RAPPORT DE STAGE EL BORMA final version perso
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Ministère de l’enseignement supérieur
et de la recherche scientifique
Université de Carthage
Faculté des sciences de Bizerte
Etablissement/Formation:
FACULTE DES SCIENCES DE BIZERTE-Jarzouna 7021, ZARZOUNA BIZERTE Tunisie
Licence appliquée en géoressources et environnement
Entreprise d'accueil :
Station de Traitement et de Compression du gaz d’El Borma
STEG / Direction de Production et de Transport du Gaz
Année universitaire : 2015/2016
Rapport de stage Topographie, Analyse et échantillonnage, Exploitation
Mehdi Ounissi
Avril 2016
Encadré par :
Mr. Rachid ZINE EL ABIDINE (STEG)
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Rapport de stage Mehdi Ounissi
REMERCIEMENT
Avant d’entamer ce travail, je tiens tout d’abord à exprimer ma gratitude au corps professoral et administratif
de la Faculté des Science de Bizerte, pour la formation et leur encadrement durant l’année.
Ce stage me semble être une bonne occasion de mettre à l’épreuve les connaissances théoriques que j’ai
nouvellement assimilée au cours de cette année et de les appliquer de la meilleure façon possible.
Je présente ma reconnaissance à tout le personnel de « la direction gaz d’EL Borma » qui m’a accueillit,
conseillé et soutenu le long de ce stage à commencer par le chef station Mohamed BOUSSELMI mon
encadreur Mr Rachid ZINE EL ABIDINE qui était toujours là pour m’aider et à me diriger tout le long de
mon stage, les équipes dont j’ai travaillé avec : Mr Hamadi MHADHBI, Mr Ismail NENNI ainsi que tout le
personnel du service exploitation chargé de la surveillance des machines et de l’exploitation.
Je tiens à remercier le personnel de la SITEP qui m’a accueillit lors d’une visite pour leur aide et les
précieuses informations qui m’ont prodiguées.
Une opportunité pour laquelle je remercie toute personne ayant contribué de près ou de loin à ma formation
dont mes enseignants qui m’ont facilité mon départ étant avant les vacances.
Enfin, je remercie ma famille, pour le soutien et la patience qu’elle m’a témoignée.
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Sommaire
REMERCIEMENT ............................................................................................................................................. 2
Sommaire ............................................................................................................................................................ 3
Introduction ......................................................................................................................................................... 5
I- Description générale ...................................................................................................................................... 7
I.1. Un mot pour la sécurité............................................................................................................................ 7
I.2. Quelques données géologiques ................................................................................................................ 8
I.2.1. Données météorologiques divers...................................................................................................... 8
I.2.2. Le climat .......................................................................................................................................... 9
I.2.3. Orographie – topographie ............................................................................................................... 10
I.2.4. Ressources en eau ........................................................................................................................... 12
I.2.5. Données géologiques ..................................................................................................................... 13
I.2.6. La sismicité ..................................................................................................................................... 14
I.3 La direction du gaz El Borma en chiffres ............................................................................................... 15
I.4. Plan de masse de la station .................................................................................................................... 17
II- Tout commence du gisement ....................................................................................................................... 18
II.1. Les techniques d’extraction et exploitation .......................................................................................... 18
II.1.1. L’exploitation d’un gisement : ...................................................................................................... 18
II.1.2. L’étude du gisement ..................................................................................................................... 19
II.1.3. Le contrôle .................................................................................................................................... 26
II.2. Le rôle que joue la STEG .................................................................................................................... 26
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III. Travaux fait et apport de stage ................................................................................................................... 28
III.1.Outille mise à ma disposition ............................................................................................................... 28
III.1.1.Pour la topographie ....................................................................................................................... 28
II.1.2. Pour l’analyse et l’échantillonnage ............................................................................................... 28
III.2. Les missions des postes occupés ......................................................................................................... 28
III.2.1. Topographie ................................................................................................................................. 28
III.2.2. Analyse des échantillons .............................................................................................................. 32
III.2.3. Exploitation : Les différentes étapes du traitement ..................................................................... 35
III.3. Les apports de stages ........................................................................................................................... 40
III.3.1. Tâche périphérique : Traitement des eaux par osmose inverse et électrolyse ............................. 40
III.3.2. Nouvelles connaissances ............................................................................................................. 43
III.4. Les difficultés rencontrées .................................................................................................................. 43
Conclusion ........................................................................................................................................................ 44
Bibliographie .................................................................................................................................................... 45
Table d’illustration et des figures adjointes ...................................................................................................... 46
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Introduction
Les circonstances de stage étaient un peu particulières c’était le désert et le régime de travaille est un peu
différent que celui des autres entreprises. Au cours de ce stage j’ai appliqué quelques disciplines que j’ai
apprises à la faculté comme la topographie, l’échantillonnage et l’analyse et acquis d’autre comme les
différentes étapes de l’exploration et l’exploitation.
El Borma est une zone désertique connue comme zone pétrolière. Elle se situe au sud-ouest de la Tunisie à
proximité de l’Algérie et une autorisation est nécessaire pour y accéder.
Elle possède un climat assez particulier : un climat typiquement désertique.
La station d’El Borma est implantée sur un terrain de 76 883 m² localisé dans la délégation de Remada
relevant du gouvernorat de Tataouine. Le voisinage de la station est marqué par la présence des
établissements industriels suivants :
Au Nord une piste d’atterrissage et de décollage des avions
Au Sud une piste goudronnée et la station ENI
A l’Est par une piste d’atterrissage et de décollage des avions
A l’Ouest par la cité résidentielle (quartier de vie) et calo de base des sous-traitants des pétroliers d’el
Borma
Même si on est en plein Sahara et en dépit de la rigidité de ce climat le fait d’être tout près du grand erg
oriental et de voir les étendues de sable un tel paysage te procure des sentiments qu’on ne peut décrire.
Le régime de travaille pour toute les industries liées à l’activité pétrolière y présente est un peut particulier :
on travaille deux 02 semaines de suite et on se repose pendant les deux 02 semaines suivante est les équipes
changent inversement pour garder un bon rythme de travaille durant l’année.
C’était une très bonne occasion pour tester mes connaissances en même temps que renforcer ma formation
en appliquant tout ce qui théorique où d’apprendre de nouvelles techniques.
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Figure 1 : Carte de localisation de la station d'El Borma
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I- Description générale
La station du STEG reçoit du gaz de divers sources et natures et le traite à fin d’en tirer profit au lieu qu’il
soit torché obtenant ainsi du gaz combustible pour le fonctionnement des moteurs utilisés et des groupes
électrogènes de la SITEP et des gaz dont on envoie vers Gabes (gaz sec et la partie humide associé
« condensat ») et un gaz destiné pour la SITEP (gaz lift) utilisé pour l’extraction du pétrole.
Cette station a comme but de traiter et de comprimer le gaz et de produire des gaz (sec et lift) et du
condensat.
