10 Girpi Info Qualite Eau
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SANTÉ PUBLIQUEpour la qualité de l’eau,GIRPI joue la transparence
flashRue Robert Ancel - BP 36 - 76700 Harfleur - France - Tél : 02 32 79 60 00 - Fax : 02 32 79 60 27 - girpi.fr
Comme tous les nouveaux matériaux de synthèse, le C-PVC est soumis à des testsrigoureux pour l’obtention de l’A.C.S. (Attestation de Conformité Sanitaire). Lesrésultats plus que probants pour satisfaire à ces A.C.S., et les très nombreusesréférences d’applications confirment les qualités réelles du C-PVC, donc du HTA®.
Récemment, la DGS (Direction Générale de la Santé) a souhaité étendre les ACSsur les assemblages constitutifs des réseaux en PVC et C-PVC. Ces assemblagesnécessitent l’emploi de polymère de soudure (communément appelés “colles”).
ACS. LA DÉFINITIONATTESTATION DE CONFORMITÉ SANITAIRE
Le transport des fluidesQue deviendrait cette fonction si sonexercice risquait de provoquer ladégradation ou l’altération de la naturemême des fluides transportés.Le respect de l’intégrité de ces fluidesdans les systèmes de réseaux conçuspar GIRPI est donc un impératif majeur.Ce respect est d’autant plus incontour-nable lorsqu’il s’applique à la puretéet à la qualité de l’eau, élément fonda-mental de la vie. A fortiori lorsquecette eau est destinée à la consommationhumaine.Par sa neutralité, son inertie et sarésistance à tous types d’agressions,le C-PVC, composant du HTA® a fait lapreuve depuis des années, de sonefficacité pour préserver et garantirla qualité de l’eau. Partenaire actif de la sécurité par lafiabilité de ses produits, GIRPI se devaitde consacrer un numéro spécial auxdifférentes études menées sur les élémentsconstitutifs des réseaux en C-PVC.Des observations, des commentaires,des analyses et des résultats quitémoignent aussi du respect de l’en-gagement total de GIRPI pour méritervotre confiance.
Spécial
qualité de l’eau
SommaireTEST IN VITRO/ TESTS IN SITU, LA VÉRITÉ . p 2
ACS, LE VISA INDISPENSABLE . . . . . . . . p 2
ECOSSE : LE HTA® TESTÉ PAR LE WRC . . . p 3
“NOUVEAU MATÉRIAUX” PETIT RAPPEL . p 3
KIWA, LE RAPPORT INCONTESTABLE . . . . p 4
ESSAIS KIWA, LA SYNTHÈSE . . . . . . . . . .p 4
ATTESTATIONS ET GARANTIES DU HTA® . . p 5
DYALISE, LA COMPATIBILITÉ DU HTA® . . p 6
LEGIONNELLOSE, DGS :LA DERNIÈRE CIRCULAIRE . . . . . . . . . . p 7-8
NATURE DES RÉSEAUX : QUE CHOISIR . . .p 9
SANTÉ PUBLIQUE :CONFIANCE À GIRPI p 10-11
SÉCURITÉ : LA RÉPONSE GIRPI . . . . . . p 12
La sécurité de vos réseaux
Dans un environnement de plus en plus menacé, l’eau, élément essentiel de la vie est unenjeu capital. Contre les agressions de toutes natures, la préservation de la qualité del’eau devient pour tous une priorité absolue.Une exigence d’autant plus forte lorsque cela concerne des établissements de santé, desétablissements recevant du public, des logements, c’est-à-dire nous.Pour GIRPI, la qualité de l’eau dépend aussi de la qualité des réseaux.Une évidence trop souvent occultée, sur laquelle GIRPI témoigne de son engagementconstant et de sa fiabilité.
L’Attestation de Conformité Sanitairepermet de prouver :
• la conformité de la formulationdes matériaux aux listes positivesde référence• les résultats des essais demigration aux critères de qualitédéfinis dans les décrets
L’arrêté du 29 mai 1997, relatif auxmatériaux et objets utilisés dans les ins-tallations fixes de distribution d’eaudestinées à la consommation humaine(modifié par les arrêtés du 24 juin 1998
LE C-PVC SOUMIS AUX TESTS OBJECTIVITÉ REQUISEL’objectif premier est de s’assurerque, dans des conditions réellesd’utilisation, les populations ne sontpas exposées à des risques.
GIRPI se place donc en partenaireactif dans le cadre des études pré-normatives des protocoles d’essaisdes ACS pour les polymères desoudure.
Une démarche qui se situe dans ledroit fil de l’engagement de GIRPI,pour la qualité à tous les niveaux :produits, fluides, informations etexamens techniques.
Dans la quête de la véri té,c’est une simple question de bonsens et d’honnêteté.
et du 13 janvier 2000), demande que lesfabricants tiennent à la disposition duMinistre chargé de la Santé, les informationspermettant de vérifier que ces matériaux,lorsqu’ils sont utilisés dans des conditionsnormales, ne sont pas susceptibles dedégrader la qualité de l’eau :
• soit en leur conférant un caractèrenocif pour la santé• soit en modifiant leurs propriétésorganoleptiques, physiques, chimiqueset microbiologiques.
GIRPI : LA SÉCURITÉ, EN TOUTE TRANSPARENCERELARGAGE DES SOLVANTS : TESTS IN VITRO, TESTS IN SITU. OÙ EST LA VÉRITÉ ?
Au phénomène de “relargage” constaté lors de premierstests “in vitro”, il convient d’apporter toutes les précisionsnécessaires et informations complémentaires pour uneanalyse sincère, objective et concrète.En considérant par ailleurs que “ces canalisations (en C-PVC),par leur résistance à l’entartrage et à la corrosion, et leur
facilité de nettoyage, sont conseillées pour la lutte contrele développement de la légionellose”.En effet, non seulement le tartre et la corrosion sont desfacteurs aggravants par le développement des légionnella,mais en plus ils limitent considérablement l’efficacité destraitements préventifs et curatifs contre la légionellose.
In vitro, pour la reproductibilité d’un modèle sta-tique, pour l’analyse du relargage des solvants.Pour des raisons pratiques, il est toujours compliqué et onéreuxde procéder à des essais de certifications reproductibles, corres-pondant aux conditions réelles d’utilisation.Donc, pour plus de souplesse, de rapidité et pour tenir compted’un moindre coût, priorité a été donnée à des tests in vitro. Cestests devant toutefois satisfaire à la condition de “fiabilité dereproductibilité”.Des premiers essais ont donc été effectués en laboratoi-re (essais “en statique” avec 4 collages sur 1 mètre,dans un récipient d’eau stagnante). Mais il reste à définir la corrélation entre les résultatsde ces tests in vitro et la réalité.
In situ, pour la réalité d’un modèle dynamiquePartout où il y obligation de précaution, tant pour la santé que pourla vie, les tests sont effectués grandeur nature, en conditions réellesd’application et d’utilisation (automobile, aéronautique, trans-ports en commun, pharmacologie, systèmes de protection et desécurité, etc).La logique et l’honnêteté exigent donc que pour les “colles” ou “poly-mères de soudure”, des tests soient effectués en conditions réelles. Pour GIRPI aussi, les tests les plus précis sont bien évidemmentceux qui ont été effectués sur des installations déjà enplace, et avec des conditions d’utilisation réelles.Dans ce cas, pas de place à l’interprétation ou l’extrapolation,puisqu’il s’agit de réseaux fonctionnant en permanence etdepuis plusieurs années.
