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Session prSession prééparparéée par e par A A AeschlimannAeschlimann et B Duquesnoyet B Duquesnoy
CongrCongrèès de la Socis de la Sociééttéé franfranççaise de aise de RhumatologieRhumatologiePARIS 2005 PARIS 2005
Question 1 : les thérapeutiques anti-TNF ont pour action :
A – Inhibition des T-lymphocytesB – Inhibition des B-lymphocytesC – Inhibition de l’interaction entre la cellule présentatrice de l’antigène et le macrophageD – Inhibition de la présentation de l’antigène par le T-lymphocyteE – Blocage de cytokines pro-inflammatoires
Question 1 : les thérapeutiques anti-TNF ont pour action :
A – Inhibition des T-lymphocytesB – Inhibition des B-lymphocytesC – Inhibition de l’interaction entre la cellule présentatrice de l’antigène et le macrophageD – Inhibition de la présentation de l’antigène par le T-lymphocyteE – Blocage de cytokines pro-inflammatoires
Question 2 :Quel marqueur biologique reflète l’activité
ostéoclastique ? :
A A –– calccalcéémiemieB B –– phosphorphosphoréémiemieC C –– calciuriecalciurieD D –– pyridinolinespyridinolines CTXCTXE E –– ostostééocalcineocalcine sséériquerique
Question 2 :Quel marqueur biologique reflète l’activité
ostéoclastique ? :
A A –– calccalcéémiemieB B –– phosphorphosphoréémiemieC C –– calciuriecalciurieD D –– pyridinolinespyridinolines CTXCTXE E –– ostostééocalcineocalcine sséériquerique
Question 3 : parmi les propositions concernant le métabolisme de l’acide urique, l’une est fausse :
A – les causes d’hyperuricémie peuvent être liées aux cytolyses au cours des hémopathies
B – l’acide urique est issu de la dégradation de la xanthine par la xanthine oxydase
C – l’augmentation du cycle de la purino synthèse se fait par une augmentation enzymatique de l’ HGPRT
D – la formation de nucléotides sert à la constitution d’acide nucléïque cellulaire
E – l’élimination d’urate éliminé par 24 heures est de l’ordre de 405 mg ± 150 mg/jour
Question 3 : parmi les propositions concernant le métabolisme de l’acide urique, l’une est fausse :
A – les causes d’hyperuricémie peuvent être liées aux cytolyses au cours des hémopathies
B – l’acide urique est issu de la dégradation de la xanthine par la xanthine oxydase
C – l’augmentation du cycle de la purino synthèse se fait par une augmentation enzymatique de l’ HGPRT
D – la formation de nucléotides sert à la constitution d’acide nucléïque cellulaire
E – l’élimination d’urate éliminé par 24 heures est de l’ordre de 405 mg ± 150 mg/jour
Question 4 : parmi ces propositions concernant les auto- anticorps, quelle est la propositon fausse ?
A – les anticorps anti-tissu caractérisent généralement des maladies auto-immunes spécifiques d’organes
B – les anticorps anti-IgG sont par définition les facteurs rhumatoïdes
C – les anticorps anti-cytoplasme des polynucléaires se voient essentiellement dans la granulomatose de Wegener
D – les anticorps antinucléaires mouchetés ou ponctués sont des anticorps anti-centromère
E – les anticorps antinucléaires de fluorescence homogène sont spécifiques de la maladie lupique
Question 4 : parmi ces propositions concernant les auto- anticorps, quelle est la propositon fausse ?
