurs incontrlables. Le Pr J. Tissot, professeur
de physiologie gnrale au Musum dhistoire naturelle, nous mettait dj
en garde bien avant loverdose vaccinale actuelle : Limmunit par
vaccination ne sacquiert quen confrant lindividu la phase chronique
de la maladie quon veut prcisment viter, phase chronique qui
comporte, dans un avenir proche ou trs loign, de redoutables
complications . Pr J. Tissot (Constitution des organismes animaux
et vgtaux, causes des maladies qui les loignent). De toute manire,
les vaccinations ne procurent pas la mme immunit que les maladies
et les taux danticorps valus aprs les vaccinations sont gnralement
infrieurs ceux qui sont valus aprs les maladies. De plus, limmunit
confre par la maladie est dfinitive, ce qui nest pas le cas pour la
vaccination, dont la protection, si protection il y a, est limite
dans le temps, ce qui entrane un retard dans la survenue des
maladies, lesquelles sont beaucoup plus graves chez la population
plus ge, avec une mortalit multiplie par dix. MENSONGES N 3 : Les
EPIDEMIES ont disparu GRCE aux vaccins
Lopinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et
les moyens financiers mis sa disposition . Dr Albert
SchweitzerNombreux sont ceux qui estiment que la plupart des
pidmies ont disparu grce aux vaccinations et qui refusent de mettre
en doute leur efficacit. Pourtant, certaines pidmies qui ont ravag
nos pays ont bel et bien disparu sans aucun vaccin, ce que les
partisans des vaccins font mine dignorer. Mais lorsquon montre les
courbes de dcroissance des maladies, elles dbutent au moment des
campagnes de vaccination et non des annes ou des sicles plus tt, ce
qui nous permettrait de constater que la diminution de ces maladies
a commenc bien avant lintroduction du vaccin. Dailleurs, la plupart
des mdecins lignorent, et les partisans de la vaccination sappuient
sur ces statistiques, pour la plupart tronques et donc inexactes,
pour prouver lefficacit des vaccins, quand ils ne se bornent pas la
seule affirmation premptoire que ntaye aucune sorte de
dmonstration. Ils ne se demandent jamais pourquoi ces pidmies ne
continuent pas de svir dans les pays qui nont pas pratiqu les
vaccinations ou qui les ont abandonnes, tout comme ils semblent
ignorer que lpidmiologie et la presse scientifique internationale
attestent que des pidmies se dclarent encore dans les pays o la
couverture vaccinale est presque totale. Les immunologistes
sinterrogent sur les pousses pidmiques qui surviennent dans les
populations vaccines contre la rougeole, la polio, la tuberculose,
la diphtrie et la coqueluche.PDF created with pdfFactory Pro trial
version www.pdffactory.com
Ce constat est videmment embarrassant pour eux car, lvidence, il
sagit dune faillite de la vaccination. Dans Mdecine praticienne
(N467), le Pr Lpine constatait son tour : Dans plusieurs pays en
voie de dveloppement, on stait imagin quavec une seule campagne de
vaccinations, on arriverait rsoudre le problme. Or, dans plusieurs
de ces pays, la frquence de ces maladies a augment, allant mme
jusqu quintupler depuis la vaccination MENSONGE N 4 : Vacciner un
enfant cest le PROTEGER Sil ny avait que les vrais malades soigner,
la mdecine serait en situation conomiquement difficile. Il faut
donc convaincre lensemble de la population quelle est
potentiellement malade et vendre des mdicaments ceux qui nen ont
pas besoin Pr Didier SICARD chef du service interne lhpital Cochin,
prsident du Comit national consultatif d'thique Un enfant de
parents en bonne sant nat avec un potentiel remarquable et dveloppe
progressivement son immunit. Il est parfaitement capable daffronter
lpreuve des maladies infantiles quil ne faut pas redouter autant
quon le prtend. Les parents anxieux pensent que les vaccinations
sont une panace et quelles viteront les maladies de leurs enfants.