Pour GIRPI, la vérité grandeur natureGIRPI a effectué à des prélèvements sur des réseaux déjà enplace, de 2 semaines à 11 ans d’âge. Ceci pour une représenta-tivité crédible (2 semaines, 1 an, 4 ans, 9 ans, 11 ans).L’analyse des eaux ainsi prélevées a été confiée à l’un des troislaboratoires français habilités à délivrer des ACS : le laboratoirede la Ville de Paris.Résultat : des quantités de solvants systématiquementconformes aux exigences sanitaires et dans la plupart des casinférieures aux seuils de détectabilité ! !En fait, dans la réalité d’un circuit dynamique, les renouvelle-ments réguliers d’eau occasionnés par l’utilisation du réseaufont que les teneurs éventuelles en solvant par relargagedeviennent négligeables : - CQFD -
POUR UNE PLUS GRANDE OBJECTIVITÉ :DES TESTS IN SITU
Les canalisations PVC et C-PVC de GIRPI assemblées par raccords collés sont opérationnelsdepuis plus de 40 ans, sans jamais générer la moindre remarque sur la qualité de l’eau.Le HTA de GIRPI équipe des centaines d’hôpitaux, d’hôtels et d’immeubles et continuent d’être appli-qués actuellement sur de nombreux chantiers (400 références d’hôpitaux ces cinq dernières années).En présence des experts de l’AFSSA, de la DGS, de trois laboratoires agréés (Paris - CRECEP, Nancy,Pasteur à Lille) des responsables du CSTB et des représentants des syndicats professionnels (STR-PVC et SFCA) il a donc été décidé de procéder à des analyses plus poussées et pluscomplètes, axées autour de trois résolutions :
1) Approfondir le protocole d’essai et effectuer de nouveaux tests afin d’étendre lechamp d’investigations et de connaissances2) Mener de nouvelles études sur les réactions entre les Methyl-cétones contenuedans certaines colles et les désinfectants à base de chlore.(N.B. : Sur ce point, Girpi n’est pas concerné, car les colles fournies par GIRPIne contiennent pas de Methyl-cétones).3) Suivre un chantier et mesurer la qualité organoleptique ainsi que la concentra-tion en solvant de l’eau au fur et à mesure de l’avancement du chantier, où des prélèvementsd’eau seront effectués au cours des différentes étapes de pose.
Les installations seront mises en œuvre dans les prochains mois et les résultats des analyses feront l’objetd’un communiqué spécial dans toute la profession, ainsi que dans les secteurs d’application intéressés.
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ACS. LE VISA INDISPENSABLE, MAIS PAS POUR TOUT LE MONDE...Après avoir défini les Attestations de Conformité Sanitaire(ACS) sur les tubes et les raccords en PVC et C-PVC, laDirection Générale de la Santé (DGS) effectue les mêmesdémarches sur les polymères de soudure - ou colles - servant àl’assemblage des canalisations.Le domaine d’application des ACS se trouve donc élargi sur l’ensemble des élémentsconstitutifs d’un réseau en C-PVC, sans aucune exception.Puisqu’un arrêté rend donc obligatoire le contrôle d’inertie de tous les matériaux visà vis de l’eau potable, il serait bon qu’effectivement tous les matériaux soientpris en considération.Dans un constant souci de sécurité - valeur fondamentale de la devise de l’entreprise -GIRPI s’associe pleinement à cette démarche dont l’objectif premier est d’apporter lapreuve indiscutable d’une totale garantie sanitaire.
SÉCURITÉ SANITAIRE
DEUX POIDS, DEUX MESURES ?Cependant, il est à noter qu’à ce jour, les matériaux métalliques (acier et cuivre) sontexempts d’ACS, sous prétexte qu’ils sont considérés comme des matériaux dits “tradi-tionnels” *. On peut alors s’interroger sur la vraie raison de cette exemption. Le plombn’était-il pas lui aussi, pendant des decennies, un matériau traditionnel équipant desréseaux ? Ne serait-il pas souhaitable et équitable de procéder à des analyses objectives et com-paratives complètes, prenant en compte tous les matériaux pouvant être utilisés dansdes circuits de distribution d’eau ?Quand on connait les inconvénients liés à certains réseaux métalliques**, en matiè-re de prolifération microbienne, de largages de particules d’oxydation, de calcaire oude boues, on pourrait exiger une réelle équité dans l’étude et l’application des ACS.
* traditionnels : PVC / C-PVC depuis plus de 30 ans, quelle mesure de traditionnalisme ?** (voir précédentes éditions de Girpi Infos “spécial légionnelose” et “spécial stations thermales”).
GIRPI a effectué des prélèvements dans desétablissements recevant du public.
L’analyse des eaux prélevées a été confiéeau laboratoire de la ville de Paris (CRECEP).
Il a été constaté des teneurs en solvantssystématiquement conformes auxexigences sanitaires et même, dansla plupart des cas, inférieursau seuil de détactabilité.
CONTRÔLES ET ANALYSESDANS CINQ ÉTABLISSEMENTS PUBLICS
LE HTA® EN TOUTE CONFIANCE
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UNE COMPARAISON S’IMPOSEPour jouer à fond la transparence, ilserait donc honnête de parler d’autrestypes de relargages dus à la naturemême des réseaux métalliques.Pourquoi les passer sous silence, sousprétexte qu’ils sont dits “traditionnels”.En toute objectivité, les professionnelssavent pertinemment que les circuitsmétalliques provoquent des phéno-mènes de relargage.Que ce soient particules métalliquesaprès mise en œuvre, fragments de
calcaire, résidus de corrosion et oxy-dation, boues diverses, résultant destraitements contre la proliférationmicrobienne, pour ce type de réseaux,le risque est loin d’être “risque zéro”.Si aujourd’hui, depuis plus d’unevingtaine d’années, le C-PVC équipede très nombreux établissements,même très sensibles, c’est bien enraison de leur qualité et de leurinertie.
ÉCOSSE : LE WRC SOUMET LE HTA®
À SES TESTS RIGOUREUX
“FEU VERT POUR LES HÔPITAUX”L’application du HTA en Ecosse dansle secteur hospitalier a donné lieu àun examen très rigoureux du pro-duit et de ses composants, notam-ment les polymères de soudure etleur solvant.Le laboratoire WRC reconnu en Europepour sa rigueur et son impartialité, aété mandaté par le National HealthSecurity pour déterminer si le HTA®
pouvait être utilisé dans les établisse-ments hospitaliers.
Au terme de cette étude (septembre 99)le W.R.C. a confirmé au N.H.S. écossaisque le système HTA® assemblé parcollage ne présentait aucun risquepour la santé et pouvait être posédans les établissements de soins.Cette étude particulièrement rigoureusea démontré de façon indiscutable lephénomène de décroissance desconcentrations en solvants. Ceci démontre, s’il en était encorebesoin que, le système HTA® estconforme aux exigences sanitaires.