I.1. Un mot pour la sécurité
La sécurité est l’affaire de tout le monde puisqu’on manipule un gaz fortement inflammable que dés la
présence de la moindre étincelle issue même d’un téléphone portable (qu’on interdise son utilisation) peut
causer d’importants dégâts.
Parlons des risques ; au cours du travaille on manipule constamment des équipements et du matériel
dangereux il est donc impératif de porter un casque et des chaussures de sécurité à fin de se protéger et de
minimiser l’amplitude des dégâts en cas d’accident.
Un contrôle est toujours réaliser pour suivre la concentration du gaz qui est fortement inflammable et
explosible (entre 5% et 15%) en addition qu’à certaines concentrations élevées et même s’il n’est pas
toxique il peut causer l’asphyxie et engendrer la mort.
La connaissance des issues de secours, des emplacements des extincteurs et la façon d’agir contre le feu sont
cruciales en cas d’accident et peuvent sauver des vies et minimiser les dégâts matériels. Mais le fait d’être
attentif en travaillant et au risque peut éliminer tout dangers : une identification précoce d’une fuite qui
pourrait se développer causant ainsi des dégâts matérielles voir même humains n’est assuré que si on est
vigilant.
La réalisation des simulations, des formations de maitrise de feu, de secourisme et le contrôle continue du
matériel de sécurité constitue une étape cruciale pour assuré la bien vaillance du personnelle.
Bref, il faut toujours prévoir le pire des scénarios possible pour être toujours prés à tout et assuré la sécurité
de tout le personnelle.
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I.2. Quelques données géologiques
I.2.1. Données météorologiques divers
L’écart des températures est très grand entre jour et nuit et selon la saison (en hiver elle est à l’ordre de -2°C
et en été elle attienne les 50°C), une pluviométrie faible, l’air est sec et chargé de sables fin et c’est en
printemps généralement où cette charge accroit dût à l’augmententation de l’amplitude du vent provoquant
une diminution de la visibilité et le transport devient difficile à impossible en présence d’un tel vent de sable.
Les vents dominants en hivers et début printemps sont du secteur O, NO, SO, ce sont des vents violents, sec
set froids et accompagné de tempête de sable.
Et c’est pendant la période estivale, la saison du sirocco que les températures atteignent leurs maximums,
l’humidité de l’air décroit (<10%) et on a une moyenne de 37 jours de sirocco par an (MEDD. 2006
Figure 2: Roses des vents saisonnières et annuelle de la station de Remada
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I.2.2. Le climat
S’après ses caractéristique climatique, la zone ou se situe El Borma est classé au sens d’Emberger (1955)
sous le bioclimat méditerranée, étage saharien inférieur, variante à hiver frais.
Figure 3: Carte bioclimatique de la zone d'El Borma
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I.2.3. Orographie – topographie
La zone ou se situ El Borma est couverte essentiellement par des sols minéraux peu évolués et peu profonds
d’érosion lithosolique à voile éolien sur une croûte calcaire parfois démantelée dans les collines.
On constante aussi que la majorité des affleurements se compose de roches sédimentaires essentiellement
calciques.
Figure 4: Carte pédologique de la zone d'El Borma
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Figure 5 : Carte d'occupation des sols dans la zone d'El Borma
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I.2.4. Ressources en eau
D’après la carte hydrogéologique, la nappe profonde du continental intercalaire de l’erg oriental constitue la
seule ressource en eau dans la zone où se situe El Borma.
L’aquifère supérieur du continental intercalaire d’une épaisseur moyenne de 131 m intéresse tout le domaine
de l’extraime sud son écoulement se fait vers l’ouest et nord-ouest.
Figure 6 : Carte hydrogéologique de la zone d'El Borma
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I.2.5. Données géologiques
La zone ou se situe El Borma appartient à la grande zone tectonique du Sahara et de la région du Dahar dont
les série sédimentaires appartiennent à l’ère secondaire. Elles vont du Trias au Crétacé supérieur et
s’inclinent dans deux directions à l’Ouest et au Sud-ouest. Le crétacé supérieur constituant l’ossature de
Dahar, est formé de calcaire et de marnes. Quand aux crétacé moyen et inférieur affleurant sur le front
oriental du Dahar, ils sont composés de dolomie et de banc sableux argileux
Figure 7 : Carte géologique de la zone d'El Borma
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I.2.6. La sismicité
D’après la carte sismotectonique de la Tunisie, la zone d’El Borma est caractérisé par l’absence d’une
activité sismique selon l’’échelle MSK
Figure 8 : Carte de la sismicité de la zone d'El Borma
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21%
59%
20%
collège cadre collège maîtrise collège exécution
I.3 La direction du gaz El Borma en chiffres
En 2015, l’effectif de la station d’El Borma a atteint 183 agents répartis comme suit :
En ce qui concerne les entrées du gaz et la production, on peut les schématiser comme suit :
Figure 10 : Diagramme d'effectif présent à El Borma
Figure 9 : Le soutirage et la production
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Figure 11 : Carte d'activité pétro-gazière et minière
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I.4. Plan de masse de la station
Figure 12 : Plan de masse de la station d'El Borma DG STEG
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II- Tout commence du gisement
La zone d’El Borma contient prés de 450 puits dont une majorité contienne du pétrole avec du gaz associé,
une partie contenant que du gaz et d’autres contenants de l’eau qu’on utilise essentiellement dans deux
domaines : l’extraction du pétrole et l’utilisation sanitaire.
II.1. Les techniques d’extraction et exploitation
Au cours d’une visite à la SITEP qui se site à 4Km de la DG STEG et qui fournis du gaz à la station, j’ai eu
l’occasion de voir de près le fonctionnement de cette boite et les différents services qu’elle fournisse et c’est
aux technique de forage, d’exploration et de suivie des puits que je me suis intéressé.
II.1.1. L’exploitation d’un gisement :
La technique d’extraction du pétrole varie selon le type du puits.
On peut utiliser que la pression du gisement lorsque cette dernière est importante on aura ainsi un
écoulement (un flux) continu : c’est le cas des puits éruptifs.
Lorsque cette pression diminue et c’est ce qu’il va se passer tôt ou tard on utilisera une de ces techniques :
La première consiste à injecter du gaz (gaz lift) pour alléger l’huile et la pousser à sortir mais cette technique
est moins utilisé vu que lors du transport du gaz sa pression diminue et par conséquent son effet sur les
réservoirs loin (10à30 km) du centre des huiles (qui est la source de compression et distribution de ce gaz)
devient moins important et limitant ainsi son utilisation et la réservant que pour les puits tout prés du centre
où son action est optimale.
