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Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

Jun 02, 2018

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CloJoDa
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  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    1/128

    CoJl)lfighted Material

    SYLVIE SIMON

    V CCINS

    MENSONG

    S

    ET PROP G NDE

    Les vrais

    risques

    des

    vaccins

    Les grands

    secrets

    es contradictions

    des autorits

    de sant

    de lindustrie

    pharmaceutique

    THIERRY

    CoJl)lfighted Material

    ~

    C ~ R

    EDITIONS

    5m JESIMON

    V CCINS,MENSONGES

    r

    PROP G NDE

    es

    I

    nformations Indpendantes

    t

    claires

    E

    deux sicles d h 1 ~ t o 1 r e , ta vac:onabon a

    connu

    succs

    el scandaiE's

    Aujourd'hui tl toSt

    UI4H

    dtf1ctle

    de savo1

    si

    les donMes :s.c'ent1bques sont

    sufmantes pour crer sallS

    cesse - t s a n ~ nsque

    - de

    n o w ~ , 1 u x

    llil ins

    conua1rement

    aux med:ICamems, wwns sont desttns aux b1en-portants

    pour

    pr'o'en

    r une hypothtoque milladte Il

    semble

    donc mportant que chacun

    coona

    lM nsques

    de ces m a l a d ~ s a

    ns1 que

    cwx

    Jndu1ts par les vacc1ns.

    SaviQz-voos

    qu.:

    la populaiJon vawne contre la gr,pt>l

    est pasStle

    aliX {tilts

    Uni$

    oo 15 % en

    1980

    65 % aujoord'hw, sans qu' mcune dimmutiOO dE S dli J d(:j ptJb o plusieurs > S S ( ) sw

    diffprem:s s c a n d a . ~ s a n ~ ~ ires (sang coot m n v ches

    folks. amr

    ante, hotmones

    ( i l Cf015S.)Il(e , 'JWM, NC.)

    Rendez nous

    vl .il

    t:> su

    www.tlilerrysouC(3r.com

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    2/128

    Conception graphique

    et

    rali

    sation:

    Catherine Julia Montfrin)

    Illustration

    s:

    Jrme Chardin

    Ph

    oto :

    C

    Squared Studios

    Dpt lgal : 3< rimes

    tr

    e

    2 9

    ISBN: 978-2-916878-43-0

    Thierry Souccar ditions, 2 9, Vergze

    www.

    thierrysouccar.com

    Tous droits rservs

    Pour mon amie Anne qui m a toujours

    donn

    d excellents conseils

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

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    Vous le savez

    mieux

    que moi

    ,

    toute la mdecine officielle,

    depuis la

    variole, la tuberculose, jusqu' la plus vulgaire entrite, est la proie

    de systmes

    prconus

    qui, pour se soutenir,

    cherchen

    t des faits et au

    besoin, en

    inventent,

    ou en imaginent. Vous avez

    beau faire,

    ntre le

    bon

    sens, on vaccinera, on injectera,

    { .. } pour tuer

    le microbe

    et la

    foule

    inconsciente

    approuvera gouvernementalement.

    On a beau

    crire pour

    prouver

    qu'on

    se

    trompe

    et

    que

    l on trompe, rien

    n'y fait :pauvre esprit

    humain

    Pr Antoine Bchamp

    ( son confrre le r Vindevogel)

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    SOMM IRE

    AVANT PROPOS

    6

    La longue histoire de la vaccination

    Quand les virus animaux infectent les vaccins

    Le

    nouveau vaccin contre la grippe est arriv

    Le

    vaccin contre l hpatite B : le parfait exemple des

    co

    ntradictions des services de sant

    Le

    scandale de l hpatite B

    lheure actuelle

    Les

    vaccins ami-papillomavirus

    LeROR

    L autisme rgressif, un effet secondaire du ROR

    9

    3

    35

    47

    59

    71

    87

    5

    29

    Les

    victimes

    du ROR

    prsent

    45

    Les

    vaccins hexavalents

    55

    Notre

    systme immunitaire

    65

    Un

    fabuleux march

    85

    Les gouvernements sont complices

    9

    7

    umanitaire

    et

    bienfaisance

    2

    a

    mdecine, nouvelle religion

    2 9

    POST FACE

    239

    BIBLIOGRAPHIE

    245

    7

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    VACCINS,

    MENSONGES ET

    PROPAGANDE

    j ai rencontr des milliers - j insiste

    sur

    le

    mot

    milliers alors

    qu on prtend

    qu il

    y en aurait au maximum quelques centaines -

    de gens blesss

    par

    les vaccins, certains clous vie sur des chaises

    roulantes, qu on

    refuse de reconnatre, et qui n ont qu un regret :

    Si j avais su Aussi, je fais de

    mon

    mieux

    pour

    que les autres

    sachent.

    Pourtant, nombreux sont ceux

    qui

    sont avertis que les grands

    mdias nous

    mentent

    et que nos dirigeants nous assnent des vri

    ts qui ne sont en fait que des mensonges, mais peu de journa

    listes

    pratiquent

    leur mtier avec discernement. Ils se contentent

    de reprendre - sans les vrifier - les co

    mmuniqu

    s des agences de

    presse

    ou

    de rpter ce qu ont publi leurs confrres. C est ainsi

    que

    non seulement les mensonges perdurent, mais qu ils grossissent et

    se multiplient au fur

    et

    mesure qu ils sont repris. Des multitudes

    de

    mensonges rpts l envi sont devenus des

    dogmes

    qui

    dclen

    chent des crises d hystrie ds lors qu on ose les remettre en cause.

    Pourtant, ces dogmes ne sont pas des vrits car, comme l enseignait

    Gandhi, une erreur

    ne

    devient pas une vrit

    quel que

    soit le

    nombre

    de

    fois

    que

    vous la rptez.

    La

    vrit reste la vrit,

    mme

    si

    personne n en entend jamais parler . En outre, l information s est

    peu peu transforme en marchandise dont la valeur varie en fonc

    tion de

    l offre

    et

    de la demande, pour en arriver

    au

    point

    extrme de

    la

    dsinformation actuelle ou, ce

    qui

    est sans doute pire, la co

    ntre

    information.

    Mais les mdias ne sont pas les seuls responsables

    et

    ne sont

    que

    les porte-parole d un ensemble

    d institutions qui

    contrlent

    les opinions et les

    comportements et

    maintiennent les gens dans

    l ignorance. Comme l explique

    Noam

    Chomsky, philosophe radical

    de rputation internationale et professeur au MIT (Massachussecs

    Instituee

    ofTechnology):

    Les mdias ne

    reprsentent qu une toute petite

    partie de la

    vaste

    machine de

    propagande.

    Il existe un systme d

    endoctrine-

    ment et de contrle beaucoup plus vaste, dont les mdias ne sont qu un rouage:

    10

    AVANT PROPOS

    l cole

    , l intelligentsia,

    toute une

    panoplie d institutions qui

    cherchent

    influencer et contrler les

    opinions

    et les comportements, et

    dans une large

    mesure maintenir/es gens

    dans

    l ignorance.

    Comme le signalait Rabelais, l ignorance est la mre de tous

    les maux

    Or

    celle

    qui

    concerne la vaccination est souvent cons

    ternante.

    11

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    Du fait des vaccin tions les

    individus sont

    devenus

    de vrit bles

    rservoirs

    virus et leurs dfenses

    immun

    i

    t ires

    sont

    tellement moindr

    i

    es que

    de

    nouvelles ffect ions incurables et

    gr v

    issimes

    apparaissent ch que jour.

    DRL

    OUIS

    BON

    DE

    BROUWE

    R

    ous ET VOTRE

    S NT

    L LONGUE HISTOIRE

    E L V CCIN TION

    0

    N

    CDMPARE

    SOUVENf

    lA VACONATION

    lA

    :Ml1HRIDATJSATION

    qui consiste administrer un poison

    en

    doses d abord

    faibles puis progressivement croissantes afin d accou-

    tumer

    l organisme certains poisons. Ce principe, utilis depuis

    l Antiquit,

    a t immortalis

    par

    le roi

    Mithridate qui,

    selon la

    lgende, avait ainsi acquis

    l immunit

    l gard de

    substances toxi

    ques. Au cours du temps, on a

    pu

    aussi observer que lorsqu on avait

    contract une maladie infectieuse on en restait protg pour le reste

    de la vie.

    C est la variole, maladie

    qui

    a svi durant des sicles, que

    l on doit l invention

    du

    vaccin. L origine de la variole semble trs

    lointaine

    puisque l on

    a trouv des indices dans les vestiges de la

    prhistoire et que, d aprs certaines cicatrices de pustules releves

    sur sa momie, le pharaon Ramss v en serait mort en 1157 av. J. C.

    C est au dbut du Ive sicle aprs Jsus-Christ que Ge Hong, mde

    cin

    et

    alchimiste chinois, en fit la premire description,

    puis

    Aaron,

    mdecin d Alexandrie, la

    mentionna

    au

    v

    sicle. Enfin, un mde

    cin persan, Rhazs, fut le

    premier

    en donner un excellent expos

    symptomatique au Ix sicle. Au xi sicle, les Chinois pratiquaient

    la variolisation par voie nasale, ce qui consistait

    immuniser

    une

    personne en la mettant

    en

    contact avec le contenu de la substance

    qui

    suppurait des vsicules d un malade. Ce fut un moine taoste

    qui

    apporta

    en

    Chine la technique d inoculation qui se diffusa progres-

    13

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    VACCINS,

    MENSONGES

    ET

    PROPAGANDE

    sivement dans tout le pays. Malgr un rsultat alatoire, le taux de

    mortalit pouvant atteindre

    1

    ou

    2

    ,

    cette

    pratique

    s'est progres

    sivement diffuse le

    long

    de la

    Route de

    la soie.

    L

    V RIOLE

    G GNE L EUROPE

    On considre que la variole fut introduite

    en

    Europe par les invasions

    arabes,

    la suite de l'pidmie

    de

    La Mecque

    en

    572,

    puis

    les Croiss

    la rapportrent chacun dans leur pays. Au

    x

    sicle, la maladie

    tait

    connue dans toute l'Europe mridionale. cette poque, la variole

    tait redoute, car un tiers de ceux

    qui

    la contractaient

    en

    mouraient,

    et

    ceux qui survivaient taient gnralement dfigurs.

    En 1701, le mdecin grec Giacomo Pylarini ralisa la

    pre-

    mire inoculation

    Constantinople et sa technique fut importe en

    Occident au

    dbut du

    x

    sicle

    par

    Lady Mary Wortley

    Montagu,

    la femme de l'ambassadeur d Angleterre en Turquie, qui l'avait

    apprise du

    docteur Emmanuel Timoni,

    mdecin

    de

    l'ambassade

    d'Angleterre

    Istanbul. Diplm de l'universit de Padoue,

    mem-

    bre de la Royal Society de Londres depuis 1703, le docteur Timoni

    publia en 1713

    un trait sur l'inoculation.

    partir

    de cette

    date

    , les

    publications sur ce sujet se multiplirent.