ASSEMBLAGE DU HTA®
NOUVEAUX ESSAIS DE MIGRATION
La prise en compte des risques de contamination des réseaux, notamment par leslégionelles, le traitement régulier de ces réseaux au chlore impliquent une mise àl’épreuve des matériaux.Le chlore pourrait provoquer diverses réactions nuisibles avec les Methyl-cétonesde certaines colles, formant alors du chloroforme.Une étude est actuellement en cours pour vérifier cette hypothèse.Mais de toutes façons, les polymères de soudure étudiés et mis au point par GIRPIne contiennent pas de Methyl-cétones.Les composants de ces polymères ont été définis afin d’assurer autant la qualité etla rapidité de la “prise” après application, que leur neutralité et leur inocuité, unefois la remise en eau réalisée.
Polymères de soudure GIRPI : efficacité et inocuité
PETIT RAPPELSUR LES “NOUVEAUX MATÉRIAUX”
Les canalisations plastiques en PVCrigide, assemblées au moyen decolles, sont utilisées depuis plus de50 ans en Europe et aux Etats-Unis.Durant les quinze dernières années,rien que sur le territoire français, desmilliers d’installations ont été réali-sées à ce jour. On peut considérer que statistique-ment, si ces réseaux avaient été àl’origine de désordre, et ce, quellequ’en soit la nature (organoleptique,santé, corrosion, etc), des critiquesauraient été émises par les utilisa-teurs et leur emploi aurait été stoppé.Dans ce sens, il est intéressant denoter que très souvent, des directeurstechniques d’hôpitaux ou de chaîneshôtelières reconduisent l’utilisation deréseaux ECFS en PVC et C-PVC collésdans le cadre de l’extension de bâti-ments existants réalisés par tranchesétalées parfois sur plusieurs années.Le succès commercial rencontré parles canalisations PVC et PVC-C colléesrepose sur les qualités intrinsèques deces polymères par rapport auxmétaux, voire à certains autres maté-riaux organiques.
Sans dresser une liste exhausti-ve de ces qualités, on pourranéanmoins citer les principales :
• une absence de corrosion,• u n e m o i n d r e t e n d a n c e à
l’entartrage,• une simplicité et une rapidité
d’installation,• une non perméabilité à l’oxygène,• une très bonne résistance au chlore.
Cette dernière propriété revêt aujour-d’hui une importance toute particulièreavec le développement des traitementsde désinfection pratiqués dans le cadrede la lutte contre la légionella.Ces traitements consistent la plupart dutemps à injecter dans les réseaux dessolutions chlorées à des concentrationscomprises entre 1 et 110 ppm selonles cas.Or, ce type de traitement n’est pas sanseffet sur les différents matériaux com-posant les réseaux de canalisations.L’action corrosive du chlore et des pro-duits organiques chlorés sur les métaux,y compris l’acier inoxydable, sur lesélastomères et sur certains matériauxde synthèse est bien connue et à faitl’objet de plusieurs études.En raison de leur excellente résistanceaux eaux froides et chaudes chlorées,les PVC et C-PVC constituent une solutionperformante d’un point de vue techni-co-économique pour répondre demanière pertinente à la problématiquede la désinfection des réseaux ECS.
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LE CUIVRE ET LE C-PVC TESTÉS RIGOUREUSEMENT PARLE “KIWA”, un rapport objectif et incontestable...
Prolifération MICRO biologique. Essais KIWA*: la synthèseMICRO ORGANISMES ET BIOFILM
LA MÉTHODE
La multiplication des micro organismes dansl’eau destimée à la consommation humaineest directement liée à la formation du biofilm sur les parois des canalisations la véhi-culant. La limitation de la propagation de cesmicro organismes sera donc assujettie aumaintien d’une faible concentration en par-ticules biodégradables, pour éviter de devoirtraiter l’eau avec des agents de désinfectionqui contribuent à dégrader les qualités orga-noleptiques de l’eau potable.Les essais réalisés par le KIWA sont desti-nés à évaluer l’aptitude d’un matériau àpermettre le développement d’un bio film,lequel bio film favorise la propagation des
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micro organismes (notamment les légio-nelles). L’évaluation de cette aptitude estbasée sur la notion de BPP (BiomassProduction Potentiel). Ce facteur a été déve-loppé par le Kiwa dans le cadre de l’EAS(European Approval Scheme) et de la CPDW(Construction Product in Contact withDrinkable Water Directive) et cette étudea été financée par l’Union Européennedans le cadre de l’harmonisation desméthodes d’évaluation.
* KIWAOrganisme certificateur officiel aux Pays Bas (corres-pond au CSTB en France)
L’évaluation de la B.P.P. (BiomassProduction Potential) est basée sur lamesure de la teneur en A.T.P. (Adénosine TriPhosphate), substance présente dans tousles micro organismes vivants. La teneur enA.T.P. est mesurée dans le film présent surle matériau et dans l’eau. L’étude a porté sur une comparaison del’évolution de la B.P.P. entre différentsmatériaux.La méthode d’évaluation consistait en untest statique mais intégrant une phasedynamique (avec un sous tirage simulantl’utilisation habituelle des installations :alternance de consommation et de périodede stagnation).
La température de l’eau est à 25°C. Il fautnoter que les essais ont été réalisés sur desmatériaux “neufs” et les phénomènes devieillissements n’ont pas été pris en comptedans l’évolution du B.P.P., alors que certainsparamètres ont certainement une influencenon négligeable sur cette évolution.
Les objectifs de cette étude sont triples :• comparaison des caractéristiques dedéveloppement du film entre les maté-riaux étudiés. • détermination de l’effet de ces maté-riaux sur la croissance de la légionelle• validation des matériaux sur la base deleur aptitude à promouvoir la croissance
PRINCIPALES CONCLUSIONS
La fin d’une idée reçueAprès 40 jours, moins de biofilm avec le C-PVC qu’avec le cuivreLes courbes montrent que la formation du biofilm est moindre sur les tubes cuivre au démarrage. Mais très rapide-ment, cette différence s’atténue et les valeurs obtenues dans des réseaux cuivre ou C-PVC sont identiques après 40jours.Les performances de départ par le C-PVC, peuvent s’expliquer comme étant principalement dues aux substances bio-dégradables présentes sur le matériau avant le démarrage de l’essai. Après disparition de ces substances (consom-mées par les bactéries), les résultats se stabilisent à un niveau faible. Ainsi après 40 jours, le comportement du C-PVCest nettement meilleur. A la fin du test (125 jours) la quantité de biofilm avec le cuivre est nettement plus élevéqu’avec le C-PVC (environ 500 pg ATP/cm2 contre 300 pg ATP/cm2 pour le C-PVC). De plus l’évolution avec le cuivreest croissante alors qu’il tend à se stabiliser avec le C-PVC.
Tableau 1Symboles = ➀ verre / ➁ C-PVC / ③ cuivre / ➃ PP / ➄ PE-XFormation du biofilm sur des matériaux pendant incubation dans une eau biologiquementstable à 25°.NDLR : Dans un souci d’une meilleure lisibilité de ce graphique, nous sommes passés d’une échellesemi-logarithmique (dans l’étude du KIWA) à une échelle linéaire.
Source : Etude KIWA october 2001 / BTO 2001.170Biomass Production Potential (BPP) of materials in contact with treated water : method and significance.
Formation du biofilmPVC-C < Cuivre après 40 jours
Construit-on un réseau d’eau pour 1 mois seulement ?
Il est vrai que le premier mois,la quantité de biofilm est plus élevée avec le C-PVC,
mais après l’ordre s’inverse.
...mais, les facteurs aggravants sont avant tout,la corrosion et le tartre.
