04.03 au 31.03 2015

MOUVEMENT

DRAMATURGIES

MUSIQUES ET VOIX

CINÉMA

—MARS2015 N° 275—

CIN

ÉMA

Du 4 au 10 mars

HUNGRY HEARTSDE SAVERIO COSTANZOJude est américain, Mina italienne. Ils tombent follement amoureux, se marient, ont un enfant. Puis tout bascule. Retranchée dans leur appartement, Mina refuse que son bébé soit contaminé par le monde dont elle le protège obstinément. Quitte à mettre la vie du petit en danger...

La mise en scène, resserrée sur les visages et sur les corps, eux-mêmes confinés dans des espaces trop petits, accompagne l’étouffement de ce couple et l’aliénation progressive de la mère obsédée par le bien-être de son enfant. Refusant l’alimentation conseillée pour un bébé et le moindre avis médical, ne jurant que par son instinct maternel, elle se replie dans un déni dangereux qui conduit le père, pourtant incroyablement compréhensif, à prendre des mesures. Le trouble qui s’installe dans le couple, le conflit larvé et la méfiance grandissante construisent peu à peu une tension finalement insoutenable. (...)

Vanina Arrighi de CasanovaPremière

— Italie – 2014Durée : 1h53

avec : Adam Driver, Alba Rohrwacher, Roberta Maxwell, Al Roffe

Prix d’interprétation féminine et masculine, Mostra de Venise 2014—

Dimanche 8 mars 16h

LES FEMMES DU BUS 678DE MOHAMED DIABAttouchements, humi-liations, violences. Au Caire, dans les bus, le harcèlement sexuel est un cauchemar ordi-naire. Jeunes et moins jeunes, voilées ou sexy, peu importe : toutes les femmes sont des proies, des corps publics.

— Egypte - 2010Durée : 1h40

Scénario : Mohamed Diab

avec : Nahed El Sebai, Boushra, Nelly Karim, Omar El Saeed—

Dimanche 8 mars 18h30 et 20h30

LES NUITS D’ÉTÉDE MARIO FANFANI

Metz, 1959. Michel, un respectable notaire de pro-vince et sa femme Hélène, qui partage son temps entre les œuvres caritatives et l’éducation de leur fils, forment un couple exemplaire.Le tableau serait banal si Michel ne dissimulait un lourd secret : tous les week-ends, il s’absente dans sa résidence secon-daire pour devenir My-lène sous le regard de Fla-via, travesti expérimenté et ancien camarade de la drôle de guerre. Sous son influence, le lieu devient la Villa Mimi, point de ral-liement d’une petite com-munauté d’hommes qui jouent librement à être des femmes…

— France - 2014Durée : 1h40

Scénario : Mario Fanfani, Gaëlle MacéMusique : Rodolphe Burger

avec : Guillaume de Tonquédec, Jeanne Balibar, Nicolas Bouchaud—

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>>>LA PROJECTION SERA SUIVIE D’UN DÉBAT ORGANISÉ PAR LE FESTIVAL IMPULSIONS,EN PARTENARIAT AVEC L’UNION FRANÇAISE SOROPTIMIST

Du 4 au 17 mars

VINCENTN’A PAS D’ÉCAILLESDE THOMAS SALVADOR

Vincent a un pouvoir extraordinaire : sa force et ses réflexes décuplent au contact de l’eau. Pour vivre pleinement ce don, il s’installe dans une région riche en lacs et rivières, et suffisamment isolée pour préserver sa tranquil-lité. Lors d’une escapade aquatique, il est surpris par Lucie dont il tombe amoureux.

