Rive Gauche - Juillet 2012
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1 — rive gauche
édito 'Bon'jour !
Président
Jacques de la chaise
jacques@lebonbon.fr
Photo couverture
Flavien Prioreau
rédactrice en chef
Sophie rosemont
sophie@lebonbon.fr
arnaud chaillou
chaillouarnaud@gmail.com
graphiste
Édouard Memponte
Secrétaire de rédaction
anne Priso
rédaction
Thévi de coninck, Judith Spinoza, Sophie
rosemont, arnaud chaillou,
cécile guthleben
Photographe
Jean-François chaput, Nicolas Burtey,
elisabeth carven, Thomas Monamy,
arnaud chaillou, akroe
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ATTENTION, le texte ci-dessous n’est que pure
fi ction. Toute ressemblance avec des personnes
existantes ou ayant existé ou avec des événements
ayant eu lieu n’est que pure coïncidence.
Tout le monde s’y prépare… En préambule de la saison estivale, tous les
petits parisiens rive gauchois branchouilles ont sué sang et eau dans
leurs salles de sport, de Balard à Odéon, histoire de débarquer à la plage
du Touquet en short de bain Bob l’Éponge et abdos saillants. La femelle
locale a, elle, remué son petit popotin d’avril jusqu’à aujourd’hui aux
cours d’aquagym de la piscine de Montparnasse afi n d’aguicher le petit
minet des formes voluptueuses et affi nées révélées par son petit bikini.
Le temps est enfi n venu pour tous ces jeunes gens blindés de testosté-
rones et d’œstrogènes d’en découdre et de se lier autour d’un bon Pas-
tis. Dans mon cas personnel, la préparation de ce numéro spécial n’aura
suscité aucune concession sportive et à force de me goinfrer goulûment
dans tous ses succulents restos dont nous vous parlons dans les pages
suivantes, je me prépare à affronter le regard moqueur des vacanciers à
la vue de ma brioche de trentenaire. Il est un âge où la plage c’est bien,
mais quand on en arrive à se faire traiter de « Chewbacca » par les enfants,
à cause d’une pilosité un peu envahissante, ou bien de « Carlos » par les
fi lles, à cause d’un léger surpoids (en plus du problème précédemment
énoncé), on en vient à attendre avec impatience les sports d’hiver…
Bon ok, je suis une vraie brêle à ski mais en défi nitive, je m’en tamponne
complètement. En réalité, je ne suis ni gros, ni poilu et de toute façon, je
ne vais même pas à la plage, il pleut trop là-bas.
Bonnes vacances à tous !
Arnaud Chaillou
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sommaire
6. Aux Verres de Contact
18. Manovelli & Burtey
10. Jupiter
22. Alexandre Athané
14. Les Précieuses Ridicules
28. L’Indonésia
5. Le Bon Timing
6. Le Bon Resto
10. La Bonne Étoile
12. Les Bons Plans
14. La Bonne Pièce
16. Le Bon Ciné
17. Les Bonnes Annonces
18. Les Bons Hommes
20. Les Bons Shops
22. Le Bon Illustrateur
24. Le Bon Astro
26. Les Bons Snapshots
28. Le Bon Endroit
30. Le Bon Agenda
32. Les Bonnes Adresses
Juillet / Août 2012
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le bon timing Les événements à ne pas manquer !
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Rouge Vinyle version électro-pop
Au programme : la pop punchy de Two Bunnies in
Love et l’électro-pop de haute voltige de Caan-
dides, élu parmi les découvertes du Printemps de
Bourges et prix du jury des Inrocks Lab. Ensuite, ce
sera deux DJ sets 100% vinyl. Cerise sur le bateau,
le scénographe Loris Tretout se charge des lumières.
Vendredi 6 juillet, de 22h à 5h. Péniche la Balle au
Bond - 3, quai Malaquais - 5e - www.rougevinyle.com
Misia s’expose à Orsay
Elève de Fauré, la belle Misia Godebska, née à Saint-
Pétersbourg en 1872, fut la muse du début du XXe
siècle : proche entre autre de la Revue Blanche, son
rôle dans le Paris de l’avant-guerre fut majeur et inou-
bliable. Musicienne, muse, mécène et amoureuse
sont les quatre facettes de Misia présentées ici.
Jusqu’au 9 septembre au Musée d’Orsay
1, rue de la Légion d’Honneur - 7e - www.musee-orsay.fr
Exposition
L’été 2012 sera placer sous le signe du sport ou
ne sera pas ! Le 14e arrondissement vous réserve
des activités sportives en plein air (gratuites ou
payantes) sous toutes ses formes. En solo, duo ou
en famille un très large éventail est à votre disposi-
tion pour bouger votre body afin d’assurer au bureau
ou pour être au top sur les plages. Venez prendre un
grand bol tout l’été en découvrant et en vous inscri-
vant (impératif) sur le site de la Marie du 14e.
Sport
Concert
Soirée Les 5 ans de Vélib’
Le vélo le plus célèbre de la capitale fête ses 5 ans.
Pour l’occasion, le Bonbon organise une grosse fiesta
le 21 juillet à la Machine du Moulin Rouge avec,
entre autres, le duo électro-pop Exotica et la Djette
Violaine Schütz. En attendant, bonnes balades dans
la ville sur votre deux roues.
Le 21 juillet à la Machine du Moulin Rouge - 18e
Plus d’infos sur www.lebonbon.fr
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le bon resto
Amis lecteurs du Bonbon, pour ce numéro d’été,
nos bons commerçants célèbrent la gastronomie et
combleront les plus gourmands d’entre vous.
Sarah Baraudon et Guillaume Delage ont été formés
dans les hautes sphères de la gastronomie fran-
çaise. Sarah a fait son apprentissage chez Hélène
Darroze et vient du restaurant que les gens du quar-
tier connaissent bien, le fameux Ribouldingue. Quant
à Guillaume, après avoir fait ses classes chez des
chefs aussi prestigieux que Michel Bras, Fréderic
Anton et Pierre Gagnaire, il s’est fait connaître, en
ouvrant, il y a 3 ans, son premier restaurant le Jadis
dans le 15e arrondissement. Une table de la rive
gauche que l’on vous recommande fortement car
vous y trouverez un véritable restaurant gastrono-
mique mais avec une déco qui rappellera ces bistros
parisiens chers à Guillaume. La cuisine y est délicate
et savoureuse. Paraît-il que la blanquette de veau est
succulente, avis donc aux amateurs !
Aux Verres de Contact, leur deuxième restaurant
s’est installé il y a presque un an, au coin du bou-
levard Saint Germain et de la rue de Bièvre. Notre
couple de chefs cuisiniers est à la tête de l’adresse
épaulé par un caviste de renom, Jérôme Huard (pro-
priétaire des Grandes Caves). Les meilleurs ingré-
dients étaient donc réunis pour nous offrir un endroit
plein de charme où saveurs et convivialité sont les
maîtres mots.
Les grandes baies vitrées qui bordent l’établisse-
ment donnent l’impression de manger sur le boule-
vard Saint Germain mais au calme, le long bar laisse
voir la cuisine où Sarah Baraudon s’active à nous
concocter des plats dignes des plus grands.
Dans ce même lieu se mélange différentes atmos-
phères toutes ouvertes les unes sur les autres : la
salle principale spacieuse idéale pour des diners
romantiques, le bar propice aux rencontres autours
de vins soigneusement sélectionnés et de planches
de charcuterie et de fromage, la cave voûtée si
typique de Saint-Germain des Près qui accueillera
en toute intimité les tablées de fêtards.
