BRGM COMMUNE DE BON-ENCüNTRE (47) GLISSEMENT DE TERRAIN AU LIEU-DIT "COUSTASSOUS" ETUDE DE STABILITE ET DE CONFORTEMENT par S. BELPERRON 88 SGN 432 AQI Pessac, le 31 mai 1988 BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIERES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL Service Géologique Régional Aquitaine Avenue du Docteur-Albert-Schweitzer - 33600 PESSAC Tél. 56 80 69 00 - Télex 540030 OGETEL - REF 128 BRGM COMMUNE DE BON-ENCüNTRE (47) GLISSEMENT DE TERRAIN AU LIEU-DIT "COUSTASSOUS" ETUDE DE STABILITE ET DE CONFORTEMENT par S. BELPERRON 88 SGN 432 AQI Pessac, le 31 mai 1988 BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIERES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL Service Géologique Régional Aquitaine Avenue du Docteur-Albert-Schweitzer - 33600 PESSAC Tél. 56 80 69 00 - Télex 540030 OGETEL - REF 128
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BRGM
COMMUNE DE BON-ENCüNTRE (47)
GLISSEMENT DE TERRAINAU LIEU-DIT "COUSTASSOUS"
ETUDE DE STABILITE ET DE CONFORTEMENT
par
S. BELPERRON
88 SGN 432 AQI Pessac, le 31 mai 1988
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIERESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service Géologique Régional AquitaineAvenue du Docteur-Albert-Schweitzer - 33600 PESSACTél. 56 80 69 00 - Télex 540030 OGETEL - REF 128
BRGM
COMMUNE DE BON-ENCüNTRE (47)
GLISSEMENT DE TERRAINAU LIEU-DIT "COUSTASSOUS"
ETUDE DE STABILITE ET DE CONFORTEMENT
par
S. BELPERRON
88 SGN 432 AQI Pessac, le 31 mai 1988
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIERESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service Géologique Régional AquitaineAvenue du Docteur-Albert-Schweitzer - 33600 PESSACTél. 56 80 69 00 - Télex 540030 OGETEL - REF 128
RESUME
A la demande de la Direction Départementale de l 'Equipement
d'Agen (47) et afin de définir des moyens de confortement, le BRGM
AQUITAINE a procédé à une reconnaissance du site de "COUSTASSOUS"
(commune de BON-ENCONTRE) affecté par un glissement de terrain survenu
le 7 février 1988.
La géométrie du glissement a pu être définie grâce à un levé
topographique et des sondages de reconnaissance (sondages tarière, puits
à la pelle mécanique, pénétromètres) .
Les caractéristiques des sols ont été mesurées en laboratoire
par des essais d 'identification et de cisaillement,
La synthèse de cette reconnaissance a mis en évidence un
glissement de type plan ; la couche argileuse de surface d'une épaisseur
de 4 à 5 m glissant sur un plan incliné matérialisé par un substratum
marneux.
L'étude de stabilité sur plusieurs profils type a montré une
corrélation entre le niveau d'eau dans le sol et la mise en mouvement du
terrain.
Aussi, a-t-on préconisé de réaliser un drainage du site,
celui-ci pouvant être fait selon deux dispositifs :
- un dispositif de tranchées drainantes et fossés rigoles,
- un dispositif de drains siphons gravitaires.
La solution drainage ne permettant pas d'atteindre un
coefficient de sécurité de 1,5 sur l'ensemble des profils, il a été
prévu d'implanter au pied du versant instable un rideau discontinu de
profilés.
RESUME
A la demande de la Direction Départementale de l 'Equipement
d'Agen (47) et afin de définir des moyens de confortement, le BRGM
AQUITAINE a procédé à une reconnaissance du site de "COUSTASSOUS"
(commune de BON-ENCONTRE) affecté par un glissement de terrain survenu
le 7 février 1988.
La géométrie du glissement a pu être définie grâce à un levé
topographique et des sondages de reconnaissance (sondages tarière, puits
à la pelle mécanique, pénétromètres) .
Les caractéristiques des sols ont été mesurées en laboratoire
par des essais d 'identification et de cisaillement,
La synthèse de cette reconnaissance a mis en évidence un
glissement de type plan ; la couche argileuse de surface d'une épaisseur
de 4 à 5 m glissant sur un plan incliné matérialisé par un substratum
marneux.
L'étude de stabilité sur plusieurs profils type a montré une
corrélation entre le niveau d'eau dans le sol et la mise en mouvement du
terrain.
Aussi, a-t-on préconisé de réaliser un drainage du site,
celui-ci pouvant être fait selon deux dispositifs :
- un dispositif de tranchées drainantes et fossés rigoles,
- un dispositif de drains siphons gravitaires.
La solution drainage ne permettant pas d'atteindre un
coefficient de sécurité de 1,5 sur l'ensemble des profils, il a été
prévu d'implanter au pied du versant instable un rideau discontinu de
profilés.