Les vaccinations affaiblissent considrablement le terrain. Les
maladies aigus, incapables de sexprimer, peuvent se dvelopper de
faon larve, insidieuse, faisant le lit de maladies chroniques
souvent graves et ingurissables. Il ne faut donc pas redouter les
maladies infantiles, rester serein, et aider lenfant surmonter
cette lgre preuve. Comme le disait dj Hippocrate : Le corps fait
une maladie pour se gurir Il est vident quil faut surveiller
lvolution des maladies infantiles afin de ne pas commettre
dimprudences qui pourraient entraner des complications chez les
enfants fragiles ou prdisposs certaines pathologies.
Paradoxalement, ce sont ces enfants qui manifestent les effets
secondaires les plus graves aprs la vaccination. Les vaccins
empchent parfois lclosion des maladies pour lesquelles ils sont
prvus, mais ils facilitent lmergence dautres maladies, car le
terrain est affaibli et se laisse assaillir par des germes qui
prolifrent et deviennent virulents. Les vaccins de routine effectus
dans lenfance grvent le patrimoine hrditaire et lempchent dapporter
une protection efficace lindividu pendant toute sa vie.
PDF created with pdfFactory Pro trial version
www.pdffactory.com
MENSONGE N 5 : Les accidents VACCINAUX sont exceptionnels
Le seul vaccin sr est un vaccin qui nest jamais utilis Dr James
A. Shannon (membre du national Institute of health)Ce mensonge est
monumental. Aucun vaccin nest jamais sr 100%, personne noserait
prtendre le contraire. Cependant, en France, chaque fois que le
Ministre de la sant est attaqu dans le cadre des accidents
vaccinaux, il oppose labsence de lien direct entre la vaccination
et laccident, parlant de simples concidences . Comme il est trs
difficile de dmontrer un lien de cause effet, surtout quand la
mauvaise foi sen mle, cette complexit aboutit faire porter aux
victimes tout le fardeau de la preuve. Ainsi les autorits se
refusent-elles enregistrer comme ractions vaccinales les accidents
malheureux quon prsume tre le fruit du hasard. Faute de preuves
juridiquement dfendables, nombre de complications vaccinales ne
sont pas rapportes officiellement. Il serait plus logique et plus
moral que ce soit les laboratoires qui apportent la preuve que
leurs substances ne sont pas dangereuses. Mais cela semble
impossible tant donn les falsifications, de plus en plus reconnues
de leurs essais sur leurs produits. Nos voisins de la CEE sont
beaucoup plus honntes dans leur dclaration daccidents. Aux
Etats-unis, depuis 1990, la loi oblige tous les mdecins dclarer les
complications vaccinales. Aussi, de 1991 1996, on a officiellement
enregistr 48743 complications vaccinales... Alors quen France, nos
pouvoirs publics clament sur tous les toits que les vaccins ne
gnrent pas daccidents secondaires, surtout chez les enfants.
MENSONGE N 6: Le vaccin contre le TETANOS est indispensable Quand
on a dcid dtre aveugle, lvidence cesse davoir cours A.Peyrefitte
(lEmpire immobile) Le ttanos nest pas contagieux, il ne se transmet
pas par contact dindividu individu etmention particulire la maladie
nest pas immunisante. Dans son ouvrage La catastrophe des
vaccinations obligatoires, le PR J. Tissot, qui ntait pas un gourou
de secte, mais un authentique savant comme il y en avait autrefois,
posait la bonne question : puisquun malade guri du ttanos nest
jamais immunis contre une seconde atteinte, comment un vaccin
pourrait-il mieux protger de la maladie ? Le ttanos reste
aujourdhui une maladie grave, mais rare. Environ 50% des malades
gurissent spontanment. On estime que toute plaie, si minime
soit-elle, expose au risque du ttanos, ce qui est faux. Il existe,
en revanche, des ttanos en labsence de plaie. Quant au ttanos
nonatal, qui atteint le nouveau-n essentiellement dans les pays
pauvres, il est d au manque dhyginePDF created with pdfFactory Pro
trial version www.pdffactory.com
ombilicale la naissance. Il faut donc relativiser les choses et
ne pas cder la panique soigneusement entretenue par ceux qui
encouragent la consommation vaccinale. Pourquoi vacciner
systmatiquement tous les enfants contre une maladie quils ne
rencontreront sans doute jamais ? Sous nos latitudes, les enfants
nont pas de ttanos, alors pourquoi tous les vacciner ? En matire de
prvention, aprs une blessure, on avait coutume dadministrer de faon
prventive du srum antittanique, afin de confrer une immunit
passive. Cette pratique est tombe en dsutude en raison de son
inefficacit et de ses graves inconvnients, dont on ne parlait gure