Mais au fait, d’où vient ce nom intriguant Verres de
Contact ? Guillaume me raconte qu’il a voulu rendre
hommage à Antoine Blondin, illustre journaliste
sportif à l’Équipe et romancier. On lui doit notam-
ment Un Singe en Hiver, roman adapté au cinéma
par Henri Verneuil, avec dans les rôles principaux
Gabin et Belmondo. Ce sont leurs gueules si emblé-
matiques d’une époque que l’on retrouve sur les
murs du restaurant. Antoine Blondin, fêtard invétéré,
avait coutume d’organiser des marathons de la soif à
Saint Germain des Près lors des coupes du monde de
Rugby. C’était donc pour justifier ses notes de frais
(qui bien souvent témoignaient des ses victoires) à
l’Équipe qu’il avait pris l’habitude d’y noter « verres
de contact ». Ce bon vivant qui disait souvent
Aux Verres de Contact
QuAnd LA GAstROnOMie RencOntRe Le BistROt
Publi-reportage Thévi de Coninck
Photo Thomas Monamy
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le bon resto
« quand on meurt de faim, il y a toujours un ami pour
vous offrir à boire » a marqué l’enfance de Guillaume.
En effet, il venait souvent dans le village du
Limousin où Guillaume a passé son enfance « pour
moi il représente la fête, la boisson, le partage, l’ami-
tié, bref toutes ces valeurs que j’aimerais que mes
restaurants transmettent. » D’ailleurs, le Jadis est
aussi une référence au personnage qui était sur-
nommé Mr Jadis. Aux Verres de Contact c’est Sarah
la chef. D’ailleurs les habitués aiment faire référence
aux deux établissements en parlant d’un « chez Mon-
sieur » dans le 15e et d’un « chez Madame » dans le
5e. Elle nous propose chaque jour des menus vraiment
attractifs. Il est possible de se régaler le midi avec une
formule à 14€ avec entrée/plat ou plat/dessert, et le
soir avec un menu à la carte à 31€, des tarifs tout à
fait abordables mais qui ne négligent en rien la qualité
des mets. Pour vous donner encore plus envie, sachez
que vous pourrez y déguster un carpaccio de daurade
et betterave gingembre mariné et graines germées ou
un effiloché de chevreau accompagné de grenailles
de l’Ile de Ré et crème d’oseille. De la grande cuisine
on vous dit ! Pour les amateurs de dessert, un conseil,
goûtez le clafoutis aux cerises vous ne le regretterez
pas ! Aux Verres de Contact se fait même cave à vin
et vous propose d’acheter des bouteilles que vous
avez dégustées. Ne perdez donc pas de temps, cette
nouvelle adresse vous offrira le meilleur de la nouvelle
gastronomie française dans la décontraction d’un
bistro parisien, un endroit idéal pour un bon repas en
amoureux ou entre amis.
Aux Verres de contact
52, boulevard Saint-Germain,
angle 33 rue de Bievre – 5e
Tél. : 01 46 34 58 02
www.auxverresdecontact.com
—
Jadis
208, rue de le Croix Nivert – 15e
Tél. : 01 45 57 73 20
www.bistrot-jadis.com
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la bonne étoile
ils sont sexys, amoureux, doués et manient la
disco comme à peu près personne : les multi-ins-
trumentistes Amélie et Quarles, alias Jupiter,
vont nous faire danser tout l’été. et plus encore.
interview de la belle chanteuse, Amélie.
Pouvez-vous nous parler de votre rencontre ?
C’était à une soirée londonienne, nous étions encore
tous les deux étudiants. Quand le DJ a passé Mama
Used to Say de Junior, tout le monde s’est barré du
dance floor, sauf nous. Très vite, nous avons réalisé
que nous étions à fond sur la même musique : pas
seulement le funk et la disco, mais aussi les Doors,
les Guns’n’Roses…
Jupiter était donc la suite logique de votre ren-
contre ?
Complètement ! En 2008, nous avons réalisé le mor-
ceau Starlighter que nous avons posté sur Myspace.
Les gens ont aimé et nous en ont demandé plus !
Jupiter est ainsi né, et nous sommes rentrés en
France quelques mois plus tard. Il y avait toute la
scène électro-pop avec qui nous avions un bon
contact : Anoraak, Minitel Rose…
Comment est né Juicy Lucy ?
Nous nous sommes laissés porter par la vague
en osant jouer avec les influences rock, reggae.
L’album s’est construit sur plusieurs mois, très spon-
tanément, dans le home studio de Quarles. Au fil des
années, nous y avons accumulé pas mal de synthés !
Une chanson a-t-elle été plus facile qu’une autre à
mettre en boîte ?
Oui, Juicy Lucy justement ! C’est définitivement le
titre qui nous ressemble le plus, et c’est pour ça qu’il
donne son nom à l’album. Ça faisait longtemps que
nous voulions écrire une chanson très rétro. Mais
nous nous retenions pour ne pas tomber dans le cli-
ché. Puis nous avons franchi le cap, et bouclé le tout
en deux jours. Une libération ! Le fait d’écouter beau-
coup de groupes actuels nous a permis d’éviter le
piège du pastiche. C’était notre priorité : ne pas faire
un ersatz de disque des seventies…
Ça vous arrive de ne pas être d’accord ?
Très souvent ! Dans ce cas-là, nous laissons tomber
le morceau en question, sauf si l’un de nous réalise
deux jours après que finalement, l’autre avait proba-
blement raison…
Pour terminer, il faut quand même parler de ce nom
de scène, une vraie trouvaille !
Nous avions très peur que d’autres groupes se soient
déjà appropriés le nom, mais non. C’était tellement
évident que personne n’y avait pensé ! Nous cher-
chions un patromyme facile à retenir, et qui se pro-
nonce de la même manière dans toutes les langues.
Jupiter, cela a été une révélation : pour le thème spa-
tial car nous faisons de la space disco, pour le super
synthétiseur qui s’appelle Jupiter, et pour le dieu
bien sûr !
Avez-vous connu des moments difficiles jusqu’ici ?
Les concerts des débuts où il n’y avait personne dans
la salle, où il faut assurer le show ! C’est difficile à
vivre, mais c’est aussi un excellent entraînement.
Et des moments magiques ?
Écouter Juicy Lucy pour la première fois. Quand
j’étais petite, je rêvais de faire de la musique, et faire
un album, c’était un truc fou ! Et aussi de voir les gens
chanter les paroles et danser à nos concerts. C’est
un véritable accomplissement de voir les autres
s’approprier notre musique.
JupiterdiscO MythOLOGie
Texte Sophie Rosemont
Photo Akroe
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L’avenir proche de Jupiter ?
Faire une grosse tournée, et ne pas se reposer sur
nos lauriers en travaillant sur des remixes, des nou-
veaux morceaux… Bref, rester dans la place !
Leurs bonnes adresses
Le Bouillon Racine - 3, rue Racine - 6e
« Pour manger une gaufre fourrée à la crème brûlée à
n’importe quelle heure de la journée »
L’entrecôte - 20, rue Saint-Benoît - 6e
« Super touristique, mais qu’est ce que c’est bon ! »
colline Madral - rue Saint-Jacques - 5e
« Une super masseuse. Si j’étais une rock star, j’irais
tous les jours tellement c’est relaxant ! »
www.colinemadral.com
« Et les terrains de pétanque du Jardin du Luxem-
bourg. On y va dans l’après-midi, le pastis à la main,
avec nos amis et on y attrape de jolis coups de soleil !