SOMMAIRE
Pages
RESUME ISOMMAIRE IILISTE DES FIGURES, LISTE DES TABLEAUX III
1 - INTRODUCTION 1
1.1 - Cadre et contexte 1
1.2 - Objectifs et moyens mis en oeuvre 2
2 - RECONNAISSANCE GEOTECHNIQUE 3
2.1 - Levé topographique du glissement 3
2.2 - Sondages de reconnaissance 3
2.3 - Essais de laboratoire 5
2.3.1 - Essais d'identification 5
2.3.2 - Caractéristiques mécaniques 5
3 - ETUDE DE STABILITE 8
3.1 - Synthèse de la reconnaissance géotechnique 83.2 - Analyse de la stabilité 8
3.2.1 - Méthode de calcul 83.2.2 - Hypothèses de calcul 103.2.3 - Mise en oeuvre du progranme 11
3.2.4 - Etude de stabilité de la zone en mouvementen fonction du niveau de l'eau dans le sol .... 123.2.4.1 - Profil P3 123.2.4.2 - Profil P5 133.2.4.3 - Profil P8 13
3.2.5 - Etude de stabilité de l'ensemble du versant enfonction du niveau de l'eau dans le sol 14
4.2 - Soutènement par butée - rideau de profilés 18
5 - CONCLUSION 19
SOMMAIRE
Pages
RESUME ISOMMAIRE IILISTE DES FIGURES, LISTE DES TABLEAUX III
1 - INTRODUCTION 1
1.1 - Cadre et contexte 1
1.2 - Objectifs et moyens mis en oeuvre 2
2 - RECONNAISSANCE GEOTECHNIQUE 3
2.1 - Levé topographique du glissement 3
2.2 - Sondages de reconnaissance 3
2.3 - Essais de laboratoire 5
2.3.1 - Essais d'identification 5
2.3.2 - Caractéristiques mécaniques 5
3 - ETUDE DE STABILITE 8
3.1 - Synthèse de la reconnaissance géotechnique 83.2 - Analyse de la stabilité 8
3.2.1 - Méthode de calcul 83.2.2 - Hypothèses de calcul 103.2.3 - Mise en oeuvre du progranme 11
3.2.4 - Etude de stabilité de la zone en mouvementen fonction du niveau de l'eau dans le sol .... 123.2.4.1 - Profil P3 123.2.4.2 - Profil P5 133.2.4.3 - Profil P8 13
3.2.5 - Etude de stabilité de l'ensemble du versant enfonction du niveau de l'eau dans le sol 14
Le systèm.e de drainage décrit ci-dessus (paragraphe 4.1.1)
constitué de fossés rigoles et de tranchées drainantes est couramment
utilisé pour réduire l'action de l'eau sur un terrain prédisposé à
glisser.
Il implique cependant l'exécution de tranchées de grande
profondeur exécutées par des engins lourds de terrassement avec des
déplacements difficiles sur un site parcellaire et pentu. Son efficacité
peut être limitée dans la m.esure où les terrains en place ont une
perméabilité faible. Une autre solution de drainage, plus adaptée au
site, est la mise en place de drains siphons permanents gravitaires :
ces drains verticaux ou inclinés vers l'amont peuvent être implantés
aussi bien au sein de la zone active ou potentielle de glissement qu'à
l'amont ou à l'aval de cette zone. Ils peuvent être placés dans des
forages jusqu'à une profondeur de 10 m ; profitant de la pente on
siphonne ces drains par un tuyau qui fait transiter l'eau jusqu'à un
exutoire situé en bas de pente (voir schéma de principe fig. 11).
Dans le cas présent, on peut prévoir l'implantation de deux
lignes de drains :
- une ligne amont implantée au niveau des sources captées,
- une ligne aval épinglant la loupe de glissement actuelle.
Chacune des lignes pourrait être constituée d'une quarantaine
de drains verticaux, espacés de l'ordre de 5 m, avec une profondeur de 8
à 10 m, permettant de recouper la surface de cisaillement et de rabattre
la nappe sous celle-ci.
La connaissance de données complémentaires concernant l'hydro¬
logie du site et en particulier la perm^éabilité du terrain, permettra de
définir un projet détaillé de ce système de drainage.
- 17 -
4.1.2 - Solution 2 ; drains siphons gravitaires
Le systèm.e de drainage décrit ci-dessus (paragraphe 4.1.1)
constitué de fossés rigoles et de tranchées drainantes est couramment
utilisé pour réduire l'action de l'eau sur un terrain prédisposé à
glisser.
Il implique cependant l'exécution de tranchées de grande
profondeur exécutées par des engins lourds de terrassement avec des
déplacements difficiles sur un site parcellaire et pentu. Son efficacité
peut être limitée dans la m.esure où les terrains en place ont une
perméabilité faible. Une autre solution de drainage, plus adaptée au
site, est la mise en place de drains siphons permanents gravitaires :
ces drains verticaux ou inclinés vers l'amont peuvent être implantés
aussi bien au sein de la zone active ou potentielle de glissement qu'à
l'amont ou à l'aval de cette zone. Ils peuvent être placés dans des
forages jusqu'à une profondeur de 10 m ; profitant de la pente on
siphonne ces drains par un tuyau qui fait transiter l'eau jusqu'à un
exutoire situé en bas de pente (voir schéma de principe fig. 11).
Dans le cas présent, on peut prévoir l'implantation de deux
lignes de drains :
- une ligne amont implantée au niveau des sources captées,
- une ligne aval épinglant la loupe de glissement actuelle.