    Il est coutumier

    d attribuer

    l'invention

    de

    la variolisation

    Edward Jenner, un mdecin anglais, mais cette mthode fut intro-

    duite en

    France la Cour de Versailles, ds 1756, et exprimente

    sur

    les enfants du

    duc

    d'Orlans

    par

    un mdecin suisse, le

    docteur

    Thodore Tronchin. En

    1760,

    Daniel Bernoulli

    dmontra

    que,

    malgr les risques, la gnralisation de cette pratique

    permettrait

    de

    gagner

    un

    peu plus

    de trois ans d'esprance de vie la naissance.

    Elle suscita cependant l'hostilit

    de

    nombreux mdecins

    et

    la France

    fut ainsi

    l une

    des dernires nations adopter la mthode,

    en

    1764.

    Consulte

    par

    le Parlement, la Facult de mdecine de Paris rendit

    un arrt le 8 juin 1763, par 52 voix contre 26, en faveur de l'ino-

    14

    L

    LONGUE HISTOIRE

    DE L V CCIN TION

    culation.

    La

    variolisation devient l a premire technique mdicale de

    masse,

    non pour

    empcher la

    contagion

    d '

    une

    maladie, mais

    pour

    la

    rendre

    moins

    grave. Cependant,

    en 1803,

    le

    gouvernement

    britan-

    nique

    interdit

    ce procd et encouragea la vaccination.

    partir

    de 1770 et au cours des annes suivantes, plusieurs

    mdecins en Angleterre

    et en

    Allemagne

    ont

    expriment avec suc

    cs la possibilit d 'utili ser la vaccine, une maladie de la vache trans

    missible

    l homme et

    similaire

    la variole,

    pour

    vacciner

    l homme

    contre la variole. En

    1774,

    au cours

    d une

    pidmie

    de

    variole,

    un

    agriculteur du Dorset, Benjamin Jesty, russit

    induire une immu-

    nit artificielle chez sa femme et ses deux enfants avec la vaccine car

    il avait remarqu

    que

    ceux

    qui

    travaillaient dans les laiteries

    de

    la

    rgion et avaient

    eu

    la cow-pox

    ,maladie qui

    s'

    attrape au

    contact

    de vaches contamines, ne contractaient jamais la variole.

    De son ct,

    en

    177 5, sans tre averti du succs de Jesty, Edward

    Jenner

    commena ses recherches

    sur la

    variole

    par

    l'tude de la vaccine,

    le plus souvent bnigne

    pour

    l homme mais

    qui

    ressemble

    la variole.

    En 1796, convaincu que cette maladie bnigne protgeai t ses porteurs

    de la variole humaine,

    Jenner

    inocula,

    par

    scarification dans les deux

    bras, du pus prlev

    sur

    la

    main d une

    femme

    atteinte de

    la vaccine,

    James

    Philipp,

    un

    enfant de 8 ans.

    James

    Philipp contracta la maladie

    sous la forme d 'une unique pustule, de la fivre et

    un

    malaise gnral,

    mais l'enfant gurit trs vite. Trois mois plus tard, pratiquant ainsi la

    premire vaccination au monde, Edward Jenner inocula la vritable

    variole

    au mme

    James Philipp.

    Au grand

    soulagement

    du

    mdecin,

    la maladie n eut aucun effet sur l'enfant, ce

    qui

    prouvait que la vac

    cine l'avait im munis contre la variole.

    Jenner

    appela

    v

    ru

    s

    le facteur

    mystrieux

    de

    la vaccine, d 'aprs

    un mot

    latin

    qui

    signifie

    poson Il

    se rendit ensuite

    Londres o il vaccina gratuitement des centaines

    de sujets, poursuivi t ses recherches et les transmit

    la Royal Society,

    qui n'avait pas diffus le rapport initial. Aprs l'amlioration de la

    mthode

    et

    d'autres travaux, il

    publia

    une

    tud

    e

    sur

    vingt-trois cas.

    5

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    10/128

    VACCINS, MENSONGES ET

    PROPAGANDE

    On peut ainsi constater que la vrit ne correspond pas toujours

    aux dires officiels sur l'efficacit et l'innocuit des vaccins et que

    cette politique de mensonge et propagande, toujours l'honneur, a

    dbut ds les premires vaccinations.

    L B RRIRE

    D ESPCE

    En

    outre,

    le vaccin de Jenner a

    permis

    de franchir pour la

    premire

    fois la barrire d'espce

    en introduisant directement

    dans le corps

    un

    lment d une

    autre

    espce, c'est--dire des gnes provenant

    d un

    animal et qui plus est,

    d un

    animal malade. Ds cet ins

    tant, l homme

    a boulevers l'cosystme

    en

    facilitant le passage

    de micro-organismes d une espce une autre. La barrire tant

    franchie, commena alors l'animalisation de l homme ou,

    comme

    l explique Pierre Darmon dans son ouvrage

    a

    ongue traque de la

    variole

    la minotaurisation de l'espce humaine . Cet aspect de

    la

    vaccination n'est jamais

    pris en

    considration par les scienti

    fiques alors qu il initie tout un ensemble de phnomnes contre

    nature, dont nous ne mesurerons les consquences que dans plu

    sieurs dizaines voire quelques centaines d'annes si nous persistons

    dans

    cette voie.

    18

    UN

    CONST T INQUIT NT

    Le 26 janvier 1909, le

    ew ork ress

    publiait

    un

    rapport du

    Dr W.

    B.

    Clark qui affirmait

    Le

    cancer tait pratiquement

    inconnu avant la vaccination contre la variole.

    J ai

    observ

    200 cas de

    cancer,

    et je n en ai jamais vu un seul chez une

    personne non vaccine. Un demi-sicle

    plus

    tard, le Dr Albert

    Schweitzer (prix Nobel en 1952) aurait partag ce constat car

    il avait remarqu que les premiers cancers

    en

    Afrique taient

    apparus cinq

    ans

    aprs les premires campagnes

    vaccinales.

    L

    LONGUE

    HISTOIRE DE L V CCIN TION

    L

    FIN DE

    L

    V RIOLE

    La variole a disparu de la plante, donc le vaccin n 'est plus

    prati

    qu, mais on ne cesse de rpter, comme un chur de perroquets,

    que l'radication de la maladie est due la vaccination, ce qui est

    totalement faux.

    En

    effet, en 1962, l'Organisation mondiale de la

    sant (OMS) lanait l'chelle mondiale une dernire campagne

    d radica

    tion

    ,dont

    les dbuts furent catastrophiques car des pi

    dmies se dclarrent dans des populations vaccines 95 , notam

    ment en Inde et au Brsil. Le 28 novembre 1972, le Dr Donald

    A. Henderson, chef du Service d'radication de la variole l'OMS,

    dclara

    que

    mme dans la population

    vaccine 90

    ,

    on

    pouvait

    assis

    -

    ter

    des

    flambes

    pidmiques . Il constata qu'avec ce type d'approche,

    on ne parvenait pas faire compltement chec la transmission.

    L'OMS prconisa alors d'abandonner la vaccination de masse au pro

    fit d une stratgie dite de surveillance-endiguement ,c est--dire

    l'isolement des malades

    et

    leur traitement. En quelques annes, ces

    deux pratiques d'hygine lmentaire ont

    triomph

    de la maladie

    en

    interrompant la chane des transmissions, l o la vaccination avait

    ostensiblement chou. C'est ainsi qu en 1980, l'OMS proclama

    l radication totale de la maladie

    2

    Le rappor t final de la Commission mondiale pour la Certification

    de l'radica tion de la Variole spcifiait : L

    es

    campagnes d'radica

    tion reposant entirement

    ou

    essentiellement sur la vaccination de

    masse furent couronnes de succs dans quelques pays mais chou

    rent

    dans la plupart des cas.

    Tout au long de sa carrire, le vaccin gnra des quantits d'effets

    secondaires, alors que les pouvoirs publics ont toujours annonc qu'il

    ne prsentait aucun danger et qu'il n'y avait jamais d'accident .

    Or, lorsqu'un vent de panique a souill sur le monde au

    dbut

    de la

    2 Affiches parisiennes et

    d

    partementales et LeMonde 21 dcembre 1977 .

    19

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    11/128

    VACC

    IN

    S, MENSONGES

    ET

    PROPAGANDE

    guerre contre

    l Irak

    avec la menace de

    la

    variole, les autorits sanitai res

    de notre

    pays

    ont

    refus d envisager

    la

    vaccination cause des graves

    dangers qu elle reprsentait, et Bernard Kouchner a dclar

    qu une

    campagne de vaccination po

    urrait

    causer 350 dcs en France.

    QUESTION

    Comment se

    fait-il

    que le vaccin, qui ne prsentait publique

    ment

    aucun danger alors qu il tait obligatoire, soit devenu

    trs dangereux et mme mortel prsent qu il n'est plus

    utilis

    ?

    Nous aurai t-

    on

    menti une certaine poque

    ?

    P STEUR T L R GE

    Pr

    s

    dun sicle aprs

    la mise

    au

    point

    du vaccin contre la variole,

    Louis

    Pasteur prit pour po

    int de

    dpart

    l

    es

    travaux

    de

    J

    en

    n

    er pour

    t

    ablir

    le principe des vaccinations prventives,

    qui

    doivent

    leur nom

    la vaccine. P asteur restera pourtant officiellement le pre de la vac

    cinati

    on. Ds

    l cole, nous apprenon s

    que Pasteur a

    sauv le petit

    Joseph

    Meister,

    mordu

    la

    main par

    un chien

    enrag.

    Les

    menson-

    ges concernant le vaccin contre

    la

    rage

    sont une

    redite des mensonges

    concernant le vaccin contre la variole, et l exemple

    par

    exce

    ll

    ence des

    mensonges de Pasteur,

    qui

    ont

    t tellement

    rpts et intr

    oduits

    dans

    la

    mmoire

    collective

    qu i

    ls

    sont

    devenus des vrits inattaquables.

    Rtablissons

    un

    pe

    u l

    es

    choses. T

    out

    d abord, le vaccin antirabi

    que ne fut pas cr

    par

    Pasteur, mais

    par Henri

    Toussaint, professeur

    l cole vtrinaire de Toulouse,

    dont

    le

    nom

    a t oubli

    par

    l histoire.

    e

    vaccin cr

    par

    Pasteur, base

    de

    moelle dessche,

    tait

    trs dange

    reux, au point

    que

    le collaborateur de Pasteur,

    mile

    Roux, avait refus

    de s associer aux p remiers essais de

    traitement intensif , et ce premier

    vaccin fut d ailleurs b i

    en

    vite abandonn.