Vincent passe son temps à prendre des bains. On ne le voit pas beaucoup travailler. Il faut dire qu’il n’a pas choisi le meilleur métier vu sa constitution : ouvrier de chantier, ça demande des muscles. Par contre, c’est un bon nageur. Exceptionnel, même ! En fait, quand il entre en contact avec l’eau, Vincent devient un surhomme...Voilà «le premier film de super-héros sans effets spé-ciaux», et un film français qui plus est. C’est aussi le pre-mier long-métrage de Thomas Salvador, 42 ans, qui s’est déjà taillé une belle réputation dans l’univers des courts et qui interprète ici le rôle-titre. Prenant le contre-pied absolu du genre super-héroïque, le réalisateur opte pour une narration épurée, dépouillée, discrètement comique. (…)

Phalène de la Valette Le Point - 11 février 2015

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Du 4 au 10 mars

CHELLIDE ASAF KORMAN

(…) Une jeune femme, Chelli, surveillante dans un lycée, sacrifie sa vie sociale et intime pour s’occuper de sa sœur Gabby, affligée d’un handicap mental profond. La plainte d’une voisine relative aux nuisances sonores occasionnées par Gabby va changer la donne. Confiant sa sœur à un hôpital de jour, Chelli va sans y penser ouvrir sa vie à la possibilité, tout simplement, de la vivre.

Zohar, un professeur de gymnastique qui enseigne dans le lycée où elle travaille, va tenter de s’engouf-frer dans cette brèche, de se faire une place entre ces deux sœurs unies par un inquiétant rapport fusion-nel. Chelli, qui accepte de nouer une relation amou-reuse, lui en laissera-t-elle l’opportunité ?Cette question devient le cœur d’un film passion-nant, huis clos serré et humide dont on sent bien que l’enjeu est de départager entre l’humus sacrificiel et quasi incestueux de la cellule sororale et l’ouverture, sexuelle, sociale et morale au monde extérieur. C’est donc un film d’enfermement familial confinant à la folie qui vient nous parler de la société israélienne, de la manière la plus crue et la plus oppressante qui soit. Dont acte.

Jacques MandelbaumLe Monde – 22 mai 2014

— France - 2014Durée : 1h18

Scénario : Thomas Salvador, Thomas Cheysson, Thomas BidegainPhotographie : Alexis KavyrchineMontage : Guillaume Saignol

avec : Thomas Salvador, Vimala Pons, Youssef Hajdi—

— Israël - 2014Durée : 1h30

Scénario : Liron Ben ShlushPhotographie : Amit YasourMontage : Shira Hochman, Asaf Korman

avec : Liron Ben Shlush, Dana Ivgy, Yaakov Daniel Zada, Sophie Ostritsky

Quinzaine des Réalisateurs, Festival de Cannes 2014—

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Du 11 au 24 mars

LE DERNIER COUP DE MARTEAUDE ALIX DELAPORTEVictor, 13 ans, doit prendre son destin en mains. Son entraîneur le pousse à faire carrière dans le football mais comment quitter sa mère, qui souffre d’un cancer ? Son père, Victor ne l’a jamais rencontré, mais voilà qu’il vient diriger un concert justement à Montpellier, car c’est un chef d’orchestre célèbre. Victor va l’approcher et chercher à l’apprivoiser ...La réalisatrice française confirme un immense talent que l’on avait déjà remarqué dans Angèle et Tony. Alors que le simple script aurait pu lorgner vers un pathos fa-cile, la mise en scène apporte une touche singulière, qui donne à l’ensemble une rare beauté et une implication émotionnelle, que l’on voit peu dans le cinéma français actuel. Maîtrisé de bout en bout, la mise en images sou-ligne l’aboutissement d’une recherche sensitive sur les relations humaines. Le choix des couleurs, des cadres, des plans, l’utilisation millimétrées des musiques, la direction d’acteurs, tous ces éléments font que l’on se retrouve à suivre un film d’une richesse inouïe et qu’il faut donc ne pas manquer.