Chacune des lignes pourrait être constituée d'une quarantaine
de drains verticaux, espacés de l'ordre de 5 m, avec une profondeur de 8
à 10 m, permettant de recouper la surface de cisaillement et de rabattre
la nappe sous celle-ci.
La connaissance de données complémentaires concernant l'hydro¬
logie du site et en particulier la perm^éabilité du terrain, permettra de
définir un projet détaillé de ce système de drainage.
FIGURE nBRCMa8SGNA32AQI
SCHEMA DE PRINCIPE DES DRAINS SIPHONS GRAVITAIRES
Antenne descendante drain i
Antenne descendante drain 2
Anterne descendantedrain 3
Horizontale
Exutoire Antenne descendante commune
assurant le siphonnage du peigne
FIGURE nBRCMa8SGNA32AQI
SCHEMA DE PRINCIPE DES DRAINS SIPHONS GRAVITAIRES
Antenne descendante drain i
Antenne descendante drain 2
Anterne descendantedrain 3
Horizontale
Exutoire Antenne descendante commune
assurant le siphonnage du peigne
- 18 -
4.2 - Soutènement par butées (voir schéma de principe
de confortement, fig. 9)
Sans préjuger par avance de l'efficacité du système de drai¬
nage, il est souhaitable de prévoir d'ores et déjà un soutènement par
butée et ceci pour deux raisons :
1 - Le rabattement de la nappe à environ - 3 m du terrain
naturel n'assure pas un coefficient de sécurité F supérieur à 1,5
(coefficient de sécurité utilisé pour tout problème de stabilité de
talus) .
Dans tous les cas de figure, seul le profil P5 est stabilisé
par un rabattement de 3 m par rapport au TN.
F PROFIL 5 = 1,6
F PROFIL 3 = 1,26
F PROFIL 8 = 1,5
2 - Les calculs de stabilité sont effectués à partir de
l'hypothèse selon laquelle l'eau dans le sol constitue une nappe dont le
niveau de la surface libre est connue. Ils ne prennent donc pas en
com.pte des écoulements diffus ou des surfaces de suintem.ent.
Moyens à mettre en oeuvre :
Le contexte parcellaire et pentu du site incitent à utiliser
des moyens de confortement n'entraînant pas de gros terrassements. On
implantera donc au pied de la zone en mouvement, derrière les maisons E,
C, D, un rideau de profilés non jointifs, afin de permettre une éven¬
tuelle circulation d'eau (un rideau étanche provoquerait une montée en
pression et un moment moteur plus fort). Ces profilés seront ancrés dans
le substratum sur une profondeur d'au moins 2 m, et seront espacés
d'environ 2 m (voir coupe schématique fig. 12)
Un calcul de poussée/butée lors du projet détaillé d'exécution
permettra de mieux définir les caractéristiques du rideau et des
profilés.
- 18 -
4.2 - Soutènement par butées (voir schéma de principe
de confortement, fig. 9)
Sans préjuger par avance de l'efficacité du système de drai¬
nage, il est souhaitable de prévoir d'ores et déjà un soutènement par
butée et ceci pour deux raisons :
1 - Le rabattement de la nappe à environ - 3 m du terrain
naturel n'assure pas un coefficient de sécurité F supérieur à 1,5
(coefficient de sécurité utilisé pour tout problème de stabilité de
talus) .
Dans tous les cas de figure, seul le profil P5 est stabilisé
par un rabattement de 3 m par rapport au TN.
F PROFIL 5 = 1,6
F PROFIL 3 = 1,26
F PROFIL 8 = 1,5
2 - Les calculs de stabilité sont effectués à partir de
l'hypothèse selon laquelle l'eau dans le sol constitue une nappe dont le
niveau de la surface libre est connue. Ils ne prennent donc pas en
com.pte des écoulements diffus ou des surfaces de suintem.ent.
Moyens à mettre en oeuvre :
Le contexte parcellaire et pentu du site incitent à utiliser
des moyens de confortement n'entraînant pas de gros terrassements. On
implantera donc au pied de la zone en mouvement, derrière les maisons E,
C, D, un rideau de profilés non jointifs, afin de permettre une éven¬
tuelle circulation d'eau (un rideau étanche provoquerait une montée en
pression et un moment moteur plus fort). Ces profilés seront ancrés dans
le substratum sur une profondeur d'au moins 2 m, et seront espacés
d'environ 2 m (voir coupe schématique fig. 12)
Un calcul de poussée/butée lors du projet détaillé d'exécution
permettra de mieux définir les caractéristiques du rideau et des
profilés.
FIGURE 12BRCMsasGNU2Aqi
COUPE SCHEMATIQUE D'UN PROFILE
Pro-^i/é f/£& 4100
/ / / /^ '^ -i ^^ j;'.
Terrâmes
6 m
Marna 2m
k-
n.
So/
I
^ / z' ^ ^
Remplissage .m s.a¿/e
for^^a ^SOO ocf âOO/T/rr
SalCemanC au he¿on
1^ E.nir'dx& 2 m
I Pro^//e' //££, /,00
FIGURE 12BRCMsasGNU2Aqi
COUPE SCHEMATIQUE D'UN PROFILE
Pro-^i/é f/£& 4100
/ / / /^ '^ -i ^^ j;'.