A – les anticorps anti-tissu caractérisent généralement des maladies auto-immunes spécifiques d’organes
B – les anticorps anti-IgG sont par définition les facteurs rhumatoïdes
C – les anticorps anti-cytoplasme des polynucléaires se voient essentiellement dans la granulomatose de Wegener
D – les anticorps antinucléaires mouchetés ou ponctués sont des anticorps anti-centromère
E – les anticorps antinucléaires de fluorescence homogène sont spécifiques de la maladie lupique
Question 5 : dans l’anatomie de l’épaule, l’une des propositions est fausse :
A - le tendon supra-épineux (sus-épineux) s’insère sur le trochiter
B – le tendon du long biceps a une insertion proximale sur la région sus-glénoïdienne
C - le tendon du sub-scapulaire (sous scapulaire) a une insertion distale sur la berge bicipitale, humérale
D – le tendon de l’infra épineux (sous-épineux) a une insertion distale sur la partie antérieure de la gouttière bicipitale
E – le tendon du cours biceps s’insère sur l’apophyse coracoïde
Question 5 : dans l’anatomie de l’épaule, l’une des propositions est fausse :
A - le tendon supra-épineux (sus-épineux) s’insère sur le trochiter
B – le tendon du long biceps a une insertion proximale sur la région sus-glénoïdienne
C - le tendon du sub-scapulaire (sous scapulaire) a une insertion distale sur la berge bicipitale, humérale
D – le tendon de l’infra épineux (sous-épineux) a une insertion distale sur la partie antérieure de la gouttière bicipitale
E – le tendon du cours biceps s’insère sur l’apophyse coracoïde
Question 6 : quel est le diagnostic le plus quel est le diagnostic le plus vraisemblable ?vraisemblable ?
A A –– Maladie de PagetMaladie de PagetB B –– OstOstééosarcomeosarcomeC C –– MMéétastase osseusetastase osseuseD D –– AngiomeAngiomeE E -- LymphomeLymphome
Question 6 : quel est le diagnostic le plus quel est le diagnostic le plus vraisemblable ?vraisemblable ?
A A –– Maladie de PagetMaladie de PagetB B –– OstOstééosarcomeosarcomeC C –– MMéétastase osseusetastase osseuseD D –– AngiomeAngiomeE E -- LymphomeLymphome
Question 7 : une patiente de 65 ans poly-arthrosique sans autre antécédent, consulte pour des cervicalgies : Quel est le diagnostic le plus
vraisemblable ?
A – lymphome
B – amylose localisée
C – chondrocalcinose
D – métastase
E - plasmocytome
Question 7 : une patiente de 65 ans poly-arthrosique sans autre antécédent, consulte pour des cervicalgies : Quel est le diagnostic le plus
vraisemblable ?
A – lymphome
B – amylose localisée
C – chondrocalcinose
D – métastase
E - plasmocytome
Question 8 :Devant cette radiographie de mains, quel est le
diagnostic le plus vraisemblable ?
A A –– polyarthrite rhumatopolyarthrite rhumatoïïdedeB B –– spondylarthrite ankylosante spondylarthrite ankylosante àà
forme pforme péériphriphéériqueriqueC C –– rhumatisme rhumatisme psoriasiquepsoriasiqueD D –– ostostééodystrophieodystrophie rréénalenaleE E -- chondrocalcinosechondrocalcinose
Question 8 :Devant cette radiographie de mains, quel est le
diagnostic le plus vraisemblable ?
A A –– polyarthrite rhumatopolyarthrite rhumatoïïdedeB B –– spondylarthrite ankylosante spondylarthrite ankylosante àà
forme pforme péériphriphéériqueriqueC C –– rhumatisme rhumatisme psoriasiquepsoriasiqueD D –– ostostééodystrophieodystrophie rréénalenaleE E -- chondrocalcinosechondrocalcinose
Question 9 : quel est le diagnostic le plus vraisemblable devant cette radiologie de hanche ?
A A –– coxarthrose coxarthrose ààdestruction rapidedestruction rapide
B B –– coxitecoxite septiqueseptiqueC C –– coxopathiecoxopathie de de
chondrocalcinosechondrocalcinoseD D –– coxitecoxite dd’’une maladie de une maladie de
StillStillE E –– hanche hanche hyperostosiquehyperostosique
Question 9 : quel est le diagnostic le plus vraisemblable devant cette radiologie de hanche ?