    Henri

    Toussaint a alors russi

    attnuer

    la virulence du virus

    en

    chauffant la prpara

    tion et en

    y ajou-

    20

    L

    LONGUE HISTOIRE DE

    L

    V CCIN TION

    tant

    un antiseptique.

    Quant

    au chien

    qui attaqua

    le jeune Meister, il

    n existait aucune certitude

    qu il fut

    enrag car il

    mordit

    d autres enfnts

    du village

    qui

    ne manifestrent

    pas

    la maladie. De plus, le risque

    pour

    le

    jeune Meister tait infime, car un animal rellement enrag - ce

    qui

    est

    extrmement rare - ne transmet la maladie que dans 5 15 % des cas.

    On

    parle beaucoup

    moins d douard

    Rouyer

    un

    e malheureuse

    victime de Pasteur

    .

    Cet

    enfant

    de

    douze ans

    fut mordu

    le 8 octobre

    1886

    par

    un

    chien

    inconnu.

    Pasteur

    l

    ui

    inocula son vaccin

    par la

    mthode intensive et le 26 octobre, l enfant mourut. Une enqute

    judiciaire fut alors ouverte pour

    dterminer

    la cause de sa mort et con

    fie au professeur Brouardel,

    ami

    de Pasteur. On inocula une

    partie du

    bulbe

    cervical

    de

    l enfant des cerveaux de lapins

    et,

    quelques jours

    plus tard, les lapins moururent de la rage. Mais Brouardel et Roux dis

    simulrent la vrit

    la

    justice afin d

    viter

    le dshonneur et la rvla

    tion

    d un chec cuisant

    pour

    l orgueilleux Pasteur

    qui

    avait dclar au

    Dr

    Navarre :

    Je n admets

    pas qu

    on discute

    dsormais

    mes

    thories

    et

    ma mthode;

    je ne souffrirai pas

    qu on

    vienne

    cont

    rler mes exp

    riences. Officiellement, l enfant tait donc

    mort d urmie

    3

    .

    LA LOI DU SILENCE

    Pasteur

    et

    ses deux complices firent taire ceux qui connaissaient

    la

    vrit. Brouardel

    osa

    mme affirmer qu il n y avait eu aucun

    dcs

    sur cinquante personnes traites par

    les

    inoculations

    intensives, alors qu' cette poque, 40 trangers et 34 Franais

    taient dj morts

    cause

    de Pasteur. Parmi

    les

    74 victimes, cer

    taines taient mortes de

    la

    rage ordinaire, d'autres avaient t

    atteintes d'une nouvelle affection : la rage des laboratoires .

    lles prsentaient les symptmes de paraplgie rabiforme obser

    vs chez les lapins servant la culture du virus pasteurien.

    3. Philippe Decourc :

    es vrits

    Indsirables, Comment on falsifie l histoire: le

    cas

    Pasteur, La Vieille taupe, 1989.

    21

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    12/128

    VACCINS,

    MENSONGES

    ET

    PROPAGANDE

    Dans

    une

    lettre adresse

    au

    Dr Lutaud, rdacteur

    en

    chef. du

    journal de

    mdecine

    de Paris le Pr Michel Peter, membre minent

    de l A

    cadmie

    de

    mdecine, a

    violemment critiqu

    les

    mthodes

    de Pasteur

    et

    l a accus de faire croire la frquence

    de

    la rage,

    maladie rare, trs rare , pour des raisons

    qu il

    qualifiait de peu

    scientifiques . Er, devant ses pairs

    de

    l Acadmie, le

    Pr

    Peter

    a

    reproch Pasteur d avoir provoqu des cas

    de

    rage paralytique er

    mme convulsive, au

    li

    eu

    de l avoir fait disparatre

    compltement,

    comme il l avait solennellement annonc. Il

    concluait: Monsieur

    Pasteur ne gurit pas la rage,

    il

    la donne son tour, l crivain

    Lon Daudet (le fils d Alphonse) s leva contre ce

    qu il

    appela la

    nouvelle Morricolie (en rfrence

    son ouvrage

    es

    morticoles qui

    critique

    la mdecine de son temps)

    et publia une

    srie d articles

    sur

    le sujet. Il a ainsi racont

    en dtailla

    souffrance er l horrible

    mort

    de

    six paysans russes mordus par

    un loup et

    vaccins par Pasreur

    4

    Mais l Histoire

    n a

    retenu que le succs

    de

    ce vaccin

    dont

    jamais personne

    n a pourtant pu

    prouver l efficacit,

    tant donn

    qu il tait pratiquement

    impossible d apporter la preuve que les

    chiens incrimins taient

    atteints

    de la rage.

    En

    outre, le nombre de

    vaccins qui mouraient

    tait trop

    lev pour qu on souhaitt en

    tenir

    compte. Je n ajourerai pas ici la longue liste des autres mensonges

    de

    Pasteur, mais si le lecteur veut les dcouvrir, il

    peut

    se rfrer

    l ouvrage d Eric Ancelet Pour en finir

    avec Pasteur qui

    rsume magis

    tralement ce qui se cache derrire ce personnage, bien diffrent de

    l image

    d

    p

    inal

    qui

    le reprsente officiellement.

    Pendant vingt

    ans, Gerald Geison, professeur d histoire des

    sciences et de la mdecine de l universit de Princeton, a

    tudi

    les notes de laboratoire de Pasteur, jusqu alors restes secrtes sur

    l ordre de Pasteur

    lui-m

    me ,

    et

    a rvl dans une monographie des

    discordances frappantes entre ces notes et les affirmations

    publi

    -

    4. Souveni .s des milieux littrai .es politiques a .tistiques et mdicaux de 1880 1905.

    Nouvelle Librairie

    Nati

    onale 19 15.

    22

    L

    LONGUE

    HISTOIRE

    DE

    L

    V CCIN TION

    ques de Pasteur. Il a

    communiqu

    le rsultat de ses recherches au

    Congrs annuel

    de

    l American Association for

    the Ad

    van

    cement of

    Science

    qui fut publi

    le

    14

    fvrier

    1993 par

    le journal anglais

    The

    Observer.

    son tour, la semaine suivante, le magazine

    Scien

    ednona

    L imposture pasteurienne , mais

    en

    France, personne n

    en

    a

    entendu

    parler.

    La

    monographie

    de

    Geison

    sur

    Pasteur est consid

    re comme un ouvrage scientifique exceptionnel qui perce le secret

    qui

    a

    entour une

    bonne

    part du

    travail de laboratoire

    du

    lgendaire

    savant

    5

    .

    Selon le

    New England journal o Medicine

    ce livre (qui

    n a

    jamais t traduit en franais) nous demande de rvaluer nos

    hros

    et

    de prendre en

    compte

    les complexits de la science plutt

    que

    de nous

    cramponner

    notre confort

    et

    aux

    mythes

    hroques.

    Il est v

    idemment

    bien triste

    que l un

    des plus grands hros

    des Franais soit un imposteur, d

    autant qu il

    inaugura une certaine

    forme de mensonge qui rgne actuellement sur l information scien

    tifique er particulirement en ce qui concerne les vaccins .

    L S

    PREMIERS V CCINS T L S OBLIG TIONS

    En 1898 fut

    vot en Angleterre

    The

    Vaccination

    Act qui

    introduisait

    une

    clause de conscience permettant aux parents d obtenir

    un

    cer

    tificat d exemption s ils pensaient que les vaccinations n taient ni

    efficaces ni sans danger pour leur enfant. Mais pour cela les parents

    devaient se prsenter devant deux magistrats avant que l enfant n ait

    atteint

    l ge de

    quatre

    mois

    et

    le processus tait si contraigna

    nt

    qu en

    1906,

    40

    000 exemptions seulement furent obtenues

    en An

    gleterre

    et

    au pays de Galles. Aussi, une nouvelle loi,

    The

    V

    acci

    nation Act de 1907 ,

    permit aux parents d viter les amendes en cas de non-vaccination

    en

    envoyant s

    impl

    e

    ment

    une lettre

    au

    Vaccination Officer du district,

    dclarant qu ils pensaient que la vaccination serait prjudiciable leur

    5 The p .i

    vate

    S

    cien

    ce

    o Louis

    P

    as

    t

    eu .

    d. Princeton Univers

    it

    y

    Pr

    ess, 1995 .

    23

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    13/128

    VACCINS, MENSONGES

    ET

    PROPAGANDE

    enfant. l'inverse, aux tats-Unis, ds 1905, la Cour Suprme

    du

    Massachusetts annona

    que

    l'tat pourrait exiger la vaccination d'un

    individu

    pour

    le bien de rous, quelques exceptions prs.

    DES DBUTS

    PEU ENCOUR GE NTS

    En

    France en

    1923,

    Gaston

    Ramon, vtrinaire l'Institut

    Pasteur cre

    les

    premires anatoxines contre le ttanos

    t

    la

    diphtrie. Alors que 63 249 cas de diphtrie furent traits par

    l'antitoxine,

    plus

    de 8 900 dcdrent, soit une proportion de

    14 . Pendant la mme priode,

    sur

    11 716 autres

    cas

    non

    traits par l'antitoxine, 703 moururent soit 6 .

    En 1925, une pidmie de diphtrie s'est dclare dans l'arme

    du Rhin. Le mdecin militaire Zoeller fit Mayence un premier

    essai de contrle. Il vaccina 305 recrues par deux injections d'ana

    tOxine

    diphtrique

    faites trois semaines d'intervalle, 700 autres

    recrues non-vaccines servant de tmoins. P

    endant

    les trois semaines

    sparant la premire injection de la seconde, cas de diphtrie se

    dclarrent chez les 305 vaccins, mais 1 seul cas survint chez les

    700 recrues

    du

    groupe tmoin. La conclusion tait formelle, la vac

    cination avait provoqu 22 fois plus de cas chez les vaccins que chez

    les non-vaccins. Les services sanitaires mentirent alors dlibr

    ment en

    prtendant

    que

    les recrues malades taient incompltem

    ent

    immunises et retirrent des cas de vaccins pour les

    mettre

    dans

    le loc des non vaccins, ce qui permit d'affirmer que la vaccination

    antidiphtrique avait fait la preuve de son efficacit. Aussi, le 6

    dcembre 1927, l'Acadmie de Mdecine demandait aux pouvoirs

    publics d 'imposer syst

    ma

    tiqu

    ement

    la vaccination des en

    fa

    nts .

    A cette poque, les contestations venaient surtout du co rps

    mdical et les dbats avaient lieu principalement l'Acadmie

    de mdecine. Constatant les effets dsastreux des vaccinations, le

    24

    L LONGUE HISTOIRE DE L V CCIN TION

    Dr Paul Chavanon fut le premier Franais dnoncer le scandale

    des vaccinations obligatoires et demander la suppression de ces

    empoisonnements imposs, suivi

    par

    les Pr Tissot et Delbet, les Dr

    Neveu, Chvrefils, Grigoraki, Couzigou, Ferru, puis Kalmar et bien

    d'autres. Petit petit, la population a pris le relais et de nombreuses

    publications se sont fai t l'cho des cri

    ti

    ques scientifiques provenant

    d'minents opposants. Mais ils ne

    purent

    empch

    er

    le vote

    d une

    loi instauran t l'obligat ion vaccinale contre la diphtrie et le ttanos,

    en janvier 1938. Ce qui mena Ren Gillouin, crivain, journaliste

    et critique littraire, demander au Conseil gnral de la Seine :

    P

    eut

    -

    on

    imposer

    par

    la force

    une

    mthode qui a dj son acti f,

    ou son passif, t

    ant

    d'checs clatants

    ?