Même en utilisant cette technique on arrivera un jour à ne plus pouvoir extraire cette huile alors on utilise
une deuxième technique qui consiste à utiliser des moteurs électriques en premier lieu et une injection d’eau
affin de « laver » le réservoir (lorsque le réservoir est presque à sec): l’eau agit comme une barrière et assure
l’assemblage du pétrole en un point et l’évacuer avec une pompe électrique monter avec un moteur
électrique et un système d’injection d’un produit chimique qui inhibe la décantation des sels au parois de la
pompes et par suite contribuer à l’extension de la duré de vie du matériel immergé munis par d’autres
composante qui joue un rôle dans la fixation. Ensuite on transporte le tout dans des conduites vers un point
de réassemblages qu’on appelle satellite où on collecte le pétrole issue de plusieurs puits situé à proximité
voir même d’un autre satellite à fin de minimiser les conduites l’énergie affin de gagner plus d’argent.
Pour bien gérer ses ressources (les 450 puits) on doit connaitre la pression et le débit du pétrole qu’on extrait
de chaque puits pour qu’on assure une exploitation rentable (les venues des puits) et un transport réussit vers
les satellites en premier lieu et puis vers le centre des huiles de la SITEP.
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Lorsque le pétrole arrive vers le satellite il est chargé en gaz et en eau et c’est là où il subit une
première séparation bi-phasique (liquide - liquide) et donnant ainsi naissance à deux produits : le
pétrole brut et du gaz d’une part et de l’eau d’autre part et cela est du grâce a son passage par un
réflecteur qui disperse et « coupe » la liaison entre ces trois produit et ensuite il passe par une
chicane (sorte de tamis à la vertical). L’eau étant la plus dense est drainée par une conduite qui se
trouve en dessous du séparateur et une conduite en haut pour évacuer le gaz et une conduite latérale
pour l’huile. Dans chaque station on trouve deux séparateurs : un premier pour les basses pressions
et un deuxième pour les hautes pressions (le fonctionnement est le même).
Ces produits seront ainsi traités à part dans des échangeurs tri-phasique pour assurer qu’on a des
produits finals « pures » : du pétrole brute, du gaz, de l’eau. Cette séparation tri-phasique est très
importante vu qu’elle influe la qualité du produit (gaz, pétrole).
II.1.2. L’étude du gisement
Une étude géophysique est toujours faite au préalable :
Une prospection par méthode sismique à fin de voir les structures internes souterraines associé à
des carottages et des corrélations avec des logs diagraphiques différés d’autre puits pour avoir les
information nécessaires tel que :
L’épaisseur des formations traversées
La dureté des formations
Leurs âges de point de vue géologique
La position de la formation cible (le réservoir)
Figure 13 : Etude sismique de
la Zone d'El Borma et log
stratigraphique associé du puits
EB 406-5
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Ces informations semblent de loin basiques, mais en effet c’est grâce à ces dernier qu’on détermine la
méthode et les outils de forage : les calcaires et les argiles par exemples n’ont pas la même dureté ; les outils
changes alors et la technique de même.
Le carottage sert à voir les formations et de connaitre certains paramètres : constituants, porosité, épaisseur.
N.B. : cette carotte, réalisé par des agents de la SIITEP, concerne l’évolution des polluant et de voir leur
vitesse d’infiltration au prés d’un lac, quelque soit le but de notre carottage la technique et les résultats sont
presque toujours les mêmes c’est juste la façon de les interpréter qui change selon le thème de l’étude. (Ce
n’est qu’un simple exemple de carotte).
La machine utilise n’est pas celle qui est en dessus (ce n’est qu’un exemple)
Figure 14 : Machine de carottage
Figure 15 : Exemple de carotte (SITEP)
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Figure 16 : Profile prévisionnelle du puits EB 406-5
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Un forage est une cavité, approximativement tubulaire, ayant un diamètre nominal défini par l'outil de
forage. Le diamètre peut varier énormément, on parle de forage petit diamètre pour des diamètres allant
jusqu'à 250 mm puis de forages à gros diamètres.
Le forage est généralement rempli d'un fluide qui peut être de nature variable : boue à la
Bentonite, eau, mousse, boue à l'huile, air etc. La boue qui rempli le trou de forage à des rôles multiples qui
sont :
Le nettoyage du trou, les déblais (cuttings) sont remontés à la surface ou ils sont partiellement
récupérés et étudiés par les géologues.
Le maintien des parois du trou et des fluides contenus dans les formations. La boue en effet de par
ses caractéristiques physiques et chimiques, exerce sur les formations une contre pression. Cette
contre pression a bien évidemment une influence sur le comportement des fluides dans le voisinage
du trou.
La lubrification et le refroidissement
La consolidation des parois du forage en déposant en face des zones perméables un dépôt de boue
que l'on appelle mud-cake. Ce mud-cake finit par empêcher toute circulation de fluide entre le trou
de forage et la formation
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Molette à terrains
Tendres Dures
↓ ↓
Outil à diamant naturel
pour des terrains très durs
Figure 17 : Machine et outils de forage
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Le forage est loin d’être un simple troue cylindrique, il se fait suivant un ordre comme il est présenté comme
suit :
Figure 18 : Profile du puits
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La profondeur d’un forage varie d’un ouvrage à un autre mais essentiellement il a une forme télescopique ;
on fore d’abord un troue dont le diamètre est égale à 24’’ on procède ainsi au tubage et à la cimentation le
premier troue va se terminer par la mise d’un sabot qui sera le point de départ du deuxième niveau dont le
diamètre diminue et de même on refait un tubage et une cimentation. On continue comme ça, jusqu’à arriver
au 4ème
niveau (celle dont le diamètre est 8’’ ½) qu’on appelle aussi tube d’exploitation.
Après avoir fait le forage on n’aura rien puisqu’on a bloqué les formations par la boue en premier lieu et puis
par le tubage et la cimentation. Il est nécessaire donc d’utiliser une dynamite afin de détruire la paroi externe
du dernier tube et le rendre poreux et par conséquent on aura notre huile.
Après cette étape on torche le bouchant de gaz et on monte l’arbre de Noël (la partie apparente du puits) qui
sert à fixer les tubes et à contrôler le flux sortant du puits.
Dans un forage on peut introduire des pompes immergées, un packer avec un vanne régulatrice et un
landing-nipple qui servent à laisser passer ou à bloquer le flux d’huile ou à faciliter l’extraction du pétrole on
ce qui concerne l’utilisation de la pompe immergé.
Le Christmas – tree, l’arbre de noël ou tête de puits sert à beaucoup de chose :
Retenir les tubes « casings »
Contient un jeu de vanne qui
contrôle le flux sortant du puits
Contient des points de piquages
d’où on peut prendre des
mesures
Contient un orifice de sécurité
pour le traité à part du réseau
dont il est lié
Il couronné d’un trou contrôlé
par une vanne dite de chasse
Figure 19 : L'arbre de Noël
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II.1.3. Le contrôle
Pour que tout se passe bien il faut toujours contrôler ses puits.
La plus part de ce travaille se fait sur terrain.
Une équipe se dirige vers un puits et prenne les mesures nécessaires tel que la pression et la température,
mais parfois on demande des mesures de l’intérieur du puits et là on arrive à voir l’utilité de la vanne de
chasse qui se trouve en tête du puits.