avant son abandon. Aujourdhui, quoi quil en soit, on impose
systmatiquement le vaccin en cas dhospitalisation pour blessure. Le
ttanos nest pas une maladie contagieuse susceptible de provoquer
des pidmies, il est trs difficile dtablir des courbes
significatives dvolution. Ce sont les pays o la vaccination est le
moins pratique qui prsentent le moins de cas de ttanos. Il se
trouve que la France dtient le record de cas de ttanos aprs le
Portugal, les deux seuls pays dEurope o cette vaccination est
obligatoire. Pour quil y ait ttanos, il faut absolument que ces
spores se retrouvent dans un tissu en anarobiose. La multiplication
bactrienne du ttanos ne peut se faire dans des tissus sains
normalement oxygns, car la prsence doxygne dans les tissus
vasculariss entrane instantanment la mort des bactries. Il est donc
impossible de trouver le bacille du ttanos dans les tissus normaux,
bien irrigus. Cest pour cette raison que la plupart des piqres ou
blessures septiques nentranent pas la maladie. Cest pour cela aussi
que le ttanos menace davantage les gens gs, car leurs tissus sont
parfois mal vasculariss, ncross, atteints de phlbite et de mauvaise
circulation. La vaccination antittanique est dirige contre la
toxine secrte par le bacille, mais pas contre le microbe. Le Dr
Mric prcise : Le systme immunitaire se trouve entirement dans la
circulation sanguine, dans le sang. Aussi bien, les cellules qui
forment les anticorps que les anticorps eux-mmes appartiennent ce
monde arobie. Tout le langage du systme immunitaire appartient ce
monde arobie. Le transport des anticorps se fait entirement et
uniquement dans la circulation sanguine et lymphatique, cest--dire
en arobiose. Les plaies ttanignes sont ncessairement et
obligatoirement anarobies donc les microbes et la toxine du ttanos
et les anticorps antitoxines ne peuvent se rencontrer
PDF created with pdfFactory Pro trial version
www.pdffactory.com
Daprs lui, il est absolument impossible que les anticorps
rencontrent le bacille ou sa toxine, ce qui semble imparable. De la
sorte, le vaccin contre le ttanos nest pas du tout efficace, mais
il peut toutefois tre responsable de srieux et nombreux dsordres
post-vaccinaux. Les traitements non officiels reposent sur le
chlorure de magnsium dont on connat lefficacit dans les tats
infectieux (diphtrie, ttanos, polio) grce aux travaux du Dr Neveu,
lve du PR Delbet. Le Dr Neveu avait rdig un rapport sur les
gurisons quil avait obtenues chez des personnes atteintes de
diphtrie et le Pr Delbet voulut prsenter ce rapport lAcadmie de
Mdecine, mais il se heurta une opposition farouche de la part du
corps mdical. Dans une lettre au Dr Neveu, en date du 16 novembre
1944, il rvlait : La publication de ma communication du 20 juin est
dfinitivement refuse. Le Conseil de lAcadmie a trouv aprs 6 mois de
rflexion, largument suivant : en faisant connatre un nouveau
traitement de la diphtrie, on empcherait les vaccinations et lintrt
gnral est de gnraliser ces vaccinations. Voil un exemple flagrant
de mensonge par omission : les chercheurs indpendants qui trouvent
des solutions efficaces et peu coteuses, mais qui scartent de la
voie autorise, sont condamns au silence. Il ressort de ce rapport
que lAcadmie de Mdecine a dcid dlibrment dtouffer un traitement qui
aurait pu sauver des milliers de vie, mais qui aurait risqu de
concurrencer les vaccins. Voil qui donne une ide des puissants
intrts qui dictent sa conduite lAcadmie. MENSONGE N 7: EVITEZ la
grippe en vous faisant vacciner
Lopinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et
les moyens financiers mis sa disposition. Albert SchweitzerChaque
anne lautomne, les mdias pays par lindustrie pharmaceutique lancent
des campagnes publicitaires pour inciter les personnes ges se faire
vacciner contre la grippe. Et pour mieux attirer le consommateur,
ils prtendent que cest gratuit. Voil dj un premier mensonge, car
tout le monde sait que rien ou presque nest gratuit ici-bas, et que
les laboratoires ne sont pas des mcnes. Les vaccins gratuits sont
videmment pays par les usagers sous forme de prlvements de la
Scurit Sociale. Mais tout cela ne serait pas trop grave si ce
vaccin tait efficace. En 1993, la Caisse dAssurance Maladie de
Loire-Atlantique a voulu tendre le bnfice de la vaccination
gratuite 43000 assurs sexagnaires, et d arrter lexprience en
constatant qu cet ge les vaccins consultaient plus et dpensaient
plus que les nonvaccins. Et le journal Libration du 11 octobre 1994
titrait : les vaccins contre la grippe cotent plus cher la Scu .