    6

    .

    Alarms par les multiples effets secondaires dramatiques obser

    vs aprs la campagne de vaccination qui s'ensuivie, leur rour,

    quelques dputs courageux, comme Philippe Henriot, dput

    de Bordeaux, Marcel Boucher,

    dput

    des Vosges, et Ren Piard,

    dput-maire de Troyes, osrent s'lever contre cette obligation.

    Le 15 fvrier 1939 se

    tint

    une runion publique salle Wagram,

    Paris, laquelle taient convi

    s

    le professeur Ramon, dcouvreur de

    l'anatoxine diphtrique, et des

    membr

    es de

    l institut

    Pasteur. Ren

    Piard voqua son inquitude en ces termes : ]e suis amen vous

    dire devant cette tribune les angoisses

    du

    maire d une grande cit

    qui s'esc trouve en prsence d une pidmie de diphtrie et qui,

    s'en rfrant aux hommes de science, a fait vacciner

    en

    bloc 5 300

    enfants. Devant l

    es

    rsultats, ma conscience, je ne vous le cache pas,

    esc inquite et tourmente. Voici les faits :

    Nous

    avons

    eu

    Troyes une pidmie de diphtrie qui a

    pris naissance dans une colonie scolaire. J ai runi le corps mdical

    qui

    s'est trouv divis. Alors j'ai demand le secours d'un dlgu

    du ministre qui a prconis la vaccination. Or, il se produisit une

    6.

    ull

    etin

    muni

    cipa

    l officiel

    20 dcembre 1938.

    25

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    14/128

    VACCINS

    MENSONGES

    ET

    PROPAGANDE

    chose terrible. a suite des piqres dana toxine Ramon, des enfants

    jus

    qu

    ici sains furent contamins, il y eut des morts. Des mdecins

    ont

    prtendu que la vacc

    in

    ation pouvait tre l origine de certaines

    diphtries qui ont volu vers la mort. Et c est bi

    en

    l qu est le

    drame. [ ...

    ]Je

    ne sais pas si , en temps d pidmie, on peut s arroger

    le

    droit

    de risquer de

    tuer

    l individu

    pour

    sauver la

    co

    llectivit, mais

    en priode normale, o pourrait-on trouver la justification de crer

    par la vaccination des hypersensibilits l infection, selon le mot

    du

    docteur Anglade ?

    Quant

    moi , aprs la douloureuse exprience que

    je viens de vous exposer je refuse de prendre une telle responsabilit.

    J e voterai la Chambre contre les vaccinations obligataires.

    Lors dune sance la Chambre le 7 dcembre 1939, Marcel

    Boucher, dput des Vosges, vo

    qua

    son tour de nombreux parents

    qui

    avaient

    perdu

    un enfant des suit

    es

    de cette vaccination et

    seraient obligs de

    mettr

    e en danger la vie des enfants qui leur res

    taient en les faisant vacciner leur cour. Il s agit en la circonstance

    d un

    md icament sur lequel les mdecins

    so

    nt loin d tre daccord .

    Pourquoi le lgislateur le dclare-t-il bon ? Pour quelle raison,

    entre

    les thses opposes, choisit- il celle qui aboutit faire, au mpris le

    plus certain des liberts individuelles de rous les Franais, autant de

    cobayes destins servir de sujets d expriences aux inventeurs de

    vaccins ? Et ces e

    xp

    riences, o s arrteront-elles ? Aprs celui-l,

    quel aut re vaccin, c est--d ire quel autre virus devra tre assimil ?

    Et de vaccin en vaccin , de virus en virus, vers quelle inquitante

    d

    es

    tin

    e physiologique co

    nduit

    -on l espce

    hum

    ai

    ne

    ?

    Ces propos r

    es

    te

    nt

    toujours d actualit et il

    es

    t certain

    que

    le

    dput Marcel Boucher, qui exhortait dj imiter les nombreux pays

    qui s taient bien gard d imposer l obligation vacc inale, ne pouvait

    alors imaginer la folie furieuse des futurs inventeurs de vaccins

    Faisant

    fi

    de rous ces arguments, le

    24

    nove

    mbr

    e 1940, sur

    avis conforme de l Acadmie de Mdecine, le

    mar

    chal Ptain trans

    forma ce dcret en loi d tat. Les cas de diphtrie s levrent alors

    26

    L

    LONGUE HISTOIRE DE

    L

    V CCIN TION

    47 000 , alors qu en Norvge, pays qui refusa cette vaccination, les

    cas se limitrent 50 seulement. Ces chiffres parlaient d eux

    -m

    mes,

    mais

    i l

    n y a pire sourd que celui

    qui

    ne veut entendre.

    UN

    TRAITEMENT SANS INTRT

    cette poque, le Dr Neveu, lve du

    Pr

    Delbet, rdigea

    un

    rapport

    sur

    les

    gurisons qu il avait obtenues chez

    des

    per-

    sonnes

    atteintes de diphtrie avec le chlorure de magnsium

    dont on connat l efficacit dans

    les

    tats infectieux.

    e

    Pr

    Delbet voulu prsenter

    ce

    rapport

    l acadmie de Mdecine,

    mais il

    se

    heurta

    une farouche opposition du

    corps

    mdical.

    a

    publication de

    ma

    communication du 20 juin

    est

    dfini-

    tivement refuse.

    e

    Conseil de l Acadmie a trouv, aprs 6

    mois

    de rflexion, l argument suivant:

    en

    faisant connatre

    un nouveau traitement de la diphtrie, on empcherait les

    vaccinations

    et

    l intrt gnral

    est

    de

    gnraliser

    ces vacci-

    nations7.

    Que signifiait

    l intrt gnral

    aux yeux de cette auguste

    Acadmie?

    Il rsulte de ce rapport

    que

    l Acadmie de Mdecine a dcid

    dlibrment d touffer un traitement qui aurait pu sauver des mil

    liers de vies, mais qui aurait risqu de concurrencer les vaccins.

    Et

    le 5 janvier 1

    950,

    une

    aut

    re loi

    rendit

    obligatoire le BCG, mis au

    point en

    1928 par

    Calmette et Gurin. Cela faisait longtemps

    que

    des parlementaires et des industriels des laboratoires cherchaient

    l imposer mais certains hommes politiques avaient ragi. Ils taient

    alors plus courageux qu ils ne le sont aujourd hui,

    et

    certainement

    mi

    eux informs.

    7. Lettre adresse au Dr Neveu le 16 novembre 1944.

    27

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    15/128

    VACCINS, MENSONGES

    ET

    PROPAGANDE

    Dans son ouvrage

    La Mdecine

    retrouve le Dr Jean Elmiger fusti

    ge ce vaccin : Apprenez ici une vrit terrible : chaque fois que vous

    entendez parler d'une affreuse

    mort

    d'enfant, terrass dans les premi

    res semaines de sa vie par une mningite virale , vous tes en droit de

    suspecter le BCG, mme si l'autopsie a confirm le diagnostic classi

    que

    d' encphalite virale foudroyante . ( ..

    )Si

    le mdecin responsable

    d'une telle horreur est conscient

    du

    rapport de cause effet, il est

    un

    criminel clair,

    et

    un lche pour n'avoir pas parl. S'il ne saisit pas

    le rapport, il est

    un

    dangereux imbcile prt la rcidive. Et plus

    loin, dans le mme ouvrage, le Dr Elmiger explique ainsi cette nou

    velle obligation vaccinale, qui devint, au cours des annes suivantes,

    un modle qui fit cole:

    Le

    lancement

    du

    BCG est un modle de

    gangstrisme conomique, une gigantesque

    et

    malhonnte opration

    commerciale. Rien ne manque au scnario :

    un

    inventeur farfelu, des

    expriences de laboratoire truques, un vernis pseudo scientifique, des

    statistiques tronques, une publicit honte, l'appui achet des man

    darins, et, suprme astuce, la gratuit du produit . financ par le con

    tribuable Tout cela ne sort pas de l'ordinaire ; le public franais est

    habitu aux scandales. Mais ce qui est propre au BCG, et

    qui

    atteint

    les sommets du machiavlisme, c'est l'ultime manuvre, russie, de

    coercition diabolique imagine par les promoteurs, le Conseil

    de

    la

    Rpublique, et l'obligat ion vaccinale.

    D'ailleurs, contrairement aux

    craintes des services de sant,

    lorsque ce vaccin n 'a plus t obligatoire

    et

    que l'incidence du vaccin

    a fortement chut,

    on

    n'a

    pu

    dcler le moindre signe d'augmentation

    des

    cas

    lie cette diminution. Au contraire, il s'est produit une nette

    diminution des mningites tuberculeuses et

    moins

    de cas de tubercu

    lose chez les enfants, mme dans les rgions les plus exposes.

    En

    1997, alors que le BCG tait encore obligatoire, Nicole

    Gurin, du Centre internationale de l'Enfance et

    du

    Comit tech

    nique des vaccinations, dclarait : Pendant longtemps nous avons

    fait beaucoup- voire trop -

    en

    matire de vaccination BCG.

    Peut-

    28

    L LONGUE HISTOIRE DE L V CCIN TION

    tre parce

    que

    nous devons grer

    un

    pass : nous sommes le pays

    o le vaccin a t dcouvert. Nous avons fait jusqu' trois quatre

    vaccinations sans que la situation pidmiologique ne change fonda

    mentalement. Il est aujourd'hui difficile de dir e ds demain on ne

    fait plus rien . Certaines dcisions sont politiques et doivent aussi

    tenir compte de l'histoire

    de

    la vaccination dans

    un

    pays

    8

    .

    En

    somme, bien que ce vaccin n ait pas chang la situation

    pidmiologique, on a longtemps persist l'administrer car c'est

    chez nous

    qu il

    a t dcouvert

    et

    que certaines dcisions sont

    politiques

    O est la science dans cette dcision

    ?

    Sous l'impuls ion

    du

    Dr Arbeltier, mdecin-chef

    de

    l'hpital de

    Coulommiers, dput de Seine-et-Marne et vice-prsident

    de

    l'As

    semble Nationale s'est cre, en 1954, une nouvelle association

    qui

    prit le nom

    de

    Ligue nationale

    pour

    la libert des vaccinations

    en

    1964. a

    lutte pour

    la libert des vaccinations se trouvait ainsi

    structure, ce

    qui

    lui

    valu une reprsentativit.