Mais ces mesures ne sont pas prise directement vu qu’on manipule des pressions et des gaz fortement
inflammables et toxique : une bouffé de H2S et de CH4 est on sera mort !
Pour cela on se sert des vannes pour couper le flux du pétrole et du gaz tout en y injectant de la boue qui sert
à établir l’équilibre hydrostatique à condition que la boue utilisé à la densité adéquate : elle n’est pas très
dense de tel façon elle bloque notre puits à jamais ou dans le cas contraire où elle retient le gaz
momentanément et puis le puits éjecte des bouchons de gaz et/ou -d’huile. Au cours de toute cette
manipulation le puis et lieu à une torche pour évacuer le gaz et « tuant » ainsi le puits. L’agent responsable
de la prise de mesures agit après avoir vu que l’ampleur de la flamme à diminuer (flamme moins importante
= quantité de gaz moins importante).
Les mesure se fait par des files et des sonde qu’on plonge dans le puits.
II.2. Le rôle que joue la STEG
Avant on torchait le gaz associé à l’huile (pétrole), mais de nos jours et vu qu’il nuise à l’environnement
d’une part et à l’économie d’autre part puisque le fait de le torcher n’est qu’un gaspillage d’énergie qu’on
peut exploiter et d’en tirer profit et c’est là où intervient la STEG pour « récolter » ces gaz « brutes », les
traite et appauvris de tout ce qui est exploitable et puis elle refoule son produit (gaz et condensat) vers des
divers destinations (SITEP, Gabes et la station elle-même).
Les gaz que reçoit la STEG sont issus de diverses sources : le centre des huiles (SITEP), Sonatrach (gaz
algérien), L’ENI et Winstar. Ces gaz sont généralement des gaz associé au pétrole et par suite il subisse une
sorte de prétraitement avant d’être expédié vers la station.
Prenons comme exemple les gaz issus de la SITEP :
La SITEP qui possède des puits qui contienne du pétrole, et généralement avec ce pétrole on à un gaz dont sa
quantité varie d’un puits à un autre et notamment sa composition.
Ce gaz est extrait à des différents niveaux ; on allant vers un stade plus évolué de séparation (du gaz) sa
quantité diminue mais en revanche sa qualité accroit.
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On appelle ces stades de séparation des étages.
Figure 21 : Schéma simplifier du fonctionnement des séparateurs tri-phasiques
Figure 20 : Photo : un des puits de la SITEP
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III. Travaux fait et apport de stage
Au cours de ce stage j’ai de la chance d’appliquer des pré-requis issue de ma formation et d’assimiler de
nouvelles information grâce à la pratique.
III.1.Outille mise à ma disposition
III.1.1.Pour la topographie
Pour le levé topographique on a eu recoure à un théodolite de type SOKKIA POWERSET semi-automatique
munie d’un prisme réflecteur télescopique et un pc avec des programme spécifique.
II.1.2. Pour l’analyse et l’échantillonnage
Au sein du laboratoire on trouve de diverses machines qui servent à donner la teneur du gaz en eau ou en
soufre et un chromatographe en phase gazeuse qui sert à analyser plus précisément les échantillons de gaz.
Pour l’échantillonnage on se sert d’une bouteille qui supporte la pression et surtout le fait qu’elle soit
certifiée.
III.2. Les missions des postes occupés
III.2.1. Topographie
Tout nouveau projet doit être précéder par une étude de terrain est c’est là où intervient le topographe. Au
cours de la période que j’ai passé à la direction du gaz El Borma j’ai eu de la chance de participer à un levé
topographique.
Tout levé topographique doit avoir une origine, un point fixe qui servira comme repère de notre
acheminement. Ce point repère est dit point géodésique il est bien définit ayant une longitude, latitude et
altitude propres ; y en a plusieurs prédéfinit par l’OTC même parfois un tel point peu être loin du terrain
étudier et pour cela on utilise soit un GPS différentielle pour avoir notre localisation à trois centimètres près
ou de poser des coordonnées pour le point repère et de réaliser des changements postérieurs.
Après avoir fixé notre repère et le marqué par un piquet qui servira ultérieurement pour le réglage du
théodolite mais avant de commencer par la machine elle-même on doit mettre les pieds fermement sur terre,
celle du tri-pied.
Le trépied doit être ouvert premièrement de telle façon on garde un niveau de lecture disons « confortable » :
pas très haut, pas très bas, à la hauteur pour assurer une mesure où on est bien à l’aise sachant qu’on peut
prendre plusieurs point d’une seul station et par suite on peut rester des heurs debout mais si en se penche
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pour lire ou essaye de se levée avec les pointes des pieds on va sentir la fatigue plus rapidement et on sera
moins efficace. Le trépied ainsi ouvert correctement on met le théodolite qu’on doit s’assurer au préalable
que ses axes sont libres et on le fixe sur la platine.
On fixe un pied sur terre et on manipule les deux autres toute en gardant un œil sur la viser est là on essaye
de trouver la position ou le centre du viseur (une sorte de cercle avec un point au centre) avec le piquet et là
on fixe tout les pieds sur terre en servant de notre poids tout en faisant attention à ce que le piquet soit bien
au centre ; cette étape est très importante car une bonne fixation garantie une bonne lecture en présence de
divers facteurs externes comme le vent ou si on heurte le trépied accidentellement.
Maintenant, après tout ça, on doit avoir une horizontalité parfaite pour avoir une bonne lecture et pour cela
on doit connaitre que sur le théodolite on a deux indicateurs de niveau d’horizontalité : une bulle sphérique
sur la base de la machine et une bulle tubulaire juste en dessous de l’objectif et c’est grâce à ces indicateur
qu’on aura l’horizontalité parfaite ; on procède comme suit :
On commence par essayer de mettre la bulle sphérique au centre en ajustant la longueur des pieds :
Au cours de cette étape on se sert d’un pied qu’on met au dessus du pied du trépied afin de le garder fixe, les
deux mains où l’une sert pour freiner la monté ou la descente et l’autre pour ajuster la longueur et de fixer le
pied et un œil sur la position de la bulle. On change de pied ou de la nature d’ajustement en fonction du
comportement de la bulle c'est-à-dire si elle tend vers un pied c’est celui qu’on doit ajuster et lorsqu’elle est
en dessus du centre (d’après le point de vue) on allonge le pied et si c’est le cas contraire on la raccourcisse.
Figure 22 : Schéma lié au fonctionnement du théodolite (1)
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Après avoir centré la bulle sphérique ou
presque, on remit en position la station en
visant et en changeant sa position sur la
platine toute en faisant attention pour ne
pas déstabiliser le trépied. Ensuite, on
continue le réglage de l’horizontalité par
l’intermédiaire de trois vises calantes et
en se moment on s’intéresse par le
comportement de la bulle tubulaire et on
procède comme suit : on tourne deux
vises au même temps dans le même sens
et c’est vises doivent être parallèles à la bulle tubulaire et on procède dans un sens tout en suivant le
comportement de la bulle à fin de changer le sens ou faire un réglage plus fin ; la bulle doit être contenue
entre les deux grands tirets qui indiquent un minimum d’erreur. Ainsi centré on contrôle avec le 3ème
vise
après une rotation de 90° ou autrement passer à la position où on est perpendiculaire à la position initiale et
on revient à la position initiale pour contrôler et affiner le réglage et vice-versa jusqu’à ce qu’on obtient un
réglage fixe.