Larticle prcisait : Les vaccins consomment plus de mdicaments que
les nonPDF created with pdfFactory Pro trial version
www.pdffactory.com
vaccins. En novembre et dcembre 1993, ils ont dpens 23% de plus
que les nonvaccins (en consultation, visites, pharmacie). Quant
lefficacit du vaccin, elle reste difficile valuer. Dailleurs, trs
peu de mdecins sont vaccins contre la grippe. Ils sont bien placs
pour savoir que ce vaccin est inutile. Le Dr Anthony Morris,
virologiste et ancien chef du contrle des vaccins qui travaille
avec la FDA, est catgorique : Il nexiste aucune preuve que le
vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien quil
ne sert rien, mais continuent nanmoins le vendre. Non seulement ce
vaccin protge peu ou pas du tout, mais les mises en garde provenant
de mdecins ou de revues mdicales rputes sont trs nombreuses.
Dailleurs, on recommande de faire au pralable un test cutan en
milieu hospitalier sous surveillance, proximit dune unit de soins
intensifs, avec de ladrnaline porte de main et un personnel mdical
et paramdical entran, ce qui nest jamais fait, mais prouve la
dangerosit du vaccin. Parmi ses nombreux effets secondaires, il
faut citer des pricardites aigus, des problmes cardiaques
(infarctus), et des pathologies neurologiques : encphalites,
mylopathie, occlusion de la veine centrale de la rtine, paraplgie,
radiculite, et la liste est loin dtre exhaustive. Les recherches du
Dr Hugh Fudenberg, fameux immunologiste amricain, lont amen tablir
un lien entre les vaccinations rgulires contre la grippe et un
risque croissant de la maladie dAlzheimer. MENSONGE N 8 : LHEPATITE
B est TRES dangereuse et sattrape par la salive Lignorance est la
mre de tous les maux Rabelais Cest par un mensonge, qua t lance la
campagne honte en faveur de la vaccination contre lhpatite B, dont
la publicit a dpass de trs loin les arguments utiliss pour vendre
du Coca-Cola. Ce fut le premier mensonge, mais pas le dernier, loin
de l ! Ds lors, les mensonges se sont succds une cadence rarement
gale auparavant dans le domaine de la sant. Ainsi, Philippe
Douste-Blazy, alors ministre de la Sant du gouvernement Balladur,
na pas hsit avancer les chiffres les plus farfelus, sans aucune
base scientifique, mais qui avaient videmment t souffls par les
marchands de vaccins : Lhpatite B ce sont 40000 contaminations par
an, touchant principalement les jeunes , osa t-il affirmer
Libration le 4 septembre 1994. Pouvait-il ignorer que les
estimations officielles (Rseau National de la sant) se situaient
autour de 8000 ?
PDF created with pdfFactory Pro trial version
www.pdffactory.com
Le Dr Christian Spitz, pdiatre et psychologue charg de
linformation , na pas hsit affirmer que 4 milliards dindividus
taient touchs par le virus. Lesprit critique aurait ce point dsert
la France ? Ce chiffre qui reprsente 70% de la population mondiale,
devait effectivement affoler tout le monde, jeunes et vieux !