Chris HubyEcranlarge.com - 9 octobre 2014

Du 11 au 24 mars

CROSSWINDLA CROISÉE DES VENTSDE MARTTI HELDELe 14 juin 1941, les familles estoniennes sont chassées de leurs foyers, sur ordre de Staline. Erna, une jeune mère de famille, est envoyée en Sibérie avec sa petite fille, loin de son mari. Durant 15 ans, elle lui écrira pour lui raconter la peur, la faim, la solitude, sans jamais perdre l’espoir de le retrouver. Crosswind met en scène ses lettres d’une façon inédite.

À partir du journal intime de son héroïne, Erna, Crosswind offre un récit qui se rattache au début à un drame conventionnel. Erna évoque d’abord sa vie idyllique en Estonie, avec son mari et sa fille, qu’on voit dans un montage qui montre leur existence de fa-mille heureuse. Quand elle devient, par la suite, un des 40 000 Estoniens déportés en Sibérie dans le cadre du plan d’épuration ethnique de Staline, tout change, et le film avec.Au moment où Erna et sa famille sont arrachés à leur foyer, le film prend la forme d’une série de tableaux. Les figures ne se déplacent plus, comme si elles étaient gelées dans le temps, et la caméra se meut comme entre des statues. À pré-sent séparées de leur mari et père, Erna et sa fille se retrouvent en Sibérie. Elle se met alors à décrire son calvaire dans un journal intime, où elle couche aussi ses espoirs de retrouver son mari, tandis que les ta-bleaux, délicatement composés, continuent de s’en-chaîner pour montrer la brutalité et l’oppression qui sont désormais le quotidien d’Erna. Pourra-t-elle un jour retourner en Estonie ? Reverra-t-elle son mari ?

Laurence BoyceCineuropa.org – 3 octobre 2014

— France - 2014Durée : 1h23

Scénario : Alix DelaportePhotographie : Claire MathonMontage : Louise Decelle

avec : Romain Paul, Clotilde Hesme, Grégory Gadebois, Farida Rahouadj

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— Allemagne - 2014Durée : 1h27

Scénario : Martti HeldePhotographie : Erik PollumaaMontage : Liis NimikMusique : Part Uusberg

avec : Laura Peterson, Tarmo Song, Mitr Preegel—

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Lundi 16 mars 20h

HIPPOCRATEDE THOMAS LILTIBenjamin va devenir un grand médecin, il en est certain. Mais pour son premier stage d’interne dans le service de son père, rien ne se passe comme prévu. La pratique se révèle plus rude que la théorie. La responsabilité est écrasante, son père est aux abonnés absents et son co-interne, Abdel, est un médecin étranger plus expérimenté que lui. Benjamin va se confronter brutalement à ses limites, à ses peurs, celles de ses patients, des familles, des médecins, et du personnel. Son initiation commence.Jamais sans doute, dans un film français, l’hôpital public n’avait été montré avec une telle justesse, une telle précision ; jamais la réalité du monde hospitalier, les problèmes auxquels doivent faire face ceux qui y vivent, qu’ils soient médecins, infirmiers, aides-soignants ou patients, n’avaient été observés avec une telle acuité. Hippocrate, le film de Thomas Lilti, ne serait que cela, ce serait déjà formi-dable. Mais comme il s’agit, en plus, d’un film épatant, drôle, émouvant, intelligent, on commencera par une prescription : à voir (ou à revoir) sans tarder. (…)