Jupiter
Juicy Lucy (Grand Blanc), dans les bacs.
www.myspace.com/arewejupiter
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les bons plans Texte Sophie Rosemont
Photo R Factory
R’FactoryBy Gianni
À deux pas de la mairie du 15e, Gianni continue
d’enchanter les chevelures… et ce n’est pas prêt de
s’arrêter !
Ici, pas de blouse blanche, de matériel aseptisé, ni de
murs blancs d’hôpital. C’est plutôt ambiance vintage
et récup’, avec un casier de vestiaire de l’armée, un
panneau de signalisation ferroviaire, des vinyls, et,
nouveauté qu’on ne peut pas louper, un paillasson
violet des plus attrayants…
On vous avait déjà parlé de Gianni, de son salon « à
la déco rocambolesque » selon ses propres termes.
La bonne nouvelle, c’est que cela n’a pas changé
d’un poil. Enfin, d’un cheveu. « Ça s’est même ampli-
fié ! précise Gianni. Les clients viennent parfois juste
prendre un café. Chez nous, c’est vraiment convivial,
des liens se créent. » En effet, R Factory a ouvert il y a
un peu plus d’un an, d’où une belle bougie récemment
soufflée par une équipe qui s’est joyeusement agran-
die. Désormais, ils sont quatre à couper les cheveux
en quatre pour nous faire plaisir. Alors, heureux ?
Gianni approuve avec enthousiasme: « le constat est
très positif, nous avons eu un beau lancement, nous
travaillons sur beaucoup de projets, le salon a inté-
ressé la presse, comme le public… Notre Facebook
cartonne ! Nous sommes ravis. »
Côté nouveauté ? Le lissage coréen, un mix entre le
lissage brésilien et japonais. Il dure plus longtemps
(de 6 à 8 mois) et il est même réalisable sur des che-
veux abîmés : une certaine idée du paradis pour cer-
taines… La bonne nouvelle, c’est que non seulement
Gianni est spécialiste, mais il est aussi formateur ! À
partir de septembre, il assurera toutes les formations
destinées au lissage coréen. Côté inédits, R Factory
a aussi sa propre application iPad et Androïd. Si, si !
Enfin, le salon propose ce qu’il appelle le service
SAV, c’est-à-dire une retouche sur la coupe ou sur la
frange gratuite pour ses client(e)s !
Le reste n’a pas changé : des coupes impeccables,
des couleurs à se damner, des produits sans ammo-
niaque, des conseils d’experts… Bref, R Factory est
un salon « atypique, mais très professionnel ». On
ne saurait contredire Gianni – qui a souvent raison,
au cas où vous ne l’auriez pas encore remarqué.
Autodidacte et entrepreneur né, il soigne l’image
de son salon comme on cultive son jardin. Ainsi, les
mini-events et les apéros sont toujours d’actualité.
D’ailleurs, vous faites quoi fin juillet ? Autant vous
prévenir tout de suite, un pot de départ est prévu
avant les vacances du salon, du 7 au 21 août…
R’Factory
3, rue des Favorites - 15e - Tél. : 01 48 28 76 95
De mardi à Ven de 10h à 20h. Le samedi de 10h à 19h30
www.rfactoryparis.com
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les bons plans Publi-reportage & Photo Arnaud Chaillou
NeoveloLe spécialiste du Vélo Electrique
neovelo agit pour une énergie douce et fait bouger
les contours de la ville et les comportements de
chacun. en effet, cette boutique est spécialisée en
vélos électriques. et si ces derniers étaient l’avenir
de la mobilité urbaine ? en réduisant les émissions
de cO2, ils n’émettent aucun bruit et permettent de
gagner du temps et de la fluidité. en mettant à leur
disposition des vélos électriques, l’enseigne veut
sensibiliser les particuliers aux atouts de ce mode
de transport. « Le vélo à assistance électrique (VAe)
est une excellente alternative aux modes motorisés
pour tous les déplacements de proximité ». c’est en
2006 que François Lombard crée neovelo, convaincu
que l’on peut modifier les comportements des rive-
rains et développer un mode de déplacement écono-
mique et responsable.
En installant sa première boutique au cœur du 15e,
à deux coups de pédales du Parc Georges Brassens,
il met à votre disposition des services et prestations
permettant à chacun de découvrir ce mode de dépla-
cement si économique, si facile, si léger.
Neovelo vous offre une gamme de vélos électriques
de fabricants reconnus tels Moustache, Kalkhoff,
Sparta, Gitane/Peugeot, Eveo, Giant ou Velo De Ville,
véritables gages de qualité et de fiabilité.
François Lombard, en créant Neovelo, a voulu rendre
visible l’engagement qui est le sien depuis de lon-
gues années dans le développement de transports
alternatifs. Le but étant de répondre aux attentes
individuelles, ainsi qu’aux enjeux sociaux et environ-
nementaux qui sont, selon lui et on en est convaincu,
au cœur de l’avenir de nos modes de déplacement.
Neovelo propose des solutions et services sur-
mesure. Vente, location, maintenance, réparation
toutes marques et tous vélos, anti-vol et immatricu-
lation. Bref, à chaque besoin, sa solution. D’autant
plus qu’elle vous sera apportée par les techniciens
Neovelo, titulaires du certificat de qualification pro-
fessionnelle conseiller technique cycles. Ils sont res-
ponsables des essais, de l’entretien et de la répara-
tion des vélos dans leur atelier ou sur site.
Venez donc vite faire un tour de vélo électrique chez
Neovelo, et découvrez une nouvelle façon de circuler
en ville.
18 et 27 rue de Cronstadt – 15e
Tél boutique : 01 40 43 93 04
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Ouvert de 8h à 19h30 sans interruption
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la bonne pièce
Quand Les Précieuses Ridicules se font lifter au
Lucernaire, un seul commentaire s’impose : oh yeah !
une mise en scène audacieuse mais respectueuse
signée Pénélope Lucbert, qui nous raconte comment
elle a réussi à dompter Molière.
Deux jeunes provinciales baptisées Magdelon et
Cathos veulent se faire une place à Paris, et sont
prêtes à tout, y compris à rejeter avec mépris leurs
deux prétendants. Ils se vengeront en prouvant à tous
leur stupide vanité… Nous connaissons tous le pitch
de cette pièce de Molière. Jouée pour la première fois
en 1659 ; elle n’a pas pris une ride, au contraire : « Très
jeunes et influençables, ces deux filles ne se basent
que sur les apparences et oublient les fondamentaux
de la vie, analyse Pénélope Lucbert. Comme beaucoup
aujourd’hui, elles sont prêtes à tout pour faire partie
des cercles branchés parisiens. Sans en changer une
ligne, il a fallu énormément travailler sur le texte afin
de faire ressortir toute sa modernité, qui est éton-
nante. D’où un choix de mise en scène très actuelle,
avec des tenues d’aujourd’hui et du rock’n’roll joué
sur scène. » Un parti pris esthétique risqué mais
gagné. En effet, Pénélope est animée par la passion
de la comédie depuis longtemps. Après un bac et
une licence de théâtre, elle suit les cours de l’école
Claude Mathieu, pensant devenir comédienne. À tort :
son truc, c’est la mise en scène ! Après avoir monté
sa première pièce il y a six ans, elle monte sa propre
compagnie, la Savaneskise, riche de onze comédiens
et sa propre version des Précieuses Ridicules :
« Nous sommes tous très soudés, nous partageons le
même langage, ce qui est important dans le travail.