    LES INS S M ULTIPLIENT

    L'inexhaustible liste de mise sur le march des vaccins se poursuivit

    avec le vaccin Salk, contre la poliomylite (maladie virale infantile

    entranant une paralysie), ainsi nomm d'aprs le biologiste qui l'a

    mis au point

    partir

    du virus tu. La vaccination

    dbuta

    donc aux

    tats-Unis

    en

    1954, provoquant

    immdiatement

    une pidmie

    de cas de polio. L'tat

    du

    Vermont signala

    une

    augmentation de

    266

    % des cas, le Rhode Island de 454 %, et le Massachusetts de

    642 %. Malgr ces recrudescences alarmantes, l'American Medical

    Association prtendit que la maladie avait rgress de

    40

    50

    %,

    mensonge qui permettait

    au Boston

    erald de titrer le 18 Avril

    1955 :

    Les

    compagnies pharmaceutiques attendent

    un

    immense

    8. Le

    s maladies

    pr

    vention vaccinale

    dan

    s les collectivits d'enfants e t d 'ado

    lescents Lyon, le 2-1 2

    -9

    7.

    29

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    16/128

    VACCINS, MENSONGES ET PROPAGANDE

    profit

    du

    vaccin Salk. Un porte-parole de Parke-Davis, laboratoire

    qui

    dtenait

    50

    des actions du vaccin, annonait que sa compa

    gnie

    retirerait

    au

    moins

    dix

    millions de dollars des ventes

    au

    cours

    de

    cette

    premire anne.

    Toujours en 1955, alors que la vaccination allait

    bon

    train aux

    tats-Unis, les cas

    de

    polio ne cessaient d augmenter et l on com

    menait savoir

    que

    les mdecins qui faisaient

    partie du

    personnel

    des

    Institutions de

    sant vitaient de vacciner leurs propres enfants.

    En

    effet, aprs avoir tudi 1

    200

    singes, ils avaient conclu que

    le vaccin tait la fois inefficace

    et

    dangereux. Le

    Dr

    Graham W.

    Wilson, directeur des services du Britains Public Health Laboratory,

    qui

    connaissaient les essais du NIH

    (National Institute

    of

    Health)

    amricain, dclara alors : Je ne vois pas

    comment un

    vaccin pr

    par selon la mthode Salk

    peut

    tre garanti sans danger .

    Au

    cours

    d une session

    de

    l American Medical Association,

    le

    chirurgien Gnral

    Scheele

    admit que

    le vaccin Salk

    tait

    difficile

    fabriquer

    et

    qu aucun

    lot ne

    pouvait tre

    garanti avant

    d tre

    administr

    aux enfants

    ,mais

    il

    incita les

    mdecins

    poursuivre

    les vaccinations. Et l on persista affirmer

    au

    public que le vac

    cin tait

    sans danger. Quant au

    gouvernement, il annona

    qu il

    avait l intention

    de

    vacciner

    57

    millions

    de

    personnes avant le

    mois

    d aot 1955. En

    1956,

    il octroya 53,6

    millions de dollars

    pour aider les

    tats

    vacciner gratuitement les moins

    de

    20

    ans, alors que le

    Dr

    Peterson, Directeur

    de

    la

    Sant de

    l Idaho,

    signalait

    que

    la

    maladie

    ne

    touchait

    que

    les

    enfants

    vaccins

    dans

    les

    districts

    o aucun cas ne

    s tait

    produit depuis

    l automne

    prcdent. Dans 90 des cas,

    la

    paralysie concernait le bras

    dans lequel le vaccin avait t

    inject.

    Cette

    anne-l, l American

    Public Health Service

    annona 168

    cas

    de

    polio

    et

    6 dcs

    parmi

    les vaccins. Ds lors, on

    appliqua la

    censure aux rapports

    d acci

    dents causs par ce vaccin. Ce qui permit

    au

    Gouverneur Knight,

    de

    Californie, de

    dbloquer en

    195

    7

    trois

    millions de

    dollars

    3

    L LONGUE

    HISTOIRE DE

    L V CCIN TION

    afin d assurer

    la

    vaccination

    de tous les citoyens

    de

    moins de 40

    ans

    et

    aux

    journaux

    d annoncer un

    profit

    de

    plus

    de 5

    milliards

    pour le

    fabricant

    du vaccin.

    Au

    mme moment, dans le journal

    of the American Medical Association, les Dr Allan

    Hinman

    et Jeffrey

    Capelan, annonaient que Sur les 3,3 millions d'enfants vaccins

    annuellement aux tats-Unis (avec

    ce

    vaccin), 16 038 manifestrent

    des crises aigus et des pleurs persistants - ce qui est considr par

    la plupart des neurologistes comme l'indication

    d une

    irritation du

    systme nerveux central - et 8 484

    eurent

    des convulsions et furent

    en tat de choc dans les 48 heures suivant l'injection du vaccin.

    En 1959, le National lnstitute of Health approuva le Quadrigen

    qui comprenait les vaccins contre la coqueluche,

    la

    diphtrie, le

    ttanos et la polio, mais il fut retir du march

    en 1968

    la

    suite

    de plaintes de parents contre les laboratoires Cutter Labs

    et

    Parke

    Davis. C'est alors que le vaccin oral Sabin fut mis au point partir

    du

    virus vivant

    attnu

    du

    poliovirus, prpar suivant

    une

    nouvelle

    technique, et

    d un

    emploi plus facile. La campagne

    d immunisation

    avec ce vaccin commena

    en

    1961.

    QU IMPORTE L S ACCIDENTS l FAUT VACCINER

    Pendant

    ce temps,

    en

    France, les premiers vaccins contre la coque

    luche furent introduits et intgrs au calendrier vaccinal, alors

    qu en

    1958,

    la

    littrature

    mdicale mondiale signalait dj 107

    cas de srieuses ractions,

    dont

    31 avaient entran des dommages

    irrparables du cerveau. En 1960, le British Medical journ l publia

    une tude du chercheur sudois

    Justus

    Strom, qui prouvait que les

    complications neurologiques

    de

    la coqueluche

    taient

    moindres que

    celles

    qui sont

    induites

    par

    le vaccin.

    Au cours des annes suivantes, des pidmies se

    sont

    dclares

    dans des populations couverture vaccinale trs leve (entre 81

    et 91

    ),

    comme

    en Afrique du Sud en 1988-89, et aux tats-Unis

    31

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    17/128

    VACCINS, MENSONGES ET PROPAGANDE

    entre 1992 et 1993, o le nombre de cas de coqueluche a doubl,

    ce

    qui a amen les autorits s'interroger

    sur l utilit

    de ce vaccin

    9

    Nombreuses furent alors les revues mdicales qui mentionnaient

    des flambes pidmiques dans les pays ayant une couverture vacci

    nale de 96

    ,

    entranant l'apparition de formes atypiques. Ainsi Le

    Quotidien

    du

    mdecin

    du

    5 janvier 1994, et le British Medical journal

    of Medicine

    (n

    19 de

    1995) signalaient

    que

    des lves avaient t

    contamins

    par

    des camarades vaccins.

    A

    peu

    prs

    la

    mme

    poque, on labora de nombreux vaccins

    contre la rougeole dont le virus avait t isol en 1954. Ces premiers

    vaccins eurent des rpercussions catastrophiques occasionnant de

    graves effets secondaires : ractions fbriles, signes respiratoires trs

    intenses et une closion de rougeoles atypiques

    qui

    firent rechercher

    une autre souche vaccinale. Les enfants qui furent vaccins entre

    1963 et 1967 dvelopprent l'AMS Atypical Measles Syndrome . Des

    tudes

    ont

    suggr que la rponse de ces enfants au virus sauvage

    tait altre et que la svrit et la persistance des symptmes vo

    quaient une encphalopathie.

    9. Strebel P,

    Hu

    ssey G , Metcalf C,

    Smith

    D, Hanslo D , Simpson]. : A n outbreak

    of wh

    oo

    ping

    cough

    in a highly vaccinated urban commrmity.

    ]

    Trop. Pediatr., 199 1

    Mar;3 7(2):7 1-6.

    3

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    18/128

    urisseurs

    ou

    bandits

    ? Les observateurs

    sont

    souvent

    bien

    en

    peine pour dcider lequel

    de

    ces deux termes

    appliquer l industrie pharmaceutique internationale

    PETER MARSH NEW SCIENTIST - 1989

    QU ND L S VIRUS

    NIM UX

    INFECTENT

    L S V CCINS

    A

    LORS QU ON MULTIPUAIT LES RECHERCHES SUR DE NOUVEAUX

    vaccins,

    on

    a continu inoculer les vaccins anti-polio

    infects des millions d enfants travers le monde

    en garantissa

    nt

    leur innocuit. t de nos jours, il existe encore des

    contamination s de vaccins accidentelles, aux cons

    quen

    ces des

    plus

    explosives. Mais

    pour

    bien comprendre

    comment

    c est possible, exa

    minons tout d abord

    comment es

    t fabriqu un vaccin.

    QUE CONTIENT UN V CCIN ?

    Le principal ingrdient d

    un

    vaccin est

    un

    antigne viral

    ou

    bac

    trien, soit tu, gnralement par le formol, soit vivant mais

    att-

    nu.

    Les

    vaccins bactriens peuvent tre ent iers, c est--dire qu ils

    co

    nt i

    e

    nn

    e

    nt

    la bactrie

    ent

    ire,

    ou

    non et ils co

    mport

    e

    nt

    alors des

    fragments antigniques extra

    it

    s de la bactrie.

    Pour fabriquer l

    es

    vaccins viraux, il faut aussi des cultures de

    cellul

    es

    (un virus ne peut vivre qu l intrieur d une cellule). Pour

    ces

    culture

    s,

    on utilise trs souvent des cellules animales : des reins de singe

    pour le vaccin contre la polio, des ovaires d hamster pour le vaccin con

    tre l hpatite B, du cerveau de lapin pour le vaccin contre la rage, des

    embryons de poulet pour le vaccin contre l

    es

    oreillons, etc.

    35

    VACCINS, MENSONGES

    ET

    PROPAGANDE

    QU ND LES VIRUS

    NIM UX INFECTENT

    LES

    V CCINS

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    19/128

    Pour

    assurer

    une production

    industrielle des vaccins, il est

    ncessaire d avoir des cellules en continu.

    Pour

    cela,

    on

    canc

    rise les cellules d une souche vaccinale pour qu elles se repro

    duisent

    l infini.

    L usage

    de

    ces lignes cellulaires

    continues

    pose

    des problmes de puret. Le

    rapport

    747 de l OMS (Organisation

    mondiale de la sant) mettait en

    garde en

    1986 contre l usage de

    substrats

    cellulaires

    pour

    la fabrication des vaccins, lesquels

    peu

    vent

    tre

    contamins

    par

    des virus inconnus

    ou par de l ADN ou

    par

    des protines transformantes.