Terrâmes
6 m
Marna 2m
k-
n.
So/
I
^ / z' ^ ^
Remplissage .m s.a¿/e
for^^a ^SOO ocf âOO/T/rr
SalCemanC au he¿on
1^ E.nir'dx& 2 m
I Pro^//e' //££, /,00
- 19 -
5-CONCLUSIONS
L'étude du glissement de terrain situé au lieu-dit "Coustassous"
sur la commune de BON-ENCONTRE (47) a consisté à reconnaître la nature
et la géométrie des terrains affectés par le glissement en vue d'analy¬
ser la stabilité et de définir des moyens de confortement.
Les travaux de reconnaissance ont comporté un levé topo¬
graphique du glissement , une campagne de sondages in situ (10 sondages
tarière, 5 sondages pénétrométriques , 3 puits à la pelle mécanique) et
des essais en laboratoire.
La couche de surface affectée par le glissement est constituée
d'environ 1 m de limon argileux puis de 3 à 4 m d'argile carbonatée
provenant de l 'altération des marnes sous-jacentes qui définissent le
substratum.
L'analyse de la stabilité, effectuée à l'aide du programme
informatique "ANASTAB" a permis de mettre en évidence une étroite
relation entre le niveau d'eau dans le sol et l'instabilité du versant,
imposant la mise en place d'un système de drainage.
Deux dispositifs peuvent être envisagés :
- un dispositif de tranchées drainantes et fossés rigoles
- un dispositif de drains siphons gravitaires.
La seconde solution paraît techniquement plus adaptée au site
et au problème posé.
La mise en place du drainage assure la stabilité du versant
mais ne permet pas d'obtenir un coefficient de sécurité suffisant
(F = 1,5). Il est donc proposé de réaliser un rideau discontinu de
profilés en pied de versant.
- 19 -
5-CONCLUSIONS
L'étude du glissement de terrain situé au lieu-dit "Coustassous"
sur la commune de BON-ENCONTRE (47) a consisté à reconnaître la nature
et la géométrie des terrains affectés par le glissement en vue d'analy¬
ser la stabilité et de définir des moyens de confortement.
Les travaux de reconnaissance ont comporté un levé topo¬
graphique du glissement , une campagne de sondages in situ (10 sondages
tarière, 5 sondages pénétrométriques , 3 puits à la pelle mécanique) et
des essais en laboratoire.
La couche de surface affectée par le glissement est constituée
d'environ 1 m de limon argileux puis de 3 à 4 m d'argile carbonatée
provenant de l 'altération des marnes sous-jacentes qui définissent le
substratum.
L'analyse de la stabilité, effectuée à l'aide du programme
informatique "ANASTAB" a permis de mettre en évidence une étroite
relation entre le niveau d'eau dans le sol et l'instabilité du versant,
imposant la mise en place d'un système de drainage.
Deux dispositifs peuvent être envisagés :
- un dispositif de tranchées drainantes et fossés rigoles
- un dispositif de drains siphons gravitaires.
La seconde solution paraît techniquement plus adaptée au site
et au problème posé.
La mise en place du drainage assure la stabilité du versant
mais ne permet pas d'obtenir un coefficient de sécurité suffisant
(F = 1,5). Il est donc proposé de réaliser un rideau discontinu de
profilés en pied de versant.
ANNEXES
B.F^.G.M.
2 3. JUIN 1988
BIBLIOTHÈQUE
ANNEXES
B.F^.G.M.
2 3. JUIN 1988
BIBLIOTHÈQUE
ANNEXE 1
RAPPORT DE L'INGENIEUR
ANNEXE 1
RAPPORT DE L'INGENIEUR
Glissement de terrain au lieu-dit
"Coustassous" à BON. ENCONTRE.
!:>;XvJ'):»iarr.«^*'«01M:<CM:^'):q
L'alerte initiale concernant le glissement a été donnée par le
locataire de la maison A, sur le plan ci-joint, qui dimanche 7 Février au ma¬
tin a constaté, à une distance variant entre 20 et 50 cm de la façade sud de
sa maison une fente et un affaissement de terrain de 15 cm (point 1) mesuré
à 8 H., et le bris et le décalage de la clôture le séparant de la maison B
au point 2 de 6 cm.
Le Service de l'Equipement a été averti le Lundi 8 février vers
10 H 30. 11 H par la protection civile et un rendez vous sur les lieux á
été programmé pour 16 heures le même jour.
A ce moment l'affaissement était de 58 cm au point 1, l'écar¬
tement du muret de clôture l'était de 16 cm.
Il a pu être constaté l'apparition du bourrelet de pied de
glissement à proximité des maisons C et D.
Le Maire, après concertation avec les différents services et
compte tenu de la rapidité de l'évolution du phénomène :
Lundi 7 février :
: heure
: Affaissement
: écartement
15 H
58
: 16
18 H
62
. 17
19 H
70
: 19
24 H
82
22
a pris un arrêté d' insalubrité, et ordo.iné l'évacuation des mai¬
sons les plus menacées.