C’est aussi ce qui a fait le succès de cette pièce, car
une vraie troupe joue sur scène. » Le verbe facile et
contagieux, Pénélope donne également des cours de
théâtre à des enfants et des adultes.
Jouées depuis trois ans en France et à Navarre, Les
Précieuses Ridicules seront tout l’été au Lucernaire.
« C’est une institution, commente Pénélope, l’un des
meilleurs théâtres privés de Paris, Laurent Terzieff y a
beaucoup joué. Pour nous c’est une preuve que nous
avons bien mené notre barque jusqu’à présent ! » On
confirme. Cette mise en scène rend à Molière ce qui
est à Molière : le mordant, la cruauté, mais aussi le
rire, l’humanité et la tendresse. « J’ai essayé de favo-
riser l’excès, à travers les mots et ce que proposaient
librement les comédiens. Mais sans dénaturer le
texte, et en restant juste. » Mission accomplie pour
ces Précieuses Ridicules à la fois « fashion, acidulées
et actuelles ». Parfaitement Bonbon !
Les Précieuses Ridicules
mise en scène par Pénélope Lucbert
Du 4 juillet au 15 septembre au Lucernaire
53, rue Notre-Dame-des-Champs - 6e
Du mardi au samedi à 18h30.
Plein tarif 25 € / Senior 20 € / Demandeur d’emploi
ou étudiant 15 € / Groupe scolaire 10 €
Les Précieuses Ridicules
ROck On’ !
Texte Sophie Rosemont
Photo Philippe Lepaulard
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Le bon ciné Texte Cécile Guthleben
Photo Jean-François Chaput
La Pagodeniché au cœur du 7e arrondissement, il existe un
havre de paix, de nature et de zenitude qu’il vous
faut absolument découvrir. il n’y a pas meilleur
endroit pour fuir la frénésie de la ville. Pas-
sez la grille et vous entrerez dans un jardin qui
vous fera voyager vers l’Asie… stop. ceci n’est
pas une publicité pour un spa, mais un cinéma.
Voici La Pagode !
Bien cachée derrière sa palissade et sa
végétation luxuriante, la Pagode
s’offre aux curieux qui osent
entrer. Majestueuse, elle se
tient là depuis 1895. Inspi-
rée du sanctuaire Toshogu
à Nikko au Japon, elle a été
construite par l’architecte
Alexandre Marcel. Dans le
jardin, lui aussi d’inspiration
asiatique, on trouve notam-
ment deux statues de lions
mythiques ou « Lions de Bouddha »
censés protéger le lieu, et d’autres
petites merveilles qu’il faut découvrir par
soi-même… La chasse aux trésors est ouverte !
À l’origine, la Pagode était une salle de bal et de
réception offerte par Monsieur Morin, ancien direc-
teur du Bon Marché, à son épouse. Ce n’est qu’en
1931 que le lieu devient un cinéma, Monsieur Morin
ayant cédé la Pagode après le départ de sa femme
avec son associé, mais c’est une autre histoire. Très
vite, la salle connaît un large succès. En 1959, Jean
Cocteau y organise même la première projection de
son magnifi que Orphée. Comme la plupart des ciné-
mas historiques de Paris, la Pagode a essuyé bien
des tempêtes et des années de fermeture. À l’instar
du Louxor, c’est le classement du bâtiment et des
jardins aux monuments historiques qui l’a probable-
ment sauvée. Et comme souvent aussi, c’est grâce
à la détermination d’un homme, Jean Henochsberg,
du groupe Ciné Classic, que la salle a pu devenir en
2000 une salle indépendante au label Art
& Éssai. Aujourd’hui, la Pagode est
membre du réseau de cinémas
indépendants Étoile Cinémas.
Elle dispose de deux salles :
la salle japonaise historique,
avec ses dorures kitsch à
souhait et une salle au sous-
sol construite en 1973. La
Pagode a longtemps été le
seul cinéma du 7e ; et après les
fermetures successives du Bos-
quet en 1978, du Saint-Dominique
en 1980 et du Studio Bertrand en 1986,
elle a retrouvé son aura. À la manière d’un irré-
ductible village gaulois, elle résiste contre la menace
des multiplexes… Et on ne peut que lui souhaiter de
résister encore longtemps !
La Pagode
57 bis, rue Babylone - 7e
Tél. : 09 62 23 05 33
un Petit AiR d’eXOtisMe
16 — rive gauche
Artisan coutelier
15, rue Racine - 6e
Tèl.: 01 46 33 87 20
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1er ju
illet
au
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J’avoue J’en ai BavéPas vous Mon amourAvant D’avoir Eu ventDe vous Mon amour.Toi même tu sais ;)
Antoine, sors la tête de ton écran, tu commences à ressembler à un pixel.
Dis donc toi... t’es sûr que t’es venu ici pour
chasser?
Jeune homme, originaire de
Marseille, cherche journaliste aimant
et attentionné pour relation amicale et
plus si affi nités... S.N
Nico, je préfère te l’annoncer comme ça. Ta mère et moi
ça fait un bail !
Macha, ne nous fais pas une Delphine, et
reviens nous voir !
Le c
ocho
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Eh,
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uelle
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ure
!?
Mac
ha, j
e te
so
uhai
te le
mei
lleur
po
ur to
n fu
tur
Edouard, sur quels
doigts je vais pouvoir
taper maintenant que
tu es parti ?…
Mine de rien, tu vas
nous manquer
Vive les vacances en famille… love with love
La charette de l’été va bientôt passer !
Salut le Rouquin…
Bon vent pour la suite
Si tu n’arrives pas
à attraper la vache
qui passe devant toi,
change de chemin.
Starsky & Hutch, les nouveaux chevaliers
au grand cœur, 2 fl ics un peu rieurs
et rêveurs...
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Ric
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Ann
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m
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mou
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La Holy Bonbon Bible
doit devenir ton livre
de chevet, je ne le
répeterai pas 3 fois.
Dieu
A toute l’équipe, à tous les lecteurs et à tous ceux qui
fréquentent de près ou de loin le Bonbon : un grand merci pour ces six mois passés
avec vous. J’en garde que des bons souvenirs et beaucoup
d’amour. C’est dit.
Maverick, l’ennemi est dangereux, mais toi t’es pire que l’ennemi: tu es dangereux ET con! Mais dans quel camps tu es...
Pascaline,
ouvre-nous ta porte,
on est en bas !
Surtout lâchez rien! J’vous kiffe, j’vous love.
Macha
Raph, tu vas nous manquer mon ptit pote
Denis on vous kiff toi et ta
moustache !
Les rats quittent le
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les bons hommes
À l’heure où les choses bougent, où les tablettes
numériques, les smartphones, les voitures élec-
triques viennent bouleverser nos habitudes, une
nouvelle génération de précurseurs vient frapper à
notre porte. et justement nos bons hommes de ce
mois-ci en sont l’exemple frappant. Jeunes trente-
naires très ambitieux, Romaric Manovelli et nicolas
Burtey ont les crocs et sont fins prêts à conquérir le
monde à travers leur vision panoramique.