A A –– coxarthrose coxarthrose ààdestruction rapidedestruction rapide
B B –– coxitecoxite septiqueseptiqueC C –– coxopathiecoxopathie de de
chondrocalcinosechondrocalcinoseD D –– coxitecoxite dd’’une maladie de une maladie de
StillStillE E –– hanche hanche hyperostosiquehyperostosique
Question 10 : devant ces clichés radiographiques, quel est le diagnostic le plus vraisemblable ?
A – maladie de PagetB – métastases d’un cancer de
prostateC – ostéofluoroseD – métastases d’un cancer du
seinE – ostéopathie condensante
d’origine génétique
Question 10 : devant ces clichés radiographiques, quel est le diagnostic le plus vraisemblable ?
A – maladie de PagetB – métastases d’un cancer de
prostateC – ostéofluoroseD – métastases d’un cancer du
seinE – ostéopathie condensante
d’origine génétique
Question 11 : parmi les manifestations viscérales suivantes associées à la spondylarthrite
ankylosante, quelle est la plus fréquente ?
A – insuffisance aortiqueB – l’uvéiteC – la fibrose interstitielle pulmonaireD – la néphropathie à IgAE – l’amyloïdose
Question 11 : parmi les manifestations viscérales suivantes associées à la spondylarthrite
ankylosante, quelle est la plus fréquente ?
A – insuffisance aortiqueB – l’uvéiteC – la fibrose interstitielle pulmonaireD – la néphropathie à IgAE – l’amyloïdose
Question 12 : Quelle anomalie biologique doit faire rechercher un myélome associé à un syndrome de
Raynaud ?
A – une thrombopénieB – un anticoagulant circulantC – une cryoglobulinémieD – une anémieE – une coagulation intravasculaire disséminée
Question 12 : Quelle anomalie biologique doit faire rechercher un myélome associé à un syndrome de
Raynaud ?
A – une thrombopénieB – un anticoagulant circulantC – une cryoglobulinémieD – une anémieE – une coagulation intravasculaire disséminée
Question 13 : Lors de polyarthrite rhumatoïde, les nodules rhumatoïdes sous-cutanés se trouvent
situés le plus souvent :
A – sur la paroi thoraciqueB – au dos du poignetC – le long de la crête cubitale près du coudeD – au milieu du brasE – sur le gros orteil
Question 13 : Lors de polyarthrite rhumatoïde, les nodules rhumatoïdes sous-cutanés se trouvent
situés le plus souvent :
A – sur la paroi thoraciqueB – au dos du poignetC – le long de la crête cubitale près du coudeD – au milieu du brasE – sur le gros orteil
Question 14 : un garçon âgé de 10 ans se plaint de douleurs abdominales et est atteint d’un exanthème pourpre aux fesses, aux jambes et à la surface des
extenseurs de ses avant-bras. La créatinine sérique est de 237.6 mmol/l (2.7 mg/dl). L’analyse urinaire décèle une
protéinurie ++ et une hématurie microscopique. Quel est le diagnostic le plus vraisemblable ?
A – une polymyositeB – une nephropathie sur analgésiques et un purpura
thrombopéniqueC – un lupus érythémateux systémiqueD – une périartérite noueuseE – un purpura rhumatoïde de Schoenlein-Henoch
Question 14 : un garçon âgé de 10 ans se plaint de douleurs abdominales et est atteint d’un exanthème pourpre aux fesses, aux jambes et à la surface des
extenseurs de ses avant-bras. La créatinine sérique est de 237.6 mmol/l (2.7 mg/dl). L’analyse urinaire décèle une
protéinurie ++ et une hématurie microscopique. Quel est le diagnostic le plus vraisemblable ?
A – une polymyositeB – une nephropathie sur analgésiques et un purpura
thrombopéniqueC – un lupus érythémateux systémiqueD – une périartérite noueuseE – un purpura rhumatoïde de Schoenlein-Henoch
Question 15 : Un homme âgé de 42 ans souffre depuis 2 jours d’un gonflement aigu et douloureux du coude. Le patient est obèse et à une légère fièvre. Son coude est
enflé, chaud et douloureux. Quelle est la première mesure à prendre ?