Les Mardi et Mercredi, le mouvement a continué avec appari.tion
d'une fente dans le nouveau cimetière (parcelle 351) ainsi qu'un bourrelet de
pied.
A partir de Mercredi matin, la rapidité du mouvement avait très
nettement diminué toutefois les bourrelets de pied au niveau desmaisons C
et D s.'.était; très nettement enflé et rapproché de celle ci de même que le
bourrelet situé dans le cimetière.
./.
Glissement de terrain au lieu-dit
"Coustassous" à BON. ENCONTRE.
!:>;XvJ'):»iarr.«^*'«01M:<CM:^'):q
L'alerte initiale concernant le glissement a été donnée par le
locataire de la maison A, sur le plan ci-joint, qui dimanche 7 Février au ma¬
tin a constaté, à une distance variant entre 20 et 50 cm de la façade sud de
sa maison une fente et un affaissement de terrain de 15 cm (point 1) mesuré
à 8 H., et le bris et le décalage de la clôture le séparant de la maison B
au point 2 de 6 cm.
Le Service de l'Equipement a été averti le Lundi 8 février vers
10 H 30. 11 H par la protection civile et un rendez vous sur les lieux á
été programmé pour 16 heures le même jour.
A ce moment l'affaissement était de 58 cm au point 1, l'écar¬
tement du muret de clôture l'était de 16 cm.
Il a pu être constaté l'apparition du bourrelet de pied de
glissement à proximité des maisons C et D.
Le Maire, après concertation avec les différents services et
compte tenu de la rapidité de l'évolution du phénomène :
Lundi 7 février :
: heure
: Affaissement
: écartement
15 H
58
: 16
18 H
62
. 17
19 H
70
: 19
24 H
82
22
a pris un arrêté d' insalubrité, et ordo.iné l'évacuation des mai¬
sons les plus menacées.
Les Mardi et Mercredi, le mouvement a continué avec appari.tion
d'une fente dans le nouveau cimetière (parcelle 351) ainsi qu'un bourrelet de
pied.
A partir de Mercredi matin, la rapidité du mouvement avait très
nettement diminué toutefois les bourrelets de pied au niveau desmaisons C
et D s.'.était; très nettement enflé et rapproché de celle ci de même que le
bourrelet situé dans le cimetière.
./.
2.
Parallèlement un mur de soutènement pour partie et dehplpcage
pour le reste situé à l'angle nord Est de la maison E qui avait commencer à
bouger dès le début du phénomène s'est effondré dans la partie placage contr.
la propriété Cet a pris un "ventre" important sur la limite nord avec la
propriété B.
A partir de Samedi 13 février, le mouvement s'est arrêté toute¬
fois dès les prochaines pluies, il est à craindre de le voir se remettre en
marche.
.D'unpoint de vue quantitatif la partie basse a une extention
maximale de 95 à 100 m la corde est de l'ordre de 30-35m et la dénivelée
entre le bourrelet et le terrain en place au niveau de la maison A de 12-13m.
L'affaissement maximum ressort au point n' 1 après correction
de changement de repère â 1 ,50m environ.
Tableau de mesure :
: Date heure :
: Affaissement :
: Ecartement :
:Affaissement
:Ecartement
.
: Affaissement
: Ecartement
Dimanche 7 févri8 H :
15 :
6 :
Mercredi 10 ;février ' :8H30 : 16 H :
68 ; 74 :
37 : 38 :
er Lundi16 H: 18
58 : 62
16 : 17
8H
février :
: 19 H :24 H :
: 70 : 82 :
: 19 : 22 .:
Jeudi II février ;
9 H : 17 H :
83
41
Samedi16
: 85,5
: 42
13 FévrierH.
: : 91
46
Mardi 9 février7 H :10H30 :15H30 :23 H3C
100 :105 :110 . : 115: : 45 : 62
27 :29,5 : 32 : 34
vendredi 12 Février
9 H : 17 H
89,5 : 90,5
43 : 46
Dimanche 14 Février15 H.
91
45
A partir du mardi 9 â 15 H 30, un second repère point 3 a été
mis en place car le premier devenait inexploitable, toutefois l'évolution
ressort identique au premier.
Dressé par l'Ingénieur des TFEle 18 FEVRIER 1983.
A.CERUTTI.
2.
Parallèlement un mur de soutènement pour partie et dehplpcage
pour le reste situé à l'angle nord Est de la maison E qui avait commencer à
bouger dès le début du phénomène s'est effondré dans la partie placage contr.
la propriété Cet a pris un "ventre" important sur la limite nord avec la
propriété B.
A partir de Samedi 13 février, le mouvement s'est arrêté toute¬
fois dès les prochaines pluies, il est à craindre de le voir se remettre en
marche.
.D'unpoint de vue quantitatif la partie basse a une extention
maximale de 95 à 100 m la corde est de l'ordre de 30-35m et la dénivelée
entre le bourrelet et le terrain en place au niveau de la maison A de 12-13m.
L'affaissement maximum ressort au point n' 1 après correction
de changement de repère â 1 ,50m environ.
Tableau de mesure :
: Date heure :
: Affaissement :
: Ecartement :
:Affaissement
:Ecartement
.