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HTA®
ATTESTATIONS ET GARANTIESACS France (tubes) avis positif +
ACS France (colles) tests dynamiques en cours
Raport KIWA (Hollande) avis positif +
Attestation WRC (Ecosse) avis positif +
Anti corrosion qualité reconnue +
Faible adhérence du calcaire qualité reconnue +
Classement M1 ininflammable +
Agréé établissements de santé avis positif +
(hôpitaux, cliniques, maisons de retraite)
Neutralité - inertie qualité reconnue +
Agréé stations thermales avis positif +
QUI PEUT EN DIRE AUTANT ?
Tubes et raccords HTA® de GIRPI
pour eau chaude et froidesous pression
Ils font une croixsur l’entartrage et
la corrosion
ANALYSE APME,Université de NancyCette étude avait pour but d’étudier la corrélation entre lesmatériaux constitutifs des réseaux par rappport au dévelop-pement du biofilm en prenant également en considération laqualité de l’eau. Les conclusions de cette étude vont dans lemême sens que l’étude KIWA.Une des principales conclusions est que la qualité de l’eau estun paramètre très important ayant une grande influence surle développement ul térieur du biofilm.
COURT TERME OU LONG TERMELE CHOIX EST SIMPLE
Comme en témoignent lesanalyses incontestables duKIWA, le cuivre possède uncertain effet bactéricide, maisuniquement à court terme. Cet effet s’atténue rapide-ment. Tandis que le CPV-C, s’ilne présente pas de caractèrebactéricide au départ, onremarquera que la formationdu biofilm diminue sensible-ment au bout de 25 jours
environ, pour passer endessous de celle du cuivreau bout de 40 jours.
La question essentielle estdonc de savoir si pour uneinstallation exigeant un hautniveau de garanties de bonfonctionnement et de qualitéde l’eau, on investit sur lecourt terme ou sur la longuedurée.
40 jours ou 50 ans : à vous de conclure
DE L’INFLUENCE DU MATÉRIAU...“Des questions se posent depuis plu-sieurs années sur l’interaction entreles matériaux et la qualité de l’eaupotable à leur contact, et la forma-tion éventuelle de biofilms compor-tant des bactéries pathogènes.”
“Nous ne nierons pas cette influence.Surtout si le matériau a tendance à sedégrader dans le temps - mais il noussemble que ce facteur est trop souventmis en avant, et notamment une pré-tendue relation entre les matériaux(PVC) et la prolifération des bactéries”.
“Il est vrai que cette attaque pro-vient parfois de matériaux qui ontquelques difficultés à survivre auxnouvelles exigences de la directive“eau potable” dont la transcriptiondevrait très bientôt apparaître enFrance.
“L’influence du paramètre “matériau”est très faible. (voir étude Nancy)”.
“Les matières plastiques sont tes-tées depuis des années avec d’ex-cellents résultats en Europe (notam-ment le laboratoire de KIWA enHollande)”.
“Il faut rappeler que, si le matériauintrinsèque est a considérer avecattention, le développement desbactéries se produit avec des fac-teurs aggravants comme la corro-sion et le tartre”.
“Il faut rappeler que, si le matériauintrinsèque est à considérer avecattention, c’est surtout parce que ledéveloppement des bactéries seproduit avec des facteurs aggra-vants comme la corrosion et letartre”.
Il faut avant tout prendre en consi-dération l’influence des matériauxpour la formation du tartre et de lacorrosion.
SÉCURITÉ SANITAIREdes références
qui parlent d’elles-mêmes
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Comme il a déjà été dit, le C-PVC équipe de très nombreux établissementshospitaliers et bâtiments recevant du public en France et en Europe.Le HTA de GIRPI quant à lui, assure la sécurité des réseaux de distributiond’eau sur bon nombre de sites.
CAMBRIDGE : Etablissement scientifique de recherches biologiques à l’Université de la ville.Extension et amélioration des conditions de recherches par la construction d’un nouveau laboratoi-re sur 4 étages, équipé de HTA® pour son réseau d’eau chaude et d’eau froide (ø 20 à 110).
DOMFRIES : Hôpital de Domfries et Galloway.Hôpital de 220 lits récemment construit. Le HTA® équipe le réseau d’eau chaude et d’eau froidedomestiques.
GLASGOW : Hôpital “Hairmyers”.Hôpital de 600 lits récemment construit près de l’aéroport d’Heathrow - réseau d’eau chaude etfroide équipé en HTA®.
NORWICH : Hôpital de Norwich et Norfolk.Hôpital de 1200 lits pour les accidents majeurs spécialisé pour les soins de première urgence- le HTA® équipe tous les services et réseaux d’eau chaude et froide.
STOKE ON TRENT : Unité hospitalière du nord Staffordshire.Hôpital spécialisé dans les problèmes majeurs de santé mentale - le HTA® est utilisé pour les cir-cuits de chauffage et les réseaux d’eau chaude et froide, de 60 à 82°C.
FRANCE : - plus de 400 hôpitaux ont été équipés en HTA ces cinq dernières années (voir liste non exhaustive page 10) et s’ajoutent aux nombreuses références depuis 20 ans.
LES STATIONS THERMALES :Elles constituent un modèle particulièrement représentatif des exigences absolues sur le respectde la nature et de la qualité de l’eau, tout autant que sur la prévention bactériologique.Un numéro “spécial stations thermales” de Girpi Infos a été publié en début d’année, appor-tant une fois de plus la preuve de l’efficacité du HTA, témoignages à l’appui (publication et CDrom disponibles sur simple demande).Interrogez-les : Ils vous feront part de leurs satisfactions de leurs réseaux en HTA®. Pour preuve,il refont régulièrement le choix du HTA®.
GIRPI, PARTENAIRE DE LA SANTÉ PUBLIQUE
A votre avis,laquelle de ces deux eaux est potable ?
Y ‘A PAS PHOTO !
De l’avis de certains fabricants, l’eauprovenant de circuits métalliques doitprésenter toutes caractéristiques depotabilité. Et pourtant, la corrosiondue au vieillissement des réseaux, àl’entartrage, et aux traitements chlo-rés répétés provoquent de gravesaltérations de l’eau : boues rouges,granulats et particules diverses.
Par contre, les circuits conçus enC-PVC offrent toutes garanties delongévité, de stabilité, de sécuritéet de pureté de l’eau.Si de plus en plus, le C-PVC est préco-nisé dans les cahiers des charges desétablissements dits sensibles, et misen œuvre avec succès, croyez-vousque ce soit le simple fait du hasard ?
LEGIONELLOSE
Devant la multiplication des cas de légionellose en milieu hospitalier notamment, la circulaire DGSn°2002/243 du 22 04 2002 précise les mesures de prévention et les modalités de surveillance àmettre en œuvre pour lutter contre la légionellose dans les établissements de santé.
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Direction Générale de la Santé
LA TOUTE DERNIÈRE CIRCULAIRE (extraits)
POUR LES ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ
ETABLISSEMENTS EN ALERTE INSTALLATIONS À RISQUE
Différentes enquêtes ont permis dedresser un bilan des mesures prisessuite aux circulaires de1997 et 1998relatives à la préventions et à la sur-veillance de la légionellose.Si une meilleure prise en comptedu risque a été constatée, lesbonnes pratiques de gestiondes réseaux d’eau sanitaire nesont mises en œuvre quepartiellement.Or, parmi les cas de légionellose décla-rés, les établissements de santé repré-sentent un des principaux lieux decontamination ou de surcroit lesconséquences des légionellosessont les plus graves.