A – aspiration et examen microscopique du liquide articulaire
B – détermination de l’acide urique dans le sérumC – hémoculturesD – numération-formule sanguineE – détermination de la protéine C-réactive
Question 15 : Un homme âgé de 42 ans souffre depuis 2 jours d’un gonflement aigu et douloureux du coude. Le patient est obèse et à une légère fièvre. Son coude est
enflé, chaud et douloureux. Quelle est la première mesure à prendre ?
A – aspiration et examen microscopique du liquide articulaire
B – détermination de l’acide urique dans le sérumC – hémoculturesD – numération-formule sanguineE – détermination de la protéine C-réactive
Question 16 : Un jour après une opération abdominale élective, une patiente de 82 ans développe subitement un
gonflement très douloureux du genou accompagné de fièvre jusqu’à 39 degrés. La vitesse de sédimentation est à 90
mm/h, l’état général diminué. Vous réalisez une ponction diagnostique du genou.Quel résultat attendez-vous de l’analyse du liquide
synovial?A – un liquide trouble avec abondance de leucocytes à majorité
de polynucléaires et présence de germes gram-positifsB – un liquide synovial clair avec moins de 200 éléments / microlC – un liquide synovial modérément trouble avec environ 15 000
leucocytes par microl (surtout des polynucléaires) et des germes gram-négatif
D – un liquide trouble avec environ 15 000 leucocytes / microl et des cristaux de pyrophosphate de calcium
E – un liquide synovial très hémorragique avec abondance d’érythrocytes
Question 16 : Un jour après une opération abdominale élective, une patiente de 82 ans développe subitement un
gonflement très douloureux du genou accompagné de fièvre jusqu’à 39 degrés. La vitesse de sédimentation est à 90
mm/h, l’état général diminué. Vous planifiez une ponction diagnostique du genou.
Quel résultat attendez-vous de l’analyse du liquidesynovial?
A – un liquide trouble avec abondance de leucocytes à majoritépolynucléaires et présence de germes gram-positifs
B – un liquide synovial clair avec moins de 200 ets / microlC – un liquide synovial modérément trouble avec environ 15’000
leucocytes par microl (surtout des polynucléaires) et des germes gram-négatifs
D – un liquide trouble avec environ 15 000 leucocytes / microl et des cristaux de pyrophosphate de calcium
E – un liquide synovial très hémorragique avec abondance d’érythrocytes
Question 17 : une femme de 62 ans se plaint de douleurs au côté externe de la hanche, surtout la
nuit quand elle est couchée sur le côté atteint. Quel est le diagnostic le plus probable ?
A – une coxarthrose B – une claudication par canal étroitC – une bursite trochantérienneD – une méralgie paresthésiqueE – un syndrome de Leriche
Question 17 : une femme de 62 ans se plaint de douleurs au côté externe de la hanche, surtout la
nuit quand elle est couchée sur le côté atteint. Quel est le diagnostic le plus probable ?
A – une coxarthrose B – une claudication par canal étroitC – une bursite trochantérienneD – une méralgie paresthésiqueE – un syndrome de Leriche
Question 18 : une infiltration de l’espace sous-acromial fait disparaître les douleurs en cas de :
A – capsulite rétractileB – impingement (coincement) du tendon du sus-épineuxC – arthrose gléno-huméraleD – instabilité de l’épauleE – tendinite du long chef du biceps
Question 18 : une infiltration de l’espace sous-acromial fait disparaître les douleurs en cas de :
A – capsulite rétractileB – impingement (coincement) du tendon du sus-épineuxC – arthrose gléno-huméraleD – instabilité de l’épauleE – tendinite du long chef du biceps
Question 19 : un homme de 65 ans présente une fracture pathologique du col fémoral ; sur la
radiographie on constate en plus de la fracture, une tumeur hétérogène. Le premier diagnostic à
évoquer est :
A – une métastaseB – un myélomeC – un ostéosarcomeD – une tumeur à cellules géantesE - une dysplasie fibreuse des os
Question 19 : un homme de 65 ans présente une fracture pathologique du col fémoral ; sur la
radiographie on constate en plus de la fracture, une tumeur hétérogène. Le premier diagnostic à
évoquer est :
A – une métastaseB – un myélomeC – un ostéosarcomeD – une tumeur à cellules géantesE - une dysplasie fibreuse des os
Question 20 : un patient souffrant d’un myélome multiple présente les signes d’un syndrome
d’hyperviscosité accompagné de troubles neuro-sensoriels et de complications hémorragiques
sans thrombopénie.Quel traitement (en dehors des substances
alkylantes) est indiqué ?