: Affaissement
: Ecartement
Dimanche 7 févri8 H :
15 :
6 :
Mercredi 10 ;février ' :8H30 : 16 H :
68 ; 74 :
37 : 38 :
er Lundi16 H: 18
58 : 62
16 : 17
8H
février :
: 19 H :24 H :
: 70 : 82 :
: 19 : 22 .:
Jeudi II février ;
9 H : 17 H :
83
41
Samedi16
: 85,5
: 42
13 FévrierH.
: : 91
46
Mardi 9 février7 H :10H30 :15H30 :23 H3C
100 :105 :110 . : 115: : 45 : 62
27 :29,5 : 32 : 34
vendredi 12 Février
9 H : 17 H
89,5 : 90,5
43 : 46
Dimanche 14 Février15 H.
91
45
A partir du mardi 9 â 15 H 30, un second repère point 3 a été
mis en place car le premier devenait inexploitable, toutefois l'évolution
ressort identique au premier.
Dressé par l'Ingénieur des TFEle 18 FEVRIER 1983.
A.CERUTTI.
ANNEXE 2
COUPE DES TARIERES
ANNEXE 2
COUPE DES TARIERES
PAGE 1
I) COUPE DES TARIERES
» S T 1
- 0,00 à 1,30 ra : Limons bruns
- 1,30 à 2,0'0 m : Argile brune à cailloutis calcaire
- 2,00 à 3,50 m : Sable gris, fin à moyen saturé
- 3,50 è 7,50 m : Marne très compacte brune, rosacée à grise, sèche.
N.S.=2,13m/TN.
* S T 2
- 0,00 à 2,00 m : Argile brune à grise : Molasse altérée assez humide à 1,50 m.
- 2,00 à 4,50 m : Marne bruiie à grise et rosacée, peu humide.
- 4,50 à 7,50 m : Même matériau avec intercalation de sables et silts molassiques compacts
N.S. = 4,90 m / TN.
* S T 3
- 0,00 à 1,00 m : Limons bruns
- 1,00 à 4,90 m : Argile brune à cailloutis calcaires avec "blocs" épars entre 3,00 et 3,30 m,
- 4,90 à 6,00 m : Marne brune à grise très compacte.
N.S. = 3,40 m / TN.
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I) COUPE DES TARIERES
» S T 1
- 0,00 à 1,30 ra : Limons bruns
- 1,30 à 2,0'0 m : Argile brune à cailloutis calcaire
- 2,00 à 3,50 m : Sable gris, fin à moyen saturé
- 3,50 è 7,50 m : Marne très compacte brune, rosacée à grise, sèche.
N.S.=2,13m/TN.
* S T 2
- 0,00 à 2,00 m : Argile brune à grise : Molasse altérée assez humide à 1,50 m.
- 2,00 à 4,50 m : Marne bruiie à grise et rosacée, peu humide.
- 4,50 à 7,50 m : Même matériau avec intercalation de sables et silts molassiques compacts
N.S. = 4,90 m / TN.
* S T 3
- 0,00 à 1,00 m : Limons bruns
- 1,00 à 4,90 m : Argile brune à cailloutis calcaires avec "blocs" épars entre 3,00 et 3,30 m,
- 4,90 à 6,00 m : Marne brune à grise très compacte.
N.S. = 3,40 m / TN.
PAGE 2
* S T 4
- 0,00 à 0,70 m : Limons bruns à cailloutis
- 0,70 à 3,50 m : Argile brune sableuse à cailloutis calcaires avec intercalations d'argile plusplastique brune à ocre.
- 3,50 à 6,40 m : Argile silteuse fine, beige à ocre avec cailloutis, humide, peu compacte.
- 6,40 à 7,50 m : Marnes brunes à grises très compactes.
N.S. = 3,70 m / TN
* S T 5
- 0,00 à 1,50 m : Limons bruns à cailloutis calcaires
- 1,50 à 4,80 m : Argile brune plus ou moins sableuse à cailloutis calcaire et "Blocs" épars.
- 4,80 à 6,00 m : Argile brune à grise à passées de sables gris compacts (Marnes altérées ?)
- 6,00 à 9,00 m : Silts calcaires très compacts et secs.
N.S. = Pas d'eau
* S T 6
- 0,00 à 0,70 m : Limons bruns
- 0,70 à 1,50 m : Argile brune à marron oxydée
- 1,50 à 4,50 ra : Argile brune à cailloutis calcaires important, molle et humide plus sableuse entre3,00 et 4,50 m.
- 5,00 à 6,00 m ; Argile brune à grise â passées sableuse grise
PAGE 2
* S T 4
- 0,00 à 0,70 m : Limons bruns à cailloutis
- 0,70 à 3,50 m : Argile brune sableuse à cailloutis calcaires avec intercalations d'argile plusplastique brune à ocre.
- 3,50 à 6,40 m : Argile silteuse fine, beige à ocre avec cailloutis, humide, peu compacte.
- 6,40 à 7,50 m : Marnes brunes à grises très compactes.
N.S. = 3,70 m / TN
* S T 5
- 0,00 à 1,50 m : Limons bruns à cailloutis calcaires
- 1,50 à 4,80 m : Argile brune plus ou moins sableuse à cailloutis calcaire et "Blocs" épars.