    En outre,

    les

    cultures

    cellulaires

    ne

    peuvent

    crotre

    que

    si elles reoivent

    de

    la

    nourriture,

    gnra

    lement

    du

    srum

    de veau

    qui contient

    des facteurs de croissance

    10

    Contre

    la

    contamination

    bactrienne des

    cultures

    cellulaires, fr

    quente

    dans les laboratoires,

    il

    est

    galement

    ncessaire

    d utiliser

    des

    antibiotiques, comme

    la nomycine, redoutable pour ceux

    qui

    y

    sont

    allergiques.

    Pour

    que les vaccins soient plus actifs,

    on

    ajoute

    la

    prpara

    tion vaccinale

    un

    adjuvant

    de l immunit,

    susceptible d augme

    nter

    les rponses immunitaires

    qui

    sans lui risquent d tre inexistantes.

    De

    nos jours, c est essentiellement de l hydroxyde

    d aluminium

    qui

    est utilis,

    mme

    si depuis plusieurs annes, l aluminium est incri

    min

    dans la maladie de Alzheimer. Enfin, la

    plupart

    des vaccins

    contiennent galement des conservateurs, des stabilisateurs

    et

    des

    excipients comme le phnoxythanol.

    Certains vaccins, comme les vaccins

    anti-HB ou

    les vaccins

    ami-papillomavirus, sont

    produits

    par

    gnie gntique, c est--dire

    qu au

    lieu d utiliser le virus

    ou

    la bactrie,

    on

    va isoler certains seg

    ments

    de leurs chromosomes

    et

    les greffer

    sur

    d autres

    pour

    obtenir

    des lments hybrides

    qui

    n existent pas dans la nature. Il ne s agit

    pas de vaccins

    synthtiques mais recombins, donc

    d une

    mani

    pulation du vivant.

    1O. ational Cancer

    Ins

    titute Monograph n29 de dcembre 1968 - p.63-70.

    L VIRUS DU SING DANS L VACCIN ANTI POLIO

    En 1960,

    Bernice Eddy, chercheur salari

    par

    le gouvernement

    amricain, dcouvrit

    que

    lorsqu elle inoculait des hamsters avec la

    partie des reins

    de

    singe

    sur

    lesquels le vaccin polio Salk

    tait

    cul

    tiv, ces cobayes

    de

    laboratoire dveloppai

    ent

    des sarcomes. Ses

    suprieurs essayrent

    de

    taire cette dcouverte, mais Bernice Eddy

    en

    parla lors

    d une

    confrence

    sur

    le cancer. Elle fut

    immdiatement

    dmise

    de

    ses fonctions

    et interdite

    de laboratoire.

    Cette anne-l, Benjamin Sweet et Maurice

    Hilleman

    isolrent

    le virus incrimin, inconnu jusqu alors. Il fut appel SV40 car il

    tait

    le quarantime virus simien dcouvert dans ces conditions.

    Des expriences

    ont

    dmontr

    que

    des cultures

    de

    tissus humains

    se cancrisaient

    au

    contact

    de

    ce virus, responsable de cancers chez

    certaines espces animales comme les rongeurs Rsistant au

    formaldhyde utilis

    pour

    inactiver le vaccin, le SV

    40

    conta

    mina

    galement les vaccins

    ina

    ct ivs.

    On

    ignorait alors les rpercu

    ss

    ions

    possibles sur la sant des personnes ayant reu un vaccin contamin,

    mais le

    Dr

    Harvey Schein, du dpartement de bactriologie et d im

    munologie

    du

    Centre Mdical de l Hpital

    pour

    Enfants de Boston,

    laissait clairement entrevoir

    l ampleur de

    la catastrophe.

    Malgr ces nouvelles

    plutt

    inquitantes qui se r

    pandirent

    rapidement parmi les c

    her

    cheurs, la commercialisation du vaccin

    c

    ultiv

    sur

    ces ce llules empoisonnes fut poursuivie.

    En 1962,

    le

    vol

    ume 48

    des Rapports

    de

    l A

    cadmie Nationale des Sciences des

    tats-Unis

    dmontrait que

    les mtamorphoses cellulaires

    induites

    par

    ce virus entranaient des anomalies dans la

    leu

    cmie mylode

    c

    hroniqu

    e

    et

    dans le mongolisme chez

    l homme,

    ainsi

    qu une

    recru

    descence des leucmies

    de

    tous types chez les enfants mongoliens.

    11. Bergsagel DJ, Finego

    ld

    MJ, Bu el JS, Kupsky WJ, Gar

    ce

    a RL :DNA sequences

    similar to those ofsimian virus 4 in ependymomas and choroidplexus tumors of

    hildhood

    N Engl J Med. 1992 Apr 9;326(15):988-93.

    7

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    20/128

    VACCI NS , MENSONGES ET PROPAGANDE

    QU ND

    L S

    VIRUS

    NIM UX INFECTENT

    LES V CCINS

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    21/128

    BIEN PL

    US T RD

    Le

    virus SV40, inject

    des

    millions

    de

    personnes travers le

    monde pendant plus de sept ans,

    dont

    trois alors qu on con-

    naissait son danger, n avait en rien altr la foi

    des

    mdecins

    en la probit et la comptence des laboratoires. Et ce n est que

    des

    dizaines d annes plus tard que

    ses

    effets nfastes ont t

    rvls. Et on craint semblables rvlations pour d autres vac-

    cins dans

    les

    annes venir

    CONFIRM TION

    DE L EFFET

    C NCRIGNE DU

    VIRUS

    En 1994, Michaele Carbone

    et

    son quipe injectrent le virus SV40

    des centaines de hamsters

    qui

    dcdrent rous d un msothliome au

    cours des mois suivants

    En 1996, une quipe mdicale du Baylor

    Colle

    ge

    Houston a retrouv le virus SV

    40

    dans les tissus de patients

    souffrant de tumeurs du cerveau et de msothliomes. En 1996, le Dr

    Carbone publia une nouvelle tude rvlant la prsence de ces mmes

    squences de SV40 dans un tiers des ostosarcomes et dans 40 %

    d autres tumeurs des os.

    Le

    chercheur et son quipe prcisaient que

    les

    rumeurs analyses provenaient denfants

    qui

    ne devraient pas

    avoir reu des vaccins contamins

    par

    le SV40. Cependant, la possibi

    li t que ces enfants aient t infects

    par

    leurs mres qui avaient reu

    ce vaccin ne peut pas tre exclue

    18

    , mais les experts de l OMS

    refusrent denvisager la transmission verticale gntique des parents

    l enfant.

    son tour, le

    Dr

    Jane Burel, du Baylor College de mdecine

    Houston , a dclar

    que

    le virus est aujourd hui prsent dans la

    17. Carbone M. et al. :

    Simian v

    iru r

    40 like DN A sequence r in human pleural

    me ro

    t

    he

    /ioma .

    Oncogene, 9, p. 1781-1790, 1994.

    18

    . Carbone et al. :

    SV 4 -li

    ke se

    q

    ue

    nce r in human bone tumors On

    cogene, 13, p.

    527-535 ; 1996.

    40

    population humaine et

    se rpand

    par

    une voie inconnue . Dans

    le journal du National Cancer Institu te elle prcisait

    que

    le virus

    risque d tre transmis

    aux

    enfants de ceux qui ont

    t

    contamins

    par

    le vac

    cin

    .

    Les

    27

    et

    28 janvier

    199

    7,

    dan

    s le cadre

    d une

    confrence

    intitule SV40, a possible

    human

    polyomavirus , Martini et ses

    collaborateurs confirmrent les travaux de Carbone :

    Un

    taux lev

    des noplasmes crbraux a t not dans les groupes de personnes

    vaccines. Dans cette

    tude

    comme dans les autres, une prvalence

    leve

    de

    SV

    40

    a t dtecte dans les tumeurs

    du

    cerveau

    et

    des os

    qui affectent l

    es

    enfants

    en

    bas ge

    19

    .

    En mai 1998, le Pr Franoise Galateau-Salle et son quipe

    franaise

    ont

    galement

    mis

    en vidence la prsence d

    AD N

    SV40-

    like dans des prlvements tumoraux, mais galement dans des

    prlvements broncho-pulmonaires non-tumoraux et lont publi

    dans le

    journal

    of

    Patho/ogy

    Le terme SV40-like sapplique

    un

    viru

    s ayant une squence virale proche du SV40. Il pourrait alors

    s agir, soi t du virus SV40 lui-mme, soit d

    un

    virus SV40 recom

    bin, soit d un virus

    humain

    proche du SV40

    qui

    pourrait rsulter

    d une mutation la suite d une infection par le virus SV40.

    C est ainsi que l humanit a chapp - sauf quelques victimes

    sans

    doute plus nombreuses

    qu

    on ne le

    pense-

    l une des plus grandes

    catastrophes mdicales de son histoire, et personne ne sest inquit, alors

    qu on essaie chaque jour de nousaffo ler avec des bactries qui nous guet

    tent

    et

    pourraient nous exterminer Malgr dnormes risques pourtant

    prvisibles,

    les

    autorits scientifiques et politiques n ont

    pas

    hsit

    auto

    riser l utilisation

    des

    fragments du gnome dun virus animal dangereux

    pour l homme, et tout le monde a fait en sorte de l oublier.

    Dans l un de ses bulletins , l OMS s est flicite de la vigilance

    de l opinion publique devant les risques ventuellement lis aux vac-

    19. Huang H , et al. : Identificati

    on

    in human

    bra

    in tumors of DNA sequence r specifie

    for SV 4 large T antigen Brain Pathology 9 janvier 1999.

    41

    VACCINS, MENSONGES

    ET

    PROPAGANDE

    QU ND L S VIRUS NIM UX INFECTENT LES V CCINS

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    22/128

    cinations et aux dmarches thrapeutiques. Il ny a gure que l OMS

    et

    quelques fanatiques qui ont constat la

    vigilance de l opinion

    publique

    devant ces risques.

    Comment

    l opinion

    publique

    aurait

    elle pu

    juger

    un risque

    qu on lui

    a volontairement cach, et qu elle

    est totalement manipule

    ?

    Et

    comment peut-on oser continuer

    utiliser le virus SV

    40

    dans les techniques

    de

    gnie gntique,

    comme

    pour

    le vaccin

    ami-hpatite

    B de chez Pasteur-Mrieux

    ?

    ES ML NGES EXPLOSIFS

    Les contaminations des vaccins par des virus animaux ne sont pas

    circonscrites aux annes 1960. Elles peuvent encore se produire

    aujourd hui. Ainsi, en mars 2009, nous avons appris que la compa

    gnie pharmaceutique Baxter International avait fabriqu un vaccin

    exprimental qui a t accidentellement contamin par le virus

    H5Nl

    de

    la

    grippe

    aviaire.