Après avoir bien fixé le théodolite et assurer son horizontalité on introduit l’hauteur de l’axe du théodolite
par rapport au repère et l’hauteur du prisme réflecteur et suite à des règles trigonométrique on obtient la
distance qui sépare le repère de la cible (le point) et de déterminer ses coordonnées (latitude, longitude et
altitude).
Passons ensuite aux mesures, ce travaille demande dans notre cas deux personne puisqu’il s’agit d’un
théodolite semi-auto donc y en à une personne qui va s’occuper de la prise des point et de guider l’autre
personne par radio celle qui s’occupe du prisme réflecteur.
Le prisme réflecteur doit avoir aussi une horizontalité parfaite pour que la lecture soit bonne mais comme on
est humain le parfait n’existe pas et pour cela la machine prend les résultats et en ajoutant l’erreur.
L’horizontalité du prisme est contrôlée par une bulle sphérique comme celle présente sur le théodolite et la
manipulation du prisme est semblable à celle des pieds du trépied.
Le prisme réflecteur semble à une mire mais la seul différance c’est que celui là reçoit un rayonnement du
théodolite et le renvoie et c’est grâce à cette réflexion qu’on détermine les coordonnées de la cible.
Ce prisme réflecteur semble à un javelot (extrémité pointu) avec un miroir possédant une sorte de repère qui
sert pour la prise des points : on se servant de l’objectif et l’ajustant pour bien voir le réflecteur et surtout ce
repère on a une sorte de croix « + » qu’on coïncide et des tirets dont deux sont simple et coïncide avec les
Figure 23 : Schéma lié au fonctionnement du théodolite (2)
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Rapport de stage Mehdi Ounissi
lignes du repère sur le prisme et les deux autres sont doublé et les lignes du repère de prisme et quasi au
milieu.
Pour qu’on prendre une mesure plus ou moins parfaite, au cours de la visé, on a une sorte de triangle avec
une extrémité pointu on essaye de la coïncider avec le corps du prisme réflecteur et puis on essayer de voir
le prisme on fixe après l’axe horizontale et on fait quelque ajustements si c’est nécessaire et on vise toujours
sur le point le plus bas du prisme réflecteur et puis on suit un mouvement à la verticale et on s’arrête
lorsqu’on repère notre prisme réflecteur et si le miroir est un peu loin ou n’est pas bien orienté vers le
théodolite on guide sont porteur pour coïncider le centre de l’objectif et celui du prisme et on appuie sur le
bouton « lecture ».
L’ors de l’établissement d’une nouvelle station on fait une lecture de l’ancienne pour calculer l’erreur et si
cette dernière est très élevée c'est-à-dire on a fait une faute qui généralement le fait de mettre le prisme loin
de la station et cette procédure se répète au tant qu’on réalise des stations.
Parmi les fautes qu’on commet toujours :
Le fait d’oublier de changer l’hauteur du prisme après l’avoir allongé (erreur majeur)
Ne pas bien fixer le trépied (erreur mineur)
Oublier la remise en point du théodolite (erreur majeur)
Oublier de changer l’option de lecture (angulaire ou en (X, Y, Z)) (erreur mineur)
Oublier de libérer le théodolite avant de commencer (erreur majeur)
Porter le prisme réflecteur incorrectement (erreur mineur à majeur)
Ne pas mettre le théodolite à une horizontalité parfaite (erreur majeur)
Après le terrain on transporte les données vers notre pc où on a les programmes adéquats pour convertir les
données brute on une carte qu’on peut l’utiliser et c’est ca le but de l’étude topographique.
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Rapport de stage Mehdi Ounissi
III.2.2. Analyse des échantillons
Pour l’analyse des gaz on doit être très délicat en ce qui concerne l’échantillonnage puisqu’on est devant une
pression qui est plus au moins élevé et qui peut entrainer de mauvaises conséquences.
Le fait d’oublier une vanne ouverte peut engendrer un incendie dés la présence de la moindre étincelle ou
encore si on ouvre une vanne ou le gaz circule à haute pression on peut endommager notre bouteille
d’échantillonnage si on dépasse un certain seuil et le pire c’est le fait la démontant et d’oublier de fermer la
vanne précédemment peut rendre un tout petit écroue en un projectile qui peut causer de graves blessures. Il
faut être, alors, très vigilant et de prendre son temps et de suivre une démarche bien déterminer et de
s’assurer que tout est bon avant de partir du site d’échantillonnage : les vanne sont fermer, les manomètres
démontés sont remontés et ils indiquent la vraie pression.
Pour l’analyse aussi il faut être délicat et surtout avec le chromatographe dont ses colonnes à membranes
sont tellement fragile que si on laisse passer la totalité du gaz d’un coup on favorise ainsi l’usure précoce du
matériel et peut être on la détériore d’un coup.
Commençant par le début, tout analyse nécessite un échantillonnage et pour qu’il soit réussit il faut
connaitre les conduites de gaz (dans notre cas) parfaitement pour ne pas prendre du gaz d’une zone
« morte » : on le gaz s’est coincé et fausser ensuite nos résultats et pour cela on doit voire les positions des
vannes et de les suivre.
Après avoir coupé la vanne qui alimente le point de piquage, démonté un manomètre pour mettre un flexible
et des adaptateurs pour lier la bouteille d’échantillonnage à la conduite du gaz ou dans des cas sans rien
enlevé on refoule du gaz dans la bouteille et puis on le fait sortir en totalité d’un coup et on refait ça trois fois
pour « laver » la bouteille d’échantillonnage de toute impureté et s’assurer l’absence d’un autre gaz qui peut
fausser nos résultats.
Après avoir fait ça on commence l’échantillonnage proprement dit, tout en faisant attention à la pression, on
n’a besoin de beaucoup de gaz ; 2 ou 5 bar suffisent largement mais parfois on prend 20bar.
Après l’échantillonnage on recoupe les vannes, on démonte notre bouteille, on remonte se qu’on a enlevé et
on remet tout à l’état initiale tout en s’assurant que tout est bon et il n’y a pas de risques.
Mais parlons d’abord de la bouteille d’échantillonnage avant de passer à l’analyse.
Cette bouteille n’est pas une bouteille normale que n’importe qui peut la construire ; elle doit passer un teste
de conformité avant qu’elle soit utilisée. Ce teste on l’appelle épreuve hydraulique où on met de l’eau dans
notre bouteille et en élimine la présence de l’air et on exerce une pression 1.5 fois que celle du
fonctionnement normale de façon étagée et temporairement espacée et généralement cette procédure consiste
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Rapport de stage Mehdi Ounissi
à se qu’on élève la pression en premier lieu progressivement à 50% de la pression d’épreuve et puis on
progresse par 10% chaque quart d’heur et en arrivant au seuil on la laisse pour un demi heur et au cours de
ces 15min d’attente on surveille le comportement de la bouteille envers cette pression et voir s’il y a des
fissures qui apparaissent.