En 2000, environ 20% des cas de légio-nellose ayant fait l’objet d’une déclara-tion étaient d’origine nosocomiale cer-taine ou probable, dont environ 40%des sujets sont décédés.
♦ Améliorer la gestion des installations à risquedans les établissements de santé.
♦ Améliorer la prise en compte du risque lié auxlégionelles dans les activités de soins.
♦ Proposer des modalités de mise en œuvredes dispositions précédentes par les établissementsde santé.
OBJECTIFS DE LA CIRCULAIRE
POUR UNE EFFICACITÉ RÉELLE
La mise en œuvre de ces actions limite,voire supprime la nécessité de réaliserdes interventions curatives ponctuellessur le réseau, telles que des chocs chlo-rés ou des chocs thermiques, ces inter-ventions ne garantissent pas uneréduction de la contamination sur lelong terme.
En outre, de telles mesures (chocs ther-miques ou chlorés) peuvent parfoisavoir pour conséquence un déséqui-libre de la flore microbienne et ladégradation des installations, favori-sant ainsi la création de nouveauxgîtes favorables à la prolifération deslégionelles.
Les action préventives ont pour butd’éliminer les conditions favorables àla survie et à la prolifération des légio-nelles dans les installations à risque etde limiter leur diffusion sous formed’aérosols.Une installation à risque est une ins-tallation susceptible d’exposer despersonnes à des aéroso l s d ’eaucontaminée, inférieurs à 5 µm.
Les établissements de santé peuventconporter les installations à risquessuivants :
• réseaux d’eau chaude desservantdouches ou douchettes
• tours aéroréfrigérentes• bains à remous ou bain à jets• humidificateurs, bacs à condensa-
tion utilisés dans les systèmes dechauffage et de climatisation.
Les recommandations importantes sont référencées surdes fiches techniques très précises (voir page 8)
Actuellement, les systèmes de distribution d’eau chaudesemblent être à l’origine du plus grand nombre de casde légionellose dans les établissements de santé. La circulairedéveloppe donc les mesures de gestion des risques liés à ces ins-tallations.
Pour limiter le développement des légionelles, il faut agirà trois niveaux :
❶ Eviter la stagnation et assurer une bonne circulation de l’eau
❷ Lutter contre l’entartrage et la corrosion, par uneconception et un entretien adaptés à la qualité de l’eau etaux caractéristiques de l’installation.
❸ Maintenir l’eau à une température élevée dans les ins-tallations, depuis la production et tout au long des circuits de dis-tribution, et mitiger l’eau au plus près des points d’usage.
Pour être efficaces, les actions préventives doivent être exercéesaux étapes suivantes :
• Conception des installations• maintenance et entretien• maîtrise de la température de l’eau
POUR LES RÉSEAUX EN CAUSE,ACTION À TROIS NIVEAUX
LEGIONELLOSE DGS - LA DERNIÈRE CIRCULAIRE : EXTRAITS ETCOMMENTAIRES GIRPI (DGS N°2002/243 0422-04-2002)
RECOMMANDATIONS IMPORTANTES NETTOYAGE ET DÉSINFECTION
TRAITEMENTS : LES PRÉCAUTIONS
ATTENTION : L’EAU FROIDE AUSSIZONES SENSIBLES
Recommandations pour la mise en œuvreUne série de fiches techniques jointes à la circulaire précise la nature des actionsà mettre en œuvre. Voici le résumé des plus importantes :
Conception et maintenance desinstallations de distributiond’eau chaude sanitaire• CHOIX DES MATÉRIAUX à utili-
ser pour les canalisations dans lesinstallations neuves ou lors d’unerestructuration de réseaux
• CONSIGNES DE TEMPÉRATUREde l’eau chaude à respecter pour lesystème de protection d’eau chaude,le réseau de distribution et les pointsde puisage.
FICHE N°1
Règles de nettoyage et dedésinfection• Produits pouvant être employés
dans les installations de distributiond’eau chaude en fonction de leursmatériaux constitutifs.
NB : Tout produit utilisé dans lesréseaux d’eau destinée à la consomma-tion humaine, doit être autorisé parla Direction Générale de la Santé.
FICHE N°2
FICHE N°3 et 4
Surveillance des installations dedistribution d’eau
• SUIVI DE LA TEMPÉRATURE etdes concentrations en légionelles, etles actions préconisées en fonctionde ces concentrations.
• LA TEMPÉRATURE EST UNINDICATEUR indirect de la pré-sence ou l’absence de légionellesdans les réseaux de distributiond’eau qu’il est nécessaire de mesu-rer en divers points représentatifs.
• MAINTIEN D’UNECONCENTRATION de légionellesla p lu s bas se pos s ib l e auxpoints d ’usage.
• RECOMMANDATIONSSPÉCIFIQUES pour les patients àhauts risques.
Un rencensement des points cri-tiques des installations de distributiond’eau, c’est-à-dire les points suscep-tibles d’engendrer une prolifération delégionelles est indispensable.• zones où l’eau stagne ou circulemal (ballons, réservoirs, bras morts)• zones où la température de l’eaupeut descendre en dessous de 50°C(absence d’éléments de disconnexion
Les réseaux de distribution doi-vent être conçus de manière àlimiter l’installation de biofilmset/ou de dépôts de produits decorrosion qui, du fait de leurconstitution, nuisent d’une partà l’action des désinfectants, etd’autre part, conduisent à limiterl’efficacité de certains traitementscuratifs.En outre, les traitements mis en œuvresont d’autant plus faciles à réaliser quele réseau a été bien conçu à l’origine.
Toutes les opérations de réparation parl’installation de nouvelles conduitesdoivent être effectuées de telle sortequ’elles n’induisent pas une contami-nation du réseau.Les réseaux d’eau, en particulier lesréseaux d’eau chaude sanitaire, nécessi-tent un entretien rigoureux et régulier.Les opérations d’entretien com-prennent le nettoyage des instal-lations (lutte contre le tartre et lacorrosion) et souvent, la désinfectiondes installations (réseaux hors service).
Les réseaux intérieurs d’eau froide peu-vent aussi être colonisés si les canalisationssont anormalement réchauffées soit parcontact avec le réseau d’eau chaude, soiten raison d’une température élevée deslocaux, soit par arivée d’eau chaude dansl’eau froide au niveau des mitigeurs d’eau.Il convient donc de veiller à ce que la tem-pérature de l’eau froide ne dépasse
pas 20°C, et à ce que les canalisationsd’eau froide et d’eau chaude soient calori-fugées séparément.NDLR : tout comme pour l’eau chaude, leHTA de GIRPI trouve une application idéa-le en éliminant tout risque de corrosion, enlimitant les dépôts de tartre et en résistantaux traitements curatifs de toute nature.
adaptés, retour d’eau froide dans leréseau)• zones susceptibles d’être contami-nées par la vétusté des installa-tions ou la corrosion.NDLR : il s’agit là essentiellement decircuits métalliques car les réseauxconçus en HTA de GIRPI sont insen-sibles à la corrosion et ont par consé-quent une durée de vie très longue.