Nicolas, marseillais de naissance, est l’artiste, le
véritable spécialiste de l’image et le technicien de la
bande. Doté d’un double cursus informatique et pho-
tographique (ENS Louis Lumière), il se spécialise très
vite dans la photo à 360 degrés et dans la conception
de visites virtuelles. Son talent s’expose rapidement
au grand jour et lors de sa dernière année d’études,
il remporte un grand concours de photo avec un prix
de 15 000 € à la clé. Depuis, il a créé Loop’ in, deve-
nant un expert reconnu en photo panoramique. Dès
lors, de nombreuses marques lui font confiance pour
gérer des projets aussi divers que passionnants,
l’emmenant tantôt aux Bahamas tantôt à l’hôtel
Matignon où il a réalisé la visite virtuelle de la rési-
dence officielle du Premier ministre.
Romaric, autodidacte, reconnaissable à son fort
accent insulaire, a un parcours tout à fait différent
et pour le moins atypique. À 20 ans à peine, il était
déjà patron de son resto de plage gérant toute une
équipe, tout en vivant la vie dont nous rêvons tous,
pauvres parisiens : passer l’année en short à draguer
la petite touriste ! Après sept ans de bons et loyaux
services envers sa clientèle, poussé par une ambi-
tion dévorante et une confiance à toute épreuve, il se
rapatrie dans la capitale, avide de nouveaux horizons.
Fort d’un sens inné pour le business (on dit de lui
qu’il vendrait même de la glace aux esquimaux…) et
en véritable bourreau de travail, il entame sa recon-
version dans la presse immobilière multimédia avant
de créer Concept Immo Global, sa société de conseil
en nouvelles technologies et en production de visites
virtuelles à 360 degrés. C’est dans ce contexte que
nos deux compères se rencontrent dans ce qu’on
pourrait appeler platoniquement un véritable coup de
foudre professionnel. Tellement différents mais ter-
riblement complémentaires, ils décident d’unir leurs
Romaric Manovelli et
Nicolas BurteyLe FutuR en VidéO
Texte Arnaud Chaillou
Photo Nicolas Burtey
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forces et de développer un tout nouveau média qui
s’apprête à faire grand bruit, la vidéo à 360 degrés !
Ce nouveau procédé est une énorme révolution qui
amène de nouvelles perspectives dans le monde du
web et prochainement de l’audiovisuel ! Fini le rôle
de spectateur passif, l’internaute devient acteur et
peut ainsi se déplacer à 360 degrés dans le film, pen-
dant que la vidéo tourne, se balader où il veut avec
sa souris comme dans un jeu vidéo. Cette technologie
permet également de cliquer sur des liens interac-
tifs (hotspots) insérés n’importe où dans la vidéo et
de diriger le visiteur directement vers les pages qui
l’intéressent. Une chose est sûre, les deux comparses
ont entre leurs mains un véritable savoir-faire et vont
vous faire découvrir le média de demain !
www.loop-in.com
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les bons shops Texte & Photo Arnaud Chaillou
Le Chill OutDétente dans un lieu au temps suspendu
depuis la rentrée un nouveau bar à cocktails et
restaurant est venu se nicher rue de Médicis,
en bordure du Jardin du Luxembourg.
Situé à deux pas du Panthéon, du Sénat et du théâtre
de l’Odéon, Le Chill Out s’inscrit au cœur du Paris
étudiant, du Paris culturel, du Paris historique.
Quand on découvre le Chill Out c’est un peu comme si
on ouvrait un écrin à bijoux, c’est un savant mélange
d’élégance et de rareté. On s’y sent à l’abri du stress,
dans une ambiance feutrée pour passer, entre amis
ou en famille, un moment hors du temps.
La décoration chic et contemporaine a su allier les
éléments traditionnels de l’architecture des quar-
tiers bourgeois - vous admirerez le délicat décor
du plafond - avec une mise en couleurs résolument
moderne et élégante. Les miroirs aux encadrements
baroques constituent la signature quelque peu
excentrique du lieu.
Le Chill Out vous propose une cuisine française,
créative et soignée, respectueuse des produits et
des saveurs. L’endroit s’adapte à toutes les envies de
la journée : le midi, la carte est éclectique, des plats
classiques et gourmands côtoient des clubs sand-
wichs, tartines, salades ou burgers maison.
Le service continu permet de manger à tout moment
de la journée et au gré de votre appétit. Le bar pro-
pose une carte composée de cocktails, des plus
classiques, comme le Mojito, jusqu’aux créations
maisons, comme le Zito, mais aussi des frozens et
des smoothies à accompagner d’une carte de finger
food pour les petites faims.
L’établissement renferme un secret, une salle au
sous-sol. Elle permet d’organiser des soirées privées,
des dîners d’affaires ou entre amis dans un espace
privé, tout cela dans une atmosphère intimiste.
Jeune et cosmopolite, ce bar restaurant vous pro-
pose du déjeuner au cocktail de soirée des consom-
mations de qualité et la possibilité d’en profiter du
midi jusque tard dans la soirée dans une atmosphère
cosy et résolument néo-rétro-chic.
À noter que la terrasse ensoleillée tout l’après-midi
avec sa vue imprenable sur les allées ombragées
du Jardin du Luxembourg deviendra un must cet été
pour faire bronzette !
13, rue de Médicis – 6e
Tél. : 09 53 20 57 69
www.lechillout.fr
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les bons shops Publi-reportage & Photo Arnaud Chaillou
L’Auvergne à ParisUne brasserie comme on en fait plus
L’Auvergne à Paris, créé en famille en 2000 par chris-
tophe, Françoise et clément Journiac, trois frères et
sœurs du cantal exilés dans la capitale, est une vraie
institution, une adresse qui combine bar de quartier,
brasserie - restaurant de haute qualité, accueil cha-
leureux et animations pour se divertir.
Situé place Adolphe Chérioux dans le 15e, le res-
taurant vous propose en service continu toutes ses
spécialités auvergnates ainsi qu’une carte célébrant
une cuisine française traditionnelle (viandes grillées,
poissons, salades, buffets froids, buffets chauds,
assiette de légumes, frites fraîches maison…). Atten-
tion, Christophe est intraitable sur la question, tous
les produits sont ultra frais, ils arrivent directement
de petits producteurs auvergnats et les gourmands
sont avertis, les portions sont gargantuesques. Les
amateurs de bons vins ne seront pas en reste car l’Au-
vergne à Paris détient le titre de Coupe du meilleur
pot 2003, attribuée au meilleur bar a vin de Paris,
distinction qu’on ne peut recevoir qu’une fois dans sa
vie. Et ce n’est pas sans raison car Christophe, ancien
rugbyman qui ne boit pourtant pas d’alcool, insiste
à chaque visite de ses fournisseurs pour que toute
l’équipe sélectionne les meilleurs crus. Le sport et
la musique sont également à l’honneur, car l’endroit,
rempli de vitrines de voitures miniatures, d’objets
de collection dédiés au rugby, organise des concerts
tous les vendredis et samedis soirs et n’abrite pas
moins de six clubs de voitures ainsi que l’associa-
tion Les Arvernes de Lutèce, dans laquelle les fans
du ballon oval se retrouvent devant les matchs et les
courses automobiles diffusés sur place !