Franck NouchiLe Monde – 2 septembre 2014

Du 18 au 31 mars

L’ENNEMI DE LA CLASSEDE ROK BICEKÀ l’arrivée de leur professeur principal remplaçant, une classe de sympathiques lycéens se trouve confrontée à une discipline accrue et à un enseignement plus austère. Ce professeur d’allemand concentre vite toutes les critiques. Les élèves mènent ouvertement la fronde. La tension monte, et quand une jeune fille de la classe se suicide, la responsabilité du professeur parait indiscutable aux yeux de ses camarades.A travers ce groupe d’étudiants, la jeune génération slovène est placée face à ses propres responsabilités. Entre une éducation trop permissive et un désir de changement, les actions concrètes ont du mal à ger-mer dans la dépression ambiante traduite par un des taux de suicide les plus élevé au monde.Le suicide du film n’est pourtant qu’un déclencheur et L’Ennemi de la classe s’attarde peu sur ses raisons. Il se concentre plus justement sur les réactions gou-vernées par l’émotion, qu’elles viennent des étu-diants, du corps professoral ou du cercle de parents, personne n’est épargné et personne n’a entièrement raison ou tort. Il faut néanmoins mettre de l’ordre dans ce ménage pour aller de l’avant et il s’agit bien là d’un souhait optimiste de la part d’un réalisateur qui a beaucoup de choses à dire et dont on n’a pas fini d’entendre parler.Domenico La PortaCineuropa.org – 23 septembre 2014

— France – 2014Durée : 1h42

Scénario : Thomas Lilti, Baya Kasmi, Pierre Chosson, Julien LiltiPhotographie : Nicolas Gaurin

avec : Vincent Lacoste, Reda Kateb, Jacques Gamblin, Marianne Denicourt—

— Slovénie - 2014Durée : 1h52

Scénario : Nejc Gazvoda, Rok Bicek, Janez LapajnePhotographie : Fabio StollMontage : Janez Lapajne, Rok Bicek

avec : Igor Samobor, Natasa Barbara Gracner, Voranc Boh, Jan Zupancic

Prix du public, festival Premiers Plans d’Angers 2014—

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>>> A L’ISSUE DE LA PROJECTION UN DÉBAT NOTRE SANTÉ EN DANGER ? SERA ANIMÉ PAR DES REPRÉSENTANTSDE GARD-HP,DE LA LIGUE DES DROITS DE L’HOMMEET DE ATTAC.

Du 25 au 31 mars

LE PETIT HOMMEDE SUDABEH MORTEZAI

A 11 ans, Ramasan est déjà un homme sous ses allures de petit garçon. Ré-fugié en Autriche avec sa mère et ses deux soeurs, il essaie de remplacer du mieux qu’il peut son père mort en Tchétchénie… L’arrivée d’Issa, un ancien ami de son père, va bousculer son quotidien.

Entretien avec Sudabeh Mortezai

Après deux documentaires remarqués (Les Enfants du prophète et Les Noces persanes), vous avez choisi de passer à la fiction avec Le Petit homme. Pourquoi ?Dès le départ, je souhaitais raconter une histoire qui soit à la frontière de la fiction et du documentaire. Pour le scénario, j’ai pris comme point de départ des histoires vécues afin de développer un récit qui soit profondément ancré dans le réel.Mon idée était d’illustrer le mot-clé « intégration » du point de vue des réfugiés. Quand on parle d’intégration, dans les médias notamment, c’est d’un point de vue extérieur: les migrants sont le sujet du débat, mais n’en sont jamais la parole.

Le Petit homme raconte l’histoire d’un jeune garçon qui développe sa propre image de la masculinité…Ramasan idéalise son père : cet homme qu’il a très peu connu, ce héros de guerre qu’il connaît surtout à travers le récit qu’en font ses proches. Puis il rencontre Issa, l’ami de son père, un vétéran, un homme blessé, qui ne correspond pas vraiment à cette image idéalisée de l’ancien combattant. Ramasan va pouvoir dès lors surmonter la dominance symbolique de son père. C’est un point clé pour moi.

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Du 25 mars au 7 avril

A TROIS ON Y VADE JÉRÔME BONNELL

Charlotte et Micha sont jeunes et amoureux. Ils viennent de s’acheter une maison près de Lille pour y filer le parfait amour. Mais depuis quelques mois, Charlotte trompe Micha avec Mélodie… Sans rien soupçonner, se sentant toutefois un peu délaissé, Micha trompe Charlotte à son tour… mais avec Mélodie aussi !Pour Mélodie, c’est le vertige. Complice du secret de chacun. Amoureuse des deux en même temps…