- 4,80 à 6,00 m : Argile brune à grise à passées de sables gris compacts (Marnes altérées ?)
- 6,00 à 9,00 m : Silts calcaires très compacts et secs.
N.S. = Pas d'eau
* S T 6
- 0,00 à 0,70 m : Limons bruns
- 0,70 à 1,50 m : Argile brune à marron oxydée
- 1,50 à 4,50 ra : Argile brune à cailloutis calcaires important, molle et humide plus sableuse entre3,00 et 4,50 m.
- 5,00 à 6,00 m ; Argile brune à grise â passées sableuse grise
PAGE 3
- 6,00 à 7,50 m : Marnes brunes, rosacées à grises compactes.
N.S. = 3,00 m / TN.
* S T 7
- 0,00 à 0,90 m : Limons bruns noirs
- 0,90 à 2,00 m : Argile brune sableuse marron, oxydée, à cailloutis calcaire, humide.
- 2,00 à 3,80 m : Môme argile plus sableuse, saturée, à cailloutis calcaire important.
- 3,80 à 4,50 m : Argile brune avec passages de sables ou silts argileux.
- 4,50 à 6,00 m : Marnes brunes très compactes
- 6,00 à 7,50 m : Silts et sables argileux molassiques.
N.S. = 2,10 m / TN.
* S T 8
- 0,00 à 0,40 m : Remblai
- 0,40 à 1,20 m : Limons bruns
- 1,20 à 3,80 m : Argile brune à cailloutis calcaires
- 3,80 à 9,00 m : Molasse : Alternance de Marnes et silts ou sables argileux. Matériaudominant : silts argileux.
N.S. = 3,70 m / TN.
PAGE 3
- 6,00 à 7,50 m : Marnes brunes, rosacées à grises compactes.
N.S. = 3,00 m / TN.
* S T 7
- 0,00 à 0,90 m : Limons bruns noirs
- 0,90 à 2,00 m : Argile brune sableuse marron, oxydée, à cailloutis calcaire, humide.
- 2,00 à 3,80 m : Môme argile plus sableuse, saturée, à cailloutis calcaire important.
- 3,80 à 4,50 m : Argile brune avec passages de sables ou silts argileux.
- 4,50 à 6,00 m : Marnes brunes très compactes
- 6,00 à 7,50 m : Silts et sables argileux molassiques.
N.S. = 2,10 m / TN.
* S T 8
- 0,00 à 0,40 m : Remblai
- 0,40 à 1,20 m : Limons bruns
- 1,20 à 3,80 m : Argile brune à cailloutis calcaires
- 3,80 à 9,00 m : Molasse : Alternance de Marnes et silts ou sables argileux. Matériaudominant : silts argileux.
N.S. = 3,70 m / TN.
PAGE 4
* S T 9
- 0,00 à 0,70 m : Limons bruns à graviers, bruns, noirâtres
- 0,70 à 3,00 m : Argile brune sableuse à cailloutis calcaire
- 3,00 à 4,50 m : Argile brune plus sableuse, humide et molle, cailloutis calcaire peuimportant.
- 4,50 à 6,00 m : Même argile plus "graveleuse"
- 6,00 à 8,50 m : Argile marron, compacte, à cailloutis calcaire.
- 8,50 m : Marne très raide
N.S. = 5,30 m / TN
* S T 10
- 0,00 à 2,00 ra : Argile brune sableuse sans cailloutis
- 2,00 à 3,80 m ; Argile marron à cailloutis
- 3,80 à 7,00 m : Argile brune marron à grise à cailloutis calcaire, compacte à très compacteen alternance.
- 7,00 à 7,50 m : Argile grise à cailloutis
- 7,50 à 9,00 m : Argile grise à beige très raide et sèche.
N.S. : ( 2 heures après fin forage) 0,30 m / TN
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* S T 9
- 0,00 à 0,70 m : Limons bruns à graviers, bruns, noirâtres
- 0,70 à 3,00 m : Argile brune sableuse à cailloutis calcaire
- 3,00 à 4,50 m : Argile brune plus sableuse, humide et molle, cailloutis calcaire peuimportant.
- 4,50 à 6,00 m : Même argile plus "graveleuse"
- 6,00 à 8,50 m : Argile marron, compacte, à cailloutis calcaire.
- 8,50 m : Marne très raide
N.S. = 5,30 m / TN
* S T 10
- 0,00 à 2,00 ra : Argile brune sableuse sans cailloutis
- 2,00 à 3,80 m ; Argile marron à cailloutis
- 3,80 à 7,00 m : Argile brune marron à grise à cailloutis calcaire, compacte à très compacteen alternance.
- 7,00 à 7,50 m : Argile grise à cailloutis
- 7,50 à 9,00 m : Argile grise à beige très raide et sèche.
N.S. : ( 2 heures après fin forage) 0,30 m / TN
^ =^ Annexe . 3
BRGM
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DE
PEnETRRTion DvnnmiouE
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PEnETRRTion DvnnmiouE
:^ Bureau du Reciíurcuus Géologiques et Minièregp^fv^ CHANTIER : GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENb 1 NATION DYNAMIQUE BEVAC (P2;Date de l'essai : Le ii avtü iqss
PROF RESISTANCE DYNA
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:^ Bureau du Reciíurcuus Géologiques et Minièregp^fv^ CHANTIER : GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENb 1 NATION DYNAMIQUE BEVAC (P2;Date de l'essai : Le ii avtü iqss
PROF RESISTANCE DYNA
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OBSERV.