A A -- perfusion de glucose en grandes quantitperfusion de glucose en grandes quantitééssB B -- transfusion de sangtransfusion de sangC C -- alphaalpha--InterfInterfééronronD D -- plasmaphplasmaphéérrèèseseE E -- radiothradiothéérapierapie
Question 20 : un patient souffrant d’un myélome multiple présente les signes d’un syndrome
d’hyperviscosité accompagné de troubles neuro-sensoriels et de complications hémorragiques
sans thrombopénie.Quel traitement (en dehors des substances
alkylantes) est indiqué ?
A A -- perfusion de glucose en grandes quantitperfusion de glucose en grandes quantitééssB B -- transfusion de sangtransfusion de sangC C -- alphaalpha--InterfInterfééronronD D -- plasmaphplasmaphéérrèèseseE E -- radiothradiothéérapierapie
Question 21 : les arthropathies suivantes sont HLA-B27 associées, excepté :
A – maladie de WhippleB – maladie de CrohnC – rectocolite hémorragiqueD – arthrite psoriasiqueE – arthrite réactionnelle induite par
Chlamydia
Question 21 : les arthropathies suivantes sont HLA-B27 associées, excepté :
A – maladie de WhippleB – maladie de CrohnC – rectocolite hémorragiqueD – arthrite psoriasiqueE – arthrite réactionnelle induite par
Chlamydia
Question 22 : les causes suivantes d’une coxarthrose sont typiques sauf :
A A –– une dysplasie de la hancheune dysplasie de la hancheB B –– une une ostostééononéécrosecrose de la tête fde la tête féémoralemoraleC C –– une une algoneurodystrophiealgoneurodystrophieD D –– une une coxacoxa varavaraE E –– une une protrusionprotrusion acacéétabulairetabulaire
Question 22 : les causes suivantes d’une coxarthrose sont typiques sauf :
A A –– une dysplasie de la hancheune dysplasie de la hancheB B –– une une ostostééononéécrosecrose de la tête fde la tête féémoralemoraleC C –– une une algoneurodystrophiealgoneurodystrophieD D –– une une coxacoxa varavaraE E –– une une protrusionprotrusion acacéétabulairetabulaire
Question 23 : parmi les affections suivantes, quelle est celle qui n’est pas à l’origine d’une
algodystrophie ?
A – fracture de Pouteau-CollesB – hémiplégieC – diabèteD – infarctus du myocardeE - ostéoporose
Question 23 : parmi les affections suivantes, quelle est celle qui n’est pas à l’origine d’une
algodystrophie ?