Même les enfants sont comblés. En effet, tous les
dimanches de 12 h à 15 h en plus de leur offrir le
déjeuner, un animateur déguisé leur raconte des
histoires et réalise des tours de magie. « Certains
parents me les laissent, partent faire leur footing en
toute tranquillité et repassent les chercher à 15h »,
confie même Christophe. Bref, voilà vraiment une
adresse pour tous, accessible à toutes les bourses
où l’on pourra satisfaire son appétit, venir boire un
coup, écouter de la bonne musique ou regarder un
match en bonne compagnie ! À faire et à refaire.
Angle 30, rue Péclet et 12, rue Blomet – 15e
Tél. : 01 48 28 11 53
Ouvert de 05h30 à 02h00
www.lauvergne-a-paris.fr
22 — rive gauche 23 — rive gauche
le bon illustrateur
son nom a la consonance de celle d’un acteur. sauf
qu’Alexandre Athané, 36 ans, est réalisateur en ani-
mation. Films, clips ou bandes annonces, entrez
dans son univers magique.
« Je n’appartiens pas stricto senso à l’univers
de l’animation. J’aime avant tout le cinéma et la
musique. » Joe Dante, Frank Oz, Steven Spielberg
pour le 7e Art ou Kid Creole and the Coconuts, Sharon
Jones et Michael Jackson pour la musique, comp-
tent parmi ses sources d’inspirations. « Impossible,
ajoute-il, de dissocier la musique de l’image et du
mouvement. » À la croisée des arts visuels et du son,
Alexandre Athané affiche déjà un parcours haut en
couleurs et un style joyeux qui mêle parfois le dessin
à des personnages en chair et en os. « La rencontre
des techniques permet de créer un univers unique où
l’imperfection est une qualité qui s’oppose à l’image
parfaite » explique le jeune réalisateur.
Citons Zoe Melody, un dessin animé musical créé
en collaboration avec Marco Prince (chanteur du
groupe FFF) et le soutien de Canal + (2007), ou
encore la bande-annonce Le jour le plus court, ima-
ginée pour le CNC à l’occasion de la première édition
du Festival du court-métrage (2011). Enfin, un grand
nombre de clips grâce auxquels, dit-il, il a dû ima-
giner des animations en cohérence avec l’univers
musical des artistes ; des commandes plus origi-
nales, comme avec Danger Global Warming (2009), un
clip contre le réchauffement climatique, ou encore,
plus récemment, des séquences d’animation et de
photomontage pour La délicatesse, le film de
Stéphane & David Foenkinos.
Parlons peu, parlons bien. Parlons chiffres aussi…
Les contraintes dans le domaine de l’animation sont
le temps et la minutie. « Imaginez-vous, j’ai mis dix
ans à réaliser mon premier film d’animation, Zoe
Melody. Cela représente plus de 10 000 dessins réali-
sés à la main. De la même façon, un clip qui demande
“ seulement ” un mois et demi de travail nécessite
parfois 25 dessins à la seconde ! Quand on se plonge
dans ces projets, c’est comme si la vie s’arrêtait… »
Voici un résumé de la sienne. De 8 à 16 ans, Alexandre
étudie la musique. À sa majorité, il part à New York.
« Cette ville que je voyais sans cesse dans les films
me fascinait. » Pendant sept ans, en autodidacte
touche à tout, il y développe ses compétences et
son réseau, travaillant comme illustrateur pour Sony
Music, pour des pubs Converse, pour des magazines,
mais aussi pour les réalisateurs Gus van Sant ou
Steven Spielberg, ou pour des DJ. « C’est là-bas que
j’ai eu le déclic et que j’ai commencé à développer les
premières séquences de Zoe Melody – une secrétaire
qui se perd dans un songe musical sur son trajet pour
le bureau. Passionné de cinéma, j’avais envie de pas-
ser de l’image fixe à l’image animée. »
Cet été, Alexandre proposera, comme il le fait souvent,
un atelier ouvert aux jeunes curieux de connaître les
techniques ludiques (mais pointilleuses) du cinéma
d’animation. À la demande du CNC, il avait déjà animé
au Centre Pompidou un atelier Cadavre Exquis, véri-
Texte Judith Spinoza
Photo Elisabeth Carven
AlexandreAthané
une âMe AniMée
22 — rive gauche 23 — rive gauche
table succès auprès du public. Cependant, il ne perd
pas de vue ses projets de films : « Je prépare la version
série télé de Zoe Melody et je travaille sur un nouveau
court-métrage à effets spéciaux, L’homme froissé. »
À suivre…
www.alexathane.com
www.facebook.com/alexandreathane
www.youtube.com/zoemelodyofficial
BeLieR 22 mars / 21 avril
Vous attendiez un changement, il arrive ! Les mois
précédents vous ont permis de faire le tri dans
vos pensées et vous avez hâte de vous lancer à la
conquête de tous ces nouveaux mondes dont vous
avez envie. Vous n’aurez aucun scrupule à laisser
sur le bord de la route tous ceux qui ne tiendront
pas leurs promesses. Rebelles et convaincus, c’est
comme ça que l’on vous aime ! Ne changez rien ! En
août une invitation surprise vous emmènera loin et
vous fera découvrir un nouvel avenir, ne refusez au-
cune propositions. Amour ou amitié vous allez adorer.
tAuReAu 22 avril / 21 mai
C’est une période de stabilité qui démarre pour les
couples et une période de stand-by pour les cœurs
à prendre. La tendance devrait changer mi août :
quand les autres pleureront la fin de leur été, vous
commencerez le vôtre. Alors armez-vous de votre
plus grande patience ! Rassurez-vous, vous essaye-
rez d’entretenir ces folles passions pour réchauffer
votre hiver. Quand à vos espérances, vous ne serez
pas déçus car vous bénéficierez d’excellents aspects
professionnels. Quelques billets supplémentaires à
dépenser cet été, que demander de mieux ?
GeMeAuX 22 mai / 22 juin
Si le soleil de juillet réchauffe votre peau, vous n’avez
pas vraiment la tête aux relations amoureuses. Un
conseil : lâchez prise ! Profitez de tous les petits ins-
tants de bonheur passés en famille ou avec vos amis.
Certes votre vie privée ne connaitra pas de big bang
en juillet mais des stimuli en août vous mettront en
effervescence et de jolies surprises vous attendent.
Une rentrée d’argent est à prévoir. Profitez-en pour
refaire votre intérieur. Arborez votre plus beau sou-
rire et tout se passera à merveille !
Texte M Voyance
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le bon astro
cAnceR 23 juin / 21 juillet
À vous regarder agir, on pourrait croire qu’il vous
manque un jour pour finir à temps vos obligations.
Pourtant, on ne peut pas dire que vous soyez désor-
ganisés. Un peu de régularité ! Côté cœur, le temps
est venu pour parler avec votre partenaire de vos
projets communs. Un conseil, arrêtez de vous épar-
piller ! Le soleil de l’été déclenchera des envies de
séduction et si vous voulez vous refaire une beauté
c’est le bon moment car en août votre sensualité
sera à son comble et vos coups de tête ouvriront des
portes inattendues côté professionnel.
LiOn 22 juillet / 23 août
Pour vous Lion accouplés, cette période sera placée
sous le signe du romantisme, du partage et de la
communication. Pour les cœurs à prendre, pas d’in-
quiétude : vous entrez dans une phase d’ouverture et
de séduction. Vous retrouvez une certaine assurance
et vous irez plus volontiers vers les gens. La période
estivale va vous permettre de retrouver un bon équi-
libre personnel. Fin juillet un coup de chance risque
de vous rapporter une belle somme : Casino, Loto, ou
proposition professionnelle. Conseil : ouvrez les bras
à la chance !