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mw Bureau üe Recherches Géologiques et MinièreBRGM CHANTIER : GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC ÍP2]Date de l'essai : Le ii avtü isss
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mw Bureau üe Recherches Géologiques et MinièreBRGM CHANTIER : GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC ÍP2]Date de l'essai : Le ii avtü isss
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OBSERV.
-
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WW Bureau de Recherches Géologiques et MinièregP^ç^fvj CHANTIER ; GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC (P2;Date de l'essai : Le ii avtii igss
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WW Bureau de Recherches Géologiques et MinièregP^ç^fvj CHANTIER ; GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC (P2;Date de l'essai : Le ii avtii igss
PROF RESISTANCE DYNAMIQUE APPARENTE (BARS)(m)
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^^ Bureau uu Rechercmies Géologiques et MinièresBRGM CHANTIER : GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC (P2)Date de l'essai : Le n avtíi iobs
PROF
(m)
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2.00
3.00
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6.00
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47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC (P2)Date de l'essai : Le n avtíi iobs
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47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC (P2)Date de l'essai : Le n avtíi iqss
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47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC (P2)Date de l'essai : Le n avtíi iqss
PROF
(m)
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Annexe 3
BRGMCARACTERISTIQUES ESSENTIELLES DU PENETROMETRE
DYNAMIQUE BEVACMETHODE D'INTERPRETATION DES RESULTATS'
L'essai consiste à faire pénétrer dans le sol, par battage,une pointe située â l'extrémité d'une tige métallique de diamètre inférieurà celui de la pointe pour éviter tout frottement latéral parasite.
Les caractéristiques essentielles du pénétromètre dynamiquesont rappelées ci-dessous :
mouton de 30 kg
hauteur de chute : 0,20 m
section de la pointe : 10 cm2
La résistance dynamique est calculée à partir de l'énergie debattage par application de la formule dite des Hollandais, qui s'exprimesous la forme suivante : M
Rd =M2h
M + m
_1_
e S
Rd
h
M
m
e
S
résistance dynamique en bars
hauteur de chute du mouton en cm
poids du mouton en kg
poids des tiges en kg
enfoncement en cm pour 1 coup
section de la pointe en cm2
Les résultats sont présentés graphiquement sous la forme d'undiagramme donnant la résistance dynamique Rd en bars en fonction de laprofondeur (cf. annexe ) . Ce graphe est défini par points espacés de10 cm, le calcul de Rd étant réalisé d'après le nombre de coups nécessai¬res pour un enfoncement de 10 cm.
Les résultats de l'essai de pénétration dynamique présententun intérêt sur le plan qualitatif, en caractérisant l'homogénéité dusous-sol tant en profondeur que latéralement, et sur le plan quantitatif,en permettant d'.ipprécier les caractéristiques mécanicjues du sous-sol etd'évaluer le tatix de charge admissible (Qa) de semelles superficiellesde dimensions courantes par la formule empirique suivante - , Rd
Qa ?¥ 3ô
Annexe 3
BRGMCARACTERISTIQUES ESSENTIELLES DU PENETROMETRE
DYNAMIQUE BEVACMETHODE D'INTERPRETATION DES RESULTATS'
L'essai consiste à faire pénétrer dans le sol, par battage,une pointe située â l'extrémité d'une tige métallique de diamètre inférieurà celui de la pointe pour éviter tout frottement latéral parasite.
Les caractéristiques essentielles du pénétromètre dynamiquesont rappelées ci-dessous :
mouton de 30 kg
hauteur de chute : 0,20 m
section de la pointe : 10 cm2
La résistance dynamique est calculée à partir de l'énergie debattage par application de la formule dite des Hollandais, qui s'exprimesous la forme suivante : M
Rd =M2h
M + m
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e S
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M
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e
S
résistance dynamique en bars
hauteur de chute du mouton en cm
poids du mouton en kg
poids des tiges en kg
enfoncement en cm pour 1 coup
section de la pointe en cm2
Les résultats sont présentés graphiquement sous la forme d'undiagramme donnant la résistance dynamique Rd en bars en fonction de laprofondeur (cf. annexe ) . Ce graphe est défini par points espacés de10 cm, le calcul de Rd étant réalisé d'après le nombre de coups nécessai¬res pour un enfoncement de 10 cm.
Les résultats de l'essai de pénétration dynamique présententun intérêt sur le plan qualitatif, en caractérisant l'homogénéité dusous-sol tant en profondeur que latéralement, et sur le plan quantitatif,en permettant d'.ipprécier les caractéristiques mécanicjues du sous-sol etd'évaluer le tatix de charge admissible (Qa) de semelles superficiellesde dimensions courantes par la formule empirique suivante - , Rd
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Annexe i\
BRGM
COUPE/ GEOLOGIQUE/
DE/ FOUILLE/
fl Lfl PELLE mECflfllOUE
Annexe i\
BRGM
COUPE/ GEOLOGIQUE/
DE/ FOUILLE/
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