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• L’effet des produits sur les matériauxdoit faire l’objet d’une attention parti-culière. Par exemple, l’acier galvanisénotamment ne résiste pas aux traite-ments avec des produits acides et, lecas échéant, un traitement de pro-tection doit être envisagé aprèsemploi.(NDLR : pour les réseaux métalliques).• Les mélanges de produits chloréset de produits acides sont à proscrire.• La température d’utilisation desproduits acides doit être limitée à 50°Cpour des raisons d’effet sur les matériaux.
• Les produits de détartrage et dedesoxydation sont à caractère acide.Compte tenu de leur agressivité ils ontune action très rapide (de 1 h à 10heures). L’emploi de formulationscontenant des inhibiteurs de corrosionest souhaitable, mais il convient des’assurer que les produits ou formula-tions utilisés sont autorisés par leMinistère de la Santé.NDLR : avec le HTA de GIRPI, pasbesoin de produits contre la corrosion :le HTA y est totalement insensible.
LEGIONELLOSE DGS - LA DERNIÈRE CIRCULAIRE : EXTRAITS ETCOMMENTAIRES GIRPI (DGS N°2002/243 0422-04-2002)
NATURE DES RÉSEAUX.QUE CHOISIR ?
GIRPI : UNE ATTITUDE PRO-ACTIVEGirpi n’a pas attendu la sortie de la nouvelle circulaire pour com-muniquer sur les règles à respecter pour limiter le developpementde la légionellose.Dès avril 2000, GIRPI proposait une solution pour l’efficacité destraitements preventifs et curatifs.GIRPI dans de nombreux documents largement diffusés (Girpi Infos)rappelait les mesures de gestion des risques liés aux installationsainsi que les moyens de prévention.
ACIER GALVANISÉ+ désinfection thermique possible, sans dépasser60°C- dégradation accélérée si température > 60°C- pertes de charges importantes si corrosion ou entartrage- incompatible avec la présence de cuivre en amont- désinfection peu efficace (chimique au chlore) dans les
canalisations corrodées, même après détartrage- risque de corrosion accru après détartrage- développement bactérien favorisé par les produits dela corrosion
Conclusion : • FORTEMENT DÉCONSEILLÉ POUR L’EAU CHAUDESANITAIRE, notamment lorqu’elle est traitée au chlore• importantes quantités de tubes en acier galva de mauvaise qua-lité sur le marché.
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PVC-C surchloré+ adaptés aux eaux corrosives+ supporte la désinfection thermique ou chimique
(chlore ou peroxydes)- coût supérieur au PVC- matériaux pouvant être favorable à la prolifé-
ration du biofilmNDLR : 40 jours après mise en œuvre, la formation du bio-film sur le C-PVC est inférieur à la formation sur le cuivre
- peut relarguer du chloroforme par action du chlore surles méthylcétones contenues dans le solvant des assemblages (...)
NDLR : Tests seulement en coursNDLR : FAUX pour le HTA, car son polymère de soudure necontient pas de méthylcétones et n’en a jamais contenu.
Conclusion :• Adapté pour les tronçons de ø > 50/60• Montage par brides
NDLR 1 : Le HTA® ne s’assemble pas par brides.NDLR 2 : Le HTA® est parfaitement adapté pour tous les
diamètres.
CUIVRE (NF A51120)
+ mise en œuvre facile, pertes de charges faibles+ désinfections thermique et chimique possibles
(chlore ou peroxyde après nettoyage)+ limite la formation du biofilm par action bactéricide
de contactNDLR : pour un temps très limité, voir tableaux page 3
- pas de marque NF pour les tubes > ø 54 mm- sensibilité à la corrosion par “érosion / cavitation”
pour les tubes recuits ou surchauffésNDLR : ce qui est la majorité des cas lors de brasures à 650°C
Conclusion :• recommandé jusqu’au ø 54 mmNDLR : Pourquoi le recommander alors que le cuivre est sen-sible à la corrsion et qu’après 40 jours, le biofilm se développeplus que dans le C-PVC ?
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I ls ont tous chois i le HTA ®
Année/Chantier CP Ville01-CENTRE PSY 10 BRIENNE LE CHATEAU
01-RPA MONNARD/ROMMILLY 10 RUMLLY
84-HOPITAL PSY ST JOSEPH 11 LIMOUX
89-CENTRE HOSPITALIER 11 CARCASSONNE
92-CLINIQUE ST VINCENT 11 CARCASSONNE
01-M. RETRAITE ATHENA 12
01-M. DE RETRAITE "LES VEDETTES" 12
87-M.CONVALESCENCE ET DE REPOS13 LA BOUILLADISSE
87-CLINIQUE RESIDENCE DU PARC 13 MARSEILLE
89-CLINIQUE SAUVEGARDE 13 MARSEILLE
91-CLINIQUE DE LA RENAISSANCE 13 MARSEILLE
92-C.CONVALESCENCE SPECIALISE 13 AIX EN PROVENCE
92-CLINIQUE CELONY "Les Feuillades" 13 SALON DE PROVENCE
93-HOPITAL MONTPERRIN 13 AIX EN PROVENCE
97-CLINIQUE MARIGNANE 13 MARIGNANE
98-CLINIQUE BOUCHARD 13 MARSEILLE
99-CLINIQUE BEAUREGARD 13 MARSEILLE
99-HOPITAL LAVERAN 13 MARSEILLE
99-MAISON RETRAITE ST TRONC 13 MARSEILLE
99-CLINIQUE CASAMENCE 13 AUBAGNE
99-HOPITAL CONCEPTION 13 MARSEILLE