A – fracture de Pouteau-CollesB – hémiplégieC – diabèteD – infarctus du myocardeE - ostéoporose
Question 24 : Sont des complications de la maladie de Paget, sauf :
A – la surditéB – la compression médullaireC – l’insuffisance rénaleD – l’insuffisance cardiaqueE – le sarcome
Question 24 : Sont des complications de la maladie de Paget, sauf :
A – la surditéB – la compression médullaireC – l’insuffisance rénaleD – l’insuffisance cardiaqueE – le sarcome
Question 25 : un spondylolisthésis :
A – est secondaire en règle à une lyse isthmiqueB – peut se développer lors de la croissanceC – peut être associé à des troubles dégénératifs
articulaires postérieursD – évolue en général défavorablement avec le tempsE – ses conséquences neurologiques sont liées à la
fermeture des foramens
Question 25 : un spondylolisthésis :
A – est secondaire en règle à une lyse isthmiqueB – peut se développer lors de la croissanceC – peut être associé à des troubles dégénératifs
articulaires postérieursD – évolue en général défavorablement avec le tempsE – ses conséquences neurologiques sont liées à la
fermeture des foramens
Question 26 : une patiente âgée de 60 ans, consulte pour des lombalgies. Vous retrouvez dans ses antécédents un épisode de lombalgie aiguë il y a quelques années. Les radiographies systématiques objectivent un tassement
cunéiforme du plateau de L1. La densitométrie vous montre un résultat à moins 2 écarts-types en déviation standard par
rapport au T-score.Parmi ces propositiions, quelles sont celles que vous
pouvez proposer ? (plusieurs solutions possibles)
A A –– traitement hormonal substitutiftraitement hormonal substitutifB B –– bisphosphonatesbisphosphonatesC C -- SERMSERMD D –– ttéériparatideriparatideE E –– vitamine D, calcium vitamine D, calcium
Question 26 : une patiente âgée de 60 ans, consulte pour des lombalgies. Vous retrouvez dans ses antécédents un épisode de lombalgie aiguë il y a quelques années. Les radiographies systématiques objectivent un tassement
cunéiforme du plateau de L1. La densitométrie vous montre un résultat à moins 2 écarts-types en déviation standard par
rapport au T-score.Parmi ces propositiions, quelles sont celles que vous pouvez proposerer ? (plusieurs solutions possibles)
A A –– traitement hormonal substitutiftraitement hormonal substitutifB B –– bisphosphonatesbisphosphonatesC C -- SERMSERMD D –– ttéériparatideriparatideE E –– vitamine D, calcium vitamine D, calcium
Question 27 : une femme de 80 ans, est hospitalisée en gériatrie pour une décompensation cardio-
respiratoire. Elle présente brutalement un gonflement douloureux du poignet droit. Celui-ci est le siège d’un
œdème avec épanchemenet intra-articulaire. La numération formule montre 12 000 globules blancs dont 70 % de polynucléaires. La VS est à 80 à la
première heure. Quels traitements proposez-vous (plusieurs réponses
sont possibles) ?A – anti-inflammatoires non stéroïdiensB – inhibiteurs de pompe à protonsC – antalgiquesD – colchicineE – dérivés morphiniques
Question 27 : une femme de 80 ans, est hospitalisée en gériatrie pour une décompensation cardio-
respiratoire. Elle présente brutalement un gonflement douloureux du poignet droit. Celui-ci est le siège d’un
œdème avec épanchemenet intra-articulaire. La numération formule montre 12 000 globules blancs dont 70 % de polynucléaires. La VS est à 80 à la
première heure. Quels traitements proposez-vous (plusieurs réponses
sont possibles) ?A – anti-inflammatoires non stéroïdiensB – inhibiteurs de pompe à protonsC – antalgiquesD – colchicineE – dérivés morphiniques
Question 27 : une femme de 80 ans, est hospitalisée en gériatrie pour une décompensation cardio-
respiratoire. Elle présente brutalement un gonflementedouloureux du poignet droit. Celui-ci est le siège d’un
œdème avec épanchemenet intra-articulaire. La numération formule montre 12 000 globules blancs dont 70 % de polynucléaires. La VS est à 80 à la
première heure. Quels traitements proposez-vous (plusieurs réponses
sont possibles) ?A – anti-inflammatoires non stéroïdiensB – inhibiteurs de pompe à protonsC – antalgiquesD – colchicineE – dérivés morphiniques
Question 28 : une femme de 48 ans présente une polyarthrite rhumatoïde. Elle présente des douleurs articulaires sur 6
articulations des mains avec gonflement modéré des doigts. Son DAS 28 est à 4,1.