    Cette

    erreur

    que

    les autorits

    de

    sant

    publique

    ont

    tout

    de

    mme

    qualifie de grave , a eu lieu

    au

    laboratoire de recherche

    de

    Baxter International Orth-Donau

    '

    en

    Autriche.

    Ce mlange de virus de la

    grippe

    humaine H 3N2 et de virus de

    la grippe aviaire H5N1 a t envoy l entreprise Avir Green Hills

    Biotechnology, une firme autrichienne qui a expdi des portions

    du

    mlange des sous-traitants

    en

    Rpublique tchque,

    en

    Slovnie

    et en Allemagne. C est le sous-traitant tchque

    qui

    s est aperu du

    danger

    lorsque des furets auxquels il avait inject le mlange so

    nt

    morts,

    ce

    qui ntait pas normal aprs une exposition au seul virus

    H 3

    N2.

    Des

    spcialistes

    en

    bioscurit se

    sont montrs

    fort proccups

    par

    ce mlang de virus qui

    aurait

    pu

    mener

    des consquences

    dsastreuses

    et

    devrait

    tre

    interdit . Si

    une

    personne tait infec

    te simultanment par les

    deux

    souches, elle pourrait servir d in

    cubateur un virus

    hybride

    capable de se propager facilement d u n

    42

    humain un autre. Ce mlange de souches, appel rassortiment,

    est

    l une

    des deux manires de crer un virus

    pandmique.

    C est

    le Laboratoire national de microbiologie du Canada qui a con

    firm la faute et alert l OMS. Son

    porte-pa

    role, le Dr

    Roberta

    Andraghetti,

    a affirm que

    l OMS

    suivait de prs l enqute sur les

    vnements ayant men cette bvue . Elle a prcis :

    ce

    stade

    du

    processus , nous pouvons affirmer

    que

    les risques

    pour

    la

    sant

    publique

    et pour les professionnels

    ayant t mis en contact

    avec le virus

    sont

    un trs bas niveau . Nous connaissons bien ce

    discours strotyp,

    et

    qui pourrait le croire 100 % tant donn

    les antcdents

    ?

    Lorsque Christopher Bona, porte-parole

    de

    Baxter, a confirm

    l information, la panique s est empare de la

    communaut

    des

    experts sanitaires qui demandrent

    comment une

    telle erreur

    avait

    pu

    se produire. Comment un grand laboratoire a-t-il

    pu

    per

    dre le contrle d un virus considr

    comme

    l une des plus grandes

    menaces de pandmie

    ?

    Et

    comment

    ce laboratoire

    peut-il

    avoir

    introduit par accident les deux virus H5Nl et

    H3N2,

    dans le

    matriel vaccinal

    ?

    D autant que Baxter International a adhr au

    BSL3 (Biosafety Level 3),

    un

    ensemble

    de

    protocoles destins

    viter

    la contamination par croisement viral.

    Si un individu envoie un virus un quelconque destinataire,

    comme cela s est produit avec l anthrax, il sera arrt comme terro

    riste, alors que Baxter s en est tir en disant simplement dsol,

    c est une erreur Comme l explique Mike Adams,

    diteur

    de

    Natural News

    : Le personnel des laboratoires est entran la

    manipulation d agents pathognes et potentiellement mortels,

    et

    il

    est supervis par des scientifiques comptents. { .. ] Suivant les rgles

    du BSL3, il est impossible que le virus de la grippe aviaire ait

    pu

    co

    ntaminer

    les substances vaccinales expdies aux

    quatre

    coins du

    monde. Pour lui, seules

    deux

    possibilits sont envisageables. Ou

    bien Baxter

    n a

    pas suivi les rgles de la charte laquelle il a sous-

    4

    VACCINS, MENSONGES

    ET

    PROPAGANDE

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    23/128

    crit, ou bien les virus de la

    grippe

    aviaire

    ont

    t intentionnellement

    placs dans le matriel vaccinal dans l espoir qu il serait injects

    des humains, afin de crer cette pandmie tant redoute. Les deux

    hypothses sont

    galement

    effrayantes.

    Je

    cesserai ici d numrer la longue liste de nouveaux vaccins

    qui

    se sont succd pendant des dcennies et dont des quantits ont

    t retires ensuite, car il faudrait plusieurs volumes

    pour en

    faire

    l inventaire. Mais

    il

    est tonnant

    de

    constater le nombre de fois

    o

    l on a fait l apologie d un vaccin en affirmant

    qu il

    tait parfaitement

    efficace, que le vaccin ne

    pouvait contracter la maladie et que

    ce

    vaccin tait parfaitemen t bien tolr sans

    aucun effet secondaire ,

    pour annoncer ensuite

    qu il

    tait remplac

    par un

    vaccin plus per-

    formant et moins

    dangereux.

    Comme le demandait Coluche,

    Plus blanc que blanc, c est quoi

    ?

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    24/128

    L introduction

    volontaire

    et

    non

    ncessaire

    de virus

    infectieux

    dans un corps

    humain

    est un acte dment

    qui

    ne

    peut tre dict que

    par

    une grande ignorance de

    la

    virologie

    et des processus

    d infection.

    PR R DELONG

    VIROLOGUE

    ET

    IMMUNOLOGISTE DE L UNIVER SIT

    DE

    TOLEDO

    AUX TATS- UNIS

    LE NOUVE U V CCIN

    CONTRE

    L

    GRIPPE

    EST

    RRIV

    C

    AQUE ANNE, EN AUTOMNE, NOUS SOMMES HARCELS

    par les spots publicitaires faisant la promotion

    du

    vac

    cin ami-grippe, destin

    prvenir une maladie qu ils

    qualifient de

    trs dangereuse et souvent mortelle , particulire

    ment pour

    les personnes ges. Malgr les promesses de notr e

    gou-

    vernement de rduire les dpenses de sant, les Caisses d Assurances

    Maladie relancent sans relche les citoyens.

    En

    septembre

    2008,

    elles

    sont

    alles plus loin

    que

    de coutume

    en

    envoyant des courriers

    9 millions de personnes, afin que les vaccins de l anne passe

    noublient surtout pas de se faire revacciner, mais pour incite r gale

    ment

    ceux qui n avaient jamais voulu recevoir ce vaccin l accepter

    enfin.

    Acroire que le fameux trou de la Scurit Sociale n est pas

    aussi profond qu on veut nous le faire croire.

    C tait devenu une habitude depuis quelque temps, mais cette

    anne 2008

    la

    Cnam

    voulait particulirement

    cib

    ler la tranche des

    65 69 ans,

    dont

    seuls 53 %

    sont

    vaccins, car

    l objectif de sant

    publique

    [tait} d atteindre un taux de couverture de 75 % la fin

    de 2009 .Cette offre n tait valable que jusqu au 31 janvier 2009,

    afin de crer une bousculade base sur la crainte habituelle qu il

    n y en

    ait

    pas

    pour

    tout le

    monde

    .

    7

    VACCINS,

    MENSONGES

    ET

    PROPAGANDE

    LE NOUVE U V CCIN

    CONTRE L

    GRIPPE

    EST

    RRIV

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    25/128

    DES

    ST TISTIQUES ERRONES

    Les

    pouvoirs publics essaient de nous faire croire qu il y aurait des

    milliers de dcs imputables la

    grippe

    chaque anne, mais ces dcs

    concernent la plupart du temps des personnes dj atteinte s d'autres

    maladies ou

    dont

    l tat gnral est trs dlabr par l'ge

    ou

    par des

    pathologies chroniques de plus

    en

    plus nombreuses.

    Et

    surtout,

    on

    veut nous convaincre

    que

    la vaccination rduit de 50 les risques

    de mor talit chez les gens gs en hiver. Nombre d'tudes, cites

    tout bout de champ, l'affirment.

    Or

    il s'agit l d une impossibilit

    absolue car la mortalit

    par

    la grippe, qui atteint son point culmi

    nant

    en

    janvier-fvrier, n'est responsable que de 5 de la mortalit

    des gens gs en hiver.

    Aussi, l'affirmation que le vaccin diminue de moiti et mme

    plus les risques mortels est parfaitement ridicule. Une quipe

    de chercheurs, celle

    du Dr

    Lone Simonsen, de l'universit George

    Washington aux tats-Unis, a dcouvert ainsi que ces statistiques

    ne peuvent tre correctes. Que le vaccin contre la grippe pargne

    10 fois plus de morts que la maladie elle-mme n'en occasionne n'est

    pas possible ,affirment-ils juste titre. Personne d'autre qu'eux ne

    semble avoir analys cor rectement ces statistiques. On se rend ainsi

    compte que chacun rpte des contre-vrits comme un perroquet,

    sans jamais rflchir, et particuli rement nos services de sant.

    P S

    DE

    RDUCTION

    DE

    L

    MORT LIT

    CHEZ

    LES

    PERSONNES

    GES

    Les gens gs sont la cible prfre des mdias qui semblent igno

    rer toutes les tudes

    qui

    discrditent ce vaccin. Le journal mdical

    The Lancet Infectious Diseases a confirm que des erreurs dans les

    tudes ont conduit beaucoup exagrer ses bnfices , et qu il

    n'existe pas assez d'vidence pour savoir quel point ce vaccin peut

    parfois sauver des vies, ni mme s'il en sauve une seule. Ainsi,

    au Royaume-Uni, le 25 Septembre 2007, le journal anglais

    T h

    u

    ardian

    titrait

    : Le vaccin contre la

    grippe

    n'est sans doute pas

    utile pour les patient s gs Et Sarah Boseley, journal iste mdicale

    du journal, se rfrant

    un

    rapport paru dans le he Lancet Infectious

    Diseases ajoutait: La

    vaccination contre la grippe, qui cote au

    gouvernement environ

    150

    millions de livres

    par

    an,

    peut

    ne pas

    sauver une seule vie de gens gs, objets d'intensives campagnes

    annuelles .

    Le ministre de la Sant de ce pays qui n'a pas contest ces tu

    des doit tre sourd et aveugle (mais il est loin d 'tre le seul) car il a

    dclar : Le

    but

    de notre politique

    en

    ce qui concerne la

    grippe

    est

    d'empcher ceux qui courent des risques de maladies graves ou un

    danger de mort d attraper la grippe. Ainsi, pour le grand profit des

    laboratoires, le vaccin continue d'tre inject.

    Le

    Dr

    Simonsen a galement signal

    que

    l'augmentation mas

    sive des vaccinations contre la grippe depuis 1980 n'a pas du tout

    fait diminuer la mortalit chez les gens gs, au contraire. En effet,

    ce sont les plus de 70 ans

    en

    mauvais tat de sant

    qui

    courent le

    plus de risques. Or, les essais mens pour savoir si le vaccin est effi

    cace consistent donner le vaccin ou un placebo un nombre gal de

    personnes qui sont

    en

    gnral en bonne sant

    et

    ont moins de 70 ans.

    Le

    plus

    important

    de ces essais a t men en Hollande au dbut des

    annes 1990 et a prouv que, chez les gens gs de plus de 70 ans,

    l'efficacit du vaccin tait rduite de 23

    .