99-HOPITAL NORD MARSEILLE 13 MARSEILLE
00-HOPITAL/CONCEPT 13 MARSEILLE
00-HOPITAL/LA CIOTAT 13 LA CIOTAT
00-HOPITAL MONTPERRIN 13 AIX EN PROVENCE
00-HOPITAL LAVERAN 13 MARSEILLE
00-HOPITAL MONT PERRIN 13 AIX EN PROVENCE
00-GARLABAU/HOPITAL 13 MARSEILLE
00-HOPITAL LA TIMONE 13 MARSEILLE
00-HOPITAL NORD 13 MARSEILLE
01-RPA DAVID 13 CARNAUX
98-C.H.U 14 CAEN
01-HOPITAL CLEMENCEAU 14 CAEN
89-HOPITAL DE ROCHEFORT 17 ROCHEFORT
99-MAISON DE RETRAITE 17 MARLANGE
00-HOPITAL ST LOUIS 17 SAINTES
00-CLINIQUE RICHELIEU 17 SAINTES
99-MAISON DE RETRAITE 19 LANMARY
01-CLINIQUE DES CEDRES 19
89-CLINIQUE FRANCHEVILLE 24 PERIGUEUX
99-LYCEE HOTELIER CAPELLE 24 BERGERAC
00-MAISON DE RETRAITE 24 BEAUMONT
97-HOPITAL LE NEU BOURG 27 LE NEUBOURG
99-CENTRE HOSPITALIER BERNAY 27 BERNAY
97-HOPITAL SAINT BRICE 28
90-HOPITAL DE LANDERNEAU 29 LANDERNEAU
99-C.H.R 29 QUIMPER
90-HOPITAL C.H.R NIMES 30 NIMES
93-CLINIQUE BONNEFOU 30 ALES
99-HOPITAL ALES 30 ALES
99-HOPITAL/PSYCHIATRIE/ALES 30 ALES
01-MAISON RETRAITE VIALAS 30
01-HOPITAL NIMES 30 NIMES
99-THERMES DE LONDEVIELLE 31 LONDEVIELLE
00-HOPITAL 31 LEYME
00-HOPITAL 31 PURPAN
00-HOPITAL DE LA MERE 31
01-HOPITAL DE RONGUEIL 31
01-CLINIQUE JERDECH 31
01-HOPITAL DE PURPAN 31 TOULOUSE
01-HOPITAL 31 CAHORS
01-RPA 31 VILLEMUR
01-THERMES 31 AMELIE LES BAINS
02-MAISON RETRAITE DE LUCHON 31 LUCHON
99-C.H.U 33 BORDEAUX
99-C. REEDUCATION Grds CHENES 33
99-C.H 33 STE FOY LA GRANDE
00-HOPITAL JOUR POUR ENFANTS 33 BORDEAUX
00-HOPITAL ST ANDRE 33
00-HOPITAL 33 BLAYE
00-CLINIQUE THIERS 33 BORDEAUX
00-LA POMME BLEU/HOPITAL 33 BORDEAUX
00-MAISON DE RETRAITE 33 PESSAC
00-R.P.A A. FAULAT 33
85-CHR HOPITAL ST CHARLES 34 MONTPELLIER
Année/Chantier CP Ville86-M. CONVALESCENCE ET DE REPOS 34 LA GRANDE MOTTE
89-MATERNITE 34 MONTPELLIER
91-C.H.R MONTPELLIER 34 MONTPELLIER
91-CENTRE HOSPITALIER DE SETE 34 SETE
91-HOPITAL DE CLERMONT 34 HERAULT
99-CENTRE MEDICAL 34 LA GRANDE MOTTE
00-HOPITAL 34 UZES
01-MAISON RETRAITE FONTCAUDE 34
99-C.H.U BRETONNEAU 37 TOURS
02-C.H.U TROUSSEAU 37 TOURS
98-REHABILITAION M. DE RETRAITE 38 GRENOBLE
99-THERMES DE TERCY LES BAINS 40
99-HOPITAL 40 DAX
00-CENTRE GERIATRIE LANOT 40
00-HOPITAL/ROANNE 42 ROANNE
98-CENTRE MEDICAL 44 BOUGENAIS
98-MAISON RETRAITE LA BAULE 44 NANTES
99-C. DE TRANSFUSION SANGUINE 44 NANTES
04-C.H MARIGOT 44 NANTES
01-C.H.R. 45 ORLEANS
00-HOPITAL 46 DE LEYME
97-HOPITAL 47 MARMANDE
99-MAISON DE RETRAITE 47 FUMEL
00-MAISON DE RETRAITE 47 CASTELMORON
00-LES TERMES/BAGNOL LES BAINS 48 BAGNOL LES BAINS
99-C.H LOUIS PASTEUR PHARMACIE 50
97-TRAVAUX HOPITAL MANCHESTER 51 CHARLEVILLE MEZIERES
98-MAISON DE RETRAITE 52 ARC EN BARROIS
88-CLINIQUE DE LA PROVIDENCE 53 MAYENNE
98-CENTRE MEDICO PSYCHO 54 LAXOU
00-MATERNITE/NANCY 54 NANCY
01-CLINIQUE GENTILLY 54 MAXEVILLE
00-HOPITAL/FAINS VEEL 55 FAINS VEEL BAR LE DUC
99-HOPITAL SAINT AVE 56
86-HOPITAL DE BITCHE 57 BITCHE
86-HOPITAL BELLE ISLE 57 METZ
92-HOPITAL DE BITCHE 57 BITCHE
92-HOPITAL ST JOSEPH 57 BITCHE
98-MAISON DE RETRAITE TOUL 57 TOUL
86-CENTRE HOSPITALIER DE DECIZE 58 DECIZE
87-HOPITAL LA FRATERNITE 59 ROUBAIX
90-CLINIQUE ST JEAN 59 ROUBAIX
97-HOPITAL 59 SOMAIN
97-MATERNITE CLINIQUE DES BOIS 59
98-HOPITAL LA BASSE 59
98-M. DE RETRAITE DE BOURBOURG 59
98-MAISON DE RETRAITE MAING 59
99-MAISON ACCUEIL SPECIALISEE 59
99-HOPITAL/BOULOGNE SUR MER 59 BOULOGNE
99-MAISON E RETRAITE/CAUDRY 59 CAUDRY
99-CLINIQUE TESSIER 59
99-HOPITAL CHARLON 59 HESNIN-BEAUMONT
00-MAISON DE RETRAITE 59 ROUBAIX
00-C.H/ROUBAIX 59 ROUBAIX
00-C.H MARITIME 59
01-HOSPICES GANTOIS 59
01-CH DOUAI 59 DOUAI
99-PAVILLON HOPITAL 61 SEES
84-C. HOSPITALIER D. SCHAFFNER 62 LENS
98-CLINIQUE SAINTE BARBE 62
98-C.H.B 62 LENS
99-C.H BETHUNE 62 BETHUNE
99-C.H RANG DU FLERS 62 BERCK
99-C.H ELIOMARIN/BERCK 62 BERCK
00-HOSPICE DE CARVIN 62 CARVIN
01-C.H/BEUVRY 62
01-C.H.S/RANG DU FIERS 62
01-C.H.A.M : BERCK 62 BERCK
99-HOPITAL MARIN 64 HENDAYE
99-C.H 64 HENDAYE
99-HOPITAL SAINT LEON 64 BAYONNE
97-THERMES 65 CAUTERET
99-THERMES DE CAP VERN 65
85-C. THERAPEUT. LES FONTANILLES 66 MAUREILLAS
99-THERMES D'AUDIE 66
86-HOPITAL STRAUSS 67 STRASBOURG
Année/Chantier CP Ville87-HOPITAL RURAL 67 BRUMATH
97-MAISON RETRAITE 67 STRASBOURG
98-MAISON DE RETRAITE 67 LINGOLSMEIN
98-MAISON RETRAITE 67 SCMILTIGHEIM
00-ETS THERMAL 67 NIEDERBRONN LES BAINS
01-HOPITAL/BISCHEIM 67 BISCHHEIM
87-CENTRE HOSPITALIER 68 ROUFFACH
87-HOPITAL PASTEUR 68 COLMAR
87-CLINIQUE DU DIACONAT 68 MULHOUSE
92-HOPITAL LE PARC 68 COLMAR
98-MAISON DE RETRAITE 68 COLMAR
98-MAISON DE RETRAITE 68 STRASBOURG
98-CLIN. PROTESTANTE DE CALUIRE 69 LYON
98-MAISON DE RETRAITE 69 LYON
99-RPA BEAUREGARD 69 LYON
00-CLINIQUE DU TOUKIN 69 LYON