Elle prend un anti-inflammatoire de type coxib régulièrement. Elle est sous léflunomide 20 mg/jour qui est bien toléré. Elle ne prend
pas de corticothérapie.Cette polyarthrite évolue depuis 2 ans. Sur les radiographies des mains et des pieds vous avez constaté l’apparition d’érosions sur
les 6 derniers mois 5 articulations. Quelles sont les propositions thérapeutiques que vous formulez
chez cette patiente ? (plusieurs propositions sont acceptées)
A – maintien de la thérapeutiqueB – changement du traitement de fond pour le MéthotrexateC – changement du traitement de fond pour la SalazopyrineD – apport d’un anti-TNfE - apport d’un anti-IL1
Question 28 : une femme de 48 ans présente une polyarthrite rhumatoïde. Elle présente des douleurs articulaires sur 6
articulations des mains avec gonflement modéré des doigts. Son DAS 28 est à 4,1.
Elle prend un anti-inflammatoire de type coxib régulièrement. Elle est sous léflunomide 20 mg/jour qui est bien toléré. Elle ne prend
pas de corticothérapie.Cette polyarthrite évolue
depuis 2 ans. Sur les radiographies des mains et des pieds vous avez constaté l’apparition d’érosions sur les 6 derniers mois sur
5 articulations. Quelles sont les propositions thérapeutiques que vous formulez
chez cette patiente ? (plusieurs propositions sont acceptées)
A – maintien de la thérapeutiqueB – changement du traitement de fond pour le MéthotrexateC – changement du traitement de fond pour la SalazopyrineD – apport d’un anti-TNfE - apport d’un anti-IL1
Question 29 : un homme de 45 ans consulte pour des lombalgies évoluant depuis 48 heures survenues à la
suite d’un effort déclenchant (travaux de terrassement). Ces lombalgies sont sans irradiation. Il n’y a aucun syndrome inflammatoire ni signe d’alerte. L’examen
neurologique est normal. parmi ces propositions, quelles sont celles que vous formulez (plusieurs réponses
possibles) ?
A – mise en place d’antalgiquesB – instauration d’anti-inflammatoiresC – infiltration épiduraleD – repos au lit 48 heuresE – mise en place d’un patch morphinique
Question 29 : un homme de 45 ans consulte pour des lombalgies évoluant depuis 48 heures survenues à la
suite d’un effort déclenchant (travaux de terrassement). Ces lombalgies sont sans irradiation. Il n’y a aucun syndrome inflammatoire ni signe d’alerte. L’examen
neurologique est normal. parmi ces propositions, quelles sont celles que vous formulez (plusieurs réponses
possibles) ?
A – mise en place d’antalgiquesB – instauration d’anti-inflammatoiresC – infiltration épiduraleD – repos au lit 48 heuresE – mise en place d’un patch morphinique
Question 30 : un homme de 54 ans consulte pour des douleurs de l’épaule droite apparue depuis 4 semaines. Il présente une limitation douloureuse des mobilités en élévation-abduction, est gêné pour s’habiller et saisir des objets. Il ne peut plus dormir sur le côté droit en
raison des douleurs.Quelles sont les propositions thérapeutiques que vous
formulez (plusieurs réponses possibles) ?
A – prescription d’un traitement antalgique symptomatiqueB – prescription d’un anti-inflammatoireC – infiltration d’un dérivé corticoïdeD – rééducation visant à renforcer les muscles abaisseurs
et stabilisateurs de la tête huméraleE – infiltration intra-articulaire d’un dérivé d’acide
hyaluronique
Question 30 : un homme de 54 ans consulte pour des douleurs de l’épaule droite apparue depuis 4 semaines. Il présente une limitation douloureuse des mobilités en élévation-abduction, est gêné pour s’habiller et saisir des objets. Il ne peut plus dormir sur le côté droit en
raison des douleurs.Quelles sont les propositions thérapeutiques que vous
formulez (plusieurs réponses possibles) ?
A – prescription d’un traitement antalgique symptomatiqueB – prescription d’un anti-inflammatoireC – infiltration d’un dérivé corticoïdeD – rééducation visant à renforcer les muscles abaisseurs
et stabilisateurs de la tête huméraleE – infiltration intra-articulaire d’un dérivé d’acide
hyaluronique
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