    Le Dr Simonsen explique

    ce rsultat par le dclin de la rponse immunitaire d l'ge, une

    autre tude ayant confirm que les personnes de plus de 65 ans ne

    produisent plus

    qu un

    quart des anticorps de la grippe. Mfirmer que

    le vaccin protge tous les gens gs

    montre

    donc que tout est

    mensonge sur ce sujet. Ainsi, aux tats

    -U

    nis, la couverture vaccinale

    contre la grippe est passe de 15 de la population en 1980 65

    actuellement, sans aucune diminution des dcs dus cette maladie.

    49

    VACCINS,

    MENSONGES

    ET PROPAGANDE

    LE

    NOUVE U

    V CCIN

    CONTRE L GRIPPE EST

    RRIV

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    26/128

    Cette dcouverte est majeure et significative, mais on pense tout de

    mme qu 'il faut mener des tudes complmentaires pour savoir si le

    vaccin est efficace pour ces gens et, entre-t emps, la vaccination va se

    poursuivre car mme

    un

    vaccin peu efficace est mei

    ll

    eur que pas

    de

    vaccin du tout part pour le profit des laboratoires, il est difficile

    de savoir pourquoi.

    LES POUVOIRS PUBLICS FRANAIS IGNORENT

    LES

    TRAVAUX

    SCIENTIFIQUES

    SUR E

    VACCIN

    Le problme est exactement le mme en France o l on

    peut

    ais

    ment imaginer ce que dpense l'industrie pharmaceutique pour le

    matraquage publicitaire. Tandis que les pouvoirs

    pu b

    lics prtendent

    essayer par tous les moyens de rduire le dficit gigantesque de la

    Scurit Sociale,

    tout en

    nous menaant de mort si nous ne sommes

    pas vaccins, personne ne sem ble attach

    er

    la moindre

    importa

    nce

    aux publications mdicales qui prouveraient pourtant que les dpen

    ses pour ce vaccin sont parfaitement inutiles.

    Dj, le 10 aot 1974,

    The

    Lancet publiait une tude ralise sur

    50 000 employs des postes vaccins

    cont

    re la

    grippe

    qui

    dmontra

    it

    que l'injection annuelle du vaccin n'avait pas entran une rduction

    significative de la maladie.

    50

    PLU S D E

    VA CCl

    N

    = PLU

    S D E G R 1 E

    Au Japon o la vaccination de masse contre la grippe pour

    les

    enfants des coles a t rendue obligatoire en 1976 program-

    me

    unique au monde qui devait supprimer toute pidmie de

    grippe le pourcentage

    des

    personnes atteintes par la grippe

    est

    pass

    de 5 pour 100 000 60 pour 100 000. es chiffres

    montrent non seulement une absence totale d effet protecteur

    de la vaccination mais plut t un effet aggravant.

    Et

    les travaux mens par l Institut national des Allergies

    et

    des

    ma

    ladies infectieuses sur les courbes de mortalit aux tats-Unis

    de

    1968

    2001 ont conclu que la gnralisation des vaccinations

    n'a pas diminu la mortalit dans tous les groupes d'ge, y compris

    les gens gs, comme l a prcis Lone Simonsen dans les

    Archi

    ve

    s o

    Internai Medicine.

    Alors que l'incidence vaccinale est passe de

    20

    en 1980

    65

    en 2001,

    la

    mo

    rtalit est rest

    e

    la mme alors

    qu on

    esprait une baisse des dcs d au moins 40 .

    En 1994, le BEH

    Bulletin

    pidmiolo

    g

    ique

    hebdomadaire

    a publi

    un

    e valuation

    de

    l'efficacit du vaccin antigrippal en 1995, parmi

    les appels d une

    unit mi

    litaire base Montlhry.

    Cette

    tude a

    conclu que bien que la couverture vaccinale ait t de 24 pour

    un premier groupe et de 84 pour le second, aucune diffrence

    significative d'incidence n a t observe entre les deux groupes.

    Deux ans plus tard, le Dr Fabrice Carrat de l'Inserm nous prvenait

    qu une expertise collective, pilote par l'Inserm, avait conclu l'ina

    ni t de l argument conomique pour la promotion de la vaccination

    des salaris contre la grippe. Les sept jours d'arrt de t ravail sup

    poss inluctables lors d une grippe sont loin de reflter la ralit .

    Il concluait que la perte de production n'excde pas quatre jours,

    d autant qu 'un quart des malades ne s'arrten t pas du tout

    20

    .

    Quant au Dr]. Anthony Morris, virologue et ancien chefdu con

    tr

    le des vaccins qui travaille avec les autorits de sant amricaines, la

    Food

    and Drug Administration (FDA), il est catgorique:

    Il

    n'existe

    aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile.

    Ses

    fabricants

    savent bien

    qu

    'il ne sert rien, mais ils continuent nanmoins le

    vendre.

    Et

    le 2 avril 1998, Panorama

    du

    mdecin remarquait son

    tour :

    e

    vaccin est de toute vidence trs peu efficace . D'ailleurs,

    trs

    peu

    de mdecins sont vaccins contre la grippe comme le remar

    quait justement

    Mdecine et

    enfan e en novembre 1997 : Alors qu 'ils

    20. P

    anorama

    du

    mldecin,

    13 fvri er 1996 - n 43 56.

    5

    VACCINS, MENSONGES ET PROPAGANDE

    LE

    NOUVE U

    V CCIN

    CONTRE

    L

    GRIPPE

    EST

    RRIV

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    27/128

    sont d excellents avocats de la vaccination auprs de leurs patients, les

    mdecins ne semblent pas, en revanche, tre convaincus de son ut ilit

    pour eux-mmes. Comme on les comprend Ils sont bien placs

    pour

    savoir que ce vaccin est inutile.

    Dernirement, s est

    tenu

    Rome un congrs international

    appel Projet Cochrane , afin de faire le point

    sur

    la vaccination

    contre la

    grippe

    depuis 37 ans. Dans le rapport

    qui

    regroupait 51

    tudes sur 260 000 enfants, les chercheurs

    ont

    conclu qu il n existait

    pas la moindre preuve

    que

    la vaccination des enfants entre 6 et 23

    mois avait une quelconque efficacit. Et d aprs 25 tudes compre

    nant

    60

    000 adultes, ils ont estim que la vaccination rduisait le

    risque de

    grippe d

    peine 6

    % pour

    les personnes en bonne sant.

    Quant aux gens gs, le groupe Cochrane a conclu qu aucune

    tude

    ne permettait de constater l efficacit

    du

    vaccin

    2 1

    .

    Une autre tude, parue dans le journal mdical amricain

    accine

    du

    5 avril 2006, a tent de dterminer si l incidence de la grippe

    avait diminu dans l Ontario aprs une campagne d immunisation

    gratuite pour 12 millions dindividus en 2000. Tous les cas de grippe

    advenus entre 1990 et 2005 ont t valus et le Dr Dianne GroU de

    l universit d Ottawa qui a men cette recherche a signal que lorsque

    la campagne a commenc l incidence s levait

    109

    cas par

    100 000

    personnes. Or, aprs le

    dbut

    de la campagne, l incidence tait monte

    164 cas. Ainsi, en dpit de cette intense vaccination, l influence de

    la maladie n avait pas diminu, bien au contraire.

    L S

    CCID

    NTS

    SIGN

    L

    S

    En France, il est difficile d valuer le cot des campagnes de vaccina

    tion antigrippale, mais il reprsente aussi une fortune, d autant que

    les effets indsirables ne sont pas ngligeables. Il serait donc indis-

    21. The Cochrane Dacabase

    of

    Systemacic Reviews Vaccines for prevencing

    influenza (1-2006)

    5

    pensable de connatre le cot des maladies engendres par le vaccin

    afin de l ajouter au prix de la vaccination. Mais ceci est impossible car

    bien des accidents ne sont jamais signals et dans les cas de dcs, on

    tablit rarement le lien entre le dcs

    et

    le vaccin. Ainsi, au cours de

    la semaine du 16 au 22 octobre 2006, quatre personnes, ges de 53

    76 ans, sont dcdes

    en

    Isral. Toutes avaient t vaccines la mme

    semaine contre la grippe avec le vaccin fabriqu

    par

    le laboratoire

    Sanofi-Aventis.

    Le

    ministre de la Sant isralien a immdiatement

    suspendu la vaccination, mais peine deux jours plus tard il annon

    ait : On n a trouv aucun lien entre cette tragdie et la vaccination

    anti-grippale .On peut ainsi juger du srieux de cette expertise-clair

    pour dterminer les causes des dcs, dautant que si l on ne cherche

    pas, il existe

    peu

    de chance de trouver.

    Et

    sans atten dre le rapport des

    experts que le fabricant devait envoyer sur place, le Pr. Manfred Green

    du CDC d Atlanta, a dclar, tout aussi rapidement, qu il n existait

    aucun rapport entre ces quatre dcs et le vaccin.

    En France, ds l annonce des dcs, Xavier Bertrand, alors

    ministre de la Sant, a saisi l Agence franaise de scurit sanitaire

    des

    produits

    de sant (Afssaps) afin d valuer trs rapidement la

    situation. Aprs les deux jours considrs comme un dlai raisonna

    ble pour

    ce genre d expertise distance nous apprenions le

    24

    octobre

    2006 que

    :

    Le

    ministre de la Sant et de la Solidarit

    maintient

    la

    campagne de vaccination ami-

    grippe

    en France , car cette runion

    a permis de confirmer que

    rien n indique que ces dcs soient lis

    au vaccin et qu aucune situatio n similaire celle connue en Isral n a

    t ce jour rapporte en France ni dans d au tres pays.

    Lorsqu on analyse en dtail cette affaire pour expliquer ces dcs,

    il existe de nombreuses affirmations qui devraient tre examines et

    que personne n a encore releves. Premirement, les personnes dcdes

    souffraient toutes de problmes chroniques, de maladies cardiaques

    ou de diabte . Ce vaccin est en effet administr des sujets hauts

    risques, cardiaques ou respiratoires, afin, prtendument, de les protger

    53

    VACCINS MENSONGES ET PROPAGANDE

    LE NO UV E U

    V CCIN

    CONTRE

    L

    GRIPPE

    EST

    ARR IV

  • 8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande

    28/128

    cause de leur fragilit. Or, c est prsent l argument qui est avanc

    pour expliquer ces dcs. Deuxime argument, ces personnes avaient

    t vaccines l anne prcdente sans aucun problme

    Les

    autorits

    n ont-elles jamais entendu parler de la goutte d eau qui fait dborder le

    vase

    ? Le

    Dr

    C. White avait dj publi une mise en garde contre les

    immunisations rptition et leurs possibles effets secondaires

    22

    Et,

    dans e

    Concours

    mdical

    du

    12 octobre 1996, le