Cependant, personne na sembl relever lnormit du mensonge, pas une
seule voix ne sest leve pour protester officiellement. Plus cest
gros plus a passe , selon le dicton ! On peut aussi juger de la
qualit des informations donnes aux adolescents en prenant
connaissance dune note interne, lumineuse, du laboratoire
Pasteur-Mrieux : Sur le march de la vaccination, les adolescents
sont un segment trs porteur Il faut dramatiser faire peur avec la
maladie . A lui seul, cet aveu aurait d provoquer une remise en
question du vaccin, puisque la ncessit de vacciner a t base sur ces
informations qui relvent de la publicit mensongre. Et cest le
laboratoire Pasteur-Mrieux MSD qui sest charg dinformer les mdecins
gnralistes, avec toute lobjectivit quon peut attendre de quelquun
qui est juge et partie. Dans cet lan, le laboratoire na pas hsit
diter une plaquette affirmant : la salive est un important vecteur
de la contamination Avec la bndiction du ministre de la Sant, les
laboratoires Smithkline Beecham se sont alors introduits au sein
des tablissements scolaires pour y imposer, par la peur, un vaccin
non obligatoire, mais que chacun croyait tel... Car aucun des
tracts na jamais mentionn que la vaccination tait seulement
conseille et non obligatoire. En fait, cette OPA a t une parfaite
russite puisquau cours de lanne 1995, on a vaccin autant de
personnes que pendant les quatorze annes prcdentes. Avant toute
campagne de vaccination, la frquence de lhpatite B tait dj rduite
de 90%, principalement grce au retrait des lots de sang contamin.
Et de cela, on sest bien gard de parler durant la campagne. Dans un
de ses dpliants, le laboratoire SBK nhsitait pas crire : lhpatite B
tue plus de personnes en un jour que le sida en un an ! Ce mensonge
a t imprim et distribu des centaines de milliers dexemplaires dans
les collges et les lyces. Le Dr Bruno Donatini a men une tude sur
lhpatite B . Ses estimations sont bien diffrentes de celles
diffuses par les laboratoires et rptes par les organismes publics.
Le Dr Donatini estime que le risque dhpatite grave chez un sujet
franais normal est de lordre de 1 pour 50 millions alors que le
risque daccident grave est trs lev. Mais cela, personne ne la
jamais dit officiellement. Et personne, non plus, na jamais avou
que le nombre de victime de la maladie est bien loin datteindre
celui des mfaits de lalcool, mais il nexiste pas de vaccins contre
lalcoolisme, aussi en parle-t-on moins. Soyons srieux. Etant donn
que lincidence de la maladie avait diminu de faonPDF created with
pdfFactory Pro trial version www.pdffactory.com
spectaculaire bien avant la vaccination (douze fois moins de cas
en 1992 quen 1978), on ne peut que sinquiter dapprendre que les
chiffres pour lhpatite B ont doubl en dix ans. Dans ce cas, il faut
surtout viter de continuer vacciner qui que ce soit . MENSONGE N 9:
Il nexiste aucun lien entre le vaccin contre lHEPATITE B et la
SCLEROSE en plaques
Les mdecins apprennent nos risques et prils. Ils exprimentent et
tuent avec une impunit souveraine et le mdecin est le seul qui
puisse donner la mort. Pline lancien (Histoire naturelle)Ce
leitmotiv quil nexiste aucun lien entre ce vaccin et la sclrose en
plaques est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais,
outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un ventail
dune soixantaine dautres pathologies. Bien avant cette campagne
mensongre, la liste des complications signales tait dj
impressionnante : pousses de sclrose en plaques, syndromes de
Guillain-Barr, nvrites optiques, paralysies faciales, mylites
aigus, lupus rythmateux, polyarthrites, pricardites, uvites
postrieures, urticaire, rythme polymorphe, lichen plan et bien
dautres. En 1994, le Lancet (Vol.344) avait dnonc : La vaccination
contre lhpatite B a t associe une exacerbation ou mme un
dclenchement de maladies auto-immunes telles que des sclroses
multiples ou des syndromes de Guillain-Barr . Ainsi, contrairement
ce quon prtend, les problmes lis la toxicit de la vaccination
contre lhpatite B ne sont pas rservs la France ? Le Dr Laurent
Hervieux rsumait clairement la situation dans le N spcial de