La bouteille qu’on teste doit être préparé : bien entretenu et bien nettoyer. On doit connaitre les risque
puisqu’on manipule une pression assez importante alors on doit prendre des mesures de sécurité tel
qu’interdire l’entré à la zone d’essai une fois on a commencé.
Pour l’analyse, la procédure est simple on lie notre bouteille au chromatographe et on utilise un programme
après avoir introduire toutes les informations nécessaires tel que le nom de l’échantillon, sa source, sa nature
(humide/sec) et d’autres. Parmi ces informations y en a des paramètres qui change selon la nature c'est-à-dire
le protocole d’analyse pour les gaz humide n’est pas le même pour les gaz sec et même pas du condensat.
On fait circuler le gaz en premier lieu grâce à un orifice externe qu’on lie à la bouteille d’une vitesse faible et
constante (on la détermine grâce à une petit bouteille remplis d’eau par la quelle passe le gaz après une
trentaine de secondes voir même une minute on ferme notre bouteille et on appuie sur le bouton « START »
et on n’a qu’à attendre le résultat et cela peut prendre de six minutes à vingt minutes.
A la fin on aura un graphique avec des piques et les concentrations molaire de chaque substance et on les
introduit dans une feuille Excel où y en a des formules et on aura finalement notre rapport indiquant le
pourcentage de chaque substance et les caractères physiques du gaz.
Le chromatographe ne vas pas nous donner toujours un bon résultat on obtient parfois des courbes
« anormales » et là on doit intervenir pour régler ce problème ; la solution est bien simple : on utilise un gaz
vecteur ayant une composition préalablement définit on introduit ses valeur sur la courbe qu’on caractérise
comme « bizarre » et après comme si par magie on a des courbes bien faites et surtout fiables et exactes or
ce n’est qu’un simple étalonnage.
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Rapport de stage Mehdi Ounissi
Figure 24 : Rapport d'analyse Gaz
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Rapport de stage Mehdi Ounissi
III.2.3. Exploitation : Les différentes étapes du traitement
L’exploitation des gaz
peut être résumée avec ces
simples schémas, suivit de
quelques commentaires.
Figure 26 : Schéma de fonctionnement de la station de compression d'Ajax
Figure 25 : Circuit du gaz (Du gisement arrivant à Gabes)
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Rapport de stage Mehdi Ounissi
Le gaz sortant du gisement possède une pression plus ou moins faible allant de 0.05-0.5bar pour le gaz issue
du 3ème
et 4ème
étages de la SITEP et 0.3bar en ce qui concerne le gaz algérien à 2-3bar pour les deux
premiers étages de séparation de la SITEP et 3-5bar pour le gaz issue de Winstar.
Ces gaze passent par un ou deux compresseur(s) selon la figure donnée précédemment et sortent par
l’intermédiaire de deux conduites (la 16’’ et la 12’’).
Ces gaz sont transportés vers l’unité 100 où on élimine les liquides et les poussières par l’intermédiaire d’un
séparateur et qui fonctionne en se basant sur la différence de densité : l’eau étant le plus dense passe au fond
et on le draine tandis quand au gaz, il serait ainsi aspiré et transmis vers l’unité 200 et la partie liquide (là on
ne parle pas de l’eau) passe par une conduite vers la station de stockage GPL.
L’unité 200 est la responsable de la production du gaz et du condensat. Son principe de fonctionnement et
simple : Elle comprime les gaz, et on connait tous que d’après le diagramme et la pression/température une
élévation de l’un de ces paramètres entraine l’élévation de l’autre proportionnellement, et les refoule à un
aérateur : du gaz chaud rencontre un front froid, il se condense et devient un liquide en totalité ou
partiellement et c’est pour cela que le gaz passe toujours par un séparateur après cette étape. Le condensa
sera stocké dans le GPL.
Figure 27 : Schéma de principe de la station
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Rapport de stage Mehdi Ounissi
La compression se fait suivant des étages car si on comprime le gaz en totalité il surchauffera et causerait des
dégâts:
D’abord on doit connaitre les machines utilisé dans le processus de compression.
Il y en a deux types :
Un compresseur à moteur à gaz (KVS) : une partie moteur à 12 cylindre lié à une partie compresseur
qui se compose de 3 pistons et un compartiment ou deux (suivant la nature de la pression qu’on veut
au stade finale) dans lequel le gaz est aspirer et comprimer.
Un compresseur à moteur électrique qui se compose d’un moteur électrique lier par des pistons qui
compriment le gaz pareil que les KVS la seule différence c’est la source d’énergie qui sert pour faire
marcher le moteur.
Remarque : la capacité de compression des KVS est beaucoup plus importante qu’à celle des Dresser
électrique en plus de ça ces derniers utilise de l’électricité et en consomme énormément et que la STEG ne la
produit pas mais elle l’achète de la SITEP qui possède des générateurs qui fournissent de l’électricité pour
toute la zone d’El Borma. En contre partie les KVS possède des moteur à gaz, un gaz que la STEG produit et
donc c’est plus rentable d’utiliser les KVS qui à la fois n’utilise pas d’électricité et leur capacité de
compression et beaucoup plus importante.
Mais ces Dresser électrique sons plus simple à réparer et leur mise en marche ne prend pas beaucoup temps
comparé au KVS qui exige une maintenance et un contrôle tout les jours et leur réparation et beaucoup plus
difficile.
Le gaz passe d’abord par des KVS ou un Dresser électrique à base pression.
C’est un compresseur à un seul étage qui comprime le gaz pour qu’il atteint une pression au alentour de 9-
10bar au lieu de 2-3bar.
Passant ainsi par un aérateur et un séparateur il sera aspiré par le deuxième KVS/Dresseur à haute pression
et ce dernier possède deux étage une premier ou le gaz serait comprimé jusqu’à atteindre une pression au
alentour de 25bar, il passe par un aérateur où en récupère le condensat et puis il serait aspiré de nouveau
pour se comprimer et passer à une pression au alentour de 60-62bar.
Le gaz partiellement sec passe ainsi à l’unité 400 où il subit un dégazage et dégazolinage.
Le gaz sortant chaud des KVS/Dresseurs passe par une série d’échangeurs :
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Rapport de stage Mehdi Ounissi
Le gaz entre par une conduite où il se mélange avec le glycol issue de l’unité 600 avant de passer au
échangeurs pour inhiber la formation des hydrates qui des corps cristallins qui se forme à une pression égale
à 60bar et une température égale à 23°C et ils sont susceptibles de boucher les conduites puisque leurs
formation est fort probable étant donné qu’on fourni du gaz ayant une pression égale à 60b.