00-HOPITAL LYONNAIS 69 LYON
99-M. DE RETRAITE DE PESMES 70 PESMES
00-HOPITAL DE JOUR/VESOUL 70 VESOUL
84-CENTRE HOSPITALIER DE MACON 71 MACON
97-M. DE RETRAITE ST NICOLAS 72
98-R.P.A/TESSEY LA MADELEINE 72
05-RPA/GD LUCE 72 LUCE
97-HOPITAL BRETONNEAU 75 PARIS
99-PITIE/SALPETRIERE 75 PITIE SALPETRIERE
99-HOPITAL NECKER 75 PARIS
00-HOPITAL PITIE 75 PARIS
00-HOPITAL QUINZE VINGT 75 PARIS
86-CENTRE HOSPITALIER DE DIEPPE 76 DIEPPE
87-HOPITAL "CHTEAU MICHEL" 76 DIEPPE
89-HOPITAL DE ST VALERY EN CAUX 76 ST VALERY EN CAUX
97-ECFS HOPITAL PSY/JEANNET 76 LE HAVRE
97-MAISON DE RETRAITE/SANVIC 76 LE HAVRE
98-R.P.A 76 AUMALE
98-RENOVATION R.P.A SAINT-JEAN 76
99-PAVILLON SORET FLAUBERT 76 LE HAVRE
99-PSY JEANNET 76 LE HAVRE
99-RPA 76 ST ETIENNE DU ROUVRAY
00-CLINIQUE ST HILAIRE 76
00-RPA 76
01-HENRI DUNANT 76
01-CLINIQUE MATHILDE 76
97-HOPITAL VARENNES/JARCY 77 VARENNES
99-MAISON RETRAITE 77 CHTEAU LANDON
84-CLINIQUE DES FRANCISQUAINES 78 VERSAILLES
98-HOPITAL DE NIORT 79 NIORT
99-C.H NIORT 79 NIORT
99-C.H MARRAN 79
92-HOPITAL MAISON DE RETRAITE 81 GRAULHET
90-C. HOSPITALIER JEAN MARCEL 83 BRIGNOLES
93-HOPITAL RENE SABRAN 83 GIEN
93-HOPITAL RENE SABRAN 83 GIEN
99-HOPITAL DRAGUIGNAN 83 DRAGUIGNAN
99-MAISON DE RETRAITE 83 TOULON
99-HOPITAL FREJUS 83 FREJUS
00-RPA/HYERES/BEAU JOUR 83 HYERES
01-HENRI GUERIN 83 TOULON
97-C. HOSPITALIER HENRI DUNANT 84 AVIGNON
01-HOPITAL AVIGNON 84 AVIGNON
88-HOPITAL DES SABLES D'OLONNE 85 LES SABLES D'OLONNE
98-CENTRE HOSPITALIER 85 LUÇON
98-M. DE RETRAITE CHASSENEUIL 86 CHASSENEUIL
87-C. MOYENS ET LONGS SEJOURS 89 SENS
88-HOPITAL DE SENS 89 SENS
00-C.H.R 89 AUXERRE
03-RPA VERMIGLIO 89
92-C.H.S BARTHELEMY DURAND 91 ETAMPES
88-COMPLEXE SANITAIRE ET SOCIAL 92 CHATENAY MALABRY
94-CONST. BAT. HOPITAL CENTRAL 92
98-CLINIQUE LARCHET 92
99-HOPITAL MAX FOURESTIER 92
97-HOPITAL BONDY 93 BONDY
89-HOPITAL DU KREMLIN BICETRE 94 KREMLIN BICETRE
97-HOPITAL VALENTON 94 VALENTON
88-HOPITAL DE GONESSE 95 GONESSE
00-C.H SOISSON 02 SOISSON
Année/Chantier CP Ville88-CENTRE HOSPITALIER DE VICHY 03 VICHY
01-TERMES/DIGNES LES BAINS 04 DIGNES
99-HOPITAL DE GAP 05 GAP
00-MAISON RETRAITE/BRIANCON 05 BRIANCON
01-M.RETRAITE EMBRUN BRIANCON 05 BRIANCON
93-C.H.R.PASTEUR 06 NICE
98-CENTRE HOSPITALIER ANTIBES 06 ANTIBES
99-HOPITAL LENVAL 06 NICE
99-CHU L'ARCHET 06 NICE
99-HOPITAL DE GRASSE 06 GRASSE
99-CLINIQUE LE BELVEDERE 06 NICE
00-HOPITAL ST ANTOINE 06 NICE
01-HOPITAL ST -ROCH NICE 06 NICE
01-C.H.R PASTOR 06 NICE
02-CLINIQUE ZANOK 06 NICE
00-HOPITAL/AUBENAS 07 AUBENAS
86-C. READAPTATION FONCTION. 08 CHARLEVILLE MEZIERES
97-HOPITAL DE SEDAN 08 SEDAN
00-THERMES 09 AX LES THERMES
91-C.H. DE CARCASSONNE 11 CARCASSONNE
01-RPA/BEZIERS 11 BEZIERS
90-C.H.U TIMONE 13 MARSEILLE
01-HOPITAL LA CIOTAT 13 LA CIOTAT
99-CLINIQUE DU MAIL 17 LA ROCHELLE
00-EAUX THERMALES/ROCHEFORT 17 ROCHEFORT
93-C.H. PERREY-VAUCLUSE 26 MONTELIMAR
92-CLINIQUE LES CEDRES 31 TOULOUSE
93-HOPITAL DE BEZIERS 31 BEZIERS
01-HOPITAL 31 CAHORS
00-HOPITAL 40 DAX
97-HOPITAL ANGERS 49 ANGERS
02-LES PETITES SŒURS DES PAUVRES 51 REIMS
98-HOPITAL E VANNES 56 VANNES
91-CENTRE HOSPITALIER 58 DECIZE
93-CENTRE HOSPITALIER 58 DECIZE
97-HOPITAL HAZEBROUK 59 HAZEBROUK
97-HOPITAL LENS/BAT.CARDIOLOGIE 62 LENS
02-HOTEL ST-MARTIN 68 CULMAR
02-ECOLE D'INFIRMIERE 70 VESOUL
98-H. ANNECY NEUF 1200 LITS 74 ANNECY
98-HOPITAL 74 ST PIERRE D'ALBIGUY
-HOPITAL DE CHAMONIX 74 CHAMONIX
97-HOPITAL PITIE SALPETRIERE 75 PARIS
98-HOPITAL PITIE/SALPETRIERE 75 PARIS
99-HOPITAL TRAPPES 78 TRAPPES
93-HOPITAL DE FREJUS 83 FREJUS
99-HOPITAL BRIGNOLES 83 BRIGNOLES
00-HOPITAL ST TROPEZ 83 ST TROPEZ
00-MAISON RETRAITE/FREJUS 83 FREJUS
99-C.H POITIERS 86 POITIERS
89-HOPITAL D'EVRY 91 EVRY
91-HOPITAL VAUCLUSE 91 EPINAY SUR ORGE
91-HOPITAL NORD 92 VILLENEUVE LA GARENNE
92-HOPITAL D. CASANOVA 93 SAINT DENIS
99-HOPITAL PSY/PONTOISE 95 PONTOISE
00-HOPITAL/ARGENTEUIL 95 ARGENTEUIL
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13 6
98 1
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BIBLIOGRAPHIE : D.G.S. : Circulaire DGS/SD7A/S05C-DHOS/E4 n° 2002/243 du 22/04/2002 relative à la prévention du risque lié aux légionelles dans les établissement de santé.KIWA : Étude KIWA - october 2001 / BTO 2001-170 Biomass Production Potential (BPP) of material in contact with treated water : method and significance.Nancy : Intermediary report n°1 - Nancy november 2001
Biofilm Formation potential of plastic pipe materials and effect on bacteriological quality of water.DGS : Liste des matériaux organiques ayant obtenu une attestation de Conformité Sanitaire. 30 septembre 2001
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