lImpatient de mai 1997 consacr aux hpatites : Le vaccin contre
lhpatite est compos dun antigne HBS dont la structure est
partiellement commune avec la myline qui entoure les nerfs. Les
anticorps fabriqus par lorganisme arrivent confondre les deux et
attaquer la myline, do les complications neurologiques enregistres
avec cette vaccination. Lexpert, le Dr Marc Girard, a dcouvert un
rapport de la direction gnrale de la Sant (DGS), du 15 fvrier 2002,
selon lequel ces vaccins auraient produit la plus grande srie
deffets indsirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa
naissance en 1974 , alors que tous nos responsables de la sant
persistent affirmer quil ny en a pratiquement pas. Dans la
littrature internationale, on note galement une multiplication
rcente des articles sur la sclrose en plaques chez lenfant, maladie
exceptionnelle auparavant. Ce risque vaccinal chez lenfant a
galement t confirm par un article publi en 2001 dans les Annales
pidmiologiques. A la suite de ces parutions, les laboratoires ont
ragi car, en 2003, les journaux franais ont annonc que des tudes
indpendantes avaient totalement innocent le vaccin. En vrit, ces
deux tudes, rputes indpendantes furent inities et en partie
finances par les fabricants de vaccins, la premire par
Aventis-Pasteur, et la seconde par Merck qui est, par hasard,
associ de Pasteur-Mrieux. Les marchands de vaccins avec nos
instances de sant, nhsitent pas proclamer que les accidents
survenus aprs la vaccination relvent de la pure concidence et que
les liens quePDF created with pdfFactory Pro trial version
www.pdffactory.com
les malades cherchent tablir nont aucun fondement scientifique.
En outre, ils continuent claironner quil nexiste aucun accident
chez les enfants de moins de six ans, alors quil ny a aucune raison
pour que le pourcentage de mortalit aprs ce vaccin, pour cette
tranche dge, soit en France infrieur celui des Etats-unis.
Dailleurs le Revahb possde plusieurs dossiers concernant des
accidents survenus chez des nourrissons, dautres associations en
dtiennent galement. MENSONGE N10: Lautisme na aucun rapport avec
les vaccinations Lorsque nous laissons au gouvernement le pouvoir
de prendre des dcisions mdicales notre place, nous acceptons
tacitement que lEtat soit le propritaire de notre corps Dr Ron Paul
Snateur amricain Lautisme se manifeste en gnral au cours des trois
premires annes, priode pendant laquelle les enfants subissent de
nombreuses vaccinations. Serait-ce un des curieux hasards qui
jalonnent le parcours des vaccins ? Les cas dautisme se sont
multiplis depuis une trentaine dannes. Alors quaux Etats-Unis on
avait dtect seulement une poigne de cas les annes quarante, vingt
ans plus tard, aprs la gnralisation du vaccin
diphtrie-Ttanoscoqueluche et larrive du vaccin contre la rougeole,
les consultations pour des cas dautisme devinrent de plus en plus
frquente, et elles ont dcupl avec lintroduction du ROR et du vaccin
anti-hpatite B. A prsent les scientifiques sont trs inquiets.
Sagit-il dune simple concidence, quavant lintroduction de ces
vaccins, il y a eu si peu de cas et quils se soient multipli plus
de dix fois depuis la vaccination ? Comment se fait-il quon ne
cherche pas approfondir les tudes sur ces concidences temporelles ?
Comment se fait-il que les pouvoirs discrditent toute tude srieuse
mettant en cause la toxicit des vaccins alors quils tiennent compte
et plbiscitent certaines tudes simplistes et non rigoureuses pour
les promouvoir ? Pourquoi les accidents relvent-ils toujours de
concidence ? Pouvoirs publics, mdecins, et mdias persistent rpter
la mme rengaine : Le vaccin reste la meilleure protection contre la
maladie et cette maladie est frquente et parfois mortelle , alors
que les rougeoles sont rarissimes et parfaitement bnignes en
Europe, dans les familles qui nourrissent correctement leur enfant.
Les mensonges que nous dnonons concernent tous les pays de la
plante. Ainsi, lorsque dbutrent les premires vaccinations ROR au
Japon, le Ministre de la sant signala les effets indsirables dans
un cas sur 200 000. Quelques annes plus tard, ayant rvis les
chiffres, le mme ministre annonait un accident pour 3000 vaccins.