VieRGe 24 août / 23 sept.
L’été est le déclencheur de vos pulsions amoureuses
et nombreuses seront les tentations autour de vous.
Attention pourtant à ne pas perdre la tête et à vous
laisser berner par le chant des sirènes ! Faites le bon
choix puisque vous aurez plusieurs opportunités. At-
tention aux dépenses excessives. Pour les couples le
moment sera propice à de nouvelles perspectives,
emménagement, maternité… ne vous freinez pas !
De bonne nouvelles devraient arriver fin juillet, alors
souriez !
Votre horoscope vous plait ? Vous avez envie d’en savoir plus et de trouver une équipe “Bonbon” pour répondre à vos questions ? Appelez-nous : Consultations gratuites au 08.92.06.77.77 (0,34 Ct min)
BALAnce 24 sept. / 23 oct.
Auriez-vous eu une révélation ? Vous avez procédé
ces dernières semaines à un virage à 180 degrés. En-
fin ! Vous avez décidé que votre vie allait changer sur
tous les plans. Certains de vos doutes sont encore
quelque peu présents, mais Mars dans votre signe
ce mois-ci finira de les réduire à néant. Des proposi-
tions professionnelles vont vous amener à bouger.En
même temps l’amour se cachera derrière les portes
et on le sait, vous adorez les ouvrir. Vous allez enfin
repartir sur des bases saines et viables ! Le temps
est aux changements positifs. Quel bonheur !
scORPiOn 24 oct. / 22 nov.
Votre période estivale s’annonce orageuse ! Vous au-
rez envie de dire tout fort ce que depuis longtemps
vous pensez tout bas. Evitez pourtant l’agression
verbale, la douceur vous conduira vers votre bonne
étoile. Soyez sûr de vous dans la rue car Cupidon
sortira son arc et vous risquerez de vous retrouver
terrassé par l’amour, vous qui avez pour habitude de
mener la danse ! Vous seriez même prêt à déména-
ger pour suivre votre love story. L’été se passera entre
discussions pros et flirts à outrances. Profitez de vos
heures de sommeil, vous en aurez besoin !
sAGittAiRe 23 nov. / 22 déc.
Vous êtes littéralement à côté de vos pompes ! À
croire que vous aimez vous imposer un mode de vie
qui ne vous correspond pas. Vous vous laissez me-
ner par le bout du nez. Changez de décor, vous de-
vez saisir toutes les opportunités pour changer votre
mental. Commencez par votre look. Et là, la magie
opèrera : coup de foudre ou déclaration d’amour. Tout
va dépendre de vous cet été et votre punch va mettre
du piment dans votre environnement, dites-vous que
c’est pour cela que l’on vous aime.
cAPRicORne 23 déc. / 20 jan.
L’été vous stimule. Vous êtes plein d’idées nouvelles
que vous ne devez pas avoir peur d’exprimer. Vous
serez surpris par l’accueil qui vous sera réservé et
vous pourrez même être étonné par les compliments
et récompenses qui fuseront de votre entourage
professionnel et amical. Vous allez être renversés
par l’amour fin juillet, n’en oubliez pas vos devoirs et
obligations car malgré la chaleur vous devrez prépa-
rer votre retour de vacances. L’été sera le moyen de
retrouver confiance et force, alors profitez-en !
VeRseAu 21 jan. / 19 février
N’y a t-il pas des études que vous souhaiteriez re-
prendre ? Profitez du soleil pour lire à outrance mais
ne passez pas trop de temps à vous complaire dans
la réflexion, l’action vous attendra derrière un pa-
rasol. Les rayons de soleil du mois de juillet vous
apporteront bien-être et détente ! Vous avez envie
d’évolution et vous vous préparez à cela. Tout ce que
vous croyez simple et évident va se retrouver com-
plexe et étonnant . Bébé en route, changement de
destination de vacances, coup de foudre ; la vie va
vous attendre là ou vous ne l’attendez pas !
POissOns 20 fév. / 21 mars
Vous serez débordé de boulot cet été mais le travail
c’est la santé ! Vos qualités professionnelles sont
reconnues de tous, profitez-en pour demander une
augmentation, c’est le moment ! Côté cœur, l’époque
est agité car vos vies respectives sont pleines d’agi-
tation et vous êtes souvent sous pression. Le prin-
cipal c’est de savoir que l’amour profond l’un pour
l’autre est toujours là, et que ça n’est pas prêt de
s’arrêter ! Alors profitez à fond de vos vacances pour
vous ressourcer de part et d’autre.
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le bon astro Juillet / Août 2012
Consultations privées au 01 75 43 05 20. Dites “BONBON” et vous aurez 5 minutes offertes pour toutes consultations payantes.
Il vous suffit de prononcer le mot magique le Bonbon au moment de payer et vous bénéficierez de l’offre annoncée !
© Arnaud Chaillou
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28 — rive gauche 29 — rive gauche
le bon endroit
il est de ses endroits où l’on est instantanément saisi
par l’ambiance. Lorsque l’on pénètre à L’indonésia, on
est happé avec émerveillement par le choc culturel.
ce restaurant de spécialités indonésiennes tradi-
tionnelles, comme l’indique son nom, situé non loin
du jardin du Luxembourg et du théâtre de l’Odéon est
depuis 1982, le premier du genre, à Paris, à proposer
des dégustations de cette partie du monde.
« Ici, rien d’industriel, tous les ingrédients qui compo-
sent les plats sont faits maison, il est très important
de respecter le côté traditionnel de la gastronomie
Indonésienne », me confie Anita, la responsable du
lieu, « les plats sont les mêmes que ceux que vous
pourriez déguster sur une plage de Bali, ils se trans-
mettent avec le temps de générations en généra-
tions ». La gestion de cette adresse rend elle aussi
hommage aux traditions du pays car il n’y a pas de
patron ici, les dix personnes qui y travaillent forment
une coopérative, elles gèrent, prennent les décisions
et récoltent les fruits de leur activité ensemble.
Tous vous invitent avec une bonne humeur sans égal
à venir découvrir la culture de leur pays, le plus grand
archipel du monde qui comprend plus de 17 000 îles
et dont la gastronomie est reconnue pour la diversité
de ses saveurs et pour ses arômes subtils.
Passer un moment à l’Indonésia, ce n’est pas simple-
ment dîner ou déjeuner au restaurant, c’est une vraie
invitation au voyage, c’est passer un moment en Asie
sans avoir à prendre l’avion.
Le décor est typiquement indonésien avec ces
masques et ces tableaux aux murs. Au menu, on
retrouve une cuisine très riche, un véritable mel-
ting pot de spécialités comme le célèbre et savou-
reux Rijstafel, un assortiment de mets authentiques
autour d’un plat de riz, dont le Rendang (morceaux
de bœuf au lait de coco mijotés avec des herbes
et des épices de Sumatra), les Satés (petites bro-
chettes de poulet, ou d’agneau accompagnées
d’une sauce de cacahuètes) ou encore le Nasi
Goreng (riz frit légèrement relevé d’ail, d’oignon et
mélangé à des morceaux de poulet et des crevettes).