Ce qui me touchait le plus en construisant le scéna-rio, était l’idée que deux personnes en aiment telle-ment une troisième, qu’elles finiraient par tomber amoureuses l’une de l’autre, téléguidées par leur in-conscient, parce qu’il y aurait un dépit partagé si fort, une empathie si réciproque, que cette identification à l’autre se transformerait en amour pur et simple. Cette histoire serait comme un fantasme, puisqu’on y éprouverait la liberté de dépasser tous les maux qui altèrent l’amour : mensonge, trahison, tristesse, jalousie… Faire naître de la paix là où d’ordinaire sur-git le conflit. Une sorte de rêve d’amour humaniste. Mais je ne voulais pas réduire cette idée à sa simple psychologie, et l’envie de la traiter à travers des situations de comédie fut tout de suite naturelle. Filmer l’action seule. Ne suivre que le mouvement des coeurs.

Jérôme Bonnell

— Autriche - 2014Durée : 1h38

Scénario : Sudabeh MortezaiPhotographie : Klemens HufnaglMontage : Oliver Neumann

Avec : Ramasan Minkailov, Aslan Elbiev, Kheda Gazieva

Compétition officielle, Festival de Berlin 2014—

— France - 2014Durée : 1h26

Scénario : Jérôme Bonnell,Maël PiriouPhotographie : Pascal LagriffoulMontage : Julie DupréMusique : Mike Higbee

Avec : Anaïs Demoustier, Félix Moati, Sophie Verbeeck—

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Du 4 au 8 mars

LES MOOMINSSUR LA RIVIERADE XAVIER PICARD / Durée : 1h17 / à partir de 4 ans

Les Moomins embarquent sur un petit bateau à voiles vers la Côte d’Azur où ils ont décidé de passer leurs vacances. Suite à un quiproquo, les voici bien-tôt logés dans une fastueuse chambre d’un palace de La Riviera. Si Papa Moomin semble apprécier cette vie luxueuse, Mama Moomin s’inquiète de voir sa famille renier ses valeurs...

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En avant-programme des Nuits d’été les 4, 6 et 8 /03 MOI DE INÈS SEDAN / Durée : 5mn30Dans un univers rigide et très paramétré, un homme doit cacher son homosexualité et danser, jusqu’au moment où il a le courage de révéler enfin qui il est vraiment.

En avant-programme de Vincent n’a pas d’écailles les 14, 15 et 17/03 LE ROBOT DES ÉTOILES DE JÉRÔME DEBUSSCHÈRE / Durée : 5mn48Un inventeur fou construit un robot qu’il va tester sur sa famille. Dommage !

En avant-programme de Dernier coup de marteau les 21, 22 et 24/03 L’AURORE BORÉALE DE KEREN BEN RAFEAL / Durée : 12mnQuatre heures du matin. Louise, vingt-trois ans, dort pai-siblement dans son appartement. Son père la tire du lit et l’oblige à le suivre dans la forêt : une aurore boréale va faire son apparition dans la région...

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Lundi 30 mars 18h30 Entrèe gratuite

PICCI TOUBABDE THIBAULT MAZARS, MARIE AMIGUET, PIERRE-YVES LE DÛ

Kousmar, un îlot préservé et inhabité sur le delta du Saloum. Des dizaines de milliers de faucons crécerellettes. Aux abords, les villages de Ndiaffate ont vu arriver sur leurs terres ces observateurs enjumelés et avec eux de nouveaux mots, « écolo-gie », « écotourisme »...et un projet de taille : créer un espace naturel commu-nautaire géré par les vil-lageois eux-mêmes. Mais qu’en pensent les Ndiaffa-tois ? Quelle confiance ac-cordent-ils aux acteurs de ce projet ?Partenaires : Conseil Général des Deux-Sèvres, Région Poi-tou-Charentes, LPO, ASPO et Birdlife International, Fondation MAVA, IFFCAM (Institut Francophone de Formation au Cinéma Animalier de Ménigoute), Association Passerelle Images.