Le gaz passe par un premier échangeur, refroidi (de 45°C → 20°C) par le gaz sec sortant du dernier
échangeur, se condense et ne laisse passer que la phase gazeuse à l’échangeur suivant où il refroidi avec le
condensat récupérer du dernier échangeur. Enfin le gaz passe au dernier échangeur où il refroidi grâce à un
fréon issue de l’unité 500.
N.B. :
l’unité 500 est liée aussi aux aérateurs pour refroidir l’huile et l’eau des KVS (moteur) ce cycle est
fermé néanmoins on a toujours des pertes.
le refroidissement au fréon se fait suivant une chaine fermé mais en a toujours des pertes.
le glycol aussi circule en une chaine fermé mais on a toujours des pertes.
Pour des mesures de sécurité toutes les machines sont liées par un réseau vers une torche pour
évacuer le gaz en cas d’urgence.
Au cours de l’échange thermique il ya toujours une séparions entre le glycol hydraté, le condensat er
du gaz selon leur densité
Figure 28 : Schéma de fonction des échangeurs
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Rapport de stage Mehdi Ounissi
Les machines utilisées fonctionnent sur gaz est c’est pour cela qu’on à l’unité 800 qui fournie du fuel-gaz
pur toute les machines qui le nécessite.
Pour terminer la chaine de production et expédier les produits final : gaz et condensat vers Gabes il faut
passer par l’unité PK0 qui est une station de compression ou le gaz y entre possédant une pression égale à
60-59bar et sort avec une pression égale a 70-72bar et puis vers la station PK112 où le gaz subit une autre
compression et sera transmis à Gabes pour d’autres traitements.
N.B : En cas de coupure d’électricité la STEG possède l’unité 900 qui est responsable de la génération
d’électricité d’une façon provisoire.
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Rapport de stage Mehdi Ounissi
III.3. Les apports de stages
Ce stage m'a été très bénéfique car j'ai beaucoup appris. Durant cette période j’ai découvert la réalité de la
vie professionnelle et j’ai pu grâce à mon encadreurs et les équipes que j’ai travaillé avec d’assimiler un
savoir faire concernant le domaine de la métrologie et l’exploitation comme :
La métrise du théodolite (prise d’un levé topographique) ;
La métrise du chromatographe et du programme associé (des analyses sont faites sur
des différents échantillons de gaz de différentes natures et sources) ;
Les techniques et les étapes du traitement du gaz ;
Les étapes du forage et son suivit ;
L’exploration d’un gisement ;
L’exploitation d’un gisement (domaine pétrolier ou gazier : les différents types de
puits et les différentes techniques d’extraction et les traitements associés) ;
III.3.1. Tâche périphérique : Traitement des eaux par osmose inverse et électrolyse
El Borma est une zone où la pluviométrie est faible, les précipitations sont rares (moyenne annuelle est de
72.4 mm/an enregistré à Tataouine), irrégulières et dont le nombre de jours de pluie dépasse rarement 20
jours.
Pour l’eau potable, ici, on consomme de l’eau minérale mais en ce qui concerne l’eau utilisé pour toute autre
activité est une eau traitée.
L’eau extraite est très chargé en sel ce qui fait qu’on doit utiliser des techniques spécifiques pour la rendre
pure et là on utilise deux techniques : l’osmose inverse et l’électrolyse.
Commençant par l’osmose inverse, l’eau brute issu du puis passe par un aérateur pour qu’elle soit
vigoureusement agiter pour arriver à un bassin décanteur ; ce bassin possède deux niveaux : un niveau
« mort » ou règne la matière décantable et ce niveau on le nettoie en ouvrant une vanne de purge l’autre
niveau « l’efficace » par le quel passe l’eau vers une citerne de stockage et pour arriver finalement aux filtres
à sable grâce à une pompe qui l’aspire.
Ces filtres, dut à la granulométrie des sables, retiennent des particules plus fines et ils se nettoient
automatiquement d’une façon périodique.
Une pompe est utilisée ainsi pour refouler l’eau vers un hydrophore étanche pour minimiser l’utilisation de
la pompe : on maintient une pression de fonctionnement au alentour de 3.7bar pour assurer le
fonctionnement de l’osmoseur grâce à un matelas d’air.
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Rapport de stage Mehdi Ounissi
La cabine de l’osmoseur contient des filtres à charbon actif qui absorbe toute pollution et contribuent à la
diminution de la charge d’eau par les quels passe l’eau juste après être mélangé avec d’autre produits
chimiques qui servent :
A fixer le pH : « la soude caustique »
Pour le détartrage : « NALCO PC 191 »
Pour éliminer le chlore qui excède : « le méta-bisulfite »
Pour traitement de point de vie biologique et bactériologique : « le chlore »
Ces produit chimique sont injecté selon des dose bien déterminer : de l’ordre de 5-4L/100L pour les liquides
« NALCO PC 191 » et 1Kg/100L pour « la soude et les méta-bisulfites ».
Ensuite il est dirigé vers deux micros filtres ayant des mailles décroissantes « de 5µm à 1µm » pour subir
une dernière filtration et arriver finalement aux modules de l’osmose.
Ces modules sont des cartouches mises latéralement (une succession de trois) par les quelle passe l’eau et
que de l’eau ultra pure arrive à franchir cette membrane et tout autre substance reste en dehors. Cette eau
pure est collectée à partir d’une colonne interne et l’eau restante et ainsi recyclé et puis rejeté.
Cette technique utilise beaucoup d’eau à l’entré et y aura toujours une perte : théoriquement pour 10 m³ on
aura seulement 8 m3 avec 2 m
3 d’eau hyper saline à rejeter pour avoir un rendement rentable aux alentours
des 80%.
Ces filtres subissent de temps en temps un lavage avec trois substances chimiques :
PermaClean® PC-77
PermaClean® PC-67
PermaClean® PC-33
Les filtres doivent être changés car à force de les lavé on contribue à leur usure (ce processus attaque la
membrane) voir même qu’à force de filtrer plusieurs particules restent collées sur cette dernière et dans les
deux cas le rendement va diminuer et un remplacement et nécessaire pour reprendre le rythme normale de
production.
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Pour l’électrolyse, la méthode diffère un peux :
L’eau subit une filtration grossière et puis plus fine après être passée par un aérateur.
L’aérateur joue un rôle primordial dans la filtration car c’est grâce à lui qu’on exerce une force centrifugeuse
séparant ainsi la charge de l’eau et facilitant ainsi la tache des piles.
Ces piles sont une série de membranes à penne espacer afin de laisser circuler l’eau chargé en sels et autres
éléments et ses membrane dont l’une est à cation et l’autre à anions sert à capter les ions qui sont
responsable de la salinité(NaCl) ou même de la pollution (Fe2+
, Fe3+
) avec un cathode ou un anode.
On sait que deux entités possédant des charges différentes s’attirent et c’est bien ça le principe de
fonctionnement de la pile.