Les statistiquesPDF created with pdfFactory Pro trial version
www.pdffactory.com
ayant t nouveau rvises , il fut reconnu un accident pour 1 300
vaccins, chiffre trangement diffrent de ceux prcdemment publis.
Mais en France, nous navons aucun problme avec le ROR et lon
continue administrer ce vaccin et lexiger pour ladmission en crche.
Dans le domaine du mensonge, nos experts restent imbattables !
leurs discours insultent lintelligence et sapparente un faux
tmoignage. Quand demandera-t-on des comptes ces spcialistes en
rappelant leurs responsabilits ? demande le Professeur Jacques
Testart, biologiste rput. POUR CONCLURE Ce nest pas le rle du
gouvernement dempcher le citoyen de tomber dans lerreur ; cest le
rle du citoyen dempcher le gouvernement de tomber dans lerreur
Robert Houghwout Jackson Prsident du Tribunal de Nuremberg (1945)
Le dogmatisme mdical pourrait tre compar aux pratiques de
lInquisition qui brlait tout ce qui dpassait son entendement ou
risquait de mettre en pril lhgmonie de lEglise Catholique. Dans
notre pays o Voltaire et Diderot ont thoriquement dtrn la
superstition et le fanatisme, la sagesse nest gure de mise et les
lavages de cerveau qui vont bon train causent des dgts irrparables.
Il serait grand temps de nous rveiller et de secouer le joug des
ides reues. Il serait grand temps de penser par nous-mmes, au lieu
de laisser aux experts le soin de le faire notre place. Devant la
puissance financire des laboratoires, leur mainmise sur la
politique de sant, sommes-nous condamns dvelopper une certaine
dsobissance civique ? Refusant aux Pouvoirs Publics le droit de
nous imposer ces vaccins inutiles et dangereux au nom de la
solidarit publique. Pourquoi ne pas utiliser cette arme que
napprcient ni les fabricants de vaccins, ni les gouvernements, en
attendant quune volution lgislative respectueuse des droits de
lhomme et de la libert des citoyens sinstaure ? Pour mieux dsobir
et rsister, il est prudent dadhrer des associations de
consommateurs de sant, puisquil est bien connu que lunion fait la
force.
BIBLIOGRAPHIELivres sur la vaccination qui ont pour auteur
Sylvie SIMON Vaccinations loverdose Editeur dj 1999 Dj vaccin,
comment sen sortir ? (avec le Dr Andr BANOS) Dj 2000 Faut-il avoir
peur des vaccinations (ouvrage collectif) Dj 2000
PDF created with pdfFactory Pro trial version
www.pdffactory.com
Vaccin hpatite B, les coulisses dun scandale (avec le Dr Marc
VERCOUTERE) MARCO PIETEUR 2001 Les 10 plus gros mensonges sur les
vaccins DANGLES 2005 (3me livre dune collection les 10 plus gros
mensonges ) Livres sur la sant Le rveil de la conscience avec
Jacqueline BOUSQUET Editeur TREDANIEL 2003 Information et
dsinformation TREDANIEL 2004 La dictature mdico -scientifique
FILIPACCHI 1997 Exercices illgal de la gurison MARCO PIETTEUR 2202
Autres livres sur les vaccinations Vaccinations, les vrits
indsirables Michel Georget DANGLES 2000 Vaccinations, erreurs
mdicales du sicle Dr Louis de Brouwer Louise Courteau 1997 Le
dossier noir du vaccin contre lhpatite B Lucienne Foucras Editions
du Rocher 2004 Vaccination, la grande illusion Bickel (sadresser
Ren Bickel, 116 rue de Mittelwihr 68150 OSTHEIM Tl/Fax : 03 89 47
83 06 Pour en finir avec Pasteur Dr Eric ANCELET Marco Pietteur
1998 Constitution des organismes animaux et vgtaux, causes des
maladies qui les atteignent 3 vol. Pr. J. TISSOT Laboratoire de
physiologie gnrale PARIS Dr CHAUFFAT Franois, vaccinations : le
Droit de choisir Jouvence 2001 Dr COUZIGOU Yves, la longue traque
de la variole Perrin 1986
PDF created with pdfFactory Pro trial version
www.pdffactory.com