— Images : Romain Guénard, Renaud Leroux, Camille Okroglic, Jonathan Mas, Majella Lensen, Victor Thiré, Xin Liu, Nicolas Goudeau-MonvoisMontage : Victor Thiré

Durée : 1h—

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Du 4 au 8 mars

LES NOUVELLES AVENTURES

DE GROS-POISET PETIT-POINTDE U. ET L. GEFFENBLAD / Durée : 44mn / à partir de 3 ans

Le premier est couvert de gros pois, tandis que l’autre est parsemé de petits points. Et ils sont très heureux comme ça, s’amusant au cirque, s’affai-rant en cuisine ou s’occupant l’un de l’autre quand la varicelle vient colorer leur pelage tacheté.ENCO

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>>> LA PROJECTION SERA SUIVIE D’UNE RENCONTRE AVEC UNE PARTIE DE L’ÉQUIPE DU FILM.

Du 25 au 31 mars

EAU ARGENTÉEDE OSSAMA MOHAMMED ET WIAM SIMAV BEDIRXAN

L’enfer syrien, vu de l’intérieur et de l’extérieur, par deux cinéastes et des anonymes. Fulgurant.

Ce film est à la fois une caresse et un violent coup de latte au plexus. Il réunit le pire et le meilleur de l’humanité. Coréalisé par Ossama Mohammed (cinéaste syrien exilé à Paris), Wiam Simav Bedirxan (cinéaste kurde habitant Homs) et mille et un youtubeurs syriens (vivant, souffrant et crevant en Syrie), Eau argentée sidère par la brutalité de son matériau documentaire et la puissance inspirée de sa mise en forme. (…)Il correspond avec l’extraordinaire Wiam Simav Bedirxan, restée dans les ruines d’Homs, filmant chaque jour son quartier dévasté, les survivants, un enfant orphelin mais paradoxalement joyeux qui déniche un coquelicot au milieu des gravats.Caméra résistante. Elle là-bas, lui ici. Dialogue de cinéma via internet, Skype, YouTube.

Serge KaganskiLes Inrockuptibles - 16 décembre 2014

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Samedi 12 avril entrée libre

TAKA(VOIR)Cette année, le Festival TAKAVOIR fête son 6e anniversaire.Innovation : il n’y a pas de thème ; mais la durée des films ne doit pas excéder 3 minutes.Le Jour J, le 28 mars, chacun pourra se régaler au fil d’ateliers, projections, dé-mos, conférence… Pour la première fois, la Cérémonie officielle de remise des prix se déroulera à 20h30, présentée par Igor Potoczny.

pour plus de renseignements : Association hORS cHAMpS

05 35 54 01 42www.assohorschamps.com

Du 17 mars au 2 avril : Installation «Les Mots migrateurs »,d’Antoine DenizeAuditorium Médiathèque Pierre-Boinot(aux heures habituelles d’ouverture de la médiathèque)

Le 28 mars :14H-18H : ATELIERS DÉCOUVERTE«Du filmage au montage»«Filmer et monter avec une tablette»La Boîte à BalbuCiné Démos :Alice, Scratch, Makey-Makey, Cardboard…

17H : CONFÉRENCE « ÉCRITS/ÉCRANS »par Antoine Denize

14H-18H : LES DIFFUSIONSPrésentation transmédia : Samaél, jeu créée d’après un polar de Pierre-Alain Mageau Florilègedes films de UDNERSélection Arte CréativeFilms hors compétition

20H30 : LA COMPÉTITIONCérémonie officielle - remise des prix

Présidé par le réalisateur UDNER, le jury réunira Séverine Bourlet de la Vallée, fondatrice et directrice générale de Tribegram et Tribegram Lab, Amélie D. NOORDZEE, chanteuse, Judith Darmont, artiste vidéaste, et Luca Bara, chef de produit Broadcast chez Panasonic.