La cuisine indonésienne est généralement assez
relevée grâce au mariage de l’oignon, de l’ail et du
piment, épice principale de cette cuisine. Cepen-
dant, les plats de l’Indonésia tiennent également
compte des goûts occidentaux, tout en conservant
l’originalité des recettes traditionnelles. Le deuxième
et le dernier vendredi du mois, le restaurant prend
des allures de fête et l’on peut déguster les délices
locaux aux rythmes et aux charmes des danses
spectaculaires indonésiennes.
Texte & Photo Arnaud Chaillou
L’IndonésiadéPAyseMent GARAnti
28 — rive gauche 29 — rive gauche
Vous l’avez bien compris le dépaysement est total et
réussi. Le Bonbon recommande fortement ce voyage
culinaire qui fera à coup sûr ressurgir les souvenirs
de voyages des connaisseurs ou bien vous donnera
tout simplement l’envie de foncer à l’aéroport, direc-
tion cet archipel mosaïque aux mille richesses.
L’Indonésia
12, rue de Vaugirard – 6e
Tél. : 01 43 25 70 22
www.restaurant-indonesia.com
30 —
le bon agenda Agenda des manifestations culturelles
EXPOSITIONS
Jusqu’au 5 juillet Regards croisés sur l’Ouest
américain. À l’occasion du festival annuel du Village
Verneuil et du carré Rive Gauche, la GALERIE
ORENDA propose une exposition réunissant un
peintre navajo, TONY ABEYTA, étoile montante
de la nouvelle génération d’artistes amérindiens
contemporains, le peintre provençal PIERRE
CAYOL, surnommé « le fou d’Amérique » et
EDwARD CURTIS, photographe emblématique
des Amérindiens du début du XXe siècle.
Galerie Orenda,
54, rue de Verneuil - 7e
www.orenda-art.com
VIVE LE DESSIN LIBRE ! Charles de Gaulle en
caricature. De ses débuts en politique à sa mort,
Charles de Gaulle n’a cessé d’être une source
d’inspiration pour les dessinateurs de presse.
L’exposition rassemble Moisan, Faizant, Effel,
Pol-Ferjac, Sennep ou Plantu, publiés dans
les plus grands journaux comme Le Canard
Enchaîné, France Soir, l’Express, ou Le Figaro.
Musée de l’Armée – Hôtel national des Invalides
Du 7 août à mi-octobre
129, rue de Grenelle - 7e
www.invalides.org
Double exposition au Jardin des Plantes. D’une
part, PLANèTE GRENOUILLE : pour sa deuxième
édition, le prix Photo par Nature a fait appel au
grand photographe Reza pour présider son jury de
professionnels. Une grande exposition des plus
belles photos d’amateurs de l’édition 2012 et des
clichés du professionnel lauréat de l’édition 2011,
Xavier Desmier. D’autre part, LES VIES DANS LES
SUNDARBANS, la plus grande mangrove du monde,
le projet de Xavier Desmier. À savoir : l’ensemble des
Sundarbans, devenu Patrimoine mondial de l’Unesco
en 1986, vient d’être nommé Neuvième nouvelle
merveille du monde naturelle, par la New Seven
wonders Foundation en 2011.
Jusqu’au 12 septembre
Jardin des Plantes - rue Geoffroy Saint-Hilaire - 5e
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30 —
le bon agenda Agenda des manifestations culturelles
Glady’s
26 rue de Maubeuge - 75009
tél. : 01 48 78 70 14Venez profi ter des soldes chez Glady’s !
Alimentation et friandises
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NICOLAS POUSSIN ET MOÏSE, HISTOIRES TISSÉES
à la Galerie des Gobelins. L’exposition rassemble pour
la première fois depuis le XVIIe siècle, les tapisseries
d’après Poussin réalisées à la Manufacture royale
des Gobelins sur le thème de la vie de Moïse.
Jusqu’au 16 décembre
42, avenue des Gobelins - 13e
www.mobiliernational.culture.gouv.fr
ÉVÉNEMENTS
Soirées Before. Dégustations, ateliers et visites
contées. À l’occasion de l’expo LES SÉDUCTIONS DU
PALAIS, sur l’art de cuisiner et de manger en Chine, le
musée du Quai Branly organise un week-end d’activités
autour de la table et des traditions chinoises.
Au programme : une déambulation gastronomique
dans le jardin, des ateliers d’initiation au mahjong,
des visites contées, un après-midi consacré à la
cérémonie du thé…
Les 6 et 8 juillet Musée du Quai Branly - 37, quai Branly
FESTIVAL RÊVERIE au Salon de la Porte de Versailles.
Deux soirées électro à couper le souffl e. Sous l’égide
d’Ed Banger et de Boysnoize Records, le vendredi
6 proposera Mr Oizo, Busy P., Para One, Feadz ou
encore Boys Noize. Le samedi 7, terrain de jeu de
la we Love, nous pourrons nous extasier au son de
Richie Hawtin, Loco Dice ou Azarai&III. Du très, très
lourd côté soundsytem… Les 6 et 7 juillet
Terminal 4 du Salon de la Porte de Versailles - 15e
www.reveriefestival.fr
LA GUINGUETTE s’invite au pied de la Tour Eiffel. Tous
les vendredis de l’été, une terrasse de 650 m2 en plein
air vous accueille pour faire la fête de 19h à 4h du
matin. Dîner sur réservation, puis Let’s Have Party à
partir de 22h30. Pour la troisième année consécutive,
Marc-Antoine Surand (qui compte Cointreau Privé,
Ceci n’est pas un Restaurant ou Speak Easy sur
son tableau de chasse), revisite le concept de la
guinguette d’antan – parisienne et libérée.
Tout l’été (jusqu’à la fi n du mois de septembre)
32 — rive gauche
les bonnes adresses
SAVEURS & CO
38, rue de Bellechasse - 7e
Tél. : 01 45 55 00 05
AUX VERRES DE CONTACT
52, boulevard Saint-Germain - 5e
Tél. : 01 46 34 58 02
CECCALDI
15, rue Racine - 6e
Tél. : 01 46 33 87 20
GLADY’S
26, rue de Maubeuge - 9e
Tél. : 01 48 78 70 14
AUX VERRES DE CONTACT
52, boulevard Saint-Germain - 5e
Tél. : 01 46 34 58 02
KERSTIN ADOLPHSON
157, boulevard Saint-Germain - 6e
Tél. : 01 45 48 00 14
MINERALIFE EXPERT
2, rue du Sabot - 6e
Tél. : 01 43 31 94 81
FUXIA
13, rue de Médicis - 6e
Tél. : 01 43 54 21 68
SUISSE BEAUTÉ
2, rue Crebillon - 6e
Tél. : 09 51 68 49 10
CADRE ART
41, avenue de la Bourdonnais - 7e
Tél. : 01 45 55 49 35
LES PETITES CHOCOLATIèRES
20, rue Cler - 7e
Tél. : 01 47 05 59 30
ACQUA DI CASA
50 et 53, rue de Babylone - 7e
Tél. : 01 45 55 07 57
VELVETTE CARE DESIGN
15, rue dauphine - 6e
Tél. : 09 82 53 19 86
LE QUARANTE TROIS
4, rue Danton - 6e
Tél. : 01 81 69 00 60
BD ET COMPAGNIE
71, rue de Lourmel - 15e
Tél. : 09 81 87 06 30
CHEZ PAPA
101, rue de la Croix Nivert - 15e
Tél. 01 48 28 31 88
Régie Publicitaire
pub@lebonbon.fr
06 51 61 43 06
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