Et on parle d’électrodyalyse inverse (EDR) puisque il y a toujours une parte qui filtre l’eau en suivant son
principe de fonctionnement d’une façon normal (le sens du courant est positif) tandis qu’à l’autre partie elle
d’éclanche un cycle de nettoyage avec de l’acide chlorhydrique dilué et stocké au préalable et cela passe en
inversant la polarité du courant électrique.
Figure 29 : Schéma de principe de fonctionnement de l'osmose
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Rapport de stage Mehdi Ounissi
III.3.2. Nouvelles connaissances
Au cours de ce stage j’ai eu la chance d’assimiler de nouvelle connaissance et d’en maitriser tel que :
Les étapes du traitement du gaz
Les techniques de forage
L’exploitation dans le domaine pétrolier et gazier
III.4. Les difficultés rencontrées
Au cours de ce stage j’ai rencontré quelques difficultés que j’ai surmontées grâce à la pratique et la répétition
et surtout le support du personnel et des équipes dont j’ai travaillé avec :
La manipulation du théodolite et la mettre à l’horizontal
L’utilisation du chromatographe (le lancement de l’analyse et les paramètres utilisés et
l’échantillonnage du gaz
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Rapport de stage Mehdi Ounissi
Conclusion
Je tiens avant tout à remercier les équipes qui m’ont vraiment très bien accueilli durant la période de ce stage
et qui était toujours présentes lorsque je rencontrais des problèmes et toujours prêtes à mes questions.
Ce stage a parfaitement répondu à mes attente et m’a permis de découvrir un univers que je ne connaissais
finalement que très peu mais pour lequel je porte un immense intérêt.
Au cours de ce stage, j’ai su l’importance du cours donnée à la faculté car sans quelque notion de base on
sera déboussolé mais aussi sans ce stage je n’aurai pas su que le cours qu’on nous donne n’est pas complète
et là réside l’importance du stage : on connait maintenant ce qui nous manque et on n’as qu’à le chercher
Les thèmes traités et surtout en ce qui consterne le domaine de l’exploitation pétro-gazière sont des très vaste
et fascinants mais on remarque une absence en ce qui concerne la protection de l’environnement :
Des rejets de différents type : celle de la cité résidentielle, de la ferraille, de la fumé issue de l’incinération
des huiles usées, des eaux chargé en divers substances (organique et inorganique), … des rejets non traité ou
maltraité (en se qui concerne les déchets urbains issue du quartier de vie).
Il yen a des solutions tel que :
La valorisation de la ferraille
Le recyclage des huiles usées
Le traitement des eaux usées (on protégera ainsi une des plus grande nappes fossile en Tunisie celle
qu’on utilise à la station pour s’approvisionner en eau)
La gestion des déchait ménager : les enterrer convenablement au lieu de les laisser à la surface si non
ils vont se dispersés dans le désert créant ainsi une nuisance visuelle ou pire suite à la lixiviation on
risque de contaminer notre nappe fossile (il faut qu’ils soient enterrer et isoler).
« Les plus grandes épreuves auxquelles le Monde aura à faire face dans les années à venir seront la
surpopulation, le manque de ressources (eau, matières premières, pétrole...), des pandémies de toutes sortes
de maladies connues et nouvelles, des pollutions de toutes sortes (chimiques, air, eau, alimentation...) »
-Albert Einstein-
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Bibliographie
Rapport d’étude des dangers de la zone d’El Borma
Des rapports de la STEG DG El Borma.
Les connaissances des personnels (STEG et SITEP)
Manuel de l’osmoseur
Manuel de l’EDR
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Table d’illustration et des figures adjointes
Figure 1 : Carte de localisation de la station d'El Borma .................................................................................. 6
Figure 2: Roses des vents saisonnières et annuelle de la station de Remada .................................................... 8
Figure 3: Carte bioclimatique de la zone d'El Borma ........................................................................................ 9
Figure 4: Carte pédologique de la zone d'El Borma ........................................................................................ 10
Figure 5 : Carte d'occupation des sols dans la zone d'El Borma ..................................................................... 11
Figure 6 : Carte hydrogéologique de la zone d'El Borma ................................................................................ 12
Figure 7 : Carte géologique de la zone d'El Borma ......................................................................................... 13
Figure 8 : Carte de la sismicité de la zone d'El Borma .................................................................................... 14
Figure 9 : Le soutirage et la production ........................................................................................................... 15
Figure 10 : Diagramme d'effectif présent à El Borma ..................................................................................... 15
Figure 11 : Carte d'activité pétro-gazière et minière ....................................................................................... 16
Figure 12 : Plan de masse de la station d'El Borma DG STEG ....................................................................... 17
Figure 13 : Etude sismique de la Zone d'El Borma et log stratigraphique associé du puits EB 406-5 ........... 19
Figure 14 : Machine de carottage .................................................................................................................... 20
Figure 15 : Exemple de carotte (SITEP) .......................................................................................................... 20
Figure 16 : Profile prévisionnelle du puits EB 406-5 ...................................................................................... 21
Figure 17 : Machine et outils de forage ........................................................................................................... 23
Figure 18 : Profile du puits .............................................................................................................................. 24
Figure 19 : L'arbre de Noël .............................................................................................................................. 25
Figure 20 : Photo : un des puits de la SITEP ................................................................................................... 27
Figure 21 : Schéma simplifier du fonctionnement des séparateurs tri-phasiques ........................................... 27
Figure 22 : Schéma lié au fonctionnement du théodolite (1) ........................................................................... 29
Figure 23 : Schéma lié au fonctionnement du théodolite (2) ........................................................................... 30
Figure 24 : Rapport d'analyse Gaz ................................................................................................................... 34
Figure 25 : Circuit du gaz (Du gisement arrivant à Gabes) ............................................................................. 35
Figure 26 : Schéma de fonctionnement de la station de compression d'Ajax ................................................. 35
Figure 27 : Schéma de principe de la station ................................................................................................... 36
Figure 28 : Schéma de fonction des échangeurs .............................................................................................. 38
Figure 29 : Schéma de principe de fonctionnement de l'osmose ..................................................................... 42
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Rapport de stage Mehdi Ounissi
Mots clés :
Gaz, Pétrole, Forage, Traitement des gaz, Traitement du pétrole, Traitement des eaux
Résumé :
Dans ce rapport je traite le sujet de l’exploitation pétro-gazière et les différentes étapes qui précède et qui
suivent ce traitement : l’exploration, le forage, le suivit des ouvrages, l’échantillonnage et l’analyse et la
production. Et puisque tout nouveau projet doit être précéder par une étude topographique, j’ai consacré une
partie où j’ai expliqué les étapes suivit lors d’un levé topographique.
Keywords:
Gas, Oil, Drilling, Gas treatment, Oil treatment, Water treatment
Abstract:
In this report I address the subject of petro-gas development and the stages preceding and following this
process: exploration, drilling, post drilling analysis, sampling and analysis of gas and oil and the stages of oil
and gas production. And since all new projects must be preceded by a topographical study, I spent part
where I explained the steps followed in a topographic survey.
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