— France, Syrie - 2014Durée : 1h43

Scénario : Ossama MohammedMusique originale et interprétation : Noma OmranPhotographie : Wiam Simav Bedirxan, 1001 Syriens et Ossama Mohammed

Sélection officielle, Séance spéciale, festival de Cannes 2014—

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Au programme :

Mensuel cinéma du Moulin du Roc, Scène Nationale de Niort. 9 boulevard Main CS 18555 - 79025 Niort Cedex / Tel : 05 49 77 32 30www.moulinduroc.asso.fr / [email protected]édaction et choix des textes : Jacques Morel, Marc Lanel / Directeur de la publication : Paul-Jacques Hulot.

Les salles de cinéma du Moulin du Roc sont classées Art et Essai avec les labels Recherche et Découverte, Jeune Public et Patrimoine et répertoire.Le Moulin du Roc est adhérent de l’ACOR, de l’AFCAE, de l’ACID, de l’ADRC, de l’Agence du Court-Métrage.

I.S.S.N.1161 - 7799 . Licences spectacles n°1-1061165/ n°2-1061166/ n°3-1061167

Conception graphique : BANG / Réalisation :S. Bourdin / Imprimé sur les presses de Raynaud Imprimeurs sur papier Magno satin, en 6000 ex.

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L�Séance précédée d’un court-métrage

DU 4 AU 10 MARS MER. 4 JEU. 5 VEN. 6 SAM. 7 DIM. 8 LUN. 9 MAR. 10

HUNGRY HEARTS 16h 16h30 . 18h30 20h30 18h 18h 20h 18hVINCENT ... 18h30 16h45 . 20h 16h 14h45 . 20h 18h 16h30

CHELLI 16h30 . 18h . 20h 18h15 . 20h30 17h . 19h 20h 16h15 16h 20hLES NUITS D’ÉTÉ 20h30 L 21h L 18h30 L . 20h30 L

LES FEMMES DU BUS 16h + débatLES MOOMINS... 14h30 15h 15h30 14h30

GROS POIS ET PETIT ... 15h 15h30 15hDU 11 AU 17 MARS MER. 11 JEU. 12 VEN. 13 SAM. 14 DIM. 15 LUN. 16 MAR. 17

LE DERNIER COUP... 16h . 18h . 20h 15h . 18h 21h 16h30 . 20h 18h 16h 20hCROSSWIND 18h30 . 20h30 20h 16h15 . 18h 16h . 18h . 20h15 16h 18h 16h

VINCENT... 17h 16h30 19h30 18h30 L 20h L 18h L

HIPPOCRATE 20h + débatDU 18 AU 24 MARS MER. 18 JEU. 19 VEN. 20 SAM. 21 DIM. 22 LUN. 23 MAR. 24

L’ENNEMI DE LA CLASSE 20h 16h 19h 20h30 18h 18h30 14h . 18hLE DERNIER COUP... 18h 20h 17h 18h30 L 20h L 16h30 20h L

CROSSWIND 16h 18h 21h 16h 20h30 16hDU 25 AU 31 MARS MER. 25 JEU. 26 VEN. 27 SAM. 28 DIM. 29 LUN. 30 MAR. 31

L’ENNEMI DE LA CLASSE 16h 14h . 20h 19h 15h45 16h30 . 20h30 18h15A TROIS ON Y VA 20h 16h 17h . 20h30 20h 18h15 . 20h15 16h 16h15 . 20h15

LE PETIT HOMME 18h 18h 18h30 18h 17h45 . 19h45 14h30 . 20h 15h45 . 19h45EAU ARGENTÉE 21h 16h15 18h 17h45

PICCI TOUBAB 18h30 + débatTARIFS CINÉMA Plein tarif : 6,50 € Carte AMDR : 5 € Carte JMDR : 4,50 € Moins de 14 ans : 4 € Moins de 26 ans : 4,50 € Lundi tarif réduit : 5 € Forfait ciné 